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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 19:45
U.S. urges removal of foreign fighters from South Sudan

 

 

10 February 2014 defenceweb (Reuters)

 

The United States on Saturday expressed concern over reported violations of a shaky ceasefire agreement between South Sudan's government and rebel forces and urged the removal of foreign fighters engaged in the conflict.

 

Thousands of people have been killed and more than half a million have fled their homes since fighting erupted in December in a conflict that has brought oil-producing South Sudan to the brink of civil war.

 

State Department spokeswoman Jen Psaki said the United States is "deeply concerned by reports of violations by both the government of South Sudan and anti-government forces" of the ceasefire deal.

 

"We urge the redeployment or phased withdrawal of foreign forces invited by either side, and warn of the serious consequences which could result from any regionalization of this conflict," Psaki said in a statement.

 

President Salva Kiir's government and rebels loyal to his fired deputy, Riek Machar, agreed to the ceasefire on January 23, but both sides have since accused each other of violations.

 

Regional and world powers worry about the potential for a spillover of violence in an already volatile part of Africa. South Sudan declared independence from Sudan in 2011.

 

The rebels have accused government SPLA forces and fighters from the Sudanese Justice and Equality Movement - a rebel group from north of the border - of razing Machar's hometown, massacring women and children as they fled. The government also accuses the rebels of flouting the ceasefire.

 

An advance team sent by east African nations to monitor the ceasefire arrived in South Sudan last Sunday. Violence erupted in the capital, Juba, in December before spreading across the world's newest nation.

 

Psaki said the United States welcomed the arrival in Juba of the first component of the monitoring team, adding that "we strongly urge the government of South Sudan to facilitate (the team's) important work, which will provide both sides with a mechanism to report any breaches of the agreement."

 

Psaki reiterated a U.S. request for the government's release of the last four of a group of 11 detainees held on suspicion of trying to stage a coup.

 

"The expeditious release and transfer of all of the detainees would reduce tension and build confidence in an inclusive reconciliation process," Psaki added.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 18:50
Gripen: la Suisse appelle Saab à la retenue

 

 

08.02.14 arcinfo.ch (ats)

 

La Confédération appelle Saab à la retenue avant la votation. La vente des Tiger F-5 de la Confédération intéresse divers repreneurs notamment le département de la défense des Etats-Unis.

 

Le fabricant suédois Saab devrait faire preuve de retenue pendant la campagne de votation sur l'achat des Gripen, estime le Département fédéral de la défense (DDPS). La population n'apprécie pas l'ingérence d'un acteur étranger, selon Christian Catrina, chef de la politique de sécurité au DDPS.

 

Dans une premier temps, Saab "voulait toujours en faire plus que ce que nous estimions utile", a dit Christian Catrina dans une interview publiée samedi dans le journal "Nordschweiz". La démocratie directe est un terrain tout à fait nouveau pour le groupe suédois: "des erreurs ont ainsi pu être commises ". Mais elles ont pu être corrigées rapidement, selon le chef de la politique de sécurité.

 

Des politiciens bourgeois ont aussi appelé le groupe suédois à ne pas intervenir pendant la campagne. Car à peine la date du vote sur l'acquisition du Gripen était fixée que Saab était présent à la mi-janvier à Wengen (BE) avec un "stand d'information" dans le très médiatisé cadre des courses de ski du Lauberhorn. Une affiche grand format montrait l'avion surmonté de l'inscription "Gripen E - Le jet de combat intelligent pour une défense intelligente".

 

Répartition importante

 

Christian Catrina s'est aussi exprimé sur la clé de répartition régionale. Si la Suisse acquiert vraiment le Gripen, le fabricant suédois Saab s'est engagé à conclure des contrats avec des firmes suisses pour plus de 2,5 milliards de francs. Le contrat d'achat des 22 Gripen se monte à 3,1 milliards de francs.

 

Saab avait promis que 30% des 2,5 milliards iraient à l'industrie romande. Cette clé de répartition est certes "sacro-sainte", mais uniquement à condition que des entreprises de toutes les régions du pays soumettent des offres concurrentielles.

 

"Si nous nous en tenons de manière rigide à cette clé de répartition, cela signifie que Saab serait obligé de retenir aussi des offres qui ne sont pas concurrentielles, et cela, nous ne le voulons pas", a ajouté M. Catrina. "Mais nous sommes confiants que cela fonctionnera".

 

"Pour mieux diriger là où des investissements devraient affluer, nous réfléchissons actuellement à considérer différemment certaines affaires", souligne en outre le responsable du DDPS.

 

"Disons que l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich reçoit un mandat pour 20 millions de francs: au lieu de l'estimer à 20 millions, nous pourrions le coter à 30 ou à 40, s'il s'agit d'un mandat qui rapporte beaucoup", explique-t-il. "En retour, le total des affaires compensatoires baisserait."

 

La Marine américaine s'intéresse aux Tigers

 

Si le peuple se prononce le 18 mai pour l'achat des 22 Gripen suédois, les anciens avions de combat devront faire place nette. La Confédération a déjà reçu des offres pour le tiers de ses Tiger F-5, assure Christian Catrina.

 

"Les premiers 18 appareils pourraient être vendus encore en 2014", précise-t-il. Les 36 autres devraient être mis hors-service d'ici au plus tard mi-2016.

 

Au premier plan des acheteurs potentiels, la Marine américaine. "Une partie des Tiger pourraient aussi être revendus à des sociétés privées américaines, qui souhaitent utiliser les avions de combat à des fins de formation". La Confédération peut tirer environ un demi-million de francs par appareil.

 

D'après le chef de la section Politique de sécurité, "il est improbable de ne trouver aucun acheteur". Dans ce cas toutefois, les avions seraient détruits en Suisse.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 18:45
Terrorisme et piraterie au menu de la tournée africaine de Le Drian

 

10-02-2014 par

 

Le ministre français de la Défense a entamé ce dimanche 9 février une nouvelle tournée africaine. Elle l’a d’abord mené à Ndjamena où Jean-Yves Le Drian s’est notamment entretenu avec le président Déby sur la question du terrorisme dans la région. Le ministre s’est ensuite rendu au Congo-Brazzaville. Une visite axée cette fois sur la sécurisation des activités économiques en mer.

 

La première étape de la visite officielle de Jean-Yves Le Drian l’a conduit à Ndjamena.
Depuis décembre, il s’agit de la quatrième visite du ministre français de la Défense dans la capitale tchadienne. Avec le président Idriss Déby, le ministre de la Défense a évoqué, entre autres, la situation dans le sud de la Libye, un pays avec lequel le Tchad partage un peu moins d’un millier de kilomètres de frontières.

La France veut installer à Ndjamena son centre de commandement opérationnel pour la zone sahélo-saharienne. Idriss Déby a renouvelé son accord ce dimanche. Dans le cadre d’un mouvement de réarticulation des troupes françaises dans la région, la présence française au Tchad devrait être renforcée de 300 hommes, pour arriver à des effectifs proches de 1 400 soldats.

Au Tchad, les militaires français s’appuieront également sur la base de Faya Largeau, mais pourront aussi opérer de manière plus ponctuelle depuis la localité de Zouar, au pied du massif du Tibesti.

Plus à l’ouest, au Niger, Niamey sera le centre dédié au renseignement. Madama, dans l’extrême nord du pays, près de la Libye, où se trouve un ancien fort français, pourrait aussi devenir un autre point d’appui. Enfin, l’armée française restera à Tessalit, dans le nord du Mali, non loin de la frontière algérienne.

 

La piraterie, un problème endémique

Après Ndjamena, Jean-Yves Le Drian poursuit sa tournée au Congo-Brazzaville. Il est arrivé ce dimanche à Pointe-Noire, la capitale économique. Cette fois, sa visite est axée sur la sécurisation des activités économiques en mer, et notamment la question pétrolière. Car l’exploitation pétrolière représente 60 % du Produit intérieur brut du Congo-Brazzaville.

Or, en mer, c’est l’or noir qui intéresse les pirates, qui utilisent la technique du « bunkering » qui consiste à siphonner les bateaux-citernes pour revendre le carburant. Mais les équipages aussi servent parfois de monnaie d’échange. Un mode d’action très courant dans le golfe de Guinée où 154 attaques ont été recensées en 2013. Mais fin janvier, un pétrolier grec, le mont Kerala, a, selon son armateur, été attaqué au large de Luanda, en Angola. Une première.

Les marines de la région commencent à s’équiper en achetant des patrouilleurs. La Chine a livré quatre navires de 46 mètres au Congo. La France a remporté un marché au Togo. Mais au-delà des moyens déployés en mer, les pays riverains doivent mieux coopérer. À Pointe-Noire, Jean-Yves Le Drian visitera le futur Centre de coordination de l’action régionale, qui doit commencer à fonctionner en mars prochain.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 18:45
USARAF training helping African nations

 

 

06 February 2014 defenceweb

 

The training US Army Africa (USARAF) is providing to different African nations is helping them secure their own borders as well as own regions, in line with the US policy of helping Africans solve their own problems.

 

This is according to Major Albert Conley III, USARAF's Counter Terrorism Desk Officer for International Military Engagements. He said that this means the US doesn't need to get involved and whatever American interests are in that region or country will, as a secondary effect, be secure because USARAF is helping them with internal and external security.

