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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 12:30
Chammal : Mission de ravitaillement en vol par un avion ravitailleur C-135 FR

 

17 nov. 2014  Ministère de la Défense

 

Opération Chammal - Novembre 2014 - Mission de ravitaillement en vol par un avion ravitailleur C-135 FR au profit d'un chasseur F-16 belge et d'un avion de détection et de contrôle aéroporté français (E3-F) dans le ciel irakien

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 11:55
Colloque sur le soutien médico-social spécifique des militaires

 

14/11/2014 BCISSA - DCSSA

 

Le 17 novembre 2014, le Service de santé des armées (SSA) et la Caisse nationale militaire de sécurité sociale (CNMSS) organisent à l’École militaire un colloque sur le soutien médico-social spécifique des militaires, sous le haut patronage de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense.

 

Le colloque sur le soutien médico-social spécifique des militaires rassemblera l’ensemble des services du ministère de la Défense, des organismes qui lui sont rattachés et des partenaires qui se mobilisent et consacrent toute leur énergie au soutien du militaire et de sa famille.

 

Depuis plusieurs années, le soutien médico-social du militaire et de sa famille connaît une amélioration significative, dans la diversité des actions engagées et leur périmètre, sous l’action des différents acteurs de la communauté de défense. Ce colloque permettra de faire un état des lieux de l’accompagnement en santé du militaire et de sa famille, notamment lors de déploiement en opérations extérieures ainsi que de la prise en charge et de l’accompagnement du militaire blessé.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 11:55
Adapter la filière Défense aux enjeux du numérique

 

17/11/2014 Jean-Michel Palagos - Président Directeur Général de Défense Conseil International (DCI)

 

Depuis plus d'une dizaine d'années, la plupart des observateurs s'accordent pour voir dans le numérique une transformation importante dans le secteur de la défense : cyberdéfense, drones, robotique, numérisation de l'espace de bataille... La filière de la défense et de la sécurité doit, à l'instar d'autres filières, en tirer trois conséquences organisationnelles : favoriser l'innovation, développer la dimension de service et donner une ampleur nouvelle au rôle de l'Etat.

 

40% des aéronefs de l'armée américaine seraient aujourd'hui des drones, selon un rapport du Congrès. Dans les dernières années, les virus Stuxnet et Al-Shamoun, pour ne parler que d'eux, ont endommagé des infrastructures industrielles majeures. L'emploi très efficace des hélicoptères de l'ALAT (Aviation légère de l'armée de terre) en Côte d'Ivoire, en Libye ou au Mali a montré une fois encore l'importance du professionnalisme des personnels et le caractère essentiel des dispositifs de commandement et de maîtrise de l'information. Il n'y a qu'à voir la liste des exposants du salon Eurosatory qui s'est tenu à Paris en juin dernier et encore récemment en octobre au salon Euronaval, pour constater combien la sécurité terrestre et maritime n'intègre plus seulement des véhicules, des navires et des armes mais aussi les systèmes d'information, la simulation ou encore les drones. Certains des paramètres essentiels de la défense ont évolué sous l'impact du numérique. Les armées et l'industrie sont confrontées à des changements similaires, sous de nombreux aspects, à ce que vit l'industrie de la presse ou de l'énergie aujourd'hui, qui conduisent à poser une question majeure : comment prendre en compte les changements technologiques de façon efficace afin d'en faire bénéficier nos organisations ? En général, cette question se pose ainsi aux dirigeants d'organisations : ce que certains théoriciens du « management » ont appelé le dilemme de l'innovation : faut-il risquer d'affaiblir son métier traditionnel en développant des innovations dans le numérique, sachant que les effets positifs risquent de tarder avant que les effets destructeurs, mais aussi ceux encore plus prometteurs, de ce changement n'apparaissent ?

 

En fait, Shumpeter a théorisé dès le siècle dernier ces cycles d'innovation et leurs effets, mais ses théories reprennent une actualité évidente aujourd'hui. Trois grands leviers doivent permettre aux organisations de se développer dans ce nouveau contexte.

 

Le premier levier est la capacité à innover, ce qui suppose de mettre en place des organisations flexibles, capables de nouer des partenariats et de développer des démonstrateurs d'innovation. Suivant le secteur, ces nouvelles structures peuvent être plus ou moins organisées en réseau et plus ou moins séparées des structures traditionnelles. Les start-ups et PME de l'écosystème peuvent être intégrées dans le travail d'innovation, sur le mode de l'open innovation, mais aussi dans des clusters ou des pôles de compétitivité. Chez Google ou Microsoft, pour un collaborateur direct on peut trouver une dizaine de personnes dans des start-ups partenaires. Dans le secteur de la défense, plusieurs milliers d'entreprises rassemblent quelques 165 000 salariés et près d'un tiers de leur chiffre d'affaires se réalise à l'exportation. Les partenariats sont plus que jamais essentiels, car les compétences et expertises doivent être imbriquées pour favoriser l'innovation.

 

Le deuxième levier est la dimension de service. La numérisation questionne la notion de produit au profit du système et de l'organisation. Il ne suffit pas de disposer d'une flotte d'hélicoptères de pointe. Il faut une organisation capable de disposer des pilotes et navigateurs les plus expérimentés, d'entretenir et faire évoluer le matériel et d'intégrer les véhicules dans l'espace de bataille afin d'en obtenir l'impact maximal. De même, en cyberdéfense, la question du facteur humain est cruciale, Tant les méthodes d'ingénierie sociale sont essentielles dans le cas de menaces persistantes avancées, les formes les plus pointues des attaques cybernétiques : dans le cas de Stuxnet, il a bien fallu des failles organisationnelles pour qu'un ou plusieurs opérateurs insèrent à leur insu le virus dans les équipements informatiques des cibles, probablement au moyen de clés USB. Le monde numérique, qui donne souvent le sentiment d'être dominé par la technique, est donc avant tout un monde de la formation, de l'assistance et de l'organisation humaine.

 

Enfin, le troisième enjeu de la révolution numérique est de repenser le rôle de l'Etat. Celui-ci est appelé à jouer un rôle fondamental. Dans « The Entreprenarial State », l'économiste Mariana Mazzucato souligne ainsi que les composants essentiels des produits Apple comme l'Iphone ou l'Ipod sont issus de travaux de recherche publique. Le protocole http et la fameuse roue permettant de sélectionner les musiques de l'Ipod ? Des recherches du CERN. Le microprocesseur et le micro disque dur ? Des travaux financés par l'agence de défense DARPA. L'écran tactile ? Des recherches des ministères américains de l'énergie et de la défense. Chacun connait aussi l'origine de l'internet et du GPS. Apple a su avec brio et un réel sens marketing, intégrer différentes briques créées et développées dans des instances publiques. Ceci ne remet pas en cause l'efficacité des industriels ou l'impact de la recherche privée, notamment dans le secteur de la défense, mais permet de rappeler le rôle que peut avoir l'Etat dans la construction de systèmes et de savoir-faire décisifs. Le rôle des agences publiques militaires et les liens qu'elles peuvent tisser avec les industriels sont donc décisifs pour les années à venir. Ces fertilisations croisées entre public et privé doivent, plus que jamais, être encouragées.

 

Le numérique est donc en train de transformer le secteur de la défense. Cette transformation sera réussie, à condition que les organisations s'ouvrent à l'innovation et aux services, mais aussi que les organisations publiques jouent pleinement leur rôle.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:56
1914/2014. Coalitions et innovations, deux impératifs d’une armée moderne

 

04/11/2014  -CDEF/Communication

 

Le 11e colloque de doctrine annuel de l’armée de Terre, organisé par le Centre de doctrine d’emploi des forces, aura lieu le mercredi 3 décembre 2014  à partir de 14h00 à l’Assemblée nationale.

 

Matrice de la guerre moderne, le premier conflit mondial a généré des défis nouveaux liés tant au commandement des opérations terrestres en coalition qu’aux innovations opérationnelles et technologiques décisives. Un siècle plus tard, qu’en est-il ?

 Le Concept d’Emploi des Forces (CEF 2013), référence doctrinale interarmées déclinée du Livre blanc, souligne que les marges de progrès résident notamment dans l’amélioration des synergies interalliées et l’innovation en matière d’emploi des forces.

Intitulé 1914/2014 Coalitions et innovations Deux impératifs d’une armée moderne , ce colloque propose, autour d’intervenants de haut niveau, une réflexion sur l’emploi des forces terrestres à travers l’engagement multinational et l’innovation opérationnelle et technologique.

Si le cadre multilatéral reste généralement celui de l’engagement des forces terrestres françaises, quels défis de commandement et quelles synergies génère-t-il ? Si la grande guerre a été le moteur de l’innovation militaire, quelles en sont aujourd’hui les sources et quelles perspectives offre-t-elle aux forces terrestres ?

