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13/08/2014 Par Caroline Piquet - LeFigaro.fr
INTERVIEW- Paris s'apprête à livrer des armes aux forces kurdes en Irak pour soutenir leur lutte contre les djihadistes de l'Etat islamique. Mais quels types d'armes peuvent être envoyés et comment seront-elles acheminées ?
«Afin de répondre aux besoins urgents exprimés par les autorités régionales du Kurdistan, le chef de l'Etat a décidé, en accord avec Bagdad, de faire acheminer des armes dans les heures qui viennent», a annoncé François Hollande ce mercredi, sans apporter de précision sur la nature, ni le volume du matériel militaire qui pourrait être envoyé. Contacté à plusieurs reprises, l'Elysée n'a pas souhaité répondre à nos questions. Comment l'armée française mène ce genre d'opération? Quels types d'armes pourraient-être envoyés? Eléments de réponses avec Jean-Vincent Brisset, directeur de recherche à l'Iris (Institut de Relations Internationales et Stratégiques), spécialisé sur les questions militaires.
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13 août 2014 British Forces News
Efforts to support the response to the humanitarian crisis in Iraq have been stepped up in Cyprus.
The British military has made five air drops to refugees so far - and more are planned.
The Commander of British Forces Cyprus says the base is ready to do whatever is required to get aid to the people that need it.
Last night three Tornado jets arrived at RAF Akrotiri to provide surveillance and more are expected in the next 12 hours along with Chinook helicopters.
Carla Prater has the latest.
13 août 2014 British Forces News
It is one hundred years to the day since the British Expeditionary Force left England for France.
It was also the first time Britain sent military air power overseas.
The Royal Flying Corps lost thousands of men in the First World War and today a special ceremony took place in France at the airfield where they first landed.
Simon Newton reports.
12/08/2014 A.CHENNOUFI- tunivisions.net
La Présidence de la République vient de publier un communiqué, ce mardi 12 Août 2014, dans lequel elle a annoncé que le président de la République provisoire, Mohamed Moncef Marzouki, a nommé le Général Ismaïl Fathalli en qualité de Chef d’Etat-major de l’Armée de Terre.
Le nouveau patron de l’armée de terre succède à ce poste au général de brigade Mohamed Salah Hamdi, démissionnaire.
A noter que le Colonel-major Ismaïl Fathalli a été promu aujourd’hui même au grade de Général de brigade, par le président de la République, afin qu’il puisse occuper le poste auquel il a été désigné.
12/08/2014 Par Lefigaro.fr avec AFP
Les Etats-Unis ont signé aujourd'hui avec l'Australie un accord pour déployer 2.500 Marines dans le pays dans le cadre de la stratégie de défense américaine en Asie, mais les deux alliés se sont voulus apaisants avec la Chine qui craint un endiguement de son influence. Le secrétaire d'Etat américain John Kerry participait à Sydney, au côté de son collègue du Pentagone Chuck Hagel, à la réunion annuelle de politique étrangère et de défense AusMin entre les Etats-Unis et l'Australie. Selon l'accord signé par les deux gouvernements, le contingent de Marines déployés actuellement près de Darwin, la capitale du Territoire du Nord en Australie, devrait passer d'environ 1.200 à 2.500 soldats d'ici 2017.
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13.08.2014 By: Igor Bozinovski - FG
Croatia’s air force suffered a double blow while participating in national celebrations on 5 August – unusually with the same pilot involved in both incidents.
Lt Col Stanko Hrženjak made an emergency landing at Zadar-Zemunik air base after the left leg of his Mikoyan MiG-21’s main landing gear failed to extend at the end of a flight to mark the 19th anniversary of the last major battle in Croatia’s war for independence. He overcame the problem by hydraulically retracting and re-extending the landing gear.
Ex-Yemen air force fighter 135 – which had recently been introduced after being returned to flight status in Ukraine – was grounded for technical inspection following the incident.
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13/08/2014 Sources : EMA
Du 6 au 8 août 2014, le capitaine de vaisseau Antoine Camus, adjoint interarmées des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj), s’est rendu en Ouganda à l’occasion de l’instruction opérationnelle réalisée par les FFDj au profit d’un bataillon de l’Uganda People Defence Force(UPDF).
