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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 08:40
Ukraine: Obama exclut une ingérence militaire américaine

 

MOSCOU, 20 mars - RIA Novosti

 

Le président américain Barack Obama a exclu une intervention militaire de Washington dans la situation en Ukraine, rapporte jeudi la chaîne de télévision NBC.

 

"Nous n'envisageons pas de nous impliquer dans un scénario militaire en Ukraine (…). Il y a une autre voie, et j'estime que même les Ukrainiens reconnaissent que notre conflit militaire avec la Russie serait inapproprié et ne profiterait aucunement à l'Ukraine elle-même", a déclaré le chef de la Maison Blanche.

 

"Nous avons l'intention de mobiliser tous nos moyens diplomatiques  afin d'être sûr que nous avons une coalition internationale forte qui lance un signal clair: l'Ukraine doit décider par elle-même de son avenir", a indiqué le dirigeant américain.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 08:40
Rheinmetall_Defence

Rheinmetall_Defence

 

BERLIN, 20 mars - RIA Novosti

 

Le gouvernement allemand a suspendu la coopération du groupe d'armement Rheinmetall AG avec la Russie en raison de la situation autour de la Crimée, a rapporté dans la nuit de mercredi à jeudi la chaîne de télévision n24, se référant au ministère allemand de l'économie. 

Le groupe allemand en question et le ministère russe de la Défense construisent conjointement un centre d'entraînement au combat des troupes terrestres à Moulino, près de Nijni-Novgorod. Le chantier doit battre son plein cette année. Il est prévu que le centre forme annuellement 30.000 soldats. Le contrat est évalué à 100 millions d'euros. 
Le ministère allemand de l'Economie souligne que dans les circonstances actuelles, la poursuite d'une telle coopération s'avère impossible. 

La veille de cette annonce, un représentant de la société Rheinmetall avait déclaré au journal Neue Osnabruecker Zeitung que le groupe honorerait les accords avec la Russie en dépit de la réaction de l'Occident sur le rattachement de la Crimée à la Russie. 

Le groupe Rheinmetall AG est un des plus importants producteurs d'armes et de matériel militaire en Europe. 

Un changement de pouvoir s'est opéré le 22 février à Kiev. La Rada suprême (parlement ukrainien) a démis le président Viktor Ianoukovitch de ses fonctions et réformé la Constitution. Se proclamant toujours président légitime, M.Ianoukovitch a qualifié ces événements de "coup d'Etat". Moscou a aussi mis en doute la légitimité des récentes décisions de la Rada suprême ukrainienne.   

Plusieurs régions de l'Est et du Sud de l'Ukraine et la république autonome ukrainienne de Crimée ne reconnaissent pas les nouvelles autorités de Kiev. La Crimée a décidé de tenir un référendum sur son statut politique le 16 mars. Selon le bilan définitif, 96,77 % des personnes ayant pris part au vote se sont prononcées en faveur du rattachement de la région à la Russie en tant que sujet fédéral.     

Le président russe Vladimir Poutine a reconnu lundi l'indépendance de la république de Crimée et l'accord de l'entrée de cette presqu'île au sein de la Fédération de Russie a été signé mardi, provoquant une vive réaction des Occidentaux.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 08:35
Ssang Yong 2013 photo USPACOM

Ssang Yong 2013 photo USPACOM

 

20 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

SEOUL - Plus de 10.000 soldats américains participeront la semaine prochaine à un exercice de débarquement en Corée du Sud, dans le cadre de manoeuvres annuelles auxquelles le Nord a répondu par des tirs de missiles, a annoncé l'armée US.

 

Le Japon et le régime nord-coréen sont de leur côté convenus jeudi de relancer des discussions au niveau gouvernemental suspendues en 2012.

 

Les exercices de débarquement amphibie américano-sud-coréens, baptisés Ssang Yong (Dragons jumeaux), comptent parmi les plus ambitieux jamais réalisés par les deux alliés, selon la presse locale.

 

Ils se tiendront entre le 27 mars et le 7 avril sur la côte sud-est de la Corée du Sud et mobiliseront 7.500 soldats d'infanterie de marine, 2.000 membres des forces navales, a précisé un porte-parole de l'armée américaine à l'AFP.

 

Selon l'agence de presse sud-coréenne Yonhap, 4.500 soldats sud-coréens y prendront part.

 

Ssang Yong 14 est un exercice annuel conjoint réalisé par les forces d'infanterie et de marine avec la ROK (République de Corée, Corée du Sud) afin de renforcer l'interopérabilité et les relations de travail des deux armées, a souligné l'armée US dans un communiqué.

 

La Corée du Sud et les Etats-Unis, qui maintiennent 28.500 soldats en permanence sur le territoire sud-coréen, ont lancé le 24 février leurs manoeuvres annuelles conjointes qui doivent durer jusqu'à la mi-avril.

 

Dans une apparente démonstration de force destinée à manifester son mécontentement, la Corée du Nord, qui voit dans ces exercices une répétition générale à l'invasion de son territoire, a effectué de multiples tirs de missiles ces dernières semaines.

 

Et la puissante Commission nord-coréenne de défense nationale a menacé de faire une nouvelle démonstration de sa force de dissuasion nucléaire.

 

De telles déclarations, selon les analystes, augurent de possibles préparatifs en vue d'un quatrième essai nucléaire, après ceux réalisés en 2006, 2009 et en février dernier.

 

Après des mois de fortes tensions à l'hiver 2012 et au printemps 2013, les relations entre Séoul et Pyongyang sont néanmoins entrées dans une phase de calme relatif, qui s'est traduit le mois dernier par la réunion de familles séparées par la guerre de Corée (1950-1953), les premières depuis trois ans.

 

La Corée du Nord a également repris langue avec le Japon, ancienne puissance coloniale dont la présence brutale entre 1910 et 1945 sur la péninsule coréenne continue de générer des frictions entre Tokyo d'un côté, Séoul et Pyongyang de l'autre.

 

Des diplomates japonais et nord-coréens se sont mis d'accord pour prendre les dispositions en vue d'une reprise des consultations au niveau des gouvernements, a déclaré à l'AFP une responsable du ministère japonais des Affaires étrangères.

 

Les deux pays n'entretiennent pas de relations diplomatiques. Tokyo insiste pour que soit résolue la question des enlèvements de citoyens japonais par la Corée du Nord durant la Guerre froide, que Pyongyang forçait ensuite à enseigner la langue et la culture nippones à ses espions.

 

De son côté, Pyongyang estime que le Japon doit encore des compensations et des excuses pour son occupation de la péninsule coréenne.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 08:35
Vietnamese Army Upgraded BTR-152

BTR-152 of the Vietnamese People's Army (all photos : BaoDatViet)

 

20 March 2014 - Defense Studies

Council technical acceptance Military Region 2 recently conducted test improved , upgraded armored vehicles BTR - 152.

BTR - 152 armored cars produced by the Soviet Army and Vietnam are now widely used, however, because the BTR - 152 has gone through many years of use, this does not fit the requirements, training duties and maneuverability, the Military Zone 2 command has directed a series of improvements focused on vehicle equipment.


