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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 19:55
La DGA qualifie la version 32 tonnes du VBCI

 

02/10/2014 DGA Actualité

 

La direction générale de l’armement (DGA) a prononcé la qualification de la nouvelle version du VBCI le 24 septembre 2014. Cette nouvelle version affiche un poids total autorisé en charge (PTAC) de 32 tonnes, contre 29 tonnes pour la version initiale.

 

L’augmentation du PTAC permet de répondre aux menaces les plus dures des théâtres d’opération de l’armée de terre avec l’amélioration de la protection du véhicule (augmentation de la protection contre les mines, les IEDs, les roquettes, etc.), mais aussi de préserver l’évolutivité du véhicule et de permettre son adaptation aux besoins futurs.

 

La DGA qualifie la version 32 tonnes du VBCI

 

La qualification est le résultat d’essais indispensables pour garantir la sécurité et les performances du véhicule. Ainsi, pendant 18 mois, les  prototypes 32 tonnes ont franchi de nombreux obstacles et parcouru les pistes spéciales de la DGA, sablonneuses de Biscarosse, boueuses de Coëtquidan et Fontevraud, rocailleuses de Canjuers, enneigées de Valloire.

 

Le VBCI a été projeté en Afghanistan et au Liban en 2010, au Mali en début d’année 2013 et en République centrafricaine en 2014 où il a à chaque fois parfaitement rempli les missions qui lui étaient assignées à la grande satisfaction des troupes engagées.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 19:45
Sangaris: point de situation du 2 octobre 2014

 

 

02/10/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Point de situation du 2 octobre sur les opérations de la force Sangaris en Centrafrique

 

Les effectifs de la force Sangaris sont de l’ordre de 2 000 soldats.

 

La situation sécuritaire est restée globalement calme cette semaine en République centrafricaine (RCA), en dehors d’actions de criminalité à Bangui, et d’un pic de violence dans la ville de Bambari.

 

 A Bangui, lors d’une patrouille commune avec des unités de police constituées de la MINUSCA le 26 septembre, l’arrestation d’individus armés de grenades a soulevé un début d’émeutes et de prises à partie dans la région de PK5, auxquelles la force a mis fin en ripostant. En fin de journée, les forces de sécurité intérieures appuyées par la force Sangaris ont arrêté des groupes armés qui progressaient dans le même secteur et incendiaient des maisons en réaction à des actes de brigandage. Ces incidents sont restés sans suite et ont montré, par leur manque d’ampleur et leur rapide cloisonnement, la bonne réactivité des forces de sécurité centrafricaines et le peu de soutien de la population à ces groupes armés.

 

A Bambari, la force Sangaris ainsi que la MINUSCA ont été prises à partie le 1er octobre par des groupes lourdement armés qui cherchaient à attaquer le camp de l’ONU. Dans le même temps, la force Sangaris a dû s’interposer en protection de la population au Sud de la ville, alors qu’un autre groupe armé la menaçait. L’action combinée des forces Sangaris et de la MINUSCA ont contraint ces différents groupes à se replier. Dans leur retrait, ces derniers ont pillé deux sites d’organisations non gouvernementales qui apportent des soins sur le camp de réfugiés. Le calme a été rétabli dans la zone.

 

 

Sangaris: point de situation du 2 octobre 2014

 

Cette tension illustre la fragilité de la situation dans l’Est du pays, liée à la fois à des conflits interconfessionnels, à des tensions au sein du mouvement ex-Séléka, et à l’imbrication de différentes communautés.  Cette situation a amené la force Sangaris à engager une ré-articulation de son dispositif, dont le centre de gravité sera progressivement ramené l’Est du pays ainsi que dans le couloir central.

 

Dans l’ensemble du pays, la force Sangaris poursuit son action en appui de la MINUSCA et des forces de sécurité intérieures (FSI).

 

La force de l’ONU poursuit sa montée en puissance : des forces burundaises ont ainsi rejoint Sibut le 26 septembre et le dispositif congolais à Boda devrait être rapidement renforcé, ouvrant la perspective d’un désengagement de la force Sangaris à Boda dans les jours à venir. Dans l’Ouest, la force Sangaris prépare également son désengagement de Bossangoa.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 16:55
L’ALAT, une arme singulière

 

01/10/2014 LTN Valérian Fuet et LTN Hélène Facchin - Armée de Terre

 

Derrière les appareils emblématiques qui fascinent tous les publics, existe une composante de l’armée de Terre dont l’organisation et les traditions sont parfois méconnues. Son 60e anniversaire offre l’occasion d’en savoir plus sur cette arme, devenue aujourd’hui incontournable.

 

L’ALAT de combat compte plus de 150 hélicoptères répartis au sein de trois régiments d’hélicoptères de combat (RHC) auxquels il faut rajouter un régiment d’hélicoptères des forces spéciales et un détachement à Djibouti.  À ces garnisons s’ajoutent les centres de formation et des unités principalement spécialisées dans le soutien et la logistique (9e bataillon de soutien aéromobile, escadrille avions de l’armée de Terre…). Pour accomplir ses missions, l’ALAT s’appuie sur près de 4 800 hommes et femmes. Dix personnes en moyenne sont nécessaires pour permettre à un hélicoptère de voler. Pilotes et personnel navigant ne représentent qu’un quart des effectifs de l’ALAT.

