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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 12:45
Sangaris : Rencontre avec les autorités religieuses à Chimbolo

 

08/08/2014 Sources : EMA

 

Le 27 juillet 2014, le groupement tactique interarmes (GTIA) Magenta de la force Sangaris a conduit, en appui de la MISCA et de la gendarmerie centrafricaine, une mission de reconnaissance au village de Chimbolo situé à une vingtaine de kilomètres à l’Est de Bambari.

 

Arrivés sur zone, les militaires français se sont déployés en appui d'un groupe de la MISCA gabonaise et de la gendarmerie centrafricaine.

 

A cette occasion, le commandant d’unité s’est entretenu avec les chefs de quartiers chrétiens et musulmans. Il a pu constater que les deux communautés religieuses cohabitaient paisiblement dans ce village.

 

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris : Rencontre avec les autorités religieuses à Chimbolo
Sangaris : Rencontre avec les autorités religieuses à Chimbolo
Sangaris : Rencontre avec les autorités religieuses à Chimbolo
Sangaris : Rencontre avec les autorités religieuses à Chimbolo
Sangaris : Rencontre avec les autorités religieuses à Chimbolo
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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 12:40
photo Rostec

photo Rostec

 

02.07.2014 by Rostec

 

Les militaires recevront des senseurs individuels d’identification

 

En 2017 les militaires russes doivent recevoir des senseurs individuels «ami-ennemi». L’échange de signaux spéciaux permettra de distinguer les représentants de son camp sur le champ de bataille indépendamment de l’équipement, des moyens de camouflage, etc. Les experts notent que la propagation de ces systèmes au niveau de l’échelon tactique aidera à diminuer les pertes militaires.

 

La fabrication de systèmes d’identification pour le personnel est entrée dans le projet de création d’un cluster de recherche et de production à Kazan sous l’égide du consortium «Technologies radio-électroniques» (KRET) (КРЭТ). Le projet, après avoir reçu l’accord du vice premier ministre Dimitri Rogozine et du ministre de l’industrie et du commerce Denis Mantourov, suppose la coopération de six entreprises dont deux d’entre elles sont situées dans la capitale du Tatarstan. C’est justement là qu’il sera fabriqué l’équipement, l’étude sera réalisée dans d’autres villes.

 

Le consortium dépensera 10,6 milliards de roubles pour la coopération de six de ses entreprises et pour leur rééquipement jusqu’en 2017. Outre les senseurs pour l’infanterie et la nouvelle génération de systèmes «ami-ennemi» pour l’aviation et la flotte, le cluster fabriquera également des complexes de lutte radio-électronique et des systèmes de navigation de proximité pour les avions et les hélicoptères.

 

L’adjoint du directeur général du KRET pour la planification stratégique et la réalisation des commandes d’Etat de la défense Andreï Tiouline a parlé des plans de fabrication de nouveaux systèmes pour l’armée russe.  Selon lui, le système «ami-ennemi» pour les soldats sera réalisé sous la forme d’une application – senseur installé sur le vêtement du militaire. Il sera programmé en fonction des tâches fixées. Le Ministère de la Défense est déjà très intéressé par cette élaboration.

 

Le système antérieur « ami-ennemi » a été créé pour les pays du Pacte de Varsovie et il a été prévu pour l’identification des chars, des avions, des bateaux mais pas des personnes. «Maintenant les conflits ont souvent un caractère local et l’armement utilisé par les différentes parties est souvent produit dans un même pays. Les systèmes d’identification ne fonctionnent pas dans cette situation. Les militaires sont arrivés à la conclusion qu’il faut les compléter rapidement avec une application modifiée. Nous passons de la défense de l’objet à la défense de l’homme», – a dit Andreï Tiouline.

 

Les nouveaux senseurs peuvent entrer dans la composition de l’équipement «Ratnik» ou «Barmitsa».

 

On pourra distinguer un soldat «ami» d’un soldat «ennemi» avec le même équipement en regardant l'écran du dispositif spécial semblable à un téléphone mobile. Il affiche l’emplacement actuel du soldat sur une carte électronique et l’emplacement des forces amies.

 

Les exportateurs russes n’ont pas d’information sur la présence d’un tel système dans les troupes de l’OTAN. Les experts militaires pensent que le nombre de cas de «feu ami» dans le cadre d’opération de maintien de la paix permet de parler de son absence.

Il est prévu dans le cadre du cluster de réunir des entreprises de Kazan : le groupe de recherche et de production «Radioélectronika» V.I. Chimko et l’usine «Radiopribor». En plus, encore quatre entreprises du KRET participeront à la corporation : Institut radiotechnique de recherche scientifique de Kalouga, usine de Samara « Ecran », usine de radio Jigoulevski et groupe de production de construction d’appareils d’Oufa. Le cluster est créé comme une production d’usage mixte (civil et militaire).

 

«La recette totale attendue du cluster avant 2020 est de 18 milliards de roubles, un cinquième de cette somme provient de la part de l'identification. Ces systèmes apportent un how-Know pour le développement de la production civile – systèmes d’identification et de limitation d’accès pour le transport, le secteur de l’énergie. Six entreprises participent actuellement au projet mais nous voulons ouvrir au business privé un accès à l'équipement pour qu'il travaille en trois – huit et baisser le coût de revient de la production», - a noté Andreï Tiouline.

 

Selon le premier adjoint du président du comité pour l’industrie de la Douma d’Etat Vladimir Goutenev, il faut un strict contrôle des fuites d’information dans une entreprise où il cohabite une production militaire secrète et civile high-tech.

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 12:40
Ratnik - source Ministry of Defence of the Russian Federation

Ratnik - source Ministry of Defence of the Russian Federation

 

8 August 2014 army-technology.com

 

The Russian Ministry of Defence (MoD) is planning to acquire Ratnik, a locally manufactured future high-tech soldier system, in October.

 

Russian Ground Forces military and scientific department head Aleksander Romanyuta was quoted by RIA Novosti as saying: "Ratnik is currently undergoing its final tests and we hope that ... all the components will be purchased in series and supplied to the troops.

 

"If any deficiencies are found, they will be eliminated during the first year of exploitation."

 

Tochmash head Dmitry Semizorov told the news agency that the MoD plans to acquire up to 50,000 Ratnik sets every year, enabling the industry to provide the army with 70% of the new equipment.

 

Tochmash has also started production a new combat gear, which is scheduled to replace Ratnik in the future, Semizorov added.

 

Developed as part of the soldier military equipment (BES) programme, the Ratnik infantry soldier kit comprises more than 40 components, including firearms, body armour and optic, communication and navigation devices, life support and power supply systems, as well as knee and elbow pads.

