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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 20:30
Les Kurdes, trait d'union entre Bagdad et Washington

 

12/08/2014 Par Samuel Forey – LeFigaro.fr

 

Le gouvernement autonome du Kurdistan conforte ses positions dans le pays grâce au soutien des Occidentaux.

 

Après plus d'une semaine de conquêtes sur le front kurde, les djihadistes n'avancent plus. La dernière ville à tomber a été Jalawla, lundi dernier, dans les confins sud-est du Kurdistan irakien, non loin de la frontière avec l'Iran.

L'État islamique recule, même. Pour la première fois depuis que l'organisation a jeté ses forces contre les Kurdes, les pechmergas ont pu reprendre les villes de Gweir et de Makhmour, à proximité d'Erbil. Au Gouvernement régional du Kurdistan (GRK), on souffle un peu. «La situation est toujours dramatique, on a encore des centaines de milliers de déplacés, mais au moins, cette crise a montré que le Kurdistan était une province stable et que le GRK restait solide et fiable. Mais la bataille est loin d'être finie», estime Dindar Zebari, un responsable au département des Relations extérieures du GRK.

 

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 20:30
One of two FDHS is installed aboard the Cape Ray in Army's Edgewood Chemical Biological Center, Jan. 2, 2014. DOD photo by C. Todd Lopez

One of two FDHS is installed aboard the Cape Ray in Army's Edgewood Chemical Biological Center, Jan. 2, 2014. DOD photo by C. Todd Lopez

 

WASHINGTON, 12 août - RIA Novosti

 

Les spécialistes militaires et civils chargés de détruire les armes chimiques évacuées de Surie ont neutralisé la totalité du gaz sarin syrien à bord du cargo roulier américain MV Cape Ray en Méditerranée, a annoncé mardi le Pentagone.

 

Selon le porte-parole du Pentagone Steve Warren, l'équipe a détruit au total 581 tonnes d'agents destinés à produire du gaz sarin et a procédé à la neutralisation de 19,8 tonnes d'agents destinés à fabriquer du gaz moutarde (ypérite).

 

Le navire Cape Ray se trouve dans les eaux internationales depuis juillet. Son équipe doit neutraliser les armes chimiques syriennes au moyen de deux systèmes d'hydrolyse déployable (FDHS) d'ici fin août.

 

La Syrie a accepté en octobre 2013 la proposition russe de remettre ses armes chimiques et substances toxiques à la communauté internationale pour destruction. Au total, près de 1.300 tonnes d'armes chimiques ont été retirées de Syrie. Cela a permis aux Etats-Unis de renoncer à porter une frappe contre la Syrie qu'ils accusaient d'avoir utilisé des armes chimiques contre les civils.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 19:50
USS George H.W. Bush aircraft continue sorties to attack ISIL terrorists in Iraq


12 août 2014 US Navy

 

ARABIAN GULF (Aug. 11, 2014) F/A-18 Hornets and Super Hornets launch from catapults aboard USS George H.W. Bush (CVN 77) . Bush is operating in the Arabian Gulf on a scheduled deployment to U.S. 5th Fleet. The president has authorized U.S. Central Command to conduct military operations in support of humanitarian aid deliveries and targeted airstrikes in Iraq to protect U.S. personnel and interests, in response to activities conducted by Islamic State in Iraq and the Levant (ISIL) terrorists. (U.S. Navy video/Released)

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 19:30
How UK Get Humanitarian Aid to Iraq


12 août 2014 British Forces News

 

RAF Tornados have left RAF Marham this afternoon bound for Cyprus from where they will conduct surveillance missions over Northern Iraq.

Meanwhile, the RAF has dropped a second batch of aid to thousands of people trapped on a mountain as they flee advancing Islamic State militants.

The MOD are now also considering the use of RAF Chinooks for humanitarian work in the area.

The batch included more than fifteen thousand litres of clean water as well as solar lamps.

The nerve centre for the operation is at the former RAF Airfield at Kemble in Gloucestershire from where Tim Cooper reports.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 17:35
USA: Multilateral Exercise SEACAT 2014 Begins in Singapore, Continues Throughout Southeast Asia


12 Aug 2014 Pacific Sentinel

 

From Commander, Task Force 73 Public Affairs

 

<< Officers taking part in a previous SEACAT exercise work together in Singapore. (Singapore Ministry of Defence file photo)

 

SINGAPORE - The 13th annual Southeast Asia Cooperation and Training (SEACAT) exercise commenced at the Republic of Singapore Navy's Multinational Operations and Exercises Center (MOEC) Aug. 11.

 

Focused on regional cooperation to address shared maritime security challenges like piracy, smuggling and other illicit activities at sea, SEACAT brings together liaison officers from Brunei, Indonesia, Malaysia, the Philippines, Singapore, Thailand, and the United States to collaborate and coordinate practical responses to a number of realistic scenarios.

 

"As maritime nations that depend on the free flow of commerce at sea, we share an interest in addressing these challenges and recognize that none of us has enough resources to do it alone," said Rear Adm. Charlie Williams, commander of the U.S. 7th Fleet's Task Force 73 and executive agent for SEACAT, who delivered opening remarks at the MOEC.

 

 

During the five-day command post exercise (CPX), liaison officers will receive simulated reports of suspect vessels in the Straits of Singapore and Malacca, the Andaman Sea or the South China Sea. After sharing information from all available sources, such as Singapore's Information Fusion Center (IFC), Malaysia's International Maritime Bureau (IMB), or the Philippines' Coast Watch System, the LNOs will develop and implement response plans during a concurrent field training exercise (FTX). Based on the situation, aircraft and ships from participating navies will investigate and conduct on scene boardings as necessary.

 

This year's exercise incorporates maritime search and rescue (SAR) scenarios as well as participation by regional coast guards, like the Malaysian Maritime Enforcement Agency (MMEA).

 

"We're all mariners here and I'm pleased that organizations like Malaysia's MMEA are part of the mix this year," said Williams. "Coordination between navies, coast guards and marine police is a big part of getting after maritime security challenges, especially those that overlap with international and territorial waters."

 

Several staff members from the forward deployed Destroyer Squadron (DESRON) 7 are also on hand to participate as U.S. LNOs and to run the CPX scenario.

 

"For the second year in a row, DESRON 7 is looking forward to participating in this year's SEACAT exercise," said Capt. Fred Kacher, DESRON 7 commodore. "Exercises like this help to strengthen partnerships so we are ready to respond as one team to challenges whenever they arise in this incredibly important maritime region."