 

Le bleu de leur couvre-chef

Comme toute composante de l’armée de Terre, l’ALAT possède ses propres traditions. Outre un insigne ailé surmonté d’une étoile, le principal signe distinctif du personnel réside dans le bleu de son couvre-chef. Royal, azur ou cobalt, il symbolise le terrain de prédilection de l’ALAT, la troisième dimension. Pour renforcer ce lien au ciel, l’arme a choisi sainte Clotilde pour patronne, en 1995. Épouse de Clovis, la légende veut que ce soit grâce à ses prières que son époux a été victorieux à Tolbiac, en submergeant l’ennemi sous le feu du ciel. Un mythe qui inspirera également la devise des aérocombattants : « De la Terre par le ciel ».

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 16:55
COSMOS arrive officiellement sur la BA 942

 

01/10/2014 Armée de l'air

 

Le vendredi 19 septembre 2014, le centre opérationnel de surveillance militaire des objets spatiaux (COSMOS) a pris officiellement place au sein du commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA) sur la base aérienne 942 de Lyon Mont-Verdun.

 

Cette nouvelle unité reprend les missions de la division surveillance de l’espace (DSE). Le COSMOS est donc en charge de l’établissement et de l’exploitation de la situation spatiale au profit des opérations aériennes. Il vient donc en appui des forces pour le rythme des opérations, la précision et l’efficacité des missions avec l’intégration de moyens tels que la veille spatiale, la détection, l'analyse et l'orientation des capteurs.

 

Par ailleurs, il concourt à la protection des populations face aux rentrées atmosphériques à risques (RAR) en développant une capacité d’anticipation des événements spatiaux majeurs. Enfin, il offre ses services à la communauté spatiale internationale et au secteur privé.

 

Pour répondre à ces missions, le CDAOA dispose d’une capacité nationale de détection et de suivi des gros objets en orbite basse (entre 400 km et 1000 km) grâce au radar GRAVES. Cette capacité est complétée par les radars SATAM qui permettent d’affiner la trajectoire des objets détectés par GRAVES.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 16:54
 photos R. Pellegrino ECPAD

photos R. Pellegrino ECPAD

 

01/10/2014 Economie et technologie

 

À l'occasion de l'annonce de la création d'une centaine d'emplois supplémentaires chez Sagem à Fougères (Ille-et-Vilaine), le ministre de Défense, Jean-Yves Le Drian, a visité les locaux et rencontré les salariés de l'entreprise lundi 29 septembre. L'entreprise fougeraise Sagem, créée en 1970, va connaître sa cinquième reconversion d'ampleur pour se spécialiser comme véritable équipementier aéronautique. Filiale du groupe Safran, elle va désormais s’occuper des calculateurs des moteurs d'avions civils et militaires qui viendront s'ajouter à l'activité actuelle de cartes électroniques.

Le ministre de la Défense a visité les locaux de Sagem à Fougères
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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 16:50
OTAN : le Jean Bart participe à l’exercice de guerre électronique « NEMO 2014 »

 

01/10/2014 Sources : Etat-major des Armées

 

Du 22 au 26 septembre 2014, la frégate antiaérienne (FAA) Jean Bart a participé à l’exercice de guerre électronique NEMO (Nato Electronic Magnetic Operations) organisé par l’OTAN au large de Tarente, en Italie.

 

Organisé l’an dernier à Toulon par FRMARFOR (French Maritime High Readiness Force - Force aéromaritime française de réaction rapide), cet entraînement international a rassemblé des bâtiments de combat venant d’Italie, d’Espagne, de Grèce, de Turquie et de France.

 

Cet exercice a mobilisé de nombreux moyens de simulation de guerre électronique pour rendre les situations auxquelles étaient confrontés les navires les plus réalistes possibles.

 

Au cours de l’exercice, interception, brouillage, et tirs de leurres se sont enchaînés à un rythme soutenu. Cette semaine a permis de mettre en œuvre les équipements dans toutes les configurations, mais également de tester de nouvelles tactiques de lutte en matière de guerre électronique (GE).

 

Cet entraînement international de haut niveau permet de renforcer l’interopérabilité avec nos alliés au sein de l’alliance Atlantique. Il vise à se tenir prêt à intervenir en coalition sur l’ensemble du spectre opérationnel.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 16:45
FAZSOI : Un nouveau COMSUP à La Réunion

 

01/10/2014 Sources : Etat-major des armées

 

Le 30 septembre 2014, le général de brigade Franck Reignier a pris le commandement des forces armées dans la zone Sud de l’océan Indien. Il succède au général de division Jean-François Hogard.

 

L’officier général commandant supérieur des forces armées en zone sud de l’océan Indien (COMSUP FAZSOI) et de la Base de Défense La Réunion - Mayotte dispose d’un état-major interarmées et commande environ 1900 militaires des trois armées dont près de 1400 permanents.

 

Les forces armées en zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis La Réunion et Mayotte. Elles constituent le point d’appui principal du Théâtre océan Indien.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 16:35
NATO's new mission gets green light


2 oct. 2014 NATO

 

The Afghan government, NATO and the US government have now signed agreements, thanks to which foreign troops will be able to operate in Afghanistan from next year.

It comes a day after the inauguration of the new Afghan President Ashraf Ghani and the appointment of Abdullah Abdullah as CEO.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 16:30
Opération Chammal : renforcement du dispositif français

 

01/10/2014 Sources : Etat-major des armées

 

A l’issue du conseil restreint de défense du mercredi 1er octobre 2014, au cours duquel le Président de la République a décidé de renforcer le dispositif militaire français engagé dans l’opération Chammal.