 

Available in summer and winter variants, the lightweight gear can be used by regular infantry, rocket launcher operators, machine gunners and drivers and scouts, and is claimed to provide protection against environmental threats from weapons of mass destruction and non-lethal weapons.

 

The system has been successfully tested by the Russian Army, but its induction has been postponed due to problems in the fine-tuning of its light weapons, likely to be the new Kalashnikov AK-12 assault rifle, RIA Novosti reported.

 

Multiple soldier equipment programmes are currently underway in several countries worldwide, including the US' Land Warrior, Germany's Infanterist der Zukunft (IdZ), and the UK's future infantry soldier technology (FIST).

 

Other countries developing such systems include Spain with Combatiente Futuro (ComFut), Sweden's IMESS and France's Fantassin à Équipement et Liaisons Intégré (FELIN).

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 12:35
ISAF temporarily suspends Afghan military support mission

Major General Harold Greene was killed on Tuesday in an insider attack at Camp Qargha in Kabul. Photo: US Army.

 

8 August 2014 army-technology.com

 

The International Security Assistance Force (ISAF) has temporarily suspended the Afghan National Army (ANA) support mission, in the wake of the shooting of a US general on 5 August.

 

ISAF commander Joseph Dunford suspended operations at various military facilities and ordered all foreign instructors and military consultants to remain in their camps until today, reported RIA Novosti.

 

US Major General Harold Greene was killed when a man dressed as an Afghan solider opened fire at Camp Qargha in Kabul. He served as the deputy commanding general of the Combined Security Transition Command Afghanistan.

 

Greene, who was involved in the effort to train, advise and assist Afghan forces to support the creation of a capable and enduring force that safeguards civilians against insurgency, is the first general officer killed in foreign hostilities since 1970.

 

The shooter also injured 15 Nato soldiers, including German brigadier general Michael Bartscher, before being shot dead.

 

The Taliban has claimed responsibility for the attack, which is currently being investigated by a joint Nato-Afghan team.

 

The incident follows a series of 'insider attacks' against Nato forces by either the Afghanistan security forces or insurgents disguised in Afghan uniforms, according to RIA Novosti

 

ISAF has already introduced tougher security measures against the so called 'green-on-blue attacks', which have claimed the lives of 69 coalition troops since 2012, the Associated Press reported.

 

Established by the UN Security Council in December 2001, ISAF is a Nato-led mission primarily aimed at training Afghan security forces.

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 12:35
OEF : la frégate Courbet rejoint l'opération Enduring Freedom

 

08/08/2014 Sources : EMA

 

Le 3 août 2014, la frégate de type La Fayette (FLF) Courbet a rejoint la Task Force150, volet maritime de l’opération de contre-terrorisme Enduring Freedom (OEF).

 

Alors qu’elle naviguait vers le canal de Suez, la frégate Courbet a été déroutée dans la nuit du 29 au 30 juillet pour être engagée dans l’évacuation de ressortissants européens souhaitant quitter la Libye.

 

Tripoli connaissant de violents affrontements entre troupes rivales, les autorités européennes ont demandé à leurs expatriés de quitter le territoire. Du fait du blocage des voies aériennes et routières en direction de la Tunisie voisine, les armées, sur demande du ministère des affaires étrangères et du développement international (MINAEDI), ont décidé de dépêcher deux frégates pour évacuer les ressortissants de la capitale libyenne.

 

Via les embarcations du Courbet, et de la frégate anti-sous-marine (FASM) Montcalm, ainsi que celles du détachement commando marine, une cinquantaine de citoyens européens ont pu quitter le sol libyen. Une fois au large, tous les ressortissants ont pris place à bord du Montcalm pour faire route vers Toulon, où ils ont été pris en charge par les équipes du MINAEDI.

 

La frégate a ensuite repris la mer vers sa zone de patrouille et a franchi, dans la nuit du 2 au 3 août, le canal de Suez.

 

En entrant en mer Rouge, le bâtiment a intégré le dispositif de présence multinational mis en place suite aux résolutions 1368 et 1373 du conseil de sécurité de l’Organisation des Nations Unies (ONU), adoptées au lendemain des évènements meurtriers du 11 septembre 2001.

 

Le Courbet aura ainsi pour tâche de poursuivre l’effort de sécurisation de cette zone d’intérêt stratégique majeur.

 

La TF 150 opère sur une vaste zone allant de la mer Rouge au golfe d’Oman en passant par le Golfe d’Aden et la mer d’Arabie. La France y déploie régulièrement ses bâtiments aux côtés de la coalition, assurant ainsi une présence engagée dans la lutte contre la piraterie et les trafics liés au terrorisme.

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 12:30
Un nouveau commandant à la tête de la base aérienne 104 d’Al Dhafra

Cérémonie de prise de commandement sur la BA 104 d'Al Dhafra

 

07/08/2014 Armée de l'air

 

Depuis jeudi 31 juillet 2014, la base aérienne 104 d’Al-Dhafra (Émirats arabes unis) dispose d’un nouveau commandant.

 

Le colonel Mathieu Deflandre a en effet succédé au colonel Richard Ringuet lors d’une cérémonie présidée par le vice-amiral Anoine Beaussant, commandant les forces françaises aux Émirats arabes unis (FFEAU).

 

De 2011 à 2014, le commandement du colonel Ringuet a notamment été marqué par la normalisation du fonctionnement de la base, ainsi que par la finalisation des livraisons et la sécurisation des installations. Les échanges avec les alliés présents dans la région ont également été importants, tout comme l’appui aux opérations.

 

Plus d’informations sur les FFEAU sur le site de l’état-major des armées

Le colonel Ringuet remet l'insigne de la base à son successeur, le colonel Deflandre

Le colonel Ringuet remet l'insigne de la base à son successeur, le colonel Deflandre

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 11:45
Mali : « Relève terminée du dispositif français sur la zone de crash du vol AH5017 »

 

08/08/2014 Sources : EMA

 

Le 4 aout 2014, la force Barkhane a été relevée sur la zone de crash du vol AH5017 par les forces armées maliennes qui ont pris le relais de la MINUSMA et d’une partie du détachement français pour la sécurisation du site.

 

Les enquêteurs ayant terminé leurs investigations sur le site de l’accident, les militaires français ont pris la direction de Gao, où ils sont engagés au sein de l’opération Barkhane.

 

Le 24 juillet, les moyens des forces françaises dans la bande sahélo-saharienne ont été mobilisés dès l’annonce de la disparition du vol d’Air Algérie lors de son survol du Nord-Mali entre Ouagadougou et Alger. Deux Mirage 2000D, un Harfang et un Reaper basés à Niamey, ainsi qu’un avion CASA basé à Gao, ont été alloués à la recherche de l’appareil. Une fois la zone de crash identifiée par la force Serval, les militaires français ont été engagés dans deux missions simultanées.

