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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 17:35
General Karimi meets Afghan officer cadets at the Royal Military Academy Sandhurst [Picture: Crown copyright]

General Karimi meets Afghan officer cadets at the Royal Military Academy Sandhurst [Picture: Crown copyright]

 

6 February 2014 Ministry of Defence

 

Afghanistan's most senior general has visited the Royal Military Academy Sandhurst, the home of British Army officer training.

 

General Sher Mohammad Karimi, Chief of Staff of the Afghan National Army (ANA), spent Wednesday, 5 February, at the famous military academy as part of a 48-hour trip to the UK before returning to Kabul.

During his visit, General Karimi, himself a graduate of Sandhurst in the 1960s, was introduced to British, Afghan and other overseas officer cadets in training. He met all 7 of the Afghan officer cadets currently at Sandhurst and watched the academy’s senior term put through their paces during a challenging contemporary operating environment exercise. Exercise Broadsword, as it is known, tests cadets on their reaction to an escalating crowd control situation.

General Karimi also had the opportunity to remind himself of the institution’s proud history, as well as its relationship with the new Afghan National Army Officer Academy (ANAOA).

The ANAOA, based in Kabul, will form the UK’s enduring presence in Afghanistan after the current combat mission ends in 2014. It will train up to 1,350 male students and 150 female students every year, turning them into the Afghan army leaders of the future.

The best army Afghanistan has ever had

During his visit, General Karimi paid tribute to the role that UK service personnel have played in Afghanistan over the past 12 years and welcomed the ongoing role they will play in the training of his force’s officer class.

General Karimi said:

I am very pleased to have been able to make this short visit to the United Kingdom, where I have seen and learned much and been able to meet some old friends. I was delighted to visit Sandhurst again; it is always good to go ‘home’. I am confident that the ANA officer academy will deliver the best young officers yet to the ANA; we have a good selection process and many volunteers.

I am keen to retain the support of the commandant and staff of Sandhurst for as long as possible, to ensure the ANA officer academy delivers the same quality young officers. I am very grateful for all the support the United Kingdom has given to this very important endeavour.

I would again like to pass on my sincere condolences to all our international allies for the sacrifices they have made of their men and women in the service of Afghanistan; it is deeply appreciated and we would not be where we are today without your help. In particular, I must also take this opportunity to pay tribute to the sacrifices made by the United Kingdom in Helmand province.

The United Kingdom’s contribution in this most difficult area of my country has been huge and is greatly appreciated. Our own 215 Corps has developed into a capable and effective formation which is now able to deal with the insurgency it faces in its boundaries thanks to the help and guidance of United Kingdom and United States allies who have worked together so well.

We will never forget the contribution the United Kingdom has made to my country. In my 47 years’ service the ANA of today is the best army that Afghanistan has ever had, and the United Kingdom has helped to deliver this army. Thank you.

General Karimi meets Afghan officer cadets
General Karimi meets Afghan officer cadets at the Royal Military Academy Sandhurst [Picture: Crown copyright]

The Royal Military Academy Sandhurst Commandant, Major General Stuart Skeates, said:

We were delighted to welcome General Karimi to Sandhurst to show him some of the work that goes on here and once again demonstrate the bond of friendship between the Royal Military Academy Sandhurst and the Afghan National Army.

We are proud that the training we offer at Sandhurst is providing the inspiration for the preparation of the next generation of Afghan officers, who will continue to protect the security of their own country.

During his time in the UK, General Karimi also attended and delivered a presentation at the International Armoured Vehicles Conference in Farnborough, along with Defence Minister Philip Dunne.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 17:35
Nexter dévoile son Caesar pour l’Inde

Le canon Caesar monté sur un châssis indien d’Ashok Leyland (crédits: Nexter)

 

7 février, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Durant le salon indien de Defexpo, Nexter a dévoilé son imposant canon Caesar pour la première fois sur un châssis indien. Suite à l’accord de partenariat signé durant la précédente édition du salon Defexpo (relire l’article de FOB ici) entre Nexter et Larsen & Toubro, Nexter présente pour la première fois son canon de 155 mm Caesar monté sur un châssis de camion militaire indien d’Ashok Leyland. Outre le fait que Nexter en impliquant fortement l’industrie indienne remplit son quota de Transfert de Technologie (ToT), le Caesar sur châssis Super Stallion est aussi mieux adapté aux besoins indiens.

 

Nul besoin d’être aérotransportable, comme le Caesar français, le châssis est donc plus lourd (25 tonnes contre 18 pour le châssis RTD) et permet une capacité d’emport supérieure (notamment pour embarquer d’avantage de munitions) ainsi que des améliorations ultérieures. A noter également que la cabine n’est pas sur-blindée mais pourrait l’être. Le système d’artillerie (« la partie haute ») est exactement le même que le système français, offrant la même précision, allonge (portée de 42 km pour des obus conventionnels) et rapidité d’action (6 tirs/ minute). Le châssis, avec une bonne mobilité, offre une vitesse maximale supérieure à 80 km/h sur route, plus de 30 km/h en tout-terrain, une autonomie de 600 km ainsi qu’un rayon de braquage de 20 mètres.

 

Pour l’appel d’offre indien, Larsen & Toubro est le chef de file. Rappelons que le besoin indien pour le Mounted Gun System (MGS) est de 800 pièces d’artillerie sur camion. Le Request for Information (RfI) a été émis en juin. La procédure en cours est donc encore « papier » et les essais pourraient débuter prochainement. Larsen & Toubro est donc le prime contractor avec Nexter pour la partie artillerie et Ashok Leyland pour le châssis, L&T réalisant certains équipements de la partie haute. Le Caesar indien est prévu pour être assemblé localement.

 

Le TGS (Tracted Gun System)

 

Nexter est également en compétition pour fournir à l’armée indienne son canon tracté Trajan de 155 mm/52 cal (relire l’article de FOB ici). Toujours avec son partenaire indien L&T, qui réalise la partie basse. Les essais « temps été » ont été réalisé dans le Rajasthan en juillet et aout dernier tandis que ceux « hiver » ont été terminé en décembre dans l’Himalaya. Cette campagne d’essais devraient s’achever cet été. L’appel d’offre indien concerne 1580 pièces d’artillerie. Nexter propose que les 400 premiers soient réalisés en France et le reste en Inde, sous licence à l’arsenal d’Etat OFB (Ordnance Factory Booard).

 

Rénovation des M-46

 

Nexter est aussi en lice pour proposer la modernisation des 300 pièces d’artillerie indiens de 130 mm M-46., L’objectif est de les porter au calibre 155 mm/46 cal. Le RfP (Request for Proposal) vient d’être émis. Là aussi, le français s’appuit sur son partenaire L&T.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 17:20
FAA : Coopération avec la République de Trinidad et Tobago

 

07/02/2014 Sources : EMA

 

Du 21 au 24 janvier 2014, à Fort-de-France, l’état-major interministériel de la zone Antilles a accueilli l’ambassadeur de la République de Trinidad et Tobago, son Excellence Jacques Sturm, ainsi qu’une délégation de hauts responsables du pays, dans le cadre d’une coopération régionale en matière de sécurité et de gestion de crise.

