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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 16:55
Le général de corps aérien Gratien Maire

Le général de corps aérien Gratien Maire

 

16/01/2014 Armée de l'Air

 

Le général d’armée Pierre de Villiers a été nommé comme successeur de l’amiral Edouard Guillaud au poste de chef d’état-major des armées lors du conseil des ministres du 15 janvier 2014. Il prendra ses fonctions le 15 février 2014.

 

Le général de corps aérien Gratien Maire sera son plus proche collaborateur en devenant major général des armées.

 

 

Breveté pilote de chasse en 1981, le général Maire a pris part à de nombreuses opérations extérieures en Afrique et au Moyen-Orient. Ancien auditeur de l'institut des hautes études de la défense nationale, il occupe depuis 2004 différentes fonctions au plus haut niveau de l'administration centrale, dont celles d'adjoint "air" au cabinet militaire du Premier ministre ou d'attaché de défense près l'ambassade de France aux États-Unis pendant trois ans.

Depuis septembre 2012, il œuvre au sein de l'état-major des armées en tant que sous-chef d'État-major relations internationales.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 15:35
Blindés : l’armée lance un appel d’offres de plus de 2 milliards d’euros

L’appel d’offres prévoit la construction de 2.080 blindés de transport de troupe pour remplacer les VAB fortement éprouvés en opérations extérieures, comme actuellement en Centrafrique

 

16/01 Par Alain Ruello - Les Echos

 

EXCLUSIF Le ministère de la Défense a envoyé un appel d’offres restreint à Nexter, Renault Trucks Defense et Thales. Objectif : fabriquer 2.300 blindés d’infanterie dans le cadre du programme Scorpion de modernisation de l’armée de terre.

 

Le grand programme Scorpion de modernisation de l’armée de terre vient de franchir une étape importante. La DGA a lancé l’appel d’offres pour la fabrication des 2.300 blindés prévus pour remplacer les Véhicules de l’avant blindé (VAB), Sagaie et autres AMX 10 RC qui plient sous le poids de l’âge. Le marché est évalué à plus de 2 milliards d’euros. De quoi aiguiser les appétits des industriels européens. Par les quantités en jeu, il s’agit du plus gros appel d’offres sur le Vieux Continent, et même dans le monde. Sauf que l’histoire est en partie déjà écrite puisque tout est fait pour que le marché n’échappe pas au trio Nexter-Renault Trucks Défense-Thales.

Au lieu d’un appel d’offres européen ouvert, la DGA a en effet opté pour une consultation restreinte envoyée aux trois champions français de l’armement terrestre, a-t-on appris de sources concordantes. Elle s’est pour cela retranchée derrière l’article 346 du traité européen qui permet à un pays de  privilégier son industrie sous couvert d’enjeux de souveraineté nationales. « Tout État membre peut prendre les mesures qu’il estime nécessaires à la protection des intérêts essentiels de sa sécurité et qui se rapportent à la production ou au commerce d’armes, de munitions et de matériel de guerre », y est-il écrit.

La France peut-elle réellement faire jouer des considérations de sécurité d’approvisionnement dans le cas du programme Scorpion ? Pour ce qui est des 2.080 véhicules blindés multi-rôles (VBMR) prévus pour remplacer les vénérables VAB, on peut en douter puisqu’il s’agit de véhicules de transport de troupes faiblement armés qu’on trouve sur étagères partout dans le monde. L’argument est plus crédible s’agissant des 248 EBRC (engins blindés de reconnaissance de combat, qui remplaceront les Sagaie et AMX-10 RC), puisque on a affaire à des d’engins fortement armés.

 

Protéger les plans de charges des industriels français

 

photo EMA

photo EMA

Contactée, la DGA n’a pas souhaité commenter. Et pour cause. Dans le landerneau militaire, chacun sait que, sans être complètement infondé, l’argument de la souveraineté en cache un autre, impossible à mettre sur la place publique : il faut protéger les plans de charge des industriels nationaux. Nexter est en mal de succès à l’export pour son VBCI après l’annulation de l’appel d’offres canadien . Renault Trucks défense aussi est à la peine. Par la diversité de son portefeuille de produits, Thales pourrait passer à côté de Scorpion, mais ses activités terrestres en France en prendraient quand même un coup.

L’appel d’offres restreint cache donc un acte de protectionisme économique, sans que ce soit infamant, mais qui met à mal les discours officiels en faveur de l’Europe de la Défense. Après tout, l’Allemagne ne fait pas autrement : tous ses blindés son « made in Germany ». «On serait bien stupides si on était les seuls en Europe à ne pas le faire. On connaît les limites de l’Europe de la Défense », résume sans fard un bon connaisseur du dossier.

Dès lors, la discrétion de la DGA est compréhensible pour éviter de susciter le recours d’un industriel européen, ce qui ne manquerait pas de retarder encore plus le programme Scorpion. La Commission ou un autre Etat membre pourrait aussi porter l’affaire devant la cour de justice européenne s’ils estiment que la France fait un usage abusif de l’article 346... On verra. En attendant Nexter, RTD et Thales vont devoir s’entendre pour répondre de manière conjointe à l’appel d’offres. « Les discussions vont bon train », confirme-t-on aux « Echos ».

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:55
Jean-Michel Palagos, nouveau pilote de Défense Conseil International

 

16/01 Par Laurance N'kaoua – LesEchos.fr

 

Un atlas du monde en 1555, une biographie de Jean Moulin, un ouvrage sur la Compagnie des Indes, un autre sur l'Indochine, un troisième sur la Patrouille de France… dans son bureau chez Défense Conseil International, Jean-Michel Palagos n'a apporté que quelques beaux livres. Ni les maquettes d'hélicoptère, ni les bibelots n'appartiennent à ce PDG, qui vient de quitter le cabinet du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, pour piloter cette société spécialisée dans l'accompagnement des armées de pays ayant acquis du matériel français.

 

Ne s'encombrer que d'une formidable joie de vivre… sans doute est-ce là l'héritage de son père, républicain espagnol, exilé par deux fois. En Algérie d'abord, où Jean-Michel Palagos est né. En France, ensuite, sur les hauteurs de Montrouge, dans le fracas de 1962.

 

Mais le goût pour la simplicité de Jean-Michel Palagos vient aussi de son passage à l'armée. Un univers qu'il découvre à vingt ans, lors de son service militaire, et que ce patron, chaleureux, fidèle mais secret, ne quittera plus. « Longtemps, mon existence a tenu en 111 kilos : c'était le poids de ma cantine Sernam », sourit-il.

 

Pour ce dirigeant de soixante-trois ans, très attaché à ses racines - il parle le catalan de son père -, l'armée est un ancrage. Ce fonceur, que des études d'économie avaient lassé et qui n'a décroché sa maîtrise de droit que pour rassurer ses parents, a été séduit, dit-il, par un mélange de choses simples - comme la camaraderie, le côté ludique, le sport… - et de ressorts plus complexes, comme le sentiment d'être redevable à la France. « Malgré un quotidien éprouvant physiquement, je me suis beaucoup amusé. Nous étions tous logés à la même enseigne, mais quelle richesse humaine ! »

 

De simple soldat à DRH

 

Ce père de quatre enfants, dont les insignes de la Légion d'honneur et de l'ordre du Mérite ornent le veston, en est convaincu : « On ne fait bien un métier que si on y prend du plaisir. J'ai aimé tout ce que j'ai fait. » Soldat, sous-officier, lieutenant, capitaine, commandant…, il sillonne les casernes de Pau, Clermont-Ferrand, Montpellier, Colmar ou Donaueschingen, en Allemagne. Sans se douter qu'un jour, en tant que conseiller d'Alain Richard au ministère de la Défense, c'est lui qui rédigerait l'essentiel de la loi de professionnalisation des armées, pour suspendre le service national.