 


Vehicle BTR - 152 engine was fitted to diesel instead of gasoline engines before, clutch assembly, new gearbox, steering system to convert hydraulic power assist; mounting system signals, lights, horn priority, rearview mirror, upgraded drivetrain, brakes, suspension runs, roof, upgraded bodywork repair, brushed rain, fire, ventilation, communication, padded seat, tire pump, maintenance contracts set, change oil, grease clusters .

 


After improvements, upgrade the car has been running tests on different types of roads, has been tested specifically in sports coaching in schools and perform mobility tasks. Through activities, vehicles have good technical condition, the cluster system on the car stable synchronous operation ...

Through direct and organize test for driving in different terrain, the council accepted technical improvements Military Zone 2 rated outcomes and quality of content upgrades, improvements of vehicles BTR - 152 and agreed to vehicles in operation serving coaching duties, SSCD .

 


Soviet BTR - 152 was designed in 1946 and mass production started in 1950-1962 with 15,000 units shipped, serving in 25 countries around the world as of this moment .

BTR - 152 chassis designed on the basis of ZiS - 151 truck, the engine is mounted in front, the cabin was located shortly thereafter and troop transport compartment located in the rear. Several variations later used ZIL - 157 chassis.

 


Body structure is steel welding type, armor thickness from 15 - 9mm, located at the thinnest part of the floor, 4mm. Cabin has two doors, the windshield is protected by two iron plates have slots look, have private open bar.

Rear passenger compartment troops capable of carrying 1.9 tons of cargo or 18 troops. Soldiers in vehicles with guns can fight through personal loophole on both sides of the car, on/off via car by climbing through the roof because the car does not smell.

 


BTR - 152 armored vehicles were also armed with a machine gun and a 12.7mm air defense machine gun 7.62 mm. Originally BTR - 152 is mounted petrol engine cooled 11.1 horsepower ZIS - 123 allows speed 75km/h (300 liter fuel tank). 

(BaoDatViet)

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 08:35
US Considers Military Relationships with China

 

 

March 20th, 2014 By US Department of Defense - defencetalk.com

 

Chief of Staff of the Army Gen. Ray Odierno said a military training relationship with China is possible as the U.S. strengthens its presence in the Asia-Pacific theater.

 

Odierno met with leaders of the Chinese People’s Liberation Army last week to discuss mil-to-mil opportunities and said some guidelines were outlined.

 

Speaking at the Center for Strategic and International Studies in Washington, D.C., Odierno’s discussion ranged from regional alignment of forces to a return of tiered readiness, driven by a tight budget.

 

The general had just returned from a trip visiting with military leaders in China before going on to Japan and then Korea.

 

“We tend to focus on our differences,” Odierno said about the U.S. and China, “but we actually have a lot in common. One is obviously the security and stability of the Pacific region, because of the economic impact it has on both of our countries.”

 

Odierno said Chinese military leaders first talked with him in November about establishing a training relationship and said they are now going “out of their way” to push ahead on a dialogue between the two armies.

 

Secretary of Defense Chuck Hagel may travel to China in a month or so, Odierno said, and added that he hopes a training relationship can be solidified then.

 

“This is by far the biggest step we’ve taken in many, many years in trying to open up this relationship between our armies,” Odierno said.

 

After visiting China, Odierno went on to Japan where he discussed the future of the Japanese Self Defense Force and then continued to Korea.

 

The U.S. Army will continue to have a strong relationship with South Korea, he said, but described that relationship as one that is “morphing and changing” as the Republic of Korea takes on more responsibility for its overall defense.

 

Unit rotations may be the way ahead in Korea, he said, adding that a battalion and aviation unit just rotated to Korea from the United States.

 

Armies play an important role in the Pacific, Odierno said, even though the area is often thought of as a Navy theater. He said the U.S. Army is expanding its engagements in other countries across the theater.

 

“Over the last month we did a joint airborne operation in Thailand,” Odierno said. “We are developing relationships with the Philippines. We are having some initial forays into Vietnam. We are increasing our engagements with Indonesia.”

 

He said making the commander of U.S. Army Pacific a four-star position helped with establishing relationships in the theater. Gen. Vincent K. Brooks took over as U.S. Army Pacific, or USARPAC, commander July 2, and was promoted to four-star general.

 

“I think we’re going in the right direction,” Odierno said, not only about the Pacific, but about regional alignments elsewhere as well.

 

For instance, the 2nd Brigade Combat Team, 1st Infantry Division, was aligned with U.S. Africa Command. Small task forces from the brigade supported exercises and other engagements across the continent.

 

Almost 90 missions were conducted over the last year in Africa, Odierno said, and added such regional alignment of forces will continue to take place in other theaters as well.

 

“We’re going to align our forces to the combatant commanders, based on their requirements, to help them to shape and set the theaters that they are responsible for,” Odierno said.

 

Building partner capacity is not the chief of staff’s only concern, though. He said what keeps him up at night is the thought of a contingency call coming in the future that the Army might not be quite ready for and that would cost the nation in terms of lives.

 

In order to ensure units are ready for the full spectrum of decisive combat operations, Odierno said units will rotate through the Army’s combat training centers, which will be used to their “utmost potential.”

 

Emphasis will be placed on rotations to the National Training Center at Fort Irwin, Calif., the Joint Readiness Training Center at Fort Polk, La., or the Combat Maneuver Training Center in Germany. Odierno said these types of rotations are needed after 10 years of counter-insurgency and stability operations in Iraq and Afghanistan.

 

The CTCs will prepare units to deal simultaneously with high-end combat, criminal threats, insurgencies, and other complex scenarios, Odierno said.

 

“We have to be prepared to do all of those at once,” he said. “Our future leaders will need to operate in this complex environment.”

 

Of course, investing in the CTCs will reduce the money available for home-station training, he said. Many units will need to conduct virtual constructive training at home station to make up the difference, he said.

 

With budget cuts this year and possibly next, some hard decisions may need to be made.

 

“We’re going to have to go to a tiered readiness model that causes us to ensure that we have some level of readiness across some capability,” Odierno said.

 

Tiered readiness was the system the Army had before 2004 when it adopted the Army Force Generation system, known as ARFORGEN. Under tiered readiness, units that were high priority — or slated to deploy before others — were fully resourced. Those at the lower end of the tier did not always have the equipment and resources needed to immediately deploy.

 

There are some proposals to eventually shrink the active Army to a force of 420,000.

 

“We would be challenged to conduct a prolonged joint multi-phased campaign of any duration with that size of force,” Odierno said.

 

He said a rock bottom force of at least 450,000 active-duty Soldiers, 335,000 National Guard and 195,000 Army Reserve is needed to meet the National Strategic Guidance and “that’s at high risk,” he added.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 08:30
La moitié des armes chimiques syriennes évacuées du territoire



20.03.2014 par RFI
 

La Syrie a transféré la moitié de son stock d'armes chimique hors de son territoire. C'est ce qu'indique l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), en charge de l'élimination de cet arsenal particulièrement dangereux. Selon une résolution des Nations unies, l'ensemble du stock doit être détruit d'ici au 30 juin.