 

“If Africans are solving African problems the US government won't need to use the United States Army to solve African problems. For example, by having a conglomerate of nations in the African Union going into Somalia to help fix that nation's problems means American servicemen don't have to go into Somalia to help fix that problem,” he said.

 

USARAF is currently partnering with the French government to train and equip in Guinea and will be in Chad and Malawi this month to train more than 4 000 African troops for peace enforcement missions in Mali and the DRC.

 

“We are ready to begin training in Chad for about 1 300 soldiers - an 850 man battalion plus another 450 man battalion. While we are not partnering with the government of France, we are partnering with a private French security firm the government of Chad has contracted. They are providing some training and we are also providing some,” said Colonel John Ruffing, USARAF Security Co-operation Director.

 

USARAF is planning more training and equipping iterations -- probably a total of about 15 between now and the end of the fiscal year, with various countries on the African continent.

 

“We are looking at partnering with some of our non-traditional partners as well and would like to partner with an African nation to train other countries. We'd also like to work with an international, non-traditional partner to train a third-party African nation in a particular skill set, as well as provide us with training because we don't know how to operate in that environment very well, and are learning each and every time we put people on the continent," he said.

 

USARAF only started training and equipping African nations about 18 months ago.

 

“A lot of this is coming on-line now with the Regionally Aligned Forces. An example would be how the US Army Africa worked during Shared Accord 13 (SA13).

 

“It was a sophisticated exercise where we did air field seizure, forcible entry operations, an amphibious assault and the environment was difficult with high sea states, low visibility, high winds and we were able to conduct this operation through mission command in a C-130 where you had a South African general officer and a US colonel sitting side-by-side with the South African general making decisions to conduct this operation. There were two forces --the US and South Africa, conducting this event. Not only conventional forces were involved, but there were Special Forces from both countries involved in this exercise,” he said.

 

Because of lessons learned from that Shared Accord 13 the impact was seen almost immediately.

 

“I believe the training received during SA 13 helped 1/18th Infantry when they were sent to South Sudan to reinforce the US Embassy there as part of the East Africa Response Force operations. Had that force just been sitting at a location doing training and not understanding the environment or working with a foreign military, it might have been a little more difficult. But because they were able to work in the environment with South Africa during Shared Accord, I think that helped them and prepared them for that operation in South Sudan.”

 

Conley offered additional examples.

 

“We trained in Niger and then Niger went into Mali. We are now working with the French to actually get the assessment of that since we're not working with them in Mali. So, now the French get to see this unit we trained and equipped to go in and fight in Mali and secure the area. The French are actually giving us the assessment and evaluation of that unit and then whatever lessons are learned, we will implement them in the next training mission,” he said.

 

Another and perhaps better example, Conley said, is from training in East Africa.

 

“The US government has been training in Uganda, Kenya, Djibouti and Burundi to conduct peacekeeping missions in Somalia. For the longest time they were restricted to the city of Mogadishu. Because of all the training we've been doing with them, building up different units with reconnaissance capabilities so they can push out of Mogadishu and into the countryside while pushing the terrorist group El Shabaab out speaks of success. I don't need to be on the ground to see the success of that - it's evident."

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 18:35
Corée du Sud/Etats-Unis: les exercices militaires conjoints auront lieu du 24 février au 18 avril

 

 

10-02-2014 French.china.org.cn

 

Le ministère sud-coréen de la Défense a déclaré lundi que les exercices militaires annuels conjoints entre la Corée du Sud et les Etats-Unis se dérouleraient entre le 24 février et le 18 avril, en dépit des protestations de la République populaire démocratique de Corée (RPDC).

 

Le commandement des forces sud-coréennes et américaines mèneront du 24 février au 6 mars l'exercice de simulation assistée par ordinateur baptisé "Key Resolve", a annoncé le porte-parole du ministère sud-coréen de la Défense Kim Min-seok lors d'un point de presse.

 

M. Kim a expliqué que la manoeuvre militaire organisée chaque année par les deux alliés est de nature défensive et vise à vérifier les capacités de défenses des forces combinées sud-coréennes et américaines, avant d'ajouter qu'environ 5.200 militaires américains seront impliqués dans l'exercice cette année, un effectif supérieur à celui de l'exercice précédent qui a impliqué 3.500 soldats.

 

Par ailleurs, le second exercice militaire, un entraînement militaire conjoint sur le terrain intitulé Foal Eagle, se déroulera du 24 février au 18 avril, selon M. Kim, qui ajoute que quelque 7.500 militaires américains prendront part à l'exercice annuel, un effectif inférieur aux 10.000 soldats déployés l'année dernière.

 

M. Kim a fait savoir que la RPDC a été informée dimanche matin du calendrier des prochaines manoeuvres par le commandement des Nations Unies, l'institution chargée de veiller au respect de l'Accord d'armistice militaire qui a mis fin à la guerre de Corée (1950-1953). Il a ajouté que son ministère informerait lundi les autres pays voisins du calendrier des exercices.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:56
Bordeaux et l'armée de l'air accueilleront les Universités d'été de la Défense 2014

 

 

10.02.2014 par Philippe Chapleau – Lignes de Défense

 

La 12e Université d'été de la Défense se tiendra à Bordeaux, le lundi 8 et le mardi 9 septembre. après la Marine (Brest) et l'armée de Terre (Pau), l'armée de l'Air sera le "partenaire de Défense" de ces nouvelles Universités; elle accueillera les participants sur la base aérienne 106 de Bordeaux-Mérignac.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:55
Les sapeurs de marine se forment à l’EGRAP


10/02/2014 CNE E. ROSSI - Armée de Terre

 

Une dizaine de sapeurs de marine  du 6e régiment du génie ont débuté, mi-janvier, leur formation d’adaptation à l’engin du génie rapide de protection (EGRAP), pour une durée de 4 semaines.

 

Depuis 2011, l’EGRAP est devenu le principal outil des sapeurs dans leurs missions d’appui général, telles que l’aide au déploiement, l’organisation du terrain, l’ouverture d’itinéraires ou encore l’aide à la population, comme l’a démontré l’intervention du 6e régiment du génie lors de l’épisode neigeux en Normandie, en mars 2013.

Issues des différentes compagnies du régiment, les stagiaires ont un important effort  à fournir, dans un temps contraint, pour découvrir et maîtriser ce nouvel engin dont ils seront seuls responsables. En effet, l’autonomie, la rigueur et le professionnalisme sont des qualités indispensables pour un enginiste. Durant ces quelques semaines, ils devront doivent appréhender assimiler les différentes capacités de l’EGRAP, ainsi que de nombreux savoir-faire essentiels tels que :

  • La réalisation d’emplacement de tir ou de surveillance, la réalisation de tranchées ou de merlons,
  • L’embarquement sur remorque ou sur moyen de franchissement,
  • L’entretien de l’engin etc.

À l’issue de la formation, les stagiaires ayant validé les différents modules, rejoindront leur compagnie afin d’occuper une place en section de combat ou en section d’aide au déploiement, renforçant ainsi les capacités des sapeurs de marine à remplir leurs missions en France comme à l’étranger.

 

Témoignages :

CPL LUTASTER kévin, stagiaire : «  cela fait 3 ans et 3 mois que je suis sapeur au sein de la 3e compagnie de combat. J’ai pu partir en mission en Guyane et au Mali. C’est notamment en voyant les engins travailler lors de cette dernière mission que j’ai eu envie de devenir enginiste. Du coup, je me suis porté volontaire. La formation est difficile. J’appréhendais un peu la conduite au début, car il y a beaucoup de manettes à utiliser en même temps, mais les formateurs sont pédagogues et la prise en main progressive. Ce que je préfère c’est faire réaliser des emplacements de combats, parce que je sais que sur le terrain c’est vraiment important. Après la formation, je vais retourner dans ma section, où je serais le spécialiste des engins. Ça me responsabilise et me donne une vraie plus-value. »
CCH BERNARD Jean-François, formateur : « J’ai 14 ans de service et depuis mon entrée affectation au 6e RG, j’ai toujours été enginiste. Je sers actuellement à la compagnie d’appui, dans la section d’organisation du terrain et où je forme les plus jeunes depuis 4 ans. La formation dure 4 semaines, dont une semaine axée sur la sécurité. C’est un module éliminatoire pour les stagiaires. La formation est courte alors qu’il y a beaucoup de choses à apprendre. Les stagiaires doivent donc être attentifs et vite assimiler les cours et la pratique. Les qualités d’un bon enginiste sont le respect de la sécurité, l’appréciation des distances, et la connaissance parfaite de son engin. Si l’un des stagiaires est limite dans l’un de ces domaines, on n’hésite pas à le recaler, car, une fois aux commandes de son engin, il sera seul et n’aura pas droit à l’erreur. Cette formation a aussi une équivalence dans le milieu civil et peut permettre de trouver une place sur le marché de l’un emploi, au moment de la reconversion. »
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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:55
Laureats des Prix scienfiques de l'IHEDN 2013-2014

10.02.2014 IHEDN

 

Liste des lauréats Catégorie Thèse et  Master II recherche 2013-2014

 

Catégorie "Thèse de doctorat"

 

Premier prix de 3000 euros

 

Capitaine Hélène GUILLOT : Photographier la Grande Guerre : les soldats de la mémoire, 1915-1919, thèse d’histoire contemporaine, soutenue à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne, sous la direction du professeur Myriam Tsikounas.

