Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
9 janvier 2014 4 09 /01 /janvier /2014 17:55
Le général Grégoire de Saint-Quentin et l’amiral Olivier Coupry (à l’arrière plan) - photos Marine Nationale

Le général Grégoire de Saint-Quentin et l’amiral Olivier Coupry (à l’arrière plan) - photos Marine Nationale

 

9 Janvier 2014 par Marine Nationale

 

Les 7 et 8 novembre, le général de brigade Grégoire de Saint-Quentin, commandant des opérations spéciales (GCOS), a rendu visite aux commandos marine, à Lorient.

 

Quelques semaines après sa prise de fonction, l’ancien commandant de l’opération Serval au Mali a souhaité prendre le temps de mieux connaître les unités opérant sous son commandement. Durant deux jours, il a rencontré les commandants de commandos. Cette visite fut également l’occasion d’interroger le GCOS et le contre-amiral Olivier Coupry, commandant la force maritime des fusiliers marins et commandos, sur leur vision de cette force si spéciale. Regards croisés. 

 

Mon Général, vous venez de prendre le commandement des opérations spéciales. Quelle est votre première impression des forces spéciales (FS)?

 

GCOS : Ce n’est pas ma première impression, car je connais très bien les forces spéciales pour avoir servi à différentes reprises au 1er Régiment Parachutistes d’Infanterie de Marine (RPIMa), que j’ai commandé, ainsi qu’à l’état-major du Commandement des Opérations Spéciales. C’est donc une grande fierté et une sorte d’aboutissement pour moi.  Maintenant, je trouve que les FS se portent bien. Leur travail et leur engagement sont remarquables.

 

Au sein des forces spéciales, nous trouvons des unités des trois armées ainsi que des commandos marine. Quel est votre regard sur ces commandos ?

 

GCOS : Les commandos marine sont nos « forces spéciales de la mer ». Les FS fonctionnent de façon intégrée entre les trois armées, avec des gens qui se connaissent et travaillent tout le temps ensemble. La force du COS est de pouvoir s’appuyer sur les Forces spéciales issues des différents corps d’armées. À Lorient par exemple, les commandos marine apportent leur capacité d’action à partir de la mer et en haute mer. Dans l’armée de terre et de l’air, nous allons chercher autre chose. Au-delà de leur identité à chacun, il y a cette appartenance au COS. C’est le mariage des deux qui fait notre succès !

 

Mon Général, comment décidez-vous de l’employabilité des commandos marine au lieu d’autres commandos ?

 

GCOS : Les commandos marine sont employés sur quasiment tous les théâtres du COS depuis sa création en 1992. Même bien avant, quand on pense à l’Indochine ou dans divers pays africains.

Très souvent, nous intervenons pour « ouvrir la porte » et créer les conditions qui faciliteront l’arrivée des autres composantes. Les commandos sont des unités très réactives qui se caractérisent par leur souplesse d’emploi. Elles permettent d’apporter une réponse immédiate. À chaque fois, nous cherchons à donner la réponse la plus adaptée possible. Ce travail « sur-mesure » est la clé de la réussite. C’est ce qu’il s’est passé pour Serval. Et les commandos marine ont été employés comme les autres unités du COS.

 

Amiral, vous employez les commandos marine au profit du COS. Cela nécessite-t-il une préparation particulière ?

 

ALFUSCO : Oui et non. Oui, car les commandos marine sont par nature et par essence des marins. Ils sont préparés à intervenir pour des opérations spéciales en mer et à partir de la mer. Maintenant, il est évident que les interventions terrestres ne sont pas notre cœur de métier. D’un autre côté, nos déploiements en Afghanistan, qui ont mobilisé plus de 850 hommes au sein de la FORFUSCO depuis 2001, ont permis de mettre en place des procédures et des retours d’expériences essentiels.

Les commandos marine  doivent se comprendre comme un système de combat de la Marine mis à la disposition du commandement des opérations spéciales pour prolonger l’action des bâtiments, des sous-marins et des aéronefs en mer, depuis la mer et à terre.

 

Le général Grégoire de Saint-Quentin s’est fait présenter la base de Lorient par le CC Yann Guillemot, commandant la base des FUSCO. Ici, à bord d’un Etraco dans la rade

 

Le COS a été créé en juin 1992, à la suite des opérations conduites pendant la guerre du Golfe. Placé sous les ordres du chef d'état-major des armées, il a trois objectifs majeurs : planifier, préparer et conduire les opérations spéciales ; fédérer les unités spéciales des trois armées afin d'obtenir une synergie et une meilleure cohérence ; adapter et améliorer les capacités des unités spéciales en coordination avec les autorités organiques.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 17:55
2014 : l'année du grand mercato des généraux

 

08 janvier par Jean-Dominique Merchet

 

Beaucoup d'incertitudes demeurent sur les nominations à venir.

 

L'année 2014 devrait être marquée par un sérieux renouvellement de la haute hiérarchie militaire. Il est probable que le chef d'état-major des armées, l'amiral Edouard Guillaud, quitte son poste avant la date prévue du 10 juillet prochain. Au terme de quatre années passées à ce poste - qui faisaient suite à plus de trois ans comme chef d'état-major particulier à l'Elysée - l'amiral prendrait la direction de l'ODAS, une entreprise parapublique spécialisée dans les contrats avec l'Arabie saoudite. Il y succéderait à l'amiral Oudot de Dainville, ancien chef d'état-major de la marine. L'ODAS est au centre des négociations pour de grands contrats portant notamment sur l'équipement de la marine saoudienne en frégates (Fremm) et sous-marins d'attaque. 

 

Qui succédera à l'amiral Guillaud ? La décision n'est pas prise - ou en tout cas pas connue. Un nom revient avec insistance, celui du général Denis Mercier, chef d'état-major de l'armée de l'air, comme nous nous en étions fait l'écho en septembre. Il semble bien placé pour devenir le prochain Cema, même si le général Pierre de Villiers, l'actuel major général des armées, reste dans la course. Toutefois, une nomination surprise n'est pas à exclure : elle traduirait la volonté du politique et du ministre de la défense de montrer qu'il est le vrai patron ! D'autres noms sont évoqués, comme celui du général Olivier de Bavinchove.

 

Autre poste de premier plan, celui de chef d'état-major particulier du président à l'Elysée. Le général Benoit Puga est à son poste jusqu'à la fin du mois d'aout. Sera-t-il prolongé ? C'est possible, car il jouit d'une grande confiance de la part de François Hollande. Il se dit qu'il aimerait succèder au général Jean-Louis Georgelin, à la grande chancellerie de la Légion d'honneur, nommé pour six ans, c'est-àd-ire jusqu'en juin 2016. 

 

Un homme aspire à succèder à Benoit Puga, le général Didier Castres (sous-chef opérations à l'Ema) qui connait bien l'Elysée pour y avoir été en poste à l'EMP. En fonction de l'équilibre entre les armées, un amiral, parmi les plus hauts gradés de la Marine, pourrait également y prétendre. L'idée, un temps évoquée, de changer le format de ce poste pour le confier à un général trois étoiles (au lieu de cinq actuellement) semble avoir été abandonnée. 