 

Les représentants trinidadiens ont assisté à une démonstration de l’équipe Neutralisation Enlèvement et Destruction d’Explosifs (NEDEX) des forces armées aux Antilles. Cette simulation, qui s’est déroulée sur le pôle aéronautique étatique du Lamentin, mettait en scène une intervention après la découverte d’un engin explosif improvisé (EEI) par un chien de la Police de l’air des frontières.

 

La délégation s’est ensuite rendue sur le site de la base navale de Fort-de-France pour découvrir la composante marine des forces armées aux Antilles. A travers la visite des ateliers de maintenance et du bassin de radoub, elle a pu évaluer les capacités de soutien logistique et portuaire de la base navale.

 

Pour finir, les autorités trinidadiennes ont été reçues par le contre-amiral Georges Bosselut, commandant supérieur des forces armées aux Antilles. Au cours d’un déjeuner de travail, auquel participait également l’attaché de défense non résident pour la République de Trinidad et Tobago, le directeur adjoint de l’EMIZA et le responsable du bureau opérations du DTA-33, plusieurs thématiques ont été abordées. Par exemple, la gestion des secours en cas de catastrophe naturelle pour laquelle la coopération international, à laquelle les FAA contribuent activement, est un facteur clé d’efficacité opérationnelle. Le séjour s’est conclu par une visite du régiment de service militaire adapté à la Martinique.

 

Dans le cadre de leurs missions, les FAA mènent des actions de coopération régionale et entretiennent des relations privilégiées avec l’ensemble des nations présentent dans la zone maritime Antilles. Elles constituent, avec les forces armées en Guyane (FAG), les forces de souveraineté française sur le « théâtre »Antilles-Guyane. Dans une logique de complémentarité et de mutualisation, les FAA mettent ainsi en œuvre un dispositif interarmées à dominante maritime, tandis que les FAG constituent un dispositif interarmées à dominante aéroterrestre.

FAA : Coopération avec la République de Trinidad et TobagoFAA : Coopération avec la République de Trinidad et TobagoFAA : Coopération avec la République de Trinidad et Tobago
FAA : Coopération avec la République de Trinidad et Tobago
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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 17:15
Présentation du Pacte Défense Cyber

07/02/2014 Ministère de la Défense

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a présenté vendredi 7 février 2014 le Pacte Défense Cyber à l'occasion d'une visite à l'école des transmissions et d'un site du groupe Orange, à Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine). Elevée au rang de priorité dans le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale de 2013 et dans la Loi de programmation militaire 2014-2019, la cyberdéfense constitue un enjeu stratégique majeur pour la sécurité de notre pays.

 

Le Pacte Défense cyber a été présenté à Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine) le 7 février par le ministre de la Défense. Il implique à la fois des mesures visant à accroître la mobilisation de l’ensemble du ministère de la Défense en matière de cybersécurité, ainsi que des actions destinées à soutenir les initiatives innovantes - émanant aussi bien du secteur public que privé : collectivités locales, grands groupes, PME/PMI, opérateurs de formation - et élaborées sur le modèle du Pacte Défense PME.

 

Six axes et cinquante mesures constituent ce pacte :

 
  • Axe 1 : durcir le niveau de sécurité des systèmes d’information et les moyens de défense et d’intervention du ministère et de ses grands partenaires de confiance.
  • Axe 2 : préparer l’avenir en intensifiant l’effort de recherche tant technique et académique qu’opérationnel, tout en soutenant la base industrielle.
  • Axe 3 : renforcer les ressources humaines dédiées à la cyberdéfense et construire les parcours professionnels associés.
  • Axe 4 : développer le Pôle d’excellence en cyberdéfense en Bretagne au profit du ministère de la défense et de la communauté nationale de cyberdéfense.
  • Axe 5 : cultiver un réseau de partenaires étrangers, tant en Europe qu’au sein de l’Alliance Atlantique et dans les zones d’intérêt stratégique. 15
  • Axe 6 : favoriser l’émergence d’une communauté nationale défense de cyberdéfense en s’appuyant sur un cercle de partenaires et les réseaux de la réserve .

 

Conformément aux orientations du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale, la Loi de programmation militaire prévoit une multiplication par trois des moyens alloués à la cyberdéfense. Les effectifs augmenteront aussi, avec la création de 550 postes dont 200 postes d’ingénieur à la DGA, entre 2014 et 2019. Il en sera de même pour les budgets consacrés aux programmes d’études menés par la DGA, en coopération avec l’État-major des armées et l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (ANSSI).

 

En outre, un pôle spécialisé chargé de répondre aux besoins du ministère et d’autres institutions en formation sera en développé en Bretagne, où se situent déjà le centre de la Direction générale de l’armement (DGA) Maîtrise de l’information, l’école des transmissions de Rennes, les Écoles de Saint-Cyr Coëtquidan, l’École navale de Brest et l’École nationale supérieure de techniques avancées-Bretagne. « Ce pôle d’excellence mobilisera des compétences, ainsi qu’une expertise opérationnelle et technique de pointe. Il constituera ainsi un atout non seulement pour la supériorité opérationnelle de nos forces, mais aussi pour le dynamisme et le développement économique de notre industrie et, au-delà, pour toute la communauté nationale de cyberdéfense », a déclaré Jean-Yves Le Drian.

 

>>> Télécharger le Pacte Défense Cyber

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 16:55
La maquette JVN est un formidable outil pédagogique

La maquette JVN est un formidable outil pédagogique

 

 

07/02/2014 Armée de l'air-  Economie et technologie

 

Le 28 janvier 2014, le général Richard Reboul, commandant le centre d’expériences aériennes militaires (CEAM), et le colonel Emmanuel Vialle, commandant la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan, ont inauguré la salle JVN (jumelles de vision nocturne).

 

Fruit d’une innovation et d’un travail d’équipe, la salle abrite une maquette d’une surface d’environ 10 m2 dédiée à  la formation théorique aux JVN.

 

Le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air a pu se rendre compte lui-même de la portée du projet. En compagnie du capitaine Élie-Rodolphe El-Khourge, initiateur du projet, le CEMAA a exprimé sa surprise face au réalisme de la maquette. Il a pu assister à une démonstration type de celle qu’auront les futurs stagiaires dans le cadre de leur formation théorique JVN. Satisfait de ce projet, il a terminé sa visite en déclarant : «Je suis toujours aussi fier de constater les excellentes compétences du personnel de l’armée de l’air.»

