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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:55
Le CEMM au stage pour futurs commandants

 

05/02/2014 Sources : Marine nationale

 

Le mardi 4 février 2014, l’amiral Bernard Rogel, Chef d’état-major de la Marine, est intervenu dans le cadre de la première session de l’année 2014 du stage pour futurs commandants d’élément de force maritime. Après avoir évoqué le contexte déduit du Livre blanc et de la Loi de programmation militaire, le CEMM a prodigué aux stagiaires un certain nombre de conseils dans la perspective de leur temps de commandement : « être commandant est le plus beau métier du monde. Comme je le dis souvent, être marin c’est ne jamais renoncer, être pugnace, être enthousiaste. J’attends de vous, futurs commandants, rigueur, intelligence et enthousiasme dans l’exercice de cette fonction, dans la manière de commander les marins de votre équipage et dans la conduite de l’action en tous temps et en tous lieux ».

 

Organisé à Toulon au sein de l’état-major de la force d’action navale,  par délégation de l’état-major de la Marine, ce stage s’adresse aux futurs commandants d’unités appartenant à toutes les entités organiques de la Marine: porte-avions, frégates, patrouilleurs, sous-marins, flottille d’avions ou d’hélicoptères, base de l’aéronautique navale, unité de commandos marine, etc. Planifié en deux sessions par an (janvier et juin), le stage se déroule sur trois semaines articulées autour de cinq grands thèmes: préparer l’équipage, intervenir et combattre en mer, maîtriser les risques, communiquer, s’approprier et maintenir le patrimoine.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:55
photo Thierry Mamberti Safran

photo Thierry Mamberti Safran

 

 

04.02.2014 Safran

 

Safran a annoncé au mois de janvier la création d’un centre de Recherche & Technologie sur le plateau de Saclay en région parisienne. Christian Picollet, adjoint au directeur Recherche & Technologie Groupe, revient sur le rôle et les objectifs de ce futur site qui sera opérationnel dès novembre 2014.

 

Quels sont les objectifs de ce nouveau centre ?

 

La stratégie de Safran est fondée sur l’innovation et la différenciation par la technologie. Avec la création de ce centre, Safran se dote d’un dispositif central de recherche, en amont, au service du Groupe et de ses sociétés, dont l’objectif sera de détecter et de faire émerger de nouvelles technologies. Le centre fournira à leurs équipes R&T les résultats de ses travaux menés sur les « grands systèmes Safran ». Cet apport représentera un complément essentiel aux travaux de recherche spécifiques que mènent les sociétés sur leurs technologies, produits et services.

 

Comment le centre sera-t-il structuré ?

 

Le centre sera structuré autour de trois axes principaux : les systèmes avancés aéronautiques (énergétique et propulsion, systèmes électriques et électroniques), le numérique (technologies du signal et de l’information, modélisation et simulation) et les matériaux, procédés et capteurs (laboratoire d’expertise, matériaux et procédés, technologies et applications des capteurs).

 

L’axe « systèmes avancés aéronautiques » a pour objectif de comprendre et d’anticiper les besoins technologiques des équipements que nous développerons pour nos clients.

 

L’axe « numérique » dotera le Groupe d’outils permettant la modélisation, la conception de systèmes globaux et le traitement des informations (big data) de nos produits.

 

L’axe « matériaux, procédés et capteurs » a pour but d’amplifier les travaux de développement des matériaux et procédés destinés aux prochaines générations de nos équipements. En outre, le centre sera doté d’un laboratoire dédié aux nouvelles technologies pour les capteurs, aujourd’hui essentielles au développement de fonctions avancées.

 

Qu’est-ce qui a motivé le choix de sa localisation sur le plateau de Saclay ?

 

Paris-Saclay va devenir un pôle de premier plan mondial en France en termes de recherche et d’enseignement supérieur. En s’y installant, Safran bénéficiera d’une proximité géographique avec de nombreux laboratoires en sciences fondamentales et en sciences de l’ingénierie. Le centre viendra par ailleurs renforcer la présence d’industriels déjà implantés comme EDF, Air Liquide ou Thales...

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:55
La Revue de la Gendarmerie Nationale se dématérialise

06/02/2014 Sirpa gendarmerie

 

À compter du numéro 249 (1er trimestre 2014), la Revue de la gendarmerie nationale ne sera plus publiée en version papier. Elle sera exclusivement téléchargeable.

 

Seul le dernier numéro de l'année consacré à la cybersécurité (support du Fic) fera l'objet d'une publication sur les deux supports, papier et électronique.

 

Petit rappel fort utile : depuis le numéro 241, l'ensemble des revues sont consultables sur le site Internet de la gendarmerie à cette adresse : http://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/fre/Sites/Gendarmerie/Multimedia/Publications/La-revue

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:55
Calid photo DICoD

Calid photo DICoD

 

29/01/2014 par Guerric Poncet Le Web en lignes - Le Point.fr

 

Paris assume enfin ses capacités offensives dans un domaine que l'on n'ose plus appeler virtuel. La cyberguerre est prête, et la France serait "bien placée".

 

Le Forum international de la cybersécurité (FIC) de Lille les 21 et 22 janvier a été l'occasion d'un petit duel entre Manuel Valls et Jean-Yves Le Drian, mais il a surtout illustré la nouvelle posture de la France en matière de cyberguerre. En effet, pour la première fois, les officiers et porte-parole officiels ont ouvertement assumé l'existence d'armes informatiques opérationnelles au sein de l'appareil militaire français. "Nous sommes opérationnels, et nous avons fait de gros progrès", nous confie Guillaume Poupard, ingénieur en chef de l'armement et responsable du pôle sécurité des systèmes d'information à la Direction générale de l'armement (DGA). "Le livre blanc de la Défense de 2008 a posé des bases de travail, vous imaginez bien que les choses ont bougé depuis six ans !" ironise-t-il. Ce document prévoyait en effet le développement de nouvelles capacités cyber.

"L'État assume ce choix", nous confirme le contre-amiral Arnaud Coustillière, officier général responsable de la cyberdéfense au ministère de la Défense. En opération, "si nous pouvons obtenir l'effet souhaité avec une arme informatique, c'est mieux", avance-t-il en évoquant la possibilité de "neutraliser des radars avec l'arme informatique plutôt qu'avec un missile". "Tout cela est parfaitement compatible avec le droit des conflits armés, avec le droit d'intervention humanitaire, et nous avons eu des discussions avec le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) : ils ne sont pas choqués par ces choix", précise le marin.