Conduite par le capitaine de vaisseau Camus, à 200 km au nord-ouest de Kampala, la délégation des FFDj a visité aux côtés de Son Excellence Madame Sophie Makamé, Ambassadeur de France, le centre d’entraînement aux opérations de maintien de la paix (CEOMP).
Cette rencontre s’est déroulée dans le cadre du plan de coopération des FFDj. A ce titre, le 5eRégiment Interarmes d’Outre-Mer (5eRIAOM) effectue depuis le 12 juillet 2014 un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) nommé UGABAG XIV.
Ce DIO, aux ordres du capitaine Benoît Colombier, dispense une formation aux opérations de maintien de la paix (OMP) dans le cadre de la mise en condition opérationnelle d’un bataillon de l’UPDF, avant sa projection au sein de la mission de l’Union Africaine en Somalie (AMISOM). Il tend à former 2 600 soldats d’ici le 22 août 2014.
Cette mission d’instruction s’inscrit dans le cadre du soutien apporté par les forces françaises en Afrique pour la formation des contingents africains aux opérations de maintien de la paix. Dès 2006, la France a ainsi assuré l’instruction opérationnelle des bataillons ougandais et des bataillons burundais qui arment l’AMISOM.
Au cours de cette formation deux phases d’instruction et d’entraînement ont été abordées. La première phase est axée sur l’apprentissage des savoir-faire individuels fondamentaux tels que les déplacements, le maniement des armes en dotations, ou encore les réactions face aux engins explosifs improvisés. La deuxième phase s’articule autour de sept modules : escorte de convoi, patrouille, défense d’un secteur, attaque d’un point, bouclage et fouille d’une zone, check-point et embuscade.
En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la république de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante. Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente, avec comme principal « outil » le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD) qui accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, des unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.
13/08/2014 Sources : EMA
Le 9 août 2014, les honneurs ont été rendus au général de brigade aérienne Philippe Montocchio à l’occasion de sa prise de commandement des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj). Il succède ainsi au général de brigade aérienne Joël Rode.
Le général Montocchio, accompagné de l’adjoint interarmées, le capitaine de vaisseau Antoine Camus, a rendu le salut au piquet d’honneur composé des principales formations des FFDj : 5e Régiment Interarmes d’Outre-Mer (5° RIAOM), la Base Navale (BN), la Base Aérienne 188 (BA 188) et l’Etat-Major Interarmées (EMIA). Cette cérémonie a marqué le début du mandat du nouveau général commandant les Forces françaises stationnées à Djibouti.
Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante. Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente grâce notamment au centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités des FFDj, les unités ou écoles de métropole ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.
13/08/2014 Sources : EMA
Le 31 juillet 2014, le général italien Luciano Portolano, nouveau Force Commander de la force intérimaire des Nations-Unies au Liban (FINUL), s’est rendu à Dayr Kifa auprès de la Force Commander Reserve (FCR). Il succède au général Paolo Serra en poste depuis 2 ans et demi au Liban.
Le général Luciano Portolano a rencontré les éléments français du mandat XXI déployés depuis mars à Dayr Kifa, dans le cadre de l’opération Daman.
A cette occasion, les militaires du contingent français ont présenté au Force Commander les capacités de la force et les moyens uniques dont dispose la FCR au sein de la FINUL, qui assure notamment la surveillance aérienne et de trajectographie.
Forte de près de 900 militaires, la FCR est stationnée à Dayr Kifa, à environ 100 kilomètres au sud de Beyrouth. Elle est l’élément d’intervention d’urgence de la FINUL, en mesure de se déployer sur court préavis, sur ordre direct du Force Commander. Elle peut intervenir dans toute la zone d’opération de la FINUL, au profit des bataillons de casques bleus de 36 nationalités différentes, dans le cadre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Réserve d’intervention opérationnelle, la FCR travaille en collaboration et coordination étroites avec les forces armées libanaises (FAL), tant lors de patrouilles communes que lors d’entraînements conjoints, et conduit également de nombreuses actions auprès de la population au sud du Liban.
