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9 novembre 2013 6 09 /11 /novembre /2013 12:50
Coopération franco-britannique : Rencontre au sommet à Balard

 

08/11/2013 Actus Air

 

Le premier comité stratégique franco-britannique « Board to Board » s’est déroulé le 7 novembre sur la cité de l’air et base aérienne 117 de Balard, à Paris.

 

Cette réunion a été co-présidée par le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA) et son homologue de la Royal Air Force, l’AirChief Marshal Sir Andrew Pulford.

 

À cette occasion, le CEMAA et le CAS (Chief of Air Staff) ont signé la Combined Vision and Strategy for Royal Air Force and Armée de l’air Engagement (CVS). Ce document s’articule autour de quatre axes stratégiques :

    capacité opérationnelle

    développement futur

    influence collective

    développement d’une culture commune.

 

La CVS s’inscrit dans la dynamique du traité de Lancaster House. Elle témoigne d’une volonté de converger vers une plus grande visibilité de cette coopération bilatérale.

Signature de la Combined Vision and Strategy for Royal Air Force and Armée de l’air Engagement

 

Fort des axes stratégiques développés, l’objectif du niveau partagé d’ambition (Combined Level of Ambition – CLOA) est l’identification de l’état final recherché en 2020 dans les cinq capacités socles de l’armée de l’air :

    C2 (commandement et conduite)

    ISR (Intelligence, Surveillance and Reconnaissance – Renseignement, surveillance et reconnaissance)

    projection stratégique

    force de combat et d'appui

    éducation et entrainement.

 

La rencontre entre le CEMAA et le CAS démontre l’intérêt qu’ils portent à entretenir les liens forts d’amitiés qui unissent les aviateurs des deux nations.

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Coopération franco-britannique : Rencontre au sommet à Balard
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9 novembre 2013 6 09 /11 /novembre /2013 12:25
FAA : rencontre bipartite au Mexique pour le COMSUP

 

08/11/2013 Sources : EMA

 

Les 16 et 17 octobre 2013, le contre-amiral Georges Bosselut, commandant supérieur des forces armées aux Antilles, s’est rendu au secrétariat d’Etat de la marine mexicaine à Mexico où il a participé à un groupe de travail opérationnel maritime franco-mexicain.

 

Le contre-amiral (CA) Bosselut, représentant de l’amiral Edouard Guillaud, chef d’état-major des Armées (CEMA), s’est entretenu avec l’amiral Zétina, le chef d’état-major général de la marine mexicaine, le vice-amiral d’escadre Alcala Pignol, commandant la 5ème région navale à Isla Mujeres sur la côte Caraïbes et le contre-amiral Froylan, chef de la logistique opérationnelle.

 

Plusieurs thèmes ont été abordés tels que la coopération dans le domaine des opérations maritimes, la lutte contre le narcotrafic, le sauvetage en mer et la lutte contre la pollution maritime pour lesquels la coopération internationale est un facteur clé d’efficacité opérationnelle.

 

Offrant une illustration concrète de la coopération entre les forces armées aux Antilles et les forces armées mexicaines, la frégate de surveillance Ventôse et la frégate mexicaine Ignacio Allende avaient réalisé quelques jours plus tôt des entraînements communs d’interception de navire en haute mer.

 

Dans le cadre de leurs missions, les FAA mènent des actions de coopération régionale et entretiennent des relations privilégiées avec l’ensemble des nations présentent dans la zone maritime Antilles, dont le CA Bosselut assure le commandement.

 

Les FAA constituent, avec les forces armées en Guyane (FAG), les forces de souveraineté françaises sur le « théâtre » Antilles-Guyane. Dans une logique de complémentarité et de mutualisation, les FAA mettent ainsi en œuvre un dispositif interarmées à dominante maritime, tandis que les FAG constituent un dispositif interarmées à dominante aéroterrestre.

FAA : rencontre bipartite au Mexique pour le COMSUP
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9 novembre 2013 6 09 /11 /novembre /2013 11:45
Serval : point de situation du 8 novembre 2013

 

08/11/2013 19:41 Sources : EMA

 

Point sur les opérations de la force Serval depuis le jeudi 31 octobre 18h00, jusqu’au jeudi 7 novembre, 18h00

 

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec près de 90 sorties, dont une quarantaine effectuées par les avions de chasse. Une trentaine de sorties ont été dédiées aux missions de transport et une vingtaine aux missions de ravitaillement et de renseignement.

 

Au sol, la force Serval poursuit les opérations autour de la boucle du Niger, et dans le Nord du pays, en coordination avec les unités de la MINUSMA et des FAMa.