 

SEACAT, which began in 2002 under the name "Southeast Asia Cooperation Against Terrorism," was renamed in 2012 exercise to expand the scope of training among regional navies and coast guards. Participating U.S. forces include staff from Commander, Task Force 73, Destroyer Squadron (DESRON) 7, the guided missile destroyer USS Wayne E. Meyer (DDG 108), the fleet replenishment oiler USNS Rappahannock (T-AO 204) and a P-3C Orion maritime patrol aircraft.

 

US Pacific Fleet

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 16:55
photo EMA

photo EMA

 

12/08/2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord - Défense Globale

 

Si l'Union européenne (ou l'OTAN via l'ONU) décidait, dans les prochains jours ou les prochaines semaines, de prêter main forte militairement aux Etats-Unis pour bombarder les positions de l'Etat islamique en Irak, différents scénarios se proposent pour l'armée de l'air française...

C'est le rôle de la planification que l'on imagine de plus en plus chaude.

 

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 16:50
photo EMA

photo EMA

 

12.08.2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord - Défense Globale

 

À chaque crise aiguë de ce bas monde, on désespère. Des atermoiements de l’Europe, géant économique aux petits pieds diplomatiques. L’exemple du drame irakien effraie. Les ambassadeurs des vingt-huit se réunissent aujourd’hui en urgence tandis que le Royaume-Uni et la France, de leur initiative bien nationale, expédient déjà de l’aide humanitaire.

 

Le complexe européen est là, originel. Comment voulez-vous prendre rapidement et efficacement une décision à vingt-huit ? Vingt-huit histoires, vingt-huit cultures, vingt-huit mémoires, vingt-huit politiques, vingt-huit intérêts, vingt-huit paroles ? La prudence européenne est rédhibitoire. Chacun pense à sa nation avant de penser Europe. C’est ainsi.

On a attendu en vain ce lundi une déclaration de Catherine Ashton, la Haute Représentante pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité de l’Union européenne. Un joli titre, bien ronflant, comme le Service européen pour l’action extérieure (SEAE), le corps diplomatique de l’UE.

La Britannique est sur le départ fin octobre, en même temps qu’Herman Van Rompuy, le président du Conseil, et Javier Barroso, celui de la Commission. Elle ne laissera pas un grand souvenir mais la responsabilité est partagée. Entre les grandes puissances européennes, la France, le Royaume-Uni, l’Allemagne, qui refusent d’abandonner une once de prérogatives sur les sujets internationaux. Qui se retrouvent, s’éloignent et s’isolent au gré des dossiers et du vent.

Sur un autre sujet, allez demander à un Polonais, à un Balte ce qu’il pense viscéralement du voisin russe, tandis que l’Allemand est son premier fournisseur ?

De retour de Bagdad et Erbil, Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères, s’est fendu d’un communiqué, promis aux Kurdes, pour exhorter à l’action Mme Ashton et la commissaire à l’action humanitaire, la Bulgare Kristalina Georgieva (et candidate à la succession de la Britannique avec l’Italienne Federica Mogherini).

Devant le drame qui se joue à ses portes, l’Europe ne peut rester inactive. C’est un impératif moral (…) C’est aussi ce qu’exigent l’intérêt stratégique européen et la défense des libertés », écrit-il avec emphase. On lit entre les lignes : pour agir, la France n’a jamais eu besoin de l’Europe, c’est donc qu’en Irak, elle ne le souhaite pas vraiment, déjà très sollicitée en Afrique. Les Kurdes veulent des armes mais l’UE n’en a pas contrairement aux nations.

Voilà où en est l’Europe, condamnée à faire illusion, à froncer les sourcils, à servir de paravent.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 16:40
KRET Photo Marina Lystseva

KRET Photo Marina Lystseva

 

12 Aug 2014 by Rostec
 

During the 3rd International Forum “Engineering Technologies-2014”, and the 2nd International Exhibition of Weapons, Technology, and Innovations “Oboronexpo-2014”, KRET will for the first time present various systems for the on-board avionics equipment to be used in drone models.

 

KRET will present a universal on-board system that can be used for both military and civilian unmanned airplanes and helicopters. The concern will also present recent innovations from fifteen of its subsidiaries for unmanned aircraft operating systems, including flight control and navigation systems, fuel systems, computer systems, and more.

“KRET is proactively developing advanced avionics systems for both military and civilian unmanned aerial vehicles,” said Andrey Tyulin, KRET Deputy CEO for strategic planning and state defense orders. “We will present more than twenty innovations for the first time, including piloting, fuel, and cable systems for unmanned aerial vehicles of any type.”

KRET will also demonstrate a unique digital multifunction radar system developed by Phazotron. The radar can detect and track air, ground, and surface targets; issue targeting information to other drone systems; adjust navigation tasks; and generate surface radar images at a specified resolution.

We will present more than twenty innovations for the first time, including piloting, fuel, and cable systems for unmanned aerial vehicles of any type.

Andrey Tyulin, KRET Deputy CEO for Strategic Planning and State Defense Orders.

The exhibition will also feature an integrated control system developed by the Design Bureau of Industrial Automation for unmanned helicopters, as well as test flight information registers and cockpit displays. Another innovation to be presented is a model of the VVS-V3-2 flight information calculator. Designed by the Ulyanovsk Instrument Design Bureau, it transmits information about the altitude and speed of the aircraft necessary for flight control to the drone’s navigation and piloting system.

KRET will also present a gimbal-free inertia system made by the Moscow Institute of Electromechanics and Automation. The system can determine the location of the aircraft as well as collect, process, and deliver complex navigation and flight information. The KRET enterprise Avia-Automation named for V. V. Tarasov will also present a weapons control system.

The drone technology exhibit will occupy its own space in KRET’s multimedia pavilion, which takes up 1,800 square feet. KRET’s open displays will occupy 660 square meters. For the first time new innovations in the field of electronic intelligence and warfare will also be presented. A total of 41 enterprises will be represented at the KRET exhibit. In order to review background information about KRET and learn about the exhibition’s features, a special app can be downloaded to a smartphone. Guests can also use the multi-touch smart display at the KRET exhibit.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 16:40
Chasseur Su-30SM Photo groupe Irkout

Chasseur Su-30SM Photo groupe Irkout

 

MOSCOU, 12 août - RIA Novosti

 

Le prix d'un avion de combat russe dernier cri, tel qu'un Su-34,  Su-30 et Su-35, dépasse un milliard de roubles (20,7 millions d'euros), a annoncé mardi aux journalistes le commandant en chef de l'Armée de l'air russe, le général Viktor Bondarev.