 

Dans l'armée de terre, le chef d'état-major Bertrand Ract Madoux atteindra la limite d'âge cet été. Pour l'heure, il n'y a pas de successeur qui s'impose, même si les postes de grands commandeurs seront en conséquence impactés. D'autant que le Gouverneur militaire de Paris, le général Hervé Charpentier arrive lui aussi en finale... 

 

Evidemment, si le général Mercier est nommé Cema, cela ouvrira sa succession à la tête de l'armée de l'air. Cela pourrait être l'occasion d'une petite révolution avec la nomination d'un non-pilote de chasse. Le général Thierry Caspar-Fille-Lambie, un transporteur, en a, par exemple, toutes les qualités. 

 

Parmi les postes importants confiés à des généraux, celui de directeur de cabinet de la DGSE, en fait numéro 2 du service, pourrait également changer de titulaire. Le poste est actuellement détenu par le général Fréderic Beth.

 
Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 17:55
Les PCG du 1er REG s’entrainent dans un milieu réaliste

 

 

08-01-2014 1er REG | Réf : 368 | 2490

 

Le groupe de plongeur de combat (PCG) du 1er REG s’est rendu du 2 au 13 décembre 2013 au Lac du Bourget en Savoie. (73)

 

Composante à part entière de la section de liaison et de reconnaissance offensive (SLRO), les équipiers ont pu, dans le cadre du maintien de leurs capacités opérationnelles,  effectué une trentaine de plongée à l’air et à l’oxygène.

 

Agissant dans les forces avancées  lors d’opérations de débarquement, ce séjour fut  l’occasion de renouer avec leur environnement de prédilection, les eaux intérieures.

 

Les objectifs de cette phase d’entrainement furent multiples.

 

D’une part, elle a permis d’effectuer un entrainement intensif sur des procédures opérationnelles dans un cadre tactique réaliste lors d’un exercice de synthèse dans des conditions météorologiques éprouvantes. D’autre part, elle fut l’occasion pour les plus fraichement formés d’approfondir leurs connaissances du milieu par la découverte d’un site aux caractéristiques différentes.

 

Nul doute que cette période privilégiée a permis  d’améliorer la coordination au sein de l’équipe indispensable en mission.

Les PCG du 1er REG s’entrainent dans un milieu réaliste
Les PCG du 1er REG s’entrainent dans un milieu réaliste
Les PCG du 1er REG s’entrainent dans un milieu réaliste
Les PCG du 1er REG s’entrainent dans un milieu réaliste
Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 17:35
photo DCNS

photo DCNS

La livraison à la Chine de grilles d’appontage par le français DCNS a provoqué des tensions entre Tokyo et Paris

 

07/01 Par Claude Fouquet - Les Echos.fr

 

Les ministres français et japonais des affaires étrangères se retrouvent à Paris jeudi. Ils vont tenter d’apaiser les tensions qui existent entre les deux pays depuis la livraison à la Chine de matériel sécuritaire français pouvant aussi être utilisé à des fins militaires.

 

C’était l’un des dossiers qui avait pesé lors de la visite de François Hollande au Japon en juin 2013 . Il devrait être l’un des principaux points abordés jeudi à Paris lors d’une rencontre « 2+2 »des ministres français et japonais des affaires étrangères et de la Défense : compte tenu de l’embargo européen sur la vente d’armes à la Chine, était-il légitime pour une entreprise française de vendre à Pékin du matériel sécuritaire destiné à une utilisation civile mais pouvant être aussi utilisé à des fins militaires ?

Selon plusieurs sources citées ce lundi par l’agence de presse Kyodo, Paris et Tokyo devraient s’entendre sur la création d’un cadre formel de consultations sur les questions d’exportation de ce type de matériel sécuritaire à potentiel militaire. Lors de cette réunion qui réunira côté français Laurent Fabius et Jean-Yves le Drian et côté japonais leurs homologues respectifs, Fumio Kishida et Itsunori Onodera.

Tokyo s’inquiète d’une utilisation militaire du matériel livré par Paris

A l’origine de cette polémique qui agite Tokyo depuis plusieurs mois la livraison au printemps dernier de grilles d’appontage pour hélicoptères à Pékin par le constructeur français DCNS. L’entreprise qui est l’un des leaders mondiaux de l’équipement naval de défense a en effet livré ce matériel à la Zhōngguó Hǎijiǎn (la Surveillance maritime chinoise), une agence civile, sous tutelle du ministère de la Sécurité publique.

Rien d’illégal donc puisqu’il s’agit de matériel civil vendu à une structure civile. Mais s’inquiète Tokyo, ce matériel qui permet aux hélicoptères de mieux s’arrimer aux navires, ont été installées sur les ponts d’atterrissage des patrouilleurs chinois qui multiplient les provocations contre la marine japonaise près des Senkaku, des îlots de la mer de Chine orientale contrôlés par Tokyo mais revendiqués par Pékin. Une question d’autant plus sensible que la situation est loin de s’arranger.

Les ministres japonais et français devraient également confirmer la mise en place d’un autre cadre de consultation au niveau opérationnel visant au développement commun de matériel de défense. Et discuteront également des catégories de matériels qui pourrait être développés conjointement et des règles d’exportation vers des pays tiers qui pourraient être appliquées.

 

Chine : un embargo décidé après Tian’anmen

 

L’embargo sur les livraisons d’armes à destination de la Chine visait à sanctionner le régime chinois après le drame de Tian’anmen, le 4 juin 1989. Il a été adopté suite à une déclaration du Conseil européen le 27 juin de la même année.
Depuis pékin tente de le faire lever. Si les pays européens ne sont toujours pas d’accord pour le faire par contre certains, dont la france, le Royaume-Uni, l’Allemagne, l’Italie ou encore l’Espagne, ne seraient pas contre une révision de celui-ci.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 17:20
CAE remporte des contrats militaires d'une valeur de plus de 110 millions $CA

 

- Contrat de formation des membres d'équipage T-44C de l'U.S. Navy

- Simulateur MH-60R pour la Marine royale danoise

- Système d'entraînement au sol T-6C pour la Force aérienne mexicaine

 

MONTRÉAL, CANADA--(Marketwired - 8 jan. 2014)

 

CAE a annoncé aujourd'hui qu'elle a remporté des contrats d'une valeur de plus de 110 millions $CA, sans tenir compte des options, visant à fournir une série de systèmes et de services de formation à des clients militaires. Les contrats, qui s'ajoutent aux prises de commandes enregistrées au troisième trimestre de l'exercice 2014 de CAE, incluent un nouveau programme visant à fournir des services de formation des équipages Beechcraft T-44C de l'United States Navy, un contrat de vente de matériel militaire à l'étranger pour fournir un simulateur d'hélicoptère MH-60R Seahawk à la Marine royale danoise, et un contrat de la part de Beechcraft pour fournir un système d'entraînement au sol (GBTS) T-6C à la Force aérienne mexicaine.