 

A l’issue du conseil restreint de défense du mercredi 1eroctobre 2014, au cours duquel le Président de la République a décidé de renforcer le dispositif militaire français engagé dans l’opération Chammal, l’état-major des armées a notamment ordonné :

    le déploiement de trois avions de chasse Rafale qui viendront compléter les capacités aériennes déjà placées aux ordres de l’amiral commandant la zone océan Indien (ALINDIEN). Le dispositif français sera ainsi porté à neuf Rafale, un avion de patrouille maritime Atlantique 2 et un avion ravitailleur C135-FR ;

    le déploiement d’une frégate anti-aérienne dans le golfe arabo-persique ;

    le renforcement de la participation des officiers de liaison français au sein des structures de commandement alliées dans le golfe arabo-persique.

 

Ces moyens seront progressivement déployés au cours des prochains jours.

 

Ce renfort vise à densifier le soutien aérien apporté aux forces irakiennes, en termes de renseignement et reconnaissance armée. Il permettra également de disposer d’un moyen naval capable de participer, en coordination avec nos alliés, au contrôle aérien de l’ensemble des moyens présents sur zone.

 

Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste Daech.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 16:30
Quand l'armée irakienne ravitaille (par erreur) Daesh

L'INFO. C'est une boulette très gênante. Selon la chaîne américaine NBC News, l'armée irakienne a ravitaillé l'organisation de l'Etat islamique, par erreur, a-t-on appris mardi. Cette information a été confirmée par une source sécuritaire qui a requis l'anonymat.

Des vivres et des munitions. Selon NBC News, l'aviation irakienne avait l'intention de livrer des vivres et des munitions à ses soldats en poste dans la province d'Anbar en Irak, pour combattre les djihadistes. Hakim Al-Zamili, un député membre de la commission de sécurité, a raconte qu'"au lieu de lâcher ces provisions au-dessus de la zone tenue par l'armée irakienne, certains pilotes les ont jetées au-dessus d'une zone prise par l'Etat islamique". Un brigadier-général du ministère irakien de la Défense a confirmé cet incident qui a eu lieu le 19 septembre.

 

Suite de l'article

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 16:30
Le CEMAA rencontre le personnel de l’opération Chammal

 

01/10/2014  Actus Air

 

Le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), s’est rendu les 27 et 28 septembre 2014, auprès des militaires engagés dans l’opération Chammal.

 

Au cours de sa visite, il s’est entretenu avec le contre-amiral Beaussant, amiral commandant la zone Océan Indien (ALINDIEN), qui assure le contrôle opérationnel de cette opération en coordination avec le centre de coordination des opérations aériennes (Coordination Air Operation Center) américain, situé à Al Udeid (Qatar).

 

Devant les aviateurs engagés dans l’opération Chammal, le CEMAA a fait part de son admiration et de sa fierté. Il a rappelé la chance de pouvoir bénéficier dans la région d’un dispositif permanent, adapté et réactif, qui a montré célérité et efficience depuis sa mise en œuvre le 15 septembre dernier.

 

Conformément à la volonté du président de la République, les missions d’appui aérien et de reconnaissance se poursuivront pour soutenir les armées irakiennes dans leur lutte contre Daech. Ces missions seront à nouveau effectuées en coordination étroite avec les autorités irakiennes ainsi qu’avec nos alliés présents sur le théâtre.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 16:30
Pantsir-S1 Photo Iraqi Ministry of Defence

Pantsir-S1 Photo Iraqi Ministry of Defence

 

DUBAI, 1er octobre - RIA Novosti

 

L'Irak a reçu un premier lot de systèmes de défense antiaérienne modernes en provenance de Russie, lit-on mercredi sur le site du ministère irakien de la Défense.

 

"Le commandement des forces irakiennes de défense aérienne a reçu des systèmes modernes destinés à défendre la souveraineté de notre pays et à protéger les sites civils", a indiqué un porte-parole ministériel.

 

Le ministère irakien ne précise cependant pas la provenance des armes, mais souligne que "peu de pays sont en mesure de produire de tels systèmes".

 

Dans le même temps, sur les photos qui accompagnent le texte, on voit des complexes de défense sol-air russes Pantsir-S1 et des lance-missiles portatifs Djiguit.

 

Auparavant, le ministère irakien de la Défense a annoncé avoir reçu le troisième lot d'hélicoptères russes Mi-35M.

 

En 2012, Moscou et Bagdad ont conclu un accord de coopération militaro-technique pour un montant total de 4,3 milliards de dollars qui prévoit entre autres la livraison de 43 hélicoptères russes Mi-35M et Mi-28NE.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 15:55
photo R. Pellegrino ECPAD

photo R. Pellegrino ECPAD

 

02 octobre 2014 par  Jacques Marouani - .electroniques.biz

 

"Il s'agit de faire passer le site de Fougères d'un statut de sous-traitant électronique à celui d'un équipementier aéronautique complet", précise Jean-Paul Herteman, Pdg du groupe Safran.

 

Visitant pour l'occasion le site de Sagem Fougères (groupe Safran) en la présence du Pdg du groupe Jean-Paul Herteman, le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, a confirmé la bonne nouvelle aux salariés de cette usine : le transfert d'une activité aéronautique, basée jusqu'à présent à Massy (Essonne), sera opéré sur le site breton et consolidera ainsi l'emploi à l'usine de Fougères (Ile-et-Villaine).