 

C'est en 1986, après quinze ans de terrain, qu'il passe de l'autre côté du décor : à l'état-major. Après avoir réussi le concours de l'Ecole de guerre, ses supérieurs l'invitent à tenter Sciences po. D'études en concours, il accède au sommet, en devenant contrôleur général des armées. Et oeuvre, dans la foulée, comme directeur des études du Centre des hautes études de l'armement. En 1997, il rejoint le cabinet d'Alain Richard. Et, dès 2000, l'ancien soldat est promu DRH du ministère de la Défense. Cinq ans durant, il présidera au destin de plus de 300.000 civils et militaires.

 

Pour autant, le monde de l'entreprise ne lui est pas étranger. Soucieux de ne pas « traverser la vie sans rien faire de concret », il crée, en 2005, le cabinet de conseil en organisation Codéac.

 

Aujourd'hui, la structure est en sommeil. Car sa rencontre, en 2006, avec Jean-Yves Le Drian et son futur directeur de cabinet Cédric Lewandowski est décisive. Le trio oeuvre à la campagne de Ségolène Royal, puis à celle de François Hollande : doté, dit-on, d'une très belle plume, Jean-Michel Palagos s'embarque dans l'aventure. « Il n'est pas homme à faire les choses à moitié. Il s'engage, corps et âme, avec force », raconte Cédric Lewandowski. Les trois hommes resteront liés. A l'Hôtel de Brienne, Jean-Michel Palagos est directeur adjoint du cabinet du ministre. A présent, chez DCI, dont l'Etat est actionnaire à 49,9 %, ce « très grand travailleur », à la fois « curieux de tout connaître » et discret, est fin prêt à relever les défis, notamment à l'international…

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:55
ECA annonce la vente de simulateurs terrestres de défense à l’international

 

Toulon, le 16 janvier 2014 ECA

 

ECA annonce la vente à l’export, au travers de sa filiale ECA FAROS, de simulateurs d’entraînement pour véhicules terrestres de défense. Cette commande d’un montant significatif pour le groupe sera comptabilisée sur plusieurs exercices. Ajoutée aux autres commandes du mois, elle permet à ECA d’afficher sa meilleure prise de commande historique mensuelle en simulation.

 

Ces simulateurs 6 axes haut de gamme sont mis en réseau et permettent d’entraîner les personnels pour des missions collaboratives sur un théâtre d’opération, une supervision permettant de vérifier le bon déroulement de la mission simulée.

 

ECA était déjà présent dans la simulation de défense pour le domaine naval. Une commande de plusieurs millions d’euros a d’ailleurs déjà été enregistrée en Asie dans ce secteur mi-2013.

 

Cette nouvelle commande de simulateurs pour la défense terrestre a été obtenue en combinant les compétences en simulation de conduite de véhicules d’ECA FAROS et les compétences Défense du groupe.

 

Le marché annuel mondial pour des simulateurs terrestres de défense comparables est supérieur à 50 millions d’euros. ECA vise à devenir un acteur majeur de ce marché.

 

A propos d’ECA

Leader dans la protection des vies humaines par la robotique, la simulation et les systèmes de contrôle et de sécurité, le Groupe ECA a acquis des positions de leader dans des applications dédiées aux «milieux hostiles et contraints », des marchés de niche à fort contenu technologique et aux cycles complémentaires tels que la défense, la Sécurité Intérieure, le Nucléaire, l’Offshore ou l’Aéronautique. A la pointe de l’innovation, ECA est le N°1 mondial dans la robotique de déminage sous -marin avec 70% du parc installé et le N°1 français pour la robotique terrestre et les systèmes d’assemblage (aéronautique).

En 2012, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 98,8 M€ qui se répartit ainsi :

Défense/Robotique (50,3%): robots d’identification et de destruction de mines, robots autonomes de détection/cartographie, drones de surface, simulateurs navals, robots terrestres, systèmes de contrôle pour les navires, etc. ;

Civil/Aéronautique (49,7%): Systèmes de contrôle/sécurité et simulateurs d’entraînement pour l’Aéronautique, simulateurs terrestres, etc.

Retrouvez l’ensemble de notre communication financière sur www.ecagroup.com

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:50
Armed Forces Minister views UK unmanned aerial systems

Mark Francois speaks to Royal Navy Commander Bow Wheaton about his experience of the Scan Eagle unmanned aerial system

 

15 January 2014 Ministry of Defence

 

Mark Francois toured RAF Waddington today to view the full scope of the UK's unmanned aerial systems capability.

 

Mr Francois spoke to operators of Navy, Army and RAF unmanned aerial systems (UAS), including Scan Eagle, Desert Hawk and Reaper.

He also viewed the inside of a Reaper control cabin and was shown how a highly-trained and highly-qualified team control the aircraft, with pilots, sensor operators and analysts all working together to make decisions in real-time.

Mr Francois’ visit was part of a wider drive by MOD to dispel some of the myths around the use of unmanned aerial systems, demonstrate the vital role they play in supporting personnel on operations in Afghanistan, and confirm the utility of such systems for the future.

Mr Francois said:

Our remotely-piloted systems provide life-saving intelligence, reconnaissance and surveillance on operations as well as giving us the ability to strike precisely at those who pose a risk to our personnel and the people they are trying to protect.

I was delighted to meet with and listen to the talented personnel who operate this capability. They deserve great credit for the work they do in saving the lives of our ground troops, our Afghan and international colleagues, and Afghan civilians.

Mark Francois takes a close look at the Black Hornet nano unmanned aerial system
Armed Forces Minister Mark Francois takes a close look at the Black Hornet nano unmanned aerial system [Pictures: Corporal Bibby RAF, Crown copyright]

Ground troops who have served in Afghanistan were also present at RAF Waddington to describe how UAS assets had provided them with life-saving support at vital times.

Air Vice-Marshal Philip Osborn, Joint Forces Command Capability Director, said:

The UK’s unmanned aerial systems provide UK and allied forces with persistent surveillance of enemy positions without putting their lives at unnecessary risk. In today’s operational environment they are still used predominantly in surveillance and reconnaissance roles.

When precision strike capability is required by ground commanders, this is always in accordance with international humanitarian law and governed by the same strict rules of engagement as those governing manned aircraft.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:50
European Defence Matters - new video

18 déc. 2013  European Defence Agency

 

European Defence Agency is the place for defence cooperation enabling Member States to strengthen their defence capabilities. Find out more about the work of the Agency in this video.

More on http://www.eda.europa.eu/

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:40
La Russie veut exporter 200.000 Kalachnikov par an aux Etats-Unis

 

13/01/2014 latribune.fr 

 

La marque Kalachnikov est toujours aussi demandée, quinze jours après la mort du créateur de l'arme d'assaut soviétique, le AK-47 : la Russie annonce la signature d'un contrat qui la verra livrer 200.000 armes par an aux États-Unis.

