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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 22:30
Mission Bois Belleau : relâche opérationnelle à Abu Dhabi

 

 

16/01/2014 Sources : EMA

 

Du 8 au 12janvier 2014, le groupe aéronaval constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle  a effectué une relâche opérationnelle auxEmirats Arabes Unis, à Abou Dabi.

 

Au cours de cette période, le porte-avions a accueilli à son bord le ministre des Affaires étrangères des Emirats Arabes Unis, Cheikh Abdallah Bin Zayed Al Nahyan.

 

Cette escale faisait suite à l’entraînement bilatéral Ocean Falcon avec les forces armées du Qatar mené du 5 au 7 janvier 2014.

 

Dans le cadre de sa mission opérationnelle « Bois Belleau », le groupe aéronaval participe à la sécurité et à la stabilité de la région du Golfe arabo-persique, en permettant d’entretenir la coopération bilatérale avec les pays de la zone. Ainsi, ayant franchi le détroit d’Ormuz début janvier, il opère dans l’ensemble de la zone accompagné de moyens complémentaires tels que les bâtiments de surface, les aéronefs du groupe aérien embarqué et l’Atlantique 2. Grâce à l’action de la frégate Forbin, il contribue également à la coordination de la défense aérienne de toute la région, en lien avec le CAOC (Combined Air Operations Center) de la base aérienne américaine régionale, située au Qatar.

 

A l’issue des derniers mouvements logistiques, les navires du groupe aéronaval ont quitté les quais émiriens le 12 janvier 2014 au matin afin de reprendre les activités opérationnelles dans la zone avec le groupe aéronaval américain du porte-avions Harry S. Truman.

Mission Bois Belleau : relâche opérationnelle à Abu DhabiMission Bois Belleau : relâche opérationnelle à Abu Dhabi
Mission Bois Belleau : relâche opérationnelle à Abu Dhabi
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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 21:50
Airbus Group met en vente sa filiale de bancs d'essai aéronautique

 

17/01 Laurent Marcaillou, Correspondant à Toulouse - Les Echos

 

Cassidian Test et Services va être repris par ACE Management et l'Irdi.

 

Cela ne fait pas plaisir au personnel. La filiale de systèmes d'essais Cassidian Test et Services d'Airbus Group (nouveau nom d'EADS) devrait être vendue en juin aux sociétés d'investissement ACE Management et Institut Régional de Développement Industriel de Midi-Pyrénées (Irdi), à Toulouse. «  Nous sommes dans une phase de négociation exclusive qui pourrait déboucher à la mi-2014 », indique Thierry Letailleur, président des sociétés ACE Management et Irdi. L'homme se veut rassurant : « Nous avons un objectif de pérennité, c'est une société saine et les emplois seront préservés. »

 

Depuis plus d'un an, le groupe aéronautique cherche à vendre sa filiale de fabrication de bancs de test pour les équipements aéronautiques. Elle emploie près de 500 salariés et a réalisé un chiffre d'affaires de 85 millions d'euros en 2012. Cassidian Test et Services possède un établissement de 250 salariés à Colomiers près de Toulouse. La PME est également présente à Elancourt (Yvelines) avec 125 salariés et détient des petits sites en Grande-Bretagne et en Allemagne. Sa filiale Get Electronique (testeurs) compte enfin 80 salariés à Castres, Cherbourg, Brest et Bagnols-sur-Cèze. Même si elle a été décidée avant, cette cession s'inscrit dans la restructuration de la nouvelle division défense et espace d'Airbus Group, qui doit supprimer 5.800 emplois en Europe.

 

Reprise par LBO

 

« D'après la direction, Airbus Group garderait une participation inférieure à 30 % dans Cassidian Test et Services », explique le coordinateur CGT du groupe, Jean-Jacques Desvignes. La société devrait être reprise par le management sous la forme d'un LBO avec le soutien financier des deux sociétés d'investissement. ACE Management gère le fonds Aerofund, constitué par les industriels (Airbus, Safran, etc.) et la Caisse des Dépôts, pour développer les sous-traitants aéronautiques.

 

L'ancrage aéronautique et régional des deux repreneurs doit rassurer les salariés, estime Thierry Letailleur. Airbus Group avait reçu en 2012 des offres du groupe indien Mahindra, puis des sociétés d'électronique Nexeya et Eolane, mais elles n'ont pas été retenues. Pour autant, le personnel ne souhaite pas quitter Airbus Group et a fait grève en juin et en octobre à l'appel des syndicats. « Nous ne comprenons pas pourquoi nous ne sommes plus au coeur du métier. Notre carnet de commandes atteint 123 millions d'euros et nous avons une marge opérationnelle de 5,2 %, dit Jean-Jacques Desvignes. Nous cherchons un vrai projet industriel et nous craignons un montage en LBO qui épuisera la société mère pour rembourser le rachat. »

 

Cassidian Test et Services fabrique des gros bancs de test des systèmes électroniques des avions civils et militaires d'Airbus et de Dassault (Rafale), des compagnies aériennes, des hélicoptères, des missiles de MBDA, mais aussi pour les chars Leclerc, Alstom et la SNCF.

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 21:45
EMA : visite du chef du CPCO en RCA et au Tchad

 

18/01/2014 Sources : EMA

 

Les 11 et 12 janvier 2014, le général de brigade Patrick Brethous, chef du Centre de planification et de conduite des opérations (CPCO), s’est rendu auprès des forces françaises déployées dans le cadre l'opération Sangaris en République Centrafricaine et dans le cadre de l’opération Epervier au Tchad.

 

Le 11 janvier en RCA, après un point de situation au camp français de M'Poko avec le général Soriano, commandant la force Sangaris, le général Brethous est allé sur le terrain à la rencontre des différentes unités déployées dans Bangui, la capitale centrafricaine. Comme chaque jour depuis le 5 décembre 2013, les militaires français de la force Sangaris étaient massivement engagés, avec pour mission principale de contrôler l’application des mesures de confiance.

 

Le 12 janvier 2014, le général Brethous s’est rendu sur la base « SGC Adji Kosseï » de N’Djaména, pour rencontrer les unités et le personnel de la force Épervier. A son arrivée, il a été accueilli par le colonel Peugnet, commandant de la force Épervier (COMANFOR). La visite a été marquée par un point de situation et des échanges sur les activités opérationnelles ainsi que les missions de soutien confiées à la force.

 

Commandant opérationnel des forces et conseiller du gouvernement, le chef d’état-major des armées (CEMA) dispose, au sein de l’état-major des armées, du centre de planification et de conduite des opérations (CPCO). Centre nerveux de la chaîne de commandement stratégique nationale, le CPCO est au cœur de l’engagement des forces françaises sur l’ensemble des théâtres d’opération. En amont des engagements, il assure une veille stratégique et assure les travaux de planification. Dès le déclenchement des opérations, il a en charge la conduite de l’engagement des forces.