« CAE est un intégrateur de systèmes de formation chevronné et expérimenté qui a la capacité éprouvée de fournir des solutions d'entraînement complètes et intégrées », a déclaré Gene Colabatistto, président de groupe, Défense et Sécurité à CAE. « Nous continuons à avoir du succès avec des plateformes sur lesquelles nous sommes en bonne position comme le MH-60R ainsi qu'à remporter une série de programmes de formation clés en main, comme pour l'avion T-44C de l'U.S. Navy. Nous sommes encouragés par l'éventail d'occasions d'affaires qui se présentent à l'échelle mondiale tant dans le marché traditionnel de la défense que dans les marchés adjacents comme la sécurité publique. »

 

Avion T-44C de l'U.S. Navy

CAE USA fournira des services complets de formation des équipages T-44C à la base aéronavale Corpus Christi au Texas. Selon les modalités du contrat, accordé en fonction d'un contrat initial de neuf mois d'une valeur de 3,5 millions $US et accompagné de six années en option d'une valeur totale de plus de 30 millions $US, CAE USA fournira des services de formation des équipages T-44C en vertu d'un programme de formation appartenant et exploité par l'entreprise. CAE fournira de la formation en classe et sur simulateur à plus de 500 étudiants par année pour appuyer l'avion T-44C de l'U.S. Navy, qui sert pour la formation évoluée et intermédiaire sur appareils multimoteurs. Dans le cadre du programme de formation des équipages T-44C, CAE fournira une série de nouveaux dispositifs de formation T-44C afin d'assurer la concordance avec la suite avionique numérique tout écran présente dans l'avion T-44C.

« Il s'agit d'un nouveau programme pour CAE USA, et nous sommes honorés que l'U.S. Navy nous ait sélectionnés à la suite d'un processus concurrentiel d'acquisition », a déclaré Ray Duquette, président et directeur général de CAE USA. « Nous sommes également encouragés de voir que la Navy adopte une approche innovatrice pour fournir des services de formation des équipages en vertu d'un programme appartenant et exploité par l'entreprise. Nous fournirons les dispositifs de formation T-44C requis, et nous mettrons par la suite ces nouveaux dispositifs en service pour appuyer le programme de formation complet sur l'avion T-44C. Nous croyons que cette approche à la prestation de services de formation peut aider nos clients militaires à économiser, à réduire leurs risques, à garantir un investissement et à contribuer à augmenter l'efficacité de la formation. »

 

U.S. Navy/Marine royale danoise

CAE a remporté un contrat octroyé par l'U.S Navy portant sur le développement d'un entraîneur de vol opérationnel et à la mission (MOFT) MH-60R pour la Marine royale danoise dans le cadre du programme de vente de matériel militaire à l'étranger. CAE USA sera le maître d'œuvre responsable de la conception et de la construction d'un dispositif MOFT MH-60R qui sera livré en 2016 à la base aérienne Karup au Danemark.

Le MOFT MH-60R est un simulateur de mouvement doté des postes de l'équipage (pilote, officier de la tactique et opérateur de capteurs). Le MOFT MH-60R inclura également un poste de l'instructeur à bord, ainsi que des postes externes pour l'instructeur de tactiques, le débriefing et le développement de bases de données. Le simulateur sera équipé du générateur d'images CAE Medallion-6000 et de l'architecture de la base de données commune (CDB).

La Marine royale danoise a sélectionné l'hélicoptère MH-60R Seahawk de l'U.S. Navy à la fin 2012 comme nouvel hélicoptère maritime pour la recherche et le sauvetage ainsi que les opérations de lutte antisurface, y compris la défense des intérêts danois dans l'Atlantique Nord, l'exécution d'opérations de lutte contre la piraterie et l'exécution d'autres missions lors de déploiements internationaux. Le Danemark est le deuxième client dans le cadre du programme de vente de matériel militaire à l'étranger pour l'hélicoptère MH-60R de l'U.S. Navy, après l'Australie. L'U.S. Navy est appuyée par l'Équipe Seahwak, qui est composée du constructeur de l'appareil MH-60R Sikorsky Aircraft, de l'intégrateur de systèmes de missions Lockheed Martin, du motoriste GE, du fournisseur de capteurs Raytheon Corp., et du fournisseur de formation CAE.

 

Beechcraft/Force aérienne mexicaine

CAE a remporté un contrat auprès de Beechcraft Corporation pour développer un système d'entraînement au sol (GBTS) complet T-6C pour la Force aérienne mexicaine. Le système GBTS T-6C sera équipé d'un entraîneur au vol opérationnel (OFT) T-6C, de systèmes d'instruction en classe sur ordinateur et de didacticiels. Le GBTS T-6C fait partie d'une solution complète d'entraînement que Beechcraft fournit à la Force aérienne mexicaine et qui inclut 12 avions d'entraînement militaire T-6C+.

L'entraîneur au vol opérationnel T-6C construit par CAE correspondra à une réplique exacte du poste de pilotage de l'avion T-6C avec un système d'affichage à grand champ visuel de 270 degrés sur 70 degrés propulsé par le générateur d'images CAE Medallion-6000. L'entraîneur OFT T-6C prendra également en charge la formation avec des lunettes de vision nocturne, et sera doté de la base de données commune (CDB) développée par CAE, une architecture ouverte qui améliore la capacité de corréler et de mettre à jour rapidement les bases de données pour répondre aux exigences en matière d'entraînement et de répétition de missions. L'OFT T-6C est conçu en fonction des plus récentes technologies pour appuyer la formation qui progresse vers les plateformes d'avions d'entraînement et d'avions de chasse de quatrième et de cinquième génération. Le GBTS T-6C complet sera livré à la base aérienne Zopapan près de Guadalajara en 2015.

CAE est un chef de file mondial en modélisation, simulation et formation pour les secteurs de l'aviation civile et de la défense. La société compte environ 8 000 employés dans plus de 100 sites et centres de formation répartis dans environ 30 pays. CAE fournit des services de formation civile, militaire et sur hélicoptère dans plus de 50 emplacements partout dans le monde et forme environ 100 000 membres d'équipage chaque année. De plus, la CAE Oxford Aviation Academy fournit de la formation aux élèves-pilotes dans 10 écoles de pilotage exploitées par CAE. Les activités de CAE sont diversifiées, allant de la vente de produits de simulation à la prestation de services complets comme les services de formation, les services aéronautiques, les solutions intégrées d'entreprise, le soutien en service et le placement de membres d'équipage. La société applique son savoir-faire en simulation et son expérience opérationnelle afin d'aider ses clients à renforcer la sécurité, à améliorer l'efficacité, à demeurer prêts pour leurs missions et à résoudre des problèmes complexes. CAE étend ses connaissances de la simulation à de nouveaux marchés, comme ceux de la santé et des mines. www.cae.com.

 

Suivez-nous sur Twitter @CAE_Inc et @CAE_Defence.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 13:55
Défense : DCNS conserve le contrat des chasseurs de mines

 

07 janvier 2014 Ouest-France  

 

DCNS vient d'obtenir le marché d'entretien des onze chasseurs de mines de la Marine nationale. Huit sont basés à Brest.