 

Seconds prix ex aequo de 2500 euros

 

Aurélie KNÜFER : Intervention et libération d'Edmund Burke à John Stuart Mill, thèse de philosophie, soutenue à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, sous la direction de du professeur Bertrand Binoche.

Hélène DE POOTER : Le droit international face aux pandémies : vers un système de sécurité sanitaire collective ?, thèse de droit public, soutenue à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne, sous la direction du professeur Pierre-Michel Eisemann.

 

Catégorie "Mémoire de recherche de master 2"

 

Premier prix de 2000 euros

 

Aurore BOUVART : La valorisation du renseignement dans la stratégie de défense et de sécurité française à travers les Livres blancs de 1972, 1994 et 2008, mémoire d'histoire et de science politique, soutenu à l'Institut d'études politiques de Bordeaux, sous la direction du professeur Sébastien Laurent.

Seconds prix ex aequo de 1500 euros

 

Commissaire aspirant Anaïs LOUËR : Bases de défense et externalisations, des structures et des techniques qui permettent d’optimiser le soutien des armées ?, mémoire de droit public, soutenu à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne et Paris II Panthéon-Assas, sous la direction de Philippe Josse, conseiller d’État.

Aude GERY : La mise en œuvre de l'article 51 de la Charte des Nations unies dans le cyberespace, mémoire de droit public, soutenu à l’université Paris II Panthéon-Assas, sous la direction du professeur Bertrand Warusfel.

En raison du grand nombre et de la qualité des travaux reçus, une catégorie "Nominés" a été créée. Elle permet aux jeunes chercheurs retenus de se voir remettre une lettre de félicitations du directeur de l’IHEDN.

 

Thèse de doctorat

 

Oriane BARAT-GINIES : Le soldat et le droit en opérations extérieures. Analyse des insécurités juridiques en droit opérationnel, thèse de droit public, soutenue à l’université de Poitiers, sous la direction du professeur Jean-Paul Pancracio.

Cédric LEBOEUF : De la surveillance des activités humaines en mer. Essai sur les rapports du droit et de la technique, thèse de droit privé, soutenue à l’université de Nantes, sous la direction  du professeur Patrick Chaumette.

Emmanuel VIANES : Entre Guerre et Paix : les administrations internationales post-belligérantes, thèse de science politique, soutenue à l’université Jean Moulin Lyon 3, sous la direction du professeur Jean-Paul Joubert.

 

Mémoire de master 2

 

Charlotte TOUZOT : Patrimoine mondial et conflit armé. Une destruction alarmante, une protection dérisoire, mémoire de droit public, soutenu à l’université de Limoges, sous la direction du professeur Jean-Marc Lavieille.

Thomas MERLE : Les États autoproclamés dans l’ancien espace soviétique. Approche comparative : Transnistrie, Abkhazie, Ossétie du Sud, Haut Karabagh, mémoire de géographie, soutenu à l’université Jean Moulin Lyon 3, sous la direction des professeurs Samuel Depraz et Pascal Orcier.

Anthony MARANGHI : L'instrumentalisation de la culture dans les discours de politique étrangère et de défense chinois : une analyse matérialiste d'une Chine au masque idéaliste, mémoire de science politique, soutenu à l’Institut d’études politiques de Bordeaux, sous la direction du professeur Dario Battistella.

Par ailleurs, la Fondation d’entreprise Airbus Group a souhaité s’associer, cette année, au programme de valorisation de la recherche de l’Institut et a proposé d’allouer une somme de 1000 euros au lieutenant Philippe LEPINARD : Sociomatérialité et systèmes d’information : le cas de la numérisation de l’aviation légère de l’armée de Terre, pour sa thèse de sciences de gestion, soutenue à l’université de Nice Sophia-Antipolis, sous la direction de Ivan Pastorelli, maître de conférences.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:55
Les nouveaux brevetés posent devant le Fennec

Les nouveaux brevetés posent devant le Fennec

 

10/02/2014 armée de l'air

 

Une cérémonie de macaronnage s’est déroulée sur la base aérienne 115 d’Orange, mercredi 5 février 2014, sous la présidence du général Pascal Chiffoleau, commandant la brigade aérienne d'appui et de projection (BAAP) du commandement des forces aériennes.

 

Au cours de cette cérémonie, huit jeunes officiers de l’armée de l’air ont reçu, des mains du général, leur insigne de pilote d’hélicoptère du second degré. Ce brevet sanctionne leur transformation opérationnelle «air», obtenue au terme de 38 heures de vol et de 26 heures de simulateur dispensées au centre d’instruction des équipages d’hélicoptère (CIEH) 00.341.

 

Localisé sur la base aérienne 115 d’Orange depuis 2011, le CIEH élabore, dispense, et contrôle la formation opérationnelle des équipages d'hélicoptères de l’armée de l'air (pilotes, instructeurs, mécaniciens d'équipage, sauveteurs-plongeurs et treuillistes).

 

Avant leur arrivée au CIEH, les pilotes d’hélicoptère suivent une formation initiale interarmées à Dax, puis au Luc-en-Provence, au sein de l’école d’aviation légère de l’armée de terre.

 

 

 

 

Cérémonie de macaronnage des jeunes pilotes d'hélicoptères

Cérémonie de macaronnage des jeunes pilotes d'hélicoptères

Traditionnel lancer de casquettes

Traditionnel lancer de casquettes

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:45
Iraq Heading Toward Fully Operational Air Force

 

Feb. 10, 2014 - By AWAD MUSTAFA – Defense News

 

DUBAI — A proposed foreign military sale to Iraq for air traffic control and landing systems highlights the imminent possibility of a fully operational Iraqi Air Force in the next few years, according to an industry expert.

 

On Feb. 4, the US Defense Security Cooperation Agency (DSCA) notified Congress of a possible foreign military sale to Iraq for Air Traffic Control and Landing Systems and associated equipment, parts, training and logistical support for an estimated cost of $700 million.

 

Matthew Hedges, military analyst for the Institute for Near East and Gulf Military Analysis, said the DSCA notification should be seen in conjunction with other recent messages that not only point to Baghdad’s pending acquisitions but also show that the US will be a key partner in this process.

 

“Whilst the Iraqi armed forces have already embarked on aerial sorties, the need for more sophisticated mechanisms will help the Iraqis absorb a broader, more advanced fleet,” he said.

 

According to the DCSA, Iraq has requested a sale of commercially available Federal Aviation Administration air traffic control equipment and airfield navigational aids suites to be installed at four bases — Tikrit, al-Basra, al-Kut and Taji.

 

The equipment includes airport surveillance radars, automation systems, airfield support and navigation suites, and primary search radars.

 

Also provided are site surveys, system integration, installation, testing, repair and return, facilities, warranties, spare and repair parts, support equipment, personnel training and training equipment, publications and technical documentation, US government and contractor engineering and logistics support services, and other related elements of logistics and program support.

 

“The strategic positing of the four airfields also directs a message to its neighbors that they are pursuing a defense posture and not one opposed to adjacent regimes,” Hedgessaid.

 

According to the DCSA, the proposed sale will contribute to Iraq’s continued efforts toward rebuilding its airfield systems for near-term basing of multiple aircraft.

 

The renovations and upgrades to the airfields and systems will allow for greater ease in launch and recovery of aircraft and will improve the overall sustainment to aircraft and affiliated systems, the agency added.

 

The principal contractor will be determined through a competitive process. There are no known offset agreements proposed in connection with this potential sale.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:35
US Official Promoting Business at Singapore Airshow

 

Feb. 10, 2014 - by WENDELL MINNICK  - Defense News

 

SINGAPORE AIRSHOW – The US deputy secretary of state for political-military affairs is at this year’s Singapore Airshow to promote US defense companies in the regional market.

 

Kenneth Handelman said he believes buying American helps promote regional stability, build military-to-military relationships, and is part of the U.S. “rebalance” to Asia policy, often referred to as the “Asia pivot.”

 

The US foreign military sales program provides for all the follow-on training and support a company needs to build a solid relationship with the buyer, he said during an interview with Defense News.

 

“We are here to promote the ‘American brand’ in a region that has become increasingly important on all fronts: economic, diplomatic, and strategic,” he said.

 

Handelman is part of a larger Washington delegation attending the Singapore Airshow. They include Frank Kendall, the US undersecretary of defense for acquisition, technology and logistics; Kenneth Hyatt, acting undersecretary of commerce for international trade; and Michael Huerta, administrator of the Federal Aviation Administration. The team also includes military leadership from the US Pacific Command, including Air Force Gen. Herbert Carlisle, commander of U.S. Pacific Air Forces. Carlisle also participated as a speaker at the Asia Pacific Security Conference being held alongside the airshow.