EMA : visite du chef du CPCO en RCA et au TchadEMA : visite du chef du CPCO en RCA et au Tchad
EMA : visite du chef du CPCO en RCA et au Tchad
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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 20:35
China starts building second aircraft carrier: Media

 

Jan 18, 2014 straitstimes.com (AFP)

 

BEIJING - China has started constructing the second of four planned aircraft carriers, a top government official said according to media reports on Saturday.

 

The ship is under construction in the north-eastern port of Dalian and will take six years to build, the reports said quoting Wang Min, Communist Party chief for Dalian's Liaoning province.

 

The country's first aircraft carrier, the Liaoning, was completed in September 2012 in a symbolic milestone for the country's increasingly muscular military.

 

Another two are in the pipeline, said Wang.

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 17:50
Séminaire pour aider les PME françaises à accéder aux marchés de la défense européenne le 28 janvier à Bruxelles

 

16 janvier 2014 par  Jacques Marouani - electroniques.biz

 

Au programme : intervention de l’Otan, de l’Agence européenne de défense, cas pratiques et exemples de succès. Deux tables rondes seront également organisées.

 

Eden (European defense economic network), cluster de la filière défense, sécurité et sûreté, organise un séminaire à Bruxelles le 28 janvier 2014, de 13h à 21 h, dans l’objectif d’aider les entreprises à conquérir de nouveaux marchés auprès de la Défense européenne. Toutes les PME françaises de défense et sécurité peuvent y participer.

 

Eden Paca (association régionale Provence-Alpes-Côte d’Azur) a lancé cette initiative en partenariat avec la représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne et avec le soutien du réseau consulaire. Le but est de rencontrer les institutions européennes qui comptent dans le domaine de la défense (base industrielle et technologique de défense européenne, Agence européenne de défense...), de mieux comprendre leurs mécanismes d’achats afin de pouvoir remporter des appels d’offres européens.

 

Au programme : intervention de l’Otan, de l’Agence européenne de défense, cas pratiques et exemples de succès. Deux tables rondes serviront de fil conducteur :

- Industriels des marchés de la défense, comment saisir les opportunités, comment aborder les marchés ?

- La BITDE (base industrielle et technologique de défense européenne), acteurs et process, clefs pourdévelopper les business.

 

Ce séminaire se tiendra à la représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne, 14 Place Louvain, à Bruxelles.

 

Les inscriptions doivent parvenir par mail à : moreau@eden-defense-cluster.com.

 

Eden, cluster des PME de défense, sécurité et sûreté, fondé en 2008, tourné vers l’export et vers l’Europe, est une fédération nationale qui compte plus de 100 PME membres. Ces entreprises représentent 8000 emplois et près d’un milliard d’euros de chiffre d'affaires, dont plus de la moitié à l’export. Les entreprises adhérentes couvrent 4 domaines d'activités complémentaires : équipements pour aéronefs, navires et véhicules ; détection, protection et surveillance ; ingénierie et essais ; protection individuelle.

 

Ces entreprises proviennent essentiellement des régions Rhône-Alpes, Bretagne, Centre et Paca. En 2012, Eden a signé une convention de partenariat avec un cluster allemand homologue, dans le but de développer réseaux et opportunités d’affaires européennes pour ses membres. Dans la même lignée, Eden continue à rechercher des rapprochements avec d’autres clusters européens

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 17:45
L'UE vient en renfort de la France en Centrafrique

 

17/01/2014 Alain Franco correspondant à Bruxelles - Le Point.fr

 

Les ministres des Affaires étrangères de l'UE devraient donner leur feu vert lundi à l'envoi de soldats européens pour appuyer la France en Centrafrique.

 

La France n'est plus seule en Centrafrique. Lundi, les ministres des Affaires étrangères de l'UE vont donner leur feu vert à un soutien européen à l'armée française. C'est ce que réclamait François Hollande, qui en avait fait une priorité lors du sommet européen de décembre dernier consacré à la défense.

La mission des soldats qui viendront soutenir l'armée française sera de sécuriser la zone de l'aéroport de Bangui, en incluant les camps alentour, qui accueillent, dans des conditions précaires, nombre de déplacés qui cherchent à s'y mettre à l'abri des violences intercommunautaires. "Les tensions sont latentes et palpables. La journée, les habitants de certains quartiers sont chez eux, mais, le soir, ils rejoignent les camps pour passer la nuit en sécurité", explique une source diplomatique. "À vingt kilomètres de Bangui, les violences continuent. Tout est en place pour un dérapage avec des conséquences dramatiques", reprend-il. À Bruxelles, le ton au "Service d'action extérieure", siège de la diplomatie européenne, est plus alarmant qu'au début de l'intervention française. "Elle a permis d'éviter le pire. Mais la sécurité est extrêmement fragile. Les États membres sont conscients de la gravité du problème", estime un diplomate de haut rang. "Tous les éléments sont réunis pour un génocide en Centrafrique", a même averti l'ONU, jeudi.

 

Contingent de 500 à 1 000 soldats

L'accord politique de lundi sera la première étape. Mercredi, le Conseil de sécurité de l'ONU devrait donner mandat aux Européens pour agir. "Il nous faut une base juridique", dit-on. Puis viendra le moment de se compter. Paris espère "que six à douze pays feront des offres". "La Belgique enverra des troupes dès que nous aurons un cadre européen", affirme au Point.fr son ministre des Affaires étrangères Didier Reynders. La Pologne, la République tchèque sont aussi sur les rangs. L'Estonie a officiellement proposé l'envoi d'un peloton d'infanterie de 35 personnes avec des véhicules blindés et une unité de soutien logistique, soit 56 soldats. C'est beaucoup au regard de la taille de son armée.

Officiellement, personne ne se risque à un objectif chiffré. Mais les fourchettes évoquées varient entre 500 et 1 000 soldats, pour une durée de quatre à six mois. Ce qui permettra aux soldats français "fixés" autour de l'aéroport de se consacrer à d'autres tâches, plus urgentes. Plus de 1 600 soldats français sont déployés depuis plus d'un mois en Centrafrique. "Nous visons un début de déploiement sous trente jours. Pour l'instant autour de l'aéroport. Mais qui sait quel sera le besoin d'ici là", indique un diplomate de l'UE. Car la situation est mouvante et "elle concerne toute la région. La route qui mène au Cameroun n'est pas sécurisée, et Yaoundé nous signale une augmentation des réfugiés qui franchissent la frontière. Il faut absolument stabiliser la situation en Centrafrique, car l'insécurité a des conséquences sur tout."

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 12:45
Mali : l'allègement de Serval est en route

 

 

17.01.204 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord – Défense Globale

 

L'allègement de la force Serval se poursuit patiemment depuis la fin des élections législatives au Mali. Cette fois (le 14 janvier), c'est une compagnie VBCI (véhicule blindé de combat d'infanterie) du 92e RI de Clermont-Ferrand qui a migré vers le camp Damien Boiteux à Bamako (photo ministère de la Défense), avant de rejoindre Abidjan par la route (sur des camions d'un transporteur privé), puis la France par la mer.