 

C'est un soulagement pour DCNS Brest. La société mère vient de rafler le contrat d'entretien pour cinq ans des onze chasseurs de mines tripartites (CMT) de la Marine nationale. Le plan de charge n'est pas plus détaillé. Mais on sait que les milliers d'heures de travail seront réparties selon la présence de ces bateaux dans leurs ports bases : huit à Brest et trois à Toulon.

 

Une bonne nouvelle pour DCNS Brest qui, mis en concurrence, craignait de perdre ce marché. En décembre 2012, l'entretien de neuf avisos lui était ainsi passé sous le nez au profit de CNN-MCO.

 

DCNS Brest emploie 2 890 salariés.

 

Les chasseurs de mines (50 m) ont pour mission principale de vérifier qu'aucun explosif ne se trouve sur le passage des entrées et sorties de sous-marins nucléaires.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 13:50
La ministre albanaise de la Défense annonce les objectifs de 2014

 

2014-01-07 xinhua

 

L'amélioration de l'image et l' intégrité de l'armée, grâce à une stratégie législative claire, le recrutement et la lutte contre la corruption sont les principaux objectifs du ministère de la Défense au cours de 2014, a annoncé mardi le ministre albanais de la Défense, Mimi Kodheli lors d'une conférence de presse, selon ATA.

 

Elle a dit que en 2013 l'armée albanaise a atteint son apogée, avec la pleine intégration dans l'OTAN, ou le développement d' exercices conjoints conformément aux normes de l'Alliance de l' Atlantique du Nord, tout en reconnaissant les échecs au cours de l' année dernière, dont le développement incomplet des capacités opérationnelles, les documents stratégiques de défense et de sé curitéincomplètes, la mauvaise gestion des ressources de la dé fense, qui ont grevé les finances de la défense, ainsi que des problèmes liésà la promotion et l'évaluation.

 

C'est précisément pour combler ces lacunes, que Kodheli a assuré que le programme du gouvernement albanais a des objectifs ambitieux pour le renforcement des capacités de la défense, de recrutement et de mécanismes efficaces pour lutter contre la corruption dans ce domaine. Le ministre de la Défense a également annoncé la révision de la structure des forces armées dans le but de construire une structure organisationnelle plus efficace, fonctionnelle, capable d'effectuer des tâches de base dans la dé fense du pays, dans le cadre de la défense collective à l'appui de la population civile et dans des situations d'urgence.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 13:45
Centrafrique: "pas de raisons particulières" d'envoyer des renforts, selon Le Drian

 

07.01.2014 tv5.org (AFP)

 

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a estimé mardi qu'il n'y avait "dans l'état actuel des choses","pas de raisons particulières" d'envoyer des renforts en Centrafrique, où 1.600 soldats français sont engagés depuis début décembre, et qu'un point sera fait "début février".

 

"Il faudra d'abord apprécier la situation lorsque la Misca (la force africaine déployée sur place, ndlr) sera arrivée à son plein déploiement, ce qui n'est pas encore le cas", a-t-il dit à la presse lors d'une visite de la Base aérienne 120 de Cazaux, à La-Teste-de-Buche (Gironde), ajoutant: "dans l'état actuel des choses, il n'y a pas de raisons particulières d'envoyer des renforts" à Bangui.

 

"On appréciera la situation au début du mois de février (...) La Misca devra être absolument opérationnelle dans ces délais-là", a ajouté M. Le Drian.

 

Mi-décembre, des soldats du 3e Régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa) de Carcassonne sont partis mi-décembre pour le Cameroun pour y être prépositionnés "comme renfort éventuel" pour la Centrafrique, avait annoncé le régiment.

 

"Pour l'instant, la participation française est forte : 1.600 hommes, c'est un chiffre important. La Misca (...) est aux environs de 4.000 (soldats), nous avons commencé des patrouilles mixtes et nous avons commencé la sécurisation, parties de quartiers par parties de quartiers, sur Bangui", a poursuivi M. Le Drian.

 

Il a rappelé s'être rendu "il y a trois jours" à Bangui , pour "la deuxième fois depuis trois semaines". Il s'y est notamment entretenu avec le général Francisco Soriano, qui dirige l'opération française Sangaris, et le général gabonais Jean-Marie Michel Mokoko, à la tête de la Misca.

 

Cette visite en Gironde du ministre de la Défense, initialement prévue le 16 décembre, avait été reportée après le décès de deux soldats français en Centrafrique.

 

M. Le Drian a passé la journée à la BA 120, où il s'est entretenu avec les personnels de la base, militaires et civils, lors de trois tables rondes.

 

Installée près du bassin d'Arcachon, la BA s'étend sur 5.600 hectares où travaillent environ 2.120 personnes. Elle abrite un escadron d'hélicoptères, un centre d'expérimentation et d'instruction au tir aérien, un centre de formation pour pilotes de chasse ainsi qu'un centre d'essais en vol.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 13:35
Le Japon réoriente sa défense sur la Chine et la Corée du Nord

 

07.01.2014 Vassili Kachine - La Voix de la Russie

 

Le programme de défense nationale pour la période d’après 2014 publié par le gouvernement japonais a suscité une réaction négative de la Chine. Pékin y voit la renaissance du militarisme japonais. Une telle réaction est tout à fait naturelle car aux termes de ce programme, le Japon rompt définitivement avec l'héritage de la guerre froide, époque à laquelle l'URSS (la Russie) était un adversaire important. Le nouveau programme est entièrement concentré sur les menaces nouvelles : la Chine et la Corée du Nord.

 

A en juger d'après les documents publiés par les Japonais, le pays se propose de procéder à une importante réduction des principales armes de l'armée de terre. Si actuellement, les forces d'auto-défense nippones disposent de 600 chars et de 700 systèmes d'artillerie, il est prévu de réduire le nombre d'armes lourdes à 300 chars et 300 pièces d'artillerie. Compte tenu des dimensions du Japon, on peut reconnaître que les effectifs des unités de l'armée de terre dotées d'armes lourdes seront réduits au minimum absolu indispensable dans l'hypothèse d'une nécessité urgente. Par contre, les Japonais vont augmenter le nombre d'unités d'intervention rapide équipées d'armes légères.

 

Le Japon augmentera le nombre de sous-marins de 16 à 22, de destroyers dotés du système anti-missile américain AEGIS de 6 à 8 et celui des chasseurs de 260 à 280. Les unités de missiles sol-air de l'armée de terre seront réarmées. Le Japon est également disposé à accroître notablement les capacités de contrôle de l'espace aérien grâce à des avions supplémentaires de détection et de commandement aéroporté. Les Japonais sont capables d'obtenir une augmentation rapide du potentiel militaire grâce à l'accès aux produits de l'industrie de défense américaine et à leurs propres possibilités financières et techniques.

 

Le nouveau programme de défense met l’accent sur la nécessité de créer un potentiel pour mener une contre-offensive sur les îles Senkaku si elles sont occupées par un Etat étranger. Pour ce faire, des navires de débarquement spéciaux seront achetés. En outre, une attention sera accordée aux performances de l'infrastructure militaire japonaise face à une éventuelle attaque balistique. Il a été indiqué que le Japon envisagerait non seulement des mesures complémentaires dans le domaine de la défense anti-missile, mais aussi la mise en place de son propre potentiel de dissuasion et de représailles.