 

"Notre armée s'équipe de matériel sophistiqué dont le prix est énorme, un avion Su-30, Su-35, Su-34 coûtant plus d'un milliard de roubles", a indiqué le général dans une interview accordée à la chaîne télévisée Rossia-24.

 

Selon le général, l'exploitation efficace de ces avions nécessite un réseau moderne d'aérodromes. Actuellement, près de 150 aérodromes sont exploités en Russie, la plupart ayant été construits à l'époque soviétique.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 16:40
Sukhoi T-50 PAK FA

Sukhoi T-50 PAK FA

 

MOSCOU, 12 août - RIA Novosti

 

La Russie réalise 23 projets technologiques en vue de créer des armes de 6e génération, a déclaré mardi le vice-premier ministre russe Dmitri Rogozine.

 

"La Russie réalise 23 projets conformément au programme du Fonds des projets de recherche avancés (FPI). Le nombre des projets sera porté à 40 d'ici la fin de l'année. Chaque projet du Fonds est un pas vers la création des armes de 6e génération", a indiqué M.Rogozine dans un article publié par la revue Défense nationale.

 

Selon M.Rogozine, les meilleures entreprises de l'industrie de défense russe mettent en place des laboratoires autonomes pour réaliser ces nouveaux projets.

 

Les Forces armées russes utilisent actuellement des armes et matériels de 3e et 4e génération. Mais certains spécialistes qualifient d'avion de 5e génération le chasseur T-50, qui sera mis en dotation dans l'armée de l'air russe en 2016.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 16:40
Russia: Send In Troops To Fix And Annex It

 

August 12, 2014: Strategy Page

 

Ukrainian security forces have been pushing back pro-Russian rebels in eastern Ukraine for weeks now. Because this means a humiliating defeat for Russian efforts to annex the Donbas there is fear that the Russians will escalate. Ukraine and the rest of the world are waiting to see if Russia will admit defeat or escalate by sending heavily armed “peacekeepers” into Donbas “for humanitarian reasons” to “pacify” the area by expelling Ukrainian troops and annex Donbas. This would make Russia an international outcast, subject to more sanctions and be a major setback for the Russian economy. The two Ukrainian provinces (Donetsk and Luhansk) which comprise the Donbas contain about nine percent of Ukrainian territory, 13 percent of the population and 15 percent of the GDP. Donbas is about 38 percent ethnic Russian. For Ukraine, the Donbas is worth fighting for where Crimea was not. The two provinces comprising the Donets Basin (or “Donbas”) were for a long time an economic powerhouse for Soviet Russia. But that began to decline in the 1980s and accelerated when the Soviet Union fell and Ukraine became independent in 1991.

 

This looming defeat in Ukraine angers Russia, where senior politicians have portrayed the Ukraine situation as all the fault of the West which was seeking to turn Ukraine into an enemy of Russia (which Ukrainians prefer) rather than a part of a Russian empire (which Russians prefer). Bad relations between Russia and Ukraine go back over a thousand years but Russians still claim Ukraine is theirs and consider any disagreement over that attitude to be a hostile act towards the Russian people. The current Russian leadership is backing this myth but that support is becoming a lot more expensive than originally expected. The West sees the Russian efforts in Ukraine as a return to ancient forms of politics which began to die out in the 20th century. This ancient “create a crises and send in troops to fix and annex it” has been used for thousands of years to justify acquiring more territory. Most large nations used it to a greater or lesser extent to become large nations. This sort of thing had gone out of fashion by the late 20th century and Russia is being widely and loudly criticized for trying to drag the world back to a savage past most people want to move away from.

 

Despite continued Russian denials that they have anything to do with the Donbas rebels more proof keeps showing up, including recent incidents where Russian soldiers serving with the rebels posted pictures and comments on social media sites. The U.S. has released satellite photos of Russian artillery firing into Ukraine and Russian armored vehicles and trucks loaded with weapons and ammo entering Donbas. Russia denounces all this as falsifications but most Russians seem to believe it, even if many would rather not.

 

This war has been going on since April and has left at least 1,300 dead so far. About 44 percent of those dead were Ukrainian troops and most of the rest were rebels. Civilian deaths have been low because both rebels and troops have avoided attacking civilians. The fighting has caused nearly 300,000 civilians in the Donbas to flee their homes. 

 

Meanwhile Russia is demonstrating its displeasure with the rest of the world in other ways. Since the Malaysian airliner (MH17) was shot down on July 17th by a Russian anti-aircraft missile Russia has moved aggressively against the Western nations is accuses of plotting against them. Thus Russian warplanes were ordered to be more aggressive against the United States. That resulted in a spike (at least 16 incidents) in Russian warplanes flying into the American air defense identification zone (where unidentified aircraft flying near American air space are called on to identify themselves). Russian warplanes also made threatening moves towards an American reconnaissance aircraft (an RC-135 Rivet Joint) in international air space over the Baltic on July 18th. Russia also claims to have chased an American nuclear sub out of arctic waters. That last one may have been made up.

 

August 11, 2014:  Russia announced it will send in a humanitarian aid convoy to Ukraine. This resulted in protests from Ukraine and dozens of other countries who fear this is just a cover for a Russian invasion and annexation of Donbas. Russia has at least 20,000 combat troops just across the border from Donbas. Ukraine has gotten Russia to agree that there would be no “military escort” for such an aid convoy. Ukraine does not trust Russia because Russian leaders had lied time and again during this crisis which began in late 2013 when a Russian attempt to bribe Ukrainian politicians to block a popular effort to link the Ukrainian economy with the West rather than Russia fell apart because of massive popular protests. Meanwhile Russia organized a convoy of 280 trucks loaded with humanitarian aid to Donbas. This is being done in cooperation with the UN and Red Cross, in part to assure the world that this is not part of an invasion plan. The trucks are to enter Donbas today or tomorrow.

