8 oct. 2014 Royal Navy
This is an Interview with AB Allan during the simulation exercise known as "Thursday War" on board HMS Kent
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8 oct. 2014 Royal Navy
This is an Interview with AB Allan during the simulation exercise known as "Thursday War" on board HMS Kent
8 oct. 2014 Armée de l'Air
Le jeudi 2 octobre, deux avions Rafale ont effectué une nouvelle mission au-dessus de l’Irak, dans la région de Mossoul, au profit des forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste Daech. Il s’agissait de la première mission aérienne de nuit réalisée par les avions français depuis le lancement de l’opération Chammal.
Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste Daech.
Brussels - 06 October, 2014 European Defence Agency
On 2 October 2014, EU Commissioner for Enlargement and European Neighbourhood Policy Štefan Füle visited the European Defence Agency. He exchanged views with EDA Chief Executive Claude-France Arnould on Remotely Piloted Air Systems (RPAS) as well as EDA support to the defence industry in Central and Eastern Europe.
Particular attention has been paid to EDA activities in the field of SMEs, such as facilitated access to EU funds and information about cross-border opportunities. In this respect, Commissioner Füle appreciated the important share of EDA in consolidation of Central and Eastern Europe, namely with regard to the integration into the European Defence and Security System, including the full opening of the Single Market potential to the Central and Eastern European defence industry. As a good example, Commissioner Füle particularly welcomed EDA participation in the International Fair of Defence and Security Technology (IDET) in May 2015 as an important contribution to the dialogue with Central and Eastern Europe.
Speaking about the future, Commissioner Füle and Claude-France Arnould both emphasized the need to maintain a close dialogue between EDA and the new European Commission as well as the importance for EDA to play its part in the future EU external policy.
Brussels, 08 October 2014 141008/02
General Patrick de Rousiers, Chairman of the EU Military Committee, travels tomorrow to Beijing to hold the first EU-China Dialogue on Security and Defence. This mission, the first of its kind, stems from last March's visit by Chinese President Xi Jinping to the EU. It was agreed on that occasion – based on the good cooperation so far – to raise the level of EU- China dialogue and cooperation on defence and security.
The General is expected to hold meetings with Chinese Defence Minister Chang Wanquan and Chief of General Staff Fang Fenghui as well as give a speech at the PLA Defence University and participate in a roundtable with Chinese experts.
This initiative is part of the implementation of the EU-China 2020 Strategic Agenda for Cooperation agreed by both sides at the 2013 EU-China Summit.
08 octobre 2014 16h10 Romandie.com (AFP)
Mursitpinar (Turquie) - Des avions de la coalition ont de nouveau mené des frappes pour venir en aide aux forces kurdes combattant l'avancée des jihadistes dans la ville syrienne kurde de Kobané, une bataille qui provoque des émeutes meurtrières dans la Turquie voisine.
Au moins 14 personnes sont mortes dans le sud-est de la Turquie lors d'affrontements entre les forces de l'ordre et des manifestants kurdes dénonçant l'inaction d'Ankara contre les jihadistes.
Pour la première fois depuis plus de 20 ans, les autorités d'Ankara ont été contraintes d'imposer un couvre-feu strict dans six provinces du pays peuplées en majorité de Kurdes pour tenter d'y ramener le calme.
Les jihadistes sont entrés lundi soir, après près de trois semaines de siège, à Kobané, ville frontalière avec la Turquie, où ils combattent rue par rue les YPG (Unités de protection du peuple kurde), moins nombreuses et moins bien armées mais aidées par les frappes aériennes de la coalition américano-arabe.
De nouvelles frappes ont été menées mercredi, a rapporté une journaliste de l'AFP depuis la frontière turque. Immédiatement après la première d'entre elles, une épaisse fumée noire s'est élevée au-dessus d'une colline situé à l'est de la ville.
Grâce aux frappes, les YPG ont repoussé les forces de l'EI, avait affirmé mercredi matin Idriss Nahsen, un responsable local.
Mais ces bombardements n'ont pas suffi à empêcher les jihadistes de lancer une nouvelle offensive dans la matinée dans l'est de la ville.
De violents combats se produisent actuellement après que l'EI a lancé une offensive pour reprendre les zones qu'il avait perdues, a indiqué le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane.
Selon son ONG, au moins 412 personnes ont été tuées dans les combats, mais le bilan pourrait s'avérer bien plus lourd.
Le président américain, Barack Obama, doit rencontrer mercredi les commandants en chefs des forces armées et faire le point sur les frappes aériennes menées par l'armée américaine et les alliés en Irak et en Syrie.
- Des rues 'pleines de cadavres' -
Le son des obus de mortiers et des tirs nourris était audible depuis la frontière turque mercredi matin, selon une équipe de l'AFP sur place.