 

Cela peut signifier que le Japon optera pour la voie de la Corée du Sud et de Taïwan et développera ses propres missiles de croisière, peut-être sur la base de ses missiles antinavires. La Chine devra alors renforcer la défense anti-aérienne et anti-missile de son infrastructure militaire sur les côtes de la mer de Chine orientale. Bien que les projets de réarmement mis au point par le Japon puissent créer des difficultés pour la Chine dans la zone de la mer de Chine orientale, l'ampleur de la modernisation militaire des deux pays reste incomparable. La Chine est en mesure de porter le nombre de ses missiles de croisière et de leurs vecteurs (navires et avions) à une quantité suffisante pour porter une frappe non-nucléaire momentanée d'une force destructrice immense contre le Japon. Dès à présent les aéroglisseurs Zoubr achetés à l'Ukraine augmentent sensiblement les capacités des troupes chinoises dans la lutte pour les îles éloignées.

 

Dans le même temps, aucune des parties ne se fixe pour objectif un conflit armé. La Chine vise à obliger le Japon à reconnaître l'existence d'un différend territorial, à engager les négociations et, à terme, à prendre en considération les intérêts de la sécurité de la Chine. Le Japon tente de limiter la croissance de l'influence chinoise dans la région en s'appuyant sur son alliance avec les Etats-Unis. Les deux parties ont besoin d'armements nouveaux. En premier lieu pour étendre les possibilités de manœuvre politique lors de la solution des problèmes territoriaux. T

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 13:30
Syrie : les premiers containers de produits chimiques ont quitté Lattaquié

 

08.01.2014 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord – Défense Globale

 

Un vaisseau danois, le Ark Futura, a quitté mardi 7 janvier le port de Lattaquié en Syrie. A son bord, une douzaine de containers de produits chimiques considérés par la mission de l'OIAC (Organisation pour l'interdiction des armes chimiques)-Nations Unies comme prioritaires car les plus toxiques.

 

C'est le premier chargement dans le démantèlement de l'arsenal chimique syrien... Il est à destination d'un navire américain spécialement équipé (photo US Navy) pour détruire les produits en mer.

 

Quatre navires (danois et norvégiens) doivent transporter progressivement les 290 tonnes d'armes chimiques et les plus de 1 000 tonnes d'agents chimiques déclarés par le régime de Damas (oui, la sensation est étrange de devoir se fier à Bachar Al-Assad mais il faut bien commencer).

 

Pour ce premier " voyage ", les produits chimiques de " priority one " ont été prélevés de deux sites (sur 23), transporté par des camions blindés russes et chargé à bord du vaisseau danois dans le port de Lattaquié. Les Etats-Unis ont livré au port syrien du matériel de transport et de décontamination. La Chine a fourni dix ambulances et des caméras de surveillance et la Finlande une équipe de réaction rapide en cas d'accident. « C'est une étape importante de commencer le transport de ces matières dans le cadre du plan », a déclaré le directeur général de l'OIAC, Mehmet Üzümcü.

 

Tout a été minutieusement préparé et même mis en scène en concordance avec la résolution 2 118 du Conseil de sécurité et les décisions du conseil de l'OIAC qui stipule que tout le programme d'armemement chimique doit être détruit d'ici le 30 juin 2014.

 

Le premier chargement, escorté par des navires russes, chinois, norvégien et danois, doit être transféré sur un bateau américain. Le roulier MV Cape Ray a été spécialement équipé (structures de destruction par hydrolise), dans son port de Norfolk en Virginie, pour détruire des armes chimiques en mer. Il doit appareiller d'Italie pour détruire les armes dans les eaux internationales.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:55
Première interception de l’année pour la PO

 

08/01/2014 Capitaine Françoit Nolot - CDAOA

 

Un hélicoptère Fennec de la permanence opérationnelle (PO) a réalisé la première interception de l’année 2014 au profit de la sûreté aérienne.

 

Jeudi 2 janvier 2014 à 12 h 34, l’équipage de l’hélicoptère Fennec d’alerte MASA (mesures actives de sureté aérienne) sur la base aérienne 107 de Villacoublay est « scramblé» (affecté à une mission en jargon opérationnel) pour intercepter un avion de tourisme. Il ne s’agit pas d’un exercice mais de la première alerte de l’année 2014.

 Rapidement, l’avion de tourisme est classé douteux. Il vient de pénétrer dans une zone interdite de survol : la zone sensible de Valduc (Côte-d’Or). Le centre national des opérations aériennes (CNOA), en charge 24h/24 de la sûreté aérienne du territoire national, propose alors à la haute autorité de défense aérienne (HADA) de faire intervenir les moyens dédiés.

 

Sur ordre de la HADA, un Fennec en alerte décolle et intercepte rapidement le bogey (nom donné à un avion classé douteux). Le monomoteur de tourisme blanc est aussitôt identifié : il s’agit d’un MCR 01 ayant décollé, sans plan de vol, de Til-Châtel en Bourgogne et à destination de Toussus-le-Noble dans les Yvelines. En raison de son infraction, le pilote du bogey est escorté par l’appareil de l’armée de l’air jusqu’à sa destination et fera l’objet, dès son atterrissage, d’une prise en charge par la gendarmerie. 

C’est la première intervention réelle de l’année 2014.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:55
Vigipirate : les aviateurs ont veillé pendant les vacances

 

08/01/2014 Armée de l'air

 

Pendant les vacances de fin d’année, l'armée de l'air a continué à veiller sur la sécurité de ses concitoyens. Retour sur l’engagement des aviateurs dans le plan Vigipirate.

 

Outre la permanence opérationnelle (PO) qui assure la sûreté aérienne 24h/24 et 7 jours sur 7, une centaine d’aviateurs ont été déployés au sol dans les aéroports d’Orly à Paris, de Bordeaux et de Toulouse. En application du plan Vigipirate, ils ont été intégrés au dispositif de protection anti-terroriste.

 

Surveillance, dissuasion et contact avec les voyageurs.

 

Pendant les vacances d'été ou de fin d’année, la mission de ces aviateurs volontaires est encore plus importante que le reste de l'année car davantage de voyageurs sont présents dans les aéroports. Durant toute la journée, ils patrouillent dans l'aérogare, souvent en équipe mixte aux côtés du personnel de la police des frontières (PAF), véritable appui judiciaire à l'action de Vigipirate. Leur mission quotidienne est de surveiller et de renseigner pour rassurer les voyageurs et dissuader les éventuelles menaces terroristes.

 

Rencontre avec le ministre.

 

Vigipirate : les aviateurs ont veillé pendant les vacances

Pour rappel, vendredi 20 décembre 2013, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a rencontré les militaires déployés à Orly Sud. Après une présentation du dispositif, il a accompagné une patrouille au sein de l’aérogare. Il a notamment été accompagné par le président-directeur général d’Aéroports de Paris et par le directeur de la police aux frontières d’Orly.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:55
Le ministre de la Défense sur la base de Cazaux

 

08/01/2014 Service communication - BA 120

 

La base aérienne 120 de Cazaux a eu l’honneur et le plaisir de recevoir monsieur Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, mardi 7 janvier 2014. Ce déplacement était placé sous le thème des rencontres directes du ministre de la Défense avec les militaires dans les armées.