 

Pour riposter, il faut identifier l'agresseur

Mais tout n'est pas simple dans le domaine cyber, nouveau pour les forces armées autant que pour le reste de l'humanité. "Le plus compliqué dans le cyber, ce n'est pas de faire un exploit technique, c'est de le faire à l'endroit voulu, à l'instant voulu, avec le résultat voulu, et de garantir l'effet au décisionnaire : le politique", explique le contre-amiral Coustillière. Car en cas de cyberguerre, c'est évidemment le politique qui conserve le pouvoir de décision. Mais pour qu'il puisse l'exercer, encore faut-il pouvoir identifier l'agresseur, qui se cache souvent par de multiples pirouettes via des relais informatiques dans le monde entier. "Aujourd'hui, nous pouvons dire au politique qui est à l'origine d'une attaque, mais nous ne pouvons pas le prouver", explique Guillaume Poupard. Une différence très subtile, qui peut poser problème : "Cela suffit pour déclencher une décision politique, mais cela ne suffit pas pour justifier une riposte aux yeux de la communauté internationale", explique-t-il encore.

Les fabricants des armes informatiques françaises sont toutefois très discrets. "Je ne peux pas vous dire où les armements cyber sont développés : nous n'avons aujourd'hui aucun intérêt à le dire", se défend Guillaume Poupard. Et pour avoir une idée du nombre de personnes impliquées dans le secteur, il faudra repasser : "Je peux simplement vous dire que tout dépend du ministère de la Défense dans ce domaine", glisse-t-il. "La France est bien placée dans l'échiquier, elle est dans les cinq ou six meilleurs mondiaux", nous glisse un expert privé. Comprendre : nous sommes juste derrière le trio de tête (États-Unis, Russie et Chine), la Grande-Bretagne et peut-être Israël. Si c'est vrai, nous avons assurément fait de gros progrès.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:50
L'armée [belge] recherche dix spécialistes en cyberdéfense

 

5/02/14 7sur7.be (Belga)

 

Le Service général du renseignement et de la sécurité (SGRS) de l'armée a imaginé de mettre sur pied un "jeu" pour recruter - en interne à la Défense - les dix spécialistes en matière de cyberdéfense dont le Premier ministre Elio Di Rupo a annoncé mardi l'engagement, a indiqué mercredi le ministère sur son site internet.

 

La Défense souhaite renforcer sa capacité dans ce domaine en étoffant ses effectifs d'une dizaine de personnes. Le SGRS (alias département d'état-major renseignement et sécurité, ou Acos IS) a élaboré un test pour "identifier" et "attirer" les candidats potentiels, civils ou militaires déjà en service.

 

Ce test est baptisé "Capture the flag". Pour y participer, les membres du personnel de la Défense doivent s'inscrire sur un site. Après s'être connectés, ils reçoivent des questions présentées en huit catégories concernant la sécurité de réseaux informatiques (ou Cyber Defence).

 

"Nous sommes certains que des dizaines de personnes vont sortir du lot", explique le chef "Cyber Defence" du SGRS, le lieutenant-colonel Miguel De Bruycker, cité sur le site web du département. "Nous connaissons les informaticiens de la Défense. Ils occupent généralement déjà des fonctions clés. Grâce à cet exercice, nous recherchons d'éventuels nouveaux candidats", ajoute-t-il.

 

"Capture the flag" n'est pas un test de connaissance, mais mesure surtout le "potentiel" du participant matière de défense cybernétique.  "Capture the flag" prendra fin le 3 avril prochain à 12h00. Les candidatures internes seront clôturées deux semaines plus tard.

 

M. Di Rupo a annoncé mardi à la Chambre la mise sur pied d'un centre belge de cybersécurité (CCB), qui dépendra directement de ses services et qui bénéficiera d'une partie des dix millions d'euros libérés par le gouvernement. Cinquante personnes seront bientôt engagées dans les différents services chargés de cette politique (police, Sûreté de l'Etat, SGRS, etc.).

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:25
Entraînement franco-brésilien au large de Toulon pour la frégate Courbet

 

05/02/2014 Sources : Marine nationale

 

Le Courbet, actuellement en stage de Mise en Condition Opérationnelle, a profité de la présence de la frégate Uniao en Méditerranée pour organiser une journée commune d’entraînement.

 

Le bâtiment carioca, en escale à Toulon ces derniers jours, est sur la route du Brésil après une longue mission au large du Liban. Parti en juin 2013 de Rio de Janeiro, il rejoindra son port base en mars prochain.

 

Des marins brésiliens ont pu embarquer sur la frégate française, et des marins français ont embarqué sur la frégate brésilienne, le temps d’une journée, pour une découverte croisée des deux bords.

 

Après un exercice de lutte contre aéronefs, les deux frégates ont procédé à des évolutions tactiques. Les bâtiments se sont quittés en fin d’après-midi, laissant le Courbet poursuivre sa préparation opérationnelle.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:20
Le Canada sort sa nouvelle stratégie d’approvisionnement en matière de défense

 

5 février 2014 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

Le Canada vient de dévoiler ce mercredi sa nouvelle Stratégie d’approvisionnement en matière de défense (SAMD) au Economic Club of Canada. C’est la ministre de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada Diane Finlay, et le ministre de la Défense nationale, Rob Nicholson, qui en ont fait l’annonce.

 

Dans cette stratégie, le gouvernement Harper met l’accent sur la façon de «tirer profit de l’approvisionnement en matière de défense pour créer des emplois et assurer la croissance économique».

«Le gouvernement Harper est résolu à faire en sorte que nos militaires aient l’équipement nécessaire plus rapidement, de façon économique, tout en offrant la meilleure valeur pour les contribuables.  Dorénavant, nous tirerons profit de nos investissements en vue de créer des emplois bien rémunérés et hautement spécialisés ici au Canada», a déclaré Diane Finlay.

La Stratégie, poursuit le communiqué, repose sur d’importantes activités de mobilisation menées par le gouvernement auprès de l’industrie ainsi que sur les recommandations formulées dans le rapports Jenkins de février 2013 intitulé «Le Canada d’abord –Exploiter l’approvisionnement militaire en s’appuyant sur les capacités industrielles clés» et le rapport Emerson de 2012 sur les intérêts et l’avenir du Canada dans l’aérospatiale et dans l’espace.

«Le lancement de la Stratégie d’approvisionnement en matière de défense aujourd’hui réaffirme l’engagement du gouvernement à l’égard de l’établissement et du maintien d’une armée moderne et de première classe qui est bien équipée pour relever les défis du 21e siècle. Le ministère de la Défense nationale continue de voir les conséquences positives du nouvel équipement sur les opérations de défense», a déclaré pour sa part le ministre de la Défense, Rob Nicholson.