La France est l’un des principaux pays contributeurs de la FINUL. Cette contribution de la France à cette mission de l’ONU prend le nom d’opération DAMAN. La FCR confère au Force Commander des capacités de surveillance terrestre et aérienne, de dissuasion et de réaction. Robuste, souple, réactive, elle constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban.
JOUKOVSKI (région de Moscou), 13 août - RIA Novosti
La Russie envisage de produire des armements conjointement avec les Emirats arabes unis, a annoncé mardi Igor Sevastianov, directeur général adjoint du principal exportateur d'armes russe Rosoboronexport.
"Il existe une proposition afin d'engager une coopération avec les Emirats dans la production d'armements", a déclaré M. Sevastianov aux journalistes, sans préciser de quels armements il s'agit.
August 13, 2014 David Pugliese
The Pentagon’s Special Operations Command will conduct a social research program in Colombia to help shape future propaganda efforts, USA Today is reporting. It cites newly released military records.
More from the article:
It is the latest in a series of SOCOM attempts to gauge the effectiveness of its propaganda programs, which have been under attack in Congress and lost some of their funding in the last year.
The Global Research Assessment Program, SOCOM documents show, will hire an outside contractor to develop and conduct a poll in Colombia to gauge which propaganda arguments are the most effective.
The program will identify and analyze target audiences for propaganda, determine which programs work the best and then send the results to command officials and others with an interest in the results, the documents show.
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13 Aug 2014 By: Arie Egozi - FG
Deliveries of upgraded RAC MiG-29s to the Polish air force are continuing, and negotiations for a second batch may begin soon.
The upgrade is being performed by Poland's WZL-2 Military Aviation Works, and is based on a design and systems supplied by Israel Aerospace Industries. The modernisation package includes new avionics, cockpit instruments and an advanced debriefing system.
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13/08/2014 Sources EMA
Le 5 août 2014, une compagnie du groupement tactique interarmes (GTIA) Acier a mené, en appui de la MISCA, une opération de fouille dans le 4earrondissement de Bangui.
Après l’exploitation d’informations laissant supposer la présence d’armement dans une maison, une opération conjointe a été déclenchée. Celle-ci a engagé des officiers de police judiciaire (OPJ), appartenant aux Unités de Police Constituées (UPC) de la MISCA, appuyés par les militaires de la force Sangaris.
Ce dispositif s’est déployé dans le quartier de Boy Rabé, au Nord-Est de Bangui. Il était armé, en primo intervenant, par les OPJ de l’UPC qui sont les seuls, avec les forces de sécurité intérieure (FSI), à pouvoir appréhender des suspects et saisir le matériel. Au cours de cette opération, les deux OPJ camerounais de la MISCA ont pu constater la présence d’armement, ainsi que d’effets militaires. Des individus ont alors été interpellés et transférés dans les locaux de la MISCA.
Les soldats de la force Sangaris disposent des moyens et des savoir-faire spécifiques leur permettant d’apporter un appui adapté aux forces de la MISCA pour la conduite de ces opérations de fouille. Ces actions ciblées sont intégrées dans de plus larges opérations de contrôle de zone menées régulièrement. Elles permettent de faire appliquer les mesures de confiance, et ainsi de maintenir le niveau de sécurité minimale atteint depuis plusieurs mois dans la capitale.
Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.
JOUKOVSKI (région de Moscou), 13 août - RIA Novosti
La réalisation du contrat prévoyant la livraison à la Libye de missiles antichar russes Khrizantema-S touche à sa phase finale, a annoncé mercredi à RIA Novosti Gueorgui Kouzyk, responsable du bureau d'études KBM.
"Il y a avait des problèmes politiques sérieux (…) en Libye. Le calendrier d'exécution a été officiellement modifié. Mais à l'heure actuelle, le contrat est en phase finale de l'exécution", a indiqué l'interlocuteur de l'agence.
Le contrat en question a été signé avant la guerre civile libyenne qui a débuté au printemps 2011. Après la chute de Mouammar Kadhafi, le pays a plongé dans le chaos, devenant le théâtre d'affrontements entre bandes armées.
13/08/2014 Sources : EMA
Le 9 août 2014, les honneurs ont été rendus au général de brigade aérienne Philippe Montocchio à l’occasion de sa prise de commandement des Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDj). Il succède ainsi au général de brigade aérienne Joël Rode.