 

Au cours de cette journée, monsieur Le Drian a visité les différentes unités de la base aérienne de Cazaux. Ainsi a-t-il pu apprécier le niveau tactique, la polyvalence et la réactivité du personnel de l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/67 « Pyrénées », organisme à vocation interarmées "air", comprenant des équipages des trois armées françaises mais également des étrangers. Spécialisée dans les missions de recherche et de sauvetage au combat en zone hostile ou non hostile, cette unitéi a été engagé sur tous les théâtres d’opérations depuis 2006 (Tchad, Côte d’Ivoire, Liban, Afghanistan, Libye, Mali). L’environnement géographique exceptionnel de la base cazaline ainsi que sa localisation à proximité d’unités diverses notamment des forces spéciales permet à l’EH 1/67 de développer un haut niveau de préparation. Doté de CARACAL et de PUMA, l’EH participe également à l’alerte SAR (Search and Rescue) H24 et 365 jours/an et à la capacité de projection permanente.

 

Le Centre de formation des techniciens de la sécurité de l’Armée de l’air (CFTSAA) a fait montre de son savoir-faire en matière de formation et d’entraînement des pompiers militaires aéronautiques des 3 armées dans les domaines de la sécurité incendie sauvetage. Le CFTSAA contribue également à la formation de tous les pompiers de l’armée de l’air dans le domaine de la sécurité nucléaire (SN) et NRBC.

 

Le ministre de la Défense s’est ensuite rendu à l’Ecole de transition opérationnelle 00.008 « René Mouchotte » (ETO), qui intègre l’Advanced Jet Training School depuis 2004. Créée conjointement par la France et la Belgique, cette structure a pour but de mutualiser la formation des pilotes de chasse des deux pays. Cette formation est également ouverte à d’autres nationalités. Elle illustre le processus engagé pour une convergence efficiente des outils de défense européens. L’unité a pour mission de former sur Alphajet les stagiaires sur les bases de leur futur métier de pilotes et navigateurs de combat, avant qu’ils rejoignent leurs unités de combat sur tout type d’avion de chasse (Rafale, Mirage 2000, F16).

 

Enfin, le Groupe régional d'intervention NEDEX (neutralisation enlèvement et destruction d’explosifs) a présenté ses moyens et méthodes pour accomplir ses différentes missions dans le domaine de, l’intervention sur des engins explosifs de toute nature.

 

Lors de différentes tables rondes, monsieur Le Drian a pu prendre le pouls de la base, aborder le quotidien du personnel tant militaire que civil et dialoguer librement, comme il s’était engagé à le faire, avec eux pour mieux comprendre leurs projets et leurs attentes.

Le ministre de la Défense sur la base de Cazaux
Le ministre de la Défense sur la base de Cazaux
Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:55
Un nouveau commandant des sous-marins nucléaires à Brest

 

Brest - 07 Janvier Ouest-France

 

Fabrice d'Ornano succède à Fabrice Legrand à la tête de l'escadrille des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins.

 

Le capitaine de vaisseau Fabrice d’Ornano est le nouveau commandant de l’Escadrille des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (ESNLE). Il remplace le capitaine de vaisseau Fabrice Legrand qui prend ses fonctions de chef d’état-major à l’État-major de la force océanique stratégique et des forces sous-marines (EM Alfost).

 

Fabrice d’Ornano est né à Antony (92) en 1965 et a intégré l’École navale en 1987. Il a rejoint les forces sous-marines quelques années après et a servi sur sous-marins nucléaires d’attaque à Toulon et sur sous-marins nucléaires lanceurs d’engins à Brest. Il a, à son actif 23 665 heures de plongée.

 

L’Escadrille des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins (ESNLE) est basée à Brest et compte quatre sous-marins à l’Ile-Longue : Le terrible, Le Vigilant, Le Triomphant et Le Téméraire.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:50
Exelis to provide Estonia with transportable ground control approach radar
 

VAN NUYS, Calif., Dec. 20, 2013 - Exelis

 

Exelis has received a contract valued at more than $8 million to provide transportable, precision ground control approach capabilities to the Estonian armed forces. The GCA-2020 radar system will enable Estonia Ämari Air base, one of NATO’s most modern bases, to support NATO exercises, contingencies and humanitarian efforts.

With this contract, Exelis continues to extend its leadership in the growing field of intelligence, surveillance, reconnaissance and analytics to serve the needs of customers in global markets. Most recently, Exelis received an award for a similar solution from the Swedish armed forces.

“This award expands our footprint of radars supporting critical transportation networks across Europe and strengthens our position as the premier supplier of ‘ready-now’ air traffic control solutions,” said Dave Prater, Exelis vice president and general manager of the radar, reconnaissance and undersea systems business. “Exelis is committed to providing our allies with this key component as they continue to modernize their air traffic management infrastructure and capabilities.”

The Exelis GCA-2020 provides the high-performance air navigation services required to meet demanding NATO flight safety standards. The solution provides Estonia with a transportable, solid-state, electronically scanning radar providing three functions — primary surveillance, secondary surveillance and precision approach— in a single integrated unit. The GCA-2020 also provides Estonia with global compatibility and standardization with NATO systems operating at 11 other sites across Europe.

More than 70 years ago, Exelis pioneered the development of air traffic control and 3-D air defense radars for tactical and naval applications and remains the world leader in supplying air traffic control radar systems designed for military use. The GCA-2020 operates daily in environments ranging from the Arctic Circle and the deserts of Northern Africa to the rainforests of Asia and South America.

About Exelis
Exelis is a diversified, top-tier global aerospace, defense, information and services company that leverages a 50-year legacy of deep customer knowledge and technical expertise to deliver affordable, mission-critical solutions for global customers.  We are a leader in timing and navigation, sensors, air traffic solutions, image processing and distribution, communications and information systems, logistics and technical services; and we are focused on strategic growth in the areas of critical networks, ISR and analytics, electronic warfare and composite aerostructures. Headquartered in McLean, Va., Exelis employs about 19,000 people and generated 2012 sales of $5.5 billion. For more information, visit our website at www.exelisinc.com or connect with us on Facebook, Twitter and YouTube.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:45
Teaser - spécial « Mali, un an après »

 

08/01/2014 Journal de la Défense

 

Pour ce numéro spécial de 26 minutes, le Journal de la Défense (#jdef) vous invite sur la base aérienne de Saint Dizier, base à partir de laquelle quatre Rafale ont décollé dans la nuit du 12 au 13 janvier 2013 pour accomplir la plus longue mission de bombardement de l’armée de l’Air.

 

Au programme de ce numéro 87 de janvier 2014 :

  • Focus sur les débuts de l’opération Serval. Témoignage de trois militaires sur leur mission.

  • En entraînement avec les forces avant la relève au Mali. Au centre d’entraînement tactique (Centac), le groupement tactique interarmes de Vercors parfait sa mise en condition opérationnelle avant sa projection.