 

« Ambitieux », « réaliste », « opérationnel » : les qualificatifs ne manquent pas pour décrire le projet mais les plus importants d’entre tous sont « économique » et « innovant ». Le caractère innovant et l’excellence de ce projet lui ont permis d’être sélectionné par la mission d’innovation participative du ministère de la Défense dans le cadre du prix de l’audace 2014. Il a été retenu en tant que finaliste dans la catégorie « armée de l’air », et le résultat final est attendu le 28 mai prochain.

Inauguration de la salle JVN

Inauguration de la salle JVN

Vision sur le terrain de nuit à travers des JVN

Vision sur le terrain de nuit à travers des JVN

Vision de la maquette depuis les JVN

Vision de la maquette depuis les JVN

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 16:50
Le satellite franco-italien Athena-Fidus est en orbite

 

07/02/2014 DGA

 

Le satellite franco-italien de télécommunications civilo-militaire à très haut débit Athena-Fidus (Access on theatres for European allied forces nations - French Italian dual use satellite) a été lancé avec succès le 6 février 2014 depuis le « port spatial » de Kourou (Guyane).

 

Athena-Fidus a été mis en orbite par une fusée Ariane 5 à 23H03, heure de Paris. Cette réussite consolide la coopération franco-italienne dans le domaine spatial et contribue à renforcer les capacités opérationnelles européennes. Le satellite apporte de nouvelles capacités de télécommunications par satellite à très haut débit pour faire face à l'accroissement des besoins de défense et de sécurité en France et en Italie dans ce domaine. Ce satellite est complémentaire du système Syracuse 3 dont le remplacement à terme est prévu par le programme COMSAT NG. Fonctionnant en bandes Ka et EHF, Athena-Fidus prépare les satellites de demain.

 

Athena-Fidus est cofinancé par la France et l'Italie à hauteur de 140 M€ chacune. Il s'appuie pour la part française sur un partenariat entre la Direction générale de l'armement (DGA) et le Centre national d'études spatiales (CNES), et côté italien, entre le Secrétariat général pour la Défense italienne (Segredifesa) et l'Agence spatiale italienne (ASI). Le maître d'ouvrage du système est Thales Alenia Space.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 16:45
EUTM : Entraînement au combat en localité pour le bataillon Balanzan

 

07/02/2014 Sources : EMA

 

Le 24 janvier 2014, à Koulikoro, les militaires français de la mission EUTM Mali ont achevé un stage de formation au combat en localité au profit des militaires du bataillon Balanza (GTIA 4 malien).

 

Cette formation avait pour objectif de mettre les soldats maliens en situation de combat dans un environnement où civils, militaires et ennemis peuvent être « imbriqués ».

 

Les stagiaires ont appris les techniques et les procédures spécifiques aux engagements dans ce milieu (progression, ouverture d’angles, inspection d’une pièce, etc.). Pour l’occasion, les instructeurs se sont appuyés sur des situations les plus réalistes possibles (rues larges ou étroites, enfilades de maisons, ouvertures de tous types, espaces exigües, etc.). Tous les scénarios ont été élaborés en tenant compte des « individus » ou des situations que les militaires pourraient côtoyer lors de leur déploiement : forces amies et ennemies, civils, ONG (organisation non gouvernementale), journalistes, personnel médical, etc.

 

L’expérience  des formateurs français dans ce type de situation et les infrastructures dont dispose EUTM concourent à dispenser une formation complète par des mises en situations réalistes.

 

Le bataillon « Balanza » est le quatrième bataillon de l’armée maliènne à être formé par les militaires européens d’EUTM Mali. Les bataillons Sigui et Elou sont actuellement déployés à Tessalit et Kidal en sécurisation de ces zones. Le bataillon Waraba est quant à lui en phase de régénération après un déploiement de plusieurs mois au Nord de la boucle du Niger.

 

Commandée par le général français Bruno Guibert, la Mission européenne d’entraînement au Mali regroupe 550 militaires européens de 23 nationalités différentes, dont 110 français.

 

EUTM Mali repose sur deux piliers. Une mission de formation des unités combattantes des forces armées maliennes sur le camp d’entraînement de Koulikoro et une mission d’expertise et de conseil assurée par le détachement de la liaison et d’expertise (ALTF), destiné à appuyer la réorganisation de l’armée malienne.

EUTM : Entraînement au combat en localité pour le bataillon BalanzanEUTM : Entraînement au combat en localité pour le bataillon Balanzan
EUTM : Entraînement au combat en localité pour le bataillon BalanzanEUTM : Entraînement au combat en localité pour le bataillon BalanzanEUTM : Entraînement au combat en localité pour le bataillon Balanzan
EUTM : Entraînement au combat en localité pour le bataillon BalanzanEUTM : Entraînement au combat en localité pour le bataillon Balanzan
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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 15:55
Un milliard d’euros, le coût du programme de cyberdéfense

Le nombre d'attaques traitées par le Centre d'analyse de lutte informatique défensive a atteint près de 800 en 2013

 

07/02/2014 latribune.fr 

 

Le programme de cyberdéfense mise avant tout sur une sensibilisation du personnel, premier rempart contre les cyberattaques selon le ministère de la Défense. D'importants investissements sont également prévus dans l'achat d'équipements.

 

Un milliard d'euros, c'est le coût annoncé du grand pacte de cyberdéfense, présenté vendredi à Rennes par le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Censé permettre à la France de rattraper son retard dans le domaine, il est de plus en plus nécessaire alors que les attaques informatiques se sont multipliées ces dernières années.

Le Livre blanc sur les grandes orientations sécuritaires du gouvernement pour les prochaines années avait donné le ton en avril 2013. Pour la première fois, il a été reconnu que la France devait disposer sur son territoire d'une «capacité» de solutions informatiques défensives et offensives.

 

Le nombre d'attaques a doublé en un an

En France, le nombre d'attaques traitées par le Centre d'analyse de lutte informatique défensive, le Calid, est passé de 196 en 2011, 420 en 2012 et près de 800 en 2013. 

"Aujourd'hui ces attaques on les contient, elles n'ont pas d'effet particulièrement destructeur parce qu'on est organisé pour les maîtriser", assure-t-on au ministère. 

"L'objectif du pacte, c'est que dans le temps, face à des attaques de plus en plus sophistiquées, on reste à la pointe et on ait des équipements de plus en plus performants."

Parmi le milliard d'euros consacré à la cyberdéfense, plus de 400 millions d'euros porteront sur l'industrie via des équipements de lutte contre les cyberattaques : téléphones sécurisés, équipements de type pare-feux, chiffreurs, renforcement de l'emploi de la cryptographie des échanges, détection et surveillance des réseaux.

 

Sensibilisation du personnel 

Une partie des fonds sera également attribuée à la formation du personnel du ministère de la Défense, qui sera formé aux règles de bases à respecter sur Internet.

"Le premier rempart, c'est le comportement du personnel du ministère de la défense", souligne le contre-amiral Arnaud Coustillière, officier général en charge de la cyberdéfense à l'état-major.

"On peut mettre tous les systèmes que l'on veut, si les gens n'ont pas les bons réflexes, cela ne sert à rien."