1ère table ronde

Défis et synergies de l’engagement multinational

  • Les forces terrestres et l’OTAN : quel bilan ? Quelles perspectives ?
  • Interagir avec les acteurs militaires en Afrique : leçons de l’opération Serval
  • Les approches bilatérales : l’exemple de la composante terrestre du Combined Joint Expeditionary Force (CJEF)

 

2e table ronde

Défis de l’innovation

  • Regard historique : la guerre comme moteur de l’innovation
  • Vision prospective : quelles perspectives innovantes pour le combat terrestre ?
  • Armée de Terre 2020 : le rendez-vous Scorpion
  • Cent ans après les premiers chars, quelles innovations pour les forces terrestres?

 

Voir le programme

programme colloque adt 2014 (format pdf, 2 MB).

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:55
Symposium "entreprises et soutien pétrolier des forces armées"

 

31/10/2014 Service des essences des armées (SEA)

 

Le symposium 2014 du Service des essences des armées (SEA) s’est tenu le 14 octobre dernier sur le site de l’école militaire. Cette manifestation, présidée par le directeur central du SEA, l’ingénieur général Volpi, a rencontré un vif succès et a permis aux quelques 150 participants présents, d’échanger sur les savoir-faire, les besoins et les attentes respectifs du Service et des divers acteurs œuvrant dans la filière pétrolière.

 

Ce symposium, articulée autour de deux tables rondes, s’est révélé instructif et fut l’occasion d’inviter les professionnels à investir le champ du soutien des opérations où, comme l’a justement souligné le général Volpi, de nombreux espaces sont à occuper, et à réfléchir à de nouveaux partenariats sur la base de nos intérêts croisés et de nos compétences partagées. Ont été ainsi évoquées, entre autres, les synergies potentielles à développer en matière d’équipement, de logistique, de formation et de qualification des personnels.                  

 

Concluant cette rencontre, le général de corps d’armée Didier Castres, sous-chef d’état-major opérations de l’état-major des armées, a rappelé le rôle majeur et le caractère indispensable du soutien pétrolier des opérations militaires dont on exige une très haute réactivité et qui, avec d’autres fonctions de soutien, tend à être dimensionnant compte tenu des conditions d’engagement et du contexte budgétaire.

 

Opérateur unique du ministère de la Défense en charge du soutien pétrolier des forces armées, le SEA confère à la France une maîtrise complète et intégrée de l’ensemble des problématiques liées au soutien pétrolier faisant de lui une plateforme naturelle d’échanges entre tous les secteurs d’activité œuvrant directement ou indirectement dans la logistique pétrolière.

 

Aussi, avant d’inviter les participants à poursuivre les échanges autour d’un cocktail, le directeur central a-t-il suggéré de donner à tout cela un peu plus de consistance au travers d’un club SEA – partenaires avec un premier projet de portée internationale à traiter… objet probablement d’une prochaine histoire.

 

Pour continuer les échanges : 
01 55 58 81 84 ou symposium-sea-entreprises@inet.essences.defense.gouv.fr

Symposium "entreprises et soutien pétrolier des forces armées"
Symposium "entreprises et soutien pétrolier des forces armées"
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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:50
Débat IRSEM - EUISS : L’UE à l’épreuve des nouveaux enjeux de sécurité


14/11/2014 IRSEM

 

L’Institut d’Etudes de Sécurité (EUISS) et L’Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole militaire (IRSEM) organisent un débat à l’occasion de la parution de la version abrégée en français du Yearbook of European Security 2014 (EUISS) et du Paris paper «Le rôle du militaire dans l’action extérieure de l’UE» (IRSEM).

 

Ce débat intitulé ‘L’Union européenne à l’épreuve des nouveaux enjeux de sécurité’ se tiendra le jeudi 4 décembre 2014 à l’Amphithéâtre Louis de l’École Militaire.

 

Vous pourrez accéder aux détails du programme en cliquant sur le lien ci-joint :
  Programme

 

Merci de bien vouloir vous enregistrer en ligne ci-dessous :

ENREGISTREMENT EN LIGNE

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:50
The SkyRanger drone is used by US military Photo: Strat Aero

The SkyRanger drone is used by US military Photo: Strat Aero

 

16 Nov 2014 By Elizabeth Anderson, Business Reporter

 

The Gatwick-based firm says the unmanned military aircraft sector has 'huge growth potential'

 

A Gatwick-based firm which teaches people how to fly drones will launch on London’s Aim market on Monday.

Strat Aero plc, which has a training complex in New Mexico, expects to raise more than £650,000 from investors on the junior market, valuing the firm at £6.2m. The company, headquartered at Gatwick Airport, has already raised £500,000 from private investors.

Strat Aero, which was founded in 2013, offers training and consultancy in the use of Unmanned Aerial System, commonly referred to as drones, and has a contract with one of America’s top defence firms.

 

Read full article

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:50
NATO Industry Forum Highlights Capability Divide

 

Nov. 16, 2014 - By PIERRE TRAN – Defense News

 

PARIS — During last week’s NATO Industry Forum, a sharp contrast emerged between a wish for simple allied access to command-and-control (C2) information, and the high-tech capabilities in the pipeline for US forces.

The Nov. 13 forum — hosted by French Air Force Gen. Jean-Paul Palomeros, head of NATO’s Allied Command Transformation, and Patrick Auroy, NATO assistant secretary general in charge of defense investment — aimed to increase cooperation with industry to improve alliance readiness and capabilities.

“I am a strong believer that industry can also contribute for a great part to the answer [of readiness],” Palomeros told the audience. “Indeed, you are experts in achieving readiness as it is a daily business for you. Your DNA, if I may use this expression, compels you to constantly adapt, prepare, posture for emerging or changing markets and to keep a sufficient leading edge against competitors.”

During remarks at the forum, held in Split, Croatia, a European admiral clearly stated the difficulties of the small allied nations such as Portugal to get C2 information in the 28-strong alliance.

“We know inside NATO we have big countries with big industries behind them,” said Vice Adm. Fernando Pires da Cunha, joint operational commander for Portugal.

Separately, NATO has completed system testing of the Air Command and Control System (ACCS), showing the capability to run a network with bases in France, Belgium, Germany and Italy, ThalesRaytheonSystems said in a statement. The tests showed ACCS “is ready to provide NATO with essential interoperability,” said the prime contractor, a joint venture between Thales and Raytheon.

The ACCS is NATO’s large-scale attempt to boost allied interoperability in C2 in the skies over Europe.

Interoperability is a “ground rule” among the small nations on the various national command-and-control systems, Pires da Cunha said. The lack of interoperability is compounded by the various national and NATO secrecy classifications that limit access, he said.

“If you have a guy working with one computer, most of these systems, they are not compatible, you cannot have them working together,” he said. “And to get a common picture is very hard.”

A key allied objective is to arrive at a “compatible and affordable” solution that merges the information, he said.

There is no need for a cyber attack, he said. “We jam ourselves with all these incompatible systems. Cooperation is needed among the 28 to deliver a common picture and common information.”

Common training would mitigate the lack of compatibility, and the Supreme Allied Command for Transformation is pushing to move a training school to Portugal, he said.

 

High-Tech Vision

 

Pires da Cunha’s remarks contrasted with the soaring ambitions of a senior US officer’s presentation, devoted to high technology.

The US sees growth in unmanned systems in all domains, and demand for cyber security and directed-energy weapons, said US Adm. Mark Ferguson, commander of Allied Joint Force Command at Naples, Italy.

Electricity generation for lasers would replace powder and ammunition, and force commanders must consider the importance of intelligence from data mining, as hybrid warfare uses social media to attack governments and society, Ferguson said.

There will be greater demand for “information operation,” with conflicts fought through the media and online, he said.

On the ground, investment should be made in infrastructure such as railway stations, airports and seaports, needed to transport personnel, he said. The forces need to respond quickly to new threats, he said.

The Trident Juncture exercise is intended to show a high level of “connectedness” between bases in France, Poland, Spain, the Netherlands and Germany for command and control of air, sea and land forces, he said.

That showed the importance of C2 in the high end of warfare, and a reliance on the electromagnetic spectrum, cyber, satellite communications and high data links, he said.

In major NATO moves, the first site against ballistic missiles will go operational in Romania next year, and a second base will go “online” in Poland in 2018, he said. These bases would work on 10-12 minutes of reaction time, he said.

 

Better Communication

 

What the military needs and what industry can offer sparked debate along the lines of which came first: the chicken or the egg?

An executive attendee at the conference said much of the morning session focused on operational aspects while missing the industry issues. Companies need dialogue to know available funding and requirements so they can decide on technology, skills and target countries over five, 10 or 20 years, the executive said.

It is difficult to predict 20 years ahead, said Brig. Gen. Manuel Gimeno, logistic division chief on Spain’s Joint Defense Staff.