  • En direct du Mali. Sur le terrain, une équipe a suivi les missions des militaires engagés dans l’opération Serval. Tout en poursuivant sa mission de sécurisation, la force Serval est engagée dans la reconstruction de l’armée malienne.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:45
La France revoit sa stratégie militaire au Sahel

 

07 janvier 2014 Par RFI

 

Le ministre français de la Défense Jean Yves Le Drian va se rendre, les 13 et 14 janvier 2014, aux Etats-Unis pour préciser aux responsables américains la nouvelle stratégie de l'armée française en Afrique. Une stratégie axée sur la lutte contre le terrorisme dans la zone sahélienne qui va nécessiter une réarticulation de la présence militaire française dans la région, en coordination avec le Pentagone.

 

Militaires français et américains se croisent régulièrement en Afrique. Durant l'opération Serval, les Etats-Unis ont apporté une aide non négligeable en matière de logistique et de renseignement. A Niamey, ce sont des drones américains achetés en urgence par la France qui vont prochainement débuter leurs missions d'observations.

 

Pour la France, l'objectif est de maintenir une présence de 3 000 hommes dans la zone sahélo-saharienne. Des unités capables de sauter d'un « point d'appui à l'autre », un peu comme le font déjà les forces américaines dans la Corne de l'Afrique.

 

« Nous sommes en train de passer d'une posture héritée de la décolonisation, avec des grosses implantations, à la formation de plots plus discrets orientés vers la lutte contre le terrorisme », indique-t-on dans l'entourage du ministre de la Défense.

 

A ce stade, deux accords ont été signés en décembre avec le Tchad et le Niger. Un autre le sera, le 20 janvier, avec Mali, puisqu’il s'agit de donner un cadre juridique à la présence française dans ces trois pays. « Ces accords nous permettent d'intervenir de manière autonome tout en informant les autorités des pays concernés », ajoute-t-on au ministère de la Défense, sans donner plus de détails.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:45
Mali : la Bosnie-Herzégovine annonce l’envoi d’effectifs pour la MINUSMA

 

6 jan. 2014 operationspaix.net

 

Le Courrier des Balkans a rapporté aujourd’hui que la Bosnie-Herzégovine enverra sous peu des soldats au Mali dans le cadre de la MINUSMA. « Nous avons décidé de participer à la mission de paix des Nations Unies au Mali », a déclaré récemment le ministre bosnien de la Défense, Zekerijah Osmic. « Nos premiers hommes partiront début 2014, une fois la préparation nécessaire terminée. L’ordre de déploiement officiel sera donné par le ministre de la Défense, après avoir obtenu l’aval de la Présidence de Bosnie-Herzégovine ». « La participation de l’armée à ces missions de paix démontre à la communauté internationale que la Bosnie-Herzégovine est un partenaire fiable et que le pays contribue au maintien de la sécurité internationale. Notre pays à bonne réputation, notamment grâce à notre participation à ces missions », a estimé pour sa part le chef de l’Armée bosnienne, Anto Jelec, en faisant référence à la participation des soldats bosniens en Afghanistan et en RDC. (Source : le Courrier des Balkans)

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:45
Journée d’étude jeudi à l’APN sur "le rôle de la recherche scientifique dans le développement et la modernisation des armées"

 

07-01-2014 letempsdz.com

 

Une journée d’étude sur "le rôle de la recherche scientifique dans le développement et la modernisation des armées" sera organisée jeudi par la Commission de la défense nationale à l’Assemblée populaire nationale (APN), indique mardi un communiqué de l’Assemblée.

 

Cette journée vise à "faire connaitre l’importance de la recherche scientifique dans le domaine militaire et son rôle dans le développement des capacités de combat des armées et dans la modernisation de leurs systèmes de défense".

 

Cette rencontre débattra de la valorisation de l’innovation dans ce domaine et passera en revue les moyens d’encourager l’industrie militaire nationale et son rôle dans le perfectionnement de l’opérationnalité des forces armées qui ont pour mission la préservation de l’intégrité territoriale, notamment dans le cadre des défis sécuritaires qui doivent être relevés dans la région en particulier et le monde en général, ajoute-t-on de même source.

 

Le président de l’APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa, présidera l’ouverture des travaux de cette journée après une allocution de bienvenue que prononcera le président de la Commission de la défense nationale qui sera suivie de la projection d’un documentaire sur ce thème.

 

La première intervention sera faite par le député Hocine Sissaoui sur "l’importance de la recherche scientifique" et sera suivie de trois autres par des officiers de l’Armée nationale populaire (ANP) sur les thèmes suivants :

 

"la relation entre la recherche scientifique et la modernisation de l’armée", "modèles des armées étrangères" et "la recherche scientifique à l’ANP". Des étudiants seront honorés au terme des travaux qui prendront fin par l’allocution du président de la Commission de la défense nationale, Fouad Benmerabet.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:35
Inquiet de Pyongyang, Washington accroît ses forces en Corée du Sud

 

 

08.01.2014 Romandie.com (ats)

 

Les Etats-Unis vont déployer en Corée du Sud un bataillon de cavalerie blindée supplémentaire, soit environ 800 hommes et leurs véhicules. Les deux alliés avertissent ainsi la Corée du Nord de s'abstenir de toute "provocation".

 

Cette annonce du Pentagone, censée permettre une plus "grande réactivité" en cas de crise avec Pyongyang, s'est faite lors de la visite à Washington du ministre sud-coréen des Affaires étrangères Yun Byung-se. Celui-ci a rencontré mardi son homologue américain John Kerry et le ministre de la Défense Chuck Hagel la veille.

 

M. Kerry a assuré devant son hôte qu'il n'y avait "pas l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarettes" entre Washington et Séoul, alliés depuis 60 ans. "Nous n'accepterons pas que la Corée du Nord soit une puissance nucléaire", a martelé le chef de la diplomatie américaine, promettant "de continuer de moderniser nos capacités (militaires) afin d'être préparés à faire face à toute menace".

 

Le Pentagone a annoncé l'envoi du 1er bataillon du 12e régiment de cavalerie qui sera stationné dans les camps Hovey et Stanley situés au nord de Séoul, à proximité de la ligne de démarcation avec la Corée du Nord.

 

"Cette action vient appuyer l'engagement des Etats-Unis pour la défense de la Corée du Sud", selon le communiqué de la Défense. "C'est un renfort dans le cadre de notre pivot vers l'Asie-Pacifique. C'était programmé depuis longtemps", a expliqué le colonel Steven Warren, un porte-parole du Pentagone.

 

Ces moyens supplémentaires, composés de 40 chars Abrams et de 40 blindés chenillés Bradley, devraient arriver le 1er février, selon lui. Le bataillon "constituera une force entraînée et prête au combat qui se déploiera avec son équipement" qui restera dans le pays. Les hommes seront stationnés dans le pays pendant neuf mois avant d'être relevés.

 

Washington entretient quelque 28'500 militaires en Corée du Sud et le traité d'alliance prévoit que le général américain à la tête des forces américaines en Corée prenne la tête des 640'000 hommes de l'armée sud-coréenne en cas de guerre avec le Nord.

