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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 08:55
Le SGDSN recherche un conseiller aux "affaires transverses"

 

23.11.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

Un emploi d'expert de haut niveau, classé en groupe I, est susceptible d'être vacant dans les services du Premier ministre. Le titulaire du poste exercera les fonctions de conseiller « affaires transverses » auprès du directeur des affaires internationales, stratégiques et technologiques au sein du secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN).

 

Extrait de l'avis: "Le candidat, cadre de haut niveau, expérimenté, devra avoir exercé des responsabilités fonctionnelles et opérationnelles au sein des administrations en charge de la défense, de la sécurité nationale, des relations internationales et des exportations des matériels de guerre. Une excellente connaissance de l'ensemble de ces administrations, des recherches scientifiques et des projets technologiques intéressant la défense et la sécurité nationale et des enjeux industriels qui s'y rattachent, ainsi que des affaires internationales, en particulier européennes et transatlantiques, est indispensable. Une formation scientifique généraliste de haut niveau (ex. diplôme d'ingénieur) complétée par une expérience internationale et de management dans les domaines scientifiques et techniques est souhaitable. Un complément de formation en droit ou sciences politiques constituerait un atout supplémentaire. Une très grande disponibilité, un sens élevé des relations humaines et de la négociation, une capacité à représenter le SGDSN lors de réunions à haut niveau et à prendre en compte les enjeux stratégiques dans les dossiers techniques sont indispensables. La durée prévisible de cet emploi sera de trois ans."

 

L'avis intégral est à consulter ici.

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 08:50
CH/Armement: listes d'exportations des "biens militaires spécifiques" publiées

 

 

25.11.2013 Romandie.com (AWP)

 

Berne (awp/ats) - Les chiffres relatifs à l'exportation de "biens militaires spécifiques", jamais diffusés jusqu'à présent, sont en ligne depuis vendredi. La "SonntagsZeitung" a obligé le Secrétariat d'Etat à l'économie (SECO) à rendre ces informations publiques, invoquant la loi sur la transparence.

 

Il s'agit de biens tels que des avions d'entraînement, qui ne sont pas utilisés directement pour le combat et ne sont donc pas considérés comme du matériel de guerre. Ces exportations ne sont pas soumises aux restrictions contenues dans la loi sur le matériel de guerre, mais tombent sous les dispositions de la loi sur le contrôle des biens.

 

Une fois les ventes de matériel de guerre et des biens militaires spécifiques totalisées, les chiffres gonflent. L'an dernier, les ventes se sont élevées à 3,1 milliards de francs, soit 700,4 millions de francs pour la première catégorie et 2,4 milliards pour la seconde. La distinction opérée entre ces deux catégories d'armement, selon Rudolf Christen, responsable de l'information du Département fédéral de l'économie, remonte à une décision parlementaire en 1995.

 

Comme le montrent les listes portant sur les années 2006 à 2012, la Suisse a exporté des biens militaires spécifiques dans des pays où les droits de l'homme sont mis à mal, y compris la Libye en 2008 et la Syrie en 2009.

 

Le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) a critiqué dimanche la répartition de l'équipement militaire en deux catégories distinctes. La législation sur les biens militaires spécifiques ne permet pas d'empêcher ces exportations. Les chiffres qui sont publiés depuis vendredi sur le site du SECO donnent la "vraie mesure" des exportations d'armes suisses.

 

Jusqu'à présent, ces chiffres étaient sommairement répertoriés dans le rapport sur la politique économique extérieure, a précisé à l'ats Rudolf Christen.

 

Les exportations d'armes sont à l'ordre du jour du Conseil national jeudi prochain, qui débattra d'un assouplissement de l'ordonnance sur le matériel de guerre. Une intervention parlementaire s'inquiète de la baisse des ventes du matériel de guerre.

 

Le Conseil des Etats a déjà approuvé un assouplissement de la réglementation sur les exportations d'armes en septembre dernier. Le Conseil fédéral est sur la même ligne. En 2008, l'ordonnance avait été durcie pour combattre l'initiative du GSsA contre les exportations de matériel de guerre.

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 08:45
Libye: trois soldats tués dans des affrontements entre l'armée et un groupe salafiste à Benghazi

 

 

25 novembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

BENGHAZI (Libye) - Trois soldats ont été tués et quatorze personnes, dont quatre civils, ont été blessées dans des affrontements lundi à Benghazi, dans l'est libyen, entre des forces spéciales de l'armée et Ansar Ashariaa, le principal groupe salafiste jihadiste, a-t-on appris de sources militaire et hospitalière.

 

Un affrontement meurtrier est en cours entre nos forces et celles d'Ansar Ashariaa depuis les premières heures de la journée, a indiqué à l'AFP le colonel Miloud al-Zwei, porte-parole des forces spéciales.

 

Fadia al-Barghathi, porte-parole de l'hôpital al-Jala de Benghazi, a indiqué que trois soldats avaient été tués et dix autres blessés, dont certains grièvement. Selon elle, quatre civils ont été aussi blessés par des balles perdues.

 

Le colonel al-Zwei a expliqué que les affrontements ont éclaté après qu'une patrouille des forces spéciales qui se trouvait à proximité du quartier général d'Ansar Ashariaa, a été visé par une attaque.

 

L'armée a riposté, déclenchant des affrontements avec tous les types d'armes, les premiers du genre entre l'armée et ce puissant groupe islamiste, a ajouté le porte-parole.

 

D'autres heurts ont éclaté par la suite entre les deux groupes dans d'autres quartiers de la ville, en particulier près d'une clinique caritative appartenant à Ansar al-Shariaa dans le quartier al-Selmani, a-t-il ajouté.

 

Ansar Ashariaa (Les partisans de la loi islamique, en arabe) a vu le jour après la chute du régime de Mouammar Kadhafi. Son bras militaire est formé par d'anciens rebelles ayant combattu les forces loyalistes en 2011.