 

De quoi inspirer quelques jeux de mots sur la Guerre froide. La Russie compte exporter 200.000 fusils d'assaut Kalachnikov par an aux Etats-Unis, rapporte lundi l'agence de presse russe Ria Novosti.

Le contrat officialisant cet échange doit être signé à la mi-janvier à l'occasion du Shot Show 2014, salon de vendeurs d'armes ayant lieu du 14 au 17 janvier à Las Vegas (Etats-Unis).

"Le consortium Kalachnikov, qui fait partie du holding russe de hautes technologies Rostec, signera un accord exclusif avec Russian Weapon Company (RWC) sur les livraisons d'armes aux Etats-Unis", a ainsi indiqué Elena Filatova, porte-parole du consortium Kalachnikov. "Selon Pavel Kolegov, directeur général adjoint pour les ventes et le marketing du consortium, Kalachnikov pourrait vendre 200.000 fusils d'assaut par an aux Etats-Unis via son distributeur exclusif RWC."

 

Une filiale de Rostec

Le consortium Kalachnikov, anciennement connu sous le nom de Groupe de recherche et de production Ijmach, est une filiale du holding nationale russe Rostec, créée en 2007 pour favoriser le développement, la fabrication et l'exportation de la production industrielle de haute technologie à usage civil et militaire.

Le Groupe de recherche Ijmach, lui, date d'avant l'ère soviétique. Fondé en 1807 à Ijevsk, par le tsar Alexandre 1er, c'est lui qui a fabriqué le célèbre AK-47. ll collabore avec RWC depuis deux ans, et 90% des armes qu'il destine à l'exportation ont pour destination les Etats-Unis.

 

Bond des exportations

Il y a un an, France Tv Info expliquait que l'entreprise de l'Oural avait connu un bond de 60% de ses exportations sur les neuf premiers mois de l'année 2012, grâce à la demande américaine. Le marché outre-atlantique plébiscitait en effet le faible coût des armes russes, disponibles à partir de 300 euros pièce.

En deux ans, la société Ijmach, avait multiplié par douze son volume à l'exportation, qui atteint 12 millions d'euros, expliquait France TV Info. La société voyait dans l'exportation un moyen de faire face à la baisse de la demande de l'armée russe.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:25
Airbus Helicopters obtient un joli succès en Bolivie

 

 

15/01/2014 Michel Cabirol  - laTribune.fr

 

La filiale hélicoptériste d'Airbus Group a décroché une commande de six Super Puma en Bolivie pour plus de 100 millions d'euros six mois après la brouille entre Paris et La Paz autour de l'affaire Snowden. Airbus Helicopters a vendu sa dernière version AS332 C1e à l'armée de l'air bolivienne.

 

C'est un joli petit contrat pour Airbus Helicopters (ex-Eurocopter). Selon des sources concordantes, la filiale d'Airbus Group, a vendu à la Bolivie six Super Puma AS332 C1e, son tout nouvel appareil low cost lancé en 2012. Un contrat estimé à plus de 100 millions d'euros et  qui est comptabilisé dans les prises de commandes de 2013. Il a été signé en décembre. Deux Super Puma AS332 C1e seront livrés dès cette année à la Fuerza Aérea Boliviana, l'armée de l'air bolivienne, qui disposera de ses six appareils avant la fin 2016. Ils serviront à la lutte contre les narco-trafiquants et dans le domaine de la sécurité civile.

Un contrat qui était suspendu à la réconciliation franco-bolivienne. Ce qui a été le cas en septembre dernier entre les deux présidents Evo Morales et François Hollande lors d'une rencontre à New York en marge de l'assemblée générale des Nations Unies. Le président français avait affirmé que l'incident survenu à la fin juin entre La Paz et Paris autour de l'affaire Snowden était "clos".

 

Un appareil très compétitif à l'export

L'AS332 C1e est une nouvelle version de l'hélicoptère Super Puma d'Eurocopter. Il offre une configuration standardisée permettant de réduire les délais de livraison, avec des coûts d'exploitation et de maintenance très compétitifs. Cet appareil va permettre à Airbus Helicopters de mieux rivaliser face à hélicoptères russes tel que Mi-171A2. Des options sur ce Super Puma sont également disponibles. Cet hélicoptère bimoteur de moyen tonnage, qui dispose d'un long rayon d'action, offre aux opérateurs une capacité de charge utile pouvant atteindre 4,3 tonnes, pour le transport d'équipements et de passagers, ainsi que pour les missions de recherche-sauvetage.

 Grâce à son moteur Makila 1A1 (Turbomeca) ainsi qu'une avionique et un pilote automatique de 4 axes de dernière génération, l'AS332 C1e peut intervenir dans les conditions d'opération les plus rigoureuses. "Au-delà de ces caractéristiques, l'AS332 C1e offre également un excellent taux de disponibilité, avec des coûts de maintenance et d'exploitation optimisés", expliquait Airbus Helicopters.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:20
Un drone américain Prédator MQ-1

Un drone américain Prédator MQ-1

La fréquence de leur utilisation sur le territoire américain a conduit à une plainte.

 

15 janvier 2014 Par Anne-Marie Capomaccio, correspondante à Washington -  RFI

 

Les drones sont de plus en plus utilisés sur le territoire des Etats-Unis par les autorités locales, et cela inquiète les organisations de défense des droits civiques, et de protection de la vie privée qui ont porté l’affaire devant les tribunaux. Ces drones appartiennent aux services fédéraux chargés de la protection des frontières, la seule administration autorisée à opérer ces avions sans pilote. C’est à l’occasion de cette plainte que certaines données ont été révélées dans un rapport que ce sont procurés nos confrères du Washington Post.

 

Les données sont partielles car tout ou presque est confidentiel dans cette affaire. On ne connait pas le nom des administrations locales, ni le trajet des drones, ni le détail des affaires pour lesquelles ils ont été utilisés.

 

Ce que dévoile la plainte des associations de défense des citoyens, c'est la fréquence de l’utilisation des drones sur le territoire des Etats-Unis. 76 demandes en 2010, 300 en 2011. Et le nombre de vols de surveillance n’a fait que croitre. Les avions sans pilote sont loués auprès des services de surveillance des frontières dans des affaires criminelles, dans la recherche de personnes disparues, et dans les cas de catastrophes naturelles par exemple.

 

Qui contrôle la bonne utilisation des drones ?

 

Les caméras sophistiquées et les radars qui équipent les appareils sont enviés par toutes les administrations qui n’ont pas l’autorisation d’en posséder. Ces « emprunts », cette coopération entre services, est un moyen de détourner la règle.

 

Et c’est ce qui met en colère les plaignants : qui contrôle la bonne utilisation des drones ? Pourquoi n’a-t-on pas accès aux données recueillies, ce qui garantirait que la vie privée des citoyens n’est pas violée par cette surveillance. Pour l’instant, la justice estime qu’il n’y a pas matière à s’inquiéter. Mais le sujet est sensible et l’affaire ne devrait pas s’arrêter là.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 13:20
Programme d'achat de camions de l'armée: des délais coûteux

 

 

15 janvier 2014 Murray Brewster La Presse Canadienne

 

En juillet 2012, le programme était considéré comme une «priorité urgente», alors que la flotte de camions de l'armée, datant des années 1980, pouvait comporter des risques d'utilisation.