 

Tout d’abord, ils se sont déplacés pour sécuriser le site. A cet effet, Serval y a héliporté une vingtaine de militaires pour assurer la sécurité de la zone, et pour que les premières constatations associant un médecin et un prévôt soient effectuées. Parallèlement, un convoi d’une cinquantaine de véhicules et de 170 militaires français, accompagné de deux sections des forces armées maliennes, a pris la route en direction de la zone de l’accident. Sur site, ils ont été renforcés par une unité néerlandaise, puis togolaise, de la MINUSMA. Cette sécurisation, conduite en coopération entre forces françaises, maliennes et de la MINUSMA, a permis la préservation de la zone ainsi que le recueil des éléments essentiels à l’investigation par le bureau d’enquêtes et d’analyses (BEA) et les experts de l’identification des victimes.

 

La deuxième mission des militaires français a consisté à engager les moyens logistiques de Serval pour transporter et soutenir les équipes d’enquêteurs français, maliens, algériens et espagnols. Dès leur arrivée à Gao le 26 juillet, les enquêteurs français ont ainsi été acheminés par hélicoptère, avec le fret de première nécessité, jusqu’à la zone de crash. Par la suite, le 27 juillet, un convoi logistique a rejoint la zone pour acheminer le complément de fret nécessaire au travail des enquêteurs et au soutien de toutes les personnes engagées.

 

Les forces militaires maliennes ont assuré, depuis le 31 juillet, la sécurisation du site du crash, en binôme avec les unités de la MINUSMA. La mission des enquêteurs français a, quant à elle, pris fin le 1er août. Ils ont tous rejoint la France le 5 août.

 

Lancée le 1er août, l’opération Barkhane se caractérise par une logique de fusion et de partage des moyens qui, jusqu’alors étaient dévolus à des opérations distinctes (l’opération Serval au Mali, déclenchée en 2013 et l’opération Epervier au Tchad, déclenchée en 1986).

 

L’opération Barkhane regroupe 3000 militaires qui disposent d’une vingtaine d’hélicoptères, de 200 véhicules de logistique, de 200 blindés, de 6 avions de chasse, de 3 drones et d’une dizaine d’avions de transport. Leur mission, en partenariat avec les pays du G5, consiste à poursuivre la lutte contre les groupes armés terroristes.

Mali : « Relève terminée du dispositif français sur la zone de crash du vol AH5017 »Mali : « Relève terminée du dispositif français sur la zone de crash du vol AH5017 »
Mali : « Relève terminée du dispositif français sur la zone de crash du vol AH5017 »Mali : « Relève terminée du dispositif français sur la zone de crash du vol AH5017 »
Mali : « Relève terminée du dispositif français sur la zone de crash du vol AH5017 »Mali : « Relève terminée du dispositif français sur la zone de crash du vol AH5017 »
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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 07:50
Spending that matters: the economic case for investing in Europe’s Defence Industry


Brussels - 28 July, 2014 European Defence Agency
 

Defence plays a pivotal role in promoting internal and external security, maintaining peace, stability and prosperity, and protecting personal freedom and our way of life.  However, defence spending also has several macroeconomic benefits.  A recent study commissioned by the European Defence Agency (EDA) outlines the advantages of investing in the European defence industry in terms of economic benefits, employment and sustainment of research and development capabilities.
 

What is the real effect of today’s pressure on national defence budgets?  A recent Agency study sought to answer this precise question. Some of its conclusions are revealing: for example, for each €100m cut in EU defence expenditure, there is a €150m fall in EU gross domestic product (GDP), and a €40m fall in EU tax revenues. However, the consequences of such cuts extend far beyond the pure economical realm. The study, which was conducted by British consultancy firm Europe Economics, also highlighted that a similar €100m cut in defence spending would translate into the loss of about 3.000 jobs, 800 of which would be high-skilled. 

 

Greater impact.

In some key dimensions, the overall macroeconomic benefit of investing in the defence sector may exceed that of investing in other domains. For instance, the study confirmed that defence investments have a far great impact on highly-skilled employment and research and development, hence potentially leading to a long-term GDP growth rate. The results of the study estimated that the impact is 12 to 20 times greater than that generated by other forms of public spending.

Of equal importance is the fact that defence R&D creates a “spillover” of technologies to the civil sector.  This often significant “spillover”, means that investing in defence R&D is essential to the emergence of breakthrough technologies which has a knock on benefit in other areas eg civil aircraft market.

More generally, the study demonstrated that the macroeconomic impact of investment in the defence sector is greater at EU level than at the national level, because of the inherent “Europeanised” nature of the defence industry. 

 

Case studies.

The study also reviewed a number of case studies to try and quantify the micro-economic impact of several acquisition programs in the EU, like fighter aircraft. It confirms, for instance, that programmes such as Eurofighter or Rafale helped EU companies to acquire the competitiveness they enjoy today on the commercial aircraft market.  Another example is the Leopard 2 main battle tank programme which was launched in the last years of the Cold War.  It enabled the German Army to equip its cavalry regiments with a highly capable system, at a cost that was 45 per cent lower than the next best alternative. 

This was the first study which looked at the EU as a whole; previous efforts were focused only at national level.  It demonstrates tangible rationale to support investment in the European defence industry, confirming that there are considerable opportunities to increase the efficiency of European collaborative programmes and at the same time European economic prosperity.

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 07:50
EDA Biological Reconnaissance and Defence Workshop


Warsaw - 22 July, 2014 European Defence Agency
 

A total of 40 participants from ten EU Member States (CZ, DE, ES, FR, HU, IT, NL, SE, PL, PT) and NO participated in the workshop in order to discuss Biological Reconnaissance and Defence, on the 9 and 10 July, Warsaw, Poland.

 

Biological threats are the most complex area of Chemical, Biological, Radiological and Nuclear (CBRN) defence. Addressing the need for effective means of detection, identification and monitoring for this type of threats, EDA is conducting a significant number of projects.

The biological workshop aimed to present the on-going work and the connections of the different projects, under EDA R&T and Capabilities/Armaments domains.

A system approach to the future Biological Defence capability is under development, integrating individual soldier protection, non-specialist units (tactical area protection), specialist units (operational area protection) and system integration.

Also, participating Member States presented their national biological programmes, on-going projects, developments and future expectations concerning the Biological challenge.

It was clear among participants that Biological issues are an important concern among Member States and that EDA forum is a good place for discussion and to find new opportunities for cooperation.