NATO is entering a new cycle, investing in the planning process, and is seeking reform, Palomeros said. The alliance is working on a minimum military requirement, which will go to the high level military committee and set a plan for the next five years. That will open doors for the future, he said.

Defining the main strategic needs would be the best tool for industry, Palomeros said. Industry has research and development (R&D), which could interest the services.

Ferguson spoke of Apple R&D engineers talking in the mid-1980s of a live tactile screen, voice control and other technology features that are now available.

“Your best minds and our young operators” could get together and that could “change the way we operate,” he said.

 

FMS Restrictions?

 

The issue of US sale of equipment into the European Union through the foreign military sales (FMS) system was a topic of discussion, with the EU’s executive commission said to be working on draft legislation against the FMS regime.

Auroy said there is no single NATO market, as each of the member nations and the European Union handles regulatory control. There may be regret, but that was the way the alliance was built, he said.

The absence of a single defense market makes it hard for industry to invest, as there are three markets — EU, NATO and national — said Christina Balis from consultancy Avascent.

One of the panel speakers, Domingo Ureña Raso, head of military aircraft at Airbus Defence and Space, said the US has a good export tool, namely International Traffic in Arms Regulations, which is wielded as a “hammer” against the competition. In Europe, there are different sets of rules for export, procurement and configuration, and some countries set export restrictions on arms that are built in common, he said.

The US and Europe are fierce competitors, but in defense “we have common rather than divergent issues,” notably a common set of regulations on export, procurement and requirements. On his wish list is an “open border” approach in which European firms could offer equipment in the US, as the US sells in Europe, Ureña Raso said.

Caroline Vandedrinck, vice president for Europe and Central Asia at Sikorsky Aircraft, said FMS is a contracting deal and does not distort competition.

Said a French analyst: “It [FMS] is an asymmetrical feature in the export market. There is a case to be made for putting the US and Europe on equal terms in arms exports, particularly for sales into the European market. This is not protectionist.”

An attendee said there is some “very robust talking to the commission” as it is seen to be constraining EU and NATO nations and moving to adopt a measure harmful to the armed forces. A guidance note is being drafted by the commission for the EU. “They [the commission] are listening,” the attendee said.

An EU directive on defense markets went into effect in 2011, aimed at boosting competition, with the exclusion of government-to-government deals, a French executive said.

That opt out was intended to simplify acquisition of second-hand equipment, but European industry lobbied the commission for clearer legislation. One of the factors was Portugal’s sale of its F-16 fighters to Romania without a competition, the executive said. The commission agreed to draw up a guidance note.

Comment from the commission was not immediately available.

EU foreign affairs chief Catherine Ashton said in a statement on July 24, 2013: “The EU has the ambition to act as a security provider, in its neighborhood and globally, both to protect its own interests and contribute to international peace and security. To be able to do so, we need capabilities.

“And to have capabilities, a sound industrial base is vital.”

Palomeros, in his closing remarks, said he saw an eventual replacement of the NATO fleet of airborne warning and control system (AWACS) aircraft as a means of fostering cooperation between Europe and the US.

“For instance, our nations will have to replace major equipment such as the AWACS fleet within 20 years,” he said. “I definitely call for such a project becoming the spearhead of the trans-Atlantic industrial cooperation, a next milestone in success endeavors similar to ACCS.”

The alliance is keen to tighten relations with industry.

“A closer and more open NATO-industry relationship will benefit us both. We have already made some good progress these past few years in building such a mutually beneficial relationship,” NATO Deputy Secretary General Alexander Vershbow said in opening remarks.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:45
Patrouille Mixte à Tombouctou - Novembre 2014

 

11 nov. 2014 MINUSMA

 

Les 5 et 6 Novembre 2014, une patrouille mixte de grande envergure MINUSMA - Barkhane et FAMa a sillonné la région de Tombouctou. Découvrez la coordination des 3 Forces dans cette vidéo!

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:45
Séminaire Prévention et lutte contre les trafics d’armes classiques en Afrique - 2 et 3 octobre 2014


03/11/2014 Délégation aux affaires stratégiques du ministère de la Défense

 

La Délégation aux affaires stratégiques du ministère de la Défense a organisé, les 2 et 3 octobre 2014, un séminaire de haut niveau consacré à la prévention et à la lutte contre les trafics d’armes classiques en Afrique. Il a réuni des représentants de l’ensemble des organisations régionales africaines ayant engagé des programmes en matière de lutte contre les trafics d’armes ainsi que des représentants des Nations unies, de l’Union européenne et des grands pays qui se sont fortement engagés en matière d’assistance internationale dans ce domaine.

 

S’inscrivant dans la continuité du Sommet de l’Élysée pour la paix et la sécurité en Afrique (Paris, 6-7 décembre 2013) au cours duquel les chefs d’État et de Gouvernement de 53 pays africains se sont engagés à signer et ratifier le Traité sur le commerce des armes, ce séminaire visait, à titre principal, à permettre des échanges directs entre les principaux acteurs africains et internationaux engagés dans des programmes de prévention et de lutte contre les trafics d’armes en Afrique, qu’ils soient fournisseurs ou bénéficiaires de programmes d’assistance internationale.

Les échanges ont notamment permis de dresser un état des lieux de la situation en Afrique en matière de trafics d’armes et de faire s’exprimer les hauts responsables africains sur leurs besoins prioritaires en matière d’assistance afin, notamment, de pouvoir aider les pays du continent à adhérer dans les meilleurs délais au Traité sur le commerce des armes, qui entrera en vigueur le 24 décembre 2014, et à en respecter les obligations.

Le séminaire a également permis de présenter les programmes d’assistance engagés par les grands acteurs internationaux – notamment l’Organisation des Nations unies et l’Union européenne – en matière de lutte contre les trafics et d’assistance à l’adhésion au traité sur le commerce des armes. La France a ainsi présenté sa stratégie interministérielle de lutte contre les trafics d’armes internationaux, établie en 2013.

Au travers d’échanges d’une très grande richesse, ces deux journées ont permis de créer une communauté de responsables internationaux impliqués dans les programmes de prévention et de lutte contre les trafics d’armes en Afrique, d’établir des contacts utiles en vue de projets d’assistance et de coopération et d’engager une nouvelle dynamique dans ce domaine d’importance stratégique, qui se poursuivra lors du Forum de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique les 15 et 16 décembre 2014.

 

En savoir plus

> Le compte-rendu du séminaire

> Le programme

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:35
La FS Vendémiaire mouille à Da Nang

 

 

16 novembre 2014. Portail des Sous-Marins

 

La frégate de surveillance "Vendémiaire" basée à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) et commandée par le Capitaine de Frégate Hervé Siret et son équipage de 93 personnes, a jeté l’ancre samedi matin dans le port de Tien Sa de la ville de Da Nang pour une visite au Vietnam.

 

Référence : Vietnam +

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:30
Une révolution arabe dans les affaires militaires

 

11.06.2014 par Michel Goya – la Voie de l’Epée

 

A la fin de 2006, la position américaine en Irak est critique. La plupart des Alliés de la coalition se replient et la tentation politique est forte aux Etats-Unis de faire de même. Les Américains sont finalement sauvés par les erreurs de l’Etat islamique en Irak (EEI) qui, par son intransigeance et sa brutalité, a provoqué l’hostilité des organisations nationalistes et des tribus sunnites. Les Américains innovent en acceptant une alliance avec ces anciens ennemis regroupés dans le mouvement du Sahwa (Réveil). Ils déploient ensuite des moyens considérables (dix brigades dans la seule région de Bagdad) qui s’associent à l’armée irakienne et aux miliciens du Sahwa pour reprendre le contrôle des rues de Bagdad. Cette armée des rues est alors bien loin des Joint Vision 2010 et 2020, toutes de haute-technologie, développés à la fin des années 1990. Il faut quand même dix mois d’effort et encore 600 morts pour chasser l’EII de Bagdad et en faire une organisation résiduelle, mais toujours présente, dans les franges nord de l’Irak arabe.

 

Cette campagne est la dernière menée de cette manière par les forces américaines. Face à l’armée du Mahdi, qui tient encore solidement l’immense quartier chiite de Sadr-City (deux millions d’habitants dans un rectangle de 5 km sur 7) au nord de Bagdad le mode d’action utilisé est l’inverse de celui qui a été utilisé contre l’EEI. Perfectionnant les méthodes déjà utilisées en 2004 à Nadjaf contre les mêmes Mahdistes, il ne s’agit pas d’un étouffement par un quadrillage étroit mais d’un combat d’usure mené par des feux précis à distance et cherchant à influencer les décisions du leader adverse, avec qui, contrairement à l’EII, il est possible de négocier. Les Américains rejoignent ainsi la nouvelle approche israélienne. A partir de la fin mars 2008, Sadr-City est bouclé par un mur et les combattants chiites y sont traqués pendant plusieurs semaines par un puissant complexe « reconnaissance-frappes ». Le 12 mai, Moqtada al-Sadr, le leader mahdiste, déclare le quartier ouvert à l’armée irakienne et se réfugie en Iran. L’armée du Mahdi a perdu plus d’un millier de combattants, pour 22 Américains et 17 irakiens, mais, même en sommeil, elle existe toujours et continue à jouer un rôle politique important.