Le général Montocchio, accompagné de l’adjoint interarmées, le capitaine de vaisseau Antoine Camus, a rendu le salut au piquet d’honneur composé des principales formations des FFDj : 5e Régiment Interarmes d’Outre-Mer (5° RIAOM), la Base Navale (BN), la Base Aérienne 188 (BA 188) et l’Etat-Major Interarmées (EMIA). Cette cérémonie a marqué le début du mandat du nouveau général commandant les Forces françaises stationnées à Djibouti.
Dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante. Ce soutien concerne aussi la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient enfin d'une capacité d’entraînement permanente grâce notamment au centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités des FFDj, les unités ou écoles de métropole ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.
13 August 2014 by Guy Martin - defenceWeb
The first Paramount Group Advanced High-performance Reconnaissance Light Aircraft (AHRLAC) prototype has performed its maiden flight and has embarked on a rigorous flight testing programme.
The Experimental Demonstrator (XDM) prototype’s first flight to the public took place this morning at Wonderboom airport outside Pretoria, although the aircraft took to the skies for the first time on 26 July. The aircraft was piloted by test pilot ‘Blokkies’ Joubert on its maiden flight, who flew the aircraft for around 35 minutes. He reached an altitude of 9 000 feet and a speed of around 120 knots as he evaluated the aircraft’s handling abilities. So far, the XDM aircraft has flown seven hours.
Testing has gone well, with no systems failures so far. The first prototype will probably fly 100-200 hours before Paramount and prime contractor Aerosud are satisfied with initial testing. During test flights a Cessna Caravan has been used as a chase plane, but future test flights will use a faster Pilatus PC-12.
Construction of the second prototype (Advanced Demonstrator - ADM) is currently underway, and this will be used to test weapons and sensors, mission equipment and other hardware as the first prototype is being used mainly for handling tests. The ADM model will be finished around the end of this year and undergo flight testing from the second quarter of next year, according to programme leader Paul Potgieter Junior.
Aircraft could be delivered from the end of next year. Initially production will probably stand at four to eight in the first year then three to five a month after that as production ramps up. Production will take place at a new dedicated factory. Paramount is in advanced discussions with a number of potential customers and has started marketing the aircraft.
“AHRLAC is a home grown, world class capability that will enable developing countries and advanced nations to strengthen and diversify their security infrastructure. It offers the global industry a new, very cost effective and multi-role solution that will change the way global air forces procure and structure their air fleets. AHRLAC is a solution shaped for today’s modern threats like insurgencies, piracy, poaching and terrorism,” Ichikowitz said.
Paramount said the aircraft can perform tasks previously carried out by four separately configured aircraft, as it integrates designs from attack helicopters, surveillance platforms and reconnaissance aircraft with the ability to carry surveillance, weapons, radar and electronic warfare systems.
AHRLAC has been designed for both civilian and military missions and can be configured for a variety of roles due to its innovative interchangeable mission pod. Roles include patrol and reconnaissance, intelligence gathering, close air support, training, cargo and light attack. “This enables the aircraft for multi-role uses which include disaster management, internal security, border control, maritime patrol and environmental protection,” Paramount said.
Aerosud Managing Director Dr Paul Potgieter said the AHRlAC was designed as a low cost homeland security solution. “To compete with the best in the world we had to apply the very latest technology to find that competitive edge, starting with using the very latest digital design and manufacturing techniques.” Potgieter said he believed the AHRLAC is the most detailed CATIA design ever undertaken in this category, with every part, down to the rivets and screws, being designed digitally. This resulted in the aircraft being built without jigs, saving time and cost.
Potgieter told journalists during a briefing at Wonderboom that four features of the AHRLAC stand out. The pusher propeller configuration allows for an unobstructed forward view, for pilots, sensors and weapons, and also allows for jet-like pilot training, something that has attracted a lot of interest. Other highlights include the interchangeable payload pod, the six hardpoints on the wings and the rugged landing gear that allows for operation on unprepared airstrips.