 

Ce groupe salafiste, pointé du doigt dans des assassinats de juges et membres des forces de sécurité, est soupçonné notamment d'être responsable de l'attaque contre le consulat américain à Benghazi en septembre 2012 qui avait provoqué la mort de l'ambassadeur et de trois autres Américains. Ansar Ashariaa avait toutefois démenti toute implication.

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 08:35
Ruse d'Indiens: la MNBE sous-traite son contrat afghan à Ronco


23.11.2013 par P. Chapleau - Lignes de Défense

 

ronco.jpgLa MNBE ou Muscogee Nation Business Enterprise vient de se voir notifier la prolongation d'un de ses contrat en Afghanistan (lire l'avis ci-dessous). Ce contrat de protection au profit de la Task Force for Business and Stability Operations (qui pilote des projets économiques au nom du DoD) a commencé en 2011. Et il vient donc d'être reconduit jusqu'en juillet 2014, passant de 7 à 8,2 millions de $. Pour info, en juillet dernier, un contrat similaire (sécurité mais aussi facility management) d'une valeur de 20 millions de $ lui avait été attribué (cliquer ici pour les détails).

 

Muscogee Nation Business Enterprise, Okmuglee, Okla., is being awarded an $8,218,006 firm-fixed-price contract for life support services to the Department of Defense Task Force for Business and Stability Operations. These services will provide basic necessities, complex security, and personnel security details for safe travel in the immediate region around the Western Area of Responsibility in Afghanistan. Work will be performed primarily in Herat, Afghanistan. This contract was awarded as a sole-source acquisition. The estimated completion date is July 31, 2014. Washington Headquarters Services, Washington, D.C., is the contracting activity (HQ0034-13-C-0101).

 

La MNBE opère dans le cadre du "8(a) status" attribué prioritairement (sole-source acquisition, donc pas d'appel d'offres) aux minorités ethniques (comme les Native Corporations d'Alaska). Elle emploie une centaine de personnes issues du clan Muscogee qui appartient à la nation Creek (cliquer ici pour accéder à leur site qui n'est guère très précis sur les activités de cette entreprise).

Faux nez? MNBE est notoirement incapable d'assurer en propre ce type de prestations; elle sous-traite donc. Ainsi elle a déjà sous-traité à l'ESSD Ronco (filiale de G4S Government Solutions, ex-WSI) une partie de son contrat afghan, ainsi que l'indique cette capture d'écran du site de Ronco:

ronco1.jpg

La pratique est courante: une ESSD établie se met en cheville avec une société de type Native Corporation ou sous 8(a) status, l'aide à décrocher un marché fédéral et assure elle-même la prestation. Dans ces temps où les contrats se raccourcissent et se raréfient, tous les moyens sont bons pour faire des affaires. Surtout pour G4S en pleine tourmente.

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 08:35
Afghanistan: la Loya Jirga approuve le traité de sécurité avec les Etats-Unis

 

 

KABOUL, 24 novembre - RIA Novosti

 

La Loya Jirga, grande assemblée traditionnelle afghane a approuvé dimanche le traité de sécurité avec les Etats-Unis qui fixe le statut des troupes américaines en Afghanistan après 2014, annoncent les médias locaux.

 

Auparavant, le secrétaire d'Etat américain John Kerry a déclaré que Washington et Kaboul avaient réussi à se mettre d'accord sur les détails de ce document, décisif pour la préparation du retrait des troupes américaines de l'Afghanistan qui doit s'achever avant la fin 2014.

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 08:35
La Chine a commencé ses patrouilles aériennes dans la nouvelle zone de défense aérienne


24.11.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense
 

C'est à croire que les Chinois craignaient de manquer de sujets de conversation avec Joe Biden, le vice-président américain Joe Biden qui doit se rendre début décembre en Chine, au Japon et Corée du Sud.

 

Pékin a annoncé avoir mis en place, samedi, une zone de défense aérienne (ZIDA) en mer de Chine orientale (cliquer ici pour lire le communiqué en anglais). Les avions qui la traverseront devront s’identifier et se plier aux instructions des autorités chinoises (le détail des règles ici). "Les forces armées chinoises adopteront des mesures défensives d'urgence face aux appareils qui ne coopéreront pas au processus d'identification ou qui refuseront de suivre les instructions", prévient le ministère chinois de la Défense.

 

map.jpg

 

Problème : cette zone couvre l’archipel des Senkaku sous contrôle japonais mais revendiqué par la Chine sous le nom de Diaoyu. L'archipel recèlerait d'importantes réserves d'hydrocarbures.

 

Le Japon et les USA ont aussitôt fustigé l'annonce chinoise.

 

On lira ici un article en français paru sur le site Chine Information et intitulé "Chine: réponses aux questions concernant la Zone d'identification de la défense aérienne en mer de Chine". Ces réponses sont celles du porte-parole du ministère chinois de la Défense nationale, Yang Yujun.

 

Ce dimanche matin, selon Radio Chine Internationale,

"les Forces aériennes de l'Armée populaire de Libération ont effectué leur première patrouille aérienne après l'établissement de la Zone d'identification de la défense aérienne (ZIDA) en mer de Chine orientale. Shen Jinke, porte-parole des Forces aériennes de l'APL, a indiqué que deux grands avions de reconnaissance assuraient la patrouille et que des avions d'alerte avancée et des appareils de combat leur apportaient soutien et couverture."

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 08:35
Japon: le 1er ministre Abe juge dangereuse la création d'une zone de défense aérienne chinoise

 

25 novembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

TOKYO - Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a qualifié lundi de dangereuse la création par la Chine d'une zone d'identification de la défense aérienne, dont le tracé inclut des îles sous contrôle nippon.

 

Je suis très inquiet car c'est une chose très dangereuse qui peut conduire à un incident imprévisible, a déclaré M. Abe lors d'une séance de questions au Sénat, selon des propos rapportés par les médias.

 

Pékin avait annoncé samedi l'établissement d'une zone d'identification de la défense aérienne en mer de Chine orientale.

