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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 17:55
Un nouvel outil opérationnel pour les géographes du « 28 »

 

14/03/2014 par 28e  groupe géographique

 

Afin de répondre à des sollicitations opérationnelles de plus en plus importantes, le 28e  groupe géographique s’est doté fin 2013 d’une structure permanente de production cartographique : le Centre Cartographique d’Appui aux Opérations (CCAO) .

 

Cet outil a pour vocation de réaliser des produits cartographiques à toutes les échelles et de toute nature répondant aux besoins exprimés, via le Commandement des Forces Terrestres (CFT), par les différents acteurs de la chaine fonctionnelle qu’ils soient au niveau stratégique (Centre de Planification et de Conduite des opérations, Commandement des Opérations spéciales, Direction du Renseignement Militaire) ou opératif (État-major Inter Armes, Poste de Commandement Inter Armes…).

 

Composée de deux équipes de cartographes  des Batteries géographiques mises en place en auto relève pour une durée de deux mois, cette structure est placée sous les ordres du chef de la Section des Travaux Géographiques appartenant au Bureau Opération Instruction (BOI) du régiment. Le centre se fixe trois objectifs majeurs :

- Développer une structure dédiée aux missions cartographiques en répondant rapidement aux besoins spécifiques des forces engagées en opération ou préparant un déploiement.

- Répondre à l’ensemble du besoin des forces en étant en mesure de réaliser toute production s’inscrivant dans la large gamme de la cartographie militaire. Il s’agira essentiellement de produits venant compléter ou mettre à jour la cartographie existante sur un territoire considéré.

- Valoriser l’expertise cartographique pour les officiers spécialistes de l’analyse terrain qui pourront mettre à contribution cette structure dans le cadre de l’élaboration de leurs études. Mais également pour les modules « Guépard » du régiment en mesure de s’appuyer sur le CCAO pour travailler sur des produits à vocation opérationnelle avant un éventuel engagement.

 

Les principaux produits géographiques qui sortent de la chaine de production du CCAO sont de la nature suivante :

 

- Cartes de haute précision à grandes échelles telles que les plans de ville - photo 28e GG

- Cartes de haute précision à grandes échelles telles que les plans de ville - photo 28e GG

- Représentations 3 D

- Représentations 3 D

- Cartes thématiques

- Cartes thématiques

Un nouvel outil opérationnel pour les géographes du « 28 »

- Cartes normalisées à des échelles intermédiaires (de 25K à 250K) destinées à la manœuvre, permettant une connaissance précise du terrain et du milieu et donnant un appui indispensable à la mobilité terrestre et à la navigation, garantissant une précision de localisation.

 

A ce jour, le CCAO a réalisé de nombreux produits géographiques de fond et continue sa production au profit des forces engagées notamment dans les opérations Serval  et Sanguaris.  Nul doute que les cartographes du « 28 » continueront à apporter leur expertise pour répondre aux mieux aux besoins des troupes françaises déployées sur le terrain. Une fois de plus, ils démontrent que leur sens aigu de « l’appui géographique  » aux forces contribue à la réussite des opérations.

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 17:35
Canberra LHD Arrives in Sydney

The largest ship ever built for the Royal Australian Navy, Landing Helicopter Dock NUSHIP Canberra, entered Sydney Harbour for the first time during the contractor sea trials and testing program. (all photos : RAN)

 

14.03.2014 Defense Studies

An exciting milestone was realised yesterday when the first Landing Helicopter Dock (LHD) ship currently being built for Defence, entered Sydney Harbour for the first time.

NUSHIP Canberra, the first of two LHDs being built for the Australian Defence Force entered Sydney after her first contractor trials and testing at sea.

The biggest ship ever built for Navy, she was a formidable sight as she proceeded into Fleet Base East, Sydney.

Defence Materiel Organisation’s LHD Project Manager, Captain Craig Bourke said the ship was visiting Sydney to use the dry dock.

 


“The ship is scheduled to undertake a commercial docking in the Dry Dock in Sydney, to receive a hull clean and final paint before proceeding to sea and returning to Williamstown to commence the final phase of Contractor sea trials involving communications and combat systems.

“The first set of Contractor sea trials have been focussed on tuning the propulsion system and testing and trialling the hull, mechanical and electrical systems of the vessel,” Captain Bourke said.

NUSHIP Canberra’s Commanding Officer, Captain Jonathan Sadleir said a number of the ship’s company were also embarked in the ship  to witness the first set of Contractor sea trials.
 


“The ship had representatives from all departments observing the trials, which has provided an excellent opportunity to build on their training and knowledge. NUSHIP Canberra chefs provided the meals for everyone onboard during the sea trials and did a great job.

"To see the ship come into Sydney today for the first time is a big milestone and is really exciting for the ship’s company,” Captain Sadleir said.

During her visit to Sydney, in addition to contractor work, the ship’s company will be carrying out important familiarisation and induction training in preparation to take responsibility when BAE Systems hand the ship over to Defence.

(RAN)

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 17:20
LM Receives $255 M US Army Contract For Guided MLRS Rocket Production

 

Mar 13, 2014 ASDNews Source : Lockheed Martin Corporation

 

Lockheed Martin (NYSE: LMT ) received a $255 million contract in late 2013 from the U.S. Army for Lot 9 production of the Guided Multiple Launch Rocket System (GMLRS) Unitary rocket.

 

The new allotment of rockets will be delivered to the U.S. Army, Marine Corps and Republic of Italy.  Delivery will begin in April 2015 . Work will be performed at the Lockheed Martin facilities in Camden, Ark. , and Dallas, Texas .

 

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 13:55
L’exosquelette Hercule au JT de France 2


14/03/2014 DGA

 

L’exosquelette développé par la PME Rb3d et supporté par la DGA était, le 13 mars 2014, l’un des sujets phares du journal télévisé de 20 heures sur France 2.

 

Hercule est un projet d'exosquelette 100% français développé depuis 2009 par la PME Rb3d. La première version de cet exosquelette a été conçue grâce au soutien de la DGA qui continue de soutenir le projet à travers la commande d'un deuxième démonstrateur. En cours de développement, celui-ci est destiné à la protection des démineurs.

La troisième version de Hercule, celle présentée sur le plateau du JT de France 2, est quant à elle destinée à des applications civiles. Il s'agit du premier exosquelette à usage professionnel. L'objectif est de permettre à un opérateur de déplacer des charges lourdes sans risques de lésions musculo-squelettiques.