 

Ottawa - Plus il faudra de temps au gouvernement fédéral pour se décider sur l'achat de 1500 camions pour l'armée, plus le prix d'achat sera élevé, avertissait le ministère de la Défense nationale dès 2012.

 

Ce rappel est contenu dans un mémo, obtenu par La Presse Canadienne grâce à la Loi d'accès à l'information, concernant le programme «système de véhicule de soutien moyen».

 

Il était adressé au sous-ministre de la défense de l'époque, Robert Fonberg, alors que le ministère venait de mettre sur la glace le programme pour une seconde fois depuis 2006 en raison de coupes budgétaires à la Défense nationale.

 

M. Fonberg, qui a depuis changé de poste au sein du gouvernement, s'était fait indiquer par des fonctionnaires que les 800 millions $ mis de côté par le gouvernement conservateur pour le programme se faisait gruger chaque année à hauteur de 2 pour cent en raison de l'inflation.

 

Chaque année de retard dans l'application du programme se concrétise par une diminution du pouvoir d'achat, peut-on apprendre dans une note datée du 27 novembre 2012.

 

La même note révèle qu'il en coûtait 10,5 millions $ par année pour conservait le bureau responsable du programme.

 

Le programme «système de véhicule de soutien moyen» a été réanimé l'an dernier. Les enchères pour l'achat de nouveaux camions ont d'ailleurs été clôturées la semaine dernière.

 

Aucun contrat ne sera cependant accordé avant l'été 2015, tout juste quelques semaines avant la prochaine élection fédérale.

 

Ce délai pourrait ainsi amputer le programme d'un pouvoir d'achat de 48 millions $.

 

Le porte-parole néo-démocrate en matière de défense, Jack Harris, a dénoncé qu'un achat relativement simple de camions a été détourné à des fins politiques.

 

En juillet 2012, le programme était considéré comme une «priorité urgente», alors que la flotte de camions de l'armée, datant des années 1980, pouvait comporter des risques d'utilisation.

 

Le porte-parole du NPD a affirmé que la réelle priorité du gouvernement aura été de balancer le budget, plutôt que de se préoccuper des questions de sécurité relatives à l'utilisation des anciens véhicules de l'armée.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 12:55
Création d’une chaire « Economie de défense »

 

15 janvier Aerobuzz.fr

 

L’IHEDN (Institut des hautes études de défense nationale) vient de se doter d’une nouvelle chaire sur le thème de l’économie de Défense. Portée par MBDA, Safran, Thales et Renault Trucks, elle vise à éclairer le plus largement et objectivement possible les impacts économiques des décisions politiques en matière de défense (coût des conflits, lancements de programmes, soutien aux filières industrielles, choix ou non de coopérations internationales, etc.). Elle s’intéressera tout particulièrement à certaines caractéristiques clés de l’écosystème Défense : l’emploi, l’innovation, les modes de financement, la compétitivité, les complémentarités duales, les exportations. Elle constituera une passerelle entre le monde académique et la Défense en diffusant une connaissance objective et indépendante sur l’impact de la défense dans notre économie. Elle vise aussi à attirer vers le domaine de l’économie de défense des jeunes chercheurs de talent et à animer un réseau académique et scientifique dans ce domaine.

 

Jean Belin, titulaire de la chaire et maître de conférences à l’université Bordeaux 4, précise que « la chaire "Économie de défense" a le triple objectif d’augmenter la production de recherches universitaires en économie de défense, de fédérer et de diffuser la pensée économique de défense et enfin de former et d’éclairer les décideurs publics et privés. »

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 12:55
photo EMA

photo EMA

En 2013, 630 millions d'euros pour les opex étaient prévus. La consommation réelle de crédits s'est finalement élevée à environ 1,2 milliards d'euros, selon M. Carrez.1,2

 

16/01/2014 Par LEXPRESS.fr

 

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian est auditionné ce jeudi par la Commission des finances de l'Assemblée nationale. L'opposition souhaite "faire le point sur les financements non français" des opérations extérieures.

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, est auditionné ce jeudi par la Commission des finances de l'Assemblée nationale au sujet du financement des opérations extérieures, notamment au Mali et en Centrafrique, a indiqué jeudi à l'AFP le président de la Commission, Gilles Carrez (UMP). "On souhaite surtout faire le point sur les financements non français, que ce soit sous forme financière ou sous forme logistique", a déclaré M. Carrez. "La difficulté est de trouver les financements. Il est nécessaire de faire le point", a poursuivi le député du Val-de-Marne.

 

1,2 milliard d'euros au lieu des 630 millions prévus

 

Une somme de 450 millions d'euros est inscrite dans le budget 2014 pour le financement des opérations extérieures (opex). Cette somme correspond à celle inscrite dans la loi de programmation militaire (LPM) 2014-2018 qui vient d'être promulguée. Le solde réel fait l'objet d'un financement interministériel, selon la LPM.

 

En 2013, 630 millions d'euros pour les opex étaient prévus dans le budget initial, promulgué quelques jours avant le déclenchement de l'opération Serval au Mali, dont la Cour des comptes a récemment évalué le coût à 647 millions d'euros. La consommation réelle de crédits s'est finalement élevée à environ 1,2 milliards d'euros, selon M. Carrez.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 12:55
Sagem reçoit une nouvelle commande de cinq drones SDTI Sperwer pour l’Armée de Terre française

 

Paris, Ie 15 janvier 2014 Safran

 

Sagem (Safran) a reçu fin décembre 2013 une commande de la Direction Générale de l’Armement (DGA) portant sur cinq drones tactiques SDTI Sperwer (Système de Drones Tactiques Intérimaires) supplémentaires au profit de l’Armée de Terre française, dont trois fermes et deux en options. Les drones seront livrés en 2015.

Le système de drones tactiques Sperwer a été utilisé en Afghanistan entre 2003 et 2012 par trois Forces de l’OTAN (Canada, Pays-Bas, France). Dans l’armée de Terre, le Sperwer est mis en œuvre par le 61e Régiment d’Artillerie (*) qui l’a déployé avec succès sur ce théâtre de novembre 2008 à juin 2012 pour des missions de protection, de renseignement, et d’appui des troupes au sol.

Ce nouveau contrat impliquera les établissements Sagem de Dijon et de Poitiers pour les capteurs optroniques, de Fougères pour les cartes électroniques et de Montluçon pour les systèmes de pilotage, de navigation et l’intégration des drones, ainsi que de nombreuses sociétés françaises fournissant des sous ensembles du drone. Ce tissu industriel permet à Sagem de soutenir le SDTI de l’Armée de Terre au-delà de 2017.

A partir de l’expérience acquise avec Sperwer, Sagem développe le système de drones tactiques endurant Patroller™ pour les marchés internationaux et pour répondre aux besoins futurs de l’armée de Terre.

Sagem maîtrise en France l’ensemble des technologies nécessaires au développement et à la production d’un système de drones : capteurs optroniques gyrostabilisés jour-nuit, navigation inertielle, avionique de vol, liaisons de données, segment sol (stations de contrôle, traitement d’image, préparation et restitution de missions,…), intégration, certification de navigabilité et essais en vol des systèmes et des charges utiles.

A ce jour, Sagem a produit plus de 25 systèmes de drones tactiques Sperwer et 150 véhicules aériens.

(*) A ce titre, la Brigade de Renseignement, dont fait partie le 61ième RA, a reçu la croix de la valeur militaire lors d’une cérémonie à l’Hôtel des Invalides (Paris) le 20 Novembre 2013.