 

The delegation will hold consultations on defense trade issues and promote more than 163 US companies exhibiting at the airshow. The delegation will advocate for the overseas marketing efforts of US companies bidding on commercial and defense contracts, engage with senior government officials to promote defense sales of particular importance to the US, discuss how progress toward export control reform is supporting our partners and allies, and consult governments on broader strategic cooperation issues, such as advancements in aviation safety and efficiency.

 

Export control reform is moving forward quickly, Handelman said, with the possibility of completion in the “autumn of this year,” he said, adding that past bureaucratic inertia held up many sales. “You don’t really need an export license for a bayonet, do you?” he said.

 

In his current position, Handelman manages the Directorate of Defense Trade Controls and provides overall policy guidance regarding the transfer of defense technologies to other countries through commercial defense trade, and serves as a key link between the State Department and the Defense Department.

 

The Singapore Airshow is being held Feb. 11-16 and will include both defense and commercial aviation companies exhibiting their wares. It is considered the biggest aviation show in Asia.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:35
La marine australienne célèbre les 100 ans de son premier sous-marin

 

 

10 février 2014. Portail des Sous-Marins

 

Les célébrations du centenaire des sous-marins australiens ont été lancées par le ministre de la défense, David Johnston, dans le port de Darling.

 

Le ministre Johnston a rappelé que les sous-marins et les sous-mariniers avaient joué un rôle vital dans l’histoire navale de l’Australie depuis l’arrivée de ses 2 premiers sous-marins, les AE1 et AE2, en 1914, 3 mois seulement avant le début de la 1ère Guerre Mondiale.

 

« Au cours des 100 dernières années, il y a eu 5 générations de sous-marins, depuis nos 2 premiers commandés à la Grande-Bretagne jusqu’aux Obéron des années 60 et 70, suivis par les premiers construits en Australie — la classe Collins, » a déclaré le ministre Johnston.

 

« Ce n’est pas un secret que le programme Collins a connu des problèmes. Mais nous avons beaucoup appris de cette expérience. »

 

Le ministre Johnston a aussi indiqué qu’il était important de rappeler que la Royal Australian Navy était parmi les premières à intégrer des femmes, officiers ou non, à bord de ses sous-marins.

 

« Les femmes sous-mariniers font parti des forces sous-marines depuis plus de 15 ans. Elles représentent actuellement près de 10% des sous-mariniers, depuis le simple matelot au commandant. »

 

Le ministre a souligné que le gouvernement australien était décidé à s’assurer que l’Australie conserve la supériorité dans la région en matière des capacités sous-marines, après le retrait des sous-marins Collins.

 

« Au début du nouveau chapitre de notre histoire sous-marine, nous sommes prêts à mettre en pratique ce que nous avons appris au cours des 100 dernières années. »

 

Plusieurs événements ont été annoncés pour célébrer le centenaire des sous-marins australiens, y compris la commémoration de la première perte de sous-marin, le AE1, a coulé avec tout son équipage en mai 1914 au large de la Papouasie-Nouvelle Guinée.

 

Référence : Australian Defence Magazine

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:30
Nucléaire: l'Iran fixe ses lignes rouges avant Vienne

 

10 février 2014 Romandie.com (AFP)

 

TEHERAN - Programme balistique, sites nucléaires, enrichissement à 20%: l'Iran a posé lundi ses lignes rouges avant la reprise des négociations avec les grandes puissances la semaine prochaine à Vienne.

 

Ces discussions, prévues les 18 et 19 février, promettent d'être difficiles pour parvenir à un accord global garantissant la nature exclusivement pacifique du programme nucléaire iranien. Les Occidentaux et Israël soupçonnent depuis plus d'une décennie ce programme de cacher un volet militaire, malgré les dénégations de Téhéran.

 

Le président Hassan Rohani a toutefois affirmé que l'Iran était prêt à ces négociations et sérieux dans sa volonté de parvenir à un accord global et final.

 

Les deux parties ont déjà conclu en novembre à Genève un accord historique. Téhéran a stoppé pour six mois certaines activités nucléaires sensibles contre une levée partielle des sanctions. L'Iran a notamment cessé d'enrichir l'uranium à 20%, étape importante vers un niveau militaire (90%).

 

En parallèle, l'Iran a accepté dimanche d'aborder la possible dimension militaire de son programme avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Téhéran va fournir, pour la première fois depuis plusieurs années, des informations sur le développement de détonateurs susceptible d'être utilisés dans la fabrication d'une bombe nucléaire.

 

Comme lors des précédentes négociations (...) nous ne permettrons pas qu'on aborde les questions de défense (qui) constituent notre ligne rouge, a affirmé Abbas Araghchi, vice-ministre des Affaires étrangères et chef des négociateurs nucléaires iraniens.

 

La sous-secrétaire d'Etat Wendy Sherman a récemment affirmé que la question du programme balistique de l'Iran devait être abordée par le groupe 5+1 (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie, Chine et Allemagne) lors des prochaines discussions. Elle a aussi estimé que l'Iran n'avait pas besoin du réacteur à eau lourde d'Arak, actuellement en construction, ou du site souterrain d'enrichissement d'uranium de Fordo.

 

Le programme balistique iranien inquiète les pays occidentaux, notamment les missiles d'une portée de 2.000 km capables d'atteindre Israël, et a été condamné par plusieurs résolutions de l'ONU, assorties de sanctions internationales.

 

Pour sa part, Majid Takhte Ravanchi, un autre négociateur nucléaire iranien, a répété lundi que l'Iran n'acceptera la fermeture d'aucun de ses sites nucléaires.

 

Mais, pour tenter de lever les inquiétudes occidentales, Téhéran est prêt à modifier les plans du réacteur d'Arak pour y limiter la production du plutonium et à ne pas construire d'usine de retraitement, obligatoire pour purifier le plutonium à un niveau militaire.

 

'Manque de confiance'

 

Ali Akbar Salehi, le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA) a également écarté tout abandon de l'enrichissement d'uranium à 20%. Le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, qui a la haute main sur les négociations nucléaires, a dit qu'il ne fallait pas abandonner le droit de l'enrichissement à 20% car c'est le droit du pays, a-t-il ajouté. M. Salehi a par ailleurs annoncé la mise au point d'un nouveau type de centrifugeuse 15 fois plus puissante que celles de première génération, actuellement en activité.

 

Les prochaines négociations seront difficiles, ont prévenu les responsables iraniens. Le chef de la diplomatie, Mohammad Javad Zarif, a dit espérer que les discussions de Vienne fixent seulement le cadre des futures négociations.

 

La plus grande difficulté vient de l'absence de confiance envers les Etats-Unis, a-t-il expliqué. Washington a récemment étoffé sa liste noire de personnes ou entités soupçonnées de contourner les sanctions contre Téhéran.

 

Pourtant, selon l'analyste basé à Téhéran Mohammad Ali Shabani, les avancées avec l'AIEA peuvent servir les intérêts du 5+1.

 

C'est un bon indicateur du sérieux de l'Iran dans la recherche d'une solution politique et qu'il est prêt à répondre à toutes les questions en suspens de l'agence onusienne, a-t-il dit à l'AFP. L'AIEA veut déterminer si Téhéran a ou non cherché à se doter de la bombe atomique avant 2003, voire après.

 

Soulignant que le dialogue avec l'AIEA est dépendant de celui avec le 5+1, pas l'inverse, M. Shabani a mis en garde contre une exagération de l'importance de l'accord, même si celui-ci permettra au 5+1 de vendre plus facilement les négociations à un auditoire sceptique.

 

La coopération avec l'Agence joue un rôle essentiel dans ces dernières négociations, l'AIEA étant chargée de surveiller les mesures prévues par l'accord de Genève.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 17:30
Téhéran détient une centrifugeuse 15 fois plus puissante

 

 

10.02.2014 Romandie.com (ats)

 

L'Iran a développé un nouveau type de centrifugeuse "15 fois plus puissante" que celle de la première génération en service dans les sites d'enrichissement d'uranium. Elle sera utilisée dans un centre médical, a annoncé le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique (OIEA).

 

"D'ici deux à trois mois, la première machine sera fournie à ce centre" spécialisé dans la production de vaccins, a déclaré Ali Akbar Salehi, cité par le site Internet de la télévision d'Etat.

 

Après la conclusion de l'accord de Genève le 24 novembre, "nous avons révélé l'existence d'une centrifugeuse qui a surpris les Occidentaux mais nous l'avons imposée dans le cadre de nos activités de Recherche et Développement" à Natanz, selon le chef de l'OIEA.

 

"Cette centrifugeuse a une puissance 15 fois plus importante que les centrifugeuses de la première génération", a-t-il précisé. L'Iran possède actuellement plus de 19'000 centrifugeuses, dont près de 10'000 de la première génération (IR-1) en activité, et un millier de la deuxième génération (IR-2m), trois à cinq fois plus puissantes, qui n'ont pas été mises en activité.

 

Dans le cadre de l'accord de Genève avec les puissances du groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni et Allemagne), l'Iran s'est engagé à ne pas augmenter le nombre de ses centrifugeuses sur ses deux sites de Natanz et Fordo.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 16:45
Sangaris : Opération de la Force à Boda

 

08/02/2014 Sources : EMA

 

Le 5 février 2014, un détachement de la force Sangaris s’est déployé dans la ville de Boda à environ 130 kilomètres à l'ouest de Bangui pour assurer la protection de la population.