HU and PL enriched the workshop with live demonstrations and allowed participants to visit their 2nd generation Biological Laboratories

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 07:50
Rheinmetall lance un Avertissement sur résultats, empêché d'exporter en Russie

 

07.08.2014 Romandie.com (AWP)

 

Berlin (awp/afp) - Le groupe allemand de défense et automobile Rheinmetall a revu en baisse jeudi ses prévisions de résultats pour cette année, prenant acte du blocage par Berlin d'un gros contrat avec la Russie.

 

Le chiffre d'affaires des activités défense s'établira aux alentours de 2,3 milliards d'euros, a prévenu Rheinmetall dans un communiqué, au lieu des 2,5 à 2,6 milliards d'euros escomptés jusqu'ici.

 

Le bénéfice d'exploitation de la division ressortira entre 65 et 75 millions d'euros, contre une précédente fourchette de 85 à 95 millions d'euros.

 

En début de semaine le ministre allemand de l'Economie Sigmar Gabriel a retiré à Rheinmetall l'autorisation de vendre à la Russie un centre d'entraînement et de formation militaire, évalué par la presse allemande à 100 millions d'euros.

 

"Rheinmetall travaille intensément à limiter au maximum le dommage financier, en mettant à profit toutes les possibilités juridiques à sa disposition", précise le communiqué. Rheinmetall pourrait notamment réclamer à Berlin une indemnisation pour le préjudice subi.

 

Le groupe a également ajusté à la baisse ses prévisions dans son autre grand secteur d'activité et plus grosse source de revenus, les équipements automobiles, du fait de l'apport d'un pan de ses activités à une coentreprise avec un partenaire chinois.

 

Le chiffre d'affaires du groupe dans son ensemble est désormais attendu entre 4,6 et 4,7 milliards d'euros, et non plus entre 4,8 et 4,9 milliards, et la fourchette de prévision du bénéfice d'exploitation a été abaissée à 200 à 220 millions d'euros (contre 230 à 250 millions).

 

Au premier semestre, Rheinmetall a dégagé un chiffre d'affaires de 2,13 milliards d'euros et un bénéfice d'exploitation de 30 millions d'euros, selon des chiffres publiés jeudi.

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 07:45
Les Etats-Unis vont aider à la création d'une force africaine de réaction rapide

 

07 août 2014 Romandie.com (AFP)

 

Washington - Les Etats-Unis vont accélérer leur aide à six pays en Afrique pour leur permettre de mieux assurer leur sécurité et vont en aider six autres à créer une force de réaction rapide de maintien de la paix, a annoncé mercredi Barack Obama.

 

Le président Obama, qui clôture trois jours d'un sommet USA-Afrique avec une quarantaine de ses homologues, a souligné qu'il s'agissait de resserrer notre coopération en matière de sécurité pour mieux faire face à des menaces communes comme le terrorisme ou le trafic d'êtres humains.

 

Le Kenya, la Tunisie, le Mali, le Nigeria, le Niger et le Ghana vont bénéficier d'un nouveau plan d'aide de Washington pour mieux garantir leur sécurité.

 

Il s'agira notamment d'aider ces pays à continuer à mettre sur pied des forces de sécurité solides et professionnelles qui puissent les aider à assurer eux-mêmes leur sécurité, a dit le président.

 

Les Etats-Unis vont s'appuyer sur des pays qui ont déjà fait leurs preuves en matière de maintien de la paix --le Ghana, l'Ethiopie, le Sénégal, la Tanzanie, le Rwanda et l'Ouganda-- pour bâtir une force d'intervention rapide de maintien de la paix sur le continent africain, a aussi annoncé le président.

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 07:45
Iyad Ag Ghali, le leader d'Ansar Dine, réapparaît et menace la France

 

07-08-2014 par RFI

 

Après des mois de silence, Iyad Ag Ghali refait surface. Pour la première fois, il s'exprime dans une vidéo mise en ligne le 29 juillet sur les réseaux jihadistes. Le leader du groupe jihadiste Ansar Dine, à l'origine de l'attaque de Konna, dans le nord du Mali, qui avait provoqué l'intervention Serval en janvier 2013 y pointe son ennemi : l'Etat français.

 

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 07:40
Le croiseur américain Vella Gulf en mer Noire (US Navy)

 

MOSCOU, 7 août - RIA Novosti

 

Le croiseur lance-missiles américain USS Vella Gulf est entré jeudi en mer Noire "dans le but de garantir la paix et la stabilité dans la région", annoncent les forces navales des Etats-Unis dans un communiqué.

 

"La mission du croiseur Vella Gulf consiste dans l'amélioration de l'interaction opérationnelle, dans le travail sur l'exécution des tâches communes et cherche à confirmer l'attachement des Etats-Unis au renforcement de la sécurité collective des alliés de l'Otan et des partenaires dans la région", indique la source. 

 

Aux termes de la Convention de Montreux signée en 1936, le tonnage global des bâtiments de guerre des puissances non riveraines de la mer Noire est limité à 30.000 tonnes et la durée de leur présence à 21 jours au maximum.

 

Auparavant, la frégate américaine USS Taylor a violé la convention en dépassant de 11 jours la date limite de séjour en mer Noire. Selon Mikhaïl Nenachev, président du Mouvement public de soutien à la flotte russe, le déploiement de navires de l'Otan en mer Noire est encore une preuve d'"une pression agressive sur la Russie". 

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 07:30
Liban : Partage des connaissances entre contingents alliés

 

07/08/2014 International

 

Le 25 juillet 2014 à Shama, sur le camp ONU finno-irlandais, l’équipe EOD (Explosive OrdnanceDisposal) de la Force Commander Reserve (FCR) a participé à un échange avec ses homologues du secteur ouest de la Force Intérimaire des Nations-Unies au Liban (FINUL).

 

Lors de cette journée, les équipes EOD des contingents français, belges, italiens et finlandais se sont retrouvées autour de thèmes d’intérêts communs tels que le danger des engins explosifs improvisés (EEI), et la pollution du champ de bataille. En effet, le Liban est encore un pays particulièrement touché par des accidents liés aux UXO (unexploded ordnance).

 

Les équipes EOD ont ainsi pu échanger sur leurs connaissances, leur savoir-faire et leur expérience, tout en se familiarisant avec les techniques et matériels des autres nations, et en partageant leurs compétences avec les différents contingents présents.

Cette rencontre fut également l’occasion pour les militaires français de partager des données techniques en rapport avec la découverte d’un des derniers sites de lancement de roquettes.

 

Forte de près de 900 hommes et femmes, la FCR est directement placée sous les ordres du général Luciano Portolano commandant la FINUL. Elle est l’élément d’intervention d’urgence de la force et est stationnée à Dayr Kifa, à 43 kilomètres au nord-est de Naqoura. Elle est en mesure d’intervenir sur court préavis dans toute la zone d’opération de la FINUL pour faire appliquer la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies. Réserve d’intervention opérationnelle, elle travaille en collaboration et coordination étroites avec les forces armées libanaises (FAL).