 

Créée en 1970, cette usine va connaître sa cinquième reconversion pour se spécialiser en tant qu'équipementier aéronautique, alors que son activité était jusqu'à présent centrée sur la sous-traitance électronique. Les calculateurs des moteurs d'avions civils et militaires seront en effet regroupés à Fougères, et viendront s'ajouter à l'activité actuelle de cartes électroniques.

 

Un investissement de 30 M€

 

Le groupe Safran avait cessé ses activités de téléphonie mobile en 2008. L'usine de Fougères s'était alors réorientée vers la sous-traitance pour les activités aéronautiques et de défense. Avec la fin du programme Félin (Fantassin à équipements et liaisons intégrés), prévu pour 2015, et la baisse du volume des cartes électroniques pour la défense, cette reconversion est vitale pour le site."Il s'agit de faire passer le site de Fougères d'un statut de sous-traitant électronique à celui d'un équipementier aéronautique complet", précise Jean-Paul Herteman, Pdg du groupe Safran.

 

Plus de 30 millions d'euros d'investissements sont prévus, notamment en travaux et en formation, entre 2015 et 2018. Ils permettront de consolider les 635 emplois actuels de l'entreprise et d'en créer une centaine supplémentaire à Fougères.

 

"A l'issue des investissements prévus, le site de Fougères deviendra un équipementier de premier rang positionné sur le marché en pleine croissance de l'aéronautique civil et militaire", s'est pour sa part félicité Pierrick Massiot, président de la Région Bretagne dans un communiqué.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 14:55
Défense : la France en guerre réduit encore le nombre de militaires

Le gouvernement Valls va couper à nouveau dans les effectifs (7.500) du ministère de la Défense... alors que la France guerroie aux quatre coins du globe (Mali, Centrafrique, Irak...)

 

01/10/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Les objectifs de suppressions d'emplois dans les armées ont été confirmés (7.500 en moins) dans le projet de budget 2015. Avec 31,4 milliards d'euros, dont 2,3 milliards de recettes exceptionnelles, ce projet s'inscrit dans la trajectoire de la loi de programmation militaire (LPM).

 

Après 7.234 de militaires en moins en 2013 puis 7.881 en 2014, le gouvernement va couper à nouveau dans les effectifs du ministère de la Défense... alors que la France guerroie aux quatre coins du globe (Mali, Centrafrique, Irak...). Un peu paradoxale comme stratégie. Les objectifs de suppressions d'emplois dans les armées ont été confirmés (7.500 d'emplois en moins) pour atteindre un "plafond d'emplois" de 265.846 à fin 2015. Au total, 23.500 postes doivent être supprimés sur la période de la loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019.

Avec 31,4 milliards d'euros de recettes, le projet de budget de la Défense pour 2015 présenté mercredi par le gouvernement s'inscrit dans la trajectoire de la LPM adoptée fin décembre par le Parlement. Les crédits budgétaires inscrits dans le projet de budget s'élèvent à 29,1 milliards d'euros (hors pensions), auxquels doivent s'ajouter 2,3 milliards de recettes exceptionnelles (REX) pour atteindre le seuil de 31,4 milliards d'euros fixé par la LPM en 2015 puis 2016. Les recettes globales doivent progresser ensuite à 31,6 milliards en 2017.

 

Des recettes exceptionnelles à trouver

Dans un contexte budgétaire général de redressement des finances publiques, la LPM vise à "concilier souveraineté stratégique et souveraineté budgétaire", réaffirme Bercy, qui a pourtant gelé 1,2 milliard d'euros de crédits en 2014. Elle fixe une trajectoire de ressources de 190,5 milliards d'euros sur la période, conforme à la valorisation du modèle d'armée validé par le Livre Blanc. Ainsi, la LPM sera respectée et bénéficiera, en 2015, de 31,4 milliards de ressources totales, conformément au vote du Parlement. Au total, le budget triennal 2015-2017 prévoit une enveloppe de 94,3 milliards de ressources totales, conformément à la LPM", assure Bercy.  A suivre...

Bercy a déjà rapiné des crédits budgétaires de 2015. D'abord fixées à 1,8 milliard d'euros pour 2015, les recettes exceptionnelles (REX) ont été portées à 2,3 milliards en juillet, "pour sécuriser les programmes d'équipement". Le gouvernement avait alors assuré que la mission Défense bénéficierait "en 2015 de 31,4 milliards de ressources totales", comme le prévoit la trajectoire financière de la LPM.

Pour autant, les REX censées venir principalement de la vente de fréquences hertziennes, ne seront pas au rendez-vous de 2015. Car selon de nombreux observateurs, le produit de la vente des fréquences 694 MHZ et 790 MHz est attendu au plus tôt en 2016 pour les plus optimistes, au plus tard en 2018 pour les plus pessimistes. L'exécution financière de la LPM précédente (2009-2014) a déjà montré qu'elles n'étaient pas forcément disponibles au moment prévu. Le gouvernement devra donc céder des participations de l'Etat pour tenir la trajectoire financière de la LPM. Et ce n'est qu'une question de volonté politique ni plus ni moins... A François Hollande s'il veut continuer à faire avancer la paix dans le monde, d'imposer ce choix à Bercy.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 14:45
Barkhane : point de situation du 2 octobre

 

02/10/2014 Sources : Etat-major des Armées

 

La force Barkhane compte 3 000 hommes. Au Mali, la MINUSMA (ONU) compte plus de 8 000 hommes.

 

La situation sécuritaire est restée calme cette semaine dans la bande sahélo-saharienne (BSS).