La Stratégie d’approvisionnement en matière de défense (SAMD), marque un changement radical dans l’approche du gouvernement à l’égard des approvisionnements en matière de défense:

Fournir le bon équipement aux Forces armées canadiennes et à la Garde côtière canadienne en temps opportun:

  • Assurer la mobilisation hâtive et soutenue de l’industrie et de la clientèle dans le cadre du processus d’approvisionnement.
  • À compter de juin 2014, publier annuellement le Guide d’acquisition de la défense, qui décrira les priorités en matière d’approvisionnement du ministère de la Défense nationale.
  • Établir un processus d’analyse critique des besoins militaires, dirigé par un tiers indépendant, au sein du MDN.

Tirer parti de nos achats de matériel de défense pour créer des emplois et assurer la croissance économique au Canada:

  • Utiliser une proposition de valeur cotée et pondérée pour l’évaluation des soumissions relatives aux approvisionnements en matière de défense et aux approvisionnements importants de la Garde côtière canadienne.
  • Mettre en œuvre une stratégie d’exportation à l’appui des occasions de vente à l’étranger et de la participation aux chaînes de valeur mondiales.
  • Déterminer et appliquer les capacités industrielles clés pour connaître les retombées économiques possibles de chacun des achats de manière à répondre aux besoins des Forces canadiennes et à accroître la compétitivité des entreprises canadiennes sur le marché mondial.
  • Établir de façon indépendante un institut d’analyse de la défense dont les experts fourniront des analyses éclairées à l’appui des objectifs de la Stratégie d’approvisionnement en matière de défense (SMAD) et des évaluations qui en découlent.

Simplifier les processus d’approvisionnement en matière de défense:

  • Adopter un nouveau régime pour veiller à ce que le processus décisionnel concernant les approvisionnements en matière de défense et les approvisionnements importants de la Garde côtière canadienne soit simplifié et coordonné.
  • Mettre sur pied un secrétariat d’approvisionnement en matière de défense au sein de TPSGC afin de s’assurer d’une étroite coordination entre les ministères clés.
  • Passer en revue les pouvoirs délégués actuels du MDN pour l’achat de biens, tout en envisageant la possibilité de hausser le plafond existant de 25 000 $, ce qui permettrait d’accroître l’efficacité des pratiques d’approvisionnement.

La mise en œuvre de la Stratégie d’approvisionnement en matière de défense commencera immédiatement; une mise en œuvre progressive aura lieu après les consultations en cours avec l’industrie et, annonce aussi Ottawa aujourd’hui, le ministère de la Défense publiera son premier Guide d’acquisition en matière de défense annuel en juin 2014.

Le Guide indiquera la liste de projets d’acquisition que le gouvernement compte développer sur les cinq, 10, 15 ou 20 ans années à venir, et comprend les projets de plus de 100 millions $, ainsi que ceux d’une plus petite valeur qui offrent des possibilités de retombées pour l’industrie canadienne.

Le Canada compte plus de 650 entreprises qui fournissent des biens et des services en matière de défense et qui génèrent 9,4 milliards $ en recettes, ainsi que des retombées économiques estimatives de 6 milliards $ et 64.000 emplois à temps plein. La moitié des recettes de l’industrie proviennent des exportations.

La nouvelle stratégie a été bien accueillie par les représentants de l’industrie, le Président de l’Association des industries canadiennes de défense et de sécurité, Tim Page, louant le gouvernement et déclarant lui donner «tout le crédit [...] pour la réponse exhaustive d’aujourd’hui à son engagement pris dans le cadre du budget de 2013 à améliorer les résultats de ses approvisionnements en matière de défense».

« L’annonce d’aujourd’hui est une excellente nouvelle pour l’industrie aérospatiale, nos forces armées et les contribuables canadiens. L’engagement du gouvernement à évaluer la valeur que représentent les approvisionnements pour les emplois, l’innovation et la recherche et le développement au Canada contribuera à faire en sorte que l’acquisition de matériel militaire profitera au maximum à l’économie canadienne», a pour sa part déclaré Jim Quick, le Président et chef de la direction de l’Association des industries aérospatiales du Canada.

Il faut toutefois se rappeler que, pour l’industrie de la défense du pays, les navires, les véhicules ou les aéronefs peuvent être plus chers, moins performants ou moins nombreux, ce qui compte, c’est que les achats militaires se fassent le plus possible ici au Canada. Le contribuable, lui, peut parfois être d’un avis différent.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 19:20
Le scandale des bonus de l'armée américaine

04.02.2014 JDD

Plus de 800 soldats sont sous le coup d'une enquête pour avoir détourné plusieurs millions de dollars, en profitant d'un programme d'aide au recrutement, révèle USA Today. Des bonus auraient été octroyés pour les soldats qui persuaderaient des amis de s'engager en Irak ou en Afghanistan. L'un des soldats auraient touché près de 275.000 dollars. Au moins quatre autres auraient reçu près de 100.000 dollars chacun, selon des documents consultés par le quotidien américain.

Cette affaire est "décourageante et déprimante", a réagi la sénatrice Claire McCaskill. "De toute évidence, nous parlons de l’une des plus grandes enquêtes de l’histoire de l’armée", a-t-elle affirmé. Au total, près de 1.200 recruteurs et 2.000 assistants recruteurs seraient impliqués dans ce scandale.

 

Le programme arrêté en 2012. L'armée avait lancé des programmes de recrutement en 2005 afin de renforcer ses rangs qui avaient été largement mis à contribution lors des récents théâtres d'opérations. Ce programme avait été étendu à la réserve et aux soldats actifs. Ceux-ci auraient perçu de l'argent dès lors qu'ils parrainaient une recrue. "Personne n'est plus scandalisé que la direction de l'armée des Etats-Unis", a assuré de son côté le porte-parole de l'armée George Wright. "Après des enquêtes internes de l'armée qui ont identifié des cas de fraudes dans les programmes d'aide au recrutement, le secrétaire de l'armée y a mis fin immédiatement", a-t-il ajouté. Ce programme a effectivement été arrêté en 2012.

Plus de 106.000 personnes auraient touchées des primes, précise USA Today. Il faudra attendre 2016 pour que l'enquête aboutisse.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 19:20
Le VBCI n'est pas encore britannique...


05.02.2014 par Jean-Dominique Merchet
 

La coopération militaire franco-britannique n'est vraiment plus au beau fixe. Nous annonçions sur ce blog que la British Army allait tester le Véhicule blindé de combat d'infanterie (VBCI) de Nexter et nous le faisions sur la base de déclarations du Premier ministre David Cameron lui-même lors de sa conférence de presse, à l'issue du sommet franco-britannique du 31 janvier. "The UK will also try out the French VBCI tank with a view to possibly purchasing it for the Army", rapportait la presse britannique.

Las ! Cette affaire de VBCI ne figure pas dans la déclaration finale du sommet... du fait du refus du ministère français de la défense. Pas plus d'ailleurs que le drone tactique Watchkeeper. Les deux affaires font l'objet de discussions très serrées et n'ont pas (encore?) abouties.

Des deux côtés de la Manche, les militaires sont pourtant favorables à ce prêt d'une vingtaine de VBCI, mais les politiques l'entendent autrement. 

Rappelons que le VBCI n'a toujours pas trouvé preneur à l'exportation. 

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:55
Exercice jeunes chefs - Djibouti 2014

Djibouti janvier 2014. Aguerrissement pour les lieutenants de la division d'application de l'école d'infanterie. Crédits : BCH MANGIN/CPIT Nîmes

 

05/02/2014 CNE E. ROSSI - Armée de Terre

 

Du lundi 13 au samedi 25 janvier, les lieutenants en division d’application à l’École de l’infanterie de Draguignan ont participé à un module de formation en milieu désertique, à Djibouti.

 

Au cours de ce module, les futurs chefs de section d’infanterie ont suivi une instruction sur le combat en zone montagneuse et désertique (fouille de cache, reconnaissance d’oued, prise de col), face à un ennemi asymétrique. Ils ont également pris part à une manœuvre à tir réel, de niveau sous groupement tactique interarmes (SGTIA). En permanence, les officiers stagiaires ont pu évoluer au sein d’un environnement interarmes (cavalerie, artillerie, génie, ALAT), et ainsi mettre en pratique l’instruction théorique acquise au cours du séjour.

 

Ce stage constitue, pour ces lieutenants, une expérience enrichissante tant au niveau de l’acquisition des connaissances, du développement du sens tactique grâce à un terrain exceptionnel, que de l’expérience dans le combat interarmes en milieu désertique. Il s’inscrit pleinement dans la mission que s’est donnée l’École de l’infanterie : former des chefs aptes d’emblée à partir en opérations, intérieures comme extérieures.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:54
Permanence opérationnelle : clap de fin pour les F1

Retour sur la base de Mont-de-Marsan pour les Mirage F1 de la PO

 

05/02/2014 Adjudant Jean-Laurent Nijean Actus Air

 

Le mardi 4 février, les Mirage 2000-5 de l’escadron de chasse 1/2 « Cigognes » ont relevé les Mirage F1 de l’escadron de reconnaissance 2/33 « Savoie » en mission de police du ciel à Lorient, sur la base aéronavale de Lann Bihoué. Cette relève marque le point final de la participation du Mirage F1 à la permanence opérationnelle (PO).

 

Le capitaine Nicolas Gainand de l’escadron de reconnaissance 2/33 « Savoie », chef du détachement PO, revient sur cette dernière permanence opérationnelle assurée par les Mirage F1 : « Nous avons été émus lors de la réalisation de cette mission opérationnelle qui est en toute probabilité la dernière pour le Mirage F1. En effet, nous n’avons plus d’appareils déployés en opérations extérieures actuellement. »

 

Les pilotes et les mécaniciens du 2/33 « Savoie » se sont successivement relevés sur la base aéronavale depuis le 3 septembre 2013. Des équipes constituées de deux pilotes et de cinq mécaniciens se sont relayées pour cette dernière prise d’alerte de l’escadron.

 

« Nous avons eu la chance d’être bien soutenus et encadrés par le personnel de la base aéronavale », souligne le pilote de Mirage F1. Le pacha de la BAN de Lan Bihoué a tenu à souligner la dernière permanence opérationnelle du Mirage F1 en remettant à l’escadron de reconnaissance un cadre photo.

 

La cérémonie officielle pour le retrait programmé du service du Mirage F1 aura lieu 13 juin 2014 sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Le dernier vol de cet avion mythique aurait lieu lors du 14 Juillet. Après avoir participé au défilé aérien au-dessus de l’avenue des Champs-Élysées, il se poserait sur la base aérienne 279 de Châteaudun pour un repos bien mérité.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:50
First flight trials of Taranis aircraft

 

 

5 February 2014 Ministry of Defence and Defence Equipment and Support

 

MOD and BAE Systems have revealed that the Taranis unmanned combat air vehicle surpassed all expectations during its first flight trials.

 

The most advanced aircraft ever built by British engineers made its maiden flight at an undisclosed test range on Saturday 10 August 2013 under the command of BAE Systems test pilot Bob Fraser.

MOD has today revealed that the demonstrator aircraft made a perfect take-off, rotation, ‘climb-out’ and landing on its 15-minute first flight. A number of flights took place last year, of up to 1 hour in duration and at a variety of altitudes and speeds.

The Taranis demonstrator is the result of 1.5 million man-hours of work by the UK’s leading scientists, aerodynamicists and systems engineers from 250 UK companies.

The aircraft has been designed to demonstrate the UK’s ability to create an unmanned air system which, under the control of a human operator, is capable of undertaking sustained surveillance, marking targets, gathering intelligence, deterring adversaries and carrying out strikes in hostile territory.

The findings from the aircraft’s flights prove that the UK has developed a significant lead in understanding unmanned aircraft which can strike with precision over a long range whilst remaining undetected.

Taranis taxiing
Taranis taxiing at BAE Systems in Warton, Lancashire [Picture: Ray Troll, BAE Systems]

The technological advances made through Taranis will also help MOD and the Royal Air Force make decisions on the future mix of manned and unmanned fast jet aircraft and how they will operate together in a safe and effective manner for the UK’s defences.

Costing £185 million and funded jointly by MOD and UK industry, the Taranis demonstrator aircraft was formally unveiled in July 2010, but only a very limited number of scientists and engineers have ever been given full access to the top secret aircraft.

Initial ‘power-up’ or ground testing commenced later in 2010 at BAE Systems’ military aircraft factory in Warton, Lancashire, followed by a comprehensive and highly detailed programme of pre-first-flight milestones.

These included unmanned pilot training, radar cross-section measurements, ground station system integration and, in April 2013, taxi trials on the runway at Warton.

The aircraft and its ground station were then shipped from Warton to the test-range before being reassembled and undergoing systems and diagnostics checks. Taranis then made a number of high speed taxi tests in July before its maiden flight in August 2013.

Taranis taxiing
Taranis taxiing at BAE Systems in Warton, Lancashire [Picture: Ray Troll, BAE Systems]

Minister for Defence Equipment, Support and Technology, Philip Dunne, said:

Taranis is providing vital insights that will help shape future capabilities for our armed forces in coming decades. Its advanced technology is testament to the UK’s world-leading engineering skills that keep Britain at the cutting-edge of defence.

Commenting on behalf of the industry team, Nigel Whitehead, Group Managing Director of BAE Systems, added:

The first flight of Taranis represents a major landmark for UK aviation. The demonstrator is the most advanced air system ever conceived, designed and built in the UK.

It truly represents an evolution of everything that has come before it. This milestone confirms the UK’s leading position as a centre for engineering excellence and innovation.

About the size of a BAE Systems Hawk aircraft, Taranis has been designed and built by BAE Systems, Rolls-Royce, the systems division of GE Aviation (formerly Smiths Aerospace) and QinetiQ, working alongside MOD military staff and scientists.

In addition to prime contracting the project, BAE Systems led on many elements of the Taranis technology demonstrator, including the low observability, systems integration, control infrastructure and full autonomy elements (in partnership with QinetiQ).

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:50
EDA Multinational Exercises in 2014

 

Brussels - 04 February, 2014 European Defence Agency

 

Multinational training exercises increase interoperability among participating Member States; they are an efficient way to prepare armed forces for CSDP operations. This year, the European Defence Agency is organising in close cooperation with the respective host nations, contributing Member States and Air Transport Organisations four training exercises in the areas of Air-to-Air Refuelling, transport aircraft and helicopters.

 

First European Air Refuelling Training

While the fighter community has trained to operate together for years, the same cannot be said for Air-to-Air Refuelling. From 31 March to 11 April 2014, EDA together with the European Air Transport Command and the Netherlands are organising the first multinational Air-to-Air Refuelling (AAR) training opportunity in support of the Dutch Frisian Flag exercise. To this date, the Netherlands (KDC-10), Germany (A310) and Italy (KC-767) have confirmed to send their tankers to the flying event which will be an excellent opportunity to train dedicated AAR scenarios embedded in a highly recognised fighter exercise. The Air-to-Air Refuelling  planning cell will be split between Eindhoven and Leeuwarden air base to foster overall air refuelling planning and tanker operations.

 

Third European Air Transport Training

Belgium, Bulgaria, the Czech Republic, Germany, Spain, France, Italy, Lithuania, the Netherlands and Norway will participate in the third edition of EDA’s European Air Transport Training flying event with ten transport aircraft of four different types; Greece will  support the training with fighters and AWACS. Taking place from 16 to 27 June 2014 at the International Airport in Plovdiv in Bulgaria, the training offers participants a unique opportunity to plan and execute missions within a multinational framework and achieve flexible training objectives. The crews will be trained in a variety of airlift disciplines. The aim is to increase interoperability, to consolidate existing qualifications or to regain them in a short period of time and with dedicated assets.

 

European Advanced Airlift Tactics Training Course

The new European Advanced Airlift Tactics Training Course (EAATTC) aims at achieving a higher level of interoperability between airlift crews from different nations; at increasing harmonisation of advanced tactical training that will lead to higher effectiveness and survivability in operations; at sharing knowledge and providing cost efficient airlift training in Europe. Based on an agreed syllabus Belgium, the Czech Republic, Germany, Spain, France, Italy, the Netherlands and Norway will participate in the first course with eight aircraft of five different types. The flying event will be hosted by Spain at Zaragoza airbase from 22 September to 03 October 2014. This permanent training event is developed in close cooperation with the European Air Transport Command and EDA Member States; it is similar in set-up to the advanced airlift tactics training course that has been offered in the US since 1987.

 

Hot Blade 2014

Between 16 and 30 July, the Ovar Air Base in northern Portugal will host the third sequel of the successful series of Hot Blade exercises, powered by the Helicopter Exercise Programme (HEP). Currently, some 30 helicopters, four fast jets, three transport aircraft and one Intelligence, Surveillance and Reconnaissance platform have been committed by Austria, Belgium, Germany, Netherlands, Portugal, Sweden and United Kingdom. Additional to Portuguese ground forces, 450 ground troops from the Netherlands, Germany and the United Kingdom are scheduled to participate as well allowing for a more integrated mission planning and execution. So far, roughly 50% of participant to one of the previous helicopter exercises organised in France, Spain, Italy, Portugal and Belgium have later been deployed to operations. 

 

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:50
L’Europe de la défense, éternelle pomme de la discorde entre la France et le Royaume-Uni

 

31.01.2014 by Hajnalka Vincze

 

Au sommet franco-britannique de vendredi, en plein milieu des annonces concernant la coopération militaire bilatérale, le président Hollande a frôlé le crime de lèse-majesté, en osant prétendre que « Le drone de combat préfigure ce que pourrait être une Europe de la défense ». Pour les Britanniques, coopérer, pourquoi pas, mais n'évoquons surtout pas l'Europe, et en particulier pas en l'associant aux questions de défense.

 

Crédit: UK Ministry of Defence

Ils ne voient que deux usages possibles, de préférence simultanément, à cette prétendue Europe de la défense. D’une part comme agence civilo-humanitaire de l’OTAN. De l’autre, en tant que courroie de transmission des injonctions US en vue d’améliorer les capacités militaires des supplétifs européens de l’Amérique. Le reste sont des chimères dangereuses, à éliminer au plus vite.

 

Afin de bien illustrer l’incompatibilité persistante des deux visions, française et britannique, rappelons juste le compte rendu fait par les deux ministres délégués aux affaires européennes sur le déroulement du sommet « défense » de décembre dernier.

 

Pour le Français Thierry Repentin, « le premier ministre britannique a abordé le sommet en cherchant à introduire différents amendements visant à affirmer une priorité à l’OTAN, à subordonner la politique de défense et de sécurité commune à l’action de celle-ci », mais « nous avons quant à nous refusé le langage inféodant la PSDC à l’OTAN ».  

 

Dans le même temps, son homologue britannique rassure les parlementaires de Sa Majesté que, dans les conclusions du sommet, « nous avons un langage qui marque clairement la primauté de l’OTAN dans la défense européenne ». C’est là tout le charme de l’entente cordiale entre les deux rives de La Manche.

 

NB : Les références à l’OTAN sont en effet omniprésentes dans les conclusions du dernier Conseil européen. Si, pour la plupart, elles reprennent les expressions alambiquées qui avaient déjà été employées ici ou là dans les textes officiels depuis un bon moment, il n’en reste pas moins que leur nombre et leur visibilité ont remarquablement augmenté par rapport au projet de texte mis au point trois jours auparavant.

 

Ainsi, dans la version définitive :

« La PSDC continuera à se développer en pleine complémentarité avec l'OTAN dans le cadre agréé du partenariat stratégique entre l'UE et l'OTAN et dans le respect de leur autonomie de décision et de leurs procédures respectives. » (absent du projet de texte)

« Pour que l'UE et ses États membres puissent faire face [aux nouveaux défis en matière de sécurité], en concordance avec les efforts de l'OTAN ». (absent du projet de texte)

« utiliser plus efficacement les ressources disponibles et de garantir l'interopérabilité, y compris avec les principales organisations partenaires telles que l'OTAN ».

« … présenter d'ici la fin de 2014 un cadre d'action approprié, en parfaite cohérence avec les processus de planification existants de l'OTAN » (au sujet de la planification de la défense)

« l'élaboration de normes industrielles dans le domaine de la défense, sans double emploi avec les normes existantes, en particulier les normes de l'OTAN ». (absent du projet de texte…)

 

 

(Une analyse détaillée suivra prochainement, dans un papier sur la PSDC post-sommet “Défense”)

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:50
Was Watchkeeper UAV Grounded During 4th Quarter of 2013?

 

Jan 31, 2014 By Giovanni de Briganti - Defense-Aerospace.com


PARIS --- The service introduction of Watchkeeper, the tactical UAV that has been in development for the British Army since 2005, may be further delayed due to unidentified technical issues that appear to have grounded the aircraft for three months in late 2013.

The Watchkeeper program apparently logged no flight activity between mid-September and mid-January, according to data provided by Thales, the program’s main contractor, which showed that the number of total flight hours and total sorties barely changed between Sept. 16, 2013 and Jan 12, 2014.

As of Sept. 16, Watchkeeper had flown “almost 600 sorties, for a total of about 1,000 flight hours,” a Thales spokesperson told Defense-Aerospace.com in an e-mail follow-up to an interview at the DSEi show in London.

On Jan. 20, responding to a follow-up query, the Thales spokesperson said that “Tests are progressing nominally, as planned. We have now passed 600 sorties and are nearing 1,000 flight hours.”

These figures show no flight activity between mid-September and mid-January. Asked to explain this apparent discrepancy, the Thales spokesperson had not responded by our deadline, three days later.

“The delivery of Watchkeeper equipment is on track and trials are continuing with over 550 hours flying having been completed,” the UK Ministry of Defence in a Jan 31 e-mail statement. Note this is about half the flight hour figure provided by Thales.

“…the Release to Service process is taking longer than expected,” the MoD statement continued, adding that “The last flight was last week, so it’s incorrect to say that the assets are still grounded.”

This unannounced grounding may be one reason why the French Ministry of Defense is back-pedaling on earlier promises to consider buying the Watchkeeper, after an inconclusive evaluation between April and July 2013 by the French army. The evaluation included “several dozen flight hours” from Istres, the French air force’s flight test center in south-eastern France, a French MoD spokesman said Jan. 31. The evaluation report has not been completed, and no date has been set, he added.

The final communiqué of today’s Anglo-French summit meeting, for the first time since November 2010, makes no mention of the Watchkeeper, although it was mentioned in passing by French President François Hollande during the summit press conference.

Thales’ figures on Watchkeeper flight activities have also been provided to other news outlets.

A Jan. 16 article by FlightGlobal quotes Nick Miller, Thales UK’s business director for ISTAR and UAV systems, as saying that “Watchkeeper aircraft have now completed more than 600 flights, exceeding a combined 950 flight hours.”

Aviation Week had posted an article the previous day, Jan. 15, in which it reported that “Thales U.K….is continuing flight trials and supports army training(Emphasis added—Ed.). However, it is difficult to understand how training can take place without an increase in the number of sorties and flight hours.

The above article says “Watchkeeper may début in spring,” echoing a similar story published Sept. 12, 2013 in which Aviation Week said Thales UK “is hopeful that …Watchkeeper…will be certified by the end of the year.” This did not happen.

This same Aviation Week Sept. 12 story said that the Watchkeeper “fleet has flown more than 1,000 hr. over 600 flights” – a higher figure than FlightGlobal reported on Jan. 16, four months later.

The discrepancies in the figures provided to at least three trade publications clearly contradict company statements that Watchkeeper flight operations are “nominal” and “are continuing,” as they show no flight activity has been logged since September.

The obvious conclusion is that flight activities have been curtailed, either by a technical grounding or because of administrative blockages. In either case, Watchkeeper – which is already over three years late -- has clearly hit new obstacles that will further delay its operational clearance by the UK Ministry of Defence’s new Military Aviation Authority (MAA).

Watchkeeper is being developed by UAV Tactical Systems (U-TacS), a joint venture between Israel’s Elbit Systems (51% share) and Thales UK, the British unit of France’s Thales, under a contract awarded in 2005. UAV Engines Ltd, which builds Watchkeeper’s engine in the UK, is a wholly-owned subsidiary of Elbit Systems.

Originally valued at £700 million, the cost has escalated to over £850 million, and service introduction has been delayed by at least three years.

The British Army is due to receive a total of 54 Watchkeeper unmanned aircraft and 15 ground stations. By late 2013, 26 aircraft and 14 ground stations had been delivered, according to published reports.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:45
Kenya Air Force acquires Grob G120 trainers

 

 

05 February 2014 by Guy Martin - defenceWeb

 

The Kenya Air Force recently acquired six Grob G120A basic trainers, becoming the first African air force to operate the type.

 

The Kenyan G120s were observed practicing for the Jamhuri Day flypast on December 12, 2013. According to Grob, six aircraft have been delivered. The aircraft were handed over to the Kenyan military in November in Germany and subsequently flown to the African country after four Kenyan pilots were trained in Mattsies, Germany.

 

The G120A is powered by a six-cylinder Lycoming piston engine providing 260 hp. The largely all-composite airframe has a service life of 15 000 hours and is certified for +6/-4 gs, allowing for aerobatic training. The modern glass cockpit features three Elbit 205 x 150 mm multi-function displays, a digital standby flight display and a digital engine display. Grob says the G120 has one of the lowest maintenance costs in the industry.

 

The G120 is also flown by the Canadian, German, French and Israeli air forces while the turboprop G120TP has been bought by the Argentine and Indonesian air forces.

 

The Kenya Air Force flies around ten Scottish Aviation Bulldogs, 12 Embraer Tucanos and eight BAE Systems Hawks in the training role. It is likely that the Bulldogs will be replaced by the new German aircraft. According to Kenyan sources, the Kenya Air Force has another six G120s on option.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:45
Exports essential for Rheinmetall Denel Munition

 

 

04 February 2014 by Kim Helfrich - defenceWeb

 

More proof, if ever it was needed, that the South African defence industry cannot be viable without a strong export market comes from Rheinmetall Denel Munition (RDM).

 

Chief executive Norbert Schulze told defenceWeb the company, working from four locations in South Africa, last year exported 70% by value of its products.

 

“Our current order book shows 90% of production will be exported this year. This is in addition to us being the sole supplier to the SA National Defence Force (SANDF) of 105 and 155 [mm] artillery munitions, aircraft bombs, naval ammunition as well as armour and various mortars.”

 

Rheinmetall Waffe Munition GmbH of Germany is the 51% majority shareholder in the South African company with State-owned defence industry conglomerate Denel the other shareholder.

 

Schulze is actively exploring further export opportunities and this saw RDM recently open an office in Russia and work with the United Kingdom Ministry of Defence, the Dutch defence authorities and NATO.

 

The decision to establish a presence in Russia follows South Africa becoming one of the four BRICS member countries and he is confident there is a place for South African made munitions in the Russian defence sector.

 

With the need to keep exports strong, both from the point of view of keeping production facilities going as well as profitability, RDM has been working with the British and Dutch military authorities to obtain approval for a number of its products.

 

“We are confident of gaining the stamp of approval from the MoD by mid-year and this will open the door to another market,” Schulze said.

 

These will be in addition to the 30 countries where RDM is already doing business and Schulze also has plans to make the company a player in the central Asian and South American markets.

 

“We have targeted South America as a priority for 2014,” he said, adding RDM would continue to offer both its products and services to Africa.

 

“Africa is our continent and we want to keep it that way as well as keeping the SANDF as our number one customer.”

 

Apart from keeping up its supply to the South African military machine, Schulze plans to add the SA Police Service to RDM’s client list. He is confident this will see locally produced rubber bullets, flash-bangs and teargas being used by police.

 

Apart from steel forgings cast at its Boksburg facility that are used by Rheinmetall subsidiaries worldwide, RDM also supplies fellow Denel Group company PMP with military grade powder for its range of small calibre ammunition.

 

“Explosives and propellants are another area RDM is looking to grow and we currently have a staff complement of 80 working in our rocket section.”

 

As with other defence industry companies in South Africa, RDM has had to invest in people.

 

“We start identifying the right people while they are still at high school as our scientists and engineers of the future. The RDM Academy has been set up specifically with this in mind and part of its brief is to ‘search for bright youngsters’.”

 

Schulze is aiming at having 10 of the right young people in the Academy a year because it’s “the only way to go. The type of people we need one doesn’t find on the market”.

 

In the last financial year RDM employed 1 630 people. Schulze sees this growing and then settling at around the 1 700 mark with the RDM Academy bringing the right people to the company to keep it on the right side of future financial statements.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:45
Sangaris : un C130 belge en appui des forces françaises en Centrafrique - video

27 janv. 2014 FORCESFRANCAISES

 

Le 21 janvier 2014, un avion militaire C130 « Hercules » belge a atterri à Bangui, marquant la reprise des missions de soutien logistique effectuées par des pays européens au profit de la force Sangaris. Au cours du mois de décembre 2013, le Royaume-Uni avait déjà envoyé un avion C17 pour réaliser des missions identiques.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:35
Signature de l’accord d’acquisition des chasseurs F-35 au T3

 

SEOUL, 27 jan. (Yonhap)

 

Le gouvernement signera l’accord d’acquisition de 40 chasseurs F-35 du constructeur américain Lockheed Martin au troisième trimestre, a fait savoir ce lundi l’Administration du programme d’acquisition de défense (DAPA).

 

La DAPA a approuvé l’acquisition de 40 F-35 à partir de 2018, se réservant la possibilité d’acquérir 20 autres chasseurs par la suite selon le budget et la situation sécuritaire. «Une fois que la DAPA aura approuvé la révision du plan d’acquisition entre février et mars, nous nous efforcerons à conclure un accord au troisième trimestre après les négociations et les tests aériens», a déclaré le brigadier-général de l’armée de l’air et directeur du département aéronautique de la DAPA Jung Kwang-sun lors d’un point de presse.

 

La DAPA a estimé à 7.400 milliards de wons le budget nécessaire pour acquérir les 40 F-35, qui comprend armes et équipements. L’Institut coréen pour les analyses de défense va mener de son côté sa propre évaluation budgétaire. Le budget sera confirmé en coopération avec le ministère des Finances, chargé des allocations budgétaires.

 

La DAPA devrait acquérir les avions via une transaction de gouvernement à gouvernement, sans appel d’offres, car le F-35 est vendu uniquement à travers le programme américain de ventes militaires à l’étranger (FMS). Le FMS dicte qu’un gouvernement étranger paie le montant voulu par le gouvernement américain pour les F-35 au moment de l'achat effectif des avions.

 

Lockheed Martin a indiqué le mois dernier qu’il offrira son soutien au projet de développement du chasseur sud-coréen de nouvelle génération et au lancement d’un satellite de communication militaire malgré l’achat réduit de 40 avions, contre 60 prévus initialement.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:20
Lockheed Martin prépare des convois robotisés pour l'armée

 

 

03 Février 2014 par Mathieu M.  - generation-nt.com

 

Si les véhicules sans chauffeurs ne devaient pas être autorisés dans la circulation avant quelques années, il est un domaine dans lequel cette technologie pourrait rapidement s'inviter : l'armée.

 

L'armée américaine et son sous traitant Lockheed Martin viennent ainsi d'annoncer avoir testé avec succès un convoi entièrement constitué de véhicules robotisés qui agit comme un convoi conduit par des humains tant au niveau de la sécurité que de la rapidité.

 

Lockheed a mené ses tests a Fort Hood dans le Texas au début du mois dernier et indique que son convoi automatisé aura navigué avec succès dans " toute sorte de dangers et obstacles" dont des piétons, d'autres véhicules et des changements dans la topographie de la route.

Le test fait partie du programme AMAS ( Autonomous Mobility Appliqué System), un projet qui vise à la conception de véhicules autonomes. Les véhicules misent sur un ensemble de capteurs et un système de braquage, d'accélération et de freins assisté par ordinateur.

Globalement, les technologies déployées sont les mêmes que celles actuellement étudiées pour proposer des véhicules sans chauffeurs au grand public. Et l'armée vise des objectifs relativement similaires : proposer des déplacements plus surs, et plus rapides. Mais à cela, l'armée ajoute un équipement supplémentaire permettant de mieux détecter les dangers et menaces, comme la proximité d'engins explosifs improvisés ou d'éventuels barrages.