 

The growing list of economic sanctions on Russia are doing damage, even though the government plays down the impact. More Russians are feeling it and there is a general (and accurate) fear of an economic recession as a result of the Ukraine crisis. Many Russians fear the Ukrainian land-grab will cause major economic damage, to both Russia and the many foreign nations that have invested in Russia over the last two decades.  Huge amounts of Russian and foreign cash has already fled the country and most foreign investment plans are dead or on hold. The IMF (International Monetary Fund) believes the Russian economy is now in recession. This is not so much because of the sanctions, but because investors (Russian and foreign) see the Ukrainian adventure ending badly for Russia and until it is clear that the outcome is otherwise, are getting their money to a safer place.  The damage to foreign investors is even larger, with over a trillion dollars’ worth of foreign investments at risk because they consist of land, structures and equipment that cannot be moved as easily as cash. This is similar to the financial bath Western investors took a century ago as Russian entered World War I and eventually fell apart in a civil war and came back to life as the Soviet Union, which repudiated foreign debts and seized most foreign property. It’s déjà vu all over again.  The more financial damage Western investors suffer the more reluctant they will be to return to Russia in the future. Since Russia has lots of development potential but insufficient cash to make the most of it, this lack of foreign investment

 

August 10, 2014: In eastern Ukraine (Donetsk) Ukrainian troops continued to take territory from pro-Russian rebels and are getting closer to taking the city of Donetsk. The rebels have asked for a ceasefire but the Ukrainians see that as a sign of weakness and an effort to give Russia time to decide on a plan to save the rebels from certain defeat.

 

August 9, 2014: In eastern Ukraine (Donetsk) Ukrainian troops completed their encirclement of Donetsk when they drove rebels out of the town of Krasnyi Luch. All the main roads into the city are now controlled by the army and desertions among rebels in the city are on the rise.

 

August 7, 2014: In eastern Ukraine (Lugansk) 15 Ukrainian troops died in several clashes. Much of the fighting was along the Russian border, where Russia continues to send in ammo, heavy weapons and other supplies for the rebels. Elsewhere in Donbas the Russian leader of the pro-Russian Donetsk People's Republic quit and was replaced by a Ukrainian born man who said he only wanted “moral support” from Russia. Locals reported that many of the Russian “volunteers” among the Donetsk rebels were deserting and heading back to Russia. The more pro-Russian rebels openly denounced all this as Russia abandoning them to certain defeat at the hands of advancing Ukrainian troops.

 

In response to growing Western economic sanctions Russia has retaliated by banning all Western food imports. While this will hurt some Western firms, many Russians complain that it will hurt Russia more. Naturally these comments don’t get much coverage in the state-controlled mass media but the story, with lots of embarrassing (to the Russian government) details are all over the Internet.

 

Russia has agreed to provide Kyrgyzstan with half a billion dollars in economic aid in order to get Kyrgyzstan to join the Eurasian Economic Union. Back in May Belarus and Kazakhstan were persuaded to join this new economic union with Russia. The Eurasian Economic Union will become effective in 2015 and will allow goods to move freely in all member countries without customs levies. Armenia and several other nations are also considering joining. Kazakhstan has also agreed to become part of a unified multi-national air defense system sponsored by Russia. Belarus has also agreed to join and Armenia, Uzbekistan and Tajikistan are also expected to sign on as well.  All this is more than helping out a neighbor with their defense needs. This is the less violent Russian approach to rebuilding their empire. For over a decade Russia has been proposing things like customs unions, military cooperation and rebuilding the old Soviet air defense system that used to defend everyone in the empire. Ukraine refused to consider joining the union or air defense system and made it clear it preferred closer ties with the West. Russia took violent exception to that attitude.

 

August 6, 2014: In eastern Ukraine (Donetsk) near the site of the MH17 crash rebels killed ten Ukrainian soldiers in an ambush.

 

Russia confirmed (after first denying it) that it will go through with a $20 billion barter deal with Iran. Under this agreement Iran will ship oil to Russia (itself a major oil exporter) in return for an equal value of manufactured items. This deal violates the sanctions on Iran and means Russia will risk lawsuits and more sanctions on itself. Previously Russia denied this Iranian deal was being negotiated, then Russia admitted the deal existed but complained that the United States was interfering by threatening to punish Russia for violating the international sanctions against Iran. Russia will get the Iranian oil (about 500,000 barrels a day) at a discount and then export it along with most Russian oil at the world price and make a profit. Russia will ship manufactured goods at undiscounted prices to Iran, so Russian manufacturers will also make money. But Iran will be able to boost its exports considerably despite the sanctions.

 

August 3, 2014: In eastern Ukraine (Donetsk) pro-Russian rebels went public with pleas for Russia to send more military aid. The rebels are falling back as Ukrainian troops continue advancing, despite losses. The rebels always believed that Ukrainian troops would not fight so hard to retake the Donbas. But the Ukrainian government was able to rally and motivate the country to carry out a successful military and diplomatic campaign to defeat the rebels.

 

August 2, 2014: In eastern Ukraine (Donetsk) things quieted down enough around the site of the MH17 crash that international crash investigators got get some work done and also recover more bodies.

 

August 1, 2014: In Russia a new law went into effect that gives the state control over blogs. From now on any blog with more than 3,000 visitors a day must register with the government, providing the true identity of the owner and operator of the blog. Russia already has a bunch of laws allowing the government to punish misbehaving journalists (who say anything the government does not like.) While there are many ways Russian bloggers can get around this new censorship that may not be necessary. Blogging is being replaced by other forms of social media. That, and the availability of so many Internet tools to get around censorship attempts make the latest government ploy more of an annoyance than a step towards effective censorship of the web. Russia is trying to crack down on the Internet but is having limited success.

 

July 31, 2014: In eastern Ukraine (Donetsk) rebels and Ukrainian troops continue fighting near the site of the MH17 crash. The Ukrainian troops are winning and the fighting is expected to soon move away from the crash site.

 

July 27, 2014: In eastern Ukraine (Donetsk) 18 died in several clashes. The fighting continued to block access to the site of the crash of flight MH17. So far the bodies of 227 of the 298 crash victims bodies have been found and sent back to Netherlands (where most of the victims are from) but the continued violence by pro-Russia rebels has blocked efforts to finish collecting bodies and evidence of what caused the crash.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 16:35
Les militaires russes participeront à des exercices en Chine

 

11.08.2014 Par La Voix de la Russie

 

Environ 900 militaires russes de la région militaire Est sont partis pour la Chine où ils participeront aux exercices de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) Mission de paix 2014.

 

Les manoeuvres auront lieu du 24 au 29 août avec la participation des contingents des cinq pays de l'OCS, à savoir la Russie, le Kazakhstan, le Kighizistan, la Chine et le Tadjikistan.