Le ministère mise sur une multiplication par six des effectifs du Calid, qui emploie actuellement 20 personnes et espère en recruter une centaine.

"L'important aujourd'hui c'est de protéger des entreprises vitales à l'activité de l'état, les opérateurs, les administrations, les banques, c'est de véhiculer les bonnes pratiques", confirme Jean-François Beuze, président de la société de conseil informatique Sifaris et spécialiste des questions de cybersécurité.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 13:55
Cybersécurité : Thales regroupe ses forces

 

07/02 Par Alain Ruello

 

Thales rassemble deux entités pour constituer un ensemble cohérent de 500 millions d'euros de chiffre d'affaires.

 

Le cyber est à l'honneur. Avec quelques heures d'avance sur la présentation par Jean-Yves Le Drian des détails de son pacte « défense cyber », Thales a annoncé hier une réorganisation importante de ses activités de cybersécurité. Pour la grande muette comme pour l'industriel, le constat est le même : avec la multiplication des terminaux, l'interconnexion des réseaux informatiques, le très haut débit et l'éclosion du « big data », la menace explose, et, avec elle, la nécessité de se protéger.

 

« Le marché est en forte croissance », confirme Marc Darmon, directeur général adjoint en charge des systèmes d'information et de communication sécurisés de Thales, sur le site flambant neuf de Gennevilliers, près de Paris. Même si le périmètre de ces activités est très large, donc difficile à appréhender, les dépenses en matière de cyber-sécurité se comptent en dizaines de milliards d'euros, et tutoient les 10 % de croissance chaque année. Thales, comme tous ses pairs historiques du monde de la défense, y voit un débouché naturel. Le thème de la sécurité contre les intrusions informatiques est omniprésent au sein du groupe, assurait récemment son PDG, Jean-Bernard Lévy (« Les Echos » du 20 décembre).

 

Fusion interne

 

Pour mieux peser face à ses concurrents, comme BAE ou General Dynamics, deux « business lines » vont être fusionnées, sous la responsabilité de Laurent Maury : celle qui conçoit des réseaux sécurisés, et celle en charge de commercialiser des technologies ou des prestations de sécurité. Avec 5.000 personnes, dont 1.500 experts, l'ensemble pèse 500 millions d'euros de chiffre d'affaires, auxquels il faut ajouter plus de 250 millions vendus pour les autres entités du groupe.

 

Adoptant un discours marketing que ne renierait pas une grande SSII, Thales revendique une « complétude » de son offre « cyber » quasi unique : de l'audit aux téléphones sécurisés en passant par la gestion de crise. « Nous avons des concurrents présents sur tel ou tel segment de marché. Mais très peu sont capables de maîtriser l'ensemble », estime Marc Darmon. Principal défi pour la nouvelle entité : accroître son implantation internationale en dehors de ses quatre grands pays, France, Royaume-Uni, Norvège et Etats-Unis, complète Laurent Maury.

 

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 13:45
Sangaris : actions du détachement logistique sur l’axe Bangui - Yaloké

 

07/02/2014 Sources : EMA

 

Le 5 février 2014, le détachement logistique de la force Sangaris a réalisé une mission de ravitaillement entre Bangui et Yaloké pour soutenir le sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) déployé sur place.

 

Au cours de ce trajet de près de 250 kilomètres, le détachement est intervenu à plusieurs reprises au profit de la population.

 

A son arrivée dans le village de Bakere, le 5 février en fin de matinée, le chef de convoi a constaté que plusieurs familles de musulmans regroupées dans une habitation du village étaient menacées par un groupe armé. Le détachement est donc immédiatement intervenu pour désarmer ce groupe en application des mesures de confiance. Les soldats français ont ensuite escorté les familles jusqu’à la ville de Yaloké où elles devaient se rendre.

 

Aux approches du village de Bossemptélé, le convoi est une nouvelle fois intervenu au profit d’une femme blessée et qui demandait assistance. Après avoir soigné cette personne, le convoi a poursuivi sa mission et est arrivé à Yaloké sans incident.

 

Après avoir participé à la sécurisation d’une portion de l’axe principal reliant Bangui au Cameroun, le détachement a pu ravitailler les forces françaises stationnées à Yaloké. Le détachement de la force Sangaris présent sur place protège la population en appui de la MISCA.

Sangaris : actions du détachement logistique sur l’axe Bangui - YalokéSangaris : actions du détachement logistique sur l’axe Bangui - Yaloké
Sangaris : actions du détachement logistique sur l’axe Bangui - Yaloké
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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 13:45
Le Niger appelle Paris et Washington à intervenir en Libye

 

6 février 2014  par France 24

 

Le ministre nigérien de l’Intérieur, Massoudou Hassoumi, a appelé sur RFI la France et les États-Unis à intervenir militairement sans le sud de la Libye, considéré comme le nouveau bastion des djihadistes chassés du Mali.

 

Pour les Occidentaux et certains pays africains, le sud libyen est indéniablement devenu le nouveau repaire des djihadistes du Sahel. Et ce, depuis que l’intervention française les a chassés du Nord-Mali. Cette situation inquiète particulièrement le Niger voisin, et Niamey estime désormais qu’une intervention militaire s’impose. "Il faut intervenir militairement en Libye, plus précisément dans le sud du pays", a déclaré sans ambages le ministre nigérien de l’Intérieur, Massoudou Hassoumi, mercredi 5 février, sur les ondes de RFI. Et de poursuivre : "Il est tout à fait légitime que la France et les États-Unis interviennent pour éradiquer la menace terroriste", et ce, afin d’y assurer "le service après-vente de l’intervention contre Kadhafi".

Depuis la chute du régime du colonel Kadhafi en octobre 2011, après huit mois d’un soulèvement armé appuyé par des frappes aériennes menées par une force multinationale, Tripoli ne parvient toujours pas à rétablir la sécurité dans un pays en proie à l’anarchie et aux violences meurtrières.

 

"Un incubateur des groupes terroristes"

Une situation qui, selon le ministre nigérien, a fait du "sud de la Libye, un incubateur des groupes terroristes". Des termes qui ne sont pas sans rappeler ceux du directeur du renseignement américain (DNI), James Clapper, qui avait déclaré fin janvier, que l’Afrique subsaharienne était devenue un "incubateur" pour les groupes extrémistes. Il a estimé que la porosité des frontières libyennes et les "quantités massives d’armes en circulation déstabilisent davantage le pays, le Maghreb et la région sahélienne".

"Les gouvernements de la région du Sahel - particulièrement le Tchad, le Niger, le Mali et la Mauritanie - courent le risque d’attaques terroristes, essentiellement en représailles à la suite de leur soutien à l’intervention militaire française au Mali en janvier 2013", a-t-il ajouté.