 

Ces victoires tactiques et le retournement d’alliance de l’ennemi irakien sunnite, le plus difficile de tous, donnent suffisamment de marges de manœuvre politiques pour négocier un repli honorable en 2010. La victoire militaire a été acquise au bout de cinq ans, par défaut au prix de pertes (4 500 morts et 32 000 blessés graves) plusieurs fois supérieures au cumul de tout ce que l’armée professionnelle américaine a pu connaître depuis 1970. Les groupes sunnites de guérilla ou l’armée, chiite, du Mahdi, plus proche du modèle du Hezbollah ont été bien plus efficaces que les armées régulières dans la manière de réduire ou d’éviter la « « supériorité informationnelle » américain et donc aussi sa puissance de feu.

 

Le corps expéditionnaire américain a été contraint de se transformer en force de contre-guérilla où le fantassin s'est révélé le système d’arme le plus performant. Comme après la guerre du Vietnam, l’effort américain, y compris financier, a cependant été tel qu’il dissuade cependant de recommencer l’expérience de la guerre au milieu des populations arabes. La présence militaire américaine reste malgré tout très forte dans les monarchies du Golfe mais elle s’exprime de manière indirecte à leur profit, comme au Yémen, mais pas en Irak.

 

La méthode de l’action à distance est reprise par les Israéliens à la fin de 2008  avec l’opération Plomb durci contre le Hamas à Gaza. Pendant 22 jours, le territoire ceinturé de Gaza est frappé par des milliers de raids aériens et de tirs d’artillerie, puis traversé de quelques raids blindés, tandis que le Hamas tente de frapper, également à distance, la population civile israélienne. Comme à Sadr-City, le résultat tactique est atteint, le Hamas est affaibli et cesse ses tirs de roquettes, par ailleurs de plus en plus inefficaces face au système de défense israélien. Les pertes sont limitées à dix morts israéliens contre 50 à 80 fois plus pour l’ennemi mais comme en Irak il n’y a là rien de décisif. L’ennemi est toujours présent et peut même, par sa simple survie face à une grande puissance militaire, proclamer aussi la victoire. Les Israéliens réitèrent avec l’opération Pilier de défense en 2012 avec des résultats similaires quoique de moindre échelle.

 

En mars 2011, en Libye, une nouvelle Coalition occidentale renoue avec la guerre interétatique, non pas sur le modèle des guerres contre Saddam Hussein mais plutôt sur celui de la lutte contre l’Etat taliban, dix ans plus tôt. Les nouvelles contraintes diplomatiques mais aussi les réticences de beaucoup de nations à engager des troupes au sol imposent une action de combat à distance, presque entièrement aérienne, combinée à l’aide des groupes rebelles au colonel Kadhafi. En octobre, la victoire est acquise avec la prise de Tripoli puis de Syrte et surtout la mort de Kadhafi. Il aura donc fallu six fois plus de temps à l’OTAN, l’organisation militaire la plus puissante de tous les temps avec 80 % du budget de défense mondial, pour parvenir à un résultat similaire à celui obtenu en octobre 2001 lorsque les Taliban ont été chassés d’Afghanistan. L’ennemi s’est adapté rapidement selon les procédés habituels, à la suprématie aérienne des Alliés et les frappes n’a pas eu plus d’effet sur la volonté de Kadhafi que celle des Israéliens sur la direction du Hezbollah en 2006. La méthode est donc assez aléatoire. Les Alliés constataient ensuite que dans un « combat couplé » l’efficacité première vient d’abord de celui qui est au sol et qui mène les actions décisives. Il fallut donc attendre la formation de groupes terrestres rebelles efficaces pour exploiter l’affaiblissement de l’ennemi par les airs. Ce qui a été fait contre Kadhafi ne le sera pas contre le régime d’Assad en Syrie, témoignage des contraintes diplomatiques croissantes et surtout de l’inhibition des Américains, sans qui aucune guerre interétatique d’importance ne peut plus être lancée.

 

De fait, les groupes islamistes ont remplacé, durablement semble-t-il les Etats arabes comme ennemis actuels ou potentiels des Etats-Unis et de leurs alliés. Ces groupes se développent même à l’intérieur des pays arabes, notamment dans les Etats détruits par les Occidentaux, ou les Etats voisins affaiblis, comme le Mali. La France est finalement la seule nation occidentale à accepter de les y affronter directement, au Nord Mali en janvier 2013. Elle y réussit en renouant avec ses méthodes d’intervention classiques. Une brigade aéroterrestre est déployée en quelques jours et le terrain repris à un ennemi qui avait encore peu d’emprise sur la population locale. La réduction de la base d’AQMI dans les montagnes des Ifoghas ou du MUJAO dans la région de Gao s’apparente ainsi plus à la prise de Falloujah, vide d’habitants, en novembre 2004, qu’au contrôle des rues de Bagdad deux ans plus tard.  De la même l’acceptation du combat rapproché avec une infanterie solide et sa combinaison avec de la puissance de feu indirecte a permis de détruire l’infrastructure ennemie. Malgré les risques pris, la victoire tactique est nette et le coût humain étonnamment réduit avec un soldat français perdu pour 80 ennemis. L’ennemi détruit ou chassé du Mali est cependant modeste, inférieur en volume aux forces rebelles de la seule ville de Falloujah, et toujours présent dans la région. L’opération française s’est transformée à son tour en campagne d’usure à l’échelle du Sahel, en superposition des forces locales et interafricaines fragiles à qui revient le soin de contrôler le terrain. Dans le même temps, c’est l’Etat islamique qui revient sur le devant de la scène en se territorialisant à son tour.

 

D’un point de vue tactique, ces para-Etats islamiques ont su profiter des réseaux de la mondialisation, notamment des trafics d’armes légère, pour équiper des armées idéologisées. Ils bénéficient maintenant de plus en plus, grâce à des sponsors étrangers puisant eux-mêmes dans l’aide russe, d’une nouvelle génération d’armements légers. C’est entre autre avec ces missiles antichars ou ces RPG-29 servis par une infanterie professionnelle que le Hezbollah a tenu tête à l’armée israélienne en 2006 ou le Hamas à l’été 2014. Associés à une organisation du terrain très poussée et en attendant de nouveaux missiles antiaériens, ils sont devenus particulièrement résistants. Leur capacité offensive anti-civile, par attentats-suicide, roquettes et missiles, est devenue en revanche inopérante face au système défensif israélien (barrière, défense anti-roquettes et anti-missiles). On assiste donc sur le front israélien à une forme de neutralisation réciproque qui ne peut être rompu qu’en acceptant des pertes élevées comme le découvre Tsahal à l’été 2014 en perdant six fois plus de soldats que lors de l’opération Plomb durci six ans plus tôt.

 

L’Etat islamique, nouvel avatar de l’EII, est la nouvelle organisation djihadiste à parvenir à se territorialiser à partir de 2013 en Syrie et en Irak. Ce groupe se distingue de ses prédécesseurs par sa maîtrise du swarming offensif, à base de troupes motivées et mobiles. L’emploi de petites unités sur pickup se coordonnant spontanément, n’est pas nouveau. Il est simplement rendu possible en Irak par l’absence, nouvelle depuis la départ des Américains, d’une capacité de destruction aérienne massive en particulier par hélicoptères d’attaque. C’est ainsi que l’EI s’est emparé de Mossoul et d’une partie des villes du Tigre alors qu’il procédait plutôt par infiltration sur l’Euphrate. Il y a acquis ressources locales et prestige international mais il est sans doute parvenu aux limites de son expansion. Il n’est pas évident que malgré ses prises matérielles (les Américains avaient pris soin de ne pas équiper l’armée irakienne d’armes d’infanterie sophistiquées), l’EI ait franchi le seuil tactique de la techno-guérilla.

 

Face à l’EI, le nouvel engagement américain, soutenu par quelques alliés, témoigne surtout d’un embarras tactique. La campagne d’usure qui est lancée manquerait déjà singulièrement de puissance pour imposer une négociation favorable, à l’instar du siège de Sadr-City ou des campagnes contre le Hamas. Elle est totalement inadaptée à l’objectif de destruction pourtant proclamé. La RMA n’est plus ce qu’elle était. Elle ne fait plus peur à des Arabes qui ont su trouver, par essais et erreurs, des moyens de la contrer. Le plus puissant d’entre eux est une forte détermination. La révolution arabe dans les affaires militaires est d’abord une révolution humaine, au sens d'une manière nouvelle de voir le monde, manière que l’on peut qualifier de monstrueuse par de nombreux aspects mais dont on ne peut nier la force.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:30
The “Merkava” celebrates 35 years of service in the IDF

 

29.10.2014 Tsahal

 

Thirty-five years ago, after several years of development and months of training, the “Merkava I” tank, the first completely armored Israeli vehicle, began its active service in the IDF. Today, the “Merkava” is a key factor in the IDF’s forces.