 

La création de cette nouvelle zone s'accompagne de règles que devront observer tous les avions qui la traversent, sous peine d'intervention des forces armées, avait précisé le ministère chinois de la Défense dans un communiqué.

 

Le tracé de cette zone inédite de défense aérienne, tel qu'il apparaît dans une carte diffusée par le ministère, montre que celle-ci recouvre une large superficie au-dessus de la mer de Chine orientale, entre la Corée du Sud et Taiwan.

 

Selon ce document, la zone englobe l'archipel des Senkaku, îles inhabitées sous contrôle japonais mais revendiquées par Pékin sous le nom de Diaoyu.

 

Dimanche, le ministre japonais des Affaires étrangères, Fumio Kishida, avait déclaré à la presse que le Japon ne pouvait accepter la décision chinoise.

 

Il s'agit, avait-il dit, d'un geste unilatéral qui nous amène à considérer le risque d'événements imprévisibles dans la zone litigieuse en mer de Chine orientale.

 

M. Kishida a indiqué que le Japon étudiait la possibilité de porter ses protestations à un niveau plus élevé.

 

Tokyo fait preuve d'hypocrisie et d'insolence, en protestant contre la décision de Pékin d'établir cette zone d'identification de défense aérienne, a répliqué lundi un média d'Etat chinois.

 

De son côté, le secrétaire d'Etat américain John Kerry avait dénoncé une décision unilatérale de la Chine, avertissant qu'une escalade ne va qu'accroître les tensions dans la région et créer le risque d'un incident.

 

La Corée du Sud a également souligné lundi qu'elle maintiendrait son contrôle sur une zone inclue dans la zone de défense aérienne chinoise qualifiée par Séoul de regrettable.

 

Depuis plus d'un an, les relations sino-japonaises sont au plus bas en raison du différend des îles Senkaku, aux pourtours desquelles Pékin envoie régulièrement des bateaux et parfois même des avions.

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 08:30
Nucléaire - L'Iran et les grandes puissances scellent un accord historique

 

 

25.11.2013 Romandie.com (AWP)

 

Genève (awp/afp) - L'Iran et les grandes puissances ont scellé dimanche un premier accord historique pour contenir le programme nucléaire de Téhéran, mais ont souligné qu'il ne s'agissait que d'une "première étape" franchie.

 

Après cinq jours d'âpres négociations, les grandes puissances et l'Iran ont annoncé un accord au terme duquel la république islamique acceptera de limiter son programme nucléaire en échange d'un allègement des sanctions économiques, ouvrant une nouvelle période de pourparlers sur le fond pendant six mois.

 

Plus précisément l'accord prévoit que "sur le stock d'uranium existant enrichi à 20%, l'Iran en retiendra la moitié en oxyde d'uranium pour fabriquer du combustible destiné au (réacteur de recherche civil iranien) TRR. Il diluera le (stock) restant à 20% d'UF6 (hexafluorure d'uranium, un gaz qui alimente directement les centrifugeuses d'uranium) à moins de 5%".

 

De plus Téhéran s'engage à ne pas enrichir de l'uranium à plus de 5% pendant six mois et à ne pas se doter de nouveaux sites d'enrichissement.

 

SUCCÈS ET PREMIÈRE ÉTAPE IMPORTANTE

 

L'accord a été qualifié de "succès" par le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei et de "première étape importante" par le président des Etats-Unis Barack Obama.

 

Le président français François Hollande y a vu "une étape vers l'arrêt du programme militaire nucléaire iranien".

 

Cet accord pourrait être "le début d'un accord historique pour les peuples et nations du Moyen-Orient et au-delà", a estimé le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon.

 

"Une percée a été réalisée, mais seulement un premier pas sur un chemin long et difficile", a nuancé le président russe, Vladimir Poutine.

 

Dans le même sens le secrétaire d'Etat américain John Kerry a déclaré dimanche soir que "maintenant, la partie vraiment difficile commence". Tout juste arrivé de Genève à Londres il a précisé qu'il faudra faire "un effort pour obtenir un accord complet qui demandera d'énormes engagements en termes de vérification, de transparence et de responsabilité."

 

Ainsi le Congrès américain a déjà annoncé qu'il était favorable à de nouvelles sanctions renforcées contre l'Iran, sanctions qui n'entreraient en vigueur que si Téhéran ne respectait pas l'accord conclu à Genève. Selon le résumé d'un conseiller d'un sénateur américain, "les sanctions prendraient effet s'ils trichent ou si le démantèlement n'est pas entamé d'ici six mois".

 

L'accord constitue une avancée pour les experts car il établit une gamme plus importante de contraintes et vérifications sur le programme nucléaire iranien.

 

Selon Bruno Tertrais, de la Fondation pour la Recherche Stratégique, basée à Paris, "c'est un accord qui permet de gagner du temps, puisqu'une grande partie du programme nucléaire iranien va être gelé pour six mois".

 

Le texte laisse toutefois une part d'ambiguïté qui permet des interprétations divergentes.

 

D'un côté le président iranien Hassan Rohani a affirmé que "le droit à l'enrichissement d'uranium sur le sol iranien a été accepté". De l'autre, John Kerry a assuré au contraire que l'accord "ne dit pas que l'Iran a le droit à l'enrichissement, quoiqu'en disent certains commentaires en l'interprétant".

 

OBAMA ASSURE

 

"Ce que dit (le document), c'est que dans le cadre d'une solution complète, si nous atteignons le stade suivant de cette solution complète, l'Iran sera en mesure de jouir de ses droits fondamentaux à disposer de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques, ce qui impliquera ce que nous appelons un programme d'enrichissement mutuellement défini et limité aux besoins pratiques", a expliqué le chef de la diplomatie britannique William Hague.

 

A Washington, le président Barack Obama a assuré que cet accord "barre le chemin le plus évident" de la république islamique vers une bombe atomique.

 

Il a pris soin de souligner les "énormes difficultés" persistant dans ce dossier qui empoisonne la communauté internationale depuis une décennie ajoutant que les sanctions "les plus sévères continueront d'être appliquées".