 

Niamey, plateforme logistique pour lutter contre les djihadistes

Si Niamey a essuyé ces derniers mois plusieurs attaques de groupes armés, le nord du pays a également été visé. Des bâtiments d’Areva, présent depuis 40 ans au Niger, ont été pris pour cible. L’appel du ministre nigérien à Paris n’est donc pas anodin.

La France, qui a entrepris de réorganiser son dispositif militaire au Sahel, est très présente au Niger. Les deux drones Reaper acquis récemment aux États-Unis sont notamment déployés dans l’ancienne colonie française. Niamey est censée à terme servir de plateforme logistique et de pôle de renseignement dans le cadre de la lutte contre les groupes djihadistes.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 13:00
L'armée française est l'une des rares au monde à pouvoir être engagée sur plusieurs théâtres à la fois.

L'armée française est l'une des rares au monde à pouvoir être engagée sur plusieurs théâtres à la fois.

 

07/02/2014 Par L'Express

 

Avec des matériels pour la plupart anciens, la défense écope tout de même d'un huit sur dix d'après l'étude de l'Institut Montaigne sur la dépense publique.

 

Avec 1,54 % du PIB consacré à la défense (hors pensions), la France dépense plus pour ses armées que la plupart des pays européens. Cependant, cette part ne cesse de baisser, bien loin des 2% recommandés par l'Otan. En maintenant un budget annuel de l'ordre de 31,4 milliards d'euros (une somme qui sera toutefois diminuée du montant de l'inflation) dans la loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019, Paris s'efforce de tenir son rang.

 

Jusqu'à quand ? Avec moins de militaires et des contrats opérationnels revus à la baisse, l'armée française risque le déclassement si la LPM n'est pas respectée.

 

Le coût: 31,4 milliards d'euros

Les principaux postes

Equipements: 16,48 milliards.

Salaires, hors opérations extérieures (opex): 10,98 milliards. 

Fonctionnement: 3,48 milliards. 

Opex: 0,45 milliard.

 

La note de L'Express: 8/10

 

L'armée française est l'une des rares au monde à pouvoir être engagée sur plusieurs théâtres à la fois. Elle possède aussi une capacité d'"entrer en premier", c'est-à-dire d'ouvrir seule un front, comme au Mali. Plus de 8000 militaires français sont déployés, principalement en Afrique. Ces dernières années, les opérations se sont multipliées (Afghanistan, Libye, Mali, Centrafrique...). 

 

Mais ces conflits ont remis en lumière des insuffisances, notamment en matière de disponibilité des matériels, pour la plupart très anciens, et de capacités : drones, avions ravitailleurs et de transport tactique. La LPM ne comblera que partiellement ce retard.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 12:55
Sagem modernise l’optronique des frégates de lutte anti-aérienne de la Marine nationale

 

New Delhi, salon Defexpo India, le 7 février 2014 Safran

 

La Direction générale de l’armement (DGA) vient de notifier à Sagem (Safran) la modernisation des systèmes optroniques des quatre frégates de lutte anti-aérienne classes Horizon et Cassard de la Marine nationale. Au titre de ce programme, les bâtiments seront dotés du système EOMS-NG (Electro-Optical Multifunction System - Nouvelle Génération).

 

Développé et produit par Sagem, l’EOMS-NG est un système optronique à haute performance de troisième génération qui assure les fonctions de veille infrarouge panoramique, de reconnaissance, d’identification et de poursuite. De jour comme de nuit, EOMS-NG opère en haute mer, comme en zone littorale, contre tout type de menaces (surface, aérienne, missiles), conventionnelles comme asymétriques. Les systèmes EOMS-NG seront exploités sur des consoles Sagem dans le central opérations et en passerelle de défense à vue.

 

Ce programme prévoit le maintien en condition opérationnelle sur trois ans des systèmes livrés, des équipements de rechange et un outil de simulation pour la formation des opérateurs au Centre d’Instruction Naval de Saint-Mandrier.

 

Les EOMS-NG seront produits par l’établissement de Sagem de Dijon pour une livraison entre l’été 2014 et fin 2015, chacune des quatre frégates recevant un système.

 

Sagem affiche plus de 40 ans d’expérience dans les systèmes optroniques pour bâtiments de surface et sous-marins. L’EOMS-NG équipe les frégates classe Floréal, l’OPV Adroit de DCNS et les corvettes Baynunah des Emirats arabes unis. Version de veille infrarouge de l’EOMS-NG, VAMPIR-NG équipe les frégates ANZAC (Australie et Nouvelle Zélande), les porte-aéronefs et destroyers antiaériens AWD de l’Australie.

****

 

Sagem, société de haute technologie du groupe Safran, est un leader mondial de solutions et de services en optronique, avionique, électronique et logiciels critiques, pour les marchés civils et de défense. N°1 européen et n°3 mondial des systèmes de navigation inertielle pour les applications aéronautiques, marines et terrestres, Sagem est également n°1 mondial des commandes de vol pour hélicoptères et n°1 européen des systèmes optroniques et des systèmes de drones tactiques. Présents sur tous les continents via le réseau international du groupe Safran, Sagem et ses filiales emploient 7 500 personnes en Europe, en Asie du Sud-est et Amérique du Nord. Sagem est le nom commercial de la société Sagem Défense Sécurité.

Pour plus d’informations : www.sagem.com

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 12:50
photo EMA

photo EMA

 

06.02.2014, LeParisien.fr (AFP)

 

La France a mis fin jeudi aux activités opérationnelles de son contingent déployé dans le cadre de la force de l'Otan au Kosovo et rapatriera progressivement ses 320 soldats encore sur place au cours du premier semestre 2014, a indiqué l'état-major des armées.

 

L'armée française est engagée depuis 1999 dans la Kfor, la Force de maintien de paix de l'Otan au Kosovo, au sein de laquelle elle a compté jusqu'à 6.000 hommes sur un total de 50.000 au début de l'opération. Les Français étaient déployés en particulier en zone nord, la partie la plus sensible du territoire.

 

Après le départ des soldats français, quelques officiers devraient rester au Kosovo dans le cadre de l'état-major de la force internationale, a précisé le colonel Gilles Jaron. Le porte-parole de l'état-major a souligné le temps nécessaire pour régler un conflit de ce type : «Le Kosovo, c'est 15 ans pour mettre un terme à une crise».

 

La France engagée sur plusieurs fronts

 

Paris est engagé depuis un peu plus d'un an dans une opération militaire au Mali et depuis deux mois en Centrafrique. Deux interventions qui suscitent régulièrement des inquiétudes en France sur la durée de ce type d'opérations et le risque d'enlisement des forces françaises.

 

La Kfor compte encore environ 5.000 hommes. Le retrait français intervient alors qu'un débat s'est engagé sur le bien-fondé du maintien au Kosovo d'une force aussi importante. La Kfor a été déployée à partir de juin 1999, sur mandat du Conseil de sécurité de l'ONU, à l'issue du violent conflit qui a opposé les autorités serbes aux séparatistes albanais et de l'épuration ethnique qui a suivi.