 

Les exercices engageront plus de 7 000 militaires des Etats membres de l'OCS.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 16:35
Response teams in Able Response Exercise 13

Response teams in Able Response Exercise 13

 

SEOUL, 11 août (Yonhap)

 

Les autorités militaires et sanitaires de la Corée du Sud et des Etats-Unis organiseront cette semaine un exercice de simulation conjoint pour renforcer leur capacité à faire face aux menaces biologiques et à l'apparition de maladies, a déclaré ce lundi le ministère de la Défense.

 

L'exercice annuel de lutte contre le terrorisme biologique, «Able Response 14», a commencé ce lundi et se déroulera jusqu'à jeudi avec la participation de plus de 200 personnes des ministères de la Défense, des autorités sanitaires et d’agences gouvernementales des deux pays à l'Institut coréen pour les analyses de défense (KIDA) à Séoul.

 

Au cours de l'exercice de cette année, le quatrième du genre, les participants examineront les systèmes des deux pays pour réagir contre les menaces biologiques et l'apparition de maladies, comme le virus Ebola, et chercheront des moyens de coopération.

 

«Grâce à cet exercice, la capacité de réponse face aux menaces biologiques des deux pays s'améliorera», a indiqué un responsable du ministère de la Défense.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 16:30
IDF artillery forces fire in the Gaza Strip as part of Operation Protective Edge photo Tsahal

IDF artillery forces fire in the Gaza Strip as part of Operation Protective Edge photo Tsahal

 

August 12, 2014: Strategy Page

 

 It was recently revealed that the United States allowed Israel to take ammo from American stocks stored in Israel because of some shortages created by the fighting with Hamas. Allowing Israel to draw on thes American stocks is a courtesy because Israel allows the U.S. store the stuff there and helps keep it all safe. Moreover, the U.S. has to use or dispose of ammo once it exceeds its shelf life. So selling older stuff to Israel when Israel needs it helps both countries.

 

 Since 2006 the United States has been building war reserve stocks (large quantities of ammo and spare parts needed to support intense action at the start of a war) in Israel to support possible American operations in the Middle East. The U.S. also has such stocks in the United States and during the Cold War maintained them in Europe as well. Recently the U.S. has been reducing war reserve stocks in South Korea, often selling the ammo and spares to South Korea.

 

Some pundits accuse the U.S. of using the war reserve stocks angle as an excuse to maintain large supplies of ammo and other military material in Israel just for the use of Israel. In practice such has not been the case. The American stocks in Israel were drawn upon by U.S. forces in Iraq and Afghanistan after 2006. Moreover Israel helped the U.S. deal with small arms ammunition shortages before and after 2006 by taking ammo from their own stocks and selling it to the Americans. All this is the sort of thing allies do for each other.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 14:50
A400M at Washington

A400M at Washington

 

Tuesday 12 August - Norbert Thomas  News & Press updates

 

Although the German Air Force will receive the first own A400M "Atlas" planned in November 2014 - and Belgium in 2018 - both nations can already use the services of the new European transport aircraft: On 09 August 2014, the A400M flew for the first time German part load out of Cologne military airport towards Washington Dulles airport. MSN008 (military 0008/F-RBAB) returned today from the Canada with first Belgian and additional French partload on board - having since then crossed some international borders…

Crossing new borders


The original mission - led by two French crews on board - was to carry out French aircraft equipment out of Orléans, where all three EATC assigned (and French) A400M are actually stationed. When also air transport requests from Belgium and Germany found their way to the EATC, it turned out, that all three nations could be serviced with one combined mission. This mission was consequently designed in a way that the aircraft was first to land in Cologne-Wahn. The aircraft then turned over to Shannon (Ireland) for a fuel stop. Crossing the Atlantic the Atlas entered Washington Dulles Airport in the late evening, where the aircraft lifted its cargo bay – the German partload was addressed to the German detachment at Holloman Air Force Base (New Mexico). The planned flight path sent the aircraft further to Calgary (Alberta, Western Canada), where it took up the Belgian as well as additional French partload. After a planned fuel stop at Quebeck City (Quebeck, Eastern Canada), the aircraft again headed over the Atlantic towards Brussels military airport at Melsbroek, where MSN008 arrived at 10.15 local. Finally reaching its home base, the “Atlas” had covered a total distance of more than 10.000 nautical miles, nearly 20.000 kilometers.

 

Mission overview


Always in the starting blocks


Watching this remarkable aircraft diving through the skies is also due to many EATC impulses within its Functional Division, where aircraft specialists of the EATC Participating Nations created successfully a number of concepts to accelerate the aircrafts introduction into the national Air Forces.  
 “We have made our homework yet”, remarks EATC Commander, Major General Christian Badia, as EATC provides guidance and know-how, e.g. by enhancing many interoperability measures around the new aircraft - thus decreasing later expensive harmonization procedures. “When in a few months the first German A400M touches the ground of Air Transport Wing 62 in Hannover-Wunstorf, the German Air Force can rely on us when it comes to functional and operational issues on this very modern aircraft. By the way, this first complex A400M mission with international payload indicates, that EATC gathers all the momentum, taking action and care to make the A400M introduction a success – in functional as well as in operational matters. And it (EATC) has to, because in less than one decade we run a hundred of this remarkable aircraft.”   

Find more about the A400M evolution here


 

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 13:30
Mistral: la Russie ne paiera sa commande à la France qu'à la réception du deuxième navire

La Russie, l'un des plus grands importateurs de matériel militaire et de technologies, a signé en 2011 un contrat officialisant l'achat à la France de deux navires de guerre Mistral pour 1,2 milliard d'euros.

 

12/08/2014 latribune.fr

 

Alors que Paris conditionne la livraison du deuxième porte-hélicoptère à "l'attitude de la Russie" dans la crise ukrainienne, Moscou dit vouloir faire "valoir ses droits jusqu'au bout" en cas de rupture du contrat.

 

"Le paiement final, en accord avec le contrat signé, sera fait en novembre 2015 après la livraison du second navire." Le directeur du groupe public d'armement russe Rosoboronexpor, Anatoli Issaïkin, a annoncé la couleur dans une interview à l'agence russe Itar-Tass.

Tant que les deux porte-hélicoptères Mistral ne seront pas livrés à la Russie, rien ne sera donc payé à la France. Si un seul navire est livré, il en sera de même. La Russie a averti la France qu'elle "fera valoir ses droits jusqu'au bout" en cas de rupture du contrat.

La deuxième livraison dépendra "de l'attitude de la Russie"

Fin juillet, le président français François Hollande avait assuré que le premier bâtiment serait envoyé comme prévu en octobre 2014, tandis que la livraison du deuxième bâtiment dépendra, elle, "de l'attitude de la Russie".