Mustafa Ebdi, militant et journaliste de Kobané, a affirmé sur son compte Facebook que les rues du quartier de Maqtala, dans le sud-est de la ville, étaient pleines des cadavres des combattants de Daesh, l'acronyme arabe de l'Etat islamique.
Mais des centaines de civils sont encore dans la ville, a-t-il ajouté, en précisant que la situation humanitaire devenait difficile car les gens ont besoin de nourriture et d'eau.
Il est très difficile d'évaluer le nombre de civils encore présents dans la ville, certaines sources faisant état d'une fuite totale de la population, tandis que d'autres, comme M. Ebdi, affirment qu'il reste des habitants.
Dans la nuit, selon Idriss Nahsen, 350 civils sont passés en Turquie, mais les services de renseignement turcs les ont interpellés, les soupçonnant de liens avec les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).
Ces civils sont pour l'instant retenus dans deux bâtiments dans un village à la frontière et vont être transférés vers les prisons des villes de Sanliurfa et Diyarbakir.
S'ils ne sont pas libérés, ils s'immoleront, a ajouté M. Nahsen, précisant qu'ils avaient déjà mis le feu à des couvertures dans la nuit.
- Dilemme turc -
Si les frappes aériennes ont quelque peu aidé les combattants kurdes à reprendre des positions aux jihadistes, elles ne suffiront pas à sauver la ville, ont mis en garde plusieurs experts. Une intervention de troupes au sol, arabes ou turques, Washington ayant exclu une présence autre qu'aérienne en Syrie, est seule à même de réellement inverser la tendance, souligne-t-on.
L'envoyé spécial des Nations unies en Syrie, Staffan de Mistura, a appelé à agir immédiatement pour sauver la ville des jihadistes. La communauté internationale a le devoir de la défendre. La communauté internationale ne peut pas tolérer qu'une nouvelle ville tombe aux mains de l'EI a-t-il lancé depuis Genève.
Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a plaidé mardi pour une opération militaire terrestre, mais le scepticisme demeure sur la possibilité de voir des troupes turques franchir la frontière.
Vous croyez que c'est dans leur intérêt', se demande ainsi une source gouvernementale française, soulignant le conflit non soldé d'Ankara avec sa propre minorité kurde.
Cela pourrait cependant être l'unique solution pour calmer la population kurde de Turquie, qui est descendue massivement dans les rues depuis lundi à l'appel de son principal parti politique.
Le conflit s'est également transporté en Allemagne, où des violences entre membres des communautés kurde et yazidi et des militants islamistes ont fait au moins 23 blessés dans le nord dans la nuit de mardi à mercredi.
08 octobre 2014 usinenouvelle.com
Airbus Group réfléchit à la vente aux institutions financières de 10% de Dassault Aviation, a déclaré le 7 octobre un porte-parole du constructeur aéronautique européen.
Airbus envisage de se désengager progressivement de Dassault Aviation. Dans un premier temps, il pourrait chercher à céder 10% de ses parts, selon un porte-parole de l'avionneur européen. Cette transaction serait la première étape vers une cession de la totalité des 46% détenus par Airbus dans Dassault Aviation.
La vente des 10%, si elle avait lieu, serait combinée à une réduction supplémentaire de la participation d'Airbus Group au moyen d'une participation à un rachat d'actions prévu par Dassault Aviation, a ajouté le porte-parole.
Le président d'Airbus Group, Tom Enders, avait déclaré en juillet que le désengagement d'Airbus n'était qu'une question de temps, refusant toutefois d'évoquer un calendrier précis. Le groupe Dassault a fait savoir pour sa part début septembre qu'il était prêt à racheter 10% des actions Dassault Aviation à Airbus Group dans le cadre du désengagement du groupe européen.
L’A400M a démontré sa capacité à larguer 24 conteneurs en une seule passe photo Nicolas Audouin DGA
7 octobre Aerobuzz.fr
L’Airbus A400M a démontré sa capacité à larguer plusieurs conteneurs du type généralement utilisé dans les opérations militaires et humanitaires. Les tests ont été effectués à Cazaux. 24 conteneurs d’une tonne chacun ont été largués en une passe. D’une dimension de 1,2 x 1,2 m, sont chargés en deux rangées à l’intérieur de la soute et libérés par gravité.
08/10/2014 - Pauline Décombe - Armée de l'Air
L’École des pupilles de l’air a participé au film documentaire « Orphelins de la Patrie » qui sera diffusé vendredi 10 octobre 2014 à 23h10 sur France 3.
« On évoque souvent les guerres du point de vue des hommes, rarement du point de vue des femmes et encore moins des enfants. La guerre frappe le soldat mais avec lui, c’est toute une famille qui se trouve endeuillée. Quant aux orphelins, ils sont marqués à jamais dans leur vie, portant en eux les conséquences de cette perte brutale.
Par la voix des pupilles de la Nation, le film « revisite » un siècle d’histoire française à travers ses guerres les plus marquantes. » (Extrait du CP de France 3)
Ainsi, en novembre 2013, Sophie Bredier, réalisatrice et documentariste, est venue à l’Ecole des pupilles de l’air avec son équipe de tournage afin d’en apprendre plus sur les pupilles de la Nation.
Un ancien élève, Pupille de la Nation, est revenu également à l’École pour témoigner de son parcours et de son expérience à l’EPA.
A l’origine, ce lycée de Défense de l’armée de l’air est créé dans le but d’accueillir les orphelins de l’aviation, dont les pères sont tombés au combat. Encore aujourd’hui cette vocation historique demeure puisque l’EPA accueille chaque année des orphelins (environ 10% des effectifs du collège et du lycée en 2014-2015), parmi lesquels des Pupilles de la Nation.
Note RP Defense : voir Ecole des Pupilles de l'Air
RAF Tornado GR4's departing RAF Akrotiri Cyprus in support of OP SHADER - photo RAF
08 October 2014 Royal Air Force
Tornado GR4 aircraft have completed another round of air strikes in Iraq overnight.
The Royal Air Force aircraft have flown further missions to assist the Iraqi government in its fight against ISIL.
Last night, 2 Tornado GR4s were tasked to support the Iraqi Army. Brimstone missiles and Paveway IV guided bombs were used to conduct a successful precision attack on ISIL terrorists who were firing on Iraqi troops from a stronghold near Ramadi.
Last night’s air strike was the latest in a series of strikes as part of the international coalition’s operations to support the democratic Iraqi government in the fight against ISIL.
08/10/2014 Armée de l'air
Vendredi 3 octobre 2014, une convention a été signée entre la société COFELY INEO et la direction des ressources humaines de l’armée de l’air (DRHAA).
Deux officiers supérieurs de l'armée de l'air seront bientôt immergés au sein de cette société à raison d’une semaine par semestre pendant trois ans.
Il s’agit de l’un des premiers partenariats avec une entreprise extérieure à la Défense. Il a été baptisé « réserve inversée » en raison des périodes d’immersion en entreprise qui s’apparentent aux périodes de réserve instaurées dans les unités militaires.
Ces officiers participeront à la vie de l’entreprise et seront totalement intégrés à ses activités. Un tuteur leur sera assigné afin de faciliter leur immersion, leur permettre d’apporter une expertise au sein de l’entreprise et de les former aux spécificités du domaine d’activité concerné.
07 Octobre 2014 par Julien L - numerama.com
Le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian considère que la France se dotera un jour d'une quatrième armée cyber, en plus de ses forces pour la terre, la mer et l'air. Dans ce domaine, le pays a commencé à prendre des mesures dans ce domaine et a lancé la mise en chantier d'un centre d'excellence de cyberdéfense .
Après la terre, la mer et l'air, les forces armées françaises seront-elles dotées d'un nouveau corps d'armée à part entière, destinée à agir sur le cyber, dans la mesure où celui-ci est de plus en plus considéré comme un nouveau champ de bataille en devenir ? C'est ce que pense Jean-Yves Le Drian, l'actuel ministre de la défense. À ses yeux, la France aura un jour une force militaire cybernétique.
Menace contre le fonctionnement du pays
Invité ce dimanche sur RTL dans l'émission Le Grand Jury, le ministre a notamment mentionné les dangers que représentent les attaques informatiques sur les systèmes de contrôle et d'acquisition de données, qui gèrent par exemple la distribution de l'électricité et de l'eau, et sur d'autres secteurs stratégiques d'une nation, allant de la santé aux transports, en passant par l'énergie, l'économie, etc.
"Ce que je voudrais vous dire, c'est que les risques concernant le démantèlement ou la pénétration de nos systèmes informatiques sont de plus en plus réels. C'est une menace contre le fonctionnement de notre pays. Il suffirait de s'introduire dans le dispositif qui organise l'électricité ou qui organise le système ferroviaire pour entraîner une perturbation très lourde".
"Mais ça peut aussi avoir des conséquences sur notre système de commandement et d'armement. Donc il faut s'organiser désormais pour lutter contre les cybermenaces. Lorsqu'il y a eu la loi de programmation militaire antérieure [...], cette question n'était quasiment pas vraiment posée. Depuis cinq ans, on assiste à des menaces, à des tentatives que ce soit par des États ou des groupes terroristes".
Le virage du livre blanc 2013
À partir du livre blanc sur la défense et la sécurité nationale de 2008, la France a commencé à considérer le cyber comme un nouveau champ de bataille en train d'émerger. Mais l'évolution de la doctrine militaire française n'a véritablement eu lieu qu'avec l'édition 2013 du livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, avec la décision de faire de la cyberdéfense une priorité nationale.
La France s'autorise ainsi à la "lutte informatique offensive et, outre des exercices dédiés comme PIRANET 2012, elle a validé la création d'un corps de réservistes spécialisés, a mis en place l'agence ANSSI et a rejoint un centre de l'OTAN dédié à la cyberdéfense.
Terre, mer, air et cyber
"Donc il faut se prémunir. Et c'est pourquoi, dans la loi de programmation [...], il y a sur toute la période un milliard d'euros consacrée à la lutte contre les cybermenaces et pour assurer notre cybersécurité. C'est la menace de demain. Demain, je pense qu'il y aura quatre armées : terre, mer, air et cyber. Parce que c'est un enjeu", a ajouté le ministre de la défense.
Ce lundi, Jean-Yves Le Drian a réaffirmé cette opinion lors d'une visite destinée à faire le bilan de l'exercice DEFNET 2014. "Imaginez, un calculateur de tir qui tombe en panne au moment de riposter à un raid d'avions adverses ! [...] L'enjeu est tellement fort, selon Jean-Yves Le Drian, tellement inter-armées, que dans les années qui viennent, ce sera sans doute aussi fort qu'une armée", cité par Le Télégramme.
Si l'armée française dispose de certaines compétences, notamment dans la guerre électronique, il lui faut désormais recruter de nouveaux talents. Il est ainsi question d'embaucher 400 ingénieurs de haut niveau ainsi que 200 "cyber-experts".
Saint-Cloud, le 7/10/2014 : Dassault Aviation
Vendredi 3 octobre, l’usine Dassault Aviation de Mérignac a livré à la Direction générale de l’armement (DGA) le Rafale M10, premier exemplaire d’une tranche de dix Rafale Marine rétrofités.
Ces dix Rafale (M1 à M10) ont été produits à partir de la fin des années 90 pour remplacer les F-8 Crusader qui assuraient la protection aérienne du groupe aéronaval depuis 1964. Ce remplacement ne pouvant attendre la mise en service des standards polyvalents F2 et F3, les dix Rafale Marine furent dotés d’un standard basique, dit F1, limité aux seules missions de supériorité et de défense aérienne.
Tous les autres Rafale de la Marine (et de l’armée de l’Air) sont actuellement au standard F3. Ceux qui avaient été produits au standard F2 ont été transformés facilement en F3. Le passage de F1 à F3 est plus complexe et nécessite un programme spécifique. Un marché de rétrofit a donc été conclu en 2009 qui associe Dassault Aviation, Thales, MBDA, Sagem, le Service Industriel de l’Aéronautique (SIAé) et la Marine nationale.
Le passage du standard F1 au standard F3 suppose les modifications suivantes :
La livraison des Rafale Marine rétrofités s’étalera jusqu’en 2017.
Le standard F3 confère au Rafale (Marine et Air) une polyvalence totale qui lui permet d’accomplir les missions suivantes :
Sur les 180 Rafale commandés par la France à ce jour, 133 ont été livrés. Facteur d’optimisation et de rationalisation des forces françaises, le Rafale a été conçu pour remplacer peu à peu sept types d’avions de combat de générations précédentes. Selon le Livre Blanc sur la Défense et la Sécurité Nationale (2013), il y aura à terme 225 avions de combat dans l’armée de l’Air et dans la Marine, contre près de 700 dans les années 90.
La flotte Rafale totalise actuellement 120 000 heures de vol, dont 16 000 en opérations. Depuis mi-2013, les Rafale de série sont dotés du radar à antenne active RBE2 AESA de Thales. Depuis son entrée en service, le Rafale a été utilisé sur tous les théâtres d’opération : Afghanistan, Libye, Mali, Centre-Afrique et Irak.
07 October 2014 by Kim Helfrich - defenceWeb
When this year’s Exercise Ibsamar starts in False Bay it will be the first time the Type 209 submarine, SAS Manthatisi, will be operational again after six years being out of service.
The submarine, pennant number S101, was seen at sea over the weekend. A SA Navy spokesman in Simon’s Town confirmed she was busy with sea acceptance trials following the successful conclusion of harbour acceptance trials.
“SAS Manthatisi will be a participant in Ex Ibsamar IV which starts on October 20,” he said.
She was the first of three submarines acquired by the maritime arm of service of the SA National Defence Force (SANDF) as part of the 1999 Strategic Defence Procurement Package (SDPP). Also known as the Arms Deal, this acquisition, the single largest government spend since democracy in 1994, is currently the subject of a Presidentially appointed commission looking into allegations of bribery, corruption and other impropriety.
Manthatisi was taken out of service in 2007 due to what was at the time reported to Parliament as damage to the boat’s electrical system when “someone” connected the submarine to its high voltage shore service the “wrong way round”.
While out of the water Manthatisi has undergone a total refit and maintenance overhaul, including fitment of new batteries costing more than R250 million. The refit and maintenance work was all done in the Simon’s Town dockyard and will serve as a benchmark for future similar work on the Navy’s other two submarines – SAS Charlotte Maxeke (S102) and SAS Queen Modjadji (S103).
She was originally expected to be put back into the water in May but a delay in the delivery of certain spare components saw this deadline missed. Manthatisi, under the command of Commander Russell Beattie, successful completed harbour acceptance trials before starting her sea trials.
“Sea acceptance trials will only commence once the Navy is satisfied all harbour acceptance trials have been completed to rigorous Navy standards,” Commander Greyling van den Berg said while the submarine was busy with the first stage of becoming fully seaworthy again.
Exercise Ibsamar will see collective training for the Brazilian, Indian and South African navies taking place off the Western Cape from October 20 to November 7. False Bay, Lamberts Bay, Jacobs Bay and Cape Agulhas have, at this stage, been identified as points where specific parts of the exercise will be conducted.
“Building inter-operability and mutual understanding among all three participating navies is the main objective,” the spokesman said.
8-10-2014 Par RFI
Un sommet régional de chefs d'Etat africains pour lutter contre Boko Haram s’est achevé, ce mardi 7 octobre, à Niamey. Il réunissait, autour du président nigérien Mahamadou Issoufou, les présidents du Nigeria, du Tchad et du Bénin. Le Cameroun était représenté par son ministre de la Défense. Les participants se sont mis d'accord sur un certain nombre de mesures pour renforcer la sécurité dans la région du lac Tchad et pour une meilleure coordination des efforts.
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07 October 2014 by Guy Martin - defenceWeb
Paramount Advanced Technologies will start development work on a light medium-altitude long-endurance unmanned aerial vehicle (MALE UAV) next year, after expanding its unmanned aircraft range with the recently launched Mwari and Roadrunner platforms.
The new UAV will weigh between 500 and 600 kilogrammes and will have an endurance of up to 24 hours, Paramount officials said after unveiling the Mwari and Roadrunner small UAVs at the Africa Aerospace and Defence (AAD) 2014 exhibition at Air Force Base Waterkloof.
The 25 kg Mwari is based on a scaled down model of the Advanced High Performance Reconnaissance Light Aircraft (AHRLAC). Paramount used experience gained with its quarter scale unmanned flying AHRLAC model to produce the Mwari.
Jan Vermeulen, Business Development at Paramount Advanced Technologies, said that the company finished producing two Mwari prototypes a couple of months ago ahead of the type’s launch at AAD. He added that several potential customers have expressed interest in the type, which features a sensor turret in the nose. Endurance is four hours and line of sight range is 40 km.
The new Roadrunner UAV was designed with a rhomboid wing for high strength and compact dimensions – wingspan of the 15 kg aircraft is 1.5 metres. Vermeulen said the configuration gives a high speed range, making it less susceptible to bad weather. The UAV will be available in a variety of different engine configurations for speeds ranging from 70 to 300 km/h depending on whether petrol, electric or jet engines are used. An electric engine will give an endurance of 45 minutes while a fuel engine will provide a range of around two hours. Vermeulen said the aircraft has flown with turbine, propeller and ducted fan engines and that the next stage is to fly with a petrol propeller engine.
The Roadrunner is launched by catapult and either stalled and landed on its belly or caught via a net. Sensors include an infrared camera and electro-optical sight. The aircraft will be ready for production around January 2015, according to Paramount.
Also showcased at AAD 2014 were some of Paramount Advanced Technologies’ other UAVs, which were developed from experience gained by the acquisition of Advanced Technologies and Engineering (ATE). The 5 kg Civet tactical UAV is powered by an electric motor giving an endurance of one hour and a line of sight range of 15 km. The aircraft is already in service in Namibia’s national parks and with surveying companies. The Civet, Roadrunner and Mwari all share the same payload.
Vermeulen said that that Paramount Advanced Technologies acquired 30 years of UAV experience from ATE and is aggressively expanding its unmanned aircraft systems portfolio. An important part of the company’s strategy is to develop unique software and payloads that enhance platform effectiveness, such as software that can automatically detect and track targets and notify the operator, so he does not have to look at his screen all the time.
Paramount aims to integrate its unmanned vehicles with its various air, land and sea products for a better combined solution. Its recently launched Robotics division is exploring unmanned ground, sea and subsurface vehicles using common hardware and software. On the ground vehicle side, Paramount is exploring the use of unmanned vehicles for threat detection with the possibility of having a robotic sensor/prodder to deal with improvised explosive devices.
Le président Vladimir Poutine devra trancher entre le ministère de l'Economie et celui de la Défense sur l'enveloppe budgétaire consacrée à la modernisation de l'armée russe.
07/10/2014 latribune.fr
Le ministre russe des Finances, Anton Silouanov, veut faire des économies sur le montant budgétaire consacré à la défense.
C'est un classique dans tous les pays, les bisbilles budgétaires entre le ministère de l'Economie et celui de la Défense. C'est aussi le cas en Russie... "Moscou n'a pas les moyens de financer son programme de modernisation des forces armées", a déclaré ce mardi le ministre russe des Finances, Anton Silouanov. "Un nouveau programme de défense va être élaboré, et nous voulons reconsidérer le montant des ressources budgétaires qui y seront consacrées afin de le rendre plus réaliste", a-t-il expliqué.
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06/10/2014 Par Vladimir Fiodorov, la Voix de la Russie-RIA Novosti
Les exercices militaires tactiques Indra-2014 ont servi à enrichir l'expérience commune russo-indienne de la lutte contre le terrorisme.
C'est ainsi que des experts russes ont commenté la portée des exercices conjoints dans la région de Volgograd (sud de la Russie).
Les militaires russes et indiens se sont entraînés en commun à détecter, bloquer et neutraliser des commandos et groupes de terroristes. A cette fin, une localité comptant une cinquantaine de maisons a été spécialement construite dans un polygone militaire. 15 cibles mobiles (véhicules) et 30 imitations de terroristes qui tirent y ont été installées. Des actions en zone boisée ont été également entraînées.
Le général Birbal Singh Jahar, commandant d'une brigade indienne d'infanterie motorisée, qui commandait les exercices est content de leurs résultats. Les exercices conjoints permettent d'apprendre les uns des autres et quand il faudra liquider des terroristes, nous pourrons le faire avec succès, a-t-il noté.
L'indologue Piotr Topytchkanov estime que pour l'Inde la menace de terrorisme est non seulement réelle, mais aussi grandissante. D'où l'importance d'Indra-2014 pour le maintien de la sécurité intérieure:
"Les scénarios joués pendant les exercices témoignent que l'Inde prend très au sérieux les menaces d'attentats terroristes dans les villes, grandes comprises. Il ne s'agit pas seulement du Cachemire et des groupes terroristes dont on parle en Inde qu'ils sont sponsorisés par le Pakistan. Il s'agit d'une nouvelle génération de djihadistes d'origine indienne sympathisant avec les combattants de l'Etat islamique. A l'heure actuelle ils sont partis pour l'Irak et la Syrie. Mais un jour ils rentreront et tenteront de créer quelque chose de semblable sur le territoire de l' Inde. Alors les Etats à la majorité musulmane seront les plus vulnérables. Ceux qui combattent actuellement en Irak et en Syrie ont des liens avec Al-Qaïda, sympathisent avec les organisations et mouvements djihadistes de par le monde et ils recruteront les musulmans sous leurs drapeaux dans les Etats en question."
Des vidéos ont été publiées sur Internet renfermant les menaces à l'Inde d'opposer les musulmans et d'autres croyants. Il y a également la menace de déplacement des opérations de l'Etat islamique dans le sud de la Russie. Le politologue et islamologue Alekseï Malachenko signale:
"S'il y a une menace internationale, le djihad global, il doit y avoir une réponse aussi globale. En tout état de cause, la communauté mondiale doit au moins coordonner ses efforts et, mieux encore, s'unir. Pour le moment une telle cohésion fait défaut. Mais il y a une petite coalition qui intervient en Irak et en Syrie. Il y a aussi des contacts bilatéraux très étroits entre la Russie et l'Inde, le Kazakhstan, la Géorgie, l'Azerbaïdjan et certains autres pays. A cet égard, la coopération entre l'Inde et la Russie est très utile. D'autant plus que Moscou et New Delhi possèdent déjà une riche expérience de lutte contre les extrémistes."
La version navale d'Indra-2014 visant à faire face au terrorisme et à la piraterie a eu lieu en été à Vladivostok, en Extrême-Orient russe. Il y a un mois, l'Inde et la Russie ont organisé des exercices aériens Avianindra-2014. Le deuxième étape est prévu pour le mois de novembre en Inde.
7 oct. 2014 New Zealand Defence Forces
Members of the Royal New Zealand Artillery called in support from NH90 helicopters during Exercise Ben Cat. 161 battery usually move their howitzer guns into place using trucks, but the powerful NH90 gives them wider access to difficult terrain and gets them into the battle far quicker.
Prior to the NH90, the Iroquois’ were used for moving the guns, but this was a significantly longer process as each gun had to be dismantled and transported in a few pieces due to their weight.
A U.S. Navy mine hunting unmanned surface vehicle. (Northrop Grumman)
ANNAPOLIS, Md., Oct. 7 By Richard Tomkins (UPI)
The U.S. Navy and Northrop Grumman had demonstrated mine-hunting capabilities in the Gulf using a Navy unmanned vessel and a company sensor system.
Northrop Grumman has successfully demonstrated its mine detecting sensor system for the U.S. Naval Forces Central Command in Manama, Bahrain.
The demonstration was performed with the Mine Hunting Unmanned Surface Vehicle, or MHU, in the Arabian Sea and highlighted the capabilities of the vessel with the sensor system.
"We are encouraged by the progress made with MHU 1 and 2 in 5th Fleet," said Capt. David Honabach, PMS 406 Unmanned Maritime Systems program manager, U.S. Navy. "We are also pleased that we could successfully demonstrate this capability to a key coalition partner in the Arabian Gulf region and look forward to Flight 2 Mine Hunting Unmanned Surface Vehicles for future success."
Added Tom Jones, vice president, Undersea Systems, Northrop Grumman: "This Navy demonstration, along with the continued investments we are making across the USV and mine-hunting technology spectrum, demonstrate that Northrop Grumman is committed to assisting the Navy and our coalition partners in defeating the maritime mine threat while keeping sailors out of the minefield."
Northrop Grumman said the demonstration involved the remote-controlled MHU executing a preplanned mission by transiting to an operational area, deploying the AQS-24A, conducting a search pattern and then recovering the sensor. Sensor sonar data were sent in real time using a tactical data link to a command-and-control station.
Additional details of the demonstration were not disclosed.
October 8th, 2014 By MBDA - defencetalk.com
A number of highly skilled technology jobs have been protected across the country thanks to a £40 million contract to support the Royal Air Force’s (RAF) air-to-air missile system.
The contract with MBDA, which designed and manufactured the Advanced Short-Range Air-to-Air Missile (ASRAAM), will provide support infrastructure and maintenance for the weapon for the next five years.
The deal will sustain multiple positions at the company’s factories in Stevenage, Hertfordshire, Greater Manchester and Bedfordshire and will ensure the effectiveness of these highly agile air-to-air missiles which equip the UK’s Air Quick Reaction Alert aircraft, who are responsible for protecting UK airspace as well as on operations in the Gulf and Libya.
Minister for Defence Equipment, Support and Technology Philip Dunne MP said:
“This contract is more positive news for MBDA and the United Kingdom’s Complex Weapons sector. It will sustain a number of highly skilled jobs and is another example of the Ministry of Defence’s continuing commitment to British technology.
“ASRAAM continues to provide the Royal Air Force with crucial battle-winning capability for Within Visual Range combat missions. This contract will enable MBDA to maintain the skills required to ensure that the RAF continues to perform at its very best on operations.
Background Information
The contract with MBDA represents the second phase of a joint project between MOD and the company to determine whether this approach to providing in-service support could provide significant benefits over the next five years.
8 October 2014 BBC News
The Canadian parliament has voted to authorise the country's armed forces to join US-led air strikes against Islamic State (IS) militants in Iraq.
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07 octobre 2014 Romandie.com (AFP)
Niamey - La force régionale mise en place pour lutter contre le groupe armé islamiste nigérian Boko Haram entrera en action en novembre, ont décidé les chefs d'Etats du Nigeria et des pays voisins au terme d'un sommet mardi à Niamey.
L'établissement de l'Etat-major de cette force sera accéléré de façon à le rendre opérationnel avant la fin du moins de novembre, quand les bataillons dédiés au combat contre Boko Haram seront déployés dans les mêmes délais à nos frontières respectives, a déclaré le président nigérien Mahamadou Issoufou dans son discours de clôture de cette rencontre.
Quelque 700 soldats des armées du Niger, du Nigeria, du Tchad et du Cameroun composeront cette force régionale dont la création avait été décidée en juillet. La contribution du Bénin, invité au sommet, n'est pas encore connue.
Dans un communiqué conjoint, les chefs d'Etat de ces pays ont même fixé la date de mise en place des contingents militaires au 1er novembre, quand l'Etat-major devra fonctionner au 20 novembre.
Les présidents Goodluck Jonathan (Nigeria), Idriss Déby (Tchad) et Thomas Boni Yayi (Bénin) étaient présents mardi à Niamey à l'invitation de leur homologue nigérien.
Le chef de l'Etat camerounais Paul Biya, dont le pays, frontalier du Nigeria et des zones d'action de Boko Haram, est le premier concerné par la montée en puissance du groupe islamiste, était représenté par son ministre de la Défense Edgard Alain Mebe Ngo'o.
Les pays concernés se réunissent régulièrement depuis le sommet de Paris en mai pour tenter de coordonner la lutte contre Boko Haram, qui contrôle des pans entiers de territoires du nord-est du Nigeria. La dernière réunion de ce genre, au niveau ministériel, s'était tenue au Nigeria début septembre.
Ces échanges se tiennent dans le cadre de la Commission du bassin du lac Tchad, une organisation régionale dont la réactivation avait été décidée à Paris. Le Bénin, qui n'est -- voisin du Niger et du Nigeria -- a été invité à participer bien qu'il ne soit pas membre de la Commission.
Le conflit entre Boko Haram et les forces de sécurité nigérianes a fait plus de 10.000 et 700.000 déplacés en cinq ans.
MOSCOU, 7 octobre - RIA Novosti
Quarante observateurs se rendront dimanche en Ukraine pour compléter la mission spéciale d'observation (MSOU) déployée dans ce pays par l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe, a annoncé mardi l'OSCE sur sa page Twitter.
"Le nombre d'observateurs de la MSOU va bientôt atteindre 500 personnes. Nous attendons dimanche l'arrivée de 40 nouveaux observateurs", lit-on dans le message Twitter.
Le président ukrainien Piotr Porochenko a antérieurement demandé à l'OSCE de porter le nombre d'observateurs internationaux à 1.500 personnes.
Créée pour superviser la situation en Ukraine, en particulier dans l'est du pays, la mission de l'OSCE a commencé ses activités en mars dernier. Le chef de la MSOU, Ertugrul Apakan, a déclaré mi-septembre qu'au cours des deux prochains mois, les effectifs de la mission atteindraient le nombre de 500 personnes prévu par le mandat.
Le Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous. Photo ONU Paulo Filgueiras
07 octobre 2014 Romandie.com (AFP)
Bamako - Le chef des opérations de maintien de la paix de l'ONU, Hervé Ladsous, a annoncé mardi que les Casques bleus au Mali allaient durcir leur dispositif, après une série d'attaques, dont la dernière, le jour même, a coûté la vie à un militaire sénégalais.
M. Ladsous avait assisté mardi dans la matinée à Bamako à un hommage à neuf membres du contingent nigérien de la Mission de l'ONU au Mali (Minusma) tués le 3 octobre dans la région de Gao (nord-est du pays) dans une attaque dont les auteurs, a-t-il affirmé, seront châtiés, seront poursuivis, payeront l'ignominie des actes qu'ils ont commis.
Ça n'est plus un contexte de maintien de la paix. Ça nous impose évidemment de prendre toute une série de mesures qui sont déjà décidées, qui sont en train d'être appliquées pour durcir nos bases, durcir nos protections, a-t-il indiqué lors d'une conférence de presse dans la soirée.
Nous sommes en train de déployer davantage d'engins contre les mines, contre les explosifs, de faire venir davantage de véhicules blindés, a-t-il ajouté, assurant avoir fourni au Tchad, qui menaçait de retirer ses troupes après avoir perdu 10 soldats en septembre, les assurances qu'il souhaitait, notamment sur les rotations des troupes.
J'ai déjà également commencé à prendre les dispositions pour déployer au-dessus du ciel malien des drones de surveillance aérienne de longue portée, a précisé M. Ladsous, souhaitant un renforcement de la coopération avec les militaires français de l'opération Barkhane.
Au même moment, un Casque bleu sénégalais était tué par des tirs de roquette contre le camp de la Minusma à Kidal (extrême nord-est), a indiqué à l'AFP un responsable de la force de l'ONU dans la région, faisant état aussi 'un blessé léger.
Six à sept explosions ont été entendues, mais cinq roquettes tirées sur le camp, selon la même source.
Selon des sources militaires et diplomatiques, ces dernières violences avaient été précédées de menaces d'un chef jihadiste malien, Iyad Ag Ghali, fondateur d'Ansar Dine, un des groupes liés à Al-Qaïda ayant contrôlé pendant près d'un an le nord du Mali, avant d'être dispersés par une intervention militaire lancée à l'initiative de la France en janvier 2013.
L'attaque contre le convoi du contingent nigérien dans la région de Gao, au sud de Kidal, avait été revendiquée par un autre jihadiste malien, proche du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), un des groupes qui composaient cette coalition islamiste.
- Neuf soldats décorés à titre posthume -
Les neuf soldats nigériens tués ont été décorés à titre posthume lors d'un hommage en présence des autorités maliennes, dont les ministres de la Défense Ba Ndao et des Affaires étrangères Abdoulaye Diop, mais aussi des responsables de la Minusma et de l'opération Barkhane.
Je voudrais vous dire à quel point nous avons vécu, depuis New York, l'intensité de cette tragédie, une tragédie qui vient après de nombreuses autres. Ce ne sont pas moins de 30 Casques bleus qui ont fait le sacrifice de leur vie depuis le début de la Minusma, déployée en juillet 2013, a rappelé M. Ladsous.
En même temps, il faut que tous les groupes armés qui se trouvent dans le nord du pays se tiennent à leur parole, se conforment aux engagements qu'ils ont pris (...) pour faire en sorte que le nord du Mali retrouve la paix civile, a-t-il ajouté.
Le gouvernement malien et six mouvements armés du Nord - notamment les groupes armés touareg - ont signé en juillet à Alger une feuille de route des négociations pour ramener la paix et sont engagés depuis septembre dans un deuxième round de discussions, qui n'ont cependant permis pour l'heure aucune avancée notable.
A la fin de la cérémonie, les cercueils ont été transportés dans un véhicule de l'ONU vers l'aéroport de Bamako pour être acheminés à Niamey.