 

Les VBCI du 92e RI armaient la compagnie motorisée du GTIA (groupement tactique interarmes) Korrigan, basé à Gao, qui a mené de longues missions de sécurisation autour de la boucle du Niger. Fin décembre, une compagnie du 126e RI de Brive avait quitté le poste avancé de Kidal pour rentrer vers N'Djamena.

 

Le groupement aéromobile au Mali, devenu sous-groupement, ne compte plus que six Puma, deux Gazelle et un Tigre. Depuis la fin décembre, quatre Gazelle et deux Tigre ont quitté le sol malien.

 

Côté armée de l'air, le retour de trois Mirage 2000D à leur base de N'Djamena a entraîné le retour en France de trois Rafale.

 

Il reste environ 2 500 militaires français au Mali : la force Serval mais aussi au sein de l'état-major de la MINUSMA et dans l'opération européenne de formation de l'armée malienne, EUTM Mali.

 

L'objectif reste de revenir à 1 600 hommes mi-février, puis un millier au printemps pour assurer une force de réaction rapide antiterroriste, en complément de la mission de maintien de la paix des Nations-Unies.

 

Accord de défense et grincements

 

Après la signature prochaine d'un accord de défense avec le Mali (assistance, équipement, formation), la principale base française restera Gao. Cet accord serait signé le 20 janvier à Bamako.

 

Des opposants ont déjà noté que le 20 janvier 1961 marquait la création de l'armée malienne indépendante et donc le départ de l'armée française... La coordination d'opposition MP22 dénonce ainsi " une base juridique légale à l’occupation pérenne par des troupes françaises dont les objectifs resteront secrets pour le gouvernement malien "

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 12:25
La Bolivie commande six AS332 C1e Super Puma

 

17/01/2014 Par Guillaume Steuer – Air & Cosmos

 

Airbus Helicopters le confirme aujourd'hui : la force aérienne bolivienne a choisi le Super Puma dans sa version AS332 C1e afin de renforcer ses capacités aéromobiles. Le montant global du contrat n'a pas été dévoilé. Les deux premiers hélicoptères seront livrés dès cette année, et les quatre suivants d'ici à 2016.

 

Lancée début 2013, la version C1e du célèbre Super Puma se veut une réponse "low-cost" aux besoins d'un grand nombre de clients : sa configuration est gelée et ne laisse presque pas de place à la personnalisation, dans un souci de réduire les délais et les coûts de production, de maintenance et d'exploitation. La compangie Starlite Aviation, basée en Irlande et en Afrique du Sud, avait été la première à retenir cette machine pour étoffer son parc.

 

Airbus Helicopters rappelle dans son communiqué que plus de 100 machines de la famille Super Puma sont actuellement en service en Amérique Latine, avec soixante unités supplémentaires en commande. L'industriel souligne que la Bolivie est déjà utilisatrice de l'Ecureuil dans sa version AS350 B3, et de deux EC145 livrés l'an dernier.

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18 janvier 2014 6 18 /01 /janvier /2014 11:55
La Défense à Balard, un modèle pour la maîtrise des dépenses (Le Drian)

 

PARIS, 17 jan 2014 – lentreprise.lexpress.fr (AFP)

 

Le nouveau ministère de la Défense, qui sera implanté à partir de 2015 à Balard, dans le sud de Paris, sera "un modèle pour la maîtrise de la dépense publique et la modernisation des équipements", a affirmé vendredi Jean-Yves Le Drian, lors d'une visite du chantier.

 

Le ministre de la Défense participait à la cérémonie marquant l'achèvement du gros oeuvre du projet. Le regroupement à Balard de l'ensemble des services du ministère va permettre une meilleure cohérence et la mise en commun des moyens de fonctionnement, a-t-il souligné: "Tous les acteurs vont se retrouver sur le même site, avec des conditions de travail assez optimales et une incitation à l'action en commun très forte."

 

Attribué en 2011 à un consortium d'entreprises conduit par Bouygues Construction, le monumental projet Balard permettra de regrouper les services de la Défense dispersés sur une douzaine de sites parisiens. Sa réalisation permet, selon le ministre, "une rigueur de gestion nettement plus forte qu'auparavant".

 

Le coût global de l'ensemble est de 3,5 milliards d'euros, dans le cadre d'un partenariat public-privé (PPP) de 30 ans. L'Etat devra ainsi payer une redevance annuelle de 154 millions pendant la durée du PPP. Près de 10.000 personnes des différents services de la Défense devraient être à terme regroupées à Balard.

 

Le nouveau ministère, dont la toiture principale rappelle la voilure d'un avion furtif, s'étend sur un ensemble de 420.000 m2 de bâtiments neufs (145.000 m2) ou rénovés, dans le XVe arrondissement de Paris. Trois parcelles se côtoient, avec les immeubles de bureaux de la "corne Ouest", le coeur du ministère au centre, qui accueillera le ministre de la Défense et les états-majors des armées, et les immeubles rénovés de la Cité de l'Air, à l'est.

 

Trois tours centrales symbolisent les trois armées - armées de Terre, de l'Air et Marine, qui garderont ainsi leur identité. "La sécurisation de l'ensemble du site est maximum", a assuré M. Le Drian, pour protéger ce qui sera le coeur de la Défense française.

 

La livraison du chantier doit débuter au premier trimestre 2015, avec le déménagement des premiers sites de défense disséminés dans Paris.

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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 21:45
photos ECPAD et Armée de Terre

photos ECPAD et Armée de Terre

 

17/01/2014 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République de Centrafrique, du 11 au 17 janvier 2014.

 

Compte tenu des évolutions politiques intervenues en RCA et en liaison avec la MISCA, la force Sangaris avait, dès vendredi 10 janvier, réarticulé son dispositif à Bangui à titre préventif pour contenir toute tentative de déstabilisation. Dans ce cadre, la force Sangaris s’est plus particulièrement déployée auprès des emprises gouvernementales et militaires, incluant les sites de cantonnement.

 

Dans les heures qui ont suivi l’annonce de la démission du chef d’Etat de transition centrafricain, un regain de tension a effectivement été observé dans Bangui. L’action conjointe des unités de Sangaris et de la MISCA a permis de contenir le niveau de violences.  Les tensions ont baissées d’intensité dès le lendemain.

 

Les jours suivants, soldats français et africains ont poursuivi leur effort de contrôle de zone, en patrouillant de jour comme de nuit, dans les rues de la capitale et en province. Ces patrouilles conjointes dans les différents quartiers de la capitale reçoivent un bon accueil des populations. Par ailleurs, un prudent redémarrage de la vie économique a pu être observé dans certaines zones.

 

Parallèlement, une initiative de la force Sangaris a été lancée et mise en œuvre pour la création d’un « quartier pilote » dans le 5e arrondissement de Bangui. Associant la MISCA, les ONG et les acteurs locaux, autorités civiles et religieuses, ce projet vise à favoriser le retour des déplacés chez eux en agissant sur les domaines sécuritaires, humanitaires et administratifs.

 

Les actions conjointes entre la force Sangaris et les différents détachements de la MISCA se sont ainsi multipliées.

 

Environ 1600 militaires français sont actuellement déployés en République Centrafricaine, aux côtés des 4400 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA ainsi que son déploiement opérationnel.

photos ECPAD et Armée de Terrephotos ECPAD et Armée de Terre
photos ECPAD et Armée de Terre
photos ECPAD et Armée de Terrephotos ECPAD et Armée de Terrephotos ECPAD et Armée de Terre

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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 15:55
photo EMA

photo EMA

Depuis 2005, le ministère de la Défense a très largement augmenté ses achats en provenance des Etats-Unis via le système FMS (Foreign military sales)

 

17/01/2014 Michel Cabirol – La Tribune.fr

 

Paris fait ses emplettes de plus en plus outre Atlantique. La France a signé des contrats d'une valeur de 1,3 milliard de dollars entre 2005 et 2012. Soit une augmentation de près de 50 % par rapport à 2004.

 

Il y a les deux drones Reaper achetés en 2013 aux États-Unis... et puis il y tout le reste. Depuis 2005, le ministère de la Défense a très largement augmenté ses achats en provenance des Etats-Unis via le système FMS (Foreign military sales). Entre 2005 et 2012, Paris a passé des accords avec Washington portant sur des achats de matériels militaires pour le montant de 1,34 milliard de dollars, selon les statistiques du DoD (Department of Defence).

En seulement huit ans, le ministère a signé une enveloppe financière qui représente près de la moitié de celle passée entre les deux pays entre... 1950 et 2004 (2,84 milliards de dollars). Soit une croissance des dépenses de près de 50 % entre 2004 et 2012. Un pic est constaté en 2011 avec un volume de 530 millions de dollars et en 2012 (293,2 millions).

 

Des livraisons également en forte hausse

Sur les livraisons, la tendance est forcément à la hausse. Entre 2005 et 2012, Washington a livré pour 723 millions de dollars d'armements à Paris, contre 2,3 milliards sur la période 1950-2004. Soit une croissance des livraisons de matériels américains de plus de 30 % entre 2004 et 2012.

Cette augmentation des dépenses et des livraisons de matériels de défense vient en partie des lacunes opérationnelles constatées par les armées sur les théâtres d'opération, notamment l'Afghanistan. En 2009, la direction générale de l'armement (DGA) avait ainsi engagé 260 millions d'euros au titre des urgences opérationnelles (soit une quarantaine d'opérations notifiées) pour équiper les forces sur les théâtres d'opérations. Soit le double de 2008. En 2010 et 2011, le volume d'opérations conduites en urgence opération pour répondre à des besoins opérationnels imprévus, a baissé tant en nombre qu'en montant (seulement 20 millions d'euros en 2011, contre 170 millions d'euros en 2010).

 

Quels matériels américains

Armement : la France achète de plus en plus américain

La France a notamment commandé en 2010 un lot de missiles américain Javelin. Le contrat portait sur l'acquisition de 260 missiles et 76 postes de tir dans le cadre du dispostif FMS, le tout, pour près de 70 millions de dollars.

photo CNPI 2 BCH Souchères

photo CNPI 2 BCH Souchères

L'État-major des armées (EMA) avait également décidé l'acquisition de cinq engins d'intervention et de protection américains Buffalo de fabrication américaine, selon la procédure d'achat d'urgence opérationnelle en 2008. Ce véhicule constitue une première capacité de lutte contre les engins explosifs improvisés (EEI).

Armement : la France achète de plus en plus américain

Outre les urgences opérationnelles, la France a également passé en 2010 avec l'administration américaine un contrat de modernisation de ses quatre AWACS E-3F (Airbone Warning and Control System) pour un montant de 324 millions de dollars.

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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 13:35
Japan’s new approach to national security

 

Briefs - No2 - 17 January 2014 Elena Atanassova-Cornelis

 

December 2013 marked an important turning point in Japan’s evolving security and defence policies. While the debate about Japan’s so-called security ‘normalisation’ has been going on now for more than a decade, by releasing three national security-related documents the conservative government led by Shinzo Abe since 2012 has dissipated any doubts that may still linger regarding the ‘why, what and how’ of Japan’s national security.

In December 2013 the Abe administration adopted the first ever National Security Strategy (NSS) of Japan – together with the country’s new national security doctrine, namely the National Defence Programme Guidelines (NDPG), as well as the Mid-Term Defence Programme for 2014-2019. The last two documents replace the 2010 NDPG and the Mid-Term Defence Programme adopted by the previous, centre-left government of the Democratic Party of Japan (DPJ). Centred on a policy of ‘proactive contribution to peace’, the NSS sets out the main guidelines for Japan’s national security for the next decade, including for the areas of sea, outer space and energy. It also seeks to promote, both domestically and internationally, a better understanding of the country’s strategic objectives and responses.

 

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 18:50
Syrie: les armes chimiques transbordées dans un port italien (ministre)

 

 

ROME, 16 janvier - RIA Novosti

 

Les armes chimiques syriennes seront acheminées vers le port italien de Gioia Tauro, en Calabre, pour être transbordées sur le navire américain Cape Ray en vue de leur destruction, a déclaré jeudi le ministre italien des Transports Maurizio Lupi lors d'un discours devant un groupe de députés et de sénateurs.

 

Le transbordement sera effectué dans le strict respect des mesures de sécurité et prendra 48 heures tout au plus.  Selon le ministre, les conteneurs renfermant les substances chimiques "ne toucheront pas le sol italien". L'opération est prévue fin janvier ou début février lorsque le Cap Ray entrera en Méditerranée.

 

Le directeur général de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), Ahmet Uzumcu, a déclaré jeudi lors d'une conférence de presse à Rome que les arsenaux chimiques syriens ne seraient pas détruits avant juin en raison de problèmes sécuritaires et logistiques.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 18:45
The NNS Andoni Seaward Defence Boat

The NNS Andoni Seaward Defence Boat

 

 

16 January 2014 by Guy Martin - defenceWeb

 

The Nigerian government is planning to cut its defence budget after a decade of increases, but security continues to receive the most funding as the Boko Haram insurgency continues and the armed forces continue to expand.

 

Nigeria’s defence budget will drop from N364.2 billion ($2.3 billion) last year to N340.3 billion ($2.1 billion) in 2014 according to the Nigerian Budget Office – a 6.5% reduction in funding. Furthermore, the proposed budget drops defence from 12.1% of overall government spending to 7.8% between 2013 and 2014, according to IHS Jane’s Defence Weekly.