 

Les Occidentaux et Israël soupçonnent Téhéran de dissimuler un volet militaire derrière son programme civil, ce qu'il nie.

 

Cette question est au coeur des inquiétudes des pays occidentaux et d'Israël, qui craignent que l'uranium enrichi à 20% soit utilisé par l'Iran pour obtenir de l'uranium à 90% pour un usage militaire, malgré les dénégations de Téhéran.

 

L'Iran affirme que cet uranium est destiné à son réacteur de recherche et à des fins médicales.

 

M. Kerry a également voulu rassurer Israël, en affirmant qu'un accord nucléaire "complet rendra le monde (...), les partenaires de la région et l'allié Israël plus sûrs".

 

Mais le Premier ministre Benjamin Netanyahu a dénoncé "une erreur historique" après que son bureau a évoqué un "mauvais accord qui offre ce que l'Iran voulait: la levée significative des sanctions et le maintien d'une partie significative de son programme nucléaire".

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 08:20
L'Arctique, "nouvelle frontière" selon un Chuck Hagel très Kennedien


23.11.2013 par P. CHAPLEAU - Lignes de Défense
 

Sous Kennedy, la "nouvelle frontière", c'était (géographiquement) l'espace. Sous Obama, c'est l'Arctique.

 

Le secrétaire d'Etat à la Défense américain, Chuck Hagel, a confirmé vendredi que les Etats-Unis comptaient affirmer leur présence en Arctique, où le Pentagone dispose déjà de 22 000 soldats et 5 000 gardes nationaux. Il a toutefois appelé les pays (Canada, Danemark, Finlande, Islande, Norvège, Russie et Suède) qui se partagent ce territoire, que l'on dit victime du réchauffement climatique, à éviter tout conflit et à "travailler ensemble à construire une région sûre et pacifique".

En dévoilant depuis le Canada la première stratégie américaine pour l'Arctique, le secrétaire à la Défense a expliqué que l'armée avait commencé à s'adapter au réchauffement climatique dans la région. Ce court document recommande que les Etats-Unis n'accentuent pas leur présence militaire pour éviter de pousser les autres pays à l'escalade. Au contraire, le Pentagone doit continuer "son approche collaborative en matière de sécurité" dans le but d'empêcher des tensions potentielles.

On lira le discours du secrétaire d'Etat à la Défense ici.

On lira le texte du document de 16 pages "Arctic Strategy" ici. Ce texte ne diverge en rien du texte de mai 2013 sur la stratégie nationale US en Arctique (cliquer ici); il constitue une déclinaison militaire de cette stratégie présidentielle.

Pour prolonger la réflexion et l'information, on peut consulter le site de l'Arctic Research Consortium of the U.S. (ARCUS) en cliquant ici.

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 08:20
Combien de navires aura notre marine?, Tom Lawson aussi aimerait le savoir!

Le NCSM Preserver ravitaillant la frégate américaine USS Ingraham en mer d’Arabie en novembre 2001dans le cadre de l’opération Apollo, la participation militaire canadienne dansla campagne internationale contre le terrorisme (Photo: caporal Brian Walsh, CombatCam)

 

24/11/2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

 

Combien de navires aura finalement le Canada avec le budget alloué à la Stratégie d’approvisionnement en matière de construction navale? Le chef d’État major lui aussi a bien hâte de le savoir!

En octobre, on avait la confirmation les navires de soutien interarmées de la Marine royale canadienne passeront avant le brise-glace de la Garde côtière.

Les navires de soutien présentement en service, les NCSM Protecteur et Preserver ont 50 ans bien sonnés et, devant l’impossibilité de mener les deux projets de front, il fallait choisir.

Le chef d’État major du Canada, le Général Tom Lawson, a bien hâte maintenant de voir combien de navires nous aurons finalement.

La Stratégie nationale d’approvisionnement en matière de construction navale (SNACN) étant probablement sous-financé, d’autres choix difficiles devront être fait à l’avenir, mais le chef d’État major canadien, le général Tom Lawson, accepte la situation avec philosophie et s’en explique aujourd’hui dans une entrevue au journal néo-écossais «Chonicle Herald».

À lire dans le «Chonicle Herald» >>

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24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 12:55
3 lynxs anglais de la Royal Navy arrivent sur la base de l'aéronautique Navale de Lanvéoc

3 lynxs anglais de la Royal Navy arrivent sur la base de l'aéronautique Navale de Lanvéoc

22/11/2013 Marine nationale

 

Du lundi 18 novembre au vendredi 22 novembre 2013, un détachement d’hélicoptères Britanniques du 702 squadron de la RNAS YEOVILTON a opéré sur la base de l’aéronautique navale de Lanvéoc-Poulmic. Composé de trois Lynx MK 8, de quatre équipages et d’un échelon de soutien technique, le détachement de la Royal Navy a effectué des vols de navigation, sur terre et sur mer, ainsi que des missions d’entraînement élémentaire de lutte anti-surface. Avant son départ en patrouille avec l’un des Lynx, un AW 159 WILDCAT de l’escadron d’expérimentation 700W squadron a atterri sur la plateforme de la base de l’aéronautique navale de Lanvéoc-Poulmic le vendredi 22 novembre. Il y a effectué un ravitaillement rotor tournant. Cette manipulation est très technique, puisque l’aéronef reste avec ses moteurs et équipements allumés pendant toute l’opération.

 

Ce «landaway», déploiement extérieur de la force,  concourt à la formation initiale de 3 équipages avant l’obtention de leur qualification opérationnelle pour de potentiels déploiements.

