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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 13:30
Jean-Yves Le Drian a assisté à l’inauguration du Dubaï Air Show

 

 

22/11/2013 Camille Martin International

 

Le ministre de la Défense s’est rendu le 17 novembre aux Emirats Arabes Unis (EAU) pour assister à l’inauguration du 13e salon aéronautique Dubaï Air Show. A cette occasion, Jean-Yves Le Drian s’est entretenu avec les principaux responsables des pays du Golfe, partenaires de la France.

 

Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, accompagné du chef d’état-major de l’armée de l’Air, le général Denis Mercier, a participé le 17 novembre à l’inauguration du Dubaï Air Show 2013, au nouvel aéroport international Al Maktoum de Dubaï. Le ministre de la Défense a visité les stands de quelques-unes des 57 entreprises françaises présentes au salon.

 

A cette occasion, Jean-Yves Le Drian a développé ses relations de confiance avec des responsables des pays du Golfe. Il a rencontré l’émir de Dubaï, Cheikh Mohammed ben Rashid Al Maktoum, vice-président et Premier ministre des Emirats Arabes Unis (EAU) et, puis s’est longuement entretenu avec le Prince héritier des EAU et commandant suprême adjoint des Forces armées, Cheikh Mohamed ben Zayed Al Nahyan, ainsi que le chef d’état-major des forces armées des EAU, le général Hamad Mohammed Thani Al Rumaithi. Ce dernier a notamment évoqué avec le ministre français de la Défense ses préoccupations quant au développement du dossier nucléaire iranien.

 

Jean-Yves Le Drian a aussi pu aborder les dossiers d’actualité et le partenariat franco-saoudien lors d’une réunion de travail avec le Prince Salman ben Sultan, vice-ministre de la Défense du Royaume d’Arabie Saoudite.

 

Il a enfin rencontré, en marge du salon, le ministre de la défense qatari, général Hamad ben Ali Al Attiyah pour discuter des perspectives de coopération entre les deux pays dans le domaine de la défense.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:55
1er RS : Camp régimentaire de La Courtine

 

21.11.2013 1re Brigade Mécanisée

 

Le 1er escadron du 1er régiment de spahis a participé au camp régimentaire à La Courtine du 10 au 15 novembre 2013.

 

Agissant avec le 3ème escadron et soutenus par l’escadron de commandement et de logistique, les équipages ont été évalués lors d’un rallye s’étalant sur 72 heures. Les savoir-faire d’ordre technique et tactique ont ainsi été contrôlés au travers d’une dizaine d’ateliers répartis sur l’ensemble du camp.

 

Faisant suite à un « trail » urbain, ce rallye a ainsi été l’occasion de travailler la rusticité en vue du CENTAC et de donner une vision globale du niveau de l’escadron.

 

S’ajoutant aux tirs d’entrainement pour le personnel des équipages (tir FAMAS, tir FLG, tir grenades à mains, tir mitrailleuse 7,62), un tir canon pour les chefs d’engin a pu se dérouler à la fin du camp. Il a ainsi été possible pour chacun de s’entrainer au tir d’urgence sur des carcasses d’AMX 30 et d’AMX 13.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:55
Milipol : présentation au Ministre de l’Intérieur du système I2C de lutte contre la criminalité en mer

 

20/11/2013 DCNS

 

A l’occasion du salon Milipol à Paris – salon mondial de la sécurité intérieure des Etats, le Ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, a assisté à une démonstration du projet de système de surveillance maritime I2C*. Ce programme innovant doit permettre de détecter et d’identifier en temps réel les activités illégales et criminelles menées en mer.

 

Développé par DCNS et ses partenaires, ce progamme est mené dans le cadre d’un projet de R&D soutenu par l’Union Européenne. Il permet d’analyser de manière dynamique les trajectoires et activités des navires, d’interroger les bases de données et de lever automatiquement des alertes en fonction de règles établies en concertation avec les autorités opérationnelles.

 

Des spécialistes de DCNS ont accueilli le Ministre de l’Intérieur sur le stand de la Communauté Européenne sur lequel DCNS bénéficie d’un espace de présentation. Ils ont ainsi pu expliquer quelles sont les performances de cet outil qui apporte un véritable complément au système actuel, en permettant d’assurer une veille permanente des activités de près de 50 000 navires de la zone économique exclusive (ZEE).

 

*I2C : se prononce “eye to see” et signifie “Integrated System for Interoperable Sensors & Information sources for Common abnormal vessel behaviour detection & Collaborative identification of threat”

 

Pour en savoir plus sur les expérimentations : Surveillance maritime : DCNS lance une grande campagne d’expérimentation au large des côtes toulonnaises

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:55
L’Onera au Forum Innovation de la DGA

21.11.2013 - Défense

 

A l’occasion de la seconde édition du Forum Innovation de la DGA (direction générale de l’armement), l’Onera a présenté une partie de ses activités optiques, dont l’imagerie laser et la détection infrarouge.

 

Organisée le 21 novembre 2013 sur le campus de l’école polytechnique à Palaiseau, ce forum a pour objectif majeur de favoriser les échanges entre PME/ETI, laboratoires, universitaires, maîtres d’œuvre industriels autour de projets innovants soutenus par la défense.

 

Pour en savoir plus :

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:45
La France renforce son contingent en RCA, la Guinée enverra 927 soldats au Mali

 

21 novembre 2013 à 22:34 Par RFI

 

Le président François Hollande a reçu, ce jeudi 21 novembre à l’Elysée, son homologue guinéen, Alpha Condé. Tous deux se sont entretenus de deux sujets brûlants : la République centrafricaine (RCA) et le Mali. En Centrafrique, la France va renforcer son contingent. De son côté, Alpha Condé a indiqué que son pays va envoyer 927 soldats au Mali – à Tombouctou et à Gao - dès mars prochain.

 

A quelques jours de l’adoption d’une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies, la France presse la communauté internationale d'agir pour mettre fin aux violences. Les exactions se sont intensifiées ces dernières semaines à Bangui. Un haut responsable américain a même qualifié la situation de « pré-génocidaire ». Pour François Hollande, il n'y a pas de temps à perdre. A l’issue de son entretien avec son homologue guinéen, Alpha Condé, il a tenu à préciser que la France veut « augmenter sensiblement » le nombre de ses soldats en République centrafricaine.

 

« A Bangui et en Centrafrique, la situation est extrêmement grave. Dans quelques jours, il y aura une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies qui permettra aux Africains et à la communauté internationale de pouvoir agir », a souligné François Hollande.

 

« La France, qui a déjà 400 hommes sur place pour sécuriser notamment l’aéroport (de Bangui) et protéger nos ressortissants, est prête à accompagner » le processus que les Nations unies sont sur le point d’engager.

 

« Des massacres ont déjà eu lieu, des exactions se sont produites. Il y a même des conflits religieux qui sont en train d’apparaître. Donc, il n’y a pas de temps à perdre et la position de la France c’est d’appuyer, d’accompagner, lorsqu’il y a des situations comme celles-là, les Africains pour qu’ils assurent eux-mêmes leur sécurité », a déclaré François Hollande.

 

Le président français a, par ailleurs, rappelé que la situation de la Centrafrique sera « au cœur des discussions » pendant le sommet de l’Elysée qui réunira une quarantaine de chefs d’Etat et de gouvernement africains les 6 et 7 décembre à Paris.

 

927 soldats guinéens à Gao et Tombouctou

 

Dans le même temps, la Guinée s'engage au Mali. Le président guinéen, Alpha Condé, annonce, quant à lui, le déploiement de près d'un millier de soldats guinéens à Tombouctou et à Gao, dans le nord du Mali, dès le mois de mars prochain car, dit-il, « il faut libérer le Mali définitivement » des islamistes toujours actifs dans le Nord.

Alpha Condé
(00:55)

Président guinéen

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:45
Dans la peau d’un chef de détachement de transit interarmées

 

22/11/2013 Sources : EMA

 

Le maréchal des logis Elodie est projetée au Mali depuis le mois de mai 2013. Affectée au 1er régiment du train parachutiste (1er RTP), elle est chef d’équipage livraison par air (LPA). A son arrivée, elle a travaillé au détachement de transit  interarmées (DéTIA) aérien de Bamako en qualité de chef d’équipe transit. Depuis le mois de juillet, elle occupe le poste de chef de DéTIA sur la plateforme opérationnelle désert de Gao.

 

Sur place elle commande cinq militaires. Elle est l’interface entre l’armée de l’air et l’armée de terre pour tout ce qui concerne la gestion des flux logistiques aériens. Elle et son équipe conditionnent le matériel à charger dans les aéronefs, que ce soit dans les avions de transport tactiques ou stratégiques (ATT ou ATS). Elle dispose des engins de manutention permettant de charger les avions dont elle connait les caractéristiques techniques. Son travail, touche à la sureté des vols et demande donc beaucoup de rigueur et de précision. La gestion des volumes, des poids, des dimensions et des effectifs font son quotidien.

 

Son BAC sciences médico-sociales en poche en 2007, elle intègre Saint Maixent en 2010 et effectue son stage de corps de troupe au 1er régiment du train parachutiste (1er RTP) : « J’ai tout de suite été attirée par la spécialité de livraison par air. (LPA) ».« Mon travail me permet d’être toujours au plus près des avions ». Brevet parachutiste en poche, elle passe sa qualification LPA en 2012. Qualifiée sur Transall, elle a la possibilité d’évoluer dans sa spécialité en obtenant les extensions Casa CN235, Hercules C130, et par la suite A400 M.

 

Afin de parfaire sa formation dans le domaine des troupes aéroportées, elle tentera de devenir chef de groupe de saut en 2014 et pourra par la suite devenir largueur opérationnel (pour procéder au largage de personnel). Cette spécialité parachutiste reste au cœur de ses fonctions : « Quand nous sommes projetés en OPEX en transit aérien, nous sommes toujours en mesure d’effectuer du largage de matériel si les opérations l’exigent. »

 

Au cours de son mandat elle aura traité une moyenne de deux avions et plusieurs tonnes de fret par jour. En période de déploiement ou de relève, ce chiffre peut s’élever jusqu’à cinq ou six avions. Le matériel à conditionner ou charger est varié : véhicules, hélicoptères, groupes électrogènes, vivres etc. De plus elle doit prendre en compte le transport du personnel, en contrôlant qu’effectifs et poids soient conformes à la charge offerte par l’aéronef. « Ce qui me plait dans le travail au transit, c’est que l’on est constamment obligé de se remettre en question. De trouver des solutions pour que tout le fret à transporter arrive au plus vite à destination. C’est un défi de tous les jours ».

Dans la peau d’un chef de détachement de transit interarmées
Dans la peau d’un chef de détachement de transit interarmées
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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:45
La FREMM marocaine sera officiellement livrée lundi matin

 

22.11.2013 par P. Chapleau - Lignes de Défense

 

Elle est à quai à Brest depuis une semaine! Mes collègues de Brest l'avait annoncé dès lundi... Mais sa présence n'est pas fortuite. Le Maroc va prendre livraison de la FREMM Mohamed VI, lundi matin. Le frère du roi du Maroc sera présent et il sera accueilli par le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Transfert de pavillon et signature de la livraison sont au programme de la journée qui marque l'aboutissement d'un long processus commencée en 2008.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:40
L’armée russe modernise son missile S-400

S-400 Triumph photo Almaz-Anteï

 

22 novembre 2013 Info-Aviation

 

Le consortium russe Almaz-Anteï achève la conception d’un missile à plus longue portée pour le système sol-air S-400, a annoncé le 20 novembre à Moscou Vladislav Menchtchikov, directeur général du consortium.

 

« L’usine du groupe chargée de fabriquer les nouveaux missiles, en produit actuellement le premier lot », a indiqué M.Menchtchikov.

 

Le consortium se prépare à lancer la production en série des nouveaux missiles. En 2014, Almaz-Anteï effectuera « des tirs d’essai du nouveau missile avant de signer un contrat sur la production en série », a ajouté le responsable.

 

Le S-400 Triumph (code OTAN: SA-21 Growler) est un système de missiles sol-air de grande et moyenne portée destiné à abattre tout type de cible aérienne: avions, drones et missiles de croisière hypersoniques.

 

La Russie compte cinq régiments dotés de systèmes de missiles S-400 Triumph (deux pour la région de Moscou, deux pour les flottes de la Baltique et du Pacifique et un régiment pour le district militaire du Sud). Deux régiments de l’armée russe seront dotés de systèmes sol-air S-400 Triumph d’ici la fin de 2013, a précisé Mr Menchtchikov.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:35
La Corée du Sud doit-elle participer à la «guerre des étoiles» américaine?

Les nouveaux missiles de croisières sud-coréens Hyunmoo-3 and Hyunmoo-2 déployés durant les festivités du 65e anniversaire de l’armée à l’aéroport militaire de Seongnam, au sud de Séoul le 1er octobre 2013.

 

21 novembre 2013 Par Frédéric Ojardias, correspondant à Séoul - RFI

 

La Corée du Sud doit-elle acquérir de coûteux systèmes de défense anti-missiles américains ? Alors que le programme nucléaire et balistique du régime nord-coréen continue de progresser, Washington insiste pour que la Corée du Sud, son allié militaire, rejoigne son très sophistiqué bouclier anti-missile balistique. Mais les médias et les analystes sud-coréens s’inquiètent : une telle participation risque de fâcher le puissant voisin chinois et rendrait la Corée du Sud encore plus dépendante des Etats-Unis.

 

Ce bouclier anti-missile américain est un système extrêmement complexe dont l’objectif est de détecter puis d’intercepter en vol des missiles intercontinentaux ennemis, dotés d’ogives nucléaires. Cela nécessite un réseau sophistiqué de satellites, de radars, et de fusées.

 

Or, depuis que son ennemi nord-coréen a réussi, l’année dernière, le tir d’une fusée à longue portée, la Corée du Sud envisage d’acquérir ces systèmes stratégiques capables, en théorie, de détruire des missiles en vol à très haute altitude.

 

Les médias sud-coréens font même état de pressions de la part des Etats-Unis pour que Séoul achète ses derniers systèmes d’intercepteurs, appelés THAAD et SM3. Et beaucoup d’analystes sud-coréens s’inquiètent : ils redoutent qu’un tel achat soit en réalité le prélude à l’intégration complète de la Corée du Sud au bouclier américain.

 

C’est déjà le cas du Japon voisin. Tokyo, allié fidèle de Washington, a accepté d’intégrer son système de défense, et dans ce but a déjà installé un radar américain très sophistiqué sur son territoire.

 

Suite de l’article

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:35
Séoul teste avec succès un missile israélien (agence)

 

 

SEOUL, 22 novembre - RIA Novosti

 

L'armée sud-coréenne a testé avec succès un missile israélien de haute précision Spike, a annoncé vendredi l'agence Yonhap se référant au commandement de la Marine sud-coréenne.

 

"Le missile a frappé avec précision une cible maritime se trouvant à 20 kilomètres au sud-ouest de l'île  de Yeonpyeong", indique un porte-parole de la Marine, cité par l'agence.