 

 

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:35
Le porte-avion Vikramaditya arrivé en Inde

 

NEW DELHI, 8 janvier - RIA Novosti

 

Le porte-avions modernisé Vikramaditya, remis le 16 novembre dernier par la Russie à la Marine indienne, est arrivé mardi dans la base navale de Karvar, dans l'Etat de Karnataka (sud de l'Inde), rapporte la chaîne de télévision locale IBN, se référant à une source au sein des Forces navales du pays.

 

Le processus d'intégration du porte-avions dans les rangs de la Marine indienne prendra entre trois et quatre mois, précise la source. Le Vikramaditya a été livré à l'Inde sans avions, ni armements. 

 

Une équipe de spécialistes russes chargée d'assurer les travaux de maintenance prévus par garantie restera à Karvar pendant un an. 

 

La Russie a modernisé le porte-avions soviétique Admiral Gorchkov pour la Marine indienne conformément à un contrat de 2004. Le porte-avions modernisé a été rebaptisé Vikramaditya (fort comme le Soleil).

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:30
IMI’s new RAZOR CORE Cartridge. Image: IMI

IMI’s new RAZOR CORE Cartridge. Image: IMI

 

January 8, 2014 by Tamir Eshel - defense-update.com

 

Israel Military Industries (IMI) has announced the release of a new 5.56mm cartridge dubbed ‘Razor Core’, optimized for higher performance. According Israel to Shmilovitz, IMI Vice President and Managing Director of IMI’s Yitzhak small-caliber ammunition division, the new cartridge is designed to achieve higher accuracy, effective stopping power at extended range of up to 600 meters.

 

Shmilovitz said this performance level makes the Razor Core attractive for special operations. “The Razor Core provides outstanding performance, while remaining at a very competitive price” Shmilovitz commented the new cartridge is already in production, and has been combat proven with an undisclosed customer. According to IMI the Razor Core cartridge is designed for military and law enforcement applications but, its accuracy and affordability make it suitable for commercial and sport shooting as well.

 

IMI’s small caliber ammunition division is recognized by the Israel Ministry of Defense as the prime supplier of small-caliber ammunition to the Israel Defense Forces (IDF). The division manufactures a complete range of ammunition, from 5.56mm to 0.5″ (12.7mm), including a wide range of armor-piercing, sniping and training ammunition. IMI’s 5.56mm BALL NATO and 9mm BALL NATO cartridges are both NATO qualified.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:30
Israël teste le système anti-missile Arrow 3 pendant la visite de Kerry

 

03 janvier 2014 Romandie.com (AFP)

 

JERUSALEM - Israël a procédé vendredi avec succès à un deuxième test de son système Arrow 3, mis au point avec les Etats-Unis pour intercepter les missiles balistiques, a indiqué un porte-parole du ministère de la Défense.

 

Cet essai a eu lieu en pleine visite du secrétaire d'Etat américain John Kerry en Israël et dans les Territoires palestiniens, où il s'efforce de faire avancer le processus de paix.

 

Un deuxième test en vol de l'intercepteur Arrow 3 a été mené avec succès (...) au-dessus de la mer Méditerranée le matin, a précisé le ministère dans un communiqué. Il a effectué une trajectoire extra-atmosphérique dans l'espace, conformément aux plans.

 

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, qui a revu M. Kerry vendredi après une première série d'entretiens jeudi, a salué la réussite de l'essai du système Arrow 3, fruit de la coopération israélo-américaine.

 

De son côté, le sénateur républicain John McCain, en visite en Israël et proche de la droite au pouvoir, a qualifié le test de succès historique.

 

M. McCain a estimé que ce système défensif atteste amplement (...) du meilleur de la technologie israélienne et américaine.

 

Arrow 3 (Hetz en hébreu), testé une première fois en février 2013, comporte un radar qui détecte les missiles, puis transmet les informations à un centre de contrôle, lequel déclenche le lancement d'un missile après avoir analysé et calculé la trajectoire de celui à intercepter.

 

Il est en partie financé par les Etats-Unis, avec notamment la participation de l'avionneur Boeing.

 

Le lancement du projet Arrow remonte à 1988, dans le cadre du programme antibalistique américain connu sous le nom de Star Wars. Il a été accéléré après le bombardement du territoire israélien par des missiles Scud irakiens durant la première guerre du Golfe, en 1991.

 

Israël accuse en outre l'Iran de vouloir se doter de l'arme atomique, et craint qu'il équipe ses missiles balistiques de têtes nucléaires, ce que dément Téhéran.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 12:25
Les équipes de DCNS sur le Sao Paulo

Les équipes de DCNS sur le Sao Paulo

 

20/12/2013 DCNS

 

A la demande de la Marine brésilienne, DCNS est intervenu sur le porte-avions São Paulo pour réaliser un ship check (vérification complète) de la catapulte avant. Objectif de cette intervention : faire un diagnostic des installations et permettre à la Marine brésilienne de redonner du potentiel à cette catapulte pour maintenir le portes-avions en capacité opérationnelle.

 

Les travaux se sont déroulés en novembre 2013 à l’arsenal de Rio de Janeiro, au Brésil. En fin d’intervention, deux tirs à vide ont été réalisés avec la catapulte, à la satisfaction du commandement brésilien.

 

Sur les porte-avions, la catapulte joue un rôle essentiel : du fait de la courte distance, les avions ne peuvent décoller grâce à leur seule force de propulsion et c’est la catapulte à vapeur qui leur permet d’atteindre la vitesse nécessaire au décollage.

 

Du Foch au Sao Paulo

 

Sistership du porte-avions Clemenceau, le porte-avions Foch fut mis sur cale à Saint-Nazaire en 1957 puis transféré trois ans plus tard sur le site DCNS de Brest pour achèvement des travaux. Admis au service actif en 1963, le Foch fut désarmé par la Marine nationale à l’arrivée du porte-avions Charles de Gaulle en 2000.

 

Cédé aux Brésiliens, le porte-avions Foch a subi une importante période d’entretien et de modernisation avant son départ pour le Brésil. Le transfert de pavillon eut lieu le 15 novembre 2000, à Brest, où le porte-avions prit alors son nouveau nom de baptême São Paulo.

 

Long de 265 mètres pour un déplacement de 33 000 tonnes en charge, le São Paulo peut embarquer 18 avions Sky Hawk. Sa catapulte peut propulser des avions de 10 à 15 tonnes de 0 à 270 km/h en 2 secondes.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 11:50
NATO Response Force 2014 certified

6 janv. 2014  NATO

 

The NATO Response Force 2014 has been officially certified. After a busy training season this autumn, NATO's rotational, quick-response force is now ready and capable to respond to various types of crises anywhere in the world. At the final certification exercise Steadfast Jazz 2013 personnel from all 28 NATO and several partner nations demonstrated their ability to work together effectively in joint-multinational operations.

 

La NATO Response Force 2014 a été certifiée, et ses composantes, dont le QG CRR-Fr fait partie au titre de composante terrestre, sont en alerte depuis le 1er janvier 2014. Retour en images sur cette NRF 2014 avec un reportage, en anglais, de la chaîne télé de l'OTAN, NATO TV channel

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories