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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 08:25
 Jamaica Defense Forces to acquire 12 Bushmaster armoured personnel carrier from Thales Australia

Dec. 4, 2013 Pacific Sentinel

 

Cabinet of Jamaica government has approved a five-year recapitalisation project for the Jamaica Defence Force (JDF) which will see the JDF replacing obsolete and mainly unserviceable V150 armoured cars in its fleet. Under the project, the JDF (Jamaica Defense Forces) will acquire 12 Thales Australia Bushmaster armoured personnel carriers (APCs) a report from the Office of the Prime Minister (OPM) said.

 

At present, the JDF has a complement of 14 Cadillac Gage V150s, 10 of which were acquired 37 years ago in 1976 and the other four were acquired in 1985, according to the OPM.

 

Over the course of their service life within the JDF, the vehicles have been utilized as critical enablers in many high risk situations such as internal security deployments in support of the Jamaica Constabulary Force (JCF) as well as pre and post disaster response and rescue operations.

 

Delivery of the armoured vehicles will commence in 2015.

 

Read the full story at Army Recognition

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 07:56
RCA: le général Soriano à la tête de l'opération française «Sangaris»

04 décembre 2013 Olivier Fourt - RFI

 

La France espère faire adopter par le Conseil de sécurité de l'ONU son projet de résolution sur la crise en Centrafrique au plus tard le jeudi 5 décembre. Le général Francisco Soriano prendra la tête de l'opération française en Centrafrique. Une opération baptisée « Sangaris », du nom d'un papillon rouge que l'on trouve dans les forêts centrafricaines. Le général dirige actuellement les forces françaises au Gabon. 

C'est un officier expérimenté de 54 ans qui dirigera l'opération Sangaris en République centrafricaine, dès que Paris en aura donné le feu vert. Francisco Soriano est un général de brigade. En 2011, il a pris la tête de la 7ème brigade blindée de l'armée de terre, avec laquelle il fut engagé en Afghanistan de novembre 2012 à avril 2013.

Il a pris ensuite la tête des forces française au Gabon. Une mission qui chapeaute d'ailleurs l'opération Boali et ses 400 hommes déjà déployés en République centrafricaine.

 

→ A (RE)LIRE: Les objectifs de la nouvelle opération française en Centrafrique

 

En RCA, le général Francisco Soriano commandera au total un millier d'hommes, environ, qui viendront soutenir la Misca, la Mission internationale de soutien en Centrafrique. Selon le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, ce sera une mission de courte durée, environ six mois. Pas question donc de rééditer l'opération Serval, affirme le ministrre français.

 

→ A (RE)LIRE : Nouvelles exactions en Centrafrique

 

Paris prend d'ailleurs soin de préciser que l'opération Sangaris servira d'appui de la mission africaine. La France compte d'ailleurs faire adopter dès jeudi une résolution aux Nations unies dans laquelle ce rôle d'appui sera bien spécifié. C'est à la Misca que reviendra la tâche d'assurer la protection des civils et la stabilisation de l'Etat.

 

L’opération Sangaris

Les Français l'ont baptisé opération Sangaris, du nom d'un papillon rouge de Centrafrique. L'armée française est en train de se mettre en position d'intervenir dans ce pays. Après les renforts à Bangui, d'autres troupes sont en train de se rapprocher des frontières de la Centrafrique afin d'être en mesure d'entrer dans le pays dans les plus brefs délais quand les Nations unies l'auront décidé.


■ REPORTAGE : Au Cameroun, 350 militaires français se préparent au départ

Notre envoyé spécial, Olivier Fourt, suit un groupe de 350 militaires français, actuellement au Cameroun. Un convoi ferroviaire et un convoi routier sont prévus depuis le Cameroun afin de pré-positionner ces soldats à la frontière.

Les soldats français à Douala en route vers la Centrafrique
(01:38)
 

Reportage au Cameroun

 
photos Olivier Fourt - RFI
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photos Olivier Fourt - RFI
photos Olivier Fourt - RFI
photos Olivier Fourt - RFI
photos Olivier Fourt - RFI

photos Olivier Fourt - RFI

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 07:55
Le général Francisco Soriano à la tête de l'opération Sangaris

 

03/12/2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord. – Défense Globale

 

Le général Francisco Soriano, commandant des Forces françaises au Gabon (FFG) depuis cet été, va diriger l'opération Sangaris de soutien à la MISCA africaine. En toute logique puisque la Centrafrique dépend des FFG de Libreville dans le dispositif prépositionné français. En janvier pour le Mali, de la même manière, le général Grégoire de Saint-Quentin s'était vu confier le commandement de l'opération Serval alors qu'il était chef des Éléments français au Sénégal (EFS).

 

Le général Soriano, 54 ans, est issu des troupes de marine. Il fut chef de corps du 11e RAMa (artillerie de marine) de Saint-Aubin-du-Cormier de 2002 à 2004. Promu général de brigade en 2011, il dirige la 7e brigade blindée, dont l'état-major se situe à Besançon. Le général de brigade Francisco Soriano a assuré le commandement du contingent des éléments français (NCC) en Afghanistan lors du désengagement et la dissolution de la force Pamir de décembre 2012 à mai 2013.

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 07:45
Centrafrique : l'adoption de la résolution prévue pour jeudi

 

 

04.12.2013 Le Monde.fr avec AFP

 

Selon un récent rapport de l'ONU, la force en République centrafricaine devra compter de 6 000 à 9 000 hommes pour être efficace.

 

Les 15 pays membres du Conseil de sécurité sont parvenus dans la soirée du mardi 3 décembre à un consensus sur un projet français de résolution sur la crise en République centrafricaine, qui devrait être adopté à l'unanimité jeudi matin, selon des diplomates à l'ONU.

 

La résolution donne mandat à la force panafricaine présente en RCA (Misca) pour se déployer « pour une période de douze mois », avec une clause de révision au bout de six mois, afin de « protéger les civils et de rétablir l'ordre et la sécurité par les moyens appropriés ». Elle autorise aussi les forces françaises en RCA à « prendre toutes les mesures nécessaires pour soutenir la Misca dans l'exercice de son mandat ».

 

Le texte est placé sous le chapitre 7 de la Charte de l'ONU qui prévoit le recours à la force. La résolution demande aussi au secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon de présenter dans les trois mois un rapport donnant des recommandations pour « une transformation éventuelle de la Misca en opération de maintien de la paix de l'ONU » si les conditions politiques et de sécurité dans le pays le permettent.

 

Cette transformation ne sera pas automatique, a tenu à souligner mardi devant la presse l'ambassadeur français Gérard Araud. « A ce stade il est difficile de savoir si la force africaine avec le soutien des forces françaises sera capable de faire le travail », a-t-il expliqué. « Si la force africaine fait le travail, il n'y aura pas besoin d'une force de maintien de la paix ». Selon un récent rapport de l'ONU, une telle force devra compter de 6 000 à 9 000 hommes pour être efficace.

 

Lire : Centrafrique : l'ONU envisage l'envoi de 6 000 casques bleus

 

LES ETATS-UNIS RÉTICENTS

 

La résolution prévoit aussi la création d'une commission d'enquête sur les droits de l'homme, un embargo sur les armes à destination de la RCA et la menace de sanctions ciblées contre les responsables d'exactions et ceux qui tenteraient de bloquer la transition politique en RCA.

 

Selon des diplomates, les Etats-Unis étaient réticents à la mise en place rapide d'une opération de maintien de la paix. Ils refusaient par ailleurs une solution mixte du type de l'Amisom (mission de l'Union africaine en Somalie, composée d'Africains mais financée par l'ONU et l'Union européenne).

 

Aux termes de la résolution, la montée en puissance de la Misca, qui doit atteindre 3 600 hommes à effectif plein mais n'en compte pour l'instant que 2 500, sera financée par un fonds fiduciaire alimenté par des contributions volontaires. Selon M. Araud, le contingent français en Centrafrique sera chargé non seulement de rétablir l'ordre dans la capitale Bangui, mais aussi de « sécuriser les axes routiers pour permettre un accès humanitaire ».

 

La France a commencé à renforcer ses effectifs en Centrafrique, où elle devrait lancer dans les prochains jours une opération pour rétablir l'ordre dans un pays en proie au chaos. Selon le ministère de la défense français, plus de 600 hommes se trouvent déjà à Bangui.

 

lire (édition abonnés) : Centrafrique : Paris est prêt à intervenir militairement

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 07:35
US halts shipments from Afghanistan through Pakistan

 

 

Dec. 3, 2013 – Defense News (AFP)

 

WASHINGTON — The US military on Tuesday suspended shipments of equipment out of Afghanistan through Pakistan, citing protests that posed a threat to the safety of truck drivers, officials said.

 

The move came after club-wielding activists in northwestern Pakistan forcibly searched trucks for NATO supplies in protest over US drone strikes in the country’s tribal belt.

 

“We have voluntarily halted US shipments of retrograde cargo through the Pakistan Ground Line of Communication (GLOCC) from Torkham Gate through Karachi,” Pentagon spokesman Mark Wright said in a statement.

 

He was referring to the main overland route used by the Americans and NATO to withdraw military hardware from Afghanistan, as part of a troop pullout set to wrap up by the end of 2014.

 

Trucks have been told to wait in holding areas in Afghanistan, officials said.

 

“We anticipate that we will be able to resume our shipments through this route in the near future,” Wright said.

 

A defense official said Washington believed the Islamabad government fully supported the use of the route and that it would soon restore security to the area.

 

“The companies that we contract with were getting nervous. And it’s getting a little too dangerous for the truck drivers,” the defense official, who spoke on condition of anonymity, told Agence France-Press.

 

The United States has alternate routes available to the north through Central Asia, although those options take longer and are more expensive.

 

About half of the US cargo is being taken out through the Pakistan route via the Torkham crossing, with the remainder being removed by aircraft or a combination of planes and ships.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 21:55
Le nouveau centre d'entraînement au tir interarmes - CETIA

Parcours de tir Symphonie au centre d'entrainement au tir interarmes (CETIA) de Suippes. 3 VBCI du 92e RI sont prêts à faire feu avec leurs canons de 25 mm qui peuvent tirer à une cadence maximum de 400 coups/min. La tourelle du VBCI est entièrement stabilisée sur les deux axes, elle est équipée d'un télémètre laser et d'une caméra thermique.

 

2 déc. 2013 Armée de Terre

 

Durant 2 semaines, les camps de Suippes ont accueilli plusieurs régiments pour un entraînement de niveau SGTIA, pour les unités de mêlée. A dominante infanterie, ce sous-groupement tactique interarmes étaient notamment composé de fantassins du 92ème régiment d'infanterie, du 1er RIMa, un détachement du 31ème RG et une équipe d'observation du 68ème RAA.
Crée au 1er juillet 2013, le CETIA Symphonie bénéficie d'installations de tir récemment valorisées et enrichies. Ce nouvel outil de contrôle du centre de commandement et de préparation de forces (CCPF) met en oeuvre ses moyens pour entrainer et évaluer les unités sur la précision des tirs, embarqués et débarqués, mais également sur les manoeuvres tactiques et la capacité de commandement. La plus-value de ce pôle reste l'interarmes. Le CETIA Symphonie de Suippes achèvera sa montée en puissance en 2014.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 21:30
Episode 1 - GAN appareillage

3 déc. 2013 FORCESFRANCAISES

 

Le groupe aéronaval vient de mettre le cap à l’est pour rejoindre le nord de l’océan Indien et le golfe arabo-persique. Cette opération de trois mois, précédée d’une dizaine de jours de certification du groupe en Méditerranée occidentale, permettra à la France de disposer dans la zone d’une capacité militaire stratégique à la fois souple, autonome et réactive. Connaissance, anticipation, coopération régionale, prévention des crises, et capacité d'action autonome sont au programme. Ordonnée par le chef d’état-major des armées, la mission Bois Belleau durera jusqu’en février 2014 et concernera 2600 marins et renforts interarmées.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 20:55
L’exercice CERCES 2011 (crédits: Sirpa Terre / Adc G. Gesquière )

L’exercice CERCES 2011 (crédits: Sirpa Terre / Adc G. Gesquière )

03.12.2013 FOB
 

Manœuvre de grande ampleur à tirs réels en conditions hivernales, l’édition 2013 de l’exercice CERCES se déroulera du 8 au 12 décembre sur le champ de tirs temporaire (seulement ouvert de temps en temps) des Alpes dans la zone des Rochilles – Mont Thabor. Commandé par la 27ème Brigade d’Infanterie de Montagne (27ème BIM), CERCES est un exercice tactique du niveau GTIA (Groupement Tactique InterArmes) recréant en conditions réelles une opération menée en montagne et en plein hiver. Près de 1000 alpins vont vivre et combattre en conditions réelles avec divers type d’opérations : infiltration nocturne, manœuvre à tirs réels, liaison sur points hauts…

Tir aux canons de 155mm CAESAR pour les artilleurs du 93 ème RAM lors de CERCES 2011 (Crédits : SIRPA Terre / Adc G. Gesquière)

Tir aux canons de 155mm CAESAR pour les artilleurs du 93 ème RAM lors de CERCES 2011 (Crédits : SIRPA Terre / Adc G. Gesquière)

Tous les corps de la 27ème BIM sont concernés pour cette manœuvre de grande envergure, sous les ordres du général Benoit Houssay, commandant la 27ème BIM. Tous les équipements majeurs des chasseurs alpins seront engagés, à savoir le système FELIN, l’ERC90 (Sagaie), le canon automouvant de 155 mm Caesar ainsi que 15 VHM. Il s’agira du second engagement du VHM, après celui de 2011 dans l’exercice CERCES, qui vient de recevoir sa validation (relire ici l’article de FOB sur le VHM). Le Véhicule blindés Haute Mobilité d’Hägglunds équipe aujourd’hui trois bataillons de chasseurs alpins. À noter que l’exercice est interarmes et interarmées, il verra l’engagement de 2 à 3 hélicoptères de manœuvre de l’ALAT ainsi que d’un Mirage 2000 et d’un Rafale pour des missions de reconnaissance et d’appui.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 20:50
Engagée au Mali et en Centrafrique, la France retire ses militaires du Kosovo

 

03.12.2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca (AFP)

 

La France a décidé de retirer ses derniers militaires, environ 300, qui participent à la force de l’Otan au Kosovo, la KFOR, en mettant en avant les impératifs de ses autres opérations, en particulier au Mali et en Centrafrique, a-t-on appris mardi de sources diplomatiques, rapporte aujourd’hui l’AFP.

 

Le retrait de la France de la Kfor, se fera progressivement jusqu’en juin 2014 dans le cadre du processus régulier de renouvellement des effectifs de cette mission qui compte encore environ 5.000 hommes.

«Nous savons tous que la France a de nombreux engagements sur d’autres théâtres d’opération», a réagi à l’annonce du retrait de la France le secrétaire général de l’Otan, Anders Fogh Rasmussen, avant une réunion des ministres des Affaires étrangères des pays de l’Alliance à Bruxelles.

Elle «a contribué de manière significative à la Kfor» et «je crois que, sur la base du principe de solidarité, nous serons en mesure de combler le départ» des soldats français, a-t-il ajouté.

Alors que le Kosovo avait accédé à la pleine souveraineté, le 10 septembre 2012, la Kfor déployée par l’Otan en 1999 était alors passée en force de dissuasion, afin de pérenniser la stabilité et la sécurité de ce pays situé aux portes de l’Union européenne.

La KFOR participe au maintien d’un environnement sûr et sécurisé au profit de l’ensemble de la population du Kosovo, en coopération avec la Mission des Nations unies au Kosovo (MINUK) et la mission de l’Union européenne (EULEX), compétente, elle, dans les domaines de la police, de la justice et des douanes.

Présente dès le début de l’intervention menée par l’Otan, à partir de 1999, la France était toujours activement investie au Kosovo aux côtés de ses alliés.

 

Du 30 septembre au 3 octobre 2013, une délégation de l’inspection des armées (IDA), conduite par le général de division Pinel, adjoint au général inspecteur des armées, s’est rendue au Kosovo pour inspecter le contingent français de la KFO (Archives/EMA/Armée de terre française)

 

Cinquième contributrice de la Kfor, sur un total de trente nations, plus de 300 soldats français étaient aujourd’hui déployés sur ce théâtre, principalement au nord, ainsi que certains éléments insérés à l’état-major.

Les forces françaises avaient plus spécifiquement la responsabilité de la sécurité à des postes administratifs et frontaliers particulièrement sensibles, qu’ils soient officiels ou sauvages, de démanteler les barrages routiers, de monter des points de contrôle des véhicules, ainsi que d’effectuer des patrouilles.

Les forces françaises participaient ainsi à la lutte contre le terrorisme, en empêchant l’approvisionnement en armement et en explosifs des groupes extrémistes installés dans le nord du pays par la Serbie qui n’a jamais accepté l’indépendance du Kosovo jusqu’à la conclusion en avril 2013 d’un accord de normalisation par lequel la Serbie ne reconnaît toutefois pas formellement l’indépendance de ce qui reste, pour elle, une province serbe.

Paris a justifié son retrait par son implication au Mali, et prochainement en Centrafrique, qui sollicitent d’importants moyens en terme d’hommes et de matériel.

La France continuera cependant à participer à l’état-major de la Kfor, et sera prête à envoyer des renforts si la situation sécuritaire l’exigeait au Kosovo.

Certains pays, dont l’Allemagne, premier contributeur à la Kfor avec près de 700 militaires, mettent en garde contre un désengagement trop rapide alors que la situation reste «tendue» dans le nord du Kosovo, malgré la signature de l’accord de normalisation.

M. Rasmussen a donc insisté mardi sur la nécessité de maintenir «un niveau suffisant» de soldats de la Kfor «pour assurer le succès de l’accord entre Belgrade et Pristina».

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 20:40
Russie et Otan pourraient recycler les munitions obsolètes

 

BRUXELLES, 3 décembre - RIA Novosti

 

La Russie et l'Otan pourraient lancer un projet-pilote de recyclage des munitions obsolètes, a annoncé mardi le secrétaire général de l'Alliance Anders Fogh Rasmussen en prévision d'une réunion du Conseil Russie-Otan qui doit avoir lieu le 4 décembre à Bruxelles.

 

"Nous discuterons de nouveaux domaines de notre coopération et initierons un projet-pilote prévoyant la destruction de vieilles munitions dangereuses dans la région de Kaliningrad", a déclaré M. Rasmussen.

 

Selon des informations diffusées auparavant, Moscou envisage d'associer des entreprises des pays membres de l'Otan au recyclage de munitions obsolètes russes.

 

Le vice-ministre russe de la Défense Alexeï Mechkov a confié mardi à RIA Novosti que les aspects financiers de la participation de l'Otan à ce projet étaient à l'étude. Selon M. Mechkov, la destruction de munitions doit être effectuée dans la région de Kaliningrad (enclave russe sur la Baltique). Il s'agit de créer à cet effet un fonds fiduciaire spécialisé. D'après le vice-ministre, "toutes les parties sont en principe intéressées par le lancement d'un tel fonds".

 

Le Conseil Russie-Otan doit se réunir le 4 décembre à Bruxelles au niveau des chefs de diplomatie. La Russie sera représentée par le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 20:35
L’épage du sous-marin indien INS Sindhurakshak

L’épage du sous-marin indien INS Sindhurakshak

 

 

3 décembre 2013, portail des Sous-Marins

 

La marine indienne espère voir à nouveau le sous-marin Sindhurakshak opérationnel à nouveau, a déclaré mardi son chef, l’amiral D.K. Joshi.

 

Le chef de la marine indienne a indiqué que 5 compagnies avaient soumis des propositions pour renflouer l’INS Sindhurakshak. Sur ces 5, 2 ont été retenues et invitées à présenter une offre commerciale. « Le processus d’appel d’offres devrait se terminer d’un jour à l’autre, » a-t-il indiqué. « Nous espérons le remettre en état après qu’il ait été renfloué, » a-t-il ajouté.

 

Le chef de la marine a expliqué qu’un comité sera formé « au moment où le sous-marin sera renfloué » pour vérifier son état. « Le comité sera constitué d’architectes navals et d’ingénieurs maritimes. Une expertise de la coque sera effectuée. Selon leurs conclusions, une décision sera prise sur l’avenir du sous-marin, » a-t-il déclaré.

 

Référence : Daily News & Analysis (Inde)

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 19:55
Entraînement EXOCET au profit du porte-avions Charles de Gaulle et de son escorte

 

 

03/12/2013 Marine nationale

 

Avant que les différents bâtiments ne se constituent en groupe aéronaval articulé autour du porte-avions Charles de Gaulle, les équipages ont participé pendant 3 jours à l’entraînement Exocet. Aux côtés du porte-avions, la frégate anti-sous-marine Dupleix la frégate de défense aérienne Forbin, la frégate anti-aérienne Cassard, la frégate anti-sous-marine Jean de Vienne, le destroyer lance-missiles italien Durand de la Pennet deux avisos toulonnais ont pris part au scénario.

Les bâtiments du pays Red Land menés par le Dupleix ont affronté les forces navales du pays bleu conduites par le porte-avions dans des scénarii de lutte anti-surface au cours desquels de nombreux moyens aériens de la Marine et de l'armée de l'Air ont été mis en oeuvre.
À l'issue de cet entraînement de niveau supérieur, le porte-avions et son escorte ont mis le cap au Sud pour la mission Bois Belleau 13, tandis que le Dupleix rentrait au port-base en compagnie de la frégate italienne Durand de la Penne, venue passer quelques jours d'escale à Toulon après sa participation à cette coopération franco-italienne.

Entraînement EXOCET au profit du porte-avions Charles de Gaulle et de son escorte
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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 19:50
AERO Vodochody Aerospace in talks over sale of jet fighters

 

PRAGUE, Czech Republic, Dec. 3 (UPI)

 

Czech manufacturer Aero Vodochody Aerospace says it is party to negotiations between the Ministry of Defense and Draken International for the sale of its jets.

 

Draken is a U.S. firm that provides tactical fighter aircraft for contract air services for customers such as the U.S. military for airborne adversary support, flight training, threat simulation, electronic warfare support, aerial refueling, research, and testing services.

 

The Czech Ministry of Defense last week announced it was negotiating with Draken over the sale of as many as 28 surplus Aero Vodochody L-159A tactical jets.

 

"The successful conclusion of the sale and introduction of the aircraft in the U.S.A. would mark new phase in the life of L-159 and would bring significant benefits for Aero and other aerospace manufacturers in the Czech Republic involved in the program," Aero Vodochody said.

 

"Furthermore, Aero and L-159 program would benefit from the partnership on the American market, which could significantly increase the export potential of L-159 on the Latin and South American markets, where the light attack category has very good prospects."

 

The Czech company said it is also holding talks with Draken over future cooperation but offered no additional details.

 

The L-159A is a single-seat light combat aircraft produced by the company from 1997 to 2003.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:55
E3PN: Ayrault annonce le feu vert gouvernemental à l'embarquement des équipes privées


03.12.2013 par P. CHAPLEAU - Lignes de Défense

Le gouvernement va autoriser, ainsi que le réclament les armateurs, les gardes armés à bord des navires afin de lutter contre la piraterie, affirme Jean-Marc Ayrault dans un entretien paru ce mardi dans Le Marin Ouest-France.

"Nous allons autoriser le recours à des équipes privées capables de compléter les missions assurées par la Marine nationale", assure le Premier ministre. "C'est une demande très forte des armateurs et nous l'avons entendue".

Cliquer ici pour lire le texte de son entretien.

Le Premier ministre n'en dit pas plus, alors que le projet de loi en est à un stade bien plus avancé.

Le texte a été validé lors d'une réunion interministérielle (Intérieur, Transports, Défense) et sa diffusion est imminente. Après son passage devant le conseil d'Etat, il sera ensuite présenté au Parlement. Quand? Pas d'agenda...

L'idée de base, c'est donc d'autoriser les fameuses E3PN ou "entreprises privées de protection physique des navires" (lire mon post à ce sujet). Et rien qu'elles: pas question d'aborder la problématique des ESSD terriennes.

En ce qui concerne les E3PN et leurs accréditations,
- obligation d'adhérer à la norme ISO 28007 (lire mon post), norme bien anglo-saxonne,
- les CNAPS serait chargé des procédures d'agrément mais pas du suivi des activités et du contrôle,
- aux armateurs de vérifier que les entreprises qu'ils vont recruter pour faire assurer la sécurité des navires, équipages et cargaisons soient en règle,
- aux capitaines de vérifier la conformité de l'armement, des procédures et des conditions d'engagement.

Les équipes embarquées (il s'agit bien d'équipes à bord, le cas des navires d'escorte semble avoir été rejeté) privées compteront au moins quatre membres, portant une tenue permettant leur identification.

L'armement:
- la commission interministérielle pour l'étude des exportations de matériels de guerre (CIEEMG) sera-t-elle amenée à jouer un rôle? Probablement, pour autoriser l'exportation des armes. Qui vérifiera le retour des armes en France une fois la mission terminée?
- 1 arme de poing et 1 armes d'épaule par garde,
- seulement des armes semi-automatiques,
- pas de M4, Kalash, Famas etc,
- Ouverture du feu en cas de stricte légitime défense.

Plus de précisions sous peu.

J'en profite pour confirmer la sortie, début janvier, d'un ouvrage sur les questions de piraterie, que j'ai écrit avec le professeur Jean-Paul Pancracio et qui sortira chez Vuibert/INHESJ.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:55
Devant les militaires du 93e régiment d’artillerie de montagne de Varces (Isère), Jean-Yves Le Drian annonce le remplacement du système de solde Louvois

 

03/12/2013 Ministère de la Défense

 

Devant les militaires du 93e régiment d’artillerie de montagne de Varces (Isère), Jean-Yves Le Drian annonce le remplacement du système de solde Louvois et précise la démarche qui sera conduite sur le modèle d’un programme d’armement

 

Face aux dysfonctionnements réguliers du système de solde militaire Louvois et à l’impossibilité de le réparer, le ministre de la Défense,Jean-Yves Le Drian, a pris la décision de le remplacer. Lors de ses premières visites dans les forces, et notamment à Varces en septembre 2012, le ministre avait recueilli de nombreux témoignages de militaires victimes de Louvois. Jugeant que les difficultés étaient inacceptables pour les militaires et leur famille, le ministre avait pris une série de décisions pour parer à l’urgence. Depuis un an, un dispositif exceptionnel, humain et financier, a permis de restituer aux militaires les sommes qui leur étaient dues depuis l’installation de Louvois en mars 2011, et d’évaluer les sommes trop perçues : plateforme d’appels regroupant 30 spécialistes, installée à Rambouillet et joignable par numéro vert ; renforcement des effectifs des Centres d'expertise des ressources humaines et de la solde (CERHS) ;installation d’un groupe d’utilisateurs ; inventaire des dossiers en attente de régularisation et contrôle permanent permettant une remontée des incidents.

Les audits conduits depuis ont démontré que le logiciel, instable, ne sera jamais maîtrisable. Devant ce constat sans appel, Jean-Yves Le Drian annonce sa décision de remplacer Louvois au terme d’une démarche pragmatique, structurée et transparente. Un dialogue compétitif sera lancé auprès de professionnels des systèmes d’information qui auront un an pour présenter un prototype et le tester. L’organisation de projet reposera sur une équipe de direction de programme intégrée, sur le modèle des programmes d’armement. L’objectif est de faire basculer une première armée dans le futur système de solde dès 2015.

La gouvernance de la solde a également été clarifiée. La responsabilité des systèmes d’information ressources humaines est confiée à la DRH du ministère de la Défense. Celle du paiement de la solde relève désormais du Service du Commissariat des Armées(SCA).

Accompagné de ses trois grands subordonnés, le chef d’état-major des armées, le secrétaire général pour l’administration et le délégué général pour l ’armement, le ministre s’est adressé aux militaires du 93èRAM : « Aujourd’hui, je reviens à l’endroit où j’ai décidé de relever ce défi. Je le reconnais, depuis que j’ai pris mes fonctions de ministre, ce défi est sans doute l’un des plus difficiles dans lesquels je me suis engagé. C’est l’un de ceux qui m’a vu le plus déterminé aussi, parce que je n’ai pas accepté, je n’accepterai jamais, que le contrat moral qui lie la Nation à l’engagement de ses soldats soit ainsi mis à mal […]. Confusion, précipitation et aveuglement ont conduit au désastre Louvois. Aujourd’hui, c’est par la clarté, la détermination mais aussi la sécurité de notre démarche que nous voulons changer de système ».

  Le plan d’urgence restera actif jusqu’au basculement des armées vers le nouveau système de solde. Il a déjà permis de traiter :

-        76 849 dossiers concernés par 68,1 millions d’euros d’avances de soldes, versées dans le cadre de projections en opérations extérieures, dont la reprise automatique est gelée depuis décembre 2012.

-        87 732 dossiers concernés par des trop-perçus potentiels pour un montant de 184,22 millions d’euros, depuis le 1er janvier 2013.

-        79 666 appels et courriels grâce au numéro vert du centre d’appel(ou de la cellule d’assistance solde) et de traiter 18 076 dossiers dont15 586 sont d’ores et déjà clos.

 Les militaires seront régulièrement tenus informés des avancées de la démarche initiée aujourd’hui par le ministre grâce au Conseil supérieur de la fonction militaire (CSFM), au groupe d’utilisateurs et aux outils d’information interne . Le ministre a promis de revenir en 2014 au régiment de Varces pour présenter aux militaires le prototype sélectionné.Saluant le dévouement et la disponibilité des équipes du ministère en charge de la solde militaire, Jean-Yves Le Drian a appelé à la mobilisation générale pour assurer le succès de cette nouvelle démarche.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:50
Navantia a « camouflé » dans son rapport annuel les problèmes de sur-poids du sous-marin S-80

 

3 décembre 2013, Portail des Sous-Marins

 

Navantia a camouflé dans son rapport annuel 2012 les problèmes de sur-poids et d’erreur de conception de son nouveau sous-marin S-80. Alors que la compagnie espagnole avait déjà connaissance de la problématique compliquée de son nouveau joyau de la couronne, elle a caché ce contre-temps dans son rapport annuel et a évité de donner des données révélatrices.

 

Quand le document a été approuvé, les comptes ont été signés le 14 mars 2012, la compagnie connaissait déjà le problème. De fait, il a été dévoilé au public en mai. Le problème doit entrainer une modification du sous-marin et le retard de livraison du 1er exemplaire.

 

Provisions et impondérables

 

Mais Navantia a essayé de le cacher jusqu’au dernier moment. Dans son rapport annuel 2012, dans le paragraphe consacré aux provisions et impondérables, elle aborde le problème avec ce texte elliptique : « Fruit de ce suivi des travaux en cours, la compagnie estime que l’un de ces travaux souffre d’un dépassement prévisible et significatif des couts par rapport au budget initial. » Ce texte fait clairement référence aux problèmes du S-80 sans le citer expressément.

 

Plus loin, elle ajoute que le retard possible « a été porté à la connaissance du client (le ministère de la défense, mais elle ne le dit pas) à qui elle a demandé de revoir les aspects principaux du contrat, et celui-ci a accepté. »

 

Information classifiée

 

Interrogé sur cette présentation si ambigüe, un porte-parole officiel de Navantia justifie le contenu du rapport annuel en expliquant « qu’il s’agit d’informations classifiées et qu’on ne peut donner plus de détails dans un document public. » Le conseiller juridique de l’entreprise publique ajoute que cela se fait habituellement quand il s’agit d’un document aussi délicat.

 

Référence : El Economista (Espagne)

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:45
African Military Profile: Sudan


03 December 2013 by Guy Martin - defenceWeb

Sudan’s large military has been re-equipping on a large scale over the last decade, acquiring strike aircraft, attack and transport helicopters, main battle tanks and infantry fighting vehicles amongst others. The country believes a strong military is necessary to maintain a balance with South Sudan and fight rebels internally. Click here to find out more about the Sudanese Armed Forces.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:45
Islamists attack military bases in northeast Nigeria

 

 

03 December 2013 defenceWeb (Reuters)

 

Nigerian authorities imposed a 24-hour curfew in the main northeastern city of Maiduguri on Monday after Islamist militants attacked an air force base and army sites overnight, the military said.

 

Baba Ahmed Jidda, a spokesman for the government of Borno State, of which Maiduguri is the capital, announced the curfew in a statement, but gave no details of the attacks and did not say if they had caused casualties.

 

The Nigerian military has periodically imposed curfews on Maiduguri, birthplace of the Boko Haram insurgency that is the gravest threat to Africa's top oil producer. But it is rare for the state government to make such an announcement.

 

Nigerian defense headquarters spokesman Brigadier General Chris Olukolade later said in a statement that security forces had repelled attacks by "daring terrorists".

 

"Military locations such as Nigerian Air Force Base and some Nigerian Army locations in Maiduguri were targeted," he said.

 

Three disused aircraft and two helicopters were damaged. Flights to and from Maiduguri airport, which is near the air force base, had been disrupted but had now resumed, he said.

 

Residents recounted fierce fighting overnight.

 

"My family and I could not sleep till daybreak because the shooting continued till about 8 a.m.," Haruna Ali told Reuters at the scene, where Borno state governor Kassim Shettima was surveying the aftermath of the violence.

 

"We are going to replace all buildings destroyed by the insurgents even if they destroy them a hundred times," Shettima declared, walking past a burnt-out fuel truck. "I know we shall overcome ... the Satanic ideology of this group."

 

In May, President Goodluck Jonathan declared a state of emergency in Borno and two other states, ordering an all-out offensive against the Islamist group fighting to establish an Islamic state in Nigeria. Africa's most populous country is split roughly evenly between Christians and Muslims.

 

Nigeria has used air power to bomb suspected Boko Haram bases, including a strike on Friday that the military said might have killed more than 50 insurgents in one of their main bases in Gwoza.

 

Initially the offensive appeared to temper the violence as soldiers wrested back control of towns, cities and stretches of semi-desert in the northeast from the militants.

 

But Boko Haram's fighters have survived many assaults during the 4-1/2-year-old insurgency. After retreating this year to remoter areas, including the forested Gwoza hills near Cameroon, they have mounted deadly counter-attacks and stepped up killings of civilians they accuse of collaborating with the authorities

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:45
Les Mécanos du Désert

Les Mécanos du Désert . Crédits ADC Gilles GESQUIERE

 

03/12/2013 Armée de Terre

 

Suivez le troisième mandat de l’opération Serval par l’intermédiaire de ceux qui la vivent de l’intérieur. Mécanos, pompiers, contrôleurs aériens…, rejoignez ceux qui soutiennent la force. Aujourd’hui, les mécaniciens du groupement tactique interarmes Korrigan sont à pied d’œuvre ! Les marsouins du 3e régiment d’infanterie de marine (3e RIMa) composent la section de maintenance et de réparation, qui assure les interventions techniques de premier niveau.

 

Le voyant rouge de la direction vient de s’allumer. C’est mauvais signe. Le véhicule blindé léger doit retarder son départ en patrouille pour raison technique. Aux ateliers, un marsouin fait le tour du véhicule, vérifie les niveaux et rajoute du liquide de direction. « Avec ce mandat, nous faisons beaucoup de patrouilles et de reconnaissances. Le parc de véhicules fait l’objet d’une solide maintenance pour faire durer le matériel. Les unités ont pris l’habitude de venir nous voir systématiquement, même pour une petite panne. Nous traitons toujours leurs demandes pour éviter que le problème ne s’aggrave une fois sur le terrain », explique l’adjudant-chef François H.

 

Les fortes chaleurs du nord Mali sont un paramètre important dans l’organisation du travail. À près de 45°C, la tôle devient brûlante et il est impossible de travailler sur les véhicules. « Les roches sont coupantes comme des rasoirs et les fortes chaleurs constituent des conditions extrêmes pour les véhicules. Entre la rocaille et le sable, il y a énormément de crevaisons et de casse. Si les camions passent bien, c’est plus difficile pour les engins lourds, comme les blindés. Pourtant, ils sont indispensables sur ce théâtre d’opération. Nous avons donc une consommation énorme de pneus. Et nos prédécesseurs ont fait le même constat », ajoute l’adjudant-chef. Au Mali, trois jours de patrouilles dans le désert, en véhicules, se soldent par au moins deux crevaisons.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:45
The first Seaward Defence Boat of the Nigerian Navy NNS Andoni.

The first Seaward Defence Boat of the Nigerian Navy NNS Andoni.

 

 

02 December 2013 by Guy Martin - defenceWeb

 

The Nigerian Navy will take delivery of a number of new vessels next year as it attempts to reduce maritime crime, oil theft and attacks on ships, according to its recently released Strategic Guidance document.

 

Vice Admiral Dele J Ezeoba, Chief of Naval Staff, said that on assuming office in October 2012, he was committed to repositioning the Nigerian Navy, improving capability for internal security and policing the Gulf of Guinea. As a result, a first Chief of Naval Staff Strategic Guidance document (CNS SG-01) was issued in October last year.

 

According to Ezeoba, 90% of SG-01’s objectives have been completed. Significant progress has been made on fleet reactivation and recapitalisation, with the availability of operational vessels increasing from 35% to 70% within a year, according to SG-02, released late last month.

 

Over the last year the Nigerian Navy took delivery of three OCEA patrol boats, three Manta Fast Patrol Boats and two Shaldag patrol craft. Construction is ongoing on two Chinese offshore patrol vessels, one of which will be built in China and the other to be completed at the Naval Shipyard in Nigeria. Nigeria’s naval dockyard is also building a 38 metre Seaward Defence Boat. The Navy is also refitting the NNS Ekun fast attack craft, NNS Ohue and NNS Barama minesweepers and will soon refit the NNS Yola and NNS Brass patrol craft. In addition, three inshore patrol craft will be reactivated.

 

On the operational side, the Nigerian Navy continued with patrols and reactivated a number of Regional Maritime Awareness Capability Centres and is setting up new sites to improve its maritime domain awareness. Operational successes listed for the previous year up to October 2013 included the apprehension of 33 vessels and 2 278 suspects over oil theft, the destruction of 2 417 illegal oil refineries, 137 barges and 2 032 boats, according to SG-02.

 

While Ezeoba said that the Navy can be proud of its achievements over the last year, there is room for improvement, hence the creation of SG-02. The Navy wants to clamp down on problems like oil theft, illegal oil bunkering, piracy, robbery at sea and attacks on ships. Ezeoba stated that solving these problems is necessary for Nigeria’s economic prosperity, as it relies heavily on its offshore and onshore oil reserves.

 

Strategic Guidance 02 expands on the previous document’s objectives, notably improving Navy capacity and domestic and regional security. Short term goals to be accomplished in the next six months include acquiring five K13 inshore patrol vessels, ensuring operational availability of at least four Navy helicopters, establishing a Fishery Protection Patrol Squadron in collaboration with the agriculture ministry, Nimasa and other stakeholders, and improving Navy logistics and training.

 

Medium term goals (over the next 12 months) include the acquisition of the ex-US Coast Guard cutter USCGC Gallatin, the completion and commissioning of the first Chinese-built OPV and domestic assembly of the second Chinese OPV, commissioning of the second domestic Seaward Defence Boat, completion of the refit of NNS Brass and NNS Yola and the refit of the frigate NNS Aradu, the fast attack craft NNS Siri, Ayam and Damisa. The refit of the fast patrol boat NNS Ekpe, Ekun and minesweepers NNS Ohue and NNS Barama are also expected to be completed in this period.

 

“All hands must be on deck to ensure the attainment of the objectives set out in this Strategic Guidance 02 in fulfilment of the desired end state of defending and protecting Nigeria’s territorial integrity whilst contributing to the economic prosperity and national development of Nigeria,” Ezeoba concluded.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:45
A Royal Moroccan Air Force F-16 Fighting Falcon

A Royal Moroccan Air Force F-16 Fighting Falcon

 

 

29 November 2013 by Oscar Nkala - defenceWeb

 

Moroccan defence spending will rise from US$3.8 billion in 2014 to US$4.5 billion in 2018 driven by the procurement of military aircraft, armoured vehicles, radar systems, diesel-electric submarines and patrol ships to boost border security and fight trans-national terrorism.

 

In a new report entitled "The Future of the Moroccan Defense Industry - Market Attractiveness, Competitive Landscape and Forecasts to 2018", Strategic Defense Intelligence (SDI) said Moroccan defence spending will grow at an annual rate of 4.4% between 2014 and 2018.

 

"This growth is primarily due to the government's steps to combat internal and external terrorist attacks, strengthen border security and procure new defense systems. Per-capita defense expenditure is expected to grow during the forecast period from US$113.7 million in 2014 to US$130.1 million in 2018.

 

"The capital expenditure budget is forecast to increase from US$1.1 billion in 2014 to US$1.4 billion in 2018, recording a CAGR of 5.62%, due to the government's (defence) modernization plans," the report read.

 

The report also projects that the country's budget for homeland security will increase over the forecast period driven by increasing problems of human trafficking, transnational arms and drug smuggling and internal security demands.

 

"Demand for equipment over the forecast period is mainly expected to revolve around fighter aircraft, diesel electric submarine, surveillance and monitoring equipment and patrol ships."

 

The rise in defence spending will also be spurred by external security threats which include the high risk of attacks from internal and external terrorist groups and ongoing border conflict with Algeria. The high risk of future conflict between Casablanca and the Polisario Front guerrilla movement in the stand-off over the Western Sahara also pushes Morocco to keep its armed forces well-equipped.

 

However, the country does not have a local defence industry and the United States and its North Atlantic Treaty Organisation (NATO) partners are expected to capitalise on existing military ties to remain favourites in providing the defence procurement and maintenance needs of the Moroccan arsenal.

 

"Morocco also remains highly dependent on US companies for the maintenance and support of its equipment and weapons. Furthermore, being an associated country of the European Union (EU), Morocco gives preference to EU nations, particularly France, in terms of trade.

 

"Therefore, as long as these (bilateral and trade) relationships persist, the US and France are set to dominate the Moroccan defense market in the forecast period, creating an obstacle for the suppliers of the Chinese and Russian territories," the report says.

 

However, the report expresses fears that because Morocco is classified as a ‘highly corrupt’ country by the international transparency watchdog Transparency International, defence procurement deals may also be tainted with corruption.

 

"The lack of transparency in the matters of national defence and security policy and the absence of internal audit (systems) for the Ministry of Defence (MoD) has aggravated the level of corruption within the (defence) sector," the report says.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:45
Nigeria says kills more than 50 Islamist insurgents in airstrike (2 dec.)

 

 

02 December 2013 defenceWeb (Reuters)

 

Nigeria's military said on Friday that it may have killed more than 50 Islamist insurgents in an airstrike on one of their main bases in the northeast of the country.

 

The latest strikes on Thursday targeted Boko Haram sect hideouts in the Gwoza hills, near the border with Cameroon.

 

In May, the military stepped up an offensive against the Islamist group, which is fighting to establish an Islamic state in Nigeria, Africa's most populous country split roughly evenly between Christians and Muslims. President Jonathan declared a state of emergency and ordered in extra troops.

 

"We had intelligence that Boko Haram were still hiding somewhere around the Bita bush. Some villagers alerted us," Colonel Muhammad Dole, spokesman for Nigerian forces in the northeast, told Reuters.

 

"We may even have killed more than that 51 because the pilot didn't capture the images at that time. Our troops are on ground in the area now," he added, declining to give details of the aircraft used.

 

The military often reports large death tolls among Islamists in fighting but rarely acknowledges significant casualties on its side. It is usually impossible to verify the casualty figures.

 

The House of Representatives, the lower chamber of Nigeria's federal parliament, last week approved a six-month extension of a state of emergency in areas where the offensive is going on.

 

Initially, Jonathan's military campaign tempered violence as soldiers wrested back control of towns, cities and stretches of semi-desert in the northeast.

 

But the insurgents have proved resilient. Boko Haram fighters retreated into semi-arid land near the northern border with Niger and steep forested hills near Cameroon, from where they have mounted deadly counter-attacks and have intensified killings of civilians.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:45
RDC: le drone des Nations unies a fait son premier vol au-dessus du Nord-Kivu

Le drone «Falco», sur l'aéroport de Goma, en RDC, a fait son premier vol ce mardi 3 décembre. Photo Léa Lisa Westerhoff - RFI

 

03 décembre 2013 Par Léa Lisa Westerhoff, envoyée spéciale à Goma- RFI

 

Le premier drone jamais utilisé par une mission des Nations unies a été lancé ce mardi 3 décembre dans l'Est de la République démocratique du Congo. L'appareil, un Falco de fabrication italienne, a décollé à la mi-journée de l'aéroport de Goma, capitale de la province du Nord-Kivu, à l'occasion d'une présentation à la presse en présence du chef des opérations de maintien de la paix de l'ONU, Hervé Ladsous, et de plusieurs diplomates.

 

Près d’un an après la promesse d’envoyer des drones de surveillance en République démocratique du Congo (RDC), les Nations unies ont officiellement lancé le premier appareil sans pilote jamais utilisé par une mission de l'ONU.

 

→ A (RE)LIRE : L'ONU va déployer ses premiers drones à Goma

 

L'engin, un Falco de fabrication italienne, s’est envolé à midi du petit aéroport de Goma sous les applaudissements. Pour le chef des opérations de maintien de la paix des Nations unies, l'appareil - sorte d’avion miniature de 7 mètres de long - devrait faire une vraie différence pour sécuriser l’est du Congo, une région vallonnée et boisée particulièrement difficile d’accès.

Localiser les groupes armés cachés dans les forêts, mais aussi surveiller les frontières de la RDC avec le Rwanda et l’Ouganda, voilà la mission de cet engin équipé d’une caméra. Jusqu’ici, ce sont des hélicoptères qui se chargeaient de le faire. Mais, plus visibles, ils se sont fait tirer dessus à plusieurs reprises par la rébellion du M23.