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 07:25
Le sous-marin Améthyste fête le centenaire des forces sous-marines brésiliennes

 

07/08/2014 Marine nationale

 

Fin juillet, le sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Améthyste s’est rendu au Brésil. Au programme du SNA, un entraînement avec les forces sous-marines brésiliennes et des échanges bilatéraux.

 

 Répondant à l’invitation de ses homologues qui fêtaient le centenaire des forces sous-marines brésiliennes, le vice-amiral d’escadre Charles-Édouard de Coriolis, commandant les forces sous-marines et la force océanique stratégique, a reçu à bord du SNA les plus hautes autorités brésiliennes, au premier rang desquelles le vice-amiral d’escadre Moura Neto, chef d’état major de la Marine.

Le SNA français a été rejoint à quai par l’USS Dallas, puis par le HMSAmbush, dernier né des sous-marins britanniques. Un sous-marin classique péruvien, le Pisagua, s’est également amarré à Rio. Les échanges entre sous-mariniers des différentes nations ont été nombreux et fructueux.

Les sous-mariniers de l’Améthyste ont ainsi apporté leur pierre à l’édifice des relations internationales de notre pays et plus particulièrement avec les forces sous-marines brésiliennes avec lesquelles la France entretient une relation privilégiée.

 

Le sous-marin Améthyste fête le centenaire des forces sous-marines brésiliennes

 

Une relation privilégiée et de première importance avec le Brésil

 

En décembre 2008, la marine Brésilienne s’est en effet engagée dans un important partenariat avec la France dans le domaine des forces sous-marines : l’ambitieux programme PROSUB [1]qui prévoit 4 sous-marins Scorpènedans un premier temps, puis un sous-marin nucléaire d’attaque construit par les Brésiliens. Il intègre également la création d’une nouvelle base sous-marine adossée au chantier de construction des Scorpèneà Itaguai et l’aide à la formation des futurs équipages avec l’affectation en France de nombreux officiers brésiliens et l’affectation au Brésil d’un officier supérieur qui participe à la sélection et à la formation du personnel sous-marinier. Cette force sous-marine nouvelle génération doit participer à une meilleure défense de la façade Atlantique du Brésil, lieu de passage de 90% du commerce extérieur brésilien. A plus long terme le programme PROSUB et les transferts technologiques associés doivent permettre au Brésil de se constituer une Base Industrielle de Défense (BID), en partenariat étroit avec la France, de façon à tenir le rang qui est le sien sur la scène internationale.

 

[1]Programa de Desenvolvimento de Submarinos : Programme de développement de sous-marins.

Améthyste, Dallas et Ambush à la base navale de Rio

Améthyste, Dallas et Ambush à la base navale de Rio

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 12:50
Hot Blade 2014 Interview: "We know we should train the way we fight"


22 july 2014 - European Defence Agency
 

One week into exercise "Hot Blade 2014" launched July 16 in Portugal, EDA Programme Manager Andy Gray discusses the main objectives and operational benefits of the event.

 

What are the main objectives of Hot Blade 2014 ?

Since we started work on the multinational helicopter exercises in 2009, we’ve always tried to achieve the same basic set of objectives. First, we’re trying to improve interoperability between our Member States’ helicopter crews, because there is a very good chance that they will have to work together on the same battlefield in the years to come – and we truly mean working together, integrating national capabilities into a multination coalition, not the just the deconfliction that has been used in the past.  We’re also working on improving individual skills, and in order to achieve that we need a training environment that replicates as closely as possible the conditions that we might find in a given theatre of operations. 

Here in Portugal, we naturally focus on “hot, high & dusty” conditions, not unlike the ones you could find in Afghanistan or in some parts of Africa, but we also intend to practice in other environments, for instance extreme cold.  The overarching objective is really quite simple. Future operations will be coalition operations and we know we should train the way we fight, so we must train together. We need to learn how to work together today, in a controlled environment, not tomorrow, when we have already been deployed and have hostile forces to worry about. 

 

Are there specific outputs expected from this year’s event ?

We have to be careful not to increase the complexity of each exercise too much as each time it is a new set of crews and you need to build the exercise to suit them. My main output will always be to see the crews experience and competency improve. For Hot Blade, this specifically addresses the ability to lead a large-scale multinational mission – this is very hard for them to organise at home and so the exercise is designed to give them that opportunity.  Within that we also have specific individual training objectives: for instance, the Netherlands use Hot Blade for its low visibility landing training – its “dust landing” training.  This is particularly important to them, as these are the conditions they are encountering in Mali – the Dutch Detachment Commander here deploys to Mali in September. We are always aware that the exercise should have a direct link to the operational needs of the participants and again this is at the heart of the exercise design.  

A particularly pleasing aspect of this year’s exercises is the participation of infantry from Netherlands and Germany.  One of the reasons I am so focussed on aircrew training is that on operations we place our soldiers in each other’s aircraft.  We need to make sure that all crews on a coalition, no matter what flag they have on their uniform, are capable of completing the mission safely and competently.  We have recognised standards for the aircraft, but not for the pilots that fly them.  I think this is necessary and that we owe it to our troops to understand the capabilities of our coalition partners. There is no high level agreement in place, so we are trying to build this understanding from the bottom up. 

 

Could you describe some of the missions that have been conducted in Ovar so far in a little more detail?

We have already launched two large scale Composite Air Operations (COMAOs).   Each detachment takes a turn in leading the mission; the first was led by Portugal and the latest one by the UK.  Today’s main mission is CSAR (Combat Search and Rescue) extraction, but there are sub-missions, which have been planned to pull the “enemy” focus away from the main event.  These include suppression of a mortar position and a potential seizure of a high value target, possible through a vehicle interdiction. The scenario and the mission are complex and are conducted in a fluid, ill-defined context – very much like real life. The main mission package today shows how integrated the forces are as it involves four Portuguese F-16, providing over-watch and Close Air Support; two Belgian A109 providing escort to a Portuguese EH -101, which will do the CSAR pick up. The diversionary attacks will be carried out by two British Pumas, two Dutch CH-47 Chinooks, three Austrian AB212 and five German UH1-Ds carrying infantry from Portugal, Germany and the Netherlands. And this is only the second COMAO, so the complexity of these missions will increase as the exercise progresses. 

 

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 12:50
Hot Blade 2014 meets all training objectives

 

31 July 2014 - European Defence Agency

 

Hot Blade 2014, the seventh helicopter exercise organised by the European Defence Agency, was formally closed on 30 July in Ovar airbase, Portugal. All training aims were met and the event was praised by senior national representatives.