 

Les missiles Spike téléguidés par satellite ont été déployés dans l'île de Yeonpyeong (mer Jaune) afin de parer d'éventuelles provocations de la part de la Corée du Nord. La portée de ces missiles destinés à détruire tant des cibles mobiles que stationnaires est de 20 kilomètres.

 

La situation dans la péninsule coréenne s'est nettement détériorée suite au bombardement nord-coréen de l'île de Yeonpyeong, qui avait fait trois morts et dix-sept blessés le 23 novembre 2010. Pyongyang avait alors justifié son attaque en évoquant une riposte aux manœuvres de Séoul

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:35
Japon: quatre navires chinois dans des eaux revendiquées par Pékin

 

22 novembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

TOKYO - Quatre bateaux de garde-côtes chinois ont brièvement pénétré vendredi dans les eaux qui entourent des îles que se disputent âprement la Chine et le Japon, ont annoncé les garde-côtes japonais.

 

Les quatre bâtiments sont entrés vers 09H30 (00H30 GMT) dans ces eaux qui entourent les îles Senkaku contrôlées par le Japon, et revendiquées par Pékin sous le nom de Diaoyu. Ils en sont repartis environ trois heures plus tard, ont ajouté les garde-côtes.

 

La dernière incursion chinoise, de quelques heures, remonte au 7 novembre. La précédente, le 28 octobre, avait fait nettement monter le ton entre les deux pays.

 

Le ministre japonais de la Défense, Itsunori Onodera, avait alors estimé que ces incursions chinoises répétées menaçaient la paix et constituaient une zone grise entre temps de paix et situation d'urgence.

 

Quelques jours plus tôt, le ministère chinois de la Défense avait utilisé l'expression acte de guerre pour mettre en garde Tokyo contre toute action éventuelle contre ses drones.

 

Depuis plus d'un an les relations sino-japonaises sont au plus bas en raison de ce conflit territorial en mer de Chine orientale. En septembre 2012, le Japon a nationalisé trois des cinq îles de l'archipel de la discorde, déclenchant une semaine de manifestations antijaponaises, parfois violentes, dans plusieurs villes de Chine.

 

Depuis lors, Pékin envoie régulièrement des patrouilles de garde-côtes dans les eaux territoriales de ces îles situées à 200 km au nord-est de Taïwan et 400 km à l'ouest d'Okinawa (sud du Japon), faisant redouter un incident avec les navires japonais qui y croisent aussi.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 12:20
Block 40 Global Hawk goes to 'war': USAF

 

Nov. 22, 2013 by Jon Hemmerdinger – FG

 

Washington DC - Northrop Grumman’s unmanned RQ-4 Block 40 Global Hawk has gone to “war” for the first time, according to the US Air Force.

 

The service announced today that on 19 September a Block 40, which has synthetic-aperture radar and ground-moving target indicators, departed Grand Forks Air Force Base in North Dakota on a mission that marked the “first time this specific model has been deployed into war.”

 

That comment was made by the 69th Reconnaissance Group’s Col Lawrence Spinetta in an article written by the public affairs division of the air force’s 319th Air Base Wing at Grand Forks.

 

The public affairs office declined to say where the aircraft went and did not provide additional details about the flight.

 

The office adds that the announcement needed to be cleared by high-level defense officials, which is why it was released more than one month after the flight.

 

Global Hawks can fly 12,300nm (22,780km), and the air force flies them on missions from the US to the Middle East.

 

“Any time we send a jet out of Grand Forks and 24 hours later it arrives right on center line... in the Middle East, that amazes me,” Spinetta told Flightglobal last week during a media briefing at the base.

 

“Lack of a manned pilot onboard is a strength,” Spinetta added.

 

Block 20s, which fly communications relay missions, have been used in Afghanistan to transmit messages over mountains, Spinetta added.

 

Block 40s have a multi-platform radar technology insertion programme (MP-RTIP), an air-to-surface radar that provides wide-area surveillance of stationary and moving targets, according to Northrop’s website.

 

The aircraft has a wingspan of 131ft (40m), length of 47.6ft (14.5m) and a gross takeoff weight of 32,250lb (14,628kg), says the manufacturer.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 11:55
"L'ensemble de la loi de programmation militaire est blindé !" (Jean-Yves Le Drian)

 

21/11/2013 par Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Pour le ministre de la Défense, il est hors de question de réduire le budget de 750 millions d’euros alloué à la recherche amont car il est nécessaire au maintien des compétences dans tous les domaines: nucléaire, aéronautique, naval, spatial. Quant à la rallonge de 500 millions d’euros obtenue auprès de Bercy, elle permettra de lancer des programmes d’équipements, afin de conforter l’activité des industriels.


 

LA TRIBUNE - Quand vous avez lancé votre plan pour les PME de la défense, pas mal d'observateurs étaient dubitatifs. Quel est le bilan un an après ?
 

JEAN-YVES LE DRIAN - Je constate que le Pacte Défense PME fonctionne bien. Il existe une dynamique entre les grands groupes et les PME. Culturellement, nous sommes en train de changer à la fois au sein du ministère de la Défense et dans les grands groupes pour mieux prendre en compte les PME.

 

Par exemple ?
Les acheteurs du ministère de la Défense et des grands groupes ont par exemple l'obligation de faire une place aux PME pour les marchés de moins de 15.000 euros qu'ils lancent. Nous demandons chaque fois que cela est possible de découper certains marchés en plusieurs lots de façon à favoriser les PME. Le ministère a également mis en place les pôles régionaux d'économie de défense (Pred), destinés à être le point d'entrée unique au niveau régional pour les acteurs institutionnels et les PME sans connaissance de la défense. Et nous avons aussi beaucoup simplifié les procédures administratives.

 

Les grands groupes jouent-ils le jeu ?
Nous avons déjà signé avec les grands groupes six conventions bilatérales de soutien aux PME dans le cadre du Pacte Défense PME. En janvier, nous en signerons deux autres avec Dassault Aviation et Renault Trucks Défense. Ces accords permettent un changement dans les relations entre PME et les grands groupes.

 

Les PME de défense sont-elles moins isolées pour l'exportation ?
Il y a des séminaires de mobilisation au niveau des Pred. J'ai également aidé financièrement le Gifas à faire venir cette semaine 19 PME sur le salon aéronautique de Dubai. Nous allons poursuivre l'accompagnement des PME à l'export.

 

Justement, les exportations d'armements seront-elles en 2013 meilleures qu'en 2012 ?
Les chiffres 2013 vont être singulièrement supérieurs à ceux de 2012. La France a engrangé des commandes significatives cette année à l'image du contrat LEX avec l'Arabie saoudite. Ce succès repose sur la qualité des équipements et des technologies proposés par les industriels. C'est pour moi une grande source de satisfaction.

 

Mais sans accompagnement politique, les industriels ont souvent peu de chance de gagner…
L'accompagnement politique a effectivement du sens. Mais dès les premières rencontres, chacun doit bien jouer sa partition dans son domaine. Ce n'est pas au ministre de la Défense d'arriver dans un pays avec le catalogue de produits des industriels. En revanche, je m'attache à créer une relation politique de confiance entre la France et les pays intéressés par les équipements français à travers un partenariat stratégique. Enfin, je facilite si nécessaire la mise en place d'une coopération industrielle pour réunir le maximum de chances d'aboutir à une décision favorable pour la France.

 

C'est quoi la méthode Le Drian pour réussir à l'exportation ?
Je fais le job, en tant que ministre de la Défense. Je considère que ma première mission est d'assurer la sécurité de mon pays. Parmi les autres missions, je défends aussi l'autonomie stratégique de la France. Ce qui veut dire que je soutiens les capacités, le savoir-faire et les emplois des industries de défense. Mon action à l'étranger a pour objectif d'obtenir des prises de commandes suffisantes à l'exportation. Je suis quelqu'un de très déterminé, voire obstiné sans être têtu. Pour moi, c'est une qualité. Par exemple, j'ai réalisé dimanche dernier mon sixième voyage aux Émirats arabes unis depuis mon arrivée à la tête de ce ministère.