 

Quelques jours auparavant la force Sangaris avait reçu des informations laissant craindre des exactions. Face au risque qui pesait sur les populations, le général Soriano, commandant la force Sangaris, décide de lancer rapidement une opération vers cette localité.

 

Celle-ci s’est déroulée en deux temps.

 

Le 3 février en fin de journée, un détachement d’une trentaine d’hommes s’engage dans une reconnaissance héliportée pour confirmer les informations et évaluer précisément la situation. Lors de sa prise de contact avec la population, cet élément a pu constater que des exactions avaient effectivement eu lieu dans les jours précédents. Si la situation est apparue plus calme, la persistance de tensions a décidé le COMANFOR Sangaris à renforcer la présence française à Boda.

 

La décision a donc été prise d’engager l’unité la plus proche, un sous-groupement tactique (GTIA, soit une centaine d’hommes) qui conduisait une mission de contrôle de zone dans la ville de  M’Baïki, 85 kilomètres au sud-est de Boda. Pour pouvoir quitter sa position et s’engager vers Boda, Sangaris a demandé à la MISCA de la relever sur M’Baïki. Cette relève sur positions s’est effectuée le 4 février 2014 et dès le lendemain, le GTIA français a entamé sa reconnaissance vers Boda. À son arrivée sur place, le détachement a constaté que la situation était demeurée calme. Au cours de ses missions de reconnaissance en ville, il a procédé à la saisie d’un certain nombre d’armes détenues en violation des mesures de confiance.

 

Le détachement français poursuit depuis le 5 février sa mission de protection des populations.

Sangaris : Opération de la Force à BodaSangaris : Opération de la Force à Boda
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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 16:45
Serval : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de Bamako

 

 

07/02/2014 Sources : EMA

 

L’escouade« carburant » du camp Damien Boiteux est responsable du ravitaillement en carburant de toute la plate-forme opérationnelle de Bamako, ainsi que des convois routiers. Composée d’une dizaine de militaires du 503erégiment du Train (503e RT), elle est sous le commandement du bataillon logistique « Normandie-Provence » de la force Serval.

 

Le service des essences des Armées (SEA) assure la livraison mensuelle de près de50m3 de carburant au profit des détachements stationnés à Bamako. Deux fois par jour, l’escouade carburant se déploie dans l’ensemble du site pour réapprovisionner les groupes électrogènes qui permettent la production d’électricité. Une mission nécessaire pour le bon fonctionnement de l’infirmerie, du mess, ou encore des douches de campagne.

 

Environ2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Serval : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de BamakoServal : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de Bamako
Serval : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de Bamako
Serval : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de BamakoServal : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de BamakoServal : Ravitaillement de la plate-forme opérationnelle de Bamako
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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 16:45
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 6 février

 

 

07/02/2014 Sources : EMA

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 70 sorties, dont environ 25 effectuées par les avions de chasse. Une trentaine de sorties a été dédiée aux missions de transport et une quinzaine aux missions de renseignement et de ravitaillement.

 

Le 28 janvier 2014, les opérations conduites par la force Serval au Nord de Tombouctou ont permis la découverte d’une cache qui abritait un important stock d’armements et de munitions : fusils de type AK47 et Dragunov, cinq corps de missiles SA7 (inaptes au tir), des roquettes, des grenades, des mines anti-char et de nombreuses munitions de petit calibre. Cette action, qui s’inscrit dans le cadre des opérations permanentes de la force Serval au Nord de la boucle du Niger, a porté un coup supplémentaire aux ressources logistiques des groupes armées terroristes (GAT).

 

Depuis le 1erfévrier, les éléments français détachés en appui des unités de l’armée malienne ou de la MINUSMA sont identifiés sous le vocable unique de Détachement de Liaison et d’Appui Opérationnel : DLAO. Au nombre de six, ces DLAO sont composés chacun de 32 soldats. Ils sont répartis entre Tessalit (2) Kidal, Gao, Ansongo et Tombouctou. Les DLAO succèdent aux DLA (Détachement de liaison et d’appui, déployés aux côtés des bataillons de la MINUSMA) et aux DAO (Détachement d’appui opérationnel, déployés auprès des bataillons FAMA formés par EUTM Mali) qui étaient répartis selon une logique organique. Désormais les DLAO répondent à une logique géographique (prise en compte d’une zone donnée) et de projection indifférenciée aux côtés des FAMA ou de la MINUSMA.

 

Dimanche 2 février, un site de lancement de roquettes a été découvert dans la région de GAO, à cinq kilomètres au sud-est de l’emprise. Une équipe EOD de la force Serval est intervenue aux côtés d’une section malienne pour détruire 5 roquettes de 57 mm. Cette opération a été rendue possible grâce aux renseignements donnés par la population.

 

Du 2 au 4 février, une délégation du conseil de sécurité de l’ONU s’est rendue à Bamako pour soutenir le processus de stabilisation en cours. A l’occasion de ce déplacement, la MINUSMA a sollicité l’intervention de la force Serval pour compléter son dispositif de sécurité. Au terme de sa visite, la délégation du CSNU a salué l’action de Serval au Mali.

 

Lundi 3 février, l’amiral Guillaud est arrivé à Gao dans le cadre de sa dernière inspection de théâtre auprès des soldats français engagés dans les opérations extérieures. Mardi 4 février, le CEMA a poursuivi sa visite en se rendant à Bamako. En compagnie de l’ambassadeur de France, il a rencontré le président de la République malienne, Monsieur Ibrahim Boubacar Keita, et le ministre de la défense malienne, Monsieur Soubéye Maïga.

 

Il s’est ensuite rendu au camp Damien Boiteux où il s’est adressé aux troupes françaises présentes à Bamako. Rappelant la fierté qu’il avait éprouvé à les commander, il a salué la qualité de leur engagement dans la lutte contre les groupes armés terroristes. La pression continue exercée sur cet adversaire permet aujourd’hui la reconstruction progressive de l’Etat malien, la reprise de la vie économique et la poursuite de la montée en puissance des FAMA.

 

Le 3 février enfin, 2 roquettes de 107 mm ont été tirées à proximité de la PfOD de GAO. Ce tir n’a causé aucun dégât humain ni matériel.

 

Environ 2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 6 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 6 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 6 février
Serval : point de situation hebdomadaire du jeudi 6 février
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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 16:45
Sangaris: point de situation du 8 février 2014

 

 

08/02/2014 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République de Centrafrique, depuis le 31 janvier jusqu'au 8 février 2014.

 

La force Sangaris a poursuivi au cours des huit derniers jours ses missions à Bangui et en province, afin de rétablir un niveau de sécurité minimal et appuyer la montée en puissance de la MISCA.

 

Tandis que les opérations de contrôle de zone visant à faire appliquer les mesures de confiance par tous se poursuivent, la force a intensifié cette dernière semaine son action en province. Cette évolution a notamment été permise par une baisse du nombre d’exactions et l’amélioration du niveau sécuritaire général dans Bangui, sous l’effet des opérations combinées de la MISCA et de Sangaris.

 

Les 1eret 2 février, plusieurs opérations ciblées de contrôle de zone ont été conduites dans Bangui par la MISCA et Sangaris. Ces actions coordonnées visaient essentiellement les quartiers Ouango, Galabadja, Boeing, Boy Rabe, Miskine, ainsi que le 3e arrondissement. Elles ont permis de désarmer des anti-Balakas, comme que des ex-Sélékas. Elles illustrent la détermination de la force à faire appliquer les mesures de confiance.

 

Du 31 janvier au 4 février, la MISCA a conduit une opération visant à prendre pied dans Sibut, 180 kilomètres au nord de Bangui, pour y installer un détachement en contrôle de zone. Deux compagnies de la MISCA (l’une du Gabonet l’autre du Burundi) ont bénéficié de l’appui d’un sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) français. Conçue, planifiée et conduite par la MISCA, cette opération qui a mobilisé environ 400 hommes a permis d’améliorer la protection des populations. Elle illustre également le degré d’interopérabilité entre la MISCA et Sangaris qui, à cette occasion, était en mesure de garantir un appui aérien à la MISCA (avions de chasse et hélicoptères).

 

Le 5 février, un détachement d’une centaine d’hommes a été engagé en direction de la ville de Boda, où une dégradation de la situation sécuritaire et des exactions avaient été signalées (motivant déjà une reconnaissance héliportée conduite le 3 février). Ce détachement qui était déployé en contrôle de zone à M’Baïki depuis le 28 janvier a été relevé le 4 février par une compagnie de la MISCA. Le lendemain, il a ainsi pu entamer sa mission vers Boda, à 85 kilomètres plus à l’ouest. La reconnaissance de l’axe comme l’entrée dans la ville se sont déroulées sans incident. Ce détachement de Sangaris assure désormais une mission de contrôle de zone dans Boda et ses abords.