 

At exercise close, a total of 827 hours had been flown on 362 aircraft sorties. Twenty-five helicopters from six different nations took part in Hot Blade 2014 from 16-30 July. “All training aims were met with the assistance of a small team of highly qualified tactics instructors coming from the sister HTIC programme”, Andy Gray, EDA Helicopters Programme Manager, points out.

The largest helicopter exercise organised this year in Europe, Hot Blade 2014 has allowed participating crews to qualify as COMAO (Combined Air Operations) lead and conduct joint and combined air assault missions (with Portuguese, German and Dutch ground troops operating together in mixed units), while at the same time providing individual training with nations qualifying their pilots in dust landings, night vision operations and fighter evasion.

 

Positive feedback.

Expressed in a “hot wash-up” meeting, the immediate feedback from the exercise was extremely positive. Senior national representatives confirmed that the experience of working together with other nations and practicing large-scale joint and combined missions just could not have been achieved by working alone. They agreed that these exercises are truly enhancing the helicopter capability within Europe.

“Over the last three years, the professionalism, enthusiasm and friendliness of our hosts has allowed the exercise to develop and grow”, adds Andy Gray, reflecting on Portugal’s major contribution to the success of EDA's Helicopter Exercise Programme. Next year’s event, called “Italian Blade”, will take place in June 2015 in Viterbo airbase, about 80 kilometres north of Rome.

 

Background

The European Defence Agency’s efforts in the field of helicopter capabilities also include the Helicopters Tactics Course (HTC), the Helicopter Tactics Instructor Course (HTIC), the OELC (Operational English Language Course) and the Basic Helicopter Flying Training (BHFT) initiative.

The first EDA-supported multinational helicopter exercise took place in Gap (France) in March 2009. It has since been followed by six subsequent exercises of various scope and size, held in Belgium, Italy, Portugal and Spain. The Helicopter Exercise Programme arrangement has been signed by twelve Member States in November 2012 for a period of ten years. Future editions are expected to take place in Italy and Finland.

 

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 12:50
From MNTEL to JDEAL: Counter-IED lab arrives in the Netherlands

 

Soesterberg - 29 July, 2014 European Defence Agency
 

The EDA-developed Multinational Theatre Exploitation Laboratory Demonstrator, or MNTEL (D), arrived in the Netherlands on 24 July from Afghanistan, where it was deployed since 2011.

 

The laboratory will now form part of a new EDA-supported initiative, the Joint Deployable Exploitation and Analysis Laboratory (JDEAL), providing a permanent technical exploitation training facility in the Netherlands to support counter-IED (Improvised Explosive Devices) efforts. JDEAL will also provide up to two deployable Level 2 technical exploitation labs which will be available for international missions and operations involving the Member States participating in the project.

 

Building on the experiences of Afghanistan

The MNTEL (D) has been located in Kabul since November 2011, initially at Camp Warehouse at the operations centre for the multinational International Security Assistance Force (ISAF), and then at Kabul International Airport since March 2013. In the Afghanistan Theatre of Operations it was under French management, which assumed lead nation responsibility for the project. During its deployment more than 6,000 exhibits were forensically examined.

 

From MNTEL to JDEAL

The equipment from the MNTEL will now be moved to Soesterberg, Netherlands where the new JDEAL training facility will be located. The Netherlands will act as lead nation for the new project, which will officially launch in September 2014. This redeployment has been carried out according to the detailed exit strategy planned and has been completed ahead of the fixed deadlines.

 

Continuing the fight against IEDs

Improvised Explosive Devices have been the single largest killer of coalition soldiers by a significant margin, and have also killed and injured thousands of the local Afghan population. The MNTEL (D) has proved an effective tool in the fight against IEDs, and the follow on JDEAL initiative will ensure that the capability, and that the lessons learned and experience gained in Afghanistan, will continue to be used for this purpose. 

 

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 12:50
Sanctions contre la Russie: l'avenir s'assombrit pour Rheinmetall

L'équipement du fantassin Gladius équipe les soldats de l'armée de terre allemande. Crédit: Rheinmetall AG Düsseldorf

 

07/08/2014 Par Véronique Guillermard

 

Le gouvernement allemand interdit au fabricant de matériels militaires terrestres Rheinmetall d'exporter en Russie. Berlin a bloqué un contrat d'une valeur estimée à 100 millions d'euros.

 

Les nuages s'accumulent au dessus de Rheinmetall. Le groupe présent dans l'automobile et l'armement terrestre a revu, aujourd'hui, à la baisse ses perspectives pour 2014, en contrecoup de la décision du gouvernement allemand de bloquer son activité en Russie. Le chiffre d'affaires de l'activité défense ne devrait pas dépasser 2,3 milliards d'euros au lieu des 2,5 à 2,6 milliards attendus cette année.

 

En début de semaine, l'Allemagne a durci son train de sanctions contre la Russie dans le cadre de la crise ukrainienne. Sigmar Gabriel, le ministre de l'Économie allemand, a retiré à Rheinmetall sa licence d'exportation d'un centre d'entraînement et de formation militaire. Un contrat estimé à 100 millions d'euros. Un coup dur pour le fabricant de blindés, canons et autres équipements pour fantassins. D'autant que si les Européens ont décidé de ne plus exporter d'armements en Russie, cette sanction ne devait s'appliquer qu'aux nouveaux contrats. Rheinmetall a aussitôt réagi. Sa direction va explorer «toutes les possibilités juridiques» et n'exclut pas de demander au gouvernement allemand des indemnités.

 

Pression sur la France et les Mistral russes

 

En prenant une mesure rétroactive, Berlin accentue, en outre, sa pression sur la France, sommée par plusieurs pays européens, Grande-Bretagne en tête, ainsi que par les États-Unis de ne pas livrer, cet automne, le premier des deux Mistral russes commandés par Moscou en 2011, pour 1,2 milliard d'euros.

 

Rheinmetall voit sa stratégie d'expansion en Russie contrariée. Or, c'est un des pays que le groupe allemand ciblait pour booster ses exportations hors d'Europe, où il ambitionne de prendre 50 % de ses commandes nouvelles d'ici à 2015. «Alors que les dépenses militaires baissent en Europe et aux États-Unis, d'autres pays tels que la Russie, le Brésil et l'Asie les augmentent. Notre objectif est d'augmenter notre présence dans ces régions en croissance», expliquait la direction du groupe dans son rapport annuel 2013.