 

La Syrie a évacué 30 % des ses produits chimiques les plus dangereux. Un chiffre qui inclut la totalité du terrible gaz moutarde que détenait le régime de Damas et qui était son seul agent chimique prêt à l'emploi, selon l'OIAC.

Parallèlement, la Syrie a déjà transféré plus de 80 % de ses agents dits « de catégorie 2 », moins dangereux.

En moyenne, c'est donc 45% de l'arsenal chimique qui a déjà quitté le territoire syrien à bord de bateaux norvégiens et danois. Les produits doivent être ensuite détruits à bord d'un navire américain spécialement aménagé ou dans des usines européennes pour les substances les moins nocives.

L'OIAC affirme que Damas a accéléré le processus de désarmement chimique ces dernières semaines. Mais le programme a globalement pris du retard. Le plan de destruction prévoyait initialement l'évacuation de l'ensemble des produits chimiques avant le 5 février dernier.

Les Occidentaux soupçonnent le régime de Damas d'avoir volontairement outrepassé cette date. Ce que dément le pouvoir syrien.

Sur ce dossier sensible plane aussi l'ombre de la crise ukrainienne puisque la destruction des armes chimiques syrienne repose sur un accord américano-russe et que la Russie est associé aux opérations de transports des substances nocives.


L'aide impossible aux réfugiés de Yarmouk

Des dizaines de milliers de civils sont aujourd'hui assiégés dans des quartiers encerclés par l'armée. C'est le cas du camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk à Damas, soumis à un blocus parce que des opposants syriens et palestiniens y sont retranchés. Mardi, de la nourriture a pu y être acheminée par le Bureau des Nations unies en charge des réfugiés palestiniens (l'UNRWA). Mais mercredi, la colère et la détresse des populations affamées ont contraint les humanitaires à rebrousser chemin.

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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 08:20
ARES : Future camionnette volante de l’armée américaine ?

Images  DARPA

 

19.03.2014 Romain Guillot journal-aviation.com

 

Succédant au projet Transformer (TX) dévoilé en 2009, le projet ARES (Aerial Reconfigurable Embedded System) de l’agence américaine DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) va bientôt se concrétiser.

 

La DARPA a en effet annoncé le mois dernier que le programme était désormais lancé et qu’il avait gagné en maturité, atteignant sa troisième et dernière phase de conception (Phase 3). Un premier prototype va être construit pour un vol attendu en 2015.

 

Développé en coopération avec la division Skunk Works de Lockheed Martin et Piasecki Aircraft Corporation, ce drone est destiné à effectuer des missions de transport, notamment pour assurer la logistique des lignes de front. Il s’agit d’un appareil pouvant décoller et atterrir verticalement (VTOL) grâce à deux soufflantes carénées orientables.

 

À la différence des premiers travaux concernant le projet TX, ARES ne ressemble plus du tout à un Hummer volant. Il est désormais composé de deux parties : un module porteur, complètement autonome, qui comprend la voilure, la motorisation, les systèmes et le carburant, et un module de transport, complètement détachable et adapté en fonction des besoins de la mission. Ce dernier module pourra par exemple se décliner en compartiment de transport de matériel ou de vivres, en logement d’évacuation pour blessés (CASEVAC) ou en système de reconnaissance et de renseignement.

 

Pour la DARPA, ARES permettra ainsi de s’affranchir des contraintes du terrain (relief, menaces) par opposition au traditionnel transport par voie terrestre, tout en évitant de mobiliser des hélicoptères avec leur équipage. Le drone deviendrait ainsi un moyen de transport plus économique, tout en divisant par deux la surface d’atterrissage requise.

 

L’un des objectifs du programme est de pouvoir transporter une charge pouvant atteindre 3000 livres (1,4 t), soit plus de 40% de sa masse maximale au décollage. ARES sera dans un premier temps entièrement autonome, ne nécessitant aucune intervention humaine pour assurer les missions. La DARPA précise cependant que le drone pourra aussi, mais dans un second temps, être piloté dans certaines phases de vol grâce à des applications sur mobile ou sur des tablettes durcies.

 

Ce projet s’ajoute au programme X-VTOL dévoilé en février 2013 et qui plante le décor sur de futurs concepts d’aéronefs alliant voilure tournante et voilure fixe.

ARES : Future camionnette volante de l’armée américaine ?
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20 mars 2014 4 20 /03 /mars /2014 08:20
US Army At ‘Tipping Point’ of Unmanned Aircraft System Capabilities

 

March 20th, 2014 By Army News Service - defencetalk.com

 

“We’re on the tipping point of unmanned aerial systems’ ability to deliver capability to the Soldier,” said Col. Thomas von Eschenbach.

 

The unmanned aerial/aircraft system, or UAS, is no longer seen by Soldiers as a new system and as the months and years pass, it will “not just be used by a few, but will become integral to the Army fabric and how it fights and is used and understood,” said Eschenbach, who is the UAS capability manager for U.S. Army Training and Doctrine Command.

 

Eschenbach and others spoke today at a media roundtable at Redstone Arsenal, Ala., where a celebration was held marking the Army’s milestone of 2 million UAS flight hours.

 

Col. Timothy Baxter, project manager, UAS, noted that it took 20 years for Army unmanned aircraft systems to reach 1 million flight hours. That milestone came in 2010. With increased use of those systems, it took just a few more years to reach the 2 million flight-hours milestone.

 

He said what is most impressive is that 90 percent of total UAS flight hours were logged in direct support of combat operations. “Every one of those hours has meant something to a commander on the ground overseas engaged in combat,” Baxter said.

 

Baxter noted that of the total two million flight hours, Shadow UAS logged 900,000 of those. However, as more Gray Eagles are fielded, he said he expects it to be the system with the most impressive mileage.

 

Rich Kretzschmar, deputy project manager, UAS, said that reaching three million flight hours may take longer than it did to get from one to two million because the operations tempo in theater has now leveled off.

 

And, as more UAS systems return to the U.S. from overseas, there could be fewer opportunities to fly them because of restricted airspace flight rules, Baxter added.

 

But, the UAS will play a crucial part of the Army’s aviation restructure initiative, Eschenbach said.

 

As brigade combat teams, or BCTs, shrink from four to three per division and as maneuver battalions are reinvested back into other BCTs, three Shadow UAS platoons will be put inside of each attack reconnaissance squadron, he said. That would add a total of 30 platoons of Shadows into the combat aviation brigade structure. Those squadrons will also contain AH-64E Apache helicopters.

 

FUTURE UAS FLIGHT PATH

 

Don’t expect to see a lot of new UAS models, Baxter cautioned.

“Our platforms are the platforms we’re going to have for the foreseeable future in the Army,” he explained.

 

Instead, he said future efforts will be in the area of new technologies for advanced payloads and improvements in man-to-unmanned teaming.

 

As to unmanned vs manned, Kretzschmar pointed out that UASs are not replacing pilots.

 

Rather, he said, they are the “extension of the commander’s ability to do things, extend reach, reduce risk and get better situational awareness on the battlefield.”

 

Also in the cards for UAS is something not too sexy, but important nonetheless to a budget-challenged Army: sustainment costs.

 

Baxter said the UAS community has moved away from contractor logistics support to “green-suiter” maintainers, as Soldiers get their own military occupational specialty and become more proficient. In the next war, the Army may not have the luxury of setting up forward operating bases teeming with contract support.

 

Another cost savings, he pointed out, is through applying “performance-based logistics” to contracts, so as to “incorporate better buying power.”

 

Since Eschenbach is with TRADOC it’s not surprising he sees doctrine as well as the operational environment dictating the vision of where UASs are headed.

 

Eschenbach thinks UASs have capabilities that go far beyond the current state of reconnaissance, surveillance, security and precision strikes.

 

His team of planners is already looking at UAS employment in “Force 2025,” where UAS will vastly extend the network, meaning the reach that commanders have on the ground.

 

As this takes place over the coming years, he said Army leaders will need to better understand the capabilities of UASs and what they can do for them.

 

“We’re asking warfighters in a smaller, leaner Army to be more expeditionary, lethal and survivable, focused on the next thing our nation asks us to do,” Eschenbach concluded. In that environment, there’s “plenty of future for UAS.”

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 19:50
Le bilan annuel de MBDA porté par l’export

L'Eurofighter débute ses essais en vol équipé du missile Taurus. © MBDA / J. Gietl

 

18.03.2014 Helen Chachaty journal-aviation.com

 

MBDA a présenté ce matin ses résultats annuels pour l’année 2013, une « très bonne », voire une « excellente » année au niveau des prises de commandes, selon le PDG Antoine Bouvier. Elles atteignent en effet 4 milliards d’euros - 1,8 sur le marché domestique et 2,2 à l’export - un chiffre en nette progression par rapport à l’année précédente, au cours de laquelle le missilier européen n’avait enregistré que 2,3 milliards d’euros de prises de commandes. Au 31 décembre 2013, le carnet de commandes de MBDA affiche un total de 10,8 milliards d’euros et le CA sur l’année est de l’ordre de 3 milliards d’euros.

 

Contrat de développement du programme MMP, contrat de production pour le Sea Ceptor et pour le Meteor, autant de succès qui ont permis de « renforcer la filière missile » de MBDA sur le moyen et le long terme, sur le marché domestique. A l’export, le Moyen-Orient et l’Asie-Pacifique caracolent en tête des régions les plus lucratives pour le missilier, avec respectivement 50% et 40% des commandes. Pour preuve, les contrats signés avec l’Arabie Saoudite (LEX, Storm Shadow, Brimstone, VL Mica…), Singapour (Aster 30) ou encore la Corée du Sud (missile Taurus). MBDA reste toutefois en attente de la signature d’un contrat important de co-développement et de co-production avec l’Inde, concernant le missile de nouvelle génération SRSAM (Short Range Surface to Air Missile), « une déception que je ne cacherai pas » a avoué le PDG, qui espère cependant une signature rapide.

 

Antoine Bouvier a toutefois eu le triomphe modeste, restant « modeste et prudent » pour la suite. Dans un contexte de restrictions budgétaires dans le domaine de la Défense dans la plupart des pays, il s’agit à présent de mettre l’accent sur la coopération et la consolidation, afin, entre autres, de faire face à une concurrence à l’export « de plus en plus agressive ». A cet égard, le PDG de MBDA a déclaré que la stratégie choisie était une stratégie « de persévérance, de patience, fondée sur des éléments solides, qui s’apprécie sur la durée ».

 

Il a également réitéré son attachement à la coopération européenne, avec l’exemple du sommer franco-britannique de Brize Norton de janvier dernier, qui, dans une logique de « rationalisation », « préfigure ce que devra être un jour l’industrie de Défense eu Europe ». Il mesure également l’importance de « consolider les perspectives d’avenir » et de continuer le développement des coopérations existantes.

 

Concernant la situation en France, Antoine Bouvier a déclaré que si le Livre Blanc avait confirmé la stratégie industrielle, la baisse d’activité liée aux programmes était de 40%, une réduction d’une annuité sur le budget missile, soit 15 à 20% sur la durée totale de la LPM. Une situation qui « préserve » les perspectives, avec le lancement des programmes MMP, ANL et MICA-NG, ainsi que la rénovation de l’ASMP-A, mais qui nécessite d’autant plus le renforcement des efforts à l’export.

 

Sur les perspectives d’avenir, Antoine Bouvier place les priorités de MBDA sur le gros contrat indien, ainsi que le renforcement sur les marchés européens, avec notamment la confirmation de l’Aster Block 1NT en France, le système de défense aérienne MEADS en Allemagne et le Spear III en Grande-Bretagne.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 19:45
Algérie: trois islamistes armés tués

 

19 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

ALGER - Trois islamistes armés ont été tués mercredi dans la région de Tizi Ouzou (110 km à l'est d'Alger), a annoncé le ministère algérien de la Défense.

 

En continuité de l'opération de ratissage entamée dans la zone d'Aghribs (Tizi-Ouzou), un détachement de l'armée a réussi ce mercredi à éliminer deux terroristes dans la matinée, a annoncé le ministère dans un premier communiqué cité par l'agence APS.

 

Deux fusils semi-automatiques de type Siminoves ont été saisis, selon la même source.

 

Dans un deuxième communiqué, le ministère a ensuite annoncé qu'un troisième homme avait été abattu dans l'après-midi dans la même région, et qu'un fusil automatique de type Kalachnikov avait été saisi.

 

Au total, huit terroristes, dont un responsable d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), ont été tués dans cette zone depuis le début le 11 mars de cette opération qui est toujours en court, a précisé le ministère.

 

Des groupes radicaux armés continuent de se cacher dans les maquis de Kabylie et de commettre attentats et attaques dans l'est algérien, longtemps après la fin de la guerre civile qui avait opposé dans les années 90 l'armée à des groupes islamistes extrémistes.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 19:32
Les forces russes ont occupé une deuxième base ukrainienne en Crimée

 

19 mars 2014 Romandie.com (AFP)

 

NOVOOZERNE - Les forces russes, qui ont occupé mercredi matin le quartier général de la marine ukrainienne à Sébastopol, ont pris ensuite le contrôle de la base ukrainienne à Novoozerne, dans l'ouest de la Crimée, ont constaté des journalistes de l'AFP.

 

Quelque cinquante militaires ukrainiens ont quitté la base, sous la surveillance de soldats russes, tandis que des miliciens pro-russes hissaient le drapeau russe.

 

Le commandant adjoint de la base a déclaré à l'AFP par téléphone que les hommes des milices pro-russes sont entrés les premiers, précédés par un groupe de femmes et d'enfants.

 

Les soldats russes sont arrivés derrière eux.

 

Les soldats ukrainiens, bien qu'armés, n'ont pas opposé de résistance, a-t-il ajouté, et personne n'a souffert.

 

Des militaires ukrainiens sont restés sur le terrain de la base et certains d'entre eux, en collaboration avec des soldats russes, gardent maintenant le dépôt d'armes de l'unité, a encore indiqué l'officier.

 

En occupant plus tôt le quartier général des forces navales ukrainiennes à Sébastopol, les milices pro-russes se sont saisies du chef de la marine, Serguiï Gaïdouk.

 

Une agence locale, Kryminform, reprise par plusieurs médias russes, a affirmé qu'il avait été conduit au siège du parquet pour interrogatoire sur l'ordre transmis de Kiev autorisant les soldats ukrainiens à utiliser leurs armes.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 19:30
Raid israélien contre des sites militaires syriens sur le Golan

 

19.03.2014 Romandie.com (ats)

 

Israël a bombardé plusieurs sites militaires syriens, tuant un soldat et en blessant sept. Ces attaques ont été menées en représailles à l'explosion d'une bombe artisanale qui a blessé quatre militaires de Tsahal mardi sur le plateau du Golan.

 

Parmi les cibles visées durant la nuit par la chasse israélienne figuraient un poste de commandement, un centre d'entraînement et des batteries d'artillerie, a déclaré un porte-parole de l'armée israélienne. Le régime de Bachar al-Assad a condamné ces bombardements, mais n'a pas brandi la menace de représailles.

 

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait averti dès mardi qu'Israël réagirait "avec force" après l'explosion de mardi. Le ministre de la défense Moshé Yaalon a mis en demeure mercredi le régime du président al-Assad de cesser de "coopérer" avec les ennemis d'Israël.

 

Présence du Hezbollah

 

Certaines zones du côté syrien du plateau du Golan sont contrôlées par des rebelles combattant l'armée syrienne, y compris des combattants jihadistes hostiles à Israël. Selon Jérusalem, le mouvement chiite libanais Hezbollah, allié de Bachar al-Assad et ennemi de longue date d'Israël, est également présent dans cette région.

 

Les quatre soldats israéliens ont été blessés alors qu'ils patrouillaient sur la ligne séparant le territoire capturé par Israël à la Syrie lors de la Guerre des Six Jours en 1967 et annexé par la suite - annexion non reconnue par la communauté internationale - du territoire syrien.

 

Cet incident est le plus grave pour l'armée israélienne depuis le début du soulèvement contre Bachar al Assad il y a plus de trois ans.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 19:29
Kiev donne trois heures à la Crimée "pour libérer tous les otages"

 

19.03.2014 Romandie.com (ats)

 

Kiev a donné mercredi trois heures aux autorités pro-russes de Crimée "pour libérer tous les otages", dont le chef de sa marine. L'ultimatum a été prononcé par le président ukrainien Olexandre Tourtchinov, selon un communiqué.

 

M. Tourtchinov a menacé "le pouvoir autoproclamé de la Crimée" de prendre des "mesures adéquates" de représailles. Les otages sont "militaires et civils", indique-t-il, sans préciser leur nombre ou leur identité.

 

Peu après, Washington a appelé Moscou à parler à Kiev concernant les bases en Crimée où les otages sont détenus.

 

L'officier Serguiï Gaïdouk a été capturé dans la matinée par les forces pro-russes lors de l'occupation du quartier général des forces navales à Sébastopol. Les bases militaires ukrainiennes en Crimée sont encerclées depuis plusieurs semaines par les forces russes et pro-russes.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 17:55
CS Communication et Systèmes prévoit de recruter 240 collaborateurs en 2014 dont 50% de jeunes diplômés

 

19 mars 2014 par  Jacques Marouani

 

A cette fin, CS Communication et Systèmes (CS) a conclu une convention de partenariat pour une durée de 3 ans avec l'école d'ingénieurs grenobloise Phelma.

 

En 2014, CS Communication et Systèmes envisage de recruter plus de 240 collaborateurs dont 50% de jeunes diplômés dans les domaines de l’énergie (sûreté nucléaire, simulation numérique), de l’aéronautique et du spatial, de la défense et de la sécurité.

 

Afin de mieux communiquer ses besoins en termes de ressources humaines, la société a initié un rapprochement avec l'école d'ingénieurs grenobloise Phelma. Elle vient de signer à cet effet une convention de partenariat avec l'école qui devra permettre de contribuer plus activement à l'intégration de stagiaires et de jeunes diplômés issus de Phelma.

 

Chaque année, CS propose des stages et des premiers emplois, en France et à l’international. L’entreprise souhaite ainsi communiquer sur les perspectives de carrières qu’elle peut offrir aux étudiants et de mieux préparer l’avenir. En 2013, CS a recruté 226 collaborateurs dont 50 jeunes diplômés pour intervenir sur des projets en France et à l’international.

 

Les filières Phelma concernées sont les suivantes : Génie énergétique et nucléaire (GEN), Signal, image, communication multimédia (SICOM, en commun avec Grenoble INP ‐ Ense3) et Systèmes et logiciels embarqués (SLE, en commun avec Grenoble INP – Ensimag).

 

Un tel partenariat, permet donc de renforcer non seulement l’attractivité de filières d’enseignement propres à Phelma et des filières communes avec l’Ense3 et l’Ensimag, mais aussi l’attractivité du groupe Grenoble INP.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 17:55
Entraînement majeur sur l’Aramis à Bayonne


13.03.2014 Marine Nationale
 

Le 12 mars 2014, le patrouilleur de surveillance des site (PSS) Aramis reçoit un appel téléphonique l’informant d’un colis piégé a son bord. L’alerte est aussitôt diffusée. C’est à partir de ce scénario, que l’équipage du patrouilleur et les marins de la base navale de l’Adour vont dérouler les procédures réglementaires et assurer le soutien en termes de transmission et de sécurité.

Après avoir observé les procédures d’investigations basiques, l’équipage de l’Aramis a ainsi évacué le bâtiment pour se regrouper à l’extérieur de la base navale. Dans le même temps, le Groupe d’Intervention NEDEX (GRIN) de Cazaux est activé.

Pour le responsable, l’intérêt de cet exercice est primordial: «d’une part il nous permet de jouer toutes les séquences en temps réel depuis le déclenchement et avec le trajet d’autre part il nous amène à intervenir dans un environnement atypique pour nous».

Effectivement, les artificiers du GRIN 23.565 sont arrivés de la base aérienne de Cazaux grâce à l’escorte de la brigade mobile de gendarmerie de Mérignac. Aussitôt sur place, ces professionnels ont pris la direction des opérations.

L’investigation rapide du patrouilleur a permis de découvrir l’engin explosif dissimulé dans la passerelle de navigation. Utilisant des systèmes de caméras et du matériel commandé à distance, les experts ont testé l’engin afin de pouvoir le déplacer pour ensuite le pétarder à terre.

L’équipage de l’Aramis a profité du débriefing de l’exercice pour intégrer les conseils des professionnels et parfaire ses réactions par rapport à ce type d’incident.

Entraînement majeur sur l’Aramis à Bayonne
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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 17:55
Arrivée du premier Falcon 50 MS

 

 

Mise à jour : 21/02/2014 Marine nationale

 

Le CEPA/10S vient de recevoir sur la base de l’aéronautique navale de Hyères le premier F50 version SURMAR. Cet aéronef, ex-avion à usage gouvernemental, a été modifié par Dassault Aviation à Bordeaux Mérignac pour la partie avionique et structure, puis par Jet Aviation à Bâle pour l’intégration d’un système de transmission par satellite.

 

Depuis le 18 février, cet aéronef est sous la responsabilité du CEPA/10S pour achever de l’équiper de certains systèmes embarqués  et débuter son évaluation opérationnelle. Sa mise en service au sein de la flottille 24F est prévue fin mars 2014. La livraison des trois autres aéronefs s’échelonnera jusqu’en juillet 2015.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 17:51
Morocco, Spain break up militant cell sending fighters abroad

 

 

18 March 2014 defenceWeb (Reuters)

 

Morocco and Spain made seven arrests and dismantled an Islamist militant cell led by a Spanish citizen that sent fighters to "hotbeds of tension" such as Syria, officials from both countries said on Friday.

 

Hundreds of fighters from Morocco and other Maghreb states like Tunisia and Algeria have joined Islamist-dominated rebel forces in Syria's civil war and North African governments fear they will pose security threats once they return home.

 

Spain's interior ministry said the group's leader, Mustafa Maya Amaya, a nationalized Spaniard born in Belgium, was arrested in Melilla along with two French citizens. Melilla is a Spanish enclave on the Mediterranean, surrounded by Morocco.

 

Also arrested was a Tunisian man based in Malaga, Spain and three Moroccans arrested in their own country.

 

Spanish Interior Minister Interior Jorge Fernandez said it was the biggest group in Europe recruiting jihadists for Syria. Some of its members had returned to Spain from conflict zones where they were involved with al Qaeda-linked organizations.

 

He said the cell was now completely broken up because all of its elements, including document forgers, logistics organizers and jihadists had been arrested.

 

"The cell was dismantled in coordination with Spanish security forces," the Moroccan interior ministry said in a statement carried by official news agency MAP.

 

"Three Moroccans were arrested at the same time as the (Spanish) head of the cell and his acolytes have been arrested by the Spanish security services," it said.

 

The Moroccan statement said Amaya, the Spanish head of the cell just broken up, had had close ties with another cell that was linked to al Qaeda's North African wing, known as AQIM. That cell was dismantled last year as it planned to send militants to fight in Mali and Syria.

 

Spain said Maya Amaya used the internet to recruit jihadists and helped them join movements such as the Al Qaeda splinter group Islamic State in Iraq and the Levant (IDIL), al Qaeda's Nusra Front branch in Syria, and AQIM.

 

Morocco, a Western ally against Islamist militancy, often says it has broken up radical cells accused of plotting inside and outside the kingdom.

 

It has suffered numerous bomb attacks by suspected Islamist guerrillas, most recently in 2011 in Marrakesh, but militant groups have so far failed to gain any foothold in the kingdom.

 

Tuesday was the tenth anniversary of the Atocha train bombing in Spain, carried out by an Islamist cell, in which 191 people died.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 17:50
Ukraine crisis hampers EU's Central African Republic mission

 

 

18 March 2014 defenceWeb (Reuters)

 

The Ukraine crisis is hampering the European Union's plans to send a peacekeeping force to Central African Republic because nervous eastern European countries want to keep their troops at home rather than send them to Africa, diplomats said on Friday.

 

The EU has drawn up plans to send 800 to 1,000 soldiers to Central African Republic to join 6,000 African and 2,000 French troops, who have struggled to stop the fighting that started when the mostly Muslim Seleka rebels seized power a year ago in the majority Christian state.

 

But the plan has been jeopardized by the failure of European governments to provide key soldiers and equipment for the force, EU sources said on Thursday.

 

EU diplomats said that there was a link between the problems facing the Central African Republic force and the crisis in Ukraine, where Russian forces have occupied the Crimea region, raising tensions throughout the region.

 

"It is clear that the situation in Ukraine has impacted on the willingness of some of the likely contributors both in the EU and outside the EU to be necessarily ready to deploy to Central African Republic," one diplomat said, speaking on condition of anonymity.

 

"There are some potential troop contributors, both eastern European EU states and ... partners of the EU, that were considering troop contributions (but) firming that up as a definite deployment hasn't yet happened and one would assume it's because it's an unstable neighborhood," he said.

 

A second EU diplomatic source said the Ukraine crisis was "not a facilitating factor" when it came to raising troops for the EU mission to Central African Republic.

 

Neither diplomat could give specific examples of how the Ukraine crisis had affected the EU's plans but Poland, Romania, Estonia, Latvia and non-EU member Georgia are among countries reported to be considering contributing to the force.

 

SECURITY IN CAPITAL

 

The goal of the EU force would be to provide security in the capital Bangui and at Bangui airport, where around 70,000 people who have fled the violence are living in dire conditions.

 

The EU has so far held four conferences at which EU governments and some countries from outside the 28-nation EU offered troops and equipment for the operation.

 

But there are still gaps in essential areas, such as infantry units, headquarters staff and logistics, leading the commander of the force, French Major-General Philippe Ponties, to conclude he does not yet have the resources necessary to launch the mission, EU officials said.

 

Failure to send the force to Africa would be an embarrassment for the European Union, which has been trying to burnish its credentials as a security organization, and a setback for France, which has called for more European support for its efforts in Central African Republic.

 

France urged its EU partners to do more to help the operation on Friday, saying the EU must not shirk its responsibilities for international security.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 17:45
More information on conventional arms sales to be part of NCACC reports

 

19 March 2014 by Kim Helfrich – defenceWeb

 

The quarterly and annual reports of the National Conventional Arms Control Committee (NCACC) will from now on carry more detailed information on South African arms sales to foreign countries.

 

This undertaking was given to DA shadow defence and military veterans minister David Maynier by Justice and Constitutional Development Minister, Jeff Radebe, who chairs the NCACC.

 

Until now reports have contained only information relating to the category and vale of all conventional arms sales. Maynier said the reports should have reflected information as to the country, type, description, quantity and value of arms sales.

 

He gave the example of a recent, what he termed “controversial”, sale of armoured combat vehicles to Equatorial Guinea.

 

“It would have been reported in the NCACC’s 2013 fourth quarterly report as a Category C sale with a ZAR value of 42 300 000 to Equatorial Guinea. That’s all.

 

“With the enhanced reporting requirements the transaction would have been reported as armoured combat vehicles, mine protected Reva lll (nine vehicles) and Reva lV (three vehicles) sold to Equatorial Guinea with the value of each also given.

 

“Previously, we would never have known the transaction between South Africa and Equatorial Guinean involved 12 Reva armoured combat vehicles,” Maynier said calling it “a major step forward for transparency on conventional arms sales from South Africa”.

 

As usual with Maynier he had a sting in the tail for the NCACC.

 

“Given the human rights standard in our legislation regulating conventional arms sales, I will request an investigation by the NCACC inspectorate into the sale of armoured combat vehicles to Equatorial Guinea.”

 

For the first time since the establishment of the NCACC in 1995 detailed information on conventional arms sales will be disclosed to Parliament.

 

“The new enhanced NCACC reports will boost Parliament’s capacity to conduct oversight on South African conventional arms sales,” Maynier said.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 17:45
Funding for MISCA

 

18 March 2014 defenceWeb

 

In the space of two days more than US$ five million has been donated to the African Union (AU) in support of various peace and stability efforts on the continent.

 

Japanese ambassador to Ethiopia and the country’s permanent representative at the AU gave US$ five million to Smail Chergui, AU Commissioner for Peace and Security, less than 24 hours after the Namibian Ambassador to the East African country, Anne Mamakau, pledged half a million dollars to the continental body.

 

An AU statement said the Japanese contribution would go towards aiding the police and civilian component of the African-led International Support Mission in the Central African Republic (CAR) (MISCA) as well as efforts to bring peace and stability to Sudan and the continent’s newest state, South Sudan.

 

Accepting the funding Chergui said: “This contribution comes just as the AU finds itself on the cusp of significant improvements in CAR but much remains to be done to find a lasting solution to conflicts in the region”.

 

Ambassador Kazuhiro Suzuki was appreciate of progress made by MISCA since its deployment in December 19 and said the contribution from his country was “an acknowledgement of the value of the AU intervention in CAR as well as Africa’s ability to address this and other conflicts in the region”.

 

The Namibian donation was in response to a request by the AU Peace and Security Council in February for member states to mobilise support for MISCA in its efforts to resolve what Chergui called “the multi-dimensional crisis” in the CAR.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 17:40
photo Rostec

photo Rostec

 

19.03.2014 Boris Pavlichtchev - La Voix de la Russie

 

L’armée russe sera bientôt dotée d'une tenue individuelle de combat sous le nom de Ratnik.

 

Il s'agit d'une tenue à armements et liaisons intégrés, si bien que chaque combattant se transforme en « soldat du futur » dans toute l’acception du terme, et est capable d’exécuter seul des missions. Cette tenue accroît de façon spectaculaire l’efficacité des unités engagées dans les zones de conflits locaux ou les opérations anti-terroristes.

 

La tenue de combat Ratnik comporte une quarantaine d’éléments et pèse 20 kilos, mais on peut s’en débarrasser en quelques secondes. Selon Igor Korotchenko, rédacteur en chef de la revue Défense nationale, la nouvelle tenue est parfaitement adaptée aux besoins de l’armée russe :

 

« Elle n’équipera que les unités composés de soldats de métier qui sont les plus aptes au combat. Les liaisons et communications se font via le système russe de positionnement par satellite GLONASS et les postes émetteurs-récepteurs sont de fabrication russe. Il en va de même des armes, des appareils de vision nocturne et de l’uniforme. »

 

 

« Ratnik » ou le soldat russe du futur

Cinquante entreprises russes ont pris part à la conception de Ratnik, qui est en fait une combinaison en fibres synthétiques respirantes et qu’on peut porter sans l'enlever pendant deux jours d’affilée. Le tissu protège du feu et des petits éclats, et rend le soldat invisible aux rayons infrarouges captés par les appareils de vision nocturne.

 

Le gilet pare-balles n’est plus en titane mais en plaques céramiques armées de kevlar, que même un fusil à lunette ne peut pas percer. Sa version pour les marins tient lieu de gilet de sauvetage. Le combattant a également besoin d'un casque, mais le cas échéant, ce dernier, fait en matériaux composites, est équipé d’une caméra vidéo pour enregistrer le déroulement du combat ainsi que d’un petit écran jumelé avec le viseur, ce qui permet de viser dans n’importe quelle position. La décision concernant le type d’arme principale, un fusil d’assaut, n’a pas encore été prise.

 

C’est lors du prochain conseil d’experts de la Commission militaro-industriel, qui doit se réunir au mois de mai, que sera décidé le sort de Ratnik.  

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 17:30
source LeFigaro

source LeFigaro

 

19 mars 2014 JDD (AFP)

 

En riposte à une explosion visant ses soldats sur le Golan qu'il occupe, Israël a mené dans la nuit de mardi à mercredi des raids contre des positions syriennes. Son ministre de la Défense a prévenu que le régime d'Assad paierait "un prix élevé" pour son soutien aux "agents terroristes" qui menacent l'Etat hébreu.

 

C'est une escalade de plus dans le conflit syrien. Israël a pilonné des positions syriennes dans la nuit de mardi à mercredi sur les hauteurs du Golan, à la frontière des deux Etats. Dans ce territoire occupé par Israël, une explosion avait blessé mardi quatre soldats israéliens, dont un grièvement. Ces soldats ont été touchés au moment où ils descendaient de leur jeep pour aller vérifier un engin suspect repéré près de la clôture qui longe la ligne de cessez-le-feu avec la Syrie.

"La nuit dernière, l'armée israélienne a attaqué des cibles en territoire syrien. Il s'agissait de cibles d'éléments syriens qui ont non seulement favorisé, mais aussi coopéré avec les attaques contre nos forces", a déclaré mercredi le chef du gouvernement israélien Benjamin Netanyahou en Conseil des ministres. "Nous attaquons ceux qui nous attaquent", a-t-il ajouté. Le Premier ministre avait déjà averti la veille que l'Etat hébreu réagirait "avec force" à cette attaque. L'artillerie israélienne a riposté une première fois contre des positions de l'armée syrienne, selon un communiqué militaire. Puis, dans la nuit, les raids de Tsahal, l'armée israélienne, ont touché une infrastructure d'entraînement de l'armée syrienne, des QG militaires et des batteries d'artillerie, selon un autre communiqué.

 

La "frontière syrienne fourmille d'éléments djihadistes et du Hezbollah"

Cette attaque aurait fait un mort et sept blessés, selon l'armée syrienne. Celle-ci a "mis en garde" Israël "contre les tentatives désespérées incitant à l'escalade et la tension". "La répétition de ces actes agressifs menacent la sécurité de la région", a indiqué l'armée dans un communiqué. Ces hostilités font en effet craindre une telle escalade entre les deux pays. Israël occupe depuis 1967 quelque 1.200 km2 du plateau du Golan qu'il a annexés, une décision que n'a jamais reconnue la communauté internationale, alors qu'environ 510 km2 restent sous contrôle syrien. Mais bien que ces Etats soient officiellement en état de guerre, la frontière israélo-syrienne, supervisée par une force des Nations unies, était considérée jusqu'à présent comme la frontière la plus calme depuis la fin de la guerre de Kippour en 1973.

Les attaques - tirs à l'arme légère ou au mortier auxquels l'armée israélienne a généralement répliqué - sont restées jusqu'à présent relativement mineures malgré une situation tendue depuis le début de la guerre civile en Syrie, en 2011. Les incidents se sont toutefois multipliés récemment entre Israël, d'une part, et la Syrie et le Hezbollah d'autre part. Samedi, des soldats israéliens ont tiré vers plusieurs "suspects" qui s'étaient approchés de la frontière israélo-libanaise. Le 5 mars, l'armée avait annoncé avoir tiré sur deux membres du Hezbollah - le puissant mouvement chiite libanais, allié de Bachar el-Assad -, et les avoir blessés, alors qu'ils installaient un engin explosif dans le nord du Golan. Certaines zones du côté syrien sont également contrôlées par des rebelles combattant l'armée syrienne, y compris des combattants djihadistes hostiles à Israël.

Mardi, le Premier ministre Benjamin Netanyahou avait déclaré que la "frontière syrienne fourmille d'éléments djihadistes et du Hezbollah, ce qui constitue un nouveau défi pour Israël". "Ces dernières années, nous avons réussi à maintenir le calme (sur le plateau) malgré la guerre civile en Syrie, mais là aussi, nous agirons avec force", a-t-il lancé. Son ministre de la Défense, Moshé Yaalon, a ainsi mis en demeure mercredi le régime de Bachar el-Assad de cesser de "coopérer" avec les ennemis d'Israël. "Nous considérons que le régime d'Assad est responsable de ce qui se passe sur son territoire et s'il continue à coopérer avec les agents terroristes qui cherchent à nuire à l'Etat d'Israël, il paiera un prix élevé", a-t-il menacé.

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 16:55
Web-série : À l’école des nageurs de combat

 

19 Mars 2014 Marine nationale

 

Depuis 1957 l’école de plongée de la Marine à Saint Mandrier (Var) forme les candidats nageurs de combat. Cette année, le 1000ème nageur sera breveté. Exceptionnellement, l’école nous a ouvert ses portes pour les 7 mois du cours et nos équipes ont suivi l‘apprentissage physique et intellectuel de ces futurs membres des commandos marine ou agents de la DGSE.  Navigation, démolition, génie sous-marin, plongée profonde, secourisme… tout au long du cours, l’élève peut être éliminé à l’issue de chaque phase pour résultats insuffisants. Dans les dix épisodes que compte la série, nous avons choisi de vous dévoiler les coulisses de cette formation des forces spéciales, de la sélection des candidats à la remise des brevets en juillet prochain. Retenez votre souffle !

 

Bonus : entretien avec Bob Maloubier, « l’espion aux pieds palmés »

 

Bob Maloubier est sans doute le plus célèbre des espions français. L’homme qui collectionne les fausses identités et les décorations a été successivement résistant, saboteur, parachutiste et nageur de combat. En janvier 1952, il fonde l’unité des nageurs de combat dans une commune d’Algérie proche d’Oran. A propos de la création de l’unité, il écrit dans son dernier ouvrage  L’espion aux pieds palmés* : « Tout ce qu’il nous passe par la tête nous le mettons à l’épreuve. Nous n’observons qu’une seule règle mais inconditionnelle celle-là : nous n’exigeons de nos hommes rien que nous n’ayons expérimenté en les premiers ». Entretien avec le premier des nageurs de combat.

 

* L’espion aux pieds palmés

Bob Maloubier, Éditions du Rocher

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 16:55
Test d’un nouveau système vidéo dans un Atlantique 2

 

21/02/2014 Sources : CC Nicolas Lesne / Marine nationale

 

L’aéronef de la Marine nationale, spécialisé dans la patrouille maritime, vient de recevoir le tout nouveau flux vidéo en temps réel. Ce système, appelé ROVER, permet au « Forward Air Controller-Airborne » (FAC) installé derrière son écran et dans l’avion de voir en temps réel ce qui se passe autour de l’ATL 2. Pour cette première historique au sein de la patrouille de surveillance et d’intervention maritime (PATSIMAR), un équipage du CEPA/10S a décollé le 31 janvier 2014 pour un vol de test au-dessus de la Méditerranée. Le but : expérimenter l’installation et vérifier qu’elle est compatible avec l’environnement électromagnétique de l’aéronef. Une fois ce point vérifié, l’étude des performances et des masquages a été effectuée à l’aide d’un plastron au sol pour envisager son emploi en opérations.

 

Les premières analyses issues de la phase d’expérimentation en vol vont conduire le CEPA/10S à proposer très prochainement à l’état-major de la Marine une utilisation de la ROVER5i en opérations. Le système pourrait prochainement pleinement intégrer l’Atlantique 2 lors de missions d’appui aérien en cours au Sahel, augmentant ainsi l’énorme potentiel de cet aéronef.

 

Le Centre d’expérimentation pratiques et de réception de l’aéronautique navale (CEPA/10S) :

 

Le CEPA/10S, véritable bras armé de l’état-major de la Marine, teste de nouvelles capacités en vue de permettre leur mise en service opérationnel dans l’aéronautique navale. Cet organisme, principalement basé à Hyères, dispose de plusieurs antennes en France. Il est compétent sur tous les types d’aéronefs, leurs systèmes d’armes et équipements, les matériels de sécurité ou encore les armements. Plus de 200 affaires sont ouvertes en permanences et plus de 2.000 heures de vol sont effectuées chaque année pour les tests.

 

Visualisation du flux ROVER à bord de l’ATL2

Visualisation du flux ROVER à bord de l’ATL2

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 16:45
La Kabylie, sanctuaire d'AQMI


19.03.2014 par RFI

 

L'armée algérienne a tué la semaine dernière un responsable et trois autres membres d'al-Qaïda au Maghreb islamique lors d'une opération en Kabylie. Cette région à l'est du pays est encore le fief des plus grands chefs d’AQMI.

Depuis plus de dix ans et la fin de la guerre civile, tout l'état-major d'al-Qaïda au Maghreb islamique a fait des montagnes de l'Est algérien son sanctuaire. C'est là qu’Abdelmalek Droukdel, de son pseudonyme Abou Moussab Abdelwadoud, le fondateur et actuel émir suprême de la branche maghrébine d’al-Qaïda, réside avec plusieurs centaines de ses hommes. C’est là que l’homme âgé d'une quarantaine d'années dirige son organisation fondée en 2006, quand l'ex-GSPC (Groupe salafiste pour la prédication et le combat) a prêté allégeance à Oussama ben Laden.

Après plus de dix années de traque, les autorités algériennes ne sont jamais parvenues à le capturer. C'est pourtant de cette région que le leader et ses nombreux émirs diffusent leurs instructions aux troupes, notamment sahéliennes, mais aussi leurs communiqués audio ou vidéo sur internet. C'est aussi à partir de ce fief qu'ils mènent régulièrement des actions armées contre des cibles militaires ou institutionnelles locales. C'est ce qu'Alger qualifie de « terrorisme résiduel », c'est-à-dire l'une des plus anciennes guérillas jihadistes cantonnée à une zone montagneuse bien déterminée, qui ne touche pas les agglomérations urbaines.

Selon certains chercheurs, Alger ne chercherait plus vraiment à éradiquer cette présence jihadiste en Kabylie qui permettrait de justifier une politique sécuritaire dans le pays. Pour autant, les accrochages, parfois meurtriers, sont réguliers entre armée, forces de l'ordre et éléments jihadistes. Jusqu'à la frontière tunisienne.

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