 

Les opérations se sont par ailleurs poursuivies dans les villes de Yaloké et de Bossangoa où la situation est restée calme au cours de la semaine. Lors des missions logistiques menées depuis Bangui pour ravitailler les militaires français qui y sont déployés, la force est intervenue pour faire cesser des exactions et démonter des check-points qui avaient été installés. Sangaris garantit ainsi, en complément du dispositif tenu par la MISCA, la liberté de circulation sur l’axe Bangui – Yaloké, artère vitale pour l’économie centrafricaine.

 

Environ 1600 militaires français sont actuellement déployés en République centrafricaine, aux côtés des 6000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris: point de situation du 8 février 2014Sangaris: point de situation du 8 février 2014
Sangaris: point de situation du 8 février 2014
Sangaris: point de situation du 8 février 2014Sangaris: point de situation du 8 février 2014
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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 16:45
photos BA 188 - 5e RIAOM

photos BA 188 - 5e RIAOM

 

 

07/02/2014 Sources : EMA

 

Du 26 au 31 janvier 2014, le général de division Dominique-Marie Pinel, adjoint à l’inspecteur des armées (IDA), a contrôlé les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj).

 

Le général de division Pinel s’est fait présenter l’ensemble des composantes des FFDj afin de mieux apprécier la diversité et la complémentarité du dispositif stationné à Djibouti. Ces présentations ont fait l’objet de rencontres et de déplacements sur le terrain. Elles ont permis de mettre en avant les possibilités qu’offre le territoire en matière de préparation opérationnelle interarmées, et de soutien aux opérations (Atalante)

 

Le général de division Pinel était accompagné de représentants techniques de l’infrastructure de la défense (ITID), d’une délégation du service du commissariat des armées (SCA) et d’un officier traitant de l’état-major des Armées (EMA) en charge de la piraterie.

 

Par ailleurs, plusieurs tables rondes ont été organisées avec les militaires du rang, les officiers, les sous-officiers et les civils de la Défense. Ces rencontres ont permis d’échanger sur la condition du personnel et les réformes en cours. Considérées comme des observateurs privilégiés par les fonctions qu’elles occupent au sein de la force, certaines entités, comme l’aumônerie, l’échelon social, le poste de protection et de sécurité de la défense et la prévôté, ont été reçues en entretien par la délégation. L’inspecteur des armées a également visité différentes composantes de la Force Atalante et a pu apprécier la qualité des relations interalliées à Djibouti.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFD,) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français pré positionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine en attente en Afrique de l’Est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent par ailleurs un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

photos BA 188 - 5e RIAOM
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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 13:55
Adieu à la Marine du chef d'état-major des armées

 

 

10/02/2014 Marine Nationale

 

Le vendredi 7 février 2014, à Brest, l’amiral Edouard Guillaud a fait ses adieux à la Marine nationale.

 

Accompagné par l’amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la Marine (CEMM), il a tout d’abord été accueilli sur la base de l’aéronautique navale de Landivisiau par le vice amiral d’escadre Jean-Pierre Labonne, commandant de la zone maritime Atlantique (CECLANT), le contre-amiral Hervé de Bonnaventure, commandant la force de l’aéronautique navale(ALAVIA) et le vice amiral d’escadre Philippe Coindreau, commandant la force d’action navale (ALFAN).

 

Puis, le CEMA s’est rendu sur le site de l’Ecole navale où le contre amiral Phillippe Hello, commandant de l’Ecole navale (ALENAV) et le contre amiral Olivier Coupry commandant la force maritime des fusiliers marins et commando (ALFUSCO) étaient présents.

 

L’amiral a tout d’abord rencontré des jeunes officiers-élèves et des cadres de l’Ecole navale. Puis une cérémonie militaire avec la présentation du drapeau de l’Ecole navale, a eu lieu en présence de la musique de la flotte sur la place d’armes. Dans la rade du Poulmic, le Mutin, la Grande Hermine et les voiliers de l’Ecole navale manœuvraient à proximité pendant que deux Rafale de l’aéronautique navale survolaient le site.

 

De nombreux militaires de l’Ecole navale, des cours d’officiers, de l’école de Maistrance, de l’école des mousses, du métier du marin, de la gendarmerie maritime, et des forces étaient sur les rangs ainsi que les commandants d’unité et les autorités de l’arrondissement maritime de Brest.

 

L’amiral Guillaud a ensuite été débarqué en canot pour rejoindre la vedette qui devait lui faire traverser la rade jusqu’à Brest, accompagné par une embarcation commando (ETRACO), deux vedettes de gendarmerie maritime, une vedette de la SNSM (société nationale de sauvetage en mer) ainsi que les trois bâtiments école Guépard, Léopard et Tigre.

 

La revue des bâtiments à quai dans la base navale à été ponctuée par les tirs de salut au canon de la frégate La Motte-Piquet, et les saluts aux sifflets. Le CEMA a ensuite rejoint la préfecture maritime où les plus hautes autorités de la marine ont pu le saluer une dernière fois.

 

« Bon vent, bonne mer, Amiral ! »

Adieu à la Marine du chef d'état-major des armées
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8 février 2014 6 08 /02 /février /2014 12:45
FAZSOI : coopération franco-comorienne

 

 

07/02/2014 Sources : EMA

 

Du 28 au 30 janvier 2014, le général de division Jean-François Hogard, commandant supérieur des forces armées dans la zone Sud de l’Océan Indien, s’est rendu en visite officielle en Union des Comores pour échanger sur la coopération opérationnelle franco-comorienne.

 

En 2013, la France, par l’intermédiaire des forces armées dans la zone Sud de l’Océan Indien, a mené 13 actions de formations au profit de 470 militaires comoriens. Centrées sur les domaines des opérations de maintien de la paix (OMP) et de la sécurité maritime, ces formations ont été approfondies en 2014 de façon à accompagner la montée en puissance de la fonction garde côtes, et la mise sur pied d’une compagnie déployable dans le cadre d’une OMP. Ainsi, du 23 au 29 janvier, le Détachement de Légion Étrangère a conduit un premier détachement d’instruction opérationnelle (DIO) consacré au contrôle de foule au profit d’une compagnie d’infanterie comorienne.

 

La coopération franco-comorienne a été au cœur de tous les échanges entre le général de division Hogard et le docteur Ikililou Dhoinine, Président de la République de l’Union des Comores,ainsi qu’avec M. Hamada Madi Bolero, son Directeur de Cabinet en charge de la Défense, des questions de sécurité et de coopération opérationnelle. Cette coopération bilatérale vise à soutenir l’Union des Comores dans la consolidation de son outil de défense en vue, notamment, de renforcer sa capacité à être engagé au sein de la force africaine en attente et d’accompagner la montée en puissance de sa composante garde-côte.

 

Depuis 2010, la France et l’Union des Comores ont renouvelé leur coopération dans le cadre d’un accord de partenariat de défense.Cette démarche s’inscrit dans le cadre de la redynamisation de nos coopérations en Afrique, initiée en 2008.

FAZSOI : coopération franco-comorienneFAZSOI : coopération franco-comorienne
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8 février 2014 6 08 /02 /février /2014 12:30
LIBAN : Visite de l’inspection des armées

 

07/02/2014 Sources : EMA

 

Du 26 au 30 janvier 2014, le général de corps d’armées Patrick Lefebvre, inspecteur des armées, a effectué une visite d’inspection du contingent français de la FINUL au sud Liban.

 

Accueilli par le général Jean-Jacques Toutous, représentant militaire de la France au Liban et chef d’état-major de la Force Intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), le GCA Lefebvre s’est tout d’abord rendu à Naqoura où il s’est entretenu avec le Force commander, le major general Paolo Serra. Après la visite du PC de la FINUL et un survol des principaux points d’intérêt de la zone d’opérations au sud du Litani, il a inspecté les différentes unités de la Force commander Reserve (FCR) stationnées sur le site UNP 6.41 et sur le camp de Jabal Maroun. Après une présentation globale du théâtre et des missions de la FCR, l’inspecteur des armées a pu apprécier le moral et juger des préoccupations des soldats déployés au Liban lors de tables rondes catégorielles.

 

Cette inspection visait à contrôler la mise en œuvre des directives du CEMA par le contingent français de la FINUL, à analyser les conditions d’exercice de sa mission et enfin à réfléchir à l’avenir de la FCR.

 

Placée directement sous les ordres du général commandant la FINUL, la FCR est susceptible d’appuyer les autres contingents, pour éviter toute escalade de la violence. La FCR est le principal moyen de dissuasion, de réaction et de coercition de la FINUL. Robuste, souple et réactive, elle constitue une véritable force au service de la paix au sud du fleuve Litani et dans toute la zone d’opérations.

LIBAN : Visite de l’inspection des armées
LIBAN : Visite de l’inspection des armées
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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 17:55
Discours d’annonce du pacte « Défense cyber 2016 »

 

07/02/2014 M. Jean-Yves Le Drian, Ministre de la Défense

 

Discours d’annonce du pacte « Défense cyber 2016 » à l’école des transmissions, vendredi 7 février 2014

 

– Seul le prononcé fait foi –

 

Mesdames, Messieurs les élus,

Monsieur le délégué,

Messieurs les officiers généraux,

Mesdames, Messieurs les officiers,

Mesdames et Messieurs,

 

Je suis très heureux de vous retrouver ce matin. Les quarante ans de l’école des Transmissions nous avaient réunis une première fois en juin dernier ; la cyberdéfense était déjà à l’ordre du jour. Aujourd’hui, elle l’est plus que jamais.