 

L'ensemble des industriels salue souvent votre capacité à « mouiller la chemise » à l'exportation. Quelle est votre influence ?
Pour réussir à obtenir des commandes, il faut créer une bonne complicité avec les industriels. Si je l'ai acquise, tant mieux pour la France et pour nous.

 

L'innovation est-elle également une priorité de votre action ?
Parallèlement à mon action en faveur de l'exportation, je fais en sorte de préserver de manière suffisante la préparation de l'avenir. Je le dis et je le répète : nous avons sanctuarisé le budget annuel de la recherche amont à 750 millions d'euros. Ce budget ne bougera pas. La cyberdéfense est l'une des inflexions nouvelles que j'ai souhaité privilégier dans le cadre de la loi de programmation militaire. Pas question de laisser sur la route certaines de nos compétences. Aussi, il est important d'en maintenir sur l'ensemble du spectre, que ce soit dans le nucléaire, l'aéronautique, le naval et le spatial.

 

Êtes-vous satisfait du dispositif Rapid ?
Nous allons renforcer le dispositif Rapid, qui soutient des projets de recherche industrielle ou de développement expérimental dual, civil et militaire, à fort potentiel technologique des PME de moins de 250 personnes. Il fonctionne bien. Nous allons augmenter son budget de 25%.

 

Pouvez-vous clarifier la fin de gestion du budget 2013 ?
Nous avons obtenu plusieurs éléments positifs dans la fin de gestion du budget 2013. Nous avons décidé que le budget de l'État prendrait à sa charge les 578 millions de surcoûts générés notamment par l'intervention au Mali. C'est acquis. Sur les 720 millions d'euros de gel, qui a touché le ministère de la Défense au titre de la rigueur budgétaire, ces crédits sont bien annulés. Mais à l'issue d'une discussion avec Bercy, nous avons obtenu 500 millions d'euros de ressources exceptionnelles, sécurisant notamment le financement des équipements en fin d'année. Dans ces conditions, je peux lancer plusieurs programmes, qui conforteront l'activité des industriels. La commande de défense est intégralement maintenue.

 

Quels sont les programmes que vous souhaitez lancer d'ici à la fin de l'année ?
Le standard F3R du Rafale (qui intègrera notamment une nacelle de désignation laser de nouvelle génération, ndlr) et le missile MMP notamment.

 

La loi de programmation militaire repose sur plusieurs paris, dont l'obtention des ressources exceptionnelles. Est-ce réaliste ?
La LPM repose sur certains paris. Ce qui veut dire que nous allons être extrêmement vigilants. Cette LPM est exigeante mais équilibrée à condition que tous les crédits affectés à cette programmation soient exécutés. Si une brique est absente, à ce moment-là, c'est l'ensemble de l'édifice qui tombe.

 

Y a-t-il un lien entre la cession d'une partie du capital de Safran et les ressources exceptionnelles ?
Il n'y a aucun lien. Ce sont deux opérations différentes. Bercy a opportunément décidé de la vente de cessions d'actifs du groupe Safran. Par ailleurs, nous devons financer les ressources exceptionnelles dans le cadre de la LPM. Nous avons déjà identifié l'origine des 1,8 milliard d'euros de ressources exceptionnelles pour 2014 (programme d'investissements d'avenir, cessions d'actifs, cessions immobilières…). Je n'ai aucune inquiétude sur ce dossier.

 

Donc les reports de charge vont augmenter ?
Oui, à 3,6 milliards d'euros, mais c'est transitoire. Nous limiterons leur croissance, en cas de besoin, avec 500 millions de ressources exceptionnelles supplémentaires.

 

La crédibilité et l'exécution de la LPM repose principalement sur votre personnalité. Allez-vous rester ?
La question ne se pose pas. Mais je ne crois pas que la LPM en cours d'examen repose sur ma personne. Avec ou sans moi, l'ensemble du dispositif est solide. Blindé !

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 11:55
Nexter Robotics, NBC-Sys et Euro-Shelter présents aux salons Milipol et MIDEST

source Nexter Goup

 

A l’occasion de la 18e édition du salon de la Sécurité Intérieure des Etats (Milipol Paris), Nexter Robotics et NBC-Sys présentent sur leur stand (R038) une possible association entre les mini-robots de reconnaissance NERVA et les détecteurs NRBC qui permettrait notamment de limiter l’exposition des personnels sur le terrain.

Présentée pour la première fois à Milipol, la gamme NERVA y est également mise en valeur de façon innovante au travers d’un parcours thématique et dynamique. DSC 0080Reprenant diverses situations opérationnelles auxquelles les NERVA peuvent être confrontés (Ascension de pentes raides, détection de menaces NRBC, chutes, évolutions dans un environnement à luminosité réduite, immersion dans l’eau), ce parcours vise à mettre en avant de manière ludique la résistance, la polyvalence mais aussi la simplicité d’utilisation des mini-robots de Nexter Robotics. La protection face aux menaces NRBC avec notamment la présence du masque à gaz SIRANO de NBC-Sys, est également à l’honneur sur ce stand commun.

 

 Juste en face du salon MDSC 0085ilipol, au hall 6 du Parc des Expositions, les visiteurs pourront également se rendre au salon MIDEST où Euro-Shelter présente sa nouvelle maquette de « concept-train » réalisée entièrement en panneaux sandwich. L’utilisation originale de ce matériau, alliant rigidité et légèreté, a d’ailleurs permis à Euro-Shelter de remporter le prix de l’innovation du salon dans la catégorie « Bureau d’Etude ».

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:55
Les acheteurs du secteur [Défense] veulent améliorer leur image

 

21/11 Matthieu Quiret, Les Echos

 

Pour les PME, un nouveau dialogue s'instaure avec la DGA et les grands groupes. L'enjeu se trouve à l'export.

 

Le 7 novembre, des représentants du ministère de la Défense sont venus à la Chambre de commerce et de l'industrie de Nice mobiliser les PME de la région pour qu'elles participent aux appels d'offres des armées. Objectif des acheteurs de la Défense : chasser la mauvaise image du secteur. «  C'est une réputation injuste », juge l'un des participants, le médiateur de l'achat public, Jean-Lou Blachier. Pour lui, «  le ministère est l'un des meilleurs élèves de l'achat public. Sur les 230 demandes de médiation que nous avons reçues en dix mois, aucune ne concernait ce secteur. » Il rappelle que les PME ont souffert des gros soucis de délais de paiement que le logiciel Chorus du ministère avait entraînés, mais des améliorations ont été apportées. De même, il estime qu'une réunion comme celle de Nice démontre la volonté de ne pas « massifier » ces appels d'offres, une tendance des acheteurs qui est mortifère pour les PME.