 

Under the proposed 2014 budget, the Nigerian Army will receive N132.7 billion ($830 million), the Navy N70.1 billion ($440 million) and the Air Force N73.2 billion ($460 million). Another N64.3 billion ($400 million) will be allocated across the board, including for missions and deployments.

 

The Nigerian Navy has been allocated N5.2 billion ($32 million) for the two new offshore patrol vessels being procured from China while the Nigerian Army was allocated N100 million ($600 000) for the ongoing production of armoured personnel carriers by the Nigerian Army Electrical and Mechanical Engineers (this almost certainly refers to the locally produced Igirigi). The Nigerian Air Force has been allocated N1.8 billion ($11.2 million) for the acquisition of six Mi-35M attack helicopters. In addition, N1.3 million ($8 000) has been allocated for the reactivation of L-39ZA jet trainers, many of which are grounded.

 

The Defence Industries Corporation of Nigeria (DICON) has been allocated N1.9 billion ($11.9 million) for 2014, including N450 million ($2.8 million) for the installation, procurement and operation of a new 7.62x39 mm ammunition production line as Nigeria seeks to grow its domestic defence industry.

 

In total, N845 billion ($5.29 billion) was provided for recurrent and service-wide votes for the security sector, including the armed forces (N306 billion/$1.92 billion), police (N286 billion/$1.79 billion), National Security Advisor’s office (N67 billion/$420 million) and paramilitary services. In total, the security cluster received the lion’s share of the national budget, followed by education.

 

Once approved, the 2014 defence budget will mark the first decrease in defence spending since around 2006, as between 2007 and 2013 Nigerian defence expenditure grew by 20.6%, according to IHS Jane’s, which points out the new budget will result in a 12.7% reduction of spending in real terms.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 18:45
U.S. to airlift Rwandan forces into Central African Republic

 

 

16 January 2014 defenceWeb (Reuters)

 

The U.S. military will soon begin flying Rwandan troops into the Central African Republic, possibly starting on Thursday, in its second such operation in support the African Union's efforts to stem bloodshed there, a U.S. official said on Wednesday.

 

The U.S. official, speaking to Reuters on condition of anonymity, said the airlift operation could last just over a month and would involve two U.S. military C-17 aircraft.

 

The airlift mission would be very similar to the one the United States carried out flying forces from Burundi into the Central African Republic late last year, the official said.

 

Rwanda's foreign minister has been quoted telling local radio that the country would send around 800 troops.

 

The U.S. aircraft would fly out of Uganda into Rwanda's capital Kigali, where they would load before proceeding onto Bangui in the Central African Republic, the official said.

 

A Muslim rebel coalition, Seleka, seized power in Central African Republic last spring, unleashing a wave of killings and looting that in turn sparked revenge attacks by the "anti-balaka" Christian militia.

 

The United Nations estimates that months of fighting in the landlocked former French colony has displaced around 1 million people, or just over a fifth of the population.

 

The national death toll is difficult to estimate. More than 1,000 people were killed in Bangui alone last month and sporadic violence has continued despite the presence of 1,600 French troops and 4,000 African Union peacekeepers.

 

France's U.N. envoy said on Wednesday that the level of hatred in Central African Republic between Muslims and Christians had been underestimated and is creating a "nearly impossible" situation for African Union and French forces to combat.

 

U.N. Secretary-General Ban Ki-moon is expected to submit a report to the Security Council next month with recommendations for a possible U.N. peacekeeping force that would take over from the African troops.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 18:45
Ghana to send troops to South Sudan

 

16 January 2014 by defenceWeb

 

Ghana will send 850 troops to South Sudan in order to help restore peace and stability and prevent the country from sliding into civil war, President John Dramani Mahama has announced.

 

Mahama on Tuesday said the deployment followed a request from United Nations Secretary-General Ban Ki-moon to Ghana to help in keeping the peace and assist with humanitarian efforts, reports the Ghana News Agency. The National Security Council met on Monday to ratify the troop deployment.

 

“When I received the request from the UN Secretary-General, I did not hesitate to give my provisional approval,” he said. “Ghana will deploy as quickly as possible to secure the lines for humanitarian assistance to come through.

 

Mahama said a decision had been taken to mobilise the 330 Ghanaian soldiers currently deployed as part of peacekeeping duties in Cote d’Ivoire to South Sudan but on request from the UN for a fully-fledged battalion, 520 fresh troops and equipment were being mobilised to complement the 330 troops, reports the Ghana News Agency.

 

The UN has said it is working to get 5 500 extra UN peacekeepers sent to South Sudan to protect civilians. UN peacekeeping chief Herve Ladsous said 300 000 civilians have been displaced by fighting that began in December, with 60 000 sheltering at UN compounds. Tens of thousands of civilians have meanwhile sought refuge in Kenya, Ethiopia and Uganda. The UN has had to fire warning shots to keep fighting out of its compounds.

 

Ladsous said the deadline for the extra deployment was between four and eight weeks. The time-frame is longer than Ladsous outlined on December 30 when he said it was hoped all reinforcements for the UN peacekeeping Mission in South Sudan (UNMISS) that the Council authorised to protect civilians – almost doubling the force to nearly 14 000, including utility and tactical helicopters – would be on the ground within three weeks.

 

South Sudan, which gained independence in 2011 after seceding from Sudan, erupted in fighting on December 15 when President Salva Kiir said soldiers loyal to former deputy president Riek Machar, dismissed last July, reportedly launched an attempted coup.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 18:45
Centrafrique: l'Estonie enverra 55 soldats

 

TALLINN, 16 janvier - RIA Novosti

 

Pour prévenir le génocide en Centrafrique et soutenir les militaires français, Tallinn dépêchera jusqu'à 55 soldats dans ce pays africain dans le cadre de la future mission militaire de l'UE, a déclaré jeudi aux journalistes le premier ministre estonien Andrus Ansip.

 

"Ce pays éprouve un besoin urgent d'aide humanitaire. Toutefois, dans certains cas l'aide humanitaire s'avère insuffisante. Pour pouvoir fournir cette aide il faut tout d'abord aider à garantir la sécurité. Par le passé, l'Estonie a reçu beaucoup d'aide et c'est notre devoir moral d'offrir une aide aux autres", a souligné le chef du gouvernement.

 

Selon M.Ansip, le contingent estonien aura pour mission d'assurer conjointement avec des soldats français la sécurité d'un aéroport centrafricain. Il est possible que les soldats estoniens soient ultérieurement engagés dans la sécurisation des principales autoroutes du pays.

 

Le ministre estonien de la Défense Urmas Reinsalu a de son côté fait savoir que le contingent estonien serait prêt vers la fin du mois de février à réaliser une mission de quatre mois.

 

En janvier 2013, les autorités de la République centrafricaine et les représentants de l'opposition ont signé un accord de paix. Cependant, en mars, les rebelles de la coalition Séléka se sont emparés de la capitale du pays. Le chef de l'Etat François Bozizé s'est alors réfugié à l'étranger, tandis que le leader de la rébellion Michel Djotodia s'est autoproclamé président, transformant le pays en un théâtre d'affrontements armés entre les partisans et les adversaires du nouveau pouvoir.

 

Vendredi dernier, le président autoproclamé a présenté sa démission avant de se réfugier au Bénin. 

 

Quelque 1.600 militaires français soutenu par les troupes de l'Union africaine mènent actuellement une opération en RCA visant à prévenir des affrontements entre deux groupes adversaires.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 17:50
Rencontre franco-allemande des forces aériennes à Nancy

 

16/01/2014 Armée de l'air

 

À l’invitation du général Serge Soulet, commandant les forces aériennes (CFA) et le soutien des forces aériennes (CSFA), son homologue allemand, le lieutenant général Martin Schelleis, a été accueilli sur la base aérienne (BA) 133 de Nancy-Ochey, les 13 et 14 janvier 2014. L’occasion d’échanger sur les différents volets de coopération des forces aériennes entre la France et l’Allemagne, tels que l’appui aérien et l’A400M.

 

La délégation s’est naturellement rendue au centre de formation de l’appui aérien (CFAA), unité franco-allemande. Centre interarmées et international, le CFAA délivre une formation labellisée par l’Otan. Les militaires des trois armées et des forces spéciales sont formés aux techniques de guidage en utilisant les moyens les plus modernes (liaisons de données tactiques, liaison 16, transmissions satellitaires cryptées, etc.). Leur contribution sur des théâtres d’opérations, tels que le Mali et l’Afghanistan, a été déterminante pour la réussite des missions des troupes au sol ou pour soutenir les forces alliées en situations délicates. Depuis quelques mois, le centre forme ses stagiaires avec un outil révolutionnaire, le SIMFAC, simulateur immersif très réaliste, qui a l'avantage d'économiser de nombreuses heures de vol.

 

Cette visite fut également l’occasion de présenter la montée en puissance de l’A400M  dans l’armée de l’air française, appareil dont l’Allemagne commencera à être équipée en 2014. Le 29 décembre 2013, l’A400M a réalisé sa première mission en opérations extérieures entre la BA 123 d’Orléans-Bricy et l’aéroport de Bamako, au Mali. Les commandeurs des forces aériennes allemandes et françaises ont également partagé leurs retours d’expériences sur l’utilisation et l’engagement des drones MALE (longue endurance et moyenne altitude) en opérations. L’Allemagne met en œuvre des drones HERON en Afghanistan, tandis que côté français, les drones Harfang sont déployés au Sahel. Depuis peu, deux drones Reaper les ont rejoints pour renforcer la capacité de surveillance et de renseignement.

 

 

 

Rencontre franco allemande au CFAA

Rencontre franco allemande au CFAA

SIMFAC présenté au CFA allemand

SIMFAC présenté au CFA allemand

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 17:50
Missiles: MBDA très, très tenté par un contrat en Pologne

Thales propose dans le cadre du GIE Eurosam (MBDA 66 %, Thales 33 %) le système SAMP/T armé de missiles Aster 30 (

 

15/01/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La Pologne veut moderniser sa défense aérienne. Elle a sélectionné cinq candidats, dont le missilier européen MBDA présent dans trois offres différentes.

 

 

La Pologne a choisi cinq candidats pour négocier avec eux l'achat de systèmes de défense aérienne dont elle veut équiper son armée, a indiqué mercredi le ministre polonais de la Défense, Tomasz Siemoniak. Le groupe d'électronique Thales, le consortium germano-italo-américain MEADS, l'américain Raytheon, le gouvernement d'Israël et le missilier européen MBDA associé à la holding polonaise d'armements PHO (Polish Defense Holding (PHO), ex-Buma), "ont été choisis parmi les fournisseurs potentiels pour poursuivre les négociations", a précisé le ministre à la presse.

Thales propose dans le cadre du GIE Eurosam (MBDA 66 %, Thales 33 %) le système SAMP/T armé de missiles Aster 30 (radar Arabel de Thales). Une offre soutenue par la France et l'Italie. MBDA (via MBDA Allemagne et MBDA Italie) est également dans le consortium international MEADS (Medium Extended Air Defense System), emmené par le groupe américain Lockheed Martin et soutenu par les États-Unis, l'Allemagne et l'Italie.

Enfin, le missilier propose des missiles Aster 30 dans le cadre de sa coopération avec PHO, qui fournira le radar. Trois chances sur cinq de gagner pour MBDA... En face de ces trois offres : Raytheon, associé au groupe norvégien Kongsberg (système NASAMS et missiles AMRAAM), et le  groupe israélien Rafael (Spyder-MR ADS), soutenu par le gouvernement israélien.

 

L'un des trois grands contrats visés par la France

C'est l'une des trois grandes campagnes actuelles en Pologne que lorgnent les groupes d'armement français avec les hélicoptères (Airbus Helicopters) et les sous-marins (DCNS). Selon nos informations, la Pologne prévoirait de consacrer un budget de plus de 6 milliards jusqu'à 2022 à l'acquisition de systèmes de missiles de courte et moyenne portée (défense aérienne). "Nous souhaitons obtenir à travers cet investissement un renforcement de notre potentiel défensif mais aussi créer des emplois et apporter un gain à la recherche" en Pologne, a expliqué le ministre.

La Pologne est engagée dans un vaste programme de modernisation de ses forces armées. Elle entend dépenser à cette fin 140 milliards de zlotys (33,3 milliards d'euros) au cours des prochaines années. Contrairement aux autres pays européens, la Pologne, membre de l'Otan depuis 1999, n'a rien sacrifié de son budget Défense à la crise. En vertu d'une loi de 2001, ce budget reste fixé à 1,95 % du PIB. Cette année, il s'élève à 32 milliards de zlotys (7,7 milliards d'euros), dont plus du quart est consacré à la modernisation.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 17:50
photo 2e RD

photo 2e RD


16/01/2014 L. Picard  - DICoD

 

Depuis le 1er janvier 2014 et pour une durée d'un an, la France est à tête de la composante terrestre de la Nato Response Force (NRF), la Force de réaction rapide de l'OTAN. Parmi les unités qui composent cette force de réaction rapide, le bataillon de défense NRBC (Nucléaire, radiologique, biologique et chimique) est placé directement sous le commandement du Joint Force Headquarters, le quartier général de la Force interalliés de l'OTAN. Réunissant près de 600 hommes issus de cinq nations, le bataillon est placé cette année sous la direction française du 2e régiment de Dragons. Il peut être amené à intervenir sur préavis de 5 à 30 jours sur différentes situations : la reconnaissance en milieu NBC, des opérations de décontamination, ainsi que des missions d'évaluations, de détection et de surveillance. Au-delà de ses missions opérationnelles, le bataillon NRBC est également force de conseils auprès du commandement des forces.

 

En novembre dernier, une grande partie des unités appelées pour la prise d'alerte NRF 2014 se sont réunies en Pologne, sur le camp militaire de Drawsko-Pomorskie, à l'occasion de l'exercice interalliés "Steadfast Jazz". Exercice de grande ampleur réunissant une vingtaine de nationalités, il visait à certifier et valider le degré de préparation des forces désignées pour la prise d'alerte NRF 2014. L'occasion pour le bataillon NRBC d'entreprendre des manœuvres de grande ampleur.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 17:45
UN Force Intervention Brigade ready for robust action

 

 

14 January 2014 defenceWeb (Reuters)

 

Amid talk of M23 rebels regrouping, the United Nations has warned that its Force Intervention Brigade (FIB) in the DRC is ready to take “robust action at any time”.

 

Briefing the UN Security Council this week, UN mission in the Democratic Republic of Congo (MONUSCO) head Martin Kobler said the review of UN military deployment across eastern DRC would be finalised in the coming weeks.

 

“We will then have a more flexible force. We need it to be more agile, ready to deploy when needed and where civilians are threatened to take on the threat.

 

“With the FIB and our unmanned aerial vehicles, all armed groups are aware we have the will and the means to take robust action at any time,” he said.

 

South Africa, one of three troop contributing countries to the FIB under the command of Tanzanian Brigadier James Mwakibolwa, has actively contributed to the withdrawal of the M23 from eastern DRC. This was, among others, via Rooivalk combat support helicopters and the skills of SA National Defence Force (SANDF) snipers deployed to the FIB, the first UN peacekeeping force ever to have an offensive mandate.

 

The M23 appears to be regrouping only two months after the Tutsi-led insurgency was defeated by Congolese troops and UN peacekeepers, Kobler told Reuters.

 

“There are credible reports to emerging M23 activities in Ituri in north-eastern Congo,” he said, adding the Congolese government has been asked to speed up disarmament, demobilisation and re-integration of ex-M23 fighters who ended a 20 month revolt in November.

 

“I am also calling on the governments of Uganda and Rwanda to do everything possible to prevent M23 elements from sheltering or training troops on their territory. We should tolerate no military re-emergence of M23.”

 

U.N. experts - who monitor violations of UN sanctions on Congo - have long accused neighbouring Rwanda and Uganda of backing the M23, claims both governments have rejected.

 

In a report to the Security Council's Congo sanctions committee in December, the experts said they had credible information blacklisted M23 leaders were moving freely in Uganda and the group was still recruiting fighters in Rwanda.

 

M23 is one of dozens of rebel groups in eastern Congo. Millions of people have died from violence, disease and hunger since the 1990s as armed groups fight for control of the area's deposits of gold, diamonds, copper, cobalt and uranium.

 

Regional Peace Deal

 

Mary Robinson, UN special envoy to the Great Lakes charged with implementing a regional peace deal, told the 15-member Security Council that the DRC and neighbouring countries needed to take some confidence-building steps.

 

These included showing “none is harbouring individuals responsible for grave human rights violations, none is giving any kind of support or assistance to armed groups and none is interfering in the affairs of a neighbouring country”.

 

“There is worrying evidence these commitments are not yet being fully implemented by Rwanda and Uganda,” she said.

 

Kobler said following the defeat of M23, Congolese troops and UN peacekeepers had turned their attention to tackling the FDLR (Democratic Forces for the Liberation of Rwanda).

 

“First operations against FDLR saw some positions cleared,” he said adding only joint operations would be successful.

 

“I encourage Congolese forces to do more and intensify joint planning and execution of operations against FDLR.”

 

He also said military action could be expected soon against the Islamist Allied Democratic Forces (ADF), a group that “continues to spread terror and horror” in the Ituri region of Congo's north-eastern Orientale province.

 

He supported this by saying: “On December 13, in an ADF controlled areas, 21 bodies, including eight babies, very young children and pregnant woman, were found dead and mutilated with some beheaded. Three of the children were reportedly raped before they were murdered”.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 17:45
Still no progress on Defence Review

 

 

15 January 2014 by Kim Helfrich - defenceWeb

 

An indication of the priority rating, or lack of it, attached to the Defence Review comes from Shadow Defence and Military Veterans Minister David Maynier who told defenceWeb that as of today, 11 official Parliamentary questions on the review and associated matters asked by him have not yet been replied to.

 

The more than 400 page Defence Review is seen as the precursor to a new White Paper on defence that will prescribe the form of South Africa’s military for at least the next 20 years. It will also guide equipment procurement and be a valuable planning tool for the local defence industry.

 

Former Defence Minister Roelf Meyer was asked by then Defence and Military Veterans Minister Lindiwe Sisulu in July 2011 to review the current defence policy and present a document setting out the way forward.

 

Meyer and his six member committee, supported by a six-strong resource group, embarked on a national tour to obtain input from not only the defence and military sector but also civil society. Hundreds of meetings and engagements later, they produced the draft Defence Review, beating the deadline set by Sisulu, who said she wanted it to be tabled in Parliament by October 2012.

 

The Parliamentary deadline passed without the Review being seen by the national legislature. This was at the time ascribed to the arrival of Nosiviwe Mapisa-Nqakula in the Defence and Military Veterans Ministry with the outspoken Sisulu moved to Public Service and Administration.

 

Since then Meyer and his co-committee members have done more reworking of their document following meetings with the then new Minister as well one with President Jacob Zuma, Commander-in-Chief of the SA National Defence Force (SANDF).

 

That the Defence Review has to make it to Parliament has also been pointed out by Peter Groenewald, FF+ spokesman on defence. He noted that both the Department of Defence’s annual Strategic and Performance Plans make reference to it.

 

“If it is not approved or at least debated initially there will be no progress in creation of an SANDF capable of doing what government wants it to do down the line.”

 

In October defence analyst Helmoed Heitman, who is also a member of the Review committee, told defenceWeb the document has gone “about as far as it can”.

 

The Review’s lack of progress through official channels he said is “a real problem”.

 

“The strategic situation in Africa is changing quickly – and for the worse – while the SANDF is stuck with the old 1998 Defence Review force design and National Treasury intent on enforcing that, despite the obvious requirement to increase force levels and add certain capabilities, no more funding comes to the military.”

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 17:45
Djibouti Armed Forces receives 26 donated Land Cruisers

Toyota Land Cruisers donated by the US to Djibouti

 

15 January 2014 by Oscar Nkala - defenceWeb

 

The Djibouti Armed Forces (DJAF) have taken delivery of 26 new Toyota Land Cruiser 4X4 vehicles from the United States through the Foreign Military Assistance Programme as logistical and operational support to for the deployment of an additional 1 000 DJAF troops to reinforce the African Union (AU) soldiers battling Al Shabaab insurgents in the Beledweyne region of Somalia.

 

According to the United States embassy in Djibouti, the consignment (which consists of 14 Toyota Land Cruiser 2x4 pick-up trucks and 12 Toyota Land 4x4 pick-up trucks) was handed over to Djiboutian defence minister Hassan Darar Houffaneh and armed forces chief General Zakaria Cheikh Ibrahim by US ambassador Geeta Pasi in the capital Djibouti City on December 30.

 

The DJAF will this week deploy the first 100 of a full strength contingent of 1 000 men to support African Union troops battling the Al Shabaab insurgency in the Hiran area of the Beledweyne region in terms of the security mandate of the African Union Mission in Somalia (AMISOM).

 

The new deployment will bring the number of DJAF troops in Somalia to 1 980. The troop surge was approved by the United Nations Security Council on November 12 last year and allows for the temporary deployment of an additional 4 400 AU troops in Somalia to maintain security.

 

The additional troops will also form a rapid reaction force capable of responding to the increased security threats posed by Al Shabaab, Hizbul Islam and their smaller Islamic militia affiliates operating in the central, southern and coastal areas of Somalia.

 

The resolution, which also extended the AMISOM mandate in Somalia to October 31 this year, will bring the total number of AU troops in Somalia to 22 126. The UN said the deployments will only be scaled back after a period of 18-24 months as part of a final exit strategy for AU troops in Somalia.

 

The Security Council also recommended that the Somali National Army (SNA) be provided with a package of non-lethal support which includes transport, food, fuel, shelter and medical assistance through a trust fund to help expand its scope and area of its security operations.

 

Djibouti has been a recipient of US military aid before – for instance, in April last year the US Department of State provided the Djiboutian navy with two Metal Shark 28 Defiant high-speed aluminium coastal security boats to protect its borders and combat piracy, smuggling and terrorist threats. Djibouti is also home to a US military unmanned aerial vehicle (UAV) base at Chabelley airfield and hosts foreign aircraft used for anti-piracy operations at Camp Lemonnier.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 17:35
Parlementaire : une meilleure défense antimissile est nécessaire contre le Nord

 

 

SEOUL, 15 jan. (Yonhap)

 

La Corée du Sud devrait se doter d’un système de défense antimissile multiniveaux en complément du système actuel, qui serait insuffisant pour contrer les menaces balistiques de la Corée du Nord, selon le parlementaire Yoo Seong-min du parti Saenuri.

 

Yoo, chef du comité de défense parlementaire, a déclaré que le système de défense antimissile actuel n’est pas suffisant pour détruire les missiles à longue portée de la Corée du Nord.

 

Le pays possède 48 missiles PAC-2 importés d’Allemagne, ayant un taux d’interception inférieur à 40%. Le gouvernement a alloué un budget pour actualiser ce système à celui de PAC-3, ayant une meilleure précision. Séoul compte par ailleurs développer ses propres missiles sol-air de moyenne et longue portées dans le cadre de son projet de défense à moyen terme.

 

«Je me demande si le système de défense antimissile actuel est suffisant pour protéger les vies. S’il n’est pas suffisant et que les gens sont en danger, nous devrions établir une nouvelle stratégie de sécurité», a dit Yoo lors d’une réunion-débat à laquelle assistaient le ministre de la Défense Kim Kwan-jin, des responsables militaires et des experts sur la sécurité.

 

Selon Yoo, le pays devrait se munir du Terminal High Altitude Area Defense (THAAD) et du Standard Missile 3 (SM-3). Le THAAD est un système de défense antimissile développé par Lockheed Martin ayant une portée de 40 à 150km et capable d’intercepter les missiles en haute altitude et de longue portée. Le SM-3 est un missile lancé depuis les navires, utilisé par la marine américaine pour intercepter les missiles de courte et moyenne portées dans le cadre du système de défense antimissile Aegis. Les premières versions de ce missile ont une portée maximale de 500km.

 

Yoo a appelé le gouvernement à faire des efforts diplomatiques pour résoudre l’impasse nord-coréenne à travers un dialogue multilatéral, tout en enjoignant l’armée à se préparer contre les menaces d’agression. «Bien que le bouclier nucléaire américain contribuerait à la victoire en cas de guerre, il ne peut pas protéger les vies», a dit Yoo. «Les questions diplomatiques avec la Chine doivent être résolues diplomatiquement mais le gouvernement ne doit pas abandonner son système de défense antimissile à cause de l’opposition de la Chine.»

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 17:35
Air chief praises progress during first Afghanistan visit

Air Chief Marshal Sir Andrew Pulford at Camp Bastion in Afghanistan [Picture: Corporal Ross Fernie RLC, Crown copyright]

 

16 January 2014 Ministry of Defence

 

Air Chief Marshal Sir Andrew Pulford spent 2 days meeting personnel at Camp Bastion and Kandahar Airfield.

 

 

The Chief of the Air Staff (CAS), the head of the Royal Air Force, praised the armed forces during his visit which included meeting the Tornado detachment at 904 Expeditionary Air Wing in Kandahar, currently manned by the ‘Dambusters’, No 617 Squadron.

He also visited Task Force Helmand at Camp Bastion, the unit responsible for the UK’s combat operations across Helmand province, as well as 903 Expeditionary Air Wing, which runs the camp’s busy airfield.

During his visit he spoke about the UK’s mission in 2014:

This year will be another year of hard work, another year of commitment, another year of being in harm’s way; we will need to maintain our focus and effort right through to the end of combat operations.

I continue to be hugely impressed by the contribution being made by all elements of the Royal Air Force to Op Herrick, from the RAF Regiment providing vital force protection on the ground in Helmand to the Reaper and C-130 crews providing support to the ANSF (Afghan National Security Forces) and ISAF (International Security Assistance Force) across the whole of Afghanistan.

CAS was able to see the Royal Air Force’s new Voyager transport aircraft, which has now started flying routinely into Afghanistan to support the airbridge to and from the UK.

Air Chief Marshal Sir Andrew Pulford greets a soldier at Camp Bastion
Chief of the Air Staff, Air Chief Marshal Sir Andrew Pulford, meeting soldiers and airmen at Camp Bastion in Afghanistan [Picture: Corporal Ross Fernie RLC, Crown copyright]

Voyager is a state-of-the-art passenger aircraft and air-to-air refueller with the reliability and capacity of a modern airliner.

During his visit to the Tornado detachment at 904 Expeditionary Air Wing in Kandahar, CAS met Royal Air Force personnel of all ranks.

He said:

The Tornado is the mainstay of the Royal Air Force’s air combat force and has been a fundamental part of air operations across Afghanistan. It has provided close air support to both ANSF and ISAF alike since its first deployment to Afghanistan.

CAS also visited the Joint Aviation Group at Bastion, where pilots from all 3 services fly the UK’s helicopters on operations in Afghanistan.

He said:

The Royal Navy’s Commando Helicopter Force, the Apaches and Lynx of the Army Air Corps, and of course the Royal Air Force’s Chinook and Merlin forces have committed themselves fully over many years in Afghanistan.

The Rotary Wing Force and the medical emergency response teams have day-in day-out provided life-saving care which has directly saved many hundreds of Afghan and ISAF lives.

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