 

Tentative pour faire capoter l'alliance Nexter-KMW

 

Bloqué en Russie, Rheinmetall est aussi en mauvaise posture depuis l'annonce, le 2 juillet dernier, des fiançailles entre son homologue, Krauss-Maffei Wegmann (KMW), et le français Nexter. Les deux groupes sont entrés en négociations exclusives afin de former le numéro un européen de l'armement terrestre d'ici à fin 2014-début 2015. Depuis plusieurs semaines, Rheinmetall se démène pour faire capoter ce futur Airbus des blindés. Il préparerait une offre sur KMW avec lequel il coopère pour la fabrication de plusieurs blindés dont les chars Puma. Jusqu'ici les négociations menées par le passé par les deux entreprises allemandes ont toujours tourné court. Et côté gouvernement français, on reste très confiant dans la capacité des deux entreprises et de leurs actionnaires - l'État français et la famille Bode-Wegmann - d'aboutir.

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 12:20
photo USMC

photo USMC

 

17 juillet, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

Les Marines l’appellent le UHAC, pour Ultra Heavy-lift Amphibious Connector. C’est la dernière idée en date dans la longue quête pour trouver le véhicule idéal pour faire la jonction entre le navire d’assaut et les plages de l’état voyou qui aurait mérité une bonne correction. Le DUKW, camion GMC amphibie de la seconde guerre mondiale, ferait figure de jouet en comparaison du monstre qui se prépare dans les ateliers de l’Empire.

 

Un prototype à échelle ½  de l’UHAC a été engagé la semaine dernière à Hawaï pendant l’exercice RIMPAC 2014. L’engin a participé à des mises à terre depuis le navire de débarquement USS Rushmore vers les plages d’entrainement de l’US Marines Corps à Oahu (Hawaï).

 

L’UHAC a été proposé initialement par le chantier naval hawaïen Navatek sous l’égide du Marine Corps Warfighting Lab. Un premier véhicule à l’échelle 1/20, puis un second au ¼ ont permis de tester le concept. Un financement de l’Office of Naval Research a ensuite permis la fabrication de cette troisième itération à échelle réduite. Quand il aura atteint sa taille adulte, l’UHAC devra être capable d’emporter simultanément trois ou quatre véhicules blindés. C’est trois fois plus que les LCAC sur coussin d’air actuellement utilisés, avec une mobilité supérieur à terre et notamment la capacité de franchir des obstacles verticaux. La botte secrète du véhicule tient dans son système de propulsion : les plaques fixées à la chenille enveloppante se déploient et servent à la propulsion dans l’eau, à la manière des antiques roues à aube. Une fois à terre, elles viennent se plaquer les unes aux autres, formant un support stable au véhicule qui avance alors sur des échasses… Une belle image valant mieux qu’un long discours confus, on peut voir l’engin dans ses œuvres ici.

 

S’il devait un jour entrer en service, l’engin serait bien entendu blindé et hérissé de mitrailleuses.

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 07:45
Nigeria: les femmes, "bombes humaines" de Boko Haram

 

06/08/2014 Par LEXPRESS.fr

 

Les femmes sont devenues les nouvelles armes de guerre de la secte islamiste Boko Haram. Le sort des 200 jeunes filles enlevées en avril inquiète d'autant plus.

 

Les adolescentes kidnappées au Nigeria sont-elles destinées par Boko Haram à devenir des bombes humaines? La question, troublante, est posée par de nombreux internautes sur les réseaux sociaux, remarque la BBC.

 

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 07:45
Challenges ahead if SA wants to be Africa's military superpower

 

 

06 August 2014 by Helmoed Römer Heitman, Independent Military and Defence Analyst – ISS Africa

 

South Africa has big plans to expand its involvement in Africa. To implement these, defence minister Nosiviwe Mapisa-Nqakula has a vision and a 400-page Defence Review to guide her developing the capabilities of the SANDF to match national, regional and continental roles envisaged by cabinet and the Presidency.

 

Yet she will need support and additional funds: quite a lot of it too, judging by the recommendations in the review.

 

The border security mission presents challenges in terms of present force levels, equipment and funding – up to R1 billion extra will be required to fully equip, deploy and sustain a further 11 companies for deployment to the border, as the minister intends.

 

Indications are that if all goes according to plan, the SANDF could be up to speed to fulfil its commitments at its borders and in the region by 2023. Only then will the real work of renewing the force capabilities start in earnest.

 

In her budget speech on 23 July, Mapisa-Nqakula said: ‘It is also going to be important that the implementation of the Defence Review takes into consideration the tasks and commitments for defence arising from the New National Security Strategy.’ This crucial document, which has been many years in the making, should be the central document to shape policy regarding South Africa’s political, military and diplomatic roles and engagement. Approved by government earlier this year, it has still not been made public – which hinders its role as a policy tool.

 

Government has, meanwhile, tasked the Army with forming a combat group for employment as part of the African Capacity for Immediate Response to Crises (ACIRC), which will in time become the intervention capability envisaged in the Defence Review.

 

In her speech, the minister reiterated the main responsibilities of the SANDF, which include, among others, defending and protecting South Africa, safeguarding its borders and infrastructure and promoting peace and security in Africa. South Africa’s regional role thus remains central to policy, the only question being to which level this is to be pursued.

 

In this regard, the Defence Review’s baseline of three long-term battalion or combat group peace support operations is derived from an assessment of government’s intent and on past experience. For several years, South Africa had battalions in Burundi, the Democratic Republic of the Congo (DRC) and Darfur simultaneously, plus a brief battalion-strength deployment in the Comoros.

 

The minister also referred to the five milestones proposed in the Defence Review as the basis for planning. These are to arrest the decline of the SANDF; to rebalance the force by reprioritising; to ensure capacity meets current needs; to develop capacity to meet future challenges and to build the strength to deal with a limited war. The fifth only becomes relevant in the event of a major strategic shift, but the first two fall within the current five-year medium-term strategic framework.

 

However, the current defence budget – and the budgets forecast for the next two years – will not provide sufficient funding to do that. But, as the minister remarked, ‘many aspects … can be pursued in the short term without additional funding.’ These include various measures to lay the groundwork for the future development of the defence force. In reality, some of these have already been initiated – such as planning for restructuring within the Army. However, it is never without cost, and is more about reprioritising expenditure.

 

The current, short-term programme focuses on succession planning and renewal within the SANDF, and will, in fact, not require much funding in addition to what is needed for proper training and maintenance. Once these aspects have been addressed – and this should be done promptly – funding will have to increase to start the rebuilding. An immediate challenge is, however, the current shortfall in the present defence budget, due to both legacy issues and new operational activities, such as unfunded ACIRC preparations, sustainment of current missions and staff structure.