La Russie, l'un des plus grands importateurs de matériel militaire et de technologies, a signé en 2011 un contrat officialisant l'achat à la France de deux navires de guerre Mistral pour 1,2 milliard d'euros.

Une livraison "totalement inappropriée"

Mais la crise en Ukraine, qui a plongé Occidentaux et Russes dans leur plus grave confrontation depuis la fin de la Guerre Froide, a mis Paris en porte-à-faux face à ses partenaires occidentaux: les États-Unis ont qualifié la livraison des Mistral de "totalement inappropriée". L'Union européenne a lancé début août une troisième salve de sanctions, cette fois visant le coeur de l'économie russe.

Pour le président russe Vladimir Poutine, Washington fait du "chantage" à la France afin qu'elle ne remplisse pas ses obligations contractuelles envers Moscou.

Vladimir Poutine a par ailleurs annoncé fin juillet vouloir réduire les importations militaires européennes et assuré que la Russie est "tout à fait" capable de produire tout ce dont le pays a besoin.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 12:55
Herve Guillou - photo ensta-bretagne

Herve Guillou - photo ensta-bretagne

 

12 Août 2014 Par Marine & Océans

 

Apres la récente ratification par le Président de la République de la proposition du Conseil d'administration de DCNS, Hervé Guillou est donc désormais très officiellement reconnu comme Président du Conseil d'administration et Président directeur général du groupe francais, leader mondial du naval de défense, point d'orgue à un parcours professionnel particulièrement riche.

 

Hervé Guillou a commencé sa carrière en 1978 au sein de la direction des constructions navales, d'abord à Cherbourg puis à Nantes-Indret. Il a ensuite rejoint, en 1989, la Direction Générale pour l'Armement (DGA) à Paris où il a exercé les responsabilités de directeur de Cabinet. En 1993, il est nommé Directeur du programme international tripartite (Royaume-Uni, Italie, France) des frégates antiaériennes Horizon. En 1996, il devient Directeur général délégué de la société d'ingénierie nucléaire Technicatome, filiale d'Areva. En 2003, il rejoint le groupe EADS comme Président directeur général d'EADS space transportation, business Unit franco-allemande en charge, en particulier, de la maîtrise d'oeuvre du lanceur Ariane et du programme de missiles balistiques M51. En 2005, Hervé Guillou devient Président directeur général de la business unit Defence and communications systems basée à Munich d'EADS/Cassidian (devenue Cassidian Systems). En 2011, il crée Cassidian cyber security dont il devient Président directeur général. De septembre 2012 à janvier 2014, il est Senior advisor defence and security d'EADS. Hervé Guillou est diplômé de l'Ecole Polytechnique, de l'ENSTA ParisTech (École nationale supérieure de techniques avancées), de l'INSTN (Institut national des sciences et techniques nucléaires) et de l'INSEAD.

 

"C'est un honneur et une fierté pour moi de rejoindre DCNS qui sous l'impulsion de mes prédécesseurs et de leurs équipes s'est transformé en société industrielle et a affiché de nouvelles ambitions stratégiques, a-t-il déclaré. DCNS est aujourd'hui un leader mondial du naval de défense et se développe sur de nouveaux marchés. Je connais DCNS pour y avoir fait mes débuts professionnels et avoir travaillé en relation avec le secteur naval tout au long de ma carrière. Je me reconnais dans ses valeurs et suis admiratif de ses savoir-faire techniques et de sa capacité à gérer des programmes industriels complexes. J'ai toute confiance dans le talent de ses équipes pour relever avec succès les défis opérationnels et stratégiques des années à venir et mener son développement tout en assurant sa rentabilité en France et à l'international ».

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 12:50
BAE Systems va construire trois patrouilleurs pour la Royal Navy

 

Londres, 12 août 2014 marine-oceans.com (AFP)

 

Le ministère britannique de la Défense a confié mardi à BAE Systems un contrat pour la construction de trois navires patrouilleurs d'une valeur totale de 348 millions de livres (436 millions d'euros).

 

Ils seront construits sur les chantiers de Glasgow en Écosse, pour une première livraison à la Royal Navy en 2017, a précisé le ministère dans un communiqué.

 

Ces navires, d'une longueur de 90 mètres et capables d'accueillir un hélicoptère, doivent servir pour des opérations de lutte contre le terrorisme, la piraterie et les trafics illégaux.

 

BAE Systems a déjà livré trois bateaux de ce type à la marine brésilienne qui les a notamment utilisés pour sécuriser la côte de Rio de Janeiro durant la coupe du monde de football. La marine thaïlandaise dispose pour sa part d'un exemplaire fabriqué localement avec l'aide du groupe de défense britannique.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 12:35
L’espace, nouvelle arène de rivalité entre le Japon et la Chine

 

12/08/2014 Par Natalia Aantakolskaïa, La Voix de la Russie – RIA Novosti

 

Le projet japonais de création de troupes spatiales risque de provoquer une dégradation des relations sino-japonaises et d’exacerber la rivalité entre les deux pays dans le domaine de l’aérospatiale, selon le pronostic de l’expert du Centre des recherches japonaises Viktor Pavliatenko. L’approbation par le ministère de la Défense du projet de formation d’une unité spatiale des forces d’autodéfense est un nouveau pas vers le renforcement du potentiel militaire du Japon, estime l’expert.

 

Le principal objectif déclaré de la nouvelle unité consiste à suivre la trajectoire des débris spatiaux. En d’autres termes, il s’agit de prévenir la collision entre de vieux satellites hors de service et des fragments de missiles avec des appareils du groupe spatial japonais. Mais, les Japonais ne créent pas ces forces militaires uniquement pour lutter contre les débris spatiaux. La tension politique dans les relations de Tokyo avec Pékin crée toutes les conditions pour utiliser les capacités du nouveau groupe afin de mieux surveiller l’activité militaire de la Chine.

 

«Ce processus est réalisé par tous les moyens disponibles, et notamment à l’aide des groupes spatiaux à la disposition du Japon»,explique l’expert du centre des recherches japonaises Viktor Pavliatenko. « Le Japon affirme avoir déjà surveillé des tirs nucléaires de la Corée du Nord et résoudre ainsi les questions liées à la sécurité nationale. Mais les satellites du pays récoltent la même information sur la Chine, et le font depuis longtemps, ce qui est naturel. Les nouvelles unités spatiales vont élargir la gamme de contrôle, car elles se doteront d’un soutien supplémentaire sous forme de stations de surveillance terrestre, de radars et de télescopes».