 

Since its first operational activity during the First Lebanon War in 1982, the “Merkava” has proven itself as the best tank on the battlefield, outshining the T-72 tanks supplied to the Syrian army by the Soviet Union. Ever since, the Merkava has fought on every front, always fulfilling its mission.

Today, the “Merkava MK-IV”, which came into use in 2004, is the most modern of the “Merkava” tanks. It includes a fire control system that allows it to shoot down helicopters, a Battle Management System which allows different vehicles to communicate in the battlefield, and a caterpillar track system that allow it to move over all types of terrain.

Sgt. Menachem, the tank commander of one of the “Merkava IV” tanks in the 401 Armored Brigade, explains the capabilities of this advanced vehicle. “The ‘Merkava IV’ tank is the most modern in the world,” he said. “It is stronger, more powerful and more resourceful than every other tank in its category. As a tank commander, I can say with certainty that the ‘Merkava IV’ is the king of the battlefield in urban combat.”

 

The “Merkava” celebrates 35 years of service in the IDF
The tank was built for the crew

 

2nd Lieutenant Jeff Ben Ari, a platoon commander in the 401 Armored Brigade, explained that, “The ‘Merkava IV’ is different than other tanks in a sense that the engineers did not build it thinking how the crew would maneuver it. They designed it thinking how the tank would protect the crew.”

“The engine is placed in the front of the tank in order to serve as additional protection and the shielding materials are cutting edge technology. Most importantly, we have an active protection system, the Trophy, which intercepts anti-tank missiles before they can reach us,” said 2nd Lt. Ben Ari.

“The capabilities of the ‘Trophy’ were reflected during Operation Protective Edge,” said 2nd Lt. Ben Ari. “A group of armed Hamas terrorists fired a RPG-27 anti-tank missile at one of our company’s tanks, but the ‘Trophy’ system intercepted it before it reached the tank.”

 

A 360° view of the battlefield

 

“In the tank, we are four soldiers. You have the driver, the loader, the gunner and the tank commander,” said 2nd Lt. Ben Ari. “But there is a fifth crew member: the Battle Management System. It shows us where the other tanks are and where the forces on the ground are located. It helps us navigate without looking left and right all the time. We can operate without it, but it is clearly a huge advantage.”

 

The “Merkava” celebrates 35 years of service in the IDF

“There is an air conditioner in the tank, which may seem trivial, but given the climate in the Middle East, it makes a difference,” explains 2nd Lt. Ben Ari. “Additionally, the ‘Merkava IV’ can accommodate an infantry squad or wounded soldiers, so that they can safely reach their destination.”

Thanks the advanced technology of the “Merkava IV”, the soldiers of the Armored Corps can proudly and safely continue to serve and defend the State of Israel on the battlefield.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:30
Israel Air Force Hones Patriot Batteries for UAV Defense

 

Nov. 16, 2014 - By BARBARA OPALL-ROME – Defense News

 

Scores First Enemy Intercept in 30-Year History of US-Built System

 

TEL AVIV — With newly war-tested batteries of drone-killing Patriots, air defenders of Israel Air Force (IAF) Wing 168 are earning equal footing with F-16s in guarding the skies against new and growing unmanned threats.

 

The Wing’s Patriot force forms the ground-based node of Israel’s extensively integrated air defense network — historically junior partner to IAF fighters in their joint intercept mission against air-breathing threats.

 

But as traditional threats from fast-flying fighters and other manned aircraft give way to a surging new spectrum of slow, potentially combat-equipped UAVs, Wing 168 and its US-built force is proving a prime time option for frontline defense.

 

Three times in the past four months, US-built Patriot batteries of Wing 168 made history here and for users worldwide by blasting UAVs out of the skies that had penetrated Israel’s northern and southern borders.

 

The first intercept came on July 14 against a Gaza-launched drone. Israeli Patriots scored again on July 17 against the second and last of the unmanned aircraft attempting to penetrate from Gaza during the 50-day war.

 

The third unmanned target came from the north and was quickly destroyed in an Aug. 31 intercept near the Syrian border.

 

Prior to last summer’s Gaza war, Israel-operated Patriots shared the same track record as all other anti-air variants built by Raytheon for the US Army and at least 10 other countries: Zero intercepts of enemy aircraft.

 

They came close in October 2012, maintaining full target tracking of a Lebanon-launched UAV as it flew over two-thirds of the country. “Our Patriots were ready for intercept orders,” recalled Brig. Gen. Doron Gavish, IAF air defense commander at the time.

 

 

The mission ultimately went to F-16s, which downed the target just north of Israel’s nuclear facility in the southern Negev desert.

 

Nearly a decade earlier, US Patriot batteries forward deployed in Iraq came tragically too close, mistakenly intercepting a British Tornado and an F/A-18.

 

Three allied airmen were killed by friendly Patriot fire in March and April of 2003 in attacks marking an all-time low in the 30-year operational track record of the US anti-air system.

 

But from that all-time low, officers and experts say inherent UAV-killing capabilities recently validated by Wing 168 will eventually benefit other nations that rely on Patriot anti-air batteries to defend against growing unmanned threats.

 

A senior IAF commander noted that just a decade ago, the threat from UAVs was rare. “Today, it’s a huge problem. We bear the brunt of it today, but soon many others will face similar threats.”

 

He was interviewed Nov. 11, a day before Iran’s state-run Press TV released footage of what Tehran claims is the maiden flight of an the unmanned system reverse-engineered from a US RQ-170 Sentinel captured in late 2011.

 

At the time, the Pentagon confirmed Iranian’s claims that the reconnaissance UAV took off from Afghanistan. It has not commented on Tehran’s parallel claim that its cyber forces hacked into the aircraft’s control system, forcing it to land in Iran.

 

Herzl Bodinger, a retired major general and former IAF commander, said enemy states and non-state terror organizations are expanding their arsenals of UAVs as a cheap and more effective way to attack Israel by air.

 

“Enemy states have learned not to challenge our airspace and lose their prize assets,” he said.

 

Far overshadowing the UAV threat from Gaza that debuted in last summer’s war with Hamas is the increasingly capable unmanned force amassed by Hezbollah since Israel’s 2006 Lebanon war.

 

Maj. Gen. Yair Golan, a former commander of Israel’s Northern Command, estimated that Lebanon-based Hezbollah holds “an unlimited number” of UAVs initially supplied by Iran and since supplemented by a range of other systems.

 

Also in Syria, experts here cite an uptick in UAV use by forces loyal to President Bashar al-Assad, some of which may have fallen into hands of insurgents fighting to topple the Damascus regime.

 

As the officer who took command of the IAF a year after Patriots were first deployed here during the 1991 war in Iraq, Bodinger said the system that initially disappointed Israel as an anti-missile interceptor has provided significant added value in its anti-air role.

 

“For our purposes, the Patriot is excellent against aircraft; a critical part of our continuously upgraded system of integrated air defenses.”

 

Raytheon spokeswoman Bailey Sargent deferred to the Israeli government and the IAF when contacted for comment. “Patriot is the air and missile defense system of choice for 13 countries around the world,” was all she had to say.

 

Healthy Competition

 

Israeli officers roundly acknowledge that the first UAV to breach sovereign airspace — an Iranian Mirsad launched from Lebanon in late 2004 — came by surprise.

 

When pressed, most also acknowledge that the second unmanned infiltration from Lebanon, in April 2005, was a mistake. Israel’s integrated air defenses were not yet fully honed against the small, stealthy unmanned threat.

 

“It’s like finding a needle in a haystack,” retired Maj. Gen. Eliezer Shkedy, then commander of the IAF, told Defense News at the time.

 

By the time war broke out in Lebanon in June 2006, the IAF’s fortified target detection and classification network helped F-16s score their first intercept against a Hezbollah Ababil.

 

At least five unmanned planes have penetrated Israeli airspace since then, three of them destroyed in recent months by Wing 168.

 

“Today, we’re finding many needles in the haystack,” Col. Chemi Bar-El, 168 Wing commander, said.

 

Bar-El acknowledged “a healthy competition” between ground- and air-based nodes of the net, which provide multiple options for each target.

 

With such limited airspace and so many threats, Bar-El said Israeli air defenders don’t have the luxury of finding out in real time the intentions of unauthorized penetrations.

 

“We have a very clear policy: If it flies it dies,” Bar-El said.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:30
IAF Develops Cognitive Simulator

 

12.11.2014 Noa Fenigstien - IAF

 

Juggling between flying an aircraft while reading flight data from its systems at the same time is not an easy task for a pilot. A new simulator developed in the IAF is aimed to meet that exact challenge

 

During flight, helicopters pilots are required to juggle between flying, operating the helicopter systems, responding to threats, landing and processing flight data. The flight data is presented in front of the pilots and they are required to split their attention between the data and their surroundings.