 

Le retrait français du Kosovo s'inscrit dans le désengagement plus large des forces françaises «des opérations extérieures à dimension militaire faible». Paris entend en effet se concentrer désormais sur «deux zones d'intérêt prioritaire», le Golfe arabo-persique et la bande saharo-sahélienne.

 

«Nous allons nous désengager du Kosovo, dans la mesure où les conditions sécuritaires et politiques de ce pays ne rendent plus nécessaire une capacité de réaction rapide», avait expliqué le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, le 16 janvier devant la Commission des finances de l'Assemblée nationale.

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7 février 2014 5 07 /02 /février /2014 12:50

by European Defence Agency

 

Annual Conference 2014
EDA Annual Conference 2014

On 27 March 2014, the EDA Annual Conference “European Defence Matters” will  again gather around 400 high-level speakers and participants. Frontline actors of defence cooperation as well as leaders from the military, politics and industry will engage in highly interactive panel debates and keynote speeches with plenty of opportunities for the audience to contribute to the discussion. 

More information

 

Dave Harding_EDA Video
New EDA Video

Do not miss our new corporate video, explaining the role and mission of the European Defence Agency. Learn more about some key projects and how the Agency cooperates with Member States. 

Watch now

 

Conference
Materiel Standardisation Conference 2014

The development of defence standards reduces costs and contributes to the interoperability of Member States’ military forces. 

For the preparation of a roadmap for the development of defence standards as mandated by the European Council in December 2013, EDA is organising a Materiel Standardisation Conference on 12 March 2014. 

More information on how to register is available here.

 

Council Conclusions Implementation: Way Forward
Council Conclusions Implementation: Way Forward

 

The European Council of December 2013 has provided clear taskings for the European Defence Agency. Their implementation in the areas of capability development, support to industry and enhanced defence cooperation will be the Agency’s top priority for 2014.  Capability developmentThe endorsement of four proposed capability programme...

 

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First EDA Supported Dual-Use Project Receives European Structural Funds
 

The Portuguese authority managing European Structural Funds has recently confirmed First EDA Supported Dual-Use Project Receives European Structural Fundsthe acceptance of the “TURTLE” project, financing around 60% of the total project budget. TURTLE is the first of seven dual-use research initiatives supported by the European Defence Agency to access European Structural Funds (ESF).

 

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EDA Multinational Exercises in 2014
 

Multinational training exercises increase interoperability among participating Member States; they are an efficient way to prepare armed forces for CSDP operations. This EDA Multinational Exercises in 2014year, the European Defence Agency is organising in close cooperation with the respective host nations, contributing Member States and Air Transport Organisations four training e...

 

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Progress for European Satellite Communication Procurement Cell (ESCPC)
 

Since the signature of a framework contract between EDA and Astrium Services in September 2012, Progress for European Satellite Communication Procurement Cell (ESCPC)ESCPC, the Agency’s initiative for the pooled procurement of commercial satellite communication services, has proven its operational and financial value by delivering concrete support to Member States. In 2013 the ESCPC scheme facilitated orders...

 

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 21:55
Le général Denis Mercier à bord du Mirage F1 du "Savoie"

Le général Denis Mercier à bord du Mirage F1 du "Savoie"

 

06/02/2014 Actus Air

 

Le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), a réalisé un vol en Mirage F1 sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan, le mardi 4 février 2014.

 

Clin d’œil symbolique, le Mirage F1 CR de l’escadron de reconnaissance 2/33 « Savoie » arborait les cinq étoiles, le nom et l’alias du CEMAA.

 

Après avoir été breveté pilote de chasse en 1983, le général Mercier a débuté sa carrière opérationnelle sur Mirage F1.

Le général Mercier avant son départ en vol

Le général Mercier avant son départ en vol

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 21:55
La DGA commande 250 camions militaires de transport logistique

 

06/02/2014 DGA

 

La Direction générale de l’armement (DGA) a commandé, le 24 janvier 2014, 250 camions militaires de transport logistique au groupement constitué par les sociétés Iveco (groupe Fiat) et Soframe (groupe Lohr).

 

Cette série fait partie du programme « porteurs polyvalents terrestres » (PPT), lancé fin 2010, qui vise à doter l’armée de Terre d’une flotte de véhicules logistiques modernes. Les livraisons de cette tranche débuteront en 2016. Prévue dans la loi de programmation militaire 2014-2019, cette commande illustre l’effort de renouvellement des capacités logistiques de l’armée de terre.

 

La gamme PPT comprend deux modèles : un transport de fret (porteur polyvalent logistique - PPLOG), et un véhicule dépanneur (porteur polyvalent lourd de dépannage - PPLD). Leur châssis, identique, possède 4 essieux toutes roues motrices (8x8) leur permettant de rouler sur toutes les routes et dans toutes les conditions climatiques (routes montagneuses enneigées par exemple). Le transport de fret est doté d’un système de chargement autonome, pour le transport de conteneurs et de plateaux. Sa charge utile peut aller jusqu’à 19 tonnes. Le dépanneur est équipé d’une grue de levage.

 

Les cabines des PPT bénéficient d’un standard de confort élevé et sont pré-équipées pour recevoir des moyens militaires modernes de communication et de commandement. Les 200 véhicules commandés en 2010 (150 PPLOG et 50 PPLD) disposent d’une cabine blindée, équipée de protections balistiques et anti-mines.  Les 250 nouveau PPT commandés sont des PPLOG non blindés. Interchangeables, les cabines blindées et non blindées peuvent être installées sur tous les châssis, en fonction du niveau de menaces.

 

Les premiers exemplaires de PPT, entrés en service en juillet 2013, ont été aussitôt utilisés au Mali dans le cadre de l’opération Serval. Ils donnent pleine satisfaction à leurs utilisateurs du fait de leur capacité d’emport élevée, leur mobilité apportée par la transmission intégrale et le confort de leur cabine dans des conditions pourtant difficiles.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 21:55
Un pod de désignation laser de nouvelle génération (PDL NG) sous un Rafale

Un pod de désignation laser de nouvelle génération (PDL NG) sous un Rafale

 

06/02/2014 Economie et technologie

 

La direction générale de l'armement (DGA) a notifié le 30 décembre 2013 pour un montant de 119 M€ les travaux de développement du pod de désignation laser de nouvelle génération (PDL NG) dont la qualification est attendue mi-2018 en cohérence avec celle du nouveau standard F3-R du Rafale.

 

Développé par Thales Optronique, ce nouvel équipement vise à disposer des moyens adaptés pour la recherche et l’identification de cibles de petite taille et permettant des frappes air-sol de grande précision.