 

La cyberdéfense est l’une des deux priorités nationales fixées par le livre blanc de 2013. Derrière elle, il y a des menaces dont la gravité est réelle. Quelques chiffres permettent d’en prendre la mesure. Pour m’en tenir au ministère dont j’ai la charge, en 2013, nous avons dû affronter plus de 780 incidents informatiques significatifs, contre 420 en 2012. Si ces chiffres résultent d’une augmentation de notre niveau de vigilance et d’une meilleure surveillance, ils témoignent aussi de la croissance exponentielle de la menace en provenance du cyberespace, sous des formes qui sont de plus en plus variées, de plus en plus complexes et de plus en plus diffuses.

 

C’est une priorité pour le ministère de la défense, car notre efficacité opérationnelle, notre capacité même à conduire des opérations, peut être gravement affectée par la menace cyber. Je pense ici aux systèmes d’armes, aux systèmes de commandement, d’information et de communication qui les relient, mais aussi à tous les systèmes logistiques ou industriels qui les soutiennent.

 

C’est une priorité pour mon ministère, car toute opération militaire comporte désormais un volet cyber plus ou moins développé. Nous l’avons vu dans l’affrontement entre la Géorgie et la Russie en 2008. Nous le voyons dans la place croissante qu’occupe le cyber dans les arsenaux des nations. La réussite de ces opérations dépend donc aussi, de plus en plus, de la prise en compte de ce nouveau champ stratégique.

 

C’est une priorité pour la Défense nationale car, même si des progrès ont été accomplis depuis le livre blanc de 2008, de nombreux efforts restent à fournir, en termes de formation, de recherche, de sensibilisation… C’est tout l’objet de ma présence aujourd’hui, je vais y revenir.

 

Définir ce nouveau domaine stratégique comme une priorité, ce n’est donc pas simplement affirmer une posture. C’est une ambition que nous incarnons à travers des mesures très concrètes, qui doivent profiter au ministère de la défense, mais également à l’ensemble de la communauté nationale de cybersécurité.

 

C’est ensemble que nous allons intensifier l’effort pour relever ce défi stratégique de grande ampleur.

 

A l’occasion du Forum International de la Cybersécurité, qui s’est tenu récemment à Lille, j’ai annoncé la mise en place prochaine d’un pacte sur la cyberdéfense. Je viens aujourd’hui dans ce lieu symbolique pour lancer officiellement ce pacte que j’ai souhaité intituler pacte « défense cyber 2016 ».

 

2016, d’abord, parce que je veux des résultats rapides. Bien sûr, l’effort du ministère de la défense s’étendra au-delà de 2016, et il a vocation à porter des effets pérennes. Mais 2016 est l’année où la loi de programmation militaire arrivera à mi-période, et fera donc l’objet, comme je m’y suis engagé d’un réexamen approfondi. Ce sera le moment opportun pour faire le bilan de l’action menée en matière de cyberdéfense, d’autant que ce domaine est particulièrement évolutif. Notre action s’inscrit dans le temps long, mais nous devrons l’ajuster régulièrement.

 

Ce pacte « défense cyber 2016 » embrasse donc tous les aspects de la cyberdéfense. Il inclut notamment les projets liés au pôle d’excellence cyber en Bretagne. A travers six axes d’effort, il recense toutes les actions à conduire sur la première période de la LPM – c’est-à-dire les années 2014 à 2016.

 

Comme le pacte « défense PME », il est constitué d’un ensemble de mesures très concrètes, cinquante exactement, qui vont être mises en œuvre dans le périmètre du ministère dont j’ai la charge, pour garantir un niveau élevé de cybersécurité, au plan notamment de l’anticipation, de la réactivité et de l’expertise.

 

Mais ce pacte « défense cyber 2016 », c’est aussi une main tendue vers toute la communauté nationale de cyberdéfense. Si nous voulons que la France reste dans le cercle des nations qui comptent dans le cyberespace, le ministère de la défense doit en effet mettre son excellence et ses capacités au service de la posture nationale de cybersécurité. Il doit le faire en bonne intelligence avec l’ANSSI et les autres ministères régaliens, et en premier lieu avec le ministère de l’intérieur, qui a la charge de la lutte contre la cybercriminalité et se trouve particulièrement impliqué dans la gestion des crises sur le territoire national.

 

Ce pacte repose sur une démarche pragmatique, avec toute une série de projets concrets organisés selon six axes d’efforts que je vais vous présenter dans leurs grandes lignes. Ensemble, ils représentent un effort d’un milliard d’euros sur la durée de la loi de programmation militaire.

 

Le premier axe vise à renforcer le niveau de sécurité des systèmes d’information, ainsi que les moyens de défense et d’intervention du ministère et de ses premiers partenaires.

 

Le ministère dont j’ai la charge doit garantir le fonctionnement et la défense des systèmes dont il a la responsabilité, tant sur le territoire national qu’en dehors de nos frontières. Cela passe, concrètement, par le développement et l’utilisation de moyens permettant de maintenir notre autonomie, par exemple des équipements et des logiciels souverains.

 

Nous allons ensuite améliorer notre organisation interne, en renforçant la chaîne opérationnelle de cyberdéfense autour du CALID. Ce centre verra ses effectifs multipliés par 6 d’ici 2019, par rapport à 2011, et nous créerons une entité CALID Bretagne en 2016.

 

Le développement d’un renseignement d’intérêt cyber, en lien avec tous les acteurs du renseignement du ministère, relève également de cet axe. Il contribue en effet à renforcer notre posture de cyberdéfense, en anticipant et évaluant la menace cyber.

 

Pour la première fois, le cadre juridique de la cyberdéfense a été défini par le législateur dans le cadre de la LPM, sur des bases claires et novatrices. Je pense à la définition des pouvoirs réglementaires du Premier ministre. Je pense aux obligations imposées aux opérateurs d’importance vitales. Je pense encore à la capacité à se défendre et à riposter dans le cyberespace.

 

Mon ministère, enfin, doit poursuivre ses efforts pour préciser le cadre juridique de la cyberdéfense spécifique aux armées pour garantir l’efficacité de nos forces. Une dizaine de juristes spécialisés seront ainsi placés au sein de la direction des affaires juridiques et au profit des entités opérationnelles.

 

Concernant le deuxième axe, il vise à préparer l’avenir en intensifiant l’effort de recherche, aux plans technique, académique mais aussi opérationnel, tout en apportant un soutien à notre base industrielle.

 

Ici, nous devons encourager les étudiants et les centres de recherches qui s’investissent dans le domaine de la cyberdéfense, par exemple en soutenant plus de doctorats, que ce soit à travers la DGA ou l’IRSEM. Nous allons ainsi doubler le nombre de thèses consacrées à la cyberdéfense et soutenues par le ministère. La création en 2012 de la chaire de cyberdéfense en partenariat avec les Ecoles de Saint-Cyr Coëtquidan et des entreprises privées, marque la volonté du ministère d’inscrire cet effort sur le long terme. D’autres chaires verront le jour d’ici 2015, notamment à l’Ecole navale à Lanvéoc-Poulmic, et à l’Ecole de l’air.

 

Nous allons par ailleurs tripler le montant des études amont dans ce domaine, car il est indispensable de disposer d’une base industrielle adaptée à nos enjeux de souveraineté. Nous augmenterons d’ailleurs la part de projets dédiés au cyber au sein du dispositif RAPID de soutien aux PME/PMI, sans rogner sur les autres projets, puisque l’ensemble du dispositif augmente lui-même de 25% dès le début de la LPM.

 

Le ministère de la Défense doit enfin contribuer à l’approfondissement d’une pensée stratégique et opérationnelle française en matière de cyberdéfense. Ici, au-delà même des chercheurs que nous soutenons, nous devons accroître les échanges que nous avons avec nos partenaires étrangers, pour confronter nos idées et ainsi faire progresser la réflexion française.

 

Le troisième axe concerne particulièrement l’Ecole des Transmissions, puisqu’il s’agit de la formation.

 

Le domaine cyber, d’un point de vue technique, est extrêmement complexe. Il suppose des personnels toujours à la pointe, sous l’angle technologique et opérationnel. Ces ressources humaines sont rares, et donc fortement demandées. Nous devons en tenir compte. Pour ce faire, nous devons d’abord identifier les profils les plus adaptés aux missions et aux exigences du ministère. C’est un travail délicat qui repose sur de nombreux réseaux professionnels. A ces personnes nous devons proposer des parcours professionnels attractifs. Le ministère offre ici un cadre très appréciable, dans la lutte informatique défensive sur le territoire, sur des théâtres d’opération, jusqu’aux actions offensives les plus élaborées. Ces parcours peuvent – et je dirais même qu’ils doivent – reposer sur des échanges croisés avec les autres ministères, le monde de la recherche académique et l’industrie. Nous avons tout à gagner d’une fertilisation croisée. Enfin, nous devrons former ces personnels en permanence, afin qu’ils demeurent au niveau le plus élevé.