 

Le fuseau Est de la BSS a retrouvé son groupement tactique interarmes (GTIA) qui était engagé depuis fin février en République centrafricaine après la décision du président de la République de renforcer la force Sangaris. Avec l’arrivée de la MINUSCA en Centrafrique, le dispositif de la force Sangaris s’est réarticulé autour de deux GTIA. Le GTIA de Boissieu est ainsi rentré au Tchad le 28 septembre, après sept jours de transit par voie routière via le Cameroun. Aujourd’hui, le groupement tactique Désert-Est (GTD-E) de la force Barkhane est au complet. Il entame sa remise en condition pour effectuer sa relève dans les prochains jours.

 

Le 25 septembre, la force Barkhane a remis aux autorités maliennes quatre terroristes qu’elle avait interceptés au cours d’une opération conduite dans la région de Gao.

 

Le même jour, le détachement de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) de Tombouctou a effectué une patrouille conjointe avec le bataillon burkinabais de la MINUSMA dans le village d’Elaket, à l’Est de Tombouctou au Mali.Au cours de cette patrouille, les soldats de la MIMUSMA et du DLAO ont également appuyé une opération de fouille des forces armées maliennes qui contrôlaient le trafic routier.

 

La force Barkhane a enfin conduit des reconnaissances de sites au Nord du Niger, du 4 au 22 septembre, pour étudier la faisabilité du déploiement d’un poste avancé temporaire qui servirait de nouveau point d’appui secondaire au Nord-Niger.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 14:30
Further air strikes in Iraq

A Tornado GR4 returning to RAF Akrotiri after a mission [Picture: Corporal Neil Bryden RAF, Crown copyright]

 

2 October 2014 Ministry of Defence

 

Tornados continue to provide vital air support to Kurdish forces in Iraq.

 

Royal Air Force Tornados have conducted further operations in support of Kurdish ground forces engaged in combat with ISIL in north west Iraq.

 

Overnight, 2 GR4s provided vital air support to Peshmerga forces advancing on an ISIL position, conducting a successful precision attack on an armed pick-up truck with a Paveway IV guided bomb.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 14:30
MILAN-Einweisung der Peschmerga in Hammelburg


2 oct. 2014 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 10/2014 14Z27501

 

Im Kampf gegen die ISIS unterstützt Deutschland die Peschmerga unter anderem mit 30 Panzerabwehrwaffensystemen vom Typ MILAN. Die kurdischen Soldaten werden in einer einwöchigen Einweisung an die treffsichere Bedienung der MILAN herangeführt.

 

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 13:55
source MinDef Fr (Aoùt 2014)

source MinDef Fr (Aoùt 2014)

 

02/10/2014, Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le surcoût des opérations extérieures (OPEX) pourrait atteindre 1,1 milliard d'euros, selon le ministre de la Défense.

 

1,1 milliard d'euros. C'est le montant des surcoûts des opérations extérieures (Opex) des armées françaises qui devrait avoisiner 1,1 milliard d'euros en 2014, a estimé mercredi le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Selon des sources concordantes, le surcoût des opérations extérieures (OPEX) pourrait même dépasser en 2014 plus de 1,1 milliard d'euros. La dotation budgétaire au titre des Opex s'élèvera à 450 millions d'euros en 2015, comme en 2014, a-t-il indiqué devant la Commission de la Défense de l'Assemblée nationale.

Pour l'année en cours, le chiffrage global du surcoût est en cours d'évaluation. "Je peux toutefois déjà vous dire qu'au 31 août 2014, la consommation effective au titre des surcoûts Opex s'élevait à 743 millions d'euros (680 millions au 31 juillet) et que le surcoût prévisionnel total devrait avoisiner 1,1 milliard d'euros en 2014", a-t-il précisé.

 

Financement interministériel

Au-delà des 450 millions inscrits dans la loi de finances, "les Opex non budgétées font l'objet d'un financement interministériel" et ne pèsent pas sur le budget de la Défense, a-t-il rappelé. "Ce fut le cas en 2013 et ce le sera a l'avenir", a assuré le ministre.

En 2013, le surcoût Opex avait été de plus de 1,2 milliard d'euros, mais l'année avait notamment été marquée par le désengagement des forces françaises d'Afghanistan. Il était de 873 millions en 2012 et de 1,24 milliard en 2011, année des opérations en Libye et en Côte d'Ivoire.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 11:50
First A400M for German Air Force runs it´s engines for the first time


29 sept. 2014 Airbus DS
 

The first Airbus A400M new generation airlifter for the German Air Force has begun final tests towards its delivery. The four engines on the aircraft, known as MSN18, were successfully run simultaneously for the first time

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 11:35
Naval Air: Chinese Carrier Returns To Service

 

October 1, 2014: Strategy Page

 