L'unité était composée de trois Lynx MK 8, de quatre équipages et d’un échelon de soutien technique

L'unité était composée de trois Lynx MK 8, de quatre équipages et d’un échelon de soutien technique

Cet entrainement opérationnel permet de former les jeunes pilotes de la Navy

Cet entrainement opérationnel permet de former les jeunes pilotes de la Navy

Un détachement britannique sur la BAN de Lanvéoc-Poulmic

Un détachement britannique sur la BAN de Lanvéoc-Poulmic

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24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 12:55
Innovation, recherche et technologie

22/11/2013 Ministère de la Défense

 

Le 21 novembre 2013, la Direction générale de l’armement (DGA) a organisé le deuxième forum innovation sur le campus de l’École polytechnique à Palaiseau. Cette manifestation constitue un lieu privilégié d'échanges et de rencontres entre les acteurs clés en matière de recherche et technologie. Présent, Jean-Yves Le Drian a fait un bilan sur le pacte Défense-PME.

 

L’École polytechnique à Palaiseau, lieu d’excellence scientifique, a accueilli le 21 novembre le deuxième forum innovation organisé par la Direction générale de l'armement (DGA). Autour de cette dernière, petites et moyennes entreprises (PME), entreprises de taille intermédiaire (ETI), laboratoires de recherche, universités, maîtres d'œuvre industriels et partenaires institutionnels de la Défense étaient réunis. 700 acteurs français du secteur recherche et technologie étaient ainsi présents.

 

Un village exposition, construit autour de neuf thèmes scientifiques et technologiques à caractère dual (civil et militaire) sur lesquels la DGA investit, a permis d'exposer une centaine de projets de recherche fondamentale. De nombreuses innovations inédites ont ainsi été présentées, comme le micro-drone qui roule et grimpe aux murs, le buggy volant (voir ci-dessous), la caméra qui voit en couleur aussi bien le jour que la nuit, ou encore le pansement bio-inspiré permettant de réparer les tissus. « Il faut constamment innover pour garder une longueur d’avance sur les théâtres d’opération et sur la scène internationale », explique Laurent Collet-Billon, délégué général pour l'armement. « Le ministère de la Défense est pleinement investi dans cette mission. Cette année, 270 projets nouveaux et 142 nouvelles thèses académiques ont été soutenus par la DGA et ses partenaires de la recherche. » 

 

 

Innovation, recherche et technologie

Après avoir visité les différents stands d'expositions et rencontré les entrepreneurs présents, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a dressé le premier bilan du pacte Défense-PME, lancé un an auparavant. Cette initiative a introduit 40 mesures concrètes et immédiates pour favoriser le développement des 30 000  PME et ETI avec lesquelles le ministère de la Défense travaille. « Nous sommes déterminés à poursuivre les efforts que nous avons engagés, je crois que nous pouvons déjà nous féliciter des retombées très concrètes du Pacte Défense PME », a déclaré Jean-Yves Le Drian. Le projet de loi de programmation militaire 2014-2019, examiné à l’Assemblée nationale à partir du 26 novembre, prévoit ainsi 4,4 Mds€ courants pour des travaux de recherche technologique et d’innovation confiés aux laboratoires et à l’industrie. « C’est une priorité que j’ai fixée, a ajouté le ministre, ces sommes bénéficieront dans les prochaines années à la préparation du renouvellement des deux composantes de la dissuasion, à la préparation du système de combat aérien futur et des prochaines générations de missiles, ainsi qu'à la montée en puissance des travaux sur la cyberdéfense. »

 

Le buggy volant - Pégase

La star de ce forum a été sans conteste ce buggy volant - Pégase. Ce véhicule biplace tout terrain a été conçu pour rouler sur la voie publique et voler dans la catégorie ULM suivant les homologations européennes. Il est capable se déplacer rapidement sur terre ou dans les airs, de manière autonome et en toutes circonstances (franchissement de coupures sèches ou humides, manque d’infrastructures routières, séisme, catastrophe naturelle). Pouvant décoller très rapidement, il peut rouler à plus de 100 km/h sur route et voler à 80 km/h dans les airs. Soutenu et financé par la DGA, ce véhicule développé par la société Vaylon, a été conçu avec au concours des forces spéciales. Il leur permettra de réaliser des missions d’infiltration, de sauvetage ou encore de renseignement.Les premiers essais en vol auront lieu début 2014.

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24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 12:45
Le 13e RG en stage de fouille opérationnelle

La 2e compagnie de combat du 13e RG lors de leur fouille opérationnelle de contrôle - Crédits : CCH Cabre/13RG

 

22/11/2013 Armée de Terre

 

Du 13 au 21 novembre 2013, la 2e compagnie de combat du 13e régiment du génie (13e RG) a suivi une instruction spécifique sur la fouille opérationnelle complémentaire (FOC), dans le cadre de sa future projection au Mali, en juin 2014.

 

Dispensé par les formateurs du centre interarmées MUNEX (CIAM) de Montreuil-Juigné (Maine-et-Loire), ce stage avait pour objectif de faire acquérir aux sapeurs du 13 les procédures nécessaires à la réalisation des missions de fouilles opérationnelles complémentaire. L’exercice s’est déroulé sur le camp militaire de Valdahon (Doubs).

 

La FOC se décline en trois dominantes :

- La fouille d’itinéraires (engins explosifs improvisés) ;

- La fouille d’habitations occupées (cache d’armes, ordinateur, renseignements… en intérieur) ;

- La fouille en zone ouverte (armement, munitions… en extérieur).

 

Pour chacune, les « éléphants de la 2 » ont suivi la théorie, effectué un exercice guidé, puis procédé à la restitution globale. « Ce stage nous a permis d’apprendre à travailler de façon  autonome, car chaque binôme de fouille doit respecter des procédures et être méthodique afin d’être performant et de participer activement à l’accomplissement de la mission. Grâce aux instructeurs, nous avons pu appréhender des techniques nous garantissant une efficacité en toute sécurité, notamment avec du matériel spécifique » soulignent les sapeurs de 1re classe Ciupa et Seguela, binôme de fouille de la 2e CCG.

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23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 12:55
Entraînement CUTAWAY, préparation d'un plongeur scaphandre pour inertvention sur fût chimique

Entraînement CUTAWAY, préparation d'un plongeur scaphandre pour inertvention sur fût chimique

 

22/11/2013 Marine nationale

 

La rade de Brest vient d’accueillir, du 18 au 22 novembre 2013, la deuxième édition de l’exercice de guerre des mines « Cut Away ». Principale nouveauté de cette édition, la présence d’équipes américaines et britanniques aux côtés des acteurs français de la guerre des mines.

 

Cet entraînement multilatéral avait pour scénario la sécurisation d’un port de commerce majeur et le rétablissement du trafic maritime d’un pays ami en période post-conflit. A la mer, le bâtiment de base des plongeurs démineurs Styx a notamment mis en oeuvre à plusieurs reprises des robots d’intervention anti-sous-marine (Véhicule sous marin autonome ou AUV). Ainsi les sonars du Remus britannique ont quadrillé pendant plusieurs heures de vastes zones, balayant les fonds sous-marins à la recherche de dangers potentiels. Ces appareils sans fil sont programmés pour effectuer un parcours donné et enregistrer tout au long de ce quadrillage les données recueillies par leur sonar. Ils permettent de couvrir une plus grande surface que les plongeurs, garantissent un gain de temps substantiel et offrent une moindre exposition du personnel à la menace. Les hommes du groupement des plongeurs démineurs de l’Atlantique ont ainsi découvert, investigué et neutralisé la mine et des fûts chimiques fictifs mouillés pour les besoins de l’exercice. A terre, un état-major opérationnel était également déployé sur l’enceinte de l’école navale pour coordonner l’ensemble des activités terrestres et côtières. Les équipes cynophiles et les binômes de plongeurs se sont mobilisés pour détecter toute forme de menace sur la bande littorale, sécuriser les quais et les bassins comme les coques des bâtiments de la force. Les équipes de neutralisation d’explosifs ont également été hélitreuillées ou envoyées à bord de semi-rigides pour effectuer diverses interventions : libération d’otage, neutralisation de véhicules piégés…

 

Entraînement CUTAWAY, plongeurs britaniques

Entraînement CUTAWAY, plongeurs britaniques

« L’objectif d’un entraînement de ce type est de proposer des situations réalistes, très proches de ce que rencontrent ces équipes sur les théâtres d’opérations dans lesquels nous opérons. Le fait de travailler avec nos alliés américains et britanniques nous permet de confronter nos méthodes et nos savoirs faires pour être encore plus facilement intéropérables en cas d’intervention conjointe. La maîtrise de ce domaine de lutte est incontournable, notamment dans les opérations amphibie qui exigent la sécurisation des zones d’intervention », commente le capitaine de vaisseau Jean-Christophe Olieric, commandant l’état-major de la guerre des mines, qui coordonne l’exercice.

 

« La barrière de la langue n’est pas un problème », estime pour sa part le lieutenant de vaisseau Nathan Isaacs, commandant la Fleet diving unit 3, unité spécialisée dans la récupération de mines inconnues. « Quel que soit le lieu où nous devons intervenir dans le monde, nous sommes confrontés aux mêmes menaces et disposons de méthodes d’intervention et de procédures assez proches. C’est motivant de nous entraîner ensemble, de partager nos retours d’expérience et de trouver conjointement des solutions aux situations que l’exercice nous propose ».

Entraînement CUTAWAY, inspection d'une plage

Entraînement CUTAWAY, inspection d'une plage

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23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 12:55
SPRAT - 100% français

22.11.2013 Armée de Terre

 

700 chevaux sous le capot. Une Porsche ? Une Lamborghini ? Non, le SPRAT ! Ce véhicule militaire 100% français est unique au monde. Aussi à l'aise sur les pavés des Champs Elysées le 14 juillet que dans la boue des campagnes Alsaciennes. Moins de 5 minutes pour déployer un pont d'assaut de 24 mètres. Déconseillé pour les créneaux... mais indispensable à l'armée de Terre.*

 

Reportage photos de I. Héliès/Armée de Terre

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23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 12:50
L’équipement du fantassin du futur ? - JJ.Chatard DiCoD

L’équipement du fantassin du futur ? - JJ.Chatard DiCoD

 

22/11/2013 JJ.Chatard/DiCoD

 

La 18e édition du salon Milipol vient d’ouvrir ses portes le 19 novembre à Paris-Nord Villepinte pour quatre jours. Ce rendez-vous mondial de la sécurité intérieure des États est un lieu privilégié de rencontre pour les acteurs de la sécurité et de la défense

 

Reportage photos

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23 novembre 2013 6 23 /11 /novembre /2013 12:20
 Exercice bilatéral franco-americain

La présence du MV22 Osprey est une première lors d'exercices sur le terrain en France - photo MidiLibre

13.11.2013 Légion Etrangère

Exercice bilatéral Franco-Américain du 28 octobre au 1 novembre 2013 en Camp des Garrigues.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 17:40
Le grand navire de lutte anti-sous-marine Admiral Panteleïev

Le grand navire de lutte anti-sous-marine Admiral Panteleïev

 

VLADIVOSTOK, 22 novembre - RIA Novosti

 

Cinq navires de la flotte russe du Pacifique, qui participaient à une mission en Méditerranée, rentrent à leur base à Vladivostok, a annoncé vendredi le porte-parole de la flotte Roman Martov.

 

"Le grand navire de lutte anti-sous-marine Admiral Panteleïev, les navires de débarquement Admiral Nevelskoï, Peresvet, le remorqueur de sauvetage Fotiï Krylov et le pétrolier Petchenga feront une escale à Colombo (Sri Lanka) le 24 novembre", a indiqué le porte-parole.

 

Ces navires ont quitté le port de Vladivostok le 19 mars dernier. Pendant leur mission de huit mois, ils ont traversé les océans Pacifique et Indien, les golfes Persique et d'Aden et les mers Méditerranée, d'Arabie et Rouge. Les navires ont fait des escales à Bur Safaga (Egypte), à Salalah (Oman) et à Limassol (Chypre), ainsi qu'à Novorossiïsk, au bord de la mer Noire.

 

"A l'heure actuelle, trois autres groupes navals russes comprenant dix navires de la flotte russe du Pacifique sont en mission dans l'océan Indien et en Méditerranée", a ajouté M.Martov.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 17:20
Lockheed Martin’s GPS III satellite prototype passes backward-compatibility tests

GPS III Nonflight Satellite Testbed (GNST)at Cape Canaveral Air Force Station, US. Photo Lockheed Martin

 

22 November 2013 aerospace-technology.com

 

Lockheed Martin has announced its prototype of the next-generation global positioning system (GPS) satellite, the GPS III, has completed successful testing for backward-compatibility with the previous GPS satellite constellation in orbit.

 

The GPS III Nonflight Satellite Testbed (GNST), a full-sized, functional satellite prototype, is currently at Cape Canaveral Air Force Station in the US.

 

During the trials in October, GNST was successful in communicating through cross-links with air force flight-like hardware simulators for the GPS IIR, GPS IIR-M, and GPS IIF satellites in orbit.

 

This testing also showed the ability of an air force receiver to track navigation signals from the GNST.

 

Lockheed Martin GPS III development director Paul Miller said: "This provides early confidence in the GPS III's design to bring advanced capabilities to our nation, while also being backward-compatible."

 

A vital programme for the air force, GPS III is a cost-effective solution for ageing GPS satellites in orbit, and will improve ability to address the growing demands of military, commercial and civilian users.

 

According to Lockheed Martin, GPS III satellites will offer three times improved accuracy and up to eight times more powerful anti-jamming capabilities, and include enhancements to extend spacecraft life by 25%, compared with the existing GPS block.

 

In addition, it will be the first GPS satellite featuring a new L1C civil signal created to make it interoperable with other global navigation satellite systems.

 

Lockheed Martin is currently under contract to produce the first four GPS III satellites (SV 01-04), and has secured advanced procurement funding for long-lead components for the fifth, sixth, seventh, and eighth satellites (SV 05-08).

 

The first flight-ready GPS III satellite is expected to arrive at Cape Canaveral next year, with launch scheduled by the air force for 2015.

 

The GNST arrived at the air force station in July to test facilities and pre-launch processes.

 

On 30 August, the satellite prototype successfully established remote connectivity and communicated with the GPS next-generation operational control system (OCX) that is being developed by Raytheon.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 17:20
Broader challenges, smaller budgets: the future of the US military

Alerts - No37 - 22 November 2013 by Jan Joel Andersson

 

With the war in Iraq over and the one in Afghanistan drawing to a close, the United States is in the process of rethinking its military’s future role. As commander-in-chief, President Obama issued a new strategic guidance document for the Department of Defense (DoD) in January 2012, which emphasised how the US is to focus on a broader range of challenges and opportunities, such as ensuring the security and prosperity of the Asia-Pacific region. It also demonstrated awareness that these challenges could not be overcome by US military might alone.

 

To ensure that that US military remains ready to counter a full range of future threats, the document acknowledged that preparing for the future requires strengthening all the tools of American power including: diplomacy, development aid, intelligence capabilities, and homeland security. 

 

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 17:07
RCA - Renfort BOALI 2012 - photo EMA

RCA - Renfort BOALI 2012 - photo EMA

22.11.2013 par P. Chapleau - Lignes de Défense

 

La France anticipe le feu vert formel du Conseil de sécurité de l’Onu et planifie de plus en plus ouvertement l’envoi de moyens militaires pour une intervention en république centrafricaine. Onze mois après le déclenchement de l’opération Serval au Mali, le scénario est-il similaire ?

A l’instar de ce qui avait été fait au Mali, la montée en puissance du dispositif français s’effectue au travers du dispositif prépositionné en Afrique. On sait qu’un escadron blindé du 1er RIMa, déployé au Tchad, est ainsi appelé à faire mouvement vers Bangui, que des compagnies basées au Gabon (où se trouve ce vendredi le ministre français de la Défense) peuvent aisément faire mouvement vers la RCA, que les 350 fantassins et les hélicoptères Gazelle à bord du BPC Dixmude qui croise dans le golfe de Guinée peuvent aussi être engagés via le Cameroun (dont les troupes nationales pourraient aussi intervenir dans le cadre d’une force africaine).

D’autres renforts français sont appelés à quitter la métropole dans le cadre du dispositif d’alerte Guépard. Lundi, un Guépard "Com" devrait gagner le futur théâtre.

Une fois de plus, la logistique va être délicate. Par exemple, comment (sinon par gros porteurs ou lors d’un raid blindé terrestre via la frontière tchado-centrafricaine) acheminer les ERC-90 Sagaie du 1er RIMa ? L’exemple malien a montré qu’il nous a fallu compter sur des coups de pouce (et d’ailes) de nos alliés occidentaux et l'ops en cours ne devrait pas malheureusement déroger à cette règle.

Dans le cas centrafricain, nos alliés africains auront aussi besoin de cette aide. Déjà, pour la future MISCA (Mission internationale de soutien à la Centrafrique ), la France a été sollicitée pour gérer le soutien de l’homme. A l’Economat des Armées en particulier de gérer ce dossier et de trouver des capacités pour les contingents africains et français. Des fonds européens pourraient financer ces dépenses; en outre, Washington a débloqué, jeudi, 40 millions de dollars pour la force africaine de maintien de la paix.

Globalement, les moyens militaires français sont aujourd’hui encore moins disponibles qu’en janvier dernier puisque Serval, loin d’être démontée, mobilise /immobilise des moyens conséquents. Ce qui explique, autre exemple, que la France aurait déjà externalisé des missions de surveillance aérienne à une société privée dont un Cessna opèrerait déjà en RCA. Ou qu’elle étudie comment faire assurer efficacement le soutien de l’homme dans un environnement exigeant.

 

Une opex délicate

Toutefois, la RCA n’est pas tout à fait le Mali. Principalement à cause de l’imbrication des éléments "adverses" dans la population et leur présence sur une très grande partie du territoire.

Au Mali existait une sorte de ligne de front entre le nord de Ségou et le nord de Mopti. L’adversaire était, en outre, assez bien identifié.