****

Sagem, société de haute technologie du groupe Safran, est un leader mondial de solutions et de services en optronique, avionique, électronique et logiciels critiques, pour les marchés civils et de défense. N°1 européen et n°3 mondial des systèmes de navigation inertielle pour les applications aéronautiques, marines et terrestres, Sagem est également n°1 mondial des commandes de vol pour hélicoptères et n°1 européen des systèmes optroniques et des systèmes de drones tactiques. Présents sur tous les continents via le réseau international du groupe Safran, Sagem et ses filiales emploient 7 000 personnes en Europe, en Asie du Sud-est et Amérique du Nord. Sagem est le nom commercial de la société Sagem Défense Sécurité.
Pour plus d’informations : www.sagem-ds.com

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 12:50
L'Etat vend 1% d'Airbus Group (ex-EADS)

Désormais, la France et l'Allemagne détiendront 11% des droits de vote d'Airbus Group, et l'Espagne 4%.

 

16/01/2014 latribune.fr

 

Le ministère de l'Economie et des Finances a annoncé mercredi la cession par l'Etat français d'environ un pour cent du capital de l'ex-EADS, ramenant sa participation à 11% des droits de vote, à parité avec l'Etat allemand.

 

L'Etat cède 1% d'Airbus Group, soit quelque 451 millions d'euros, selon le cours de l'action en clôture de la Bourse mercredi. Annoncée par Bercy, cette cession d'environ huit millions d'actions dans l'ex-EADS par le biais d'un placement institutionnel accéléré fait suite à un accord bilatéral entre l'Allemagne et la France, précise le ministère dans un communiqué. Bercy précise:

 

    "Ces ressources viendront notamment compenser le financement exceptionnel de 1,5 milliard d'euros du nouveau Programme d'Investissements d'Avenir au bénéfice de l'excellence technologique de l'industrie de défense, prévu par la Loi de Programmation Militaire".

 

Cela ne modifie pas la place de l'Etat dans la gouvernance d'Airbus

 

Cela dit, l'ajustement à la baisse de la participation de la France, pour s'aligner avec celle de l'Allemagne, ne modifie pas la place de l'Etat dans la gouvernance d'Airbus Group, dont il entend demeurer un actionnaire de référence à moyen terme, ajoute le ministère.

 

Désormais, la France et l'Allemagne détiendront 11% des droits de vote d'Airbus Group, et l'Espagne 4%.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 12:45
photo ECCPAD

photo ECCPAD

 

16/01/2014 par Claire Meynial - Le Point.fr

 

Le général Francisco Soriano, commandant des Forces françaises au Gabon (FFG), est à la tête de l'opération Sangaris. Retour sur un mois et une semaine de mission.

 

Le Point.fr : Un peu plus d'un mois après le lancement de Sangaris, quel bilan tirez-vous de l'opération ?

 

Général Soriano : Notre mission consistait à ramener un niveau de sécurité minimum avec la Misca, et d'assurer la montée en puissance de celle-ci, qui doit passer de 4 000 à 6 000 hommes. Nous nous sommes déployés dès le 5 décembre, je suis arrivé le 6 de Libreville avec une partie des éléments. Il fallait ramener le calme, faire cesser les exactions et en parallèle, assurer notre propre montée en puissance. Cela a été une véritable prouesse : en moins de trois jours la force a pu se déployer en totalité. Cela nous a permis de mener la première opération de désarmement dès le 9 décembre. Je peux vous assurer que peu d'armées sont capables de monter en puissance dans des délais aussi brefs et en utilisant tous les dispositifs en venant de France, du Gabon, du Cameroun, en s'appuyant sur les effectifs pré-positionnés, l'alerte Guépard, la réserve opérationnelle embarquée sur le Dixmude. Tout est arrivé en même temps, de façon coordonnée et sans casse.

Après les premières opérations de désarmement, le calme est revenu dans la capitale jusqu'au 19 décembre. Il y a eu un nouveau pic de violence quand les milices ont repris les armes pendant deux jours. Des violences que nous sommes arrivés à contenir jusqu'à Noël, période de tension où nous avons mis un maximum de monde à Bangui et en province. Le pic de violence a été ramené, le 25, à un niveau très bas à nouveau. Ensuite, la démission du président Michel Djotodia a placé le pays dans une période d'attente, propice à certains fauteurs de troubles. Nous étions parfaitement préparés et dès la démission annoncée, nous avons lancé l'opération Ngounda, sur les grands axes, à la fois avec de la présence fixe et beaucoup de mobilité et des patrouilles avec la Misca, près des lieux de pouvoir. Depuis le 13 janvier, nous sommes revenus à une période de calme, que nous espérons la plus longue possible, pour permettre la transition politique. Nous allons continuer, c'est indispensable pour la Centrafrique qui a besoin d'une autorité de transition.

 

Combien de temps la force doit-elle encore rester ? Les projections ont-elles évolué ?

La Misca doit terminer sa montée en puissance fin février, pour pouvoir pleinement remplir sa mission fin juin. Après le mois de juin, elle devra prendre à son compte la sécurité. Notre collaboration pourra prendre d'autres formes, comme du conseil. Mais nous resterons le temps qu'il faudra.

 

Si la mission consistait à rétablir la sécurité, était-ce vraiment l'armée qu'il fallait envoyer ? N'était-ce pas plutôt une mission pour la gendarmerie ?

Notre mission n'est pas une mission de police. Un militaire de Sangaris, en une journée, peut être amené à faire face à des mouvements de foule mais pas seulement. Les militaires peuvent être pris à partie, parfois il faut mobiliser l'ensemble de la force, avec des éléments qu'il n'y a pas dans les forces de police. Le panel d'actions est extrêmement varié, dans un contexte sécuritaire où des groupes armés récalcitrants peuvent utiliser un armement de guerre. Seule une troupe maîtrisant cet armement peut leur faire face.

Les éléments de la force travaillent énormément, ils ont beau être entraînés et bénéficier d'une expertise certaine, ils sont épuisés. N'êtes-vous pas manifestement en sous-effectif ?

Beaucoup d'acteurs saluent le travail de la force, aussi bien les ONG que les dignitaires, les religieux... Ils sont unanimes sur la disponibilité, l'engagement, la maîtrise de nos éléments. C'est un vrai motif de fierté. C'est la marque d'une armée professionnelle, aguerrie, qui sait faire face à ce type de situations difficiles. Mais nous ne sommes pas seuls. Nous sommes avec la Misca. On est là pour être avec eux et assurer la montée en puissance. Nous devons les amener, de plus en plus, à travailler avec nous. Avec les contingents de sept nations. Dans la capitale, il y a des Burundais et des Tchadiens, des Congolais et des Camerounais parmi les forces de police. Ils sont de grande valeur, disponibles et très sollicités. Soyons aussi un peu indulgents avec la Misca, elle existe depuis le 19 décembre ! Il y a eu une violence ahurissante, et la Misca a accompli sa part pour la contrôler. La coordination se fait au niveau de l'état-major, avec environ dix officiers de liaison. Nous avons aussi une équipe de liaison sur le terrain, notamment avec le contingent burundais.

Aujourd'hui, la transition patine, n'avez-vous pas le sentiment que l'armée a été envoyée alors que le volet politique n'avait, lui, pas été assez pensé ?