 

Ce programme, prévu au titre de la Loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019, permet de soutenir la filière optronique française. La LPM prévoit la commande de 20 PDL NG dont 16 seront livrés en 2018-2019.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 21:50
Signature de 3 accords franco-britanniques dans le domaine de l’Armement


06/02/2014 Ministère de la Défense

 

Le 3e Sommet Franco-Britannique depuis le traité de Lancaster House de 2010 s’est tenu le 31 janvier 2014 sur la base aérienne de Brize Norton, base principale de l'aviation de transport britannique. Le choix de ce lieu démontre l’importance du domaine de la défense pour la relation franco-britannique, domaine dans lequel les deux nations sont capables d’avancer de concert, notamment sur les questions d’Armement.

 

Depuis 2010, la DGA et son homologue britannique, DE&S, ont lancé de nombreux travaux préparatoires couvrant des domaines capacitaires variés avec, notamment, l’ambition de faire émerger une base industrielle plus efficace, fondée sur des dépendances mutuelles à même de générer des économies sur la livraison des futurs équipements des forces armées françaises et britanniques. Ce Sommet, grâce à la forte mobilisation des équipes concernées, a permis d’officialiser les premiers résultats concrets de ces travaux. Le Ministre de la Défense, Jean-Yves le Drian, était accompagné du Délégué général pour l’armement.

En présence du Président de la République, François Hollande, et du Premier ministre britannique, David Cameron, les Ministres de la Défense, Jean-Yves Le Drian et Philip Hammond ont signé une déclaration d’intention relative au lancement de la phase de faisabilité du système de combat aérien du futur (SCAF/FCAS). Cette déclaration est l’aboutissement d’un intense travail entre la DGA et DE&S. Elle a une portée historique et façonnera l’avenir de l’industrie aéronautique de combat française et britannique. Un accord est visé pour le salon de Farnborough en juillet prochain.

Les deux ministres de la Défense ont également procédé à la signature d’un accord pour le programme de missiles Anti-Navire Léger (ANL) et d’un arrangement cadre pour l’étude de définition détaillée d’un démonstrateur de drone maritime MMCM de lutte contre les mines marines en marge de leur réunion bilatérale consacrée aux sujets de Défense.

Plus généralement, les travaux dans le domaine de l’armement se poursuivent sous le pilotage du High Level Working Group, présidé par la Délégué général pour l’armement, Laurent Collet-Billon, et le Secrétaire d’Etat aux équipements de défense, Philip Dunne.

Les trois accords en question permettent de poursuivre les travaux dans le cadre des projets suivants :

 

- Phase de faisabilité du système de combat aérien du futur (SCAF/FCAS)

La France et le Royaume-Uni ont déclaré l’intention de lancer une étude de faisabilité du système de combat aérien du futur (SCAF/FCAS ) à hauteur de 120M£ (145M€) qui durera 2 ans. Les travaux porteront sur les architectures des systèmes, les technologies-clés et la définition des moyens de simulation d’un drone de combat. Cette étude de faisabilité permettra également de préciser les budgets nécessaires au lancement en 2016 du développement et de la réalisation du démonstrateur de drone de combat. Des études complémentaires nationales seront lancées par chaque pays.

Cette décision fait suite aux réflexions menées dans le domaine par les deux pays depuis la signature du traité de Lancaster House le 2 novembre 2010. Elle intervient à l’issue d’une phase préparatoire qui a impliqué six industriels : Dassault-Aviation et BAE Systems comme chefs de file du projet, Thales et Selex ES pour l’électronique embarquée et les senseurs, ainsi que Safran et Rolls-Royce pour la motorisation.

Dans le cadre de cette coopération, la France prévoit de mettre à profit l’expérience acquise dans le domaine des drones de combat au travers du démonstrateur technologique NEURON, dont Dassault-Aviation assure la maîtrise d’œuvre.

L’accord définitif est prévu pour Juillet 2014 (salon de Farnborough) et précèdera la signature des contrats afférents.

 

- Développement et production du missile Anti navire léger (ANL).

Initié dans le cadre du traité de Lancaster House du 2 novembre 2010, le programme de missile ANL/FASGW(H) apportera aux hélicoptères une capacité permettant de détruire les patrouilleurs et vedettes rapides, dans des situations de crise ou pour faire face aux actes de piraterie, de narcotrafic et de terrorisme en mer.

Le système disposera de la capacité « tire et oublie ». Mais il sera également doté de la capacité « homme dans la boucle » permettant de choisir un point précis sur la cible et de limiter les dommages collatéraux.

Le programme ANL contribue à la consolidation de l’industrie missilière franco-britannique avec l’industriel MBDA mais aussi et l’ensemble de sa chaîne de sous-traitance. Cela se traduit par la mise en place des premiers centres d’excellences (regroupement d’expertise en un centre unique entre MBDA FR et MBDA UK), constituant une première étape vers la dépendance mutuelle.

 

- Développement d’un prototype de système de drones de surface et sous-marins destinés à détecter et neutraliser les mines navales sur les fonds marins (MMCM, Maritime Mine Counter Measure).

La première étape en sera une étude de définition détaillée du démonstrateur de drone maritime MMCM qui durera deux ans. Une équipe de programme franco-britannique opère depuis début 2012 au sein de l’Organisation conjointe de coopération en matière d’armement (OCCAR). Elle est chargée par les deux nations de notifier le contrat correspondant avant la fin de l’année 2014.

Le projet MMCM est une composante du programme français « Système de Lutte Anti-Mines navales Futur (SLAMF) », qui vise à renouveler la capacité de lutte contre les mines navales. SLAMF s'appuie sur des drones de surface et sous-marins déployés à partir d’un bâtiment porteur. Il est conduit par la DGA selon une approche par étapes successives pour minimiser les risques dans un domaine très novateur. Un démonstrateur de drone de surface porteur de drones sous-marins, baptisé « Sterenn Du », a déjà permis de démontrer la validité du concept de SLAMF.

Au-delà des objectifs opérationnels liés à la lutte contre les mines navales (sécurité des sous-marins lanceurs d’engins et du porte-avions, protection de l’accès aux ports, soutien au déploiement d’une force d’action navale), l’enjeu de MMCM et de SLAMF est également industriel, en permettant le maintien des compétences françaises en matière de détection sous-marine et de robotique.

La décision de passer à la phase de réalisation du prototype sera prise à l’issue de cette étude de définition, à l’horizon 2016.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 21:45
La maintenance à SERVAL : un défi permanent !

Le sous groupement maintenance adapté au théâtre (SGMAT) du BATLOG Normandie-Provence réalise la réparation d'un VAB. Crédit : Armée de Terre

 

06/02/2014 CNE Eloïse ROSSI - Armée de Terre

 

Unité élémentaire du bataillon logistique Normandie-Provence dont le corps pilote est le 2ème régiment du matériel, le sous groupement maintenance adapté au théâtre (SGMAT) réalise des prouesses quotidiennes pour soutenir les opérations de la force SERVAL.

 

La mission SGMAT est de remettre en condition opérationnelle les véhicules en panne du GTIA Korrigan et du bataillon logistique afin de garantir la mise à disposition du plus grand nombre de véhicules possible.