On September 25th China’s first aircraft carrier (the Liaoning) completed five months of shipyard level maintenance, refurbishment and repairs. This came after three years of frequent trips to sea for training and testing. All this time at sea apparently produced a long list of things needing to be fixed, modified or replaced. Thus the long visit in the shipyard. It was also revealed what the carrier’s air wing would eventually consist of. There will be twelve helicopters (four Z-18J early warning, six Z-18F anti-submarine and two Z-9C search and rescue) and 24 J-15 jet fighters (navalized Su-27s). None of these aircraft are available yet to complete the Liaoning air group. The Z-18F is the first Chinese made anti-submarine helicopter that works (at least on paper). It is described as a 13 ton naval helicopter that carries a dipping sonar, 32 sonobuoys and up to four light (235 kg/517 pound) anti-submarine torpedoes. The Z-18F is too heavy for most Chinese warships and will be used on Chinese carriers and large amphibious ships (that look like small carriers). The Z-18F appears to be a major upgrade to the earlier Z-8F, which was not acceptable. The Z-18J is equipped with a radar that can spot aircraft out to 150 kilometers. The Z-9 is four ton helicopter with a two ton payload. China has built over 200 of the Z-9s and many have been armed (with twin 23mm cannon, torpedoes, anti-tank missiles and air-to-air missiles.) The Z-9D, armed with four TL-10 missiles, while the Z-9EC simply has anti-submarine equipment installed instead. The Z-9C is an unarmed version of the Z-9EC. Both the Z-18 and Z-9 are based on French helicopters that China has long produced under license.

 

For most of the last decade China has been developing the J-15, which is a carrier version of the Russian Su-27. There is already a Russian version of this, called the Su-33. Russia refused to sell Su-33s to China when it was noted that China was making illegal copies of the Su-27 (as the J-11) and did not want to place a big order for Su-33s but only wanted two, for "evaluation." China eventually got a Su-33 from Ukraine in 2001. Ukraine had inherited some Su-33s when the Soviet Union dissolved in 1991. The first production models of the J-15 entered service in 2013 and it may take several years for the Liaoning to get its full complement of 24.

 

Liaoning completed its sea trials on January 1st 2014 after it returned to base with its escort group after 37 days at sea. This came 16 months after Liaoning was commissioned (accepted into service by the navy) in September 2012. At that time China announced that there would be more sea trials before Liaoning was ready for regular service. Before commissioning Liaoning had performed well during over a year of pre-commissioning sea trials. During that time Liaoning went to sea ten times. The longest trip was two weeks. All this was mainly to see if the ship was able to function reliably at sea. After commissioning Liaoning carried out months of additional trials and preparations for the first flight operations, which took place in late 2012.

 

Liaoning is one of the two Kuznetsov class carriers that Russia began building in the 1980s. Originally the Kuznetsovs were to be 90,000 ton nuclear powered ships, similar to American carriers (complete with steam catapults). Instead, because of the high cost and the complexity of modern (American style) carriers, the Russians were forced to scale back their plans and ended up with 65,000 ton (full load) ships that lacked steam catapults and used a ski jump type flight deck instead. Nuclear power was dropped but the Kuznetsovs were still a formidable design. The Kuznetsovs normally carry a dozen navalized Su-27s (called Su-33s), 14 Ka-27PL anti-submarine helicopters, two electronic warfare helicopters, and two search and rescue helicopters. But the ship was built to carry as many as 36 Su-33s and sixteen helicopters. The Kuznetsovs carry 2,500 tons of aviation fuel, allowing it to generate 500-1,000 aircraft and helicopter sorties. Crew size is 2,500 (or 3,000 with a full aircraft load). While the original Kuznetsov is in Russian service, the second ship, the Varyag, was launched but not completed, and work stopped in 1992. The Chinese bought the unfinished carrier in 1998, towed it to China and spent over a decade completing it as the Liaoning.

 

In 2011 China confirmed that the Liaoning will primarily be a training carrie used to train Chinese officers and sailors to operate as a carrier task force as the Americans and some other Western navies have been doing for over 80 years. That led to the formation of the first Chinese carrier task force in late 2013. This was essential because a carrier needs escorts. For Liaoning this consisted of two Type 051C destroyers and two Type 054A frigates plus a supply ship. All this is similar to what the U.S. has long used, which is currently 3-4 destroyers, 1-2 frigates, an SSN (nuclear submarine), and a supply ship. Chinese SSNs are few and not very good, which is why China probably has not assigned one to their escort group.

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 11:20
Logistics: The Perils Of Power

 

October 1, 2014: Strategy Page

 

The U.S. Marine Corps learned a valuable lesson about logistics in Afghanistan and Iraq. It was an old lesson made more urgent because modern warfare requires lots more electricity in the combat zone. So in the last decade the marines have been seeking ways to reduce the need for electricity or fuel used to supply it (via generators). The latest example of this is a combined solar/generator power supply for a new medical unit (STS, Shock Trauma Section) created to provide complex surgical procedures for badly injured marines. STS does this to stabilize patients very close to the fighting so they can be transported to a hospital with more elaborate surgical and intensive care facilities. The STS fits in a truck that can be carried by air via a V-22 or heavy helicopter. STS requires a lot of reliable electrical power in order to function. To supply that a combined solar/generator/battery system was built into an ammunition trailer that is towed by the STS truck. This power system weighs less than a ton (about 900 kg) and when tested under realistic field conditions was silent (the fuel hungry generator was not needed) over 60 percent of the time because the solar panels and stored energy in the batteries was sufficient.

 

Lightweight and more powerful batteries, as well as more efficient solar power panels and generators contribute to these energy saving efforts. But many other improvements also make small contributions that add up. One of these recent innovations is the LED light display. While lighting consumes less than two percent of the fuel shipped to the war zone (heating and air conditioning get 12 percent and aircraft more than half), the LED devices (which generate little heat) consume only 15 percent of the electricity required by incandescent bulbs and less than half what fluorescent fixtures use. Plus the LED bulbs last longer and are more rugged. While the overall savings is small, it adds up. Combat troops are already very familiar with LED lighting as they have been using lightweight LED lights (often mounted on their weapons) for years and noted that the batteries last a lot longer on LED flashlights while producing the same amount of light as the older incandescent bulb units.