 
L’appareil, un engin de type «Falco», fabriqué en Italie, ne peut s’éloigner qu’à 250 kilomètres de sa base de Goma.
Léa Lisa Westerhoff / RFI
 

Traquer les groupes armés et localiser les populations déplacées

« On va avoir maintenant des yeux au-dessus de régions où l'on avait de gros problèmes de mobilité », a affirmé Hervé Ladsous à RFI. « C’est la dernière technologie, un instrument essentiel pour nos troupes et la Monusco, à la fois pour faire leur travail de maintien de la paix, d’observation des groupes armés, mais aussi pour observer les groupes civils qui peuvent être déplacés et poussés à la fuite par des combats. »

→ A (RE)LIRE : Kabila à Goma: «La plus grande promesse que j'ai faite, c'est la paix»

« C’est crucial pour nous », a renchérit Alexandre Luba Ntambo, le ministre de la Défense congolais, « car cela nous permettra de savoir où sont cachés les différents groupes armés ».

L'ONU fait le pari de l'effet dissuasif

 

 
Un modèle de drone «Falco» en vol, tel que celui qui a fait son premier vol officiel en RDC sous les couleurs des Nations unies.
DR
 

Le drone, lui, peut voler plus haut, plus longtemps - entre 5 heures et 10 heures - et transmettre ses images en temps réel, de jour comme de nuit. Les Nations unies misent donc sur un effet dissuasif et espèrent accélérer la reddition des dizaines de milices qui opèrent dans l’Est du Congo.

Pour le moment, le drone ne peut cependant s’éloigner qu’à 250 kilomètres de sa base de Goma. Il faudra attendre l’arrivée d’engins supplémentaires ou multiplier les stations de décollage pour que le rayon de surveillance s’étende et que ces engins puissent surveiller tout l’Est du Congo. Un autre engin devrait arriver d'ici la fin de l'année 2013, et les deux derniers drones doivent être livrés d'ici à mars 2014.

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:45
Le ministre De Crem en visite au Congo

 

03/12/13 Stephan Boonen – MIL.be

 

Le vice-Premier et ministre de la Défense Pieter De Crem a rendu visite, du 26 au 28 novembre 2013, aux militaires belges détachés au Congo. Au programme : rencontres avec la MONUSCO, l'EUSEC (programme européen qui montre la voie pour une transformation de la Défense congolaise) et entretien avec l'envoyée spéciale des Nations Unies, Madame Mary Robinson. Le ministre a ensuite pris la direction de Kindu où les paras belges ont remis le brevet commando au 323e Bataillon de « l'Unité de Réaction Rapide », marquant, de la sorte, le début des festivités.

 

photos Malek Azoug >>

 

Environ 700 militaires congolais ont réussi la formation éprouvante qui était dispensée par 107 paras du 3 Para de Tielen. L'un des instructeurs, le lieutenant Edmond de Frabribeckers explique : « La motivation des Congolais est frappante. Vous devez faire preuve d'énormément de patience et beaucoup répéter, mais cela en vaut la peine. Aujourd'hui, c'est comme si c'était le jour le plus important de leur vie. »

 

À la fin de la parade, les nouveaux commandos congolais défilent devant leur famille. Celles-ci les arrosent de farine. Pour agrémenter le spectacle, un C-130 largue deux parachutistes arborant les drapeaux belge et congolais.

 

Le colonel Luc Leclerq est le chef de corps du 3 Para. Il a mené ses hommes tout au long de la mission. Pour lui, il était important « que nous réussissions malgré et grâce aux difficultés rencontrées au début. Pourtant, nous avons finalement livré un produit plus qu'acceptable. » Pour le 3 Para, il s'agissait d'une expérience que l'on ne vit qu'une seule fois dans sa vie. Le colonel Leclerq poursuit : « Pour le 3 Para, c'est un sérieux coup de pouce à l'expérience africaine. Nous dispensons des formations en Afrique depuis 2002. Au début, c'était au Bénin. Actuellement, 306 paras ont travaillé près de deux mois. Pour l'exercice synthèse, 260 Belges étaient présents. Il s'agissait donc du plus grand détachement en opération. »

 

Après la parade, les militaires congolais se tombent dans les bras. Les para-commandos belges rentrent progressivement en Belgique. Le colonel Leclerq résume : « Cette mission est plus que réussie. Elle dépasse tout sur les plans personnel et multiculturel. Ce bataillon est prêt et équivaut certainement aux autres. »

 

Vidéo : Wim Cochet

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 17:45
Israeli-Russian businessman arrested in Switzerland over Angolagate arms scandal

A lineup of artillery - defenceWeb

 

02 December 2013 by Oscar Nkala - defenceWeb

 

Russian-Israeli billionaire businessman Arkady Gaydamak who is wanted in France to serve a six-year sentence for his role in the Angolagate arms sale scandal, has been detained in the Swiss capital Zurich.

 

Gaydamak has since filed an application for bail but the French government has reportedly made contact with Switzerland seeking his immediate extradition so that he can serve his pending jail term in France.

 

Angolagate, also known as the Mitterrand-Pasqua affair, involved the illegal shipment of arms from Europe worth $790 million to Angola in the 1990s. Through the deals, military equipment which included warships, helicopters, tanks, artillery shells and landmines were sold to the Angolan Armed Forces (FAA) despite an international arms embargo which was in place because the force was at war with Jonas Savimbi's National Union for the Total Independence of Angola (UNITA) rebel movement.

 

Luxembourg news site PaperJam reported that Swiss police acting on an arrest warrant issued in Luxembourg arrested Gaydamak in Zurich while he was meeting his lawyers to discuss another probe in connection with the controversial acquisition of a $50 million phosphate factory in Kazakhstan by a shell company suspected to have been fronting for him.

 

However, AFP reported that Gaydamak’s arrest was ordered because he had not paid 400 000 euros to an Israeli football club he once owned.

 

In October 2009, a French magistrate court tried Gaydamak in absentia and sentenced him to six years in prison for illegal arms sales, abuse of public assets, bribery, fraud, tax evasion and money laundering in connection with the Angolan arms. The court found that together with French businessman Pierre Falcone, Gaydamak acted as a conduit for the payment of 'lobbying fees', to former French interior minister Charles Pasqua by Angolan officials.

 

The court found that sales of Soviet made weaponry, including 420 tanks, 150,000 shells, 170,000 anti-personnel mines, 12 helicopters and six warships, began when Mitterrand's father Francois was in office in 1993 and continued until 1998.

 

In April 2011 a French appeals court reduced Gaydamak’s jail term to three years, for money laundering and tax fraud.

 

Pasqua is alleged to have used his influence to help Angola secure the arms despite official disapproval of the deal by the French government and the UN arms embargo on Angola at the time. A warrant for his arrest was issued immediately afterwards and Gaydamak has been on the run since then. Following a successful appeal in April 2011, Gaydamak's sentence was reduced to three years.

 

Angolagate involved 36 politically connected French citizens who included Jean-Christophe Mitterrand, the son of former president Francois Mitterrand. However, top Angolan government officials and members of the political-business elite linked to President Dos Santos who were implicated in the case by French prosecutors have not been arrested to date.

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