 

Au cours d’une opération d’envergure récente, le SGMAT a armé au nord de Tombouctou un point de regroupement des matériels à réparer pour redonner du potentiel à la force déployée. Récemment encore au nord-est de Kidal, le SGMAT a renforcé les troupes françaises insérées avec les armées maliennes et nigériennes afin de leur garantir une plus large liberté d’actions. Pour le désengagement de Kidal, un détachement de 12 mécaniciens a été acheminé par voie aérienne sur pour réparer 7 véhicules afin de permettre à toute la compagnie motorisée de rentrer par la route. Toujours en action, quand ils ne sont pas à la caisse à outil, ils tendent les câbles pour mettre en place des manœuvres de force pour sortir les véhicules ensablés ou enlisés.

 

Totalement intégré dans la manœuvre tactique, le SGMAT évolue dans une atmosphère et un terrain abrasifs avec des variations importantes de température. Les fortes élongations soumettent les équipements et les hommes à très rude épreuve.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 17:55
Le contre-amiral Arnaud Coustillière, patron de la cyberdéfense française

Le contre-amiral Arnaud Coustillière, patron de la cyberdéfense française

 

 

31/01/2014 Guerric Poncet Le Web en lignes - Le Point.fr

 

Paris assume depuis peu ses "armes informatiques offensives". Rencontre avec le contre-amiral Coustillière, officier général "cyber" au ministère de la Défense.

 

Depuis 2008, le gouvernement français a lancé un programme d'armement informatique, afin de mieux répondre aux menaces "cyber", de plus en plus pressantes. Si les livres blancs de la Défense de 2008 et de 2013 annoncent bien - au futur - la création d'armes offensives, l'État avait du mal à évoquer ces sujets. Mais au Forum international de la cybersécurité, qui s'est tenu les 21 et 22 janvier 2014 à Lille, nous avons pu interroger le contre-amiral Arnaud Coustillière. Il est l'officier général responsable de la cyberdéfense au ministère de la Défense, un poste créé en 2011.

 

Quel est son rôle ? Quelles sont les armes informatiques françaises ? Peut-on imaginer une dissuasion cyber sur le modèle de l'arme nucléaire ? Rencontre, en deux parties avec "le" monsieur cyberguerre en France.

 

Les confidences du patron de la cyberguerre en France (1ère partie)

 

 

Les confidences du patron de la cyberguerre en France (2ème partie)

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 17:50
EDA And ESA Sign DeSIRE II Project Arrangement
 

Brussels - 06 February, 2014 European Defence Agency

 

Through their 2011 Administrative Arrangement and active policy and programmatic coordination, the European Defence Agency (EDA) and European Space Agency (ESA), have today agreed to pursue their cooperation in the domain of Remotely Piloted Aircraft Systems (RPAS) with the signature of the DeSIRE II Project Arrangement.

This cooperation is the result of the successful DeSIRE I project carried out in 2012 and 2013, through which EDA and ESA demonstrated the use of satellites enabling the insertion of RPAS in Europe. This project effectively demonstrated that RPAS complemented by satellites can be safely inserted in non-segregated airspace and thus fulfil user needs in maritime surveillance services.

Following respective approval processes, EDA’s Chief Executive Claude-France Arnould and Magali Vaissiere, ESA Director of Telecommunications and Integrated Applications, have today concluded the signature of the next step of this cooperation. DeSIRE II will demonstrate that services, such as environment and maritime surveillance applications, can be rendered with RPAS flying beyond radio line of sight through the use of safe and secure satellite-based command and control data links. 

This demonstration project will also seek to illustrate the benefits of the integration of space assets, such as communication satellites, navigation satellites and Earth observation satellites, with terrestrial infrastructure for enabling new services. It will further tackle the implementation of an initial set of elements for air traffic management and related safety issues in order to support the evolution of air traffic insertion regulations and standards.

DeSIRE II is expected to be a bridging phase towards more cooperation between ESA and EDA on RPAS applications and capability developments.

 

More information

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 17:50
Taranis in flight

Picture: Chris Ryding, BAE Systems

 

It has been revealed that the Taranis unmanned combat air vehicle surpassed all expectations during its first flight trials. The most advanced aircraft ever built by British engineers made its maiden flight at an undisclosed test range on Saturday 10 August 2013 and, under the control of a human operator, is capable of undertaking sustained surveillance, marking targets, gathering intelligence, deterring adversaries and carrying out strikes in hostile territory. Click here to read more.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 17:35
Aero SDV présente ses nouvelles solutions Aerospace au prochain salon aéronautique de Singapour

 

 

6 février 2014 supplychainmagazine.fr

 

SDV participera au « Singapore Air Show 2014 », le plus grand événement d'Asie consacré à l'Aéronautique et à l'Espace, qui se déroulera la semaine prochaine au centre d'exposition de Changi du 11 au 16 février 2014 (stand F18). La société française, filiale du groupe Bolloré y présentera sa palette de services dédiée aux acteurs de l'Aéronautique et de la Défense (constructeurs d'avions et d'hélicoptères, compagnies aériennes et autres opérateurs, motoristes, équipementiers et MRO). Clients et fournisseurs auront l'occasion de rencontrer ses responsables des zones Asie-Pacifique, Asie du Sud, Amériques, Europe et Moyen-Orient. Ceux-ci animent plus de 800 spécialistes du secteur qui opèrent, le plus souvent, sur les plates-formes situées au carrefour des principales routes aériennes comme Sydney, Singapour, Shanghai, Londres, Paris, Dubaï, Los Angeles et New-York

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 13:35
Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

 

06/02/2014 Le Point.fr

 

New Delhi a signifié qu'il ne signerait pas d'accord final d'achat du fleuron de l'aviation française fabriqué par Dassault avant les élections.

 

L'Inde ne signera pas d'accord d'achat de l'avion de combat français Rafale, fabriqué par Dassault, avant les élections prévues d'ici à mai en raison de contraintes budgétaires, a déclaré jeudi le ministre de la Défense, A. K. Antony. "En raison du manque de fonds, il ne faut pas attendre d'accord ou de décision finale lors de cet exercice" budgétaire, qui s'achève fin mars, a dit le ministre lors d'une conférence de presse.

 

"J'espère que les choses pourront se matérialiser l'année prochaine", a-t-il ajouté, en référence au prochain exercice budgétaire. Au 1er février, l'Inde avait déjà dépensé 92 % de son budget d'équipement militaire, a précisé le ministre. Les élections législatives doivent se tenir d'ici à mai et le Parti du Congrès, qui conduit la coalition gouvernementale, est en difficulté, selon les sondages. L'Inde a choisi d'entrer en négociations exclusives avec Dassault en janvier 2012 pour l'achat de 126 avions de combat, soit un montant estimé à 12 milliards de dollars. Mais des reports successifs n'ont pas permis de conclure le contrat sous la législature en cours. Le patron de Dassault, Éric Trappier, a déclaré en janvier espérer finaliser le contrat d'ici à fin 2014.

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