J'ai des ordres clairs, une mission claire, je suis en contact quotidien avec les autorités parisiennes et j'ai un soutien total, je me sens totalement à l'aise. Pour moi et pour mes soldats. Alors que nous sommes dans une situation complexe, ils savent exactement ce qu'ils ont à faire, ils ont la bonne attitude pour que la situation ne dérape pas inutilement. Cela nous a permis de maintenir la violence à un niveau minimal et les soldats n'ont pas été critiqués. La population centrafricaine a souffert, elle souffre encore, il faut l'aider. Il faut désarmer les mains, mais aussi les coeurs. Par ailleurs, je veux juste signaler que notre arrivée a suscité beaucoup d'attente, c'est irréaliste de croire qu'en un mois, on va résoudre vingt années de crise.

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 06:55
CEMA : désignation du successeur de l’amiral Guillaud

15/01/2014   EMA

 

Le général d’armée Pierre de Villiers a été nommé comme successeur de l’amiral Edouard Guillaud au poste de chef d’état-major des armées lors du conseil des ministres du 15 janvier 2014. Il prendra ses fonctions le 15 février 2014.

 

Le général d’armée Pierre de Villiers, occupe depuis mars 2010 la fonction de major général des armées, poste qui fait de lui le numéro deux des armées et le plus proche collaborateur de l’amiral Guillaud.

Officier de l’armée de terre, engagé en opérations à plusieurs reprises et ancien auditeur de l’Institut des hautes études de la défense nationale,  il a occupé depuis 2004 différentes fonctions au plus haut niveau de l’administration centrale, dont celle de chef de cabinet militaire du Premier Ministre.

Dans sa fonction actuelle, il a  conduit l’ensemble des travaux préparatoires à la transformation des armées. Il sera désormais chargé de les mettre en œuvre dans le cadre de la loi de programmation militaire 2014-2019.

 

Biography GA Pierre de VILLIERS - EN (format pdf, 622 kB).

 

Le général d’armée Pierre de Villiers sera le 17e officier général à occuper ce poste sous la VRépublique :

- le général Paul Ely (1958-1959, terre)

- le général Gaston Lavaud (1959-1961, terre)

- le général Charles Ailleret (1962-1968, terre)

- le général Michel Fourquet (1968-1971, air)

- le général François Maurin (1971-1975, air)

- le général Guy Méry (1975-1980, terre)

- le général Claude Vanbremeersch (1980-janvier 1981, terre)

- le général Jeannou Lacaze (1981-1985, terre)

- le général Jean Saulnier (1985-1987, air)

- le général Maurice Schmitt (1987-1991, terre)

- l'amiral Jacques Lanxade (1991-1995, marine)

- le général Jean-Philippe Douin (1995-1998, air)

- le général Jean-Pierre Kelche (1998-2002, terre)

- le général Henri Bentégeat (2002-2006, terre)

- le général Jean-Louis Georgelin (2006-2010, terre)

- l'amiral Edouard Guillaud (2010-2014, marine)

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:55
Les forces aériennes stratégiques ont 50 ans !

 

14/01/2014 Armée de l'Air

 

50 ans. Voici l'âge atteint aujourd'hui, mardi 14 janvier 2014, par les forces aériennes stratégiques (FAS), qui n'ont malgré tout pas pris une ride. Les FAS mettent en œuvre la composante aéroportée de la dissuasion nucléaire, l'une des missions permanentes de l'armée de l'air.

 

« S’il faut que la France ait une épée, il faut que ce soit la sienne » - Charles de Gaulle, 1950.

 

Quatre années à peine après l’opération Gerboise Bleue, l’explosion de la première bombe atomique française, le 13 février 1960 à 7 heures, à Regganne (désert du Sahara), première démonstration de la maîtrise française de la puissance nucléaire, le décret n°64-46 signé par le président de la République Charles de Gaulle créait, le 14 janvier 1964, le commandement des forces aériennes stratégiques (CFAS). Ce court document de huit articles, pris en Conseil des ministres, attribue au président de la République en sa qualité de chef de l’État le pouvoir d’engager les forces nucléaires mais également de pouvoir définir les objectifs de ces dernières en sa qualité de président du conseil de défense et de chef des armées. Concrétisation d’un long cheminement entrepris depuis mai 1939 pour doter la France d’une arme atomique, il officialise le vœu présidentiel d’une indépendance nationale au travers de sa force de frappe afin de redonner à la France « le rang qui est le sien ».

« Il nous faut faire comme Tintin, ce personnage célèbre dans le monde entier et qui m’est particulièrement sympathique parce que c’est un petit qui ne se laisse pas faire par les gros … », dit alors l’homme de l’appel du 18 juin à André Malraux.

Pour la plupart des commentateurs, c’est avec ce décret que le rôle prépondérant du président de la République dans la direction de la défense nationale est officiellement reconnu. Le général commandant les forces aériennes stratégiques relève directement du président de la République. C’est de lui qu’il reçoit les ordres de mise en posture et c’est de lui qu’il pourrait recevoir, si les circonstances l’exigeaient, l’ordre d’engagement pour l’ensemble des forces nucléaires. Inversement, c’est directement au chef de l’État que le général commandant les FAS rend compte de l’état et de la disponibilité des forces et c’est également à lui qu’il rendrait compte de l’exécution de l’ordre d’engagement.

Ce décret transfigure l’armée de l’air, donnant naissance à une force moderne, voulue indépendante de toute source d’approvisionnement étranger par les instances politiques, libérée du jeu des alliances militaires et mettant en ligne le meilleur matériel de l’époque. Réduisant la chaîne de transmission des ordres au strict minimum, elle assoit sa capacité décisionnelle sur la décision d’emploi d’un seul homme : le président de la République. Grâce à la volonté affirmée de Charles de Gaulle qui leur confie la mise en œuvre exclusive de la première arme nucléaire conçue et expérimentée par le commissariat à l’énergie atomique (CEA, qu’il a également créé dès le 18 octobre 1945), les FAS, première composante de la dissuasion nucléaire, deviennent les garantes de la sécurité militaire de la France.

Un binôme indissociable va incarner cette « dissuasion à la française » : le Mirage IVA, appareil d’une haute technologie « made in France », et le Boeing C 135 F ravitailleur, appareil permettant de fournir l’allonge suffisante pour atteindre les objectifs les plus éloignés.

Ainsi dotées, les FAS sont alors prêtes, selon la formule d’Hervé Beaumont, à « redonner un destin à la France … »

Pour en savoir plus :

-       Jean-Michel Guhl, dans « Forces Aériennes Stratégiques » d’Alexandre Paringaux, Zéphyr Editions, 1997 ;
-       David Cumin, « L’arme nucléaire française devant le droit international et le droit constitutionnel », Université Jean Moulin, Lyon III, 2000-2005 ;
-       Hervé Beaumont, « Mirage IV, le bombardier stratégique », Docavia, 2003 ;
-       Serge Gadal, « Forces Aériennes Stratégiques », Economica, 2009.

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:50
La France prend la tête de la composante terrestre de la NRF 2014

 

14/01/2014 L. Picard  - DICoD

 

Depuis le 1er janvier 2014 et pour une durée d'un an, la France est à tête de la composante terrestre de la Nato Response Force (NRF), la Force de réaction rapide de l'OTAN. Cette force peut être amenée à intervenir rapidement lors de trois situations principales : la défense collective d'un membre de l'Alliance, le rétablissement ou le maintien de la paix et en cas de catastrophe naturelle.