 

Le Japon réfléchit à la nécessité de renforcer le contrôle de l’espace après le test réussi d'un missile antisatellite chinois en 2007. Un an plus tard, Tokyo a même modifié sa loi limitant les recherches spatiales au domaine scientifique. En juillet, la Chine aurait à nouveau lancé une fusée dans l'espace pour détruire les vaisseaux spatiaux. Et l’approbation par le ministère de la Défense du Japon du projet de formation des forces spatiales a coïncidé avec ce lancement.

 

«Il est absolument évident que ce n’est pas le degré de concurrence entre la Chine et le Japon qui augmente, mais le niveau de rivalité. Les deux pays sont passés d’une phase à une autre », poursuit Viktor Pavliatenko. « La Chine dépasse déjà le Japon dans de nombreux domaines de l’armement. C’est pourquoi la dimension concurrentielle du facteur spatial se renforce. La Chine a progressé assez loin dans cette rivalité : elle lance déjà ses stations spatiales habitées. Et son potentiel est suffisamment élevé. La Chine est devenue l'une des plus grandes puissances spatiales, et en termes de rivalité avec la RPC, le Japon est en train de perdre la bataille.»

 

Pékin réagit très mal à toutes ces tentatives du gouvernement de Shindzo Abe de réviser la nature pacifiste de la Constitution japonaise. Et en particulier doter ses Forces d'autodéfense des fonctions d’armée d’offensive. La légalisation de l’aérospatiale militaire est un facteur qui agace Pékin, est convaincu Victor Pavliatenko.

 

«Cela pourrait amener la Chine à entreprendre de nouvelles actions, d’intensifier l’activité de sa politique extérieure, qui est déjà suffisamment active. Et c’est un nouveau pas idéologique en avant pour les Japonais. Etape par étape, le Japon essaie de s’approcher de l’objectif que de nombreux dirigeants auraient appelé «devenir un Etat normal ». Le Japon ne veut plus être une troisième puissance économique, et ne jouer aucun rôle dans la solution des problèmes militaires et politiques non seulement dans la région Asie-Pacifique, mais aussi sur l’arène internationale. Devenir un Etat normal, cela veut dire avoir les instruments nécessaires qu’on peut utiliser notamment comme une démonstration de la force et de la détermination du Japon. Cela insuffle de la force et de la confiance aux Japonais. Quant à la création des forces militaires dans l'espace - c'est vraiment « du baume au cœur » pour tous les Japonais. »

 

Les experts estiment que la création de forces militaires spatiales au Japon pourrait augmenter sensiblement les risques de militarisation de l'espace. Cependant les Etats-Unis, au même titre que la Chine, sont également en train de renforcer leurs groupes spatiaux militaires et travaillent activement à la conception d’armes antisatellites.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 12:35
PLA Navy set to build 10 aircraft carriers

 

2014-08-12 wantchinatimes.com

 

To create its first blue-water navy, China plans to construct a total of 10 domestic aircraft carriers according to the Kanwa Defense Review, a Chinese-language military magazine operated by Andrei Chang also known as Pinkov, a military analyst from Canada.

 

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 12:30
Irak: l'aviation US largue un 5e lot de vivres pour les réfugiés

Service member volunteers push a completed pallet of food and water to prepare it for loading onto aircraft at a location in Southwest Asia Aug. 11, 2014. Volunteers from across the base came out to help build pallets of humanitarian aid. The pallets are being airdropped to displaced citizens in the vicinity of Sinjar, Iraq. (U.S. Air Force photo by Senior Airman Colin Cates)

 

WASHINGTON, 12 août - RIA Novosti

 

Des avions militaires américains ont largué un cinquième lot d'eau et de vivres destinés aux civils bloqués dans les monts Sinjar (nord de l'Irak) par les djihadistes de l'Etat islamique,  a annoncé mardi le Pentagone dans un communiqué.

 

"Un C-17 et trois avions cargo C-130 ont largué 76 cargaisons de vivres qui fourniront de la nourriture et de l'eau pour des milliers d'Irakiens piégés sur les monts Sinjar", a indique le communiqué.

 

Selon le Pentagone, les Etats-Unis ont fourni depuis jeudi soir "plus de 85.000 repas et plus de 75.500 litres d'eau potable" aux membres de la minorité yézidi pourchassés par les djihadistes.

 

Appuyé par des sunnites irakiens et par d'anciens militaires de l'armée de Saddam Hussein, le groupe terroriste Etat islamique a envahi une vaste région irakienne englobant les provinces de Ninawa, de Salah ad-Din et d'Al-Anbar.

 

Le 29 juin dernier, l'EI a annoncé la création d'un "Califat islamique", le titre de calife étant attribué au chef de file de ce groupe djihadiste, Abdullah Ibrahim al-Samarrai, connu également sous le nom d'Abou Bakr al-Baghdadi.

 

Dans la nuit de jeudi à vendredi, le président américain Barack Obama a autorisé des frappes aériennes ciblées en Irak "pour aider les forces irakiennes qui se battent pour protéger les civils".

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 12:30
Irak: Kerry veut un gouvernement d'union, exclut l'envoi de troupes au sol

 

12 août 2014 Romandie.com (AFP)

 

Sydney - Les Etats-Unis veulent un gouvernement d'union en Irak, condition d'un élargissement de leur aide politique, économique et militaire, ont indiqué mardi le secrétaire d'État John Kerry et son homologue de la Défense Chuck Hagel, en visite à Sydney.

 

Le chef de la diplomatie américaine a exhorté le nouveau Premier ministre irakien Haïdar al-Abadi, nommé lundi, à former un nouveau gouvernement dès que possible pour faire face à la profonde crise que traverse l'Irak.

 

Les Etats-Unis sont prêts à soutenir un gouvernement d'union en Irak et en particulier son combat contre l'EIIL, l'Etat islamique en Irak et au Levant dont les insurgés sunnites ont lancé le 9 juin une offensive ayant permis de s'emparer de larges pans de territoires en Irak.

 

Washington cherche à éviter une aggravation des divisions à Bagdad alors que le Premier ministre sortant, Nouri al-Maliki, refuse de céder sa place après huit ans au pouvoir. M. Maliki, chiite de 63 ans, est mis en cause depuis plusieurs mois par l'administration américaine qui estime qu'il a alimenté l'offensive des jihadistes sunnites par sa politique confessionnelle.