 

Considering the intent expressed in the budget speech along with what the Defence Review envisages for the first two milestones, relatively limited growth in defence funding should suffice during the current medium-term strategic framework. Real growth will, however, be needed in the second part of the period.

 

The targets set in the Defence Review for Milestone 1 (by 2015/16) that are relevant to the regional peace support role include enhanced strategic awareness capability, which includes expanding and enhancing the Special Forces capability; establishing a permanent forward base in Africa; re-establishing or enhancing a tactical airfield unit capability and a naval port-operating capability; and ensuring that troop contribution obligations are maintained at the standard whereby reimbursement from the United Nations is guaranteed.

 

This is over and above present deployments, which would continue at the same levels. These include the battalion in Darfur, the battalion group and other elements in the DRC, the patrol station in the Mozambique Channel and some smaller elements.

 

The targets set in Milestone 2 (by 2018/19) that pertain to the regional peace support role include developing a joint rapid response intervention capability; simultaneous renewal of the medium and light airlift; in-flight refuelling and air-ambulance capability and enhancing the medium helicopter lift capability. It also includes extended maritime protection capability. Again, this is over and above the present deployments that would continue, and over and above what is set out for Milestone 1.

 

Depending on the detailed force structure and chosen design, and the level of border patrolling to be reached within this period, these interventions and capability targets should be attainable at about 1,4% of the current gross domestic product (GDP), which is about 25% to 30% more than the present funding level.

 

This, however, only creates the basis for an expanded regional peace support operations capability. The actual development of that capability would begin in the second medium-term strategic framework. To evaluate the 2014 budget against South Africa’s regional capability one must also consider this second period, during which the Defence Force would be expected to attain the capabilities of Milestone 3.

 

This would, again depending on the detail and the required border security deployment, take the defence budget to about 1,6% of the current GDP, or 46% higher than the present funding level.

 

By the end of the second medium-term strategic framework – 2023 – the Defence Force would be capable of sustaining three long-term combat group level peace support operations, conducting maritime security patrols in Southern African Development Community (SADC) waters, and conducting a short-term brigade strength intervention operation using air- or sealift. This would be in addition to border safeguarding and patrols of South Africa’s own waters.

 

Only in the period after 2023 would the Defence Force begin with major renewal of conventional force capabilities to be able to respond to a serious challenge in the region. That would see defence funding rising to about 2,4% of the present GDP. While this envisaged defence strategy is desperately needed, and can be seen as a blueprint to transform the defence force into an organisation that will have at least minimum capabilities for its projected role and responsibilities, the big question remains how this will be done.

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 07:40
Frappe à Donetsk alors que l'OTAN craint une intervention russe

 

06.08.2014 Romandie.com (ats)

 

Donetsk, fief des séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine, a subi mercredi une frappe aérienne non revendiquée. Cette attaque inédite est intervenue alors que l'armée ukrainienne intensifie ses manoeuvres pour reprendre la ville et que la Russie aurait massé environ 20'000 soldats près de la frontière.

 

A Donetsk, la nuit a été marquée par des tirs d'artillerie dans les faubourgs ouest de Petrovski et Kirovski et une frappe aérienne non loin du centre-ville, la première depuis les bombardements en mai de l'armée ukrainienne pour chasser les rebelles de l'aéroport international de Donetsk. L'armée ukrainienne a rejeté toute responsabilité pour cette frappe en affirmant ne pas avoir "bombardé Donetsk".

 

Une journaliste de l'AFP sur place a vu un profond cratère à sept kilomètres du centre-ville où, selon les habitants, se trouve une des bases rebelles. L'entrée d'un des nombreux entrepôts a été gravement endommagée par l'explosion qui a soufflé les vitres de trois immeubles de bureaux à proximité.

 

Cette frappe n'a "pas fait de victimes civiles", selon la mairie qui fait état de trois civils tués en 24 heures dans des tirs d'artillerie touchant d'autres districts de la ville. En début d'après-midi mercredi, des journalistes de l'AFP dans le centre-ville ont entendu le son de nouveaux survols à basse altitude.

 

Poutine limite les importations

 

Les combats s'intensifient depuis plusieurs jours autour de Donetsk, la plus grande ville du bassin houiller du Donbass. La stratégie affichée par Kiev est d'isoler les insurgés à Donetsk jusqu'à épuisement de leurs ressources. L'objectif est de les couper de la frontière russe par laquelle transitent, selon l'Ukraine et les Occidentaux, armes et combattants, ce qui explique les sanctions économiques sans précédent imposées à la Russie.

 

En riposte à ces mesures, Vladimir Poutine a ordonné d'"interdire ou de limiter pour un an" les importations de certains produits agroalimentaires en provenance des pays sanctionnant la Russie.

 

La Russie a massé environ 20'000 soldats près de la frontière avec l'Ukraine et pourrait prétexter une mission humanitaire ou de maintien de la paix pour envahir l'est de ce pays, a indiqué de son côté l'OTAN mercredi dans un communiqué. La Russie a démenti un tel mouvement de troupes.

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 20:35
Harold_J._Greene photo US Army

Harold_J._Greene photo US Army

 

6 août 2014 45eNord.ca (AFP)

 

Le meurtre mardi d’un général américain par un soldat afghan va renforcer la méfiance qui régnait déjà entre les deux armées, mais sans remettre en cause la formation des militaires afghans qui reste une priorité pour Washington et l’OTAN, sur le point de retirer ses troupes.

 

Le général de division Harold J. Greene, le plus haut gradé américain tombé sur un théâtre d’opération depuis la guerre du Vietnam, est mort sous les balles d’un soldat afghan qui a ouvert le feu lors d’une rencontre entre des troupes afghanes et leur alliés de l’OTAN.

L’assaillant, dont les motivations exactes restaient inconnues mercredi, a également blessé une quinzaine d’autres militaires.

Cette attaque menace de compliquer davantage la tâche des soldats de l’OTAN pendant leurs derniers mois de présence sur le sol afghan, jusqu’à leur retrait prévu en fin d’année.

 

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 20:30
Les Kurdes irakiens, syriens et turcs mènent une offensive contre les djihadistes de l'EI

 

06.08.2014 Le Monde.fr avec AFP et Reuters

 

Des combattants kurdes d'Irak, de Syrie et de Turquie ont lancé mercredi 6 août une offensive contre des djihadistes dans la région de Mossoul, dans le nord de l'Irak, a annoncé un responsable politique.

 

Les hommes du PKK turc et du PYD syrien mènent des opérations contre les djihadistes de l'Etat islamique (EI) dans la région de Sinjar, ville tombée aux mains de l'EI le 3 août, tandis que les peshmergas, les combattants kurdes d'Irak, tentent de sécuriser des zones situées au nord et à l'est de Mossoul.

 

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