 

Since 2006 American army and marine commanders have become determined to reduce fuel consumption, mainly because electrical needs in combat have increased so much. The troops are dealing with some dramatic changes. For example, during World War II, the first war in which American forces were mechanized each soldier required 4-5 liters (one gallon) of fuel per day. But by 2003, and the invasion of Iraq, fuel consumption was twenty times higher. In reality this meant that when you sent a modern mechanized division into combat you had to supply those troops at the rate of 80-120 liters (20-30 gallons) of fuel per man per day. As the 3rd Infantry Division moved from Kuwait to Baghdad in 2003, some 20,000 troops were involved. That required some 200 tanker loads of fuel per day. Initially, the vehicles in the division carry enough fuel to go 200-300 kilometers on internal fuel. But you don't want your vehicles to run until their tanks are dry, so at least once a day, you try to top everyone off. The route of the 3rd Infantry Division covered about 700 kilometers of road. In addition to fuel, you need about a 45-90 kg (100-200 pounds) of other supplies per man per day (mostly ammo, but also batteries, food and the like.) Once inside Baghdad, and no longer moving all the time, the fuel requirement came way down. But on the march, the advancing combat brigades were tethered by convoys of fuel trucks going back and forth to the supply bases in Kuwait. But once the U.S. began building bases for the combat brigades, it was found that the use of generators, especially for air conditioning, kept fuel requirements high (over 80 liters per man per day), which is why most of the supply trucks were still carrying fuel.

 

There are no easy solutions for this. Vehicles are larger, and require more fuel than they did 70 years ago. Tanks weigh twice as much, as do most other armored vehicles. There are more trucks and armored vehicles, as well as a lot more electronic equipment and air conditioning to keep the electronics cool. It was found that air conditioned living quarters were a huge boost to morale, and a way to reduce combat stress. That required lots of fuel. So far, the army and marines have sought to equip the troops with more energy sources that do not require fuel to be trucked, or flown, in. This is especially important for troops who are out on operations that might last a few days.

 

Batteries, and the fuel to run generators for recharging, have become a major supply item. For example, a three day operation by an infantry platoon (30 men), consumes six kg (6.6 pounds) of batteries per man. Rechargeable batteries cut that by more than half, as long as you have some way to recharge them. Special Forces are particularly hard hit by this, as they often have to go in by foot, to avoid detection, and set up a surveillance operation that consumes a lot of batteries. This is very common in Afghanistan.

 

Solutions have long been sought. For example in 2010 company (about 200 personnel) of American marines conducted a desert training exercise to see how long they could run how much equipment using solar power. This was done via solar panels that were incorporated into equipment (like a cloth like panel that was draped over a tent) or set up with a number of solar panels to act as a "solar generator.") As a result, for eight straight days, the marines were able to power all their radios and laptops (by recharging batteries) via solar panels. There is a lot of other battery powered gear, but radios and laptops are the big energy eaters. Feed them, and you have eliminated most of the power demand for troops operating on foot. The equipment and techniques used doing were sent to marines in Afghanistan and was much appreciated. This sort of thing saves lives and money. Marines have to guard a lot of their supply convoys, two-thirds them carrying fuel or water, and for every 45 truckloads brought in a marine is killed or wounded. This is sometimes avoided by hiring locals to provide convoy security, but that option often creates another warlord in the area.

 

Thus all American commanders in Afghanistan wanted more renewable fuel sources. Combat commanders had done the math, and with more combat units out and about these days, they are demanding more solar panels and fuel cells, in order to lower the demand for generator fuel and batteries. With all those computers and electronic gadgets out there, the demand for electricity, especially by units in combat, is huge and growing.

 

For decades, it was believed that hydrogen powered fuel cells would replace fossil fuel (JP-5, similar to jet fuel) powered generators. But fuel cells have been the next-big-thing for nearly a century. That said, small fuel cells are beginning to appear. The U.S. Army is installing them in tanks and trucks, as a source of auxiliary power. This points out that the larger fuel cells are now quite ready to replace the large generators (the main consumer of all that fuel). While the fuel cells cost more than ten times as much as JP-5 powered generators, that JP-5 costs about 40 times more than the same fuel used back in the United States. That's because of the transportation cost (up to $25/liter or $100/gallon) of fuel. Thus fuel cells are still a cheaper alternative and the more expensive fuel cell generator quickly pays for itself in a combat zone, and saves the lives of those operating and protecting all those fuel convoys. Another use for small fuel cells is to ease the growing load of batteries carried into combat.

 

A major problem with these small fuel cell devices is that it is mainly for items like cell phones and iPods, or anything that can get its charge via a USB connector. For military use, you need a device that can recharge common batteries, and specialized ones for military equipment. Technically, that is a simple matter, as is scaling up the current miniature fuel cell devices (about the size of a hand held game player) to provide more power. The problem with fuel cells remains their temperamental technology and high cost. But the military is willing to buy one that can stand rough handling, even at a high price, because of the even higher cost of getting fuel to the combat zone.

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 16:55
L’annonce des restructurations reportée

 

1 octobre, 2014 Guillaume Belan

 

L’annonce devait-être faite initialement fin juillet, puis aujourd’hui : ce matin aux unités dissoutes et cet après-midi aux élus, pour être exact. Mais le ministère a décidé de reporter ces annonces, sans fixer de date. Un traumatisme pour les unités.