Lockheed Martin a précisé que son système de robotisation de la conduite était actuellement monté sur des camions de l'armée de type M915, mais que la technologie était théoriquement transposable à n'importe quel autre véhicule militaire.

De nombreuses sociétés comme Google, Tesla, Audi, BMW, Toyota, Volvo ou encore Lexus travaillent actuellement à développer leur propre véhicule autonome. Des véhicules qui pourraient limiter le nombre d'accidents et réduire de 15 % la consommation d'essence.

Pour Lockheed Martin, l'objectif principal reste toutefois la possibilité de se dédouaner de tout besoin d'un conducteur humain, et l'optimisation des déplacements permettant la réduction des temps de trajet à l'aide d'ordinateurs et de données satellites. Ces convois pourraient ainsi se spécialiser non pas dans le transport de VIP, mais dans l'acheminement logistique ou l'appui de la progression de troupes au sol.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 17:55
Cyber défense : Le Ministre Jean Yves le Drian à Cesson vendredi

 

04 février 2014 Ouest-France  

 

Le Ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, sera à Cesson-Sévigné vendredi pour la présentation du Pacte Défense Cyber.

 

Ce pacte traduit en actes les objectifs inscrits dans la loi de programmation militaire 2014-2019. Jean-Yves Le Drian présentera le Pacte à l’occasion d’une visite à l’école des transmissions et du site Orange de Cesson-Sévigné. Il sera accompagné par Stéphane Richard, président-directeur général d’Orange.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 17:50
EDA’s role in implementing the European Council Conclusions - SEDE

 

05.02.2014 SEDE

 

The Subcommittee will exchange views with Claude-France Arnould, Chief Executive of the European Defence Agency, on the EDA’s role in implementing the European Council Conclusions.

 

When: 12 February 2014

 

Further information meeting documents

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 17:50
Exercise “Hot Blade 14” in Extensive Preparation

 

Ovar, Portugal - 24 January, 2014 European Defence Agency

 

During the second half of July 2014, the Ovar Air Base in northern Portugal will host the third sequel of the successful series of Hot Blade exercises, powered by the Helicopter Exercise Programme (HEP).

 

The Main Planning Conference (15-17 January in Ovar) proved an increased interest in participation in Hot Blade 14 by the HEP member states.  A total of 30 helicopters, four fast jets, three transport aircraft and one Intelligence, Surveillance and Reconnaissance platform have been committed by Austria, Belgium, Germany, Netherlands, Portugal, Sweden and United Kingdom. Moreover, beside the participation of Portuguese ground forces, which have supported the  last two Hot Blade exercises, Netherlands, Germany and United Kingdom are intending to send more than 450 troops to be part of the joint missions. Due to such a high number of ground troops participating, an integrated mission planning process will be introduced for the first time to enable seamless coordination and integration of the ground forces into the individual scenarios for the benefit of common exercise success.

As in the last year, the crews will be supervised and supported by the experienced mentors – instructors/graduates from the European Helicopter Tactics Instructor Course, which will be executed in March and May this year for the second time. In total the several hundred sorties and almost 1000 flying hours planned, promise a continuation of the unique multinational helicopter training opportunity provided by the Helicopter Exercise Programme.

 

More information:

 

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 17:50
Study - Space, Sovereignty and European Security - Building European Capabilities in an Advanced Institutional Framework

 

29-01-2014 PE 433.750 - Subcommittee on Security and Defence

 

The study aims to offer a comprehensive analysis of the role of space-based capabilities in supporting the security and defence policies of the European Union and of its Member States. Moving from the description of the current and future space-based systems developed at the national, intergovernmental and European level, the study tries in first place to point out the contribution of these assets to the security initiatives undertaken in Europe. Second, it describes the roles of the actors and the functioning of the institutional framework through which these capabilities are developed and exploited for Europe's security purposes. Finally, it provides options regarding the development of space capabilities for European security which could be implemented under the current treaties and within the scope of the forthcoming Multiannual Financial Framework (MFF) of the Union.

 
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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 17:50
European Defence Matters - The Role of the European Defence Agency


18 déc. 2013 European Defence Agency



European Defence Agency is the place for defence cooperation enabling EU Member States to strengthen their defence capabilities. Find out more about the work of the Agency in this video.

The EDA was formed in 2004 to build and enhance cooperation between European Member States around a common goal of mutual security. The EU and member states need to be able to protect their citizens and interests locally and globally. The only EU member that does not participate is Denmark, meaning that there are 27 other member nations. It's mission is to improve the effectiveness of defence expenditure.

The European Defence Agency is bringing greater harmonisation into the operations of the European defence industry. Currently each member has rules about the operating standards of equipment and training, but each set of rules is slightly different creating a significant amount of administration. By developing a standard framework for these rules and procedures, EDA is helping to streamline the work of the European defence technological and industrial base and make defence cooperation smoother.

As this harmonisation gathers pace, defense cooperation can become more integrated and able to respond more swiftly to both military and humanitarian situations. There are also great benefits still to be unlocked by working more closely together as defense research projects can be combined with multiple members contributing to different parts of development and innovation. This work also includes the testing of munitions and missiles. In time this will bring Europe much closer to its goal of smart defence.

Greater defence cooperation, regulations, standardisation and certification also requires and enables an increase in defence capabilities and armament cooperation. These matters can help reduce costs for national budgets while simultaneously generating operational improvements. It has also been possible to benefit from access to the European Union's budget by providing funds for greater research and development.

The European Defence Agency also has an Action Plan that will bring about harmonisation in safety features. As with deployment and operating standards, there are also differences between the ways that weapons are stored, stockpiled and transported between EU Member States and eliminating these differences will lead to both safety and cost improvements. It is also believed that these changes will help the European ammunition industry to increase it's competitiveness as it will have less administration to deal with from different member clients.

EDA is also bringing members together to work much more closely towards maritime awareness and having the very best maritime picture. This enables different navies to share the same maritime picture when cooperating on joint missions, such as against piracy or anti drug trafficking operations. This network is called MARSUR and has 15 member states. It is a project for European navies that is built by European navies which enables it to provide the solutions that they want and need.

European Defence Matters - The Role of the European Defence Agency

The current Chief Executive of the European Defence Agency is Claude-France Arnould. By overseeing the organisation and representing it at a political level, she has enabled the Ministries of Defence to come together and share best practices and ideas with their partners and help to develop the institution in the ways that they will benefit the most from. In her words, "Cooperation is no longer a luxury, it is a necessity".

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