 

Que les choses soient claires, nous avons toujours appelé de nos voeux un gouvernement d'union qui représente (...) tous les Irakiens. c'est l'objectif, a insisté John Kerry.

 

Au plan militaire, le patron du Pentagone Chuck Hagel a confirmé que Washington transférait des armes, via le gouvernement irakien, aux Kurdes qui se battent contre les jihadistes et qui ont repris récemment deux villes du Nord, Makhmour et Gwer, tout en perdant le contrôle de Jalawla.

 

Le président Barack Obama a donné son vert au bombardement de positions des insurgés pour protéger les civils pris au piège ainsi que les personnels américains, évoquant un risque de génocide.

 

M. Kerry a toutefois exclu tout envoi de troupes américaines au sol.

 

Il a par ailleurs indiqué que les Etats-Unis et l'Australie allait saisir les Nations unies sur la question des jihadistes étrangers qui combattent en Irak ou en Syrie, dans le but d'obtenir le soutien des pays d'origine (des jihadistes) et des pays concernés.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 12:20
Dillon Aero M134D Minigun Demo

 

May 2013 Dillon Aero demo, 70,000+ rounds fired

 

The Dillon M134D Gatling Gun is the finest small caliber, defense suppression weapon available.  It is a six barreled, electrically driven machine gun chambered in 7.62mm NATO and fires at a fixed rate of 3,000 shots per minute.  Gatling Guns typically feed from a 3,000 or 4,000 round magazine. They are capable of long periods of continuous fire without threat or damage to the weapon making them an excellent choice for defensive suppression.

 

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 11:55
Utilisation virtuelle grâce à un simulateur. Crédit photo : SIRPA Terre

Utilisation virtuelle grâce à un simulateur. Crédit photo : SIRPA Terre

 

12/08/2014 Armée de Terre

 

Les stades d’initialisation et d’orientation d’une opération d’armement sont destinés à encadrer le processus d’expression du besoin issu des forces et à stabiliser le besoin opérationnel.  Ils permettent d’identifier et d’étudier les options possibles afin d’en dégager une solution cohérente en termes calendaire et financier.

 

Au cours du stade d’initialisation, une première analyse permet de dégager l’éventail des options permettant de répondre au besoin de l’utilisateur et de définir un ordre de grandeur des coûts prévisionnels. Ce panel inclut les options telles que, le développement spécifique, les achats sur étagère, la modernisation d’un système existant, l’extension du périmètre d’une autre opération d’armement, etc. L'initiative du besoin des forces aéroterrestres procède de la demande de l’EMAT.

 

La décision de lancement d’initialisation (DLI) prise par le CEMA officialise le début du stade. Un dossier d’orientation (DOR), récapitulant les options identifiées, est rédigé. L’approbation du DOR marque le début du stade d’orientation. Ce deuxième stade vise à stabiliser le besoin opérationnel et à proposer une solution privilégiée parmi les options définies dans le DOR. Chaque option est analysée sous les angles des coûts, des délais, des performances opérationnelles et du soutien. Ces analyses sont confiées à une équipe de programme intégrée (EDPI) pilotée conjointement par un directeur de programme (DP) et un officier de programme (OP) de la STAT. L’OP rédige une fiche de caractéristiques militaires stabilisée (FCMs) qui constitue la référence du besoin à ce stade. En parallèle, l’EDPI analyse la faisabilité des différentes options du DOR et propose une solution à privilégier.

 

Ce travail fait l’objet du dossier de choix. L’approbation du DOC et de la FCMs fait rentrer l’opération d’armement dans son stade de conception.

 

Le module d’appui au combat

 

Le module d’appui au combat se situe entre le stade d’initialisation et le stade d’orientation. En 2013, la STAT a réalisé une évaluation technico-opérationnelle du bull Terrier. En février 2014, elle a réalisé un travail de modélisation, donnant lieu à des vues 3D du futur équipement. En avril 2014, les expérimentateurs ont procédé à une immersion 3D dans la maquette de l’équipement grâce à un simulateur. Ils ont ainsi pu virtuellement l’utiliser pour vérifier le caractère opérationnel des fonctions proposées. En juin 2014, une maquette en bois va être réalisée pour approfondir l’étude de faisabilité dont les conclusions sont attendues en décembre 2014 pour rédiger le dossier. La livraison de ce nouvel équipement n’est pas prévue avant 2025.

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 11:35
photo foreignminister.gov.au

photo foreignminister.gov.au

Minister for Foreign Affairs, Julie Bishop, United States Secretary of State, John Kerry, Governor General of Australia, Sir Peter Cosgrove, United States Secretary of Defense, Chuck Hagel and Minister for Defence, David Johnston ahead of the signing of the Force Posture Agreement during the Australia-United States Ministerial Consultations (AUSMIN) 2014 at Admiralty House in Sydney. 12 August 2014.

 

Sydney, 11 août (Xinhua)

 

La ministre australienne des Affaires étrangères Julie Bishop et le ministre de la Défense David Johnston ont tenu lundi une conférence avec leurs homologues américains, le secrétaire d'Etat John Kerry et le secrétaire à la Défense Chuck Hagel avant les consultations ministérielles annuelles entre l'Australie et les Etats-Unis (AUSMIN) prévues mardi.

 

L'événement AUSMIN à Sydney comprendra la signature de l'Accord de la Posture militaire, qui établit le cadre légal de la présence de la marine américaine basée à Darwin, et qui permet le développement de l'armée américaine en Australie au cours des 25 prochaines années.

 

"AUSMIN est le forum principal de promotion de la coopération bilatérale sur les politiques étrangères, de défense et de politique stratégique entre l'Australie et les Etats-Unis. C'est l'occasion de réaffirmer notre alliance ainsi que la profondeur et l'ampleur de notre relation", a indiqué Mme Bishop dans un communiqué.

 

Mme Bishop a indiqué que les dirigeants discuteront des façons d'améliorer leur travail ensemble, particulièrement en faveur de la stabilité et de la sécurité régionales, et continueront à promouvoir la mise en application des initiatives de posture de l'armée américaine.

 

"Nos discussions exploreront des opportunités d'approfondissement de la coopération en matière de défense et d'interopérabilité entre nos deux armées", a indiqué Mne Bishop.

 

Il s'agit des deuxièmes AUSMIN impliquant MM. Kerry et Hagel, les premières ayant été tenues l'année dernière à Washington, aux Etats-Unis.

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