 

Subventions à l'innovation

 

Même son de cloche chez Eden, la grappe lyonnaise qui regroupe plus de 100 PME sur les secteurs défense, sécurité et sûreté. Son président Jean-Luc Logel salue le pacte PME Défense : «  Cela va dans le bon sens. La cellule PME de la Délégation générale à l'armement est très attentive, nous avons un dialogue constructif avec eux. Ce n'était pas le cas il y a dix ans. » Il cite notamment le dispositif Rapid, qui réserve aux PME des subventions à l'innovation. D'après lui, le bras de fer qui existe entre les grands groupes et leurs fournisseurs reste vif, mais là encore un dialogue récemment s'est instauré, notamment grâce au pacte. «  Je connais même le cas d'une PME, le fabricant de câbles Procaly, qui était en conflit avec un grand donneur d'ordre. Son dirigeant a pu apaiser les tensions en évoquant le pacte. »

 

Pour Jean-Luc Logel, il s'agit de se rapprocher des bonnes relations qu'entretiennent les groupes allemands avec leurs PME. «  Les sous-traitants français sont encore trop infantilisés. Par exemple, dans les marchés à l'étranger, lors des négociations des compensations, les groupes ne veillent pas suffisamment à éviter que les PME ne se retrouvent minoritaires dans les coentreprises, un danger pour leur propriété intellectuelle. » Pour Eden, le véritable enjeu devient plus l'exportation que le marché français. «  Celles qui survivent travaillent à l'export ou pour des groupes tournés vers les marchés étrangers. »

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:55
Thales : Jean-Bernard Lévy détaille le plan Ambition 10

 

21/11/2013 Vincent Lamigeon, grand reporter à Challenges - Supersonique

 

Le patron de Thales n’avait jamais publiquement évoqué Ambition 10, « vision partagée » du groupe à dix ans dévoilée devant 650 cadres à Paris en septembre dernier. C’est désormais chose faite : dans une interview à Challenges (21 Nov 2013) et à latribune.fr accordée lors du salon de Dubaï, Jean-Bernard Lévy est revenu sur ce travail effectué depuis février dernier, peu après l’incroyable psychodrame qui avait abouti au remerciement de Luc Vigneron par l’Etat et Dassault fin 2012. « Le groupe avait les nerfs à fleur de peau, il était encalminé, en panne de croissance et de stratégie, raconte le PDG. Il a fallu faire retomber la fièvre ».

 

A l’inverse de la méthode Vigneron, marquée par le remerciement de la quasi-totalité de l’état-major et par une guerre sanglante avec les syndicats, le nouveau patron a tout de suite impliqué la base : « Nous avons lancé des groupes de travail partout dans le monde pour définir une vision partagée. Cela a abouti à Ambition 10, la vision du groupe à dix ans, qui sera déclinée en un plan stratégique mi-2014. » Les grands axes avaient été dévoilés par les Echos en septembre : une hausse de chiffre d’affaires de 10 milliards en 10 ans, ce qui porterait les ventes du groupe à près de 25 milliards d’euros, et une rentabilité opérationnelle de 10%, soit le même objectif qu’EADS s’est fixé… pour 2015. « Je n’ai pas démenti les chiffres parus dans la presse, sourit Jean-Bernard Lévy. Je sais bien qu’en parlant devant 650 cadres, ils n’ont pas forcément vocation à rester secrets. »

 

Mais Ambition 10, souligne le PDG de Thales, n’est pas un plan stratégique. Plutôt une « vision partagée » à 10 ans, qui n’a pas valeur d’engagement auprès des marchés. Cette « ambition » sera déclinée en un plan stratégique « à trois à cinq ans » début 2014, avec présentation aux investisseurs en avril, le premier plan directement rattaché à la nouvelle vision du groupe.

 

Au-delà des chiffres, Jean-Bernard Lévy fixe trois objectifs primordiaux : « retrouver la croissance, améliorer la compétitivité et développer les talents ». « On ne peut pas se satisfaire de voir Thales au même niveau de chiffre d’affaires en 2013 qu’en 2007, pointe le PDG de Thales. Il faut changer de braquet. Pas faire un peu mieux, faire beaucoup mieux. » La partie RH n’est pas un simple vœu pied, mais un objectif stratégique à part entière, notamment pour attirer les forts potentiels dans les pays émergents, où Thales n’est pas forcément connu.

 

L’objectif est clair : accélérer sur les pays émergents (au sens large), qui ne représentent que 22% du chiffre d’affaires : « L’objectif est que la croissance dans les pays émergents fasse plus que compenser la baisse des commandes dans les pays matures. J’essaie de faire partager ce sentiment d’urgence aux équipes. »

 

La grande nouveauté pour Thales sera la mise en place de « plans-pays » dans une dizaine de pays-clés : Arabie Saoudite, Emirats arabes unis, Qatar, Brésil, Inde, Russie, Turquie… Ces plans rassembleront les « opportunités de marchés, les partenariat et transferts de technologies envisagés ». « Ce travail n’avait jamais été fait chez Thales », assure le PDG, qui souligne que le groupe travaillait plutôt sur les plans produits sous l’ère Vigneron, ce qui sera maintenu mais complété.

 

Cette accélération dans les émergents devra faire de Thales un « groupe vraiment mondial, et plus seulement multidomestique », assure Jean-Bernard Lévy. La dynamique des marchés (croissance forts dans l’aéronautique civile, déprime dans la défense) devrait aussi aboutir à une baisse de la part du militaire dans le chiffre d’affaires. Elle pourrait passer de 53% aujourd’hui à 40% dans les prochaines années, même si Thales restera « un groupe dual, où les technologies développées irriguent à la fois les marchés civil et militaire ».

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:50
Visite officielle du chef-d’état-major de la Marine en Roumanie



21/11/2013 Marine nationale

 

Les 18 et 19 novembre 2013, le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Rogel s’est rendu en Roumanie pour une visite officielle. Cette visite a débuté par un entretien à Bucarest avec le chef d’état-major des armées, le général de corps aérien Danila, puis avec le chef d’état-major de la marine roumaine, le vice-amiral Popa.

Elle s’est poursuivie par une visite du port militaire de Constanza où le CEMM s’est fait présenter par son homologue différentes unités dont le SSK Delfinul de la classe Kilo et leurs missions.

Les participations à des opérations interalliées communes (Atalanta ou Active Endeavour) et les retours d’expérience respectifs des deux marines ont été évoqués ainsi que des pistes de coopérations futures, par exemple, dans les domaines de l’hydrographie, de la plongée ou de la formation des officiers-élèves.

À l’occasion de cette visite, l’amiral a été décoré de l’emblème d’honneur des forces navales roumaines. Cette distinction est conférée par  le chef d’état-major des forces navales roumaines à un chef militaire étranger à titre exceptionnel lorsqu’il souhaite l’honorer.

 

Visite officielle du chef-d’état-major de la Marine en Roumanie
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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:50
Spain’s revolutionary new frigate, the F-110

 

11/21/2013 Richard de Silva - defenceiq.com

 

The Spanish Navy’s F-110 Frigate, being manufactured by Navantia, aims to replace the country’s six Santa Maria-class ships as they approach the end of their operational life from 2020.

 

With a full service date of 2025, the fleet will seek to provide a multi-purpose capability for at least forty years and will deliver a platform for unmanned surface, subsurface and aerial vehicles. The ships will work as an intermediate solution between the BAM (Buque de Acción Marítima) ships and Álvaro de Bazán class frigates, providing maritime security, mine countermeasures, escort duties and many other possibilities.

 

While official information on the development of the programme is limited, Captain Juan Gonzalez-Aller Lacalle, the Navy’s F110 Frigate Programme project officer, will be addressing the delegation at Surface Warships 2014 to explain the strategy behind the incoming fleet and the process involved in the Navy’s partnership with the industry in seeing this capability take to the waves. Before his presentation, he enlightened Defence IQ about the programme’s current status.

 

“The F-110 will be integrated within the Spanish Fleet in a new frigate squadron, under the Admiral of the Fleet Chain of Command,” he says. “The Admiral of the Fleet will be in charge of the readiness, training and certification process of the new units, to make them ready to be integrated in any naval, combined or joint force to undertake real operations. The squadron will then replace the FFG class squadron and, being an oceanic escort as well, the F-110 is expected to have enhanced capabilities to operate the littoral.

 

“In Spain, for every programme, the capability development process has four phases: Conceptual; Definition and Decision; Execution; and Service. The ‘Conceptual’ phase has already finished as of January 2013. This phase includes the development of two documents – the ‘Mission Need Document’ and the ‘Staff Target Document’.

 

“Right now, we are in the middle of the first stage of the ‘Definition and Decision’ phase, which is, in other words, the development of the ‘Staff Requirements’, which should be completed by June 2014. This stage is headed by the Navy Staff. Once this stage is complete, the Ministry of Defence and the Navy Logistic Command will take the reins of the following stages regarding the capability development and procurement processes.”

 

The programme’s core value in being a multipurpose and modular solution will of course promote a cost-effective solution. However, some of the installations will presumably need to be permanent, so we are curious as to the extent to which physical space on the ship will be limited for specific missions, or whether there is a risk that capability shortfalls will be unavoidable on certain occasions.

 

“Most of the F-110 capabilities will be permanent, what we call the ‘basic capabilities’ of the ship,” explains Lacalle. “In addition, the F-110 will have a flexible multi-mission space dedicated to allocate modular capabilities, non- permanent, that will increase the basic capabilities of the ship only for specific mission profiles. Every modular capability is composed of a mission module, which is the mission systems and support equipment, plus the personnel that is required to operate them at sea.

 

“A number of modular capabilities have been identified, and will be outlined in that Staff Requirement Document. These include naval special warfare, unmanned vehicles operations (UAV, USV, et cetera), medical support, a prison module, and others. In accordance with the mission profile, a different combination of mission modules will be embarked. We are now fully involved in deep studies to identify all the requirements with regard to the frigate, not only those directly related to the ship but also those related to doctrine, organization, infrastructure, facilities ashore, and so on. We have already identified the additional capabilities that the F-110 is going to provide through its modular capabilities (both the Mission Modules and the personnel responsible for maintaining and operating them). Meanwhile, it is expected to provide some Mine Warfare modular capabilities based on Autonomous Underwater Vehicles, Support to Divers, Remote Controlled Mine Sweeping System (SIRAMICOR), and so on.”

 

With modernisation in today’s climate, there also comes the inevitable issue of cutting back on crew sizes, shifting the task of efficiency to improved systems data fusion and other emerging initiatives.

 

“Yes, the F-110 is also following this trend and, at this stage, we are analyzing different ways that may allow us to reduce the ship complement, compared with our FFG and F-100 frigates. The overall concept of a reduced crew that the Navy is adopting for all the new units has a direct impact in the procurement cost, decreasing the cost of the life cycle, and also in the displacement (less accommodation areas on board); minimizing as well the probability of casualties in combat or accidents at sea.

 

“Besides, new technologies allow ship designs with a higher degree of automation and unmanned systems on board, capable of conducting some of the tasks that traditionally the crew would have to perform, and there are other designs involved that will at least not require the permanent attention of crewmembers.”

 

Of course, such ambitious projects are rarely undertaken without installing partnerships with the right people. Having this support structure in place and in constant motion defines the Navy’s strategy to ensuring a lack of conflict and a smooth production road over the next twelve years.

 

“From the very beginning, we have been working shoulder to shoulder with NAVANTIA,” says Lacalle. “A team of their engineers are supporting us and sharing information with the Spanish Navy Staff and Logistic Command to identify most of the F-110 technical requirements. NAVANTIA´s feedback on our operational requirements is therefore allowing us to correctly assess the viability or difficulties to get what we need.

 

“We are also working with INDRA and other industry partners in key aspects like sensors, weapons and the integrated mast, as an example. All of this work and communication with NAVANTIA and the industry provides real added value to the project as we progress.”

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:50
A400M photo Airbus Military

A400M photo Airbus Military

 

21 novembre 2013 Par Olivier James - Usinenouvelle.com

 

En raison de la baisse des effectifs au sein de l’Agence européenne pour la sécurité aérienne (AESA), certains grands programmes pourraient voir leurs certifications retardées. C’est le patron de l’AESA lui-même qui tire la sonnette d’alarme.

 

Le risque est bien réel. Alors que le secteur européen de l’aéronautique engrange les commandes, il pourrait être freiné dans son élan par des problèmes de… certification. C’est Patrick Ky, le nouveau directeur exécutif de l’Agence européenne pour la sécurité aérienne (AESA), qui a pointé du doigt cette menace jeudi 28 novembre lors d’une conférence organisée par l’Association des Journalistes professionnels de l’Aéronautique (AJPAE). "L’année 2015 sera critique et si nous ne pouvons pas certifier dans les délais, les industriels risquent de livrer leurs appareils en retard et seront dans une situation difficile vis-à-vis de leurs clients", a-t-il prévenu.

Raison invoquée par le patron de l’AESA, dont l’un des rôles est de certifier les appareils : la baisse des effectifs imposée par la Commission européenne à toutes les agences européennes. A l’heure de l’austérité, la Commission souhaite en effet réduire de 5% les effectifs de l’ensemble des institutions et des agences d’ici 2018. "Aujourd’hui, cette consigne de réduction des effectifs inquiète les industriels, assure Patrick Ky. Si cet objectif est maintenu pour notre agence, ils auront du mal à faire face au pic de production que nous prévoyons en 2015".

 

Demande de 70 postes supplémentaires

Pour le patron de l’AESA, l’année 2015 sera particulièrement à risque en raison de nombreuses demandes de certification sur de nouveaux modèles d’appareils ou sur des programmes existants. Patrick Ky cite en particulier la certification du Falcon 5X de Dassault Aviation, celle de modifications de l’A400M, mais également de l’Airbus A380, dont une nouvelle version rallongée obligera à des modifications au niveau des issues de secours. Des industriels comme Eurocopter et l’italien Agusta Westland seraient aussi concernés.

"Nos experts sont communs à tous ces projets, précise Patrick Ky. Ils travaillent en panel sur chaque type de pièces, ce qui représentent autant de goulets d’étranglement en cas de manque de personnel". C’est le chevauchement des multiples programmes européens qui inquiète le patron de l’AESA, agence dont l’effectif est d’environ 700 personnes. Le directeur exécutif estime que l’agence pourrait effectuer correctement son travail de certification avec un effectif supérieur d’au moins 10%, soit environ 70 postes supplémentaires.

 

Un budget assuré par les industriels

Un autre programme, non européen celui-ci, vient encombrer un calendrier déjà bien chargé : le C919, l’avion de ligne du chinois Comac. Si sa date de certification reste incertaine, le patron de l’AESA réfléchit à un rapprochement avec la FAA (Federal Aviation Administration, l’équivalent américain de l’AESA) afin de simplifier le processus. "Un programme de ce type nécessite des ressources particulières, deux fois supérieures à un programme européen", admet Patrick Ky.

La Commission européenne argue de nécessaires économies en période d’austérité et ne prévoit pas d’exception. Réponse de Patrick Ky : le budget de l’AESA dévolu aux certifications est assuré à 100% par les industriels. Le budget total s’élève à environ 130 millions d’euros par an. "Le Parlement européen nous soutient mais pas les Etats membres en raison de la rigueur budgétaire", déplore Patrick Ky. Le nouveau directeur exécutif de l’AESA compte bien poursuivre les négociations dans les prochains mois et trouver une issue favorable.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:50
Italian Air Force, Alenia to develop MC-27J Praetorian

The Praetorian is expected to provide 360° coverage for the Italian Forces against air-to-air and surface-to-air threats in the battlefield. Photo Alenia Aermacchi

 

21 November 2013 airforce-technology.com

 

Alenia Aermacchi will provide development, testing, certification, industrialisation and logistic support for the Italian Air Force's Praetorian fleet.