 

En novembre dernier, une grande partie des unités appelées pour la prise d'alerte NRF 2014 se sont réunies en Pologne, sur le camp militaire de Drawsko-Pomorskie, à l'occasion de l'exercice interalliés "Steadfast Jazz". Exercice de grande ampleur réunissant une vingtaine de nationalités, il visait à certifier et valider le degré de préparation des forces désignées pour la prise d'alerte NRF 2014.

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:50
March to The Top: Risky Opportunity for New Defense Minister

Visiting the troops in Afghanistan last week -- Germany's first female defense minister, Ursula von der Leyen.

 

December 30, 2013 Spiegel.de

 

Ursula von der Leyen has clinched the defense ministry and positioned herself as potential heir to Chancellor Angela Merkel. She's the star of the new cabinet, but she also has formidable rival in Thomas de Maizière, whom she ousted to get her new job.

 

Ursula von der Leyen smiles the smile of someone who made it. Relaxed, almost nonchalant, she approaches German President Joachim Gauck, who has in his hand the document officially naming her Germany's first female defense minister. Gauck gives von der Leyen a firm handshake. Von der Leyen smiles. Both turn to face the photographers.

 

The cameras click for four seconds, she holds the pose longer than any of the other ministers. Von der Leyen thanks Gauck. Next, she turns to Angela Merkel who says, "I look forward to working with you." Soon after, she's standing in front of Thomas de Maizière, her predecessor as defense minister.

 

De Maizière wants to simply extend his hand and offer brief congratulations -- for him, that would be enough. But von der Leyen is faster: She takes him by surprise, opening her arms and enveloping her colleague in a hug. De Maizière is startled, but then plays along, valiantly smiling as the cameras click away. A kiss on each cheek, then von der Leyen moves on.

 

It takes quite an amount of chutzpah to hug a man after you've just taken away his beloved job. But von der Leyen is capable of doing whatever it takes to get a good photo op, and did so at the Bellevue presidential palace, in Berlin on December 17, when she was officially appointed to her new post. Von der Leyen has always had a talent for easing the bitter taste of her ambition with a sweet coating of harmony. It's a method that has brought her far.

 

Germany now has a new government -- it has a few surprises in store, and one of them has been Ursula von der Leyen. Not only has she battled her way up to become the first female defense minister in German history, she has also managed along the way to reorganize the hierarchy of her party, the Christian Democratic Union (CDU).

 

Within the CDU, two women are in charge now. Merkel at the top, and von der Leyen as her second in command. Then there's a considerable gap between them and the next in line. De Maizière, who had been all set to slip into the role of crown prince, was forced to make way so that von der Leyen could receive a ministerial post. That step fits in with her ambition and her desire to invent a new story for herself.

 

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:45
Des membres de la commission de défense de l’APN visitent l’Académie militaire interarmes de Cherchell

 

14-01-2014 letempsdz

 

Des membres de la Commission de défense de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont effectué lundi une visite d’information à l’Académie militaire interarmes de Cherchell. La délégation de la Chambre basse du Parlement a tout d’abord écouté un exposé sur les missions assignées à cette antique institution et pris connaissance des différentes spécialités qu’elle enseigne, avant de se rendre au musée de l’Académie qui relate l’histoire de l’Algérie dans ses différentes étapes.

 

A cette occasion les députés ont parcouru les différentes structures de cette académie en compagnie de son commandant, le général-major Seidane Ali et d’officiers supérieurs, avant de se rendre au champ d’entrainement où ils ont assisté à un exercice tactique virtuel représentant une opération de mise en échec d’une attaque ennemie, ainsi qu’à des démonstrations d’arts martiaux faites par des élèves de l’Académie.

 

La délégation parlementaire s’est rendue ensuite à l’Ecole-annexe "Abbane Ramdane" où elle a assisté à une séance de tirs avec différentes armes automatiques, avant de visiter un certain nombre de classes pédagogiques du Département de l’enseignement supérieur de l’Académie.

 

Dans une déclaration à l’APS, le président de la commission défense de l’APN, Fouad Benmerabet, a salué ce genre de visites "qui renforcent les passerelles entre les parlementaires et l’Armée nationale populaire (ANP)".

 

A travers cette visite, a-t-il ajouté, la délégation s’est enquise de "l’évolution importante que connait l’ANP, digne héritière de l’Armée de libération nationale (ALN), qui est entrée de plain-pied dans l’ère du professionnalisme et de la modernité".

 

Il n’a pas manqué de mettre en exergue "l’esprit d’engagement, de compétence et de prospective" qui anime les responsables de l’Académie à travers la qualité de l’enseignement dispensé à ses élèves.

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:45
montage EMA

montage EMA

 

14 Janvier 2014 Par Frédéric Pons – V.A.

 

Opération Serval. Après un an d’opérations, une nouvelle phase commence, dédiée au contre-terrorisme. Toujours en alerte, les soldats français savent que la mission est loin d’être finie. Reportage à Bamako et Gao.

 

« Qui nous aurait dit, il y a un an… » En visite au Mali pour passer avec les troupes les fêtes du nouvel an, Jean-Yves Le Drian n’a pas caché sa satisfaction et sa fierté devant la réussite de l’opération Serval, déclenchée le 11 janvier 2013 : « En février, les experts disaient : “Au Mali, la France commence son enlisement.” Heureusement que nous ne les avons pas écoutés. » Cette opération a été menée avec audace, en dépit de l’isolement initial de la France et d’immenses défis logistiques. L’ennemi avait annoncé “le Viêtnam de l’armée française”. C’est lui qui a été bousculé, écrabouillé même, dans des combats dantesques.

 

Tout n’est pas encore achevé — mais est-ce vraiment possible dans ce Sahel aussi vaste que l’Europe ? La France a pourtant déjà remporté au Mali une victoire stratégique, au prix de sept soldats tués, pour un surcoût opérationnel de 650 millions d’euros. Les défis ont été relevés, parfois de façon acrobatique, à cause de moyens insuffisants dus aux réductions budgétaires de ces dernières années. Ce qui n’a pas empêché les commandos français d’aller dénicher les groupes djihadistes au coeur même de leur forteresse de l’adrar des Ifoghas. La destruction des deux tiers de leur potentiel militaire les a obligés à se disperser. Ils ont perdu l’initiative.

 

En janvier 2013, le Mali risquait d’être totalement investi par la gangrène islamiste, ce qui aurait porté les djihadistes à 1 500 kilomètres plus au sud. Le pays a été sauvé et Serval a permis la tenue d’élections démocratiques pour assurer le redémarrage de l’administration. Ce n’est pas parfait mais un président a été élu, la nouvelle Assemblée nationale fonctionne et l’aide internationale a repris pour ce pays dévasté par cinquante ans de gabegie.

 

La France a agi quasi seule, démontrant ses capacités de projection et de combat, dont si peu de pays sont capables. Jean-Yves Le Drian l’a souligné tout au long de sa récente tournée africaine (lire notre Décryptage, page 35). Sa bonne humeur au soir du réveillon, rythmé par la Madelon et les chants coloniaux, était évidente, malgré la fatigue accumulée (il arrivait d’Arabie Saoudite, où il accompagnait François Hollande) et les soucis de l’opération Sangaris, en Centrafrique, plus complexe que prévu.