 

Le quatrième axe concerne le développement d’un pôle d’excellence en cyberdéfense, ici même en Bretagne.

 

L’école des Transmissions est déjà un exemple pour ce pôle: école de l’Armée de terre, elle met ses locaux et son expertise au service de la formation de près de 3600 stagiaires par an. Ses stagiaires sont des militaires ou des civils, qui viennent de l’armée de Terre bien sûr, mais aussi de la Marine et de l’Armée de l’air, ainsi que des directions et services du ministère. Ouverte à l’international, l’ETRS forme également 70 stagiaires étrangers venant de pays amis de la France. Elle est par ailleurs particulièrement bien implantée dans son environnement proche, avec d’ores et déjà des liens forts qui l’unissent à d’autres organismes de formation de la région.

 

Ce pôle se structurera autour de trois composantes qui s’appuieront mutuellement : la première, consacrée à la formation, doit fournir une ressource humaine qualifiée pour armer les différents organismes techniques ou opérationnels du ministère ; la deuxième, tournée vers la recherche et le développement, doit garantir la capacité de notre industrie à concevoir et développer les produits et services dont nous avons besoin dans la durée ; la troisième, enfin, sera à vocation opérationnelle, notamment pour les investigations les plus pointues et la projection de capacité de protection ou d’intervention.

 

L’échelon précurseur de ce pôle sera composé des centres d’expertise et écoles du ministère dans la région. Je pense à DGA Maîtrise de l’information, aux Ecoles de saint-Cyr Coëtquidan, à l’Ecole Navale, à l’ENSTA Bretagne, et bien évidemment, à l’Ecole des transmissions. Il s’appuiera également sur les partenariats qui se sont déjà noués avec les établissements d’enseignement supérieur et les laboratoires de la région dans les domaines concourant à la cyberdéfense.

 

Ces partenariats pourront conduire à mettre en commun les expertises, les expériences et les capacités. Je pense en particulier à la plateforme de simulation distribuée que nous sommes en train de déployer.

 

Ces efforts de formation et de recherche devront également profiter au tissu industriel local, les grands groupes comme les PME/PMI, au travers de financement de thèses et de projets.

 

Pour illustrer cet effort de formation, je suis en mesure de vous annoncer qu’ici même, au sein de l’Ecole des Transmissions, en coopération avec les Ecoles de Saint Cyr Coëtquidan, un mastère spécialisé en conduite des opérations et gestion des crises cyber sera mis en place à la rentrée 2015. Ce mastère donnera une compréhension globale des enjeux du cyber : techniques, éthiques, juridiques et opérationnels. Il formera également à la gestion de crises. Il sera d’abord destiné aux cadres militaires des différentes armées qui auront à exercer des responsabilités au sein du ministère. Mais il sera également ouvert à notre personnel civil, puis à celui des autres administrations ou organismes d’intérêt vital, et enfin à certains de nos partenaires étrangers. Ce mastère, qui est sans équivalent, accompagne la consolidation de l’ensemble des autres formations techniques dispensées aux officiers et aux sous-officiers en sécurité des systèmes d’information et en lutte informatique défensive.

 

J’en viens au cinquième axe qui concerne nos relations avec nos partenaires étrangers, que ce soit en Europe, avec l’OTAN ou dans des zones d’intérêt stratégique, notamment au Moyen-Orient ou dans le Pacifique.

 

Pour assurer la cyberdéfense de nos forces et plus largement de notre territoire, nous devons bâtir des coopérations qui nous permetttent d’échanger des informations, et éventuellement de coordonner nos actions dans le cyberespace. Ces efforts de coopération viendront appuyer les actions entreprises par le ministère des affaires étrangères et l’ANSSI.

 

Le sixième et dernier axe de ce pacte défense cyber 2016 est peut-être le plus important, puisqu’il vise à faire émerger une communauté nationale de cyberdéfense.

 

Il résume le pacte. Afin de mettre en œuvre les cinquante mesures proposées, nous devons être en mesure de travailler au sein d’une même communauté, pour nous saisir d’un enjeu qui est global et transverse à la fois. L’émergence d’une communauté nationale de cyberdéfense, qui se fonde sur des relations de confiance, constitue le socle essentiel de toutes nos actions. Cette communauté pourra également s’appuyer sur un cercle de partenaires et sur les réseaux de la réserve cyberdéfense, présents jusque dans les régions. J’en profite pour saluer les actions menées par le réseau cyberdéfense de la réserve citoyenne de Bretagne. Ce réseau, composé de réservistes citoyens, bénévoles du service public, vient apporter son soutien aux acteurs locaux, notamment dans leurs démarches de sensibilisation auprès des entreprises, des collectivités locales et des écoles. Cette démarche est également essentielle.

 

Mesdames et Messieurs,

 

Depuis plusieurs mois, à travers le livre blanc puis la loi de programmation militaire, le ministère de la défense est porteur d’une ambition de premier ordre dans le domaine de la cyberdéfense. Cette ambition se décline aujourd’hui à travers un plan d’un milliard d’euros, qui va contribuer de manière décisive à la préservation de notre autonomie stratégique.

 

Le ministère dont j’ai la charge assume plus que jamais le rôle qui doit être le sien. Il le fait en lien avec tous les autres acteurs de la communauté nationale de cyberdéfense. Au moment d’engager un effort sans précédent dans ce domaine, il réaffirme que c’est collectivement que nous nous montrerons à la hauteur des menaces du cyberespace.

 

Je vous remercie.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 17:45
Sangaris : la force française sécurise l'intervention des forces de la MISCA au Nord de Bangui

7 févr. 2014 Crédit : EMA / armée de Terre

 

Sangaris : la force française sécurise l'intervention des forces de la MISCA dans la ville de Sibut, au Nord de Bangui

 

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 17:35
General Karimi meets Afghan officer cadets at the Royal Military Academy Sandhurst [Picture: Crown copyright]

General Karimi meets Afghan officer cadets at the Royal Military Academy Sandhurst [Picture: Crown copyright]

 

6 February 2014 Ministry of Defence

 

Afghanistan's most senior general has visited the Royal Military Academy Sandhurst, the home of British Army officer training.

 

General Sher Mohammad Karimi, Chief of Staff of the Afghan National Army (ANA), spent Wednesday, 5 February, at the famous military academy as part of a 48-hour trip to the UK before returning to Kabul.

During his visit, General Karimi, himself a graduate of Sandhurst in the 1960s, was introduced to British, Afghan and other overseas officer cadets in training. He met all 7 of the Afghan officer cadets currently at Sandhurst and watched the academy’s senior term put through their paces during a challenging contemporary operating environment exercise. Exercise Broadsword, as it is known, tests cadets on their reaction to an escalating crowd control situation.

General Karimi also had the opportunity to remind himself of the institution’s proud history, as well as its relationship with the new Afghan National Army Officer Academy (ANAOA).

The ANAOA, based in Kabul, will form the UK’s enduring presence in Afghanistan after the current combat mission ends in 2014. It will train up to 1,350 male students and 150 female students every year, turning them into the Afghan army leaders of the future.

The best army Afghanistan has ever had

During his visit, General Karimi paid tribute to the role that UK service personnel have played in Afghanistan over the past 12 years and welcomed the ongoing role they will play in the training of his force’s officer class.

General Karimi said:

I am very pleased to have been able to make this short visit to the United Kingdom, where I have seen and learned much and been able to meet some old friends. I was delighted to visit Sandhurst again; it is always good to go ‘home’. I am confident that the ANA officer academy will deliver the best young officers yet to the ANA; we have a good selection process and many volunteers.

I am keen to retain the support of the commandant and staff of Sandhurst for as long as possible, to ensure the ANA officer academy delivers the same quality young officers. I am very grateful for all the support the United Kingdom has given to this very important endeavour.

I would again like to pass on my sincere condolences to all our international allies for the sacrifices they have made of their men and women in the service of Afghanistan; it is deeply appreciated and we would not be where we are today without your help. In particular, I must also take this opportunity to pay tribute to the sacrifices made by the United Kingdom in Helmand province.

The United Kingdom’s contribution in this most difficult area of my country has been huge and is greatly appreciated. Our own 215 Corps has developed into a capable and effective formation which is now able to deal with the insurgency it faces in its boundaries thanks to the help and guidance of United Kingdom and United States allies who have worked together so well.

We will never forget the contribution the United Kingdom has made to my country. In my 47 years’ service the ANA of today is the best army that Afghanistan has ever had, and the United Kingdom has helped to deliver this army. Thank you.

General Karimi meets Afghan officer cadets
General Karimi meets Afghan officer cadets at the Royal Military Academy Sandhurst [Picture: Crown copyright]

The Royal Military Academy Sandhurst Commandant, Major General Stuart Skeates, said:

We were delighted to welcome General Karimi to Sandhurst to show him some of the work that goes on here and once again demonstrate the bond of friendship between the Royal Military Academy Sandhurst and the Afghan National Army.

We are proud that the training we offer at Sandhurst is providing the inspiration for the preparation of the next generation of Afghan officers, who will continue to protect the security of their own country.

During his time in the UK, General Karimi also attended and delivered a presentation at the International Armoured Vehicles Conference in Farnborough, along with Defence Minister Philip Dunne.

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