 

The Finmeccanica Company and the Italian Air Force signed the agreement at the ongoing Dubai Airshow 2013.

 

The Praetorian, which is a specialised version of the MC-27J, is expected to support the Italian Special Forces and Comando Operativo Forze Speciali (COFS) in their missions.

 

Designed to provide 360° coverage against air-to-air and surface-to-air threats in the battlefield, the Praetorian is an advanced electronic warfare (EW) suite, including computers, cameras and unspecified fire-support systems.

 

As part of the two-phased Praetorian project, Alenia Aermacchi will first develop and deliver the Praetorian prototype to the Italian Air Force in spring 2014, for immediate testing in the threatre.

 

The industrialisation of the Praetorian configuration and related logistic support will form part of the phase two.

 

The Italian Air Force plans to convert its current three C-27Js into the Praetorian configuration throughout 2016 and will include mission systems, C3ISR equipment and palletised support / fire systems.

 

An additional three aircraft will also have the same mission package capabilities, according to the company.

 

Alenia Aermacchi will partner with US-based ATK to develop the Praetorian mission and air-to-ground support systems while Selex, a Finmeccanica Company, will coordinate with Alenia Aermacchi for communication and data link solutions.

 

Jointly developed by Alenia Aermacchi and ATK, the MC-27J is an advanced defence system, which is based on the C-27J, a twin-engine turboprop tactical transport aircraft.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:40
Le ministère russe de la défense rend responsable le constructeur pour l’échec du lancement d’un missile Boulava

 

21 novembre 2013, Portail des Sous-Marins.

 

Le dernier échec du lancement d’un missile nucléaire russe Boulava a été provoqué par un problème de fabrication, a expliqué le ministère russe de la défense.

 

Le 6 septembre dernier, le lancement d’un missile Boulava pendant les essais officiels du sous-marin Alexander Nevsky s’est conclu par un échec à la 2è minute de vol. Une commission d’enquête conduite par le chef de la marine russe, l’amiral Viktor Chirkov, a enquêté sur cet échec.

 

« La commission a terminé ses investigations. Les causes de l’échec sont liées à des problèmes de fabrication de la tuyère du réacteur du missile, » a expliqué le vice-ministre de la défense, Yury Borisov.

 

Borisov a ajouté que la même défaillance avait été corrigée sur 3 autres missiles du même lot de fabrication, mais prétend que la fabrication du missile est « technologiquement saine ».

 

Référence : RIA Novosti (Russie)

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:35
Pas de décision sur la présence de soldats en Afghanistan après 2014

 

21 novembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

WASHINGTON - Les Etats-Unis ont affirmé jeudi qu'ils n'avaient pas encore pris de décision sur le maintien ou non de soldats en Afghanistan après 2014, malgré l'accord de sécurité conclu avec Kaboul.

 

Nous n'avons pas encore déterminé si des soldats continueraient à être présents en Afghanistan à l'issue de la mission de combat de l'Otan fin 2014, a indiqué le porte-parole adjoint de la Maison Blanche, Josh Earnest.

 

Cette décision reviendra au président Barack Obama, et c'est une décision que le président n'a pas encore prise, a affirmé M. Earnest lors du point de presse quotidien de l'exécutif américain.

 

Il a remarqué qu'en février prochain, il y aurait environ 34.000 soldats américains en Afghanistan, et le retrait en cours continuera à descendre sous 34.000. Donc, nous parlons pour après 2014 de quelques milliers de soldats environ éventuellement maintenus sur place.

 

Ces soldats, si décision est prise de les maintenir, auront une mission très précise de formation et de lutte contre l'insurrection, a rappelé M. Earnest.

 

Le secrétaire d'Etat John Kerry et le président afghan Hamid Karzaï se sont mis d'accord mercredi sur un texte régissant la présence de soldats américains à partir de 2015.

 

Mais jeudi, les Etats-Unis ont prévenu l'Afghanistan qu'ils souhaitaient signer cet accord d'ici à la fin de l'année.

 

Nous devons avancer le plus vite possible pour signer cet accord bilatéral de sécurité (BSA), a déclaré la porte-parole du département d'Etat Jennifer Psaki, répétant la nécessité de conclure d'ici à la fin de l'année 2013.

 

Le président Karzaï a de son coté déclaré jeudi que le traité, s'il est approuvé la Loya Jirga, grande assemblée traditionnelle, ne serait promulgué qu'après l'élection présidentielle du 5 avril.

 

Nous en sommes en train de chercher à y voir clair sur la signification et l'objectif de ces commentaires, a dit Mme Psaki à propos des déclarations du président afghan.

 

Pour nous, il n'est ni pratique, ni possible de retarder encore (la signature du BSA) en raison des incertitudes que cela provoquerait et parce qu'il serait impossible pour les Etats-Unis et leurs alliés de planifier leur présence après 2014, a expliqué la porte-parole de la diplomatie américaine.

 

Jusqu'à 15.000 soldats étrangers pourraient rester en Afghanistan après le retrait de la force de l'Otan fin 2014 si Kaboul signe un traité de sécurité avec Washington, avait annoncé auparavant le président Karzaï en estimant que cet accord pourrait ramener la stabilité dans le pays.

 

Quelque 75.000 soldats étrangers sont actuellement présents en Afghanistan dans le cadre la Force internationale de l'Otan (Isaf) dirigée par Washington, mais la grande majorité de ces troupes doit se retirer d'ici la fin 2014. Ce départ fait craindre une flambée de violences dans le pays, en partie contrôlé par les insurgés talibans.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:35
Les sous-marins nucléaires chinois ne sont pas aussi capables que la Chine le prétend


21.11.2013 Portail des Sous-Marins
 

Depuis quelques semaines, les sous-marins nucléaires font la une de la presse officielle chinoise, lorsqu’elle claironne la puissance militaire de la Chine ou qu’elle menace l’Occident. Et pourtant, malgré le bruit que la Chine fait autour de ses sous-marins nucléaires, ils ne sont pas tout ce qu’ils sont censés être.

 

Le Chef des Opérations Navales de l’US Navy, l’amiral Jonathan Greenert, a été interrogé sur un récent article qui prétendait que les sous-marins chinois étaient en mesure d’atteindre les Etats-Unis avec leurs missiles nucléaires. L’amiral Greenert a souligné que les sous-marins chinois avaient plusieurs graves défauts.

« Pour qu’un missile balistique lancé depuis un sous-marin soit efficace, il doit être précis, et le sous-marin qui le lance, doit être discret et survivable et je vais m’arrêter là, » a répondu l’amiral Greenert.

Discrétion

La déclaration de l’amiral Greenert est parfaitement fondée. Les sous-marins nucléaires de la Chine souffrent de plusieurs défauts techniques, de limites causées par la géographie et le déploiement de ses sous-marins les plus récents a connu plusieurs revers. Ceci vient en plus du fait que les Etats-Unis disposent de plusieurs systèmes complexes capables de surveiller des sous-marins bien plus modernes que ceux que la Chine peut construire.

Le principal sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) chinois actuellement en service est la classe Jin (Type 094). Trois d’entre eux sont actuellement opérationnels, et la Chine pourrait en construire 5 autres sur les 10 prochaines années, selon le rapport annuel du Pentagone : “Military and Security Developments Involving the People’s Republic of China”.

Bien qu’ils soient les sous-marins chinois les plus modernes, les sous-marins de la classe Jin sont plus bruyants que les sous-marins soviétiques d’il y a 30 ans, selon un rapport publié en aout 2009 par l’Office of Naval Intelligence de l’US Navy.

La lutte anti-sous-marine repose sur la capacité d’une marine à détecter et pister les sous-marins de l’adversaire. Le principal système que les Etats-Unis utilisent pour pister les sous-marins et le SOSUS (Sound Surveillance System), qui fait parti de l’Integrated Undersea Surveillance System (IUSS).

Le SOSUS est composé de réseaux de senseurs sous-marins, installés à des points de passage en mer. Il permet à la marine américaine de détecter des sous-marins et de les pister en s’appuyant sur leur signature acoustique. Il était utilisé pendant la Guerre Froide pour pister les SNLE soviétiques.

La discrétion est l’un des principaux avantages d’une force sous-marine, et contrôler le niveau de bruit est indispensable pour atteindre la discrétion. Réduire le niveau de bruit est l’une des raisons qui motivent le passage de la propulsion diesel à la propulsion nucléaire, et pourquoi les sous-marins récents utilisent des techniques modernes de réduction du bruit.

La majorité des sous-marins chinois sont toujours à propulsion diesel. La plupart des sous-marins ont été achetés à la Russie dans les années 90 et 2000. La Chine aurait 49 sous-marins classiques, à propulsion diesel-électrique, et 5 à propulsion nucléaire.

Portée

L’autre problème dont souffrent les sous-marins de la classe Jin, est la portée d’attaque — et elle est affectée à la fois par la technologie et la géographie.

Les sous-marins de la classe Jin seront à l’avenir équipés de missiles JL-2. Ces missiles ont une portée de 7.400 km, et ils devraient être opérationnels cette année.

Si un sous-marin chinois devait lancer ses missiles sur Seattle, il devrait pénétrer profondément dans les eaux japonaises, selon un article de la Federation of American Scientists.

L’article souligne que, « en raison du niveau de bruit apparent des SNLE chinois et des capacités étendues de détection des sous-marins par les Etats-Unis, il serait risqué pour un SNLE chinois de naviguer en temps de crise ou de guerre. »

L’autre option pour les SNLE chinois serait de lancer leurs missiles au-dessus de la Russie. L’article explique que « tous les missiles chinois lancés vers les Etats-Unis depuis leurs zones actuelles de déploiement, devraient survoler la Russie. »

Les SNLE chinois sont confinés dans une petite zone autour de la Chine, et la portée de leurs missiles nucléaires est limitée. Selon l’article, s’ils voulaient ne serait-ce qu’atteindre Hawaï, ils devraient entrer en mer du Japon ou des Philippines.

L’article reconnaît cependant que les SNLE chinois constituent une menace pour les territoires américains non-continentaux, comme l’Alaska ou Guam. Ils sont aussi une menace pour les bâtiments américains dans la région.

Pour maintenir les SNLE chinois hors de portée de la partie continentale des Etats-Unis, il faut les confiner dans les eaux chinoises.

 

Référence :The Epoch Times (Etats-Unis)

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:30
Boeing confirms launch deal for armed AH-6i

 

Nov. 20, 2013 by Craig Hoyle – FG

 

Dubai - Boeing has received the green light to start building AH-6i light attack helicopters for an undisclosed customer.

 

“Boeing has recently signed an FMS [Foreign Military Sales] agreement with the US Army that will lead to production of the AH-6i for a first international customer,” Leanne Caret, the company’s vice-president, vertical lift, revealed at the Dubai air show on 18 November.

 

Derived from the MD Helicopters AH-6 Little Bird platform, the i-model has been the subject of previous FMS requests from Jordan and Saudi Arabia. While Boeing declines to name its launch buyer, or to disclose how many aircraft will be supplied, Flightglobal’s Ascend Online Fleets database suggests that Riyadh will acquire 36 examples.

 

The aircraft will be produced at Boeing’s Mesa plant in Arizona, under the terms of an existing agreement with MD Helicopters.

 

Meanwhile, Caret says Boeing sees “a number of export opportunities” for its CH-47F Chinook, and cites the success of the type’s introduction by operators including the US Army, Canada and the UK. Potential additional buyers exist “in this region, and elsewhere around the world,” she adds.

 

The United Arab Emirates has now received seven F-model examples from a 16-unit order, says Ascend.

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 08:30
Armes chimiques syriennes: l'OIAC lance un appel au secteur privé

 

21 novembre 2013 Romandie.com (AFP)

 

LA HAYE - L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques a lancé un appel au secteur privé en vue de la destruction des deux tiers des armes chimiques syriennes, a-t-on appris jeudi auprès de l'organisation.

 

L'OIAC cherche à identifier les sociétés commerciales intéressées à une participation à un éventuel processus d'appel d'offres, a indiqué l'OIAC sur son site internet.

 

L'organisation évoque le traitement et la destruction de produits chimiques dangereux ou inoffensifs, organiques ou pas, de matériel de conditionnement et de conteneurs dans le cadre de la destruction des armes chimiques syriennes.

 

Le conseil exécutif de l'OIAC a adopté le 15 novembre à La Haye une feuille de route sur la destruction de l'arsenal chimique syrien d'ici à la mi-2014, hors de la Syrie.

 

Un plan détaillant les méthodes possibles de destruction de ces armes doit être approuvé avant le 17 décembre par le Conseil exécutif.

 

Mais, en dépit du consensus sur la destruction de l'arsenal chimique syrien hors du pays en guerre, aucun Etat n'a à ce jour accepté qu'elle s'effectue sur son sol.

 

L'OIAC a d'ailleurs indiqué mercredi que les armes chimiques pourraient être détruites en mer.

 

Le processus de destruction des armes chimiques par une société privée dépend lui aussi de l'accord d'un Etat pour accueillir ces armes sur son territoire.

 

L'OIAC a fourni dans son appel d'offres une liste des produits chimiques, des déchets résultants de la destruction des armes chimiques et du matériel qu'elle souhaite voir détruits par la société privée. Il ne s'agit que d'une partie de l'arsenal chimique syrien.

 

L'organisation basée à La Haye a répertorié quelque 800 tonnes de produits chimiques, 7,7 millions de litres de déchets et 4.000 conteneurs de capacités différentes.

 

Il s'agit de produits chimiques qui peuvent être détruits de manière sûre par le secteur industriel, parmi lesquels des composants chimiques parmi les plus toxiques et qui n'ont pas encore été mélangés, a déclaré à l'AFP Christian Chartier, porte-parole de l'OIAC.

 

Les sociétés seront choisies comme dans n'importe quel appel d'offres, sur des critères comme les délais proposés, les compétences, le prix offert, a-t-il précisé.

 

Certaines armes chimiques, comme le gaz moutarde, sont détruites par le processus d'hydrolyse, au terme duquel des déchets appelés effluents sont obtenus, qui doivent être détruits. D'autres armes chimiques comme le gaz sarin sont plus facilement détruits par incinération.

 

Si la destruction des armes doit être achevée pour la mi-2014, la destruction des déchets, ou effluents, doit être achevée pour le 30 décembre 2014.

 

La Syrie, qui coopère avec l'OIAC et qui a sur son sol une mission conjointe OIAC-ONU composée d'inspecteurs, a déclaré posséder 1.290 tonnes d'armes chimiques, précurseurs ou ingrédients.

 

Les sociétés ont jusqu'au 29 novembre pour renvoyer un document à l'OIAC exprimant leur intérêt et assurant que l'entreprise a les capacités de réaliser la tâche demandée. Une destruction par une société privée serait effectuée sous la supervision de l'ONU.

 

Le plan de destruction de l'arsenal chimique syrien résulte d'un accord russo-américain ayant permis d'éviter des frappes militaires américaines en Syrie, après des attaques chimiques mortelles en août que Washington attribue au régime du président Bachar al-Assad.

 

Dans le cadre du démantèlement de l'arsenal chimique syrien, les sites de production ont d'ores-et-déjà été rendus inopérants et les armes chimiques mises sous scellés.

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