Dans le chaos centrafricain, il existe des unités de l’armée qui n’obéissent à aucune chaîne de commandement, des milices rebelles officiellement dissoutes mais toujours actives, des bandes armées criminelles et des opportunistes à qui la possession d’une Kalach ou d’une machette suffit à faire inspirer la terreur.

La mission des forces françaises et des contingents africains de la MISCA qui vont succéder à la FOMAC risque d’être périlleuse puisqu’il va falloir « libérer » des zones déjà conquises par des éléments hostiles difficiles à identifier, imposer la paix par la force dans le cadre d’un mandat onusien, prévenir des affrontements qualifiés de « pré-génocidaires » et établir la souveraineté d’un pseudo-régime souverain, mais issu d’un coup d’Etat, sans réelle légitimité, sans pouvoirs. Sans avenir, en clair.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 16:52
Serval : point de situation du 21 novembre 2013

 

22/11/2013 16:30 Sources : EMA  

 

Point sur les opérations de la force Serval depuis le jeudi 14 novembre 18h00, jusqu’au jeudi 21 novembre 18h00.

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 80 sorties, dont environ 40 effectuées par les avions de chasse. 30 sorties ont été dédiées aux missions de transport et 10 aux missions de ravitaillement et de renseignement.

 

Depuis le 14 novembre 2013, les opérations terrestres se poursuivent dans le Nord du pays, en particulier dans la région de Gao. Des patrouilles sont menées quotidiennement, dans la ville et ses environs, par les forces armées maliennes (FAMA), les forces de la Minusma et la force Serval. Lors d’une patrouille le mercredi 20 novembre, le bataillon malien ELOU a découvert une cache d’armes appartenant aux groupes armés terroristes (GAT) au nord-ouest de la ville. Un peu plus tard dans la journée, à 40 km au nord, le sous groupement VBCI du GTIA Korrigan a démantelé un stock de munitions regroupant une cinquantaine d’obus, dont une quinzaine de 122 mm, et une trentaine de 81 mm, ainsi qu’une quarantaine de fusées pour obus et quelques grenades encartouchées de 40 mm. Parallèlement à ces actions, le groupement aéromobile a réalisé des opérations de reconnaissance de points et zones d’intérêt en vue de renseigner et diriger l’action des troupes au sol.

 

Le samedi 16 novembre 2013, le ministre de l’intérieur, Manuel Valls a rendu visite à la force Serval à Bamako. Accompagné de monsieur Gilles Huberson, ambassadeur de France au Mali et du directeur général de la gendarmerie nationale, le général d’armée Denis Favier, le ministre a marqué son intérêt pour l’implication de la force Serval à mener des opérations visant à désorganiser les réseaux terroristes. Lors d’un entretien avec le détachement prévôtal de la force Serval, M. Valls a évoqué l’appui apporté par le ministère de l’intérieur aux opérations menées par les armées.

 

Le 20 novembre, à plus d’un kilomètre au Nord de l’aéroport de Kidal, une explosion a touché un VBL qui rentrait de patrouille. L’explosion a touché l’avant du véhicule. Les trois membres de l’équipage ont été légèrement blessés. Dans la région de Kidal, les FAMa et les soldats sénégalais de la Minusma, appuyés par la force Serval, continuent à mener des opérations de reconnaissance d’axes, contrôle de zone et de fouille.

 

A quelques jours des élections législatives, ces opérations, au même titre que celles qui sont régulièrement menées, participent à la stabilisation du pays.

 

Environs 2800 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Serval : point de situation du 21 novembre 2013
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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 13:55
Le forum innovation de la DGA comme si vous y étiez

 

22/11/2013 DGA Actualité

 

Le forum innovation de la DGA comme si vous y étiez grâce à une visite virtuelle. Cet événement majeur de la recherche et de l’innovation duale s'est déroulé le 21 novembre à l'école polytechnique de Palaiseau.

 

Cliquez pour accéder à la visite virtuelle

 

Robots terrestres

Miniaturisation, agilité, endurance des systèmes

Sûreté des plates formes

Détection et identification

Surveillence et détection du changement

Apport de la DGA à la sécurité globale

Systèmes collaboratifs

Respect de l'environnement et géosciences

Protection du combattant

Dispositif de soutien à l'innovation

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 13:55
Le NH90 TTH bientôt livré dans les forces

Le Caïman, durant sa phase d’expérimentation technico-opérationnelle

Photo Alexandre Paringaux

 

22.11.2013 Helen Chachaty journal-aviation.com

 

Le ministère de la Défense a indiqué hier que trois hélicoptères NH90 TTH (version terre) ainsi que leurs équipages quitteront bientôt le CFIA (Centre de formation interarmées) du Cannet des Maures pour rejoindre leur première affectation opérationnelle, le 1er RHC de Phalsbourg. La "cérémonie de départ" aura lieu le 12 décembre prochain.

 

Au total, l’ALAT devrait recevoir 68 NH90, suite à une commande supplémentaire de 34 appareils annoncée en mai dernier.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 13:50
Brief: What EU citizens think about European defence

Briefs - No43 - 22 November 2013 - by Olivier de France

 

At the turn of the twenty-first century, the ‘end of history’ was nigh – and Europe stood squarely on the right side of it. The times have changed, alas. Today policymakers in the EU expend much of their energy on parrying short-term economic shocks, which have rocked the European boat in ways that seemed unthinkable before. There is a lingering sense that a narrative has unravelled, yet to be convincingly replaced.

 

Countries face a strategic landscape that shifts faster than their perception of it perhaps allows. There are no tangible conventional threats and no enemies at Europe’s gates, but an array of risks and threats that are harder to predict and increasingly more complex. The changing environment requires the ability to bring a panoply of instruments to bear on a range of different problems. Europe prides itself on its ability to do this. Since the European Security Strategy called for a ‘comprehensive approach’ in 2003, the EU has endeavoured to conduct its external action in a flexible, integrated and multilateral way.

 

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