 

> Voir le sujet de France 2 sur le site de la chaîne

> Voir la page Facebook d'Hercule

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 13:50
Handle with care: crowd-sourcing and non-proliferation

 

Briefs - No8 - 14 March 2014 Christian Dietrich

States do not spread weapons of mass destruction – people do. It takes individual proliferators, collaborators, and the acquiescence of bystanders for sensitive materials to change hands illicitly. Yet, the rigid national and international means deployed to counter proliferation are juxtaposed with the limitless amounts of information people produce in our digitally connected world.

The internet enables over one-third of the global population to gather in virtual, transnational spaces. ‘Netizens’ generate and process knowledge on anything from Wikipedia and cooking recipes to disaster management and counter-terrorism. In various fields, policy makers increasingly appreciate open-source information technology as an asset to feed their decision-making.

However, the use of information and communication technology (ICT) to counter the proliferation of weapons of mass destruction (WMD) remains an underdeveloped notion – particularly in light of its potential promises. Drawing on lessons from other policy areas, it is advisable to contemplate the systematic mining of collective intelligence for information gathering and analysis purposes in countering the spread of WMD.

 

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 13:25
Helibras begins deliveries of upgraded AS365 Panther K2 helicopters to Brazilian Army

 

 

Mar 13, 2014 ASDNews Source : Airbus Helicopters

 

    Airbus HelicoptersaEUR(tm) enhanced version is the first to be fully certified in Brazil

 

The first two upgraded AS365 Panther K2 rotorcraft will be delivered this month by Airbus Helicopters’ Helibras subsidiary to the Brazilian Army Aviation Command (AvEx), providing a modernized platform with more power, updated avionics and increased mission capability.

 

These deliveries follow the signature in Brasília of an amendment standardizing the modifications introduced to the helicopter’s enhanced configuration – which will be assessed by AvEx’s various battalions during mission operations. Should these evaluations prove favorable, Helibras will continue modernizing the remaining 32 AS365 K Panthers in the Brazilian Army’s inventory through 2021.

 

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 13:20
MQ-8C Fire Scout reaches 100 flight hours

 

 

Mar 13, 2014 ASDNews Source : Naval Air Systems Command

 

An MQ-8C Fire Scout on runway after a test flight at Point Mugu, Calif., March 10. The unmanned helicopter surpassed 100 flight hours during this event and will continue to undergo testing at Point Mugu this year.  In July, the Navy will conduct dynamic interface testing with the MQ-8C aboard USS Jason Dunham (DDG 109) to test the vehicle's take-off and landing procedures. Initial deployment for MQ-8C is planned for 2015.

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 12:54
SIGEM 2014 : Leadership et réforme


4/03/2014 Ministère de la Défense

 

A partir du 17 et jusqu’au 21 mars, le séminaire interarmées des grandes écoles militaires accueillera 600 élèves officiers des dix grandes écoles militaires et une vingtaine d’élèves journalistes de l’Institut supérieur de la communication, de la presse et de l’audiovisuel. Ce séminaire a pour objectif de présenter aux élèves les problématiques auxquelles ils seront confrontés dans leur carrière.

 

Du 17 au 21 mars, le séminaire interarmées des grandes écoles militaires (SIGEM) se déroulera à l’École militaire à Paris. Il réunira 600 élèves officiers des dix grandes écoles militaires parmi lesquels une quarantaine d’étrangers de 28 pays différents.

Le SIGEM 2014 aura pour thème principal « Leadership et réforme ». Ce séminaire doit permettre aux élèves officiers de mieux appréhender la complexité et la diversité de leur futur métier consacré à la défense des intérêts de la France, tout en percevant l’importance croissante de l’action interarmées, interministérielle et internationale. Au programme des visites et des conférences animées par des intervenants civils et militaires.

Une vingtaine d’élèves journalistes de l’Institut supérieur de la communication, de la presse et de l’audiovisuel (ISCPA) seront également présents. Ils assureront la couverture médiatique du séminaire et prépareront les jeunes militaires à la relation avec les médias.

 

Durant toute la durée du SIGEM, suivez-nous sur la page Facebook Parlons Defense

SIGEM 2014 : Leadership et réforme
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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:55
Cyberguerre : L’INSS, Think-Tank de l’Université de Tel-Aviv, Scrute la France.

 

Mar 11 Isreal Valley (Mitz)

 

L’INSS est un think-tank de l’université de Tel-Aviv, spécialisé sur le terrorisme et la cyberguerre. Ce cercle d’études est dirigé par Amos Yadlin, ancien patron d’Aman, les renseignements militaires israéliens. Le département cyberguerre de l’INSS fonctionne par ailleurs en intégration avec la Blavatnik School of Computer Sciences de l’Université de Tel-Aviv, qui compte une vingtaine de laboratoires de recherche cybernétique, de renommée mondiale.

 

Dans l’un de ses derniers rapports l’INSS passe en revue la situation en matière de cybersécurité en chaque zone du Globe. Et pointe à chaque fois, sans concession, forces, faiblesses, opportunités et menaces. En Israël, aux USA, en Russie, dans les pays Arabes, en Chine, et enfin en Europe avec un zoom particulier sur la France.

 

L’INSS raconte l’inauguration le 20 février dernier du nouveau quartier général de la cyberdéfense française. L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) emploierait aujourd’hui 357 experts. Le Pentagone français aurait traité pour sa part 790 incidents cybernétiques en 2013. 1400 cyberguerriers hexagonaux auraient été recrutés par le ministère qui en souhaiterait 350 de plus d’ici à 2019.

 

L’INSS note également que si le développement de cyber armes françaises est resté fort discret, l’offensive cybernétique serait en fait, bien en place depuis 2008 avec la production de virus destinés aux ennemis de l’Hexagone. Le programme de cyberattaque français aurait donc démarré selon les israéliens deux ans avant Stuxnet (un ver informatique américain, issu du programme d’espionnage US olympic games aussi surnommé “bug”).

 

Selon l’INSS : "en dépit de ces efforts, la France est toujours en retard en termes de cyberdéfense si on la compare à d’autres nations de premier plan comme le Royaume-Uni. En réalité, les ressources humaines de la France, affectées à la lutte contre les cyberattaques, sont faibles comparées à celles d’autres nations.

 

Ce manque de ressources humaines est du à plusieurs facteurs. Tout d’abord, la France manque d’experts en sécurité, et deuxièmement, les français n’ont pas anticipé le problème de la protection contre les cyberattaques, ni la protection de leurs systèmes informatiques".

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:55
 photo S. Fort - Dassault Aviation

photo S. Fort - Dassault Aviation

 

13 mars 2014 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Le Rafale serait en mesure de rivaliser avec le F-35 et Dassault aviation prêt à offrir encore plus de retombée économiques au Canada, selon ce qu’a indiqué le vice-président principal de Dassault aviation, Yves Robins, au cours d’une interview donnée à Radio-Canada.

 

Présent récemment à la Conférence sur la défense et la sécurité à Ottawa, Dassault aviation a présenté un nouveau visage à l’industrie canadienne, mais également aux décideurs politiques et aux militaires.

Ainsi, dans une brochure que 45eNord.ca s’est procuré, Dassault rappelle que les capacités du «Rafale pour le Canada» répondent et souvent dépassent, les exigences aériennes de six missions définies dans la Stratégie de Défense Le Canada d’Abord, et notamment en ce qui concerne les exigences dans le cadre du NORAD.

Le bi-moteur français, que l’on a pu voir en action en Afghanistan, en Libye ou plus récemment au Mali, serait bon pour effectuer tous les types de missions: reconnaissance et police aérienne, combats air-air, air-mer et air-sol, appui feu rapproché en pénétration à basse altitude et destruction des défenses aérienne de l’ennemi.

Plus d’un an après que le compteur soit reparti à zéro, Ottawa n’a toujours pas pris de décision sur le modèle d’avion de chasse désiré pour remplacer sa flotte actuelle de CF-18.

«Non seulement nous sommes prêts à transférer l’assemblage final de l’avion ici au Canada, mais nous sommes également prêts à associer l’industrie aéronautique canadienne à la production de certains éléments de cet avion», a déclaré Yves Robins à Radio-Canada.

Lockheed Martin, est particulièrement visé par Dassault, et rappelle que plus de 70 entreprises canadiennes participent déjà à sa conception et à sa construction, dont plusieurs se situent dans la grande région de Montréal. Le constructeur américain se garde toutefois un droit sur l’entretien et les propriétés intellectuelles de son appareil.

C’est pourquoi Dassault propose également de transférer au Canada tout l’entretien, la maintenance et la modernisation de l’avion, incluant les droits de propriétés intellectuelles et «tous les transferts de technologie pour lesquels nous avons l’autorisation du gouvernement français, sans aucune restriction», précise Yves Robins.

Le mois dernier, en réponse aux dérapages de ses projets d’acquisitions militaires, dont celui du F-35, le gouvernement fédéral annonçait une nouvelle stratégie d’approvisionnement et insistait sur la nécessité d’optimiser les retombées économiques des futurs achats.

Le groupe français Dassault, qui veut forcer le jeu, maintient que son avion multirôle répond aux attentes actuelles et à venir du Canada. «Nous pensons qu’il est indispensable d’ouvrir cette compétition de manière à ce que chacun des concurrents puisse faire la meilleure proposition, la plus compétitive et la plus avantageuse pour le Canada», estime Yves Robins.

Dernier avantage, et non des moindres, selon Dassault, avec tous les différents transferts, dont celle de la propriété intellectuelle, «le Canada pourrait même mettre au point une version authentiquement canadienne du Rafale». Un Rafale made in Canada?

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:50
Airbus Defence & Space lance AuroraGlobal

 

 

12 mars 2014 Info-Aviation

 

Airbus Defence & Space* a lancé la solution AuroraGlobal  pour ses nouveaux services haut débit de télécommunications par satellite lors du salon Satellite 2014 à Washington le 10 mars (source : Airbus).

 

Depuis le 10 mars, AuroraGlobal fournit des services à haut débit conçus pour répondre aux besoins croissants dans les marchés publics, maritimes et des entreprises. Cette nouvelle offre est une solution de communication par satellite utilisant le réseau multi-bande d’Airbus (Ku, X, et Ka-bandes) sans qu’il soit nécessaire de changer de système d’antenne.

 

L’offre AuroraGlobal cible aussi bien les satellites militaires que commerciaux tels que Global Xpress d’Inmarsat et Epic NG d’Intelsat (image ci-dessus).

 

Ce service fournit de meilleurs performances en bande X à des fins gouvernementales civiles et militaires, avec un débit jusqu’à quatre fois supérieur à ceux des services actuels en utilisant des terminaux existants. Cette offre permet aussi un plus grand débit par l’intermédiaire de nouveaux terminaux plus petits, en fonction des besoins opérationnels croissants.

 

Des essais récents effectués avec les satellites Skynet d’Airbus Defence & Space ont démontré qu’un terminal en bande X 60 cm peut supporter un débit de plus de 70Mbps. D’autres tests ont confirmé qu’en utilisant les bornes navales SCOT5 1,5 m les niveaux de débit garanti du service peuvent être réalisées jusqu’à quatre fois les niveaux actuels fournis aux clients de Skynet.

 

Sur le marché maritime, les clients bénéficieront de la bande Ku du service VSAT de prochaine génération, sans remplacer l’antenne existante. La nouvelle offre maritime VSAT est une solution tout-en-un avec deux fois les quotas de volume de données antérieures et deux fois les vitesses de données précédentes. Il est livré avec un service illimité de back-up en bande L, ainsi que la nouvelle plate-forme XChange, sans avoir à investir dans une nouvelle antenne VSAT.

 

* Le 2 janvier 2014, EADS a été renommé Airbus Group, et Airbus Defence and Space est créé à partir de la fusion entre Cassidian, Astrium et Airbus Military.

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:50
Défense : Dassault Aviation appelle à une "Europe de la souveraineté"

 

14.04.2013 journal-aviation.com (Reuters)

 

Le PDG de Dassault Aviation Eric Trappier a incité jeudi les responsables politiques et militaires à créer une "Europe de la souveraineté", afin de parvenir enfin à l'union militaire qui manque au Vieux continent et apparaît plus que jamais indispensable face à une concurrence mondiale accrue.

 

Les ministres de la Défense de l'Union européenne ont chargé en novembre dernier l'Agence européenne de défense (AED) de commencer à étudier le coût d'un drone européen de surveillance, qui pourrait être fabriqué à partir de 2020.

 

"Il y a une Europe de l'euro, mais il n'y a pas encore une Europe de la souveraineté", a estimé Eric Trappier lors de la présentation des résultats annuels de son groupe, invitant les 28 à dépasser leurs réticences naturelles en matière de souveraineté nationale.

 

Le Vieux continent devrait pouvoir définir d'une même voix ses besoins en matière d'avions, de bateaux ou de systèmes de commandement face à des poids lourds mondiaux de plus en plus nombreux, a-t-il ajouté.

 

L'Europe est la seule région du monde où les budgets de défense baissent nettement, face à des Etats-Unis toujours prépondérants et des pays émergents comme la Chine et l'Inde augmentent massivement leurs investissements dans le secteur.

 

Après l'échec du drone Talarion développé sur fonds propres par Airbus Group (ex-EADS) et le rejet d'un projet commun entre Dassault Aviation et BAE Systems, la France a décidé l'an dernier d'acheter 12 Reaper à l'américain General Atomics, imitant ainsi la Grande-Bretagne.

 

Piqués au vif, Dassault Aviation, l'italien Finmeccanica et Airbus Group ont lancé en juin 2013 un appel au lancement d'un programme européen de drone MALE (Moyen altitude longue endurance) et travaillent depuis à présenter un projet technologique commun avec leurs fournisseurs.

 

La Grande-Bretagne et la France, les deux poids lourds européens de la défense, ont signé fin janvier une série d'accords, parmi lesquels des études de faisabilité d'un programme commun pour développer un avion de combat de nouvelle génération pour environ 140 millions d'euros.

 

GUERRES FRATRICIDES

 

Le futur avion de combat européen, décliné en versions avec et sans pilote à bord, devra prendre seul la relève du Rafale de Dassault Aviation, du Gripen du suédois Saab et de l'Eurofighter, produit en coentreprise entre BAE Systems, Finmeccanica et Airbus Group - lui-même actionnaire de Dassault.

 

Ces trois avions se livrent une lutte fratricide dans les appels d'offres internationaux dont le Rafale, jamais exporté à ce jour, a fait souvent les frais.

 

Le démonstrateur de drone de combat Neuron, piloté par Dassault Aviation et la Direction générale de l'armement réunit pas moins de six pays européens au total. Il est destiné à déboucher sur la création des futurs drones de combat communs à la France et la Grande-Bretagne, qui a elle aussi son prototype.

 

"Il faut au moins qu'ils soient les meilleurs face aux Américains, parce qu'après il faudra les exporter et ce n'est pas facile. Nous sommes bien placés pour le savoir", a constaté Eric Trappier.

 

Vantant un partage de travail intelligent sur le Neuron, qui a effectué son premier vol fin 2012, Eric Trappier a estimé que les partenaires du programme avaient su inventer de nouvelles méthodologies permettant à six pays d'être efficaces ensemble.

 

"Il faut maintenant que les militaires et les gouvernements se mettent ensemble et fassent le même travail en Europe", a ajouté Eric Trappier soulignant un "timide" début.

 

"J'ai des convictions européennes, les gens chez Dassault aussi, mais on se doit quand même dans une entreprise d'être pragmatiques : cela va prendre un certain temps", a-t-il dit.

 

Le conseil des ministres franco-allemand de février a placé la défense européenne parmi les trois priorités avec l'énergie et la gestion des frontières, illustrant la volonté du ministre français Jean-Yves Le Drian d'élargir la coopération français au-delà du traditionnel axe franco-britannique. (Edité par Matthieu Protard)

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:35
J+S Ltd receive award from DSME for the supply of an integrated Torpedo Launcher System for the new Royal Thailand Navy Frigate

14.03.2014 Pacific Sentinel
 

Barnstaple, 12th March 2014 – J+S Ltd is pleased to announce that they have been selected by Daewoo Shipbuilding & Marine Engineering (DSME) as the suppliers of an integrated Torpedo Launcher System (TLS) for the New Royal Thailand Navy Frigate.
 
The contract was agreed upon in December 2013. The system will integrate with the ship’s Combat Management System (CMS) and Gyro compass. The J+S Ltd TLS is designed to fire a range of Mk44 and Mk 46 torpedoes and has the capability to be modified to fire the latest Mk54 torpedo.
 
Delivery will commence in March 2016 to DSME for installation on the new Frigate. Set-to-Work (STW) and Harbour Acceptance Trials (HAT) will follow leading to Sea Acceptance Trials (SAT) in 2017.
 
Andy Toms, Managing Director commented: “J+S Ltd is delighted and proud to receive this major contract from DSME. We are increasingly looking overseas for business growth opportunities and have identified East Asia and the ASEAN region of great potential. This order is a welcome boost to our Barnstaple based business and raises our profile internationally as an independent supplier of lightweight torpedo launchers.  We have supplied and supported similar systems to the UK Royal Navy for many years and look forward to developing a strong business relationship with DSME and the Royal Thailand Navy.”
 
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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:35
Tony Abbott to approve Australia’s biggest ever military purchase of stealth fighter jets


14.03.2014 Pacific Sentinel
 

THE Abbott Government is set to give the green light to the nation’s biggest ever military purchase allowing Defence to order up to 86 American made stealth fighter jets for the RAAF.
 
The planes will cost about $90 million each when they roll off the assembly line between 2018 and 2020 and the overall project will cost some $14 billion during the 30-year life of the F-35 Joint Strike Fighter.
 
It is understood that a submission to buy will be presented to Cabinet’s National Security Committee for approval within weeks.
 
The head of the Pentagon’s largest ever defence project to buy 2400 of the “fifth generation’’ fighters has assured Australia that the controversial project was “back on track’’ and that Australian jets would be delivered on time and on cost.
 
US Air Force Lieutenant General Chris Bogdan told News Corp Australia in Sydney that apart from some “trust and credibility’’ issues with the prime contractor Lockheed Martin and engine maker Pratt and Whitney, the JSF program was hitting all of its milestones.
 
Read the full story at NT News
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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:35
South Korea to purchase Patriot PAC-3 air defense missile system from United States next year

14.03.2014 Pacific Sentinel
 

South Korea will procure new Patriot missiles PAC-3 capable of intercepting North Korea's ballistic missiles starting in 2016. The Defense Project Promotion Committee chaired by Minister Kim Kwan-jin reached the decision on Wednesday, March 12, 2014. South Korea will upgrade its present PAC-2 air defense system and buy PAC-3 missiles next year to improve its anti-ballistic missile capability against North Korea.
 
South Korea currently operates 48 PAC-2 Patriot missiles imported from Germany, and seeks to adopt the advanced interceptors as part of plans to build the indigenous Korea Missile Defense System. The missiles have an interception rate of less than 40 percent.
 
The project aims to buy "hit-to-kill" PAC-3 missiles with improved accuracy, and upgrade the PAC-2 fire control system to make it able to fire off both PAC-2 and PAC-3 missiles.
 
Read the full story at Army Recognition
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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:35
Pyongyang contourne les nombreuses sanctions de l'Onu

 

 

MOSCOU, 13 mars - RIA Novosti

 

La Corée du Nord parvient à contourner les nombreuses sanctions de la communauté internationale et emploie tous les moyens pour trouver de l'argent: les ambassades et les diplomates nord-coréens, ou même les trafiquants d'armes et d'alcool, écrit jeudi 13 mars le quotidien Novye Izvestia.

Un groupe de huit experts de l'Onu a publié son rapport annuel sur la mise en œuvre des sanctions contre la Corée du Nord, imposées par les Nations unies suite aux essais nucléaires et aux lancements de missiles par Pyongyang. Les résultats de l'étude montrent que des gens très ingénieux travaillent en Corée du Nord, qui ont élaboré et trouvé de nombreux moyens pour contourner ces sanctions.

Les ambassades nord-coréennes à Singapour et à Cuba sont notamment soupçonnées d'avoir organisé un trafic de pièces détachées et d'équipements balistiques, retrouvés dans les soutes du navire nord-coréen Сhong Chon Gang interpelé après le passage du canal de Panama en juillet 2013. Au cours de la perquisition des containers avec deux chasseurs MiG-21 cachés sous un tas de sacs de sucre ont été retrouvés à bord du navire.

Les autorités cubaines ont reconnu avoir envoyé leur propre matériel militaire "obsolète" pour une opération de maintenance en Corée du Nord. Après celle-ci le matériel devait revenir sur l'île. Et il est bien revenu, avec en sus des pièces détachées de missile. L'enquête sur cette affaire a mené les experts de l'Onu jusqu'à la compagnie maritime Chinpo Shipping, liée avec l'ambassade nord-coréenne à Singapour. Les auteurs du rapport affirment que Pyongyang vend des armes à la Birmanie, l’Erythrée, la Tanzanie, l’Ethiopie, la Somalie et l’Iran. Mais aucune preuve tangible contre la Corée du Nord pouvant servir d'argument à de nouvelles sanctions n'a été trouvée.

Les auteurs de l'étude soulignent que la Corée du Nord entreprend d'énormes efforts pour voiler l'appartenance nationale de sa flotte commerciale. Les navires changent souvent de pavillon et de nom. La plupart appartiennent à des petites compagnies de navigation étrangères, qui possèdent rarement plus de 5 navires. Un tel éparpillement permet de minimiser les conséquences de confiscation des biens d'une ou de plusieurs compagnies de ce genre.

Les sanctions de l'Onu interdisent à la Corée du Nord d'acheter ou de recevoir des marchandises liées avec un programme nucléaire ou balistique. Plusieurs produits de luxe sont également interdits à l'importation. Cela n'a pas empêché le dirigeant Kim Jong-un de surpasser dès la première année de sa présidence son père, amateur de bon vins et d'objets de luxe. D'après le rapport de la Commission d'enquête des Nations Unies sur les droits de l'homme en RPDC, les dépenses de Pyongyang pour les produits de luxe s'élevaient en 2012 à 645,8 millions de dollars, tandis que Kim Jong-il dépensait à ces fins en moyenne 330 millions de dollars par an.

Un réfugié nord-coréen a déclaré aux membres de la Commission de l'Onu que Pyongyang trouve l'argent pour acheter des produits de luxe grâce au trafic d'alcool dans les pays musulmans et le trafic d'ivoire d'Afrique vers la Chine.

Les économistes nord-coréens font également preuve d'ingéniosité. Ils ont élaboré des méthodes d'achat de produits interdits très astucieuses et très difficile à suivre. Prenons l'exemple de l'achat d'un nouvel avion en 2012 par la compagnie Air Koryo, qui montre comment Pyongyang cherche à brouiller les pistes. Bien que l'aviation civile ne soit pas frappée par des sanctions, l'avion de ligne a été payé en suivant un schéma très complexe : 109 versements ont été effectués par le biais de huit sociétés enregistrées à Hong Kong. Ces sociétés affirmaient qu'elles étaient des partenaires commerciaux de la compagnie aérienne et qu'elles transféraient des sommes d'argent dû.

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:20
Leidos Awarded Contract By Naval Medical Logistics Command

 

 

Mar 10, 2014 ASDNews Source : Leidos

 

Company to Provide Research and Development Services for the Behavioral Sciences and Epidemiology Department

 

Leidos (NYSE: LDOS), a national security, health and engineering solutions company, was awarded a prime contract, Behavioral Epidemiology Assessment Research (BEAR), by the Naval Medical Logistics Command to provide research services for multiple behavioral health and epidemiology projects that support the Naval Health Research Center's (NHRC) Behavioral Sciences and Epidemiology Department. The single-award cost-plus fixed-fee (CPFF) contract has a one-year base period of performance, four one-year options and a total contract value of approximately $7.3 million, if all options are exercised. Work will be performed primarily in San Diego, Calif.

 

The NHRC's Behavioral Sciences and Epidemiology Department is dedicated to the study of behavioral trends that impact warfighter readiness. The department examines operationally relevant issues affecting personnel such as combat and operational stress, posttraumatic stress, misconduct, substance use, suicide and career-span health and wellness issues. Under this contract, Leidos will conduct behavioral and epidemiological investigations that address these and other deployment-related health issues. Specific examples of these studies may include determining factors related to the onset of mental disorders in military personnel; mental health surveillance of combat-deployed personnel; assessing the effects of adverse lifestyle behaviors on health, performance, and healthcare costs; and investigating the effects of acute stress on military personnel.

 

"Finding ways to improve the health and wellness of our military personnel and their families is important to the Nation, which means it's important to Leidos," said Steve Comber, President of Leidos Health.  "We are pleased to continue our support of NHRC to help ensure our military is prepared to perform every mission."

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 07:50
Progress for European Satellite Communication Procurement Cell (ESCPC)
 

Brussels - 05 February, 2014 European Defence Agency

 

Since the signature of a framework contract between EDA and Astrium Services in September 2012, ESCPC, the Agency’s initiative for the pooled procurement of commercial satellite communication services, has proven its operational and financial value by delivering concrete support to Member States. In 2013 the ESCPC scheme facilitated orders of more than €1 million. Three additional contributing Member States (Belgium, Finland and Luxembourg) have joined the five ESCPC founding nations (France, Italy, Poland, Romania and the United Kingdom) while others declared their interest in the pay-per-use scheme.

In military operations satellite communications are fundamental for Communication, Command and Control. They also allow operational effectiveness of Intelligence, Surveillance and Reconnaissance platforms, including Remotely Piloted Aircraft Systems. Member States often resort to commercial satellite communications either to complement similar military capabilities or as the sole means to effectively conduct military operations. The EDA ESCPC pools commercial satellite communication demand from a number of European defence departments, reducing costs by up to 20 per cent.

Astrium Services serves as the contractual, commercial and operational interface allowing for a flexible “pay per use” access to satellite communications with very little administrative burden for Member States.

 

More information:

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 07:35
China to spend more on Navy, Air Force upgrade

 

Mar 13, 2014 brahmand.com

 

BEIJING (PTI): In a major strategic shift, China has for the first time decided to spend more from its USD 132 billion defence budget to upgrade navy and air force amid deepening conflict with Japan, South China Sea dispute and US military push into Asia-Pacific.

 

The shift in allocation of funds, changing the old pattern of their equal distribution among the three forces in the past was part of a blueprint drawn by China's new leadership headed by President Xi Jinping at a key meeting recently where big structural reforms for the country's military were finalised, official media here reported.

 

Significantly, Xi - in his meeting with defence delegates attending the annual session of the Parliament on Tuesday asked the 2.3 million-strong world's largest standing military to hasten modernisation, focussing on combat capability.

 

He also sent out a stern message to the countries with which China has territorial disputes.

 

"We expect peace, but we shall never give up efforts to maintain our legitimate rights, nor shall we compromise our core interests, no matter when or in what circumstances," he said.

 

He also hinted at permitting private sector in military hardware production.

 

Market can play bigger role in military modernisation to jointly create a highly effective development pattern that features army-civilian integration, he said.

 

His remarks followed a CCTV report stating that China opted to spend more money on naval upgrade in view of raising maritime disputes and the growing interests of Chinese military interests overseas, shifting the balance towards improving the capability of the navy and air force.

 

Under this, more money will be allocated to navy and its high-tech capability, the report said.

 

China last week allocated a whopping USD 132 billion for defence, a hike of 12.2 per cent in one of the highest in its two decade-long double-digit raise in military spending.

 

In the last few years, China commissioned its first aircraft carrier, with plans to build three more besides acquiring long-range capability to launch missile attack on rival aircraft carriers. Strategic analysts say this would largely limit the mobility of the US aircraft carriers, most of which were expected to be shifted to Asia-Pacific in the next few years under the Obama Administration's pivot to Asia.

 

The rapid development of Chinese Navy raised concerns in India as it becomes a major challenge to Indian Navy's own plan to emerge as strong blue-water navy with wide range of capabilities.

 

The huge increase in China's defence spending came in the first budget after Xi took over power last year emerging as the most powerful leader, heading the ruling Communist Party, the military and the presidency, unlike his predecessor, Hu Jintao who started his ten-year tenure only with the party and the presidency.

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 07:35
Japan draws up overhaul of arms-export ban

 

March 14th, 2014 defencetalk.com (AFP)

 

Japan’s ruling Liberal Democratic Party (LDP) has drawn up plans to overhaul the pacifist country’s self-imposed ban on arms exports, an official said Thursday, in a move that could anger China.

 

The government of Prime Minister Shinzo Abe has delivered the blueprint to lawmakers in his party and coalition partner New Komeito, according to an LDP official, with the premier looking for a green light from cabinet by the end of the month.

 

The relaxed rules could allow Tokyo to supply weaponry to nations that sit along important sea lanes to help them fight piracy and also help resource-poor Japan, which depends on mineral imports.

 

Japanese arms could potentially be shipped to Indonesia as well as nations around the South China Sea — through which fossil fuels pass — such as the Philippines, for example, which has a territorial dispute with Beijing.

 

The move would boost Japan’s defence industry amid simmering regional tensions including a territorial row with China, and fears over an unpredictable North Korea.

 

Japan already supplies equipment to the Philippines’ coast guard, an organization that is increasingly on the front line in the nation’s territorial rows with Beijing.

 

Any move to bolster that support with more outright weapon supplies could irk China, which regularly accuses Abe of trying to re-militarize his country.

 

China and Japan are at loggerheads over the ownership of a string of islands in the East China Sea, while Beijing is also in dispute with several nations over territory in the South China Sea, which it claims almost entirely.

 

Under its 1967 ban, Japan does not sell arms to communist nations, countries where the United Nations bans weapons sales, and nations that might become involved in armed conflicts.

 

The rule has long enjoyed widespread public support as a symbol of Japan’s post-war pacifism.

 

But it has been widely seen as impractical among experts, because it stops Japan from joining international projects to jointly develop sophisticated military equipment, such as jets and missiles.

 

In 2011 Tokyo eased the ban on arms exports, paving the way for Japanese firms to take part in multinational weapons projects.

 

Japan works with its only official ally the United States on weapon projects.

 

It also works with Britain, but it does not fully participate in multi-nation programs aimed at sharing development cost and know-how, because of the current ban.

 

The new rules may open the door to Japan’s broader participation in such projects.

 

But they would still “ban exports to countries involved in international conflicts,” and exports that would undermine international peace and security, Abe told parliament this week.

 

Japanese experts are divided over an overhaul, with some saying it is necessary for cutting defence costs, while others expressing concerns over tainting Japan’s peaceful image by expanding markets for the nation’s defence industry.

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 06:35
"Spetztehnoexport" Signed Contract for the Supply 5 BTR-4 + 50 Options for More for Indonesian Marines Corps

BTR-4 (photo : Ukroboronprom)

 

14.03.2014 Defense Studies

DHZP "Spetztehnoexport" Signed Contract for the Supply of BTR-4 for Indonesian Navy

In late February 2014 in Jakarta, negotiations took place between the leaders of DHZP "Spetstehnoeksport" and the Ministry of Defense and the Navy Marine Corps Indonesia. During the meeting discussed the essential terms of the contract for the supply of 5 units BTR-4. Recall "Spetstehnoeksport" won the tender for the purchase of armored vehicles for the Navy of Indonesia's proposal BTR-4 of SE 'KMDB' them AA "Morozov"

The project contract was initialed by both parties. Currently, the process of harmonization of its national structures of the Ministry of Defence of Indonesia. It is expected that this contract will be transferred to the Ukrainian side.

It should be noted that this contract is the first step in the program purchase armored vehicles Indonesian Navy. If its successful implementation of an agreement for the supply of 50 such machines.

It is also worth noting that a victory in this project was obtained in hard competition with Russian special exporters.

(Ukroboronprom)

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 06:20
Russia can’t derail US exit from Afghanistan: general

 

March 14th, 2014 defencetalk.com (AFP)

 

Russia would be unable to disrupt the US military’s withdrawal from Afghanistan even if it cut off access to supply routes across its territory, a top US commander said Wednesday.

 

Amid rising tensions between Washington and Moscow over the crisis in Ukraine, the head of NATO-led forces in Afghanistan reassured lawmakers that Russia could not hold up a planned troop drawdown there.

 

“I’m absolutely confident we’ll be able to” remove all US equipment on schedule, General Joseph Dunford told the Senate Armed Services Committee.

 

“Even if the Russians cut off one of the avenues?” Senator John McCain asked.

 

“Yes, senator,” Dunford said.

 

The general said that “we’ve got resilience in the system and I’m not concerned at all about a loss of the Russian northern distribution network, the Russian piece of that.”

 

Dunford was referring to a network of road and rail routes that pass through Central Asia, the Caucasus and, in some cases, Russia.

 

The primary supply routes for US forces in Afghanistan still run through Pakistan but the Pentagon set up the alternative channels through Central Asia after friction with Islamabad triggered border closures.

 

With the bulk of US and NATO forces due to withdraw by the end of the year, a major drawdown is under way and vast amounts of military hardware are being ferried out across the Pakistan border.

 

‘Begin to deteriorate’

Roughly 40 percent of supplies are moving through the Pakistan roads at the moment, defense officials said.

 

President Barack Obama and lawmakers in Congress are threatening sanctions against Russia over its military intervention in Ukraine’s Crimean peninsula, and European Union governments are also weighing possible punitive measures.

 

Moscow in turn has warned that any sanctions will have a “boomerang” effect on Washington.

 

Dunford told the same hearing that US forces in Afghanistan will need to have a security accord with Kabul in place by September, otherwise the NATO mission will have to launch a full withdrawal.

 

The security pact would lay out a legal framework for foreign forces to remain beyond December.

 

But President Hamid Karzai has refused to sign the bilateral security agreement, casting uncertainty over plans to keep a small US-led force in the country beyond the end of this year.

 

Dunford said the absence of a deal has not yet created logistical problems for the NATO-led force, which includes more than 33,000 US troops.

 

Military planning would become complicated but “manageable” if the delay continued through July and August, he said.

 

The White House has said it is prepared to have no troops left in Afghanistan if Kabul’s leaders fail to sign the security pact. But Dunford warned that a total pull-out would weaken Afghan forces, endanger Afghan women and invite a potential revival of Al-Qaeda militants.

 

“If we leave at the end of 2014, the Afghan security forces will begin to deteriorate,” Dunford said. “The security environment will begin to deteriorate, and I think the only debate is the pace of that deterioration.”

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 22:40
Des experts des attaques informatiques de l'OTAN présents en Ukraine (OTSC)

 

MOSCOU, 13 mars - RIA Novosti

 

L'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) a enregistré la présence d'experts des attaques informatiques de l'OTAN en Ukraine, a annoncé jeudi à Moscou le secrétaire général de l'OTSC Nikolaï Bordiouja.

"Nous voyons la présence d'experts de la lutte informatique de l'Alliance sur le territoire ukrainien (…). L'Ukraine sert de base pour organiser des attaques informatiques contre certains pays membres de l'OTSC", a indiqué M.Bordiouja.

Jeudi, le site internet de la Première chaîne de télévision russe a été la cible de deux attaques par déni de service dont au moins une était lancée depuis Kiev.

Ces derniers jours, les sites internet d'autres médias russes - la chaîne RT, l'édition d'actualités en ligne LifeNews, le quotidien Rossiïskaïa Gazeta et le holding médiatique VGTRK - ont aussi été victimes d'attaques informatiques de type DDos. Les médias concernés expliquent les attaques par leur politique éditoriale concernant les événements en Ukraine.

Créée en 2002, l'Organisation du traité de sécurité collective, parfois qualifiée d'"OTAN russe", est une organisation politico-militaire qui regroupe l'Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, la Russie et le Tadjikistan.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 21:40
Ukraine: possible envoi de troupes dans l'est et le sud (officiel)

 

KIEV, 13 mars - RIA Novosti

 

La Garde nationale ukrainienne, formée jeudi sur la base des troupes de l'Intérieur et de militants du Maïdan, pourrait être prochainement envoyée dans le sud et l'est de l'Ukraine, régions refusant de reconnaître le pouvoir de Kiev, a annoncé le premier vice-premier ministre du pays Vitaly Iarema.

"L'envoi de militaires faisant partie de la Garde nationale dans le sud et l'est du pays est possible", a-t-il indiqué dans une interview de RIA Novosti, avant d'ajouter que ces troupes seraient engagées à la frontière russo-ukrainienne. 

"Dès que les rangs des militaires seront complétés et formés, nous les enverrons dans les régions du pays les plus criminogènes", a poursuivi M.Iarema. 

Le secrétaire du Conseil de sécurité et de défense nationale, Andreï Paroubiy, avait antérieurement annoncé qu'à ce jour la Garde nationale ukrainienne comptait déjà 32.000 hommes et que 20.000 soldats supplémentaires seraient engagés au cours des deux semaines à venir. 

Un changement de pouvoir s'est opéré le 22 février à Kiev. La Rada suprême (parlement ukrainien) a démis le président Viktor Ianoukovitch de ses fonctions et réformé la Constitution. Se proclamant toujours président légitime, M.Ianoukovitch, qui a trouvé refuge en Russie, a qualifié ces événements de "coup d'Etat".  

La république autonome de Crimée a refusé de reconnaitre le nouveau pouvoir à Kiev et a décidé de tenir le 16 mars un référendum sur son futur statut politique. Le parlement de la république autonome s'est prononcé pour le rattachement à la Russie

Cette décision, ainsi que le feu vert donné par le Conseil de la fédération (Sénat russe) en vue d'un éventuel recours à la force en Ukraine, ont provoqué une vive réaction de l'Occident. Le président du Conseil européen Herman Van Rompuy a prévenu la semaine dernière à l'issue d'un sommet extraordinaire de l'UE que Bruxelles pourrait introduire contre la Russie des sanctions de visas et des gels d'actifs si un dialogue entre Moscou et Kiev ne démarrait pas sous peu.   

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 20:55
source IsraelValley

source IsraelValley

 

13/03/14 par Olivier de Maison Rouge - portail-ie.fr

 

En matière d’intelligence économique (IE), l’heure est actuellement aux anniversaires, à savoir les 20 ans du Rapport MARTRE et les 10 bougies du Rapport CARAYON ; il est toutefois à regretter dans ce concert de louanges que l’intelligence juridique et stratégique peine encore à faire valoir ses galons.

Or, à étudier de plus près les initiatives et résultats obtenus en la matière, on peut néanmoins dresser le bilan suivant qui comprend quelques motifs de réjouissance.

Nous en recensons volontairement 10 pour satisfaire aux exigences des commémorations :

  • 5 livres ont été publiés en l’espace de 10 ans sur l’intelligence juridique en général et le secret des affaires en particulier ;
  • La rédaction du rapport de l’Avocat général Claude MATHON sur le secret des affaires, en avril 2009 ;
  • L’installation, en 2010, d’une commission « secret » très active au sein du Groupe français de l’Association Internationale pour la Protection de la Propriété Intellectuelle (AIPPI) ;
  • Les deux colloques organisés à l’Assemblée Nationale par Bernard CARAYON, député du Tarn, et la Fondation Prometheus, qui se sont tenus respectivement le 18 octobre 2010 (sur le thème de « la protection des informations à caractère économique - enjeux et perspectives ») et le 7 mars 2011 (sur le thème de « secret des affaires - faire converger la défense de l’emploi et de l’outil de travail ») ;
  • L’adoption de la loi LOPPSI II qui avait bien maladroitement tenté de créer un statut règlementaire pour les acteurs de l’IE, invalidé par le Conseil constitutionnel (DC 2011-625 du 10 mars 2011) ;
  • Les jugements du tribunal correctionnel de CLERMONT-FERRAND du 21 juin 2010 et 26 septembre 2011 (affaires Michelin et Rose), sanctionnant les détournements et le vol de données immatérielles (secrets d’affaires) ;
  • La proposition de loi de Bernard CARAYON, député du Tarn, visant à sanctionner la violation des secrets d’affaires, ayant donné lieu à un vote en première lecture à l’Assemblée Nationale, le 23 janvier 2012 ;
  • La parution régulière, depuis mars 2012, du Bulletin du droit des Secrets d’Affaires (BSA), publié par l’Institut International d’Intelligence Economique et Stratégique ;
  • La signature de la convention conclue le 18 avril 2012, entre le Conseil National des Barreaux (CNB) et l’Ordre des Avocats de Paris, d’une part, et la Délégation Interministérielle à l’Intelligence Economique (D2IE), d’autre part, affirmant que le droit est une composante essentielle de l’IE ;
  • Le colloque qui s’est tenu le 13 juin 2013, à la Cour de cassation, organisé sous la férule de l’Avocat général Claude MATHON et intitulé « de l’intelligence économique à l’intelligence juridique - la nécessaire protection du secret des affaires », destiné à faire date dans l’histoire de l’intelligence économique.

Il n’en demeure pas moins qu’en dépit de ces succès relatifs lesquels auront largement contribué à sa reconnaissance par les acteurs de l’IE – mais aussi des échecs patents, qu’il a bien fallu nommer cependant – la matière est encore mal embrassée par les praticiens du droit.

C’est pourquoi, il convient d’en préciser les qualités et conditions déterminantes, pour concourir désormais à sa légitime affirmation. 

 

Manifeste pour l’intelligence juridique et stratégique 

Chaque juriste et acteur du droit se doit de parfaitement intégrer que le droit n'est pas une fin en soi, tout au plus est-ce un moyen, un outil de performance et de compétitivité décliné au profit des décideurs économiques. Dans cet esprit, le juriste se voit intimer la mission, pour se distinguer des autres, d’apporter une valeur ajoutée pour son client/employeur.

Précisément, alors que tous les juristes reçoivent peu ou prou la même formation (LMD + éventuellement business School), la nouvelle génération de juristes doit désormais faire preuve d’une grande capacité à savoir anticiper les évènements, à prétendre collecter l’information pertinente et à intégrer un spectre d'analyse beaucoup plus large, inévitablement multidimensionnel, où in fine le droit n'est qu'une dimension parmi d'autres et le tout doit pouvoir coaguler astucieusement.

Quand on évoque l’expression de « spectre multidimensionnel », cela signifie qu’il appartient au praticien du droit de savoir acquérir en tout ou partie les « armes de la guerre économique, et en connaître le champ de bataille » dans tous ses aspects : influence, enjeux contemporains, géopolitique, géostratégie, soft et hard power, compliance, soft et hard law ... Il doit connaître et intégrer les nouveaux paradigmes de l’économie mondialisée.

Dans cet ensemble, le droit demeure une dimension certes essentielle, mais il prend place dans le cadre d'une stratégie mise en œuvre au profit d'un client, dans un contexte identifié, et pour parvenir à un résultat déterminé, précisé en amont.

D'aucuns verront sans doute dans cet effort d'ingénierie et de stratégie juridiques une démarche machiavélique (au sens où Machiavel l'a décrit dans son ouvrage Le Prince), mais toutefois licite et offrant davantage de sécurité à son commanditaire.

 

Quels besoins pour l’entreprise ? 

Pour l'heure, les entreprises de type TPE et PME découvrent seulement, pour certaines d’entre elles, l'intelligence économique sous ses différentes formes (veille / influence / sensibilisation et protection de l'information stratégique).

Ce sont seulement les grandes entreprises de taille internationale qui en ont compris et intégré les rouages et les ressorts. Et pourtant les PME, tout aussi exposées, sont en proie à davantage de difficultés économiques actuelles, ne leur permettant pas de disposer des moyens pour mettre en place une telle réflexion de fond.

Ce faisant, le droit se propose de mobiliser au profit de l’entreprise une réflexion juridique adéquate pour se protéger utilement contre les atteintes et les actes de malveillance et plus généralement pour maîtriser les risques juridiques contemporains liés aux marchés et à son environnement commercial et industriel.

L’objectif recherché étant de sécuriser et de faire valoir les droits incorporels et immatériels dont l’entreprise peut se prévaloir, l’intelligence juridique aborde donc de manière transversale tous les aspects liés à la structure même de l’organisation de l’entreprise et de ses activités. De nature pragmatique, la notion recourt à « une démarche organisée, au service du management stratégique de l’entreprise, visant à améliorer sa compétitivité par la collecte, le traitement d’informations et la diffusion de connaissances utiles à la maîtrise de son environnement. »[1] 

 

Quel secteur économique se trouve concerné ?

Il faut tout d'abord se référer à l'espace. Ainsi, toutes les entreprises exposées à l'international et aux marchés à l'étranger doivent avoir cette démarche de sécurité-protection et de valorisation de l'information stratégique.

Elles doivent analyser les rouages politiques du pays dans lequel elles s'implantent pour connaître la législation applicable et éviter de se voir évincée en se voyant accusée d'enfreindre des règles locales qui semblent pourtant évidentes en Europe.

En terme d'influence, par exemple, il est aisé pour une entreprise locale, de disqualifier une société étrangère en l'accusant d'enfreindre la loi du pays d'accueil.

Autre dimension : les entreprise innovantes ou disposant de droits de propriété intellectuelles doivent être pertinentes dans ce domaine. En dépit de ces monopoles techniques et/ou technologiques, la contrefaçon est un fléau, anéantissant plusieurs années de coûts de R&D qui ne peuvent pas porter leurs fruits en raison d'une concurrence déloyale et parfois asymétrique (le moins-disant technologique étant parfois, pour des raisons de coûts, mis en avant au détriment de l'industriel innovant).

Mais plus largement, l’entreprise doit au préalable valoriser en interne ses ressources propres et identifier ses talents et ses avantages concurrentiels. Cet audit doit aboutir ensuite à une démarche organisée pour mieux cerner les failles et assurer sa domination sur le marché considéré en combinant de manière pragmatique et efficiente les volets défensif et offensif de son savoir-faire.

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