The AHRLAC is being developed by Paramount with Aerosud as the prime contractor, but the project also involves local and international suppliers. Global suppliers include Pratt & Whitney (PT6 engine), Cobham (antennae/communications) and Zeiss (electro-optical equipment. Local suppliers will include Paramount Advanced Technologies, the Council for Scientific and Industrial Research and Denel (which will supply weapons like the Mokopa missile, amongst other items).
During a post-flight media briefing, Ichikowitz said the AHRLAC reinvented the way aircraft are developed and produced, not just in South Africa but around the world. “This is without doubt a truly historic moment in the South African aerospace and aviation industry. What we have witnessed today has relevance for the whole country and the continent.”
Ichikowitz said that the aerospace and defence industries are often a prime driver of economic growth and the innovation that comes with it and that the South African defence industry has long been an innovator. “This project shows this industry is still alive and well. AHRLAC is exciting but what is going to happen around ARHLAC is very exciting. It marks the rebirth of a dormant industry – that is what is exciting for me…One of the challenges we have on this continent is we still suffer from self-doubt – this project proves we can build things that have been designed in Africa for African conditions.”
“Watch this space,” Ichikowitz told journalists. “This is just the beginning as more can be expected from AHRLAC, Paramount and South Africa.”
MOSCOU, 12 août - RIA Novosti
Six pays participeront à la 2e édition du tournoi international de tir en avion et en hélicoptère Aviadarts programmé en Russie pour 2015, a annoncé mardi à Moscou le commandant en chef de l'Armée de l'air russe Viktor Bondarev.
"Nous avons invité d'autres pays. Trois pays nous ont accepté nos invitations pour l'an prochain ce qui porte à six le nombre des pays participants. J'espère que d'autres pays nous rejoindront aussi", a indiqué le général Bondarev à la chaîne de télévision Rossia 24.
"Je ne vois aucun problème pour que la France ou d'autres pays participent aussi à nos compétitions. D'autant plus que la Russie assume tous les frais", a ajouté le commandant.
L'attaché militaire du Brésil a annoncé fin juillet que son pays enverrait ses pilotes au tournoi Aviadarts 2015 où ils piloteraient des avions russes.
Le premier tournoi international de tir en avion et en hélicoptère Aviadarts s'est tenu du 22 au 28 juillet dernier dans les régions russes de Voronej et de Lipetsk. 34 équipages russes, deux équipages chinois et deux biélorusses ont pris part aux compétitions. Les attachés militaires de plusieurs pays dont l'Inde, le Pakistan, l'Egypte et le Brésil ont suivi le déroulement du tournoi.
Pendant le tournoi Aviadarts, l'aviation doit détruire des cibles terrestres en utilisant des roquettes, des mitrailleuses et des canons embarqués, et surmonter la défense antiaérienne, qui est représentée par les systèmes Pantsir-S1 et les missiles polyvalents Kornet-EM.
13 août 2014 Info-Aviation
L’Institut de développement et de recherche technique (TRDI) du ministère japonais de la Défense et Mitsubishi Heavy Industries (MHI) ont démenti l’information selon laquelle le prototype de chasseur ATD-X ferait son premier vol en janvier 2015.
Le journal Mainichi Shimbun a rapporté le 12 août que MHI avait décidé d’entreprendre le premier vol du prototype d’avion de combat ATD-X pour remplacer les Mitsubishi F-2 de l’Armée de l’Air d’Auto-Défense du Japon, en janvier 2015. Le journal n’avait pas révélé sa source.
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MOSCOU, 13 août - RIA Novosti
Les exercices de la Région militaire est de Russie dans les îles Kouriles ont été programmés à l'avance, et les "protestations résolues" des Japonais ne sont en fait qu'une nouvelle tentative d'instaurer leur domination sur ces îles, ont estimé mercredi des experts interrogés par RIA Novosti.
"La défense côtière et de débarquement est d'une importance primordiale pour l'archipel des Kouriles face à une agression éventuelle. Les manœuvres actuelles ont été programmées à l'avance. Elles y ont été toujours organisées", a notamment déclaré Konstantin Sivkov, président de l'Académie des problèmes géopolitiques.
Et de rappeler qu'aucune opération offensive n'y était rodée.