 

Rappel : le ministère de la défense s’est engagé à supprimé 34 000 postes d’ici 2017, et a fait le choix d’annoncer de manière annuelle ces coupes qui concernent en moyenne pas moins de 7000 postes dans les armées par an, dont la moitié, soit 3500 pour les terriens. Une catastrophe pour l’armée de terre qui encaisse le gros des coupes, en étant l’armée la plus impactée par les déflations, bien plus que son poids relatif comparée aux autres, comme la Marine ou encore la DGA, très peu touchée. Le problème, c’est que, outre un état-major supprimé, deux régiments étaient en ligne de mire : le 3ème RPIMa et le 126ème Régiment d’Infanterie de Brive. Las, ce dernier est en Corrèze, les terres de François Hollande ! Résultat, le Chef d’État Major de l’Armée de Terre (CEMAT) a été prié de revoir sa copie !

 

Mais ces restructurations surtout atteignent leurs limites. Ce sont des unités combattantes et déployées qu’il faut maintenant fermer… De futures dissolutions signifieraient dorénavant mettre en berne des unités très décorées et également très employées en opérations. Dans un contexte où l’armée de terre est sur-employée : au Liban, au sein de l’opération Barkhane dans la Bande sahélo-saharienne, en RCA et bien d’autres endroits du globe où le besoin est actuel ou à venir… Bref, annoncer des dissolutions d’unités alors que l’armée de terre est sur tous les fronts, déstabiliserait profondément son modèle, voire les opérations. Inacceptable.

 

En conséquence, l’objectif du CEMAT serait d’élaborer « une réflexion profonde » sur le rôle et le modèle de l’armée de terre, « tout en conservant des marges de réflexions et des manœuvres éventuelles pour la suite » confiait un proche du dossier. Une annonce pourrait être faite dans les semaines qui viennent.

 

Drames humains

 

D’autant plus qu’en optant pour ce système d’annonces annuelles, le ministre de la Défense créé de véritables traumatismes dans les unités, qui tremblent d’être désignée et ne peuvent s’y préparer. Les Ressources Humaines, complètement déboussolées,  sont dépassés et ont bien du mal à gérer l’urgence.

 

Outre un contexte géostratégique chargé, qui voit la France sacrifier son outil de défense alors que le reste du monde réarme et s’enflamme, ces dissolutions favorisent la récession économique des territoires. Un régiment (en moyenne 800 à 1000 soldats) signifie 21 millions d’euros de retombées économiques dans le tissu local, d’après les chiffres de l’observatoire économique de la Défense…

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 16:20
Nuclear Sortie

 

9/30/2014 Strategy Page

 

An unarmed AGM-86B Air-Launched Cruise Missile is released from a B-52H Stratofortress Sept. 22, 2014, over the Utah Test and Training Range during a Nuclear Weapons System Evaluation Program sortie. Conducted by Airmen from the 2nd Bomb Wing, Barksdale Air Force Base, La., the launch was part of an end-to-end operational evaluation of 8th Air Force and Task Force 204Â’s ability to pull an ALCM from storage, load it aboard an aircraft, execute a simulated combat mission tasking and successfully deliver the weapon from the aircraft to its final target. (U.S. Air Force photo/Staff Sgt. Roidan Carlson)

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 12:55
Au cœur de l'équipage du C135 FR lors d'une mission de ravitaillement en vol de deux Rafale


29 sept. 2014 Crédit : EMA / armée de l'Air
 

Au cœur de l'équipage du C135 FR lors d'une mission de ravitaillement en vol de deux Rafale au dessus de l'Irak, le 21 septembre 2014.
 

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1 octobre 2014 3 01 /10 /octobre /2014 12:45
Barkhane : patrouille conjointe avec la MINUSMA

 

01/10/2014 Sources : Etat-major des Armées

 

Le 25 septembre 2014, le détachement de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) de Tombouctou a effectué une patrouille conjointe avec le bataillon burkinabais de la MINUSMA dans le village d’Elaket, à l’Est de Tombouctou au Mali.

 

Cette patrouille de contrôle de zone fait partie des missions habituelles des DLAO. Elle vise à assurer une présence dissuasive et à vérifier l’absence d’activité ou d’indice d’activité des groupes armés terroristes dans la région, en appui de la MINUSMA.

 

Les 32 soldats français du DLAO et les 25 soldats de la section burkinabaise sont allés à la rencontre des habitants pour recueillir leur sentiment sur la situation sécuritaire et mieux connaître leurs préoccupations.

 

Cette patrouille témoigne de l’excellent degré d’entente et de coopération entre les soldats français et leurs partenaires burkinabais.

 

Au cours de cette mission, les soldats de la MIMUSMA et du DLAO ont également appuyé une opération de fouille des forces armées maliennes qui contrôlaient le trafic sur la route entre le camp français et Tombouctou, confirmant ainsi le très bon degré de coordination et de confiance qui existe entre les différentes forces.

 

Composés d’une trentaine de soldats chacun, les DLAO sont placés au plus près des forces maliennes et de la MINUSMA, à Tombouctou, Tessalit, Kidal et Ansongo. Ils ont pour mission :

    de coordonner et d’assurer des missions aux côtés des forces partenaires dans leur zone ;

    d’apporter aux forces partenaires des appuis spécialisés dans les domaines du guidage aérien, de la lutte contre-IED et du soutien santé notamment ;

    d’accompagner et de conseiller les forces armées maliennes dans l’exécution de leurs missions.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : patrouille conjointe avec la MINUSMA
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