 

"Maneuvering between the flight data and the surroundings is similar to watching a TV show while reading the subtitles", explains Major Avshalom Gil-Ad, Head of Human-System interface in the IAF. "We decided to try and accelerate the learning process using a cognitive trainer, aimed to speed up thinking process".

 

"Develop a different training"

The simulator, developed by the IAF, consists of basic flight systems and 3D glasses with sensors reacting to head movements.

The user "flies", while the simulator displays images of vehicles for the pilot to classify. In addition, the pilot has to simultaneously maintain strict flight restrictions such as flight path and altitude.

 

"Our goal is to develop the splitting of attention among the helicopter pilots", explains Major Gil-Ad. "The simulator allows us to develop a different training strategy for each individual pilot based on his strengths and weaknesses".

As of now, the simulator goes through trial-runs at the "Blackhawk" simulator squadron in "Palmachim" Airbase and scheduled to enter training program during 2015.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:30
Maoz - photo Rafael

Maoz - photo Rafael

 

3/11/2014 Ami Rojkes Dombe

 

At Rafael they understand that the frequency of wars fought in urban environments will increase. For this reason, they have recently launched two new products - a precision rocket and a tactical rotorcraft

 

Rafael aspires to enter the world of artillery and for this purpose they developed "Iron Flame" – an autonomous precision artillery rocket system, immune to GPS jamming that produces minimum collateral damage. With this product, Rafael has succeeded in offering a relatively inexpensive precision guided, long-range weapon designed specifically for urban warfare. The rocket relies on image comparison navigation – a capability derived from the field of aerial munitions in which Rafael specializes.

 

"During the Yom-Kippur War, 70,000 artillery shells were fired and during the Second Lebanon War 150,000 shells were fired. This is a weapon system with very limited effectiveness. If you aim to hit a specific house, you might hit another house," explains Aviram L., marketing manager at Rafael's Precision Tactical Munitions Administration. "Our system makes it possible to hit targets accurately even in a scenario saturated with GPS jammers. We have a (guidance) capability based on image comparison. It is a unique Rafael capability that makes it possible to execute a very accurate strike even in urban scenarios, using aerial reconnaissance photographs as a reference image."

 

The system consists of rocket canisters and mobile launchers. The nose of each rocket contains a guidance unit (which incorporates an uncooled IR camera, a computer, a navigation system, fins for aerodynamic steering and a battery supplying power). The rocket body contains an integral penetration warhead and a rocket engine. The mode of employment is selected according to the scenario and the mission at hand: autonomous acquisition and homing, acquisition and homing onto a laser spot or inertial homing combined with GPS.

 

The system can also deal with mobile targets using laser designation, but Aviram stresses that the system was not originally intended to handle mobile targets. "An artillery system is intended to handle stationary targets. That is its primary function," says Aviram. "We analyzed artillery scenarios, with the objective of destroying a (specific) house as the primary scenario. We wanted a weapon that avoids a high degree of dispersion owing to the collateral damage. Our working assumption was that the world is going in the direction of urban warfare, as in the near future most of the territory will be built up. In an open area, accuracy is less important."

 

As in the world of missiles, the launcher of the Iron Flame system is fixed and the missile maneuvers along an optimal trajectory. The people of Rafael say that two capability-proving trials have already been conducted. The Iron Flame launcher consists of 10 tubes and may be installed on land platforms, including Jeeps, as well as on naval platforms.

 

While other missile systems, such as the Spike system, involve a man in the loop, the Iron Flame system operates autonomously: the operator loads the target into the system by "stabbing" an image, and the system launches the rocket. The process of loading the image into the system takes a few seconds. Aviram says that targets may also be loaded into the system using Google Earth. "The system is open to any accurate map reference system. We aim at the international market, where most of the systems are GPS-based."

 

Maoz: Tactical Loitering Surveillance System

 

Along with the Iron Flame system, Rafael has unveiled another tool that can come in handy in urban warfare situations – the Maoz. It is a tactical rotorcraft possessing surveillance capabilities, which had been designed specifically for maneuvering infantry forces. The Maoz may be used for short-range surveillance missions. It can operate in urban warfare scenarios and in open terrain and cope with entangled fortified areas, built-up areas and subterranean spaces (inside buildings and tunnels) with no line of sight between the operator and the target.

 

How does it work? The operator carries several rotorcraft and a light control unit (a touch screen) in his combat vest. When required, he pulls the loitering rotorcraft out of its canister and positions it on the ground. The rotorcraft is then launched into the air and transmits a real-time image. A warfighter who had received specialized training in flying the rotorcraft in a combat zone will guide the Maoz toward its target using a simple operating routine.

 

"Rafael aims at the tactical world. Products like the Mini-Spike and Spike SR are aimed at the platoon/company echelon with the purpose of being accessible to every trooper. We wanted to manufacture something that would come packaged in a convenient, compact packaging. It was a substantial challenge," explains Aviram.

 

In a built-up area, the operating range of the Maoz is 1.5 kilometers. It can operate at a height of 50 meters and remain airborne up to 30 minutes or up to eight hours in a fixed surveillance position. It includes daytime surveillance measures (CMOS) and active night illumination that enable it to detect human targets at a range of 180 meters. It can chart a building/tunnel in 3D and also has backup sensors for navigation. Inside a building, navigation is carried out through image processing. The people at Rafael say that at the moment, the Maoz is at the demo stage and undergoes preliminary tests. "It is a new idea that we have never developed in the past. We do not yet know what we are missing, and for that we would require an operational examination," says Aviram.

 

"We think that in the long run, the urbanization trend will continue. Since the War of Independence through the Yom-Kippur War to this day, urban warfare scenarios have been occupying an increasingly higher volume. If we can offer attractive solutions for this scenario, we will be ahead of the market."

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:20
Cyber Defense a Cooperative Effort, Rogers Says

Navy Adm. Michael S. Rogers, the commander of U.S. Cyber Command, the director of the National Security Agency, and chief of the Central Security Service, delivers remarks at the Reagan National Defense Forum at The Ronald Reagan Presidential Library in Simi Valley, Calif., Nov. 15, 2014. The Reagan National Defense Forum brings together leaders and key stakeholders in the defense community -- including members of Congress, civilian officials and military leaders from the Defense Department and industry -- to address the health of U.S. national defense and stimulate discussions that promote policies that strengthen the U.S. military in the future. DoD photo by Kevin O'Brien 

 

Nov. 15, 2014 – By Claudette Roulo - DoD News

 

WASHINGTON - "Cyber blur" is an enormous challenge to those seeking to defend the nation's networks, Navy Adm. Michael S. Rogers, the National Security Agency’s director, said today.

At the Reagan National Defense Forum in Simi Valley, California, Rogers, who’s also commander of U.S. Cyber Command and chief of the Central Security Service, explained that network defense isn't an either-or proposition that can be neatly divided into public sector, private sector and national security responsibilities.

"This is the ultimate team sport," he said. "There is no single sector, there is no single element of this population, there is no single element within the government that has the total answer. It will take all of us working together to make this work."

The nation's adversaries don't hesitate to blend public and private capabilities in the cyber realm, either, he said.

"The biggest thing that concerns me ... in the immediate near term is we're taking capabilities, whether it be nation-states, groups or individuals, and I'm watching some of these blur and create partnerships that make attribution more difficult. They clearly are intended to try to stymie attribution as well as policy decisions on our part," Rogers said. "... This is going to require us to think a little differently."

 

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:20
2016 US Defense Budget Could Be $60B Over Spending Caps

 

Nov. 16, 2014 - By PAUL McLEARY – Defense News

 

WASHINGTON — As the White House and Pentagon pass drafts of the fiscal 2016 defense budget back and forth before submitting it to Congress early next year, the base budget request possibly could exceed congressionally mandated spending caps by as much as $60 billion, according to a former defense official with knowledge of the discussions.

 

Administration and defense officials have said for months that the 2011 Budget Control Act (BCA), which limits how much the Pentagon can spend, wouldn’t fully constrain the 2016 request. But a source with knowledge of a meeting between President Barack Obama and the Joint Chiefs of Staff said the chiefs have pushed for an increase of $60 billion over the $535 billion cap for defense, with another $10 billion for Department of Energy programs.

 

While the number might appear high, Pentagon and administration plans to push past the cap are no surprise.

 

On Nov. 6, Alan Estevez, principal deputy undersecretary of defense for acquisition, technology and logistics, told an audience at a procurement conference in Washington that “we’re going to propose a budget next January and it’s going to be above sequestration levels.”

 

Deputy Defense Secretary Bob Work recently estimated that the Pentagon would fall short about $70 billion in next year’s budget if Congress didn’t allow it to shift money around the way the building sees fit.

 

“If you add up all of the things that Congress told us no, after we submitted our budget, it’s $31 billion in noes,” Work said on Sept. 30. “No, you can’t get rid of the A-10. No, you can’t get rid of the U-2. No, you can’t get rid of those cruisers. No, no, no, no, no, no, no. And then, no, you can’t do the compensation reform.”

 

Add to this the billions that Pentagon officials now say will be needed to modernize the nuclear weapons programs, and the sequester caps give less and less room for issues like real compensation reform and starting expensive new programs, such as a long-range bomber.

 

Defense Secretary Chuck Hagel told reporters that billions of dollars in new investments are needed to fund critical nuclear upgrades in the coming years.

 

Hagel said the new investments would total “several” billion a year in the coming years, and that the Pentagon aims to spend at least 10 percent more each year for the next five years than it does on the nuclear upgrades and modernization programs.

 

The 2016 budget has long been looked at as something of a mile marker in Washington’s struggle to turn the page on more than a decade of inflated wartime budgets and massive supplemental requests that filled in the blanks in procurement and readiness accounts.

 

Still, there is tension.

 

“It’s clear that the Pentagon leadership is prepping the battlefield now with Congress for another cap-busting budget request that is likely higher than even last year,” said Mackenzie Eaglen, an analyst at the American Enterprise Institute.

 

But “the best the Pentagon is going to get is another Ryan-Murray deal” that offers short-term fixes to sequestration, she said, since there is likely little political appetite to actually do away with the law or offer a more permanent fix.

 

“It’s not a surprise if the base budget comes in at least $50 billion above the caps” set out in the BCA, Eaglen said.

 

Politics and legacy-building likely also play a role.

 

“You have the president putting out the last request that he will also execute the full year of, so that is an argument for seeing more money,” said Ryan Crotty, deputy director for defense budget analysis at the Center for Strategic and International Studies.

 

“But part of the politics of it is keeping the request at a level where it’s not going to be rejected out of hand” by a new Republican-controlled Congress in no mood to do the White House any favors, even if it supports a strong defense, and with its eye on dismantling big domestic programs like Obamacare. That same Congress will also be hostile to new taxes to make room for a rising defense budget.

 

Still, the amount of money the Hill will ultimately allow the Pentagon to keep will have to remain within limits.

 

Even the Congressional Budget Office, in a Nov. 6 report, estimated that given the modernization and compensation needs the Pentagon has laid out for upcoming years, the base budget requests between 2015 and 2019 will likely be $47 billion higher per year than the levels designated by the BCA.

 

But not everyone is convinced that these numbers will end up seeing the light of day.

 

“We’re not going to roll back sequestration entirely; we may get relief at the margin, but DoD is going to be living with lower budget resource levels than its plan of last year,” said Byron Callan, director at Capital Alpha Partners.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 07:20
US Document Riles Critics of Proposed Canadian F-35 Buy

A leaked US document has put the Canadian government under fire over the proposed F-35 purchase.

 

Nov. 16, 2014 - By DAVID PUGLIESE – Defense News

 

VICTORIA, BRITISH COLUMBIA — A leaked US document has raised new questions about Canada’s involvement in the F-35 program and given critics of the fighter jet as well as opposition members of Parliament new ammunition to accuse the Canadian government of misleading the public about the proposed acquisition.

 

An Oct. 27 briefing by US Air Force Lt. Gen. Chris Bogdan, F-35 Program Executive Office director, outlined how Canada intends to initially purchase four F-35s. That flies in the face of continued Canadian government assurances that no decision had been made about whether the country would buy the aircraft.

 

Defense News has seen a copy of the document.

 

Canada’s Conservative Party government originally committed in 2010 to purchasing 65 F-35s, but the acquisition soon became a major political albatross around the neck of Prime Minister Stephen Harper.

 

Opposition Parliament members alleged his government misled Canadians about the F-35’s price and performance.

 

In April 2012, Auditor General Michael Ferguson found that Department of National Defence officials withheld key information from Parliament about the jet, underesti­mated costs and didn’t follow proper procurement rules.

 

The government, under continuing fire about the increasing cost of the F-35s, announced in December 2012 it would put the procurement on a temporary hold and examine other aircraft. That process is ongoing, government ministers said.

 

But Bogdan’s briefing to US Air Force Secretary Deborah Lee James undercuts those claims. Bogdan pointed out that Canada wants to “swap” four aircraft destined for the US Air Force and receive those as early as 2015.

 

The aircraft would be replaced at a later date by Canada.

 

Bogdan noted in the 14-page briefing deck that the US Air Force agrees with the plan as long as the F-35 initial operating capability date of 2016 remains on schedule and no other allies make similar requests.

 

For the swap to happen, Canada needs to deliver a letter of intent to the F-35 project engineering office this month, the briefing points out. Congress would also have to be notified.

 

Kyra Hawn, spokeswoman for the F-35 Joint Program Office, said the “briefing was for official use only. It was to inform future decisions regarding Canada’s F-35 acquisition. We will not be commenting any further on the content of the slides.”

 

Lockheed Martin spokesman Mike Barton referred questions to Canada’s Public Works Department “as these would be government-to-government type discussions and nothing we would be privy to.”

 

Marcel Poulin, press secretary for Public Works Minister Diane Finley, said, “No decision has been made on the replacement of Canada’s CF-18 fleet.”

 

He did not explain why Bogdan was informing James about Canada’s decision to proceed with the F-35 if the Canadian government still had not made a decision on purchasing the aircraft.

 

But analysts and opposition MPs are pointing to Bogdan’s briefing as a smoking gun that proves the Conservative Party government has been misleading Parliament and the Canadian public.

 

“Getting into the production line this fiscal year is clearly an intention to go ahead and buy those planes,” said Jack Harris, defense critic with the official opposition New Democratic Party.

 

He noted that the Bogdan briefing proves the Canadian government is “going behind the backs of Canadians” and that it plans to move ahead with the acquisition despite continuing concerns about the F-35 and its costs.

 

“[The public is] just being deceived by this government taking action without the kind of transparency that’s required, without the proper debate, without notifying Canadians, without notifying Parliament,” Harris added.

 

Alan Williams, the former Canadian defense procurement chief, said the information contained in Bogdan’s briefing raises questions about the government’s claims it is examining other aircraft besides the F-35 to replace the CF-18s.

 

“The government claims about a fair and transparent process are called into question,” Williams said.

 

Some Canadian aerospace industry representatives and political analysts, such as Michael Byers of the University of British Columbia, see the move as designed to quickly lock the country into an F-35 purchase before any competition could be considered.

 

Industry representatives said the move was clumsy, destined to fail and will only provide further ammunition for F-35 critics.

 

Canada is still an official partner in the F-35 program and has not informed the US government or Lockheed Martin of any plans to change that. Canada operates 78 CF-18 fighter aircraft. It was originally planning to replace those with the conventional take-off and landing version of the F-35.

 

In the meantime, the Canadian government has ordered a modernization program for the CF-18s to keep them flying until 2025.

 

Johanna Quinney, spokeswoman for Defence Minister Rob Nicholson, said the modernization project is expected to start in 2016 and be completed in 2019.

 

The program will include replacement of some flight controls, as well as structural and avionics upgrades. Core CF-18 avionics systems will also need to be augmented to provide secure communi­cations between the CF-18 and allied units, Quinney said. The aircraft’s software will also be modernized and simulators will be upgraded.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 02:55
COPIL de lancement de la JNR 2015

 

13/11/2014 Actualités réserves

 

Le premier Comité de Pilotage de la Journée Nationale du Réserviste 2015 s'est tenu le jeudi 16 octobre 2014 à l'Hôtel de Brienne, sous la présidence du secrétaire général du Conseil Supérieur de la Réserve Militaire, le général Thierry Beckrich. De nouveaux COPIL seront organisés avant la JNR 2015, qui aura lieu le vendredi 20 mars 2015.

 

Le thème choisi pour la JNR 2015 est : "Réservistes : les compétences les plus diverses au coeur du lien armée-Nation".

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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 23:56
Carte des opérations - oct. 2014 source EMA

Carte des opérations - oct. 2014 source EMA

 

16.11.2014 Par Nathalie Guibert – leMonde.fr

 

Paris va déployer des moyens supplémentaires pour frapper l’Etat islamique en Irak et soutenir l’armée libre en Syrie. Six Mirage, des avions d’attaque au sol, seront basés en Jordanie d’ici quelques semaines, en sus des Rafale stationnés aux Emirats arabes unis. Dans cette opération, l’état-major « s’inscrit dans la durée ».