"On n'y rode que la lutte contre les bâtiments de surface et les sous-marins ennemis, ainsi que la DCA, rien de plus. Les Japonais n'ont donc rien à craindre", a expliqué l'interlocuteur de l'agence.
Le général Evgueni Boujinski s'est joint à cet avis, en qualifiant l'indignation de Tokyo de "rituelle".
"Le fait que les Japonais considèrent les Kouriles comme leur territoire les regarde. Quant à nous, nous sommes en droit d'organiser des exercices où bon nous semble sur notre territoire. Il existe des projets de rétablissement du potentiel défensif des Kouriles. Autrefois, toute une division y était déployée (…). L'organisation de manœuvres est absolument normale", a souligné l'expert.
Tokyo a protesté mercredi auprès de Moscou en raison de la tenue d'exercices militaires russes dans la zone des îles Kouriles qui font l'objet d'un contentieux territorial entre les deux pays.
Le premier ministre japonais Shinzo Abe a qualifié d'inadmissibles les exercices militaires russes dans la zone des Territoires du Nord" (nom attribué par les Japonais aux îles Kouriles, ndlr), la diplomatie nippone soulignant que les manœuvres étaient organisées par Moscou "de façon unilatérale".
Des exercices du groupe interarmes des troupes de la Région militaire est, visant à perfectionner la technique de défense côtière et de débarquement, ont commencé mardi dans les îles Kouriles. Plus de 1.000 soldats y participent ainsi que cinq hélicoptères Mi-8 et une centaine d'unités de matériel technique. Les parachutistes, l'aviation et la Flotte russe du Pacifique sont impliqués.
Les relations russo-japonaises sont assombries par un litige territorial. Le Japon revendique les îles russes constituant la partie sud de l'archipel des Kouriles (Itouroup, Kounachir, Shikotan et Habomai) se référant au Traité commercial et frontalier de 1855, qui reconnaît ces îles comme japonaises. Moscou rappelle que les Kouriles du Sud ont été rattachées à l'Union soviétique à l'issue de la Seconde Guerre mondiale et que la Russie en a hérité après la disparition de l'URSS.
La Russie et le Japon restent formellement en guerre, puisqu'aucun traité de paix n'a été conclu au terme de la Seconde Guerre mondiale.
Aug 12, 2014 ASDNews (AFP)
A group of major Japanese firms are planning a test flight next year for the nation's first homegrown stealth fighter jet, a report said Tuesday.
The consortium -- led by Mitsubishi Heavy Industries -- is developing a jet that has similar technology to US-made F-35 stealth fighters, with a prototype set for a test run in January, the Mainichi Shimbun newspaper said.
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12/08/2014 Avia news
Le Sultanat d’Oman vient de retirer du service ses derniers avions de combat de type SEPECAT Jaguar. Une cérémonie d’adieu avec un défilé aérien a ponctué le départ à la retraite du vénérable chasseur-bombardier.
Les quatre derniers SEPECAT Jaguar encore en service au sein du 8 Escadron de la Royal Air Force d'Oman ont été retirés. Ces appareils étaient en service sur la base aérienne de Thumrait.
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August 12, 2014 by David Pugliese
The Colombian Navy received three vessels from South Korea in late July, including a second-hand guided-missile corvette and two new offshore patrol vessels, according to Jane’s. The 1,723-ton corvette, formerly ROKS Anyang, was retired from Republic of Korea Navy service in 2011, and was re-commissioned as ARC Nariño, the article noted. The two OPVs were built to Colombian order at a South Korean shipyard, are to be followed by a third vessel which is currently being built in Colombia.
Aug. 13, 2014 - By MARCUS WEISGERBER – Defense News
HUNTSVILLE, ALABAMA — The Pentagon needs to fundamentally change the way it buys satellites in an effort to lower costs as US defense spending contracts, a top Air Force general said.
The military oftentimes spends between $3 billion and $5 billion to design, develop and test new satellites, Lt. Gen. John Hyten, vice commander of Air Force Space Command, said. Those so-called non-recurring engineering costs come before DoD buys an operational satellite.
"We should not have to spend billions of dollars in non-recurring engineering … to build these kinds of satellites," Hyten said Tuesday while speaking at the annual Space and Missile Defense Symposium.
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