 

Ce 20 janvier, la France pourra signer avec le Mali un nouvel accord de coopération de défense. Les effectifs français seront réduits à près de 1 000 hommes d’ici au printemps, mais la mission est loin d’être finie. La vigilance est totale avec le début de la phase 3 de l’opération Serval. Autour d’un noyau de forces spéciales mobiles et puissamment armées, Serval 3 va se concentrer sur des opérations de contre-terrorisme. Chaque mois, les soldats français découvrent des dépôts d’armes, de carburant ou de ravitaillement, cachés dans le désert par les djihadistes. En décembre, près de sept tonnes de produits explosifs ont été mises au jour et détruites.

 

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:35
Un Rafale Marine se prépare à être catapulté depuis le porte-avions américain Harry S. Truman

Un Rafale Marine se prépare à être catapulté depuis le porte-avions américain Harry S. Truman

 

15/01/2014 Marine nationale

 

En pleine opération Bois Belleau, le porte-avions Charles de Gaulle et l'ensemble du Groupe aéronaval (GAN) français ont interagi avec les forces navales américaines, en océan Indien. Les activités se sont déroulées dans le golfe arabo-persique.

 

Ce fut l'occasion pour un Rafale Marine d’être catapulté depuis le pont d’envol du porte-avions américain Harry S. Truman. Un F18 américain a quant à lui été mis en œuvre par les équipes de pont d’envol du porte-avions Charles de Gaulle.

 

Un F18 américain mis en oeuvre par les équipes du pont d'envol du Charles de Gaulle

Un F18 américain mis en oeuvre par les équipes du pont d'envol du Charles de Gaulle

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:35
ForceSHIELD Integrated Air Defence system and STARStreak missiles for Indonesian Ministry of Defence

 

Wed, 15/01/2014 Thales

 

In addition to the supply of STARStreak short-range air defence missiles, the system comprises CONTROLMaster200 radar and weapon coordination systems, RAPIDRanger mobile weapon systems and Lightweight Multiple Launchers (LML), as well as associated communications, training and support equipment.

“This deal worth over £100m is great news for the UK and the aerospace industry…

Victor Chavez, CEO of Thales UK, said: “Thales is the only European defence contractor with the in-depth knowledge and range of advanced technologies to deliver a leading-edge integrated air defence solution such as ForceSHIELD. This solution for the Indonesian Army marks a new approach to air defence in that it provides a complete turnkey solution comprising latest-generation ‘sensor to effects’ technologies. I would like to express my gratitude to the Prime Minister for his personal support on this project and the support of the government – it makes a huge difference to industry and our customers.”

The British Prime Minister, the Rt Hon. David Cameron MP, said: “This deal worth over £100m is great news for the UK and the aerospace industry, and a strong vote of confidence in this Government’s long-term economic plan. It will help secure highly-skilled jobs in Northern Ireland and throughout the supply chain. This is precisely the reason why I go on these trade missions to countries like Indonesia, to drum up jobs and investment for our country, and I’m delighted my trip has resulted in a clear win for Thales.”

For the realisation of this programme, Thales will increase its existing industrial cooperation with the Republic of Indonesia, and has signed an agreement with the Indonesian company PT LEN Industri. The Group will continue to develop a long-term partnership with the Indonesian industry on future programmes in both the military and civil sectors.

 

Note to editors: About Thales’s ForceSHIELD solution

Thales’s ForceSHIELD solution is based on customising and combining a range of product lines such as radars, communications, engagement and fire control systems, launchers and missiles to meet front-line users’ needs.  This approach provides highly-effective capabilities for its customers to meet the increasing array of asymmetric and conventional air threats in today’s security environment.

The CONTROLMaster200 comprises the latest generation solid-state radar, capable of detecting and tracking 200 targets simultaneously out to ranges up to 250km. It incorporates the CONTROLView engagement control system that evaluates threats, assigns weapons, and coordinates combat management activity – enabling complex and critical decisions to be made faster and with greater precision and security.

The RAPIDRanger is a unique lightweight vehicle-based launcher and fire control system, which can be integrated into a network-enabled force structure and coordinated with a variety of Command and Control systems. Equipped with the STARStreak high-velocity missile, RAPIDRanger has the ability to defeat a wide variety of air threats, including ground attack aircraft, pop-up Attack Helicopters, Unmanned Aerial Vehicles (UAVs) and cruise missiles.  The STARStreak missile operates at a speed in excess of Mach 3 to defeat fast-moving threats and those with short unmasking times.  The three-dart ‘hittile’ configuration maximises lethality and the highly-accurate laser beam riding guidance enables engagement of low-signature targets and is immune to all known countermeasures.

 

About Thales and Thales UK

Thales is a global technology leader in the Aerospace, Transportation and Defence & Security markets. In 2012, the company generated revenues of €14.2 billion (equivalent to £ 11.5 billion) with 65,000 employees in 56 countries. With its 25,000 engineers and researchers, Thales has a unique capability to design, develop and deploy equipment, systems and services that meet the most complex security requirements. Thales has an exceptional international footprint, with operations around the world working with customers and local partners.

Thales UK employs 7,500 staff based at 35 locations. In 2012 Thales UK's revenues were around £1.3 billion.

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:30
La Russie active dans le processus d'élimination des produits chimiques de Syrie

 

 

2014-01-14 xinhua

 

Les navires de guerre russes participent activement à l'élimination des armes chimiques de Syrie, a rapporté mardi le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.

 

"Actuellement, la Russie, en collaboration avec la communauté internationale, mène une phase d'embarquement et de transport naval sécuritaires des armes chimiques syriennes", a indiqué M. Choïgou lors d'une téléconférence au Centre de situation du ministère de la Défense.

 

Les navires de la marine russe déployés en mer Méditerranée, incluant le croiseur porte-missiles Pierre le Grand, assurent la sécurité des navires norvégiens et danois transportant des composantes d'armes vers leur site de destruction, à partir du port syrien de Latakia.

 

Le premier lot de matériel a été expédié le 7 décembre, entamant une phase cruciale d'un programme de désarmement soutenu par la communauté internationale.

 

Plus tôt en décembre, la Russie a offert à Damas 75 véhicules et autre équipement pour aider au transport et à l'élimination des armes chimiques.

 

Selon un échéancier approuvé par l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques, les substances chimiques les plus toxiques doivent être sorties du pays avant le 30 juin.

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15 janvier 2014 3 15 /01 /janvier /2014 12:25
Les Ministères français et azerbaïdjanais de la Défense ont signé un Mémorandum technique sur la coopération dans le domaine de la défense

 

 

15 Janvier 2014] Hafiz Heydarov - APA

 

Bakou.-  La visite officielle du Ministre azerbaïdjanais de la Défense, général-colonel Zakir Hassanov en France a touché à sa fin.

 

Selon le communiqué de presse du Ministère posté à l’APA, lors de la visite, le ministre Zakir Hasanov a rencontré les autorités militaires françaises et les chefs de plusieurs entreprises de défense et discuté de la coopération bilatérale.

 

Un Mémorandum technique a été signé entre le ministère de la Défense de la République d'Azerbaïdjan et le Ministère de la Défense de la République de la France sur la coopération dans le domaine de la défense.

 

Hassanov a terminé sa visite le 14 janvier.

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