 

Au Sahel, la force antiterroriste Barkhane comptera de nouveaux points d’appui à la fin de l’année, au nord du Tchad et du Niger, d’où frappent déjà les Rafale et autres hélicoptères Tigre ultramodernes. Ses effectifs, autour de 3 500 soldats, pourraient croître début 2015. Dans la crise ukrainienne, aussi, on annonce des moyens. Des drones français entreront bientôt en jeu, tandis que la marine nationale continue de faire tourner ses bateaux espions en Mer Noire.

 

Sur la photo, les armées françaises ont de l’allure. Leur chef, François Hollande, les déploie partout. Pour le président, rapportent plusieurs interlocuteurs, il est une vérité : la France reste un pays qui compte à l’étranger en matière militaire. « Nous avons plus de 20 000 militaires déployés hors de la métropole, dont plus de 8 000 au profit de 27 opérations sur quatre continents, dans les airs et sur tous les océans », dit le chef d’état-major, le général Pierre de Villiers.

 

« Dérive » des comptes publics

 

L’effort dépasse le « contrat opérationnel » fixé en 2013. Lire la suite de l’article

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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 22:30
Des plongeurs-démineurs français participent à IMCMEX

Des plongeurs-démineurs français et américains utilisent un robot MK II Talon et sa console de contrôle au cours de l’exercice IMCMEX.

 

16 novembre 2014. Portail des Sous-Marins

 

Des plongeurs-démineurs de la marine nationale ont travaillé pendant 15 jours aux côtés de leurs homologues américains et danois à Manama (Bahreïn), dans le cadre de l’exercice IMCMEX (International Mine Countermeasures Exercise).

 

L’exercice IMCMEX est le plus important exercice naval international, avec la participation de plus d’un quart des marines du monde, 38 navires et 6.500 marins venant du monde entier. Il s’est déroulé du 27 octobre au 13 novembre dans le golfe Persique et en mer Rouge.

 

L’objectif de l’exercice est de promouvoir la sécurité maritime et la libre circulation du commerce au travers d’opérations de lutte contre les mines, de sécurité maritimes et de protection des infrastructures maritimes.

 

« Il est très important de travailler avec nos partenaires internationaux pour apprendre les capacités des uns et des autres, renforcer les liens et accroitre l’interopérabilité, » explique le Lt. j.g. Ryan Bresson, un plongeur-démineur américain.

 

Dans le cadre de l’exercice, les plongeurs-démineurs français, américains et danois ont répondu à de nombreuses menaces simulées, en mer comme sur terre, dont des engins explosifs improvisés, des mines magnétiques posées par des plongeurs et des attaques suicides. Ils ont aussi participé à des exercices de tir, d’accidents de plongée. Ils ont mis en pratiques des techniques de recherche sous-marines, utilisé des robots de déminage et détruit des explosifs à distance.

 

Référence : US Navy

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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 22:30
Le TCD Siroco va quitter Toulon pour porter le fer contre Daesh

 

16 novembre 2014. Portail des Sous-Marins

 

Selon des sources militaires et civiles concordantes, le transport de chalands de débarquement (TCD) Siroco devrait appareiller dans les prochaines heures de son port d’attache de Toulon afin de gagner au plus vite la péninsule arabo-persique. Le navire-filleul de la Ville de Marseille aurait reçu pour mission de transporter le matériel nécessaire à l’effort de guerre français dans le cadre de l’opération Chammal ; opération menée à la demande du gouvernement irakien, en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, afin d’apporter un soutien aérien aux forces armées irakiennes en lutte contre le groupe terroriste Daesh.

 

Référence : La Provence

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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 18:20
Un sous-marin nucléaire américain bloqué à quai depuis 5 mois pour une « petite » fuite

 

16 novembre 2014. Portail des Sous-Marins

 

Lorsque le sous-marin nucléaire d’attaque américain Jefferson City a quitté le 9 avril dernier son port-base de San Diego, les 150 membres d’équipage s’attendaient à passer 6 mois de patrouille dans le Pacifique ouest et au-delà. Pourtant, le sous-marin est bloqué depuis la mi-juin à Guam, mis à l’écart par une petite fuite qui s’est révélée difficile à localiser et encore plus dure à réparer.

 

« Le sous-marin USS Jefferson City a une très petite fuite d’eau sur une vanne située sur un des systèmes du réacteur du sous-marin, » explique le Cmdr. Brook DeWalt, porte-parole de la force sous-marine de la flotte du Pacifique à Pearl Harbor.

 

« Comme la fuite est très petite, une recherche complète, avec des instruments très sensibles a été nécessaire pour identifier sa localisation, » indique le Cmdr. DeWalt. « Une fois localisée, ils ont eu besoin de temps supplémentaire pour examiner les possibilités de réparation. »

 

Bien que l’eau provienne des systèmes de réfrigération du réacteur, les risques de radioactivité sont « négligeables », a assuré le Cmdr. DeWalt. « L’eau ne contient que des traces infimes de radioactivité et est récupérée à bord du sous-marin. »

 

La quantité d’eau récupérée, a-t-il ajouté, est « probablement de quelques litres par jour », et est traitée de la façon habituelle. « Les systèmes du sous-marin sont plus que capables de traiter cette quantité d’eau et de la conserver à bord, » a expliqué le Cmdr. DeWalt.

 

Le Jefferson City est arrivé à Guam le 21 juin afin de réparer des problèmes d’étanchéité sur les presse-étoupes de ligne d’arbre et des systèmes d’eau de mer auxiliaires, a indiqué DeWalt. Une fuite d’eau de mer était aussi apparente, se manifestant par une condensation accrue. L’équipage pensait au départ qu’il s’agissait d’une fuite sur un tuyau de refroidissement.

 

L’équipage du Jefferson City ne s’attendait qu’à une courte escale, mais la fuite s’est révélée beaucoup plus difficile à localiser que prévu.

 

« Trouver la fuite n’a pas été une chose facile, » explique DeWalt. « Il a fallu utiliser des équipements spécialisés très sensibles. Cela a pris beaucoup de temps. »

 

Au mois de juillet, il est devenu clair que le sous-marin ne pourrait pas accomplir les objectifs opérationnels de la mission. « La mission a été adaptée pour faire face à leurs problèmes de maintenance, » explique DeWalt.

 

« Après avoir trouvé la fuite, il a fallu décider que faire ensuite : réparer le sous-marin à Guam, à San Diego ou à Pearl Habour. Les moyens et le personnel se trouvaient à Pearl Harbour, sans qu’il y ait besoin de les y envoyer. »

 

Il était déjà prévu que le Jefferson City entre, à l’été 2015, en période de maintenance lourde pour 22 mois. La Navy a décidé d’avancer la période de réparation et de la combiner avec la réparation de la vanne. Mais la disponibilité des cales sèches a été un problème.

 

Pour compliquer la situation, le sous-marin devait temporairement changer de port-base administratif pour Pearl Harbor pendant les presque 2 ans de maintenance lourde, afin de permettre aux familles des membres d’équipage de déménager. Tous ces arrangements ont dû être avancés eux aussi.

 

Les préparatifs sont presque terminés, et le Jefferson City devrait quitter Guam sous peu, arrivant à Pearl Harbour avant la fin novembre.

 

Référence : Defense News (Etats-Unis)

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16 novembre 2014 7 16 /11 /novembre /2014 17:56
GIRO 2014 2e session

 

17/10/2014   CDEF/Comm

 

Placé sous la présidence du général Jean-Jacques Toutous, directeur du CDEF, et du général de corps d’armée (2S) Jean-Tristan Verna, vice-président Public Affairs France  d’AIRBUS GROUP, la seconde réunion du Groupe d’information et de réflexion opérationnelle (GIRO) rassemblant une soixantaine d’experts de l’industrie de défense, a eu lieu le 9 octobre dernier à l’École militaire.

 

Des officiers de l’État-major de l’armée de Terre, de la Section technique de l’armée de Terre et du Centre de doctrine d’emploi des forces, ont présenté des points de situation sur l’actualité de l’armée de Terre, un RETEX sur l’engagement des matériels de l’armée de terre en opérations et l’actualité doctrinale de l’armée de Terre. Une période d’échanges a conclu cette matinée d’information.

 

Qu’est-ce que le du Groupe d’information et de réflexion opérationnelle (GIRO) ?

 

Ce groupe réunit une centaine de membres œuvrant au sein de l'industrie de Défense nationale, auquel s’associent, en fonction des thèmes retenus pour les réunions, des représentants de l’État-major de l’armée de Terre (EMAT), du Commandement des forces terrestres (CFT), de la Section technique de l’armée de Terre (STAT), de la Structure intégrée du maintien en condition opérationnelles des matériels terrestres (SIMMT) ou du Centre interarmées de concepts, de doctrine et d’expérimentations (CICDE). Organisées par le Centre de doctrine d’emploi des forces (CDEF), les deux réunions annuelles du GIRO, ont pour but de faciliter les échanges d’information entre des représentants de l’armée de Terre et les industriels de Défense et de débattre sur des sujets d’intérêts communs.

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