 

Le 2 novembre, après avoir été informés de l’enlèvement de deux journalistes français, les éléments (DLA) de la force Serval présents à Kidal ont immédiatement déployé un dispositif de surveillance et de reconnaissance pour tenter de retrouver nos ressortissants :

 

Un dispositif de surveillance a été mis en place aux sorties nord-est et nord-ouest de la ville de Kidal. Une patrouille en véhicules, composée d’une trentaine de soldats français, a également été engagée en reconnaissance sur une piste située au nord-est de la ville, direction probable de fuite du véhicule indiquée par les témoins de l’enlèvement.

 

Par ailleurs, une patrouille de deux hélicoptères, un Tigre et un Puma, a décollé de Tessalit, près de 200 km au nord de Kidal, pour tenter de retrouver le véhicule.

 

Arrivée à une dizaine de kilomètres à l’est de Kidal, la patrouille routière a découvert un pick-up à l’arrêt qui semblait répondre aux descriptions des témoins. A proximité de ce véhicule, les soldats français ont découvert deux corps sans vie.

 

Un peu moins d’une heure après cette découverte, les hélicoptères, qui étaient engagés dans une mission de reconnaissance ont rejoint la position des éléments à terre. Informés de la découverte des corps, ils ont, après ravitaillement, regagné leur position à Tessalit.

 

Les éléments de la patrouille à terre, après avoir mis en place un dispositif de sécurité, ont procédé aux vérifications habituelles de non piégeage de la zone, à sa sécurisation, ainsi qu’à celle de ses abords immédiats. Ils ont pu alors accueillir les éléments de la gendarmerie prévôtale, puis contribuer au rapatriement des dépouilles et à l’évacuation du "pick-up".

 

Des opérations combinées prolongent les actions de renseignement. Par ailleurs, près de 150 militaires en provenance de Gao sont arrivés à Kidal pour renforcer localement le dispositif de la force Serval qui agit en appui des FAMa responsables de la sécurité de la ville. Ce type de renforcements ponctuels illustre la capacité d’action de la force Serval à partir de ses éléments basés à Gao qui peut ainsi engager des éléments sur différents points en fonction des besoins.

 

Les 3 et 4 novembre, une cérémonie de levée de corps des deux journalistes assassinés à Kidal, s’est déroulée sur le tarmac de l’aéroport de Bamako.

 

Engageant près de 1500 militaires des FAMa, de la MINUSMA et de Serval, l’opération Hydre, lancée le 20 octobre de part et d’autre de la boucle du Niger, s’est achevée le 2 novembre. Cette opération, de grande envergure, conduite en coopération avec les FAMa et la MINUSMA, avait pour objectif d’éviter la résurgence d’éventuels mouvements terroristes.

 

Pour une meilleure coordination de l’ensemble des moyens déployés dans cette opération, une base opérationnelle avancée temporaire (BOAT) a été implantée à 300 Km au Nord-Ouest de GAO, intégrant toutes les composantes terrestres Serval de l’opération : le GTIA Korrigan et le GAM.

 

Plusieurs dizaines de puits et près d’une cinquantaine de points ont été fouillés par les éléments de la force Serval, concentrés sur des actions de contrôle de zone. De l’autre côté de la rive, le GTIA Elou et son détachement d’assistance opérationnelle ont progressé sur l’axe GAO-GOSSI, puis en direction du nord vers le fleuve. Les FAMa avaient pour missions de reconnaitre ces axes, contrôler la zone notamment grâce aux fouilles, d’aller à la rencontre de la population pour évaluer la situation dans la zone et avoir des renseignements sur d’éventuels mouvements terroristes. Les trois bataillons de la MINUSMA se sont quant à eux orientés sur des actions de sécurisation d’axes.

 

L’opération Hydre ne s’est traduite par aucun affrontement direct, les terroristes évitant systématiquement le contact et fuyant à l’approche des forces.

 

Un important site logistique des groupes terroristes a néanmoins été mis à jour au Nord-Est de Tombouctou, avec une organisation minutieuse ne laissant aucun doute sur sa fonction.

 

Cette opération a enfin démontré la capacité des forces armées maliennes et des forces de la MINUSMA à durer sur le terrain, dans des actions complémentaires, en agissant avec le soutien de la population.

 

Moins de 3000 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

Serval : point de situation du 8 novembre 2013Serval : point de situation du 8 novembre 2013
Serval : point de situation du 8 novembre 2013
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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 17:50
BAE Type 26 Frigate Program

BAE Type 26 Frigate Program

 

06/11/2013, Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le groupe britannique de la défense va supprimer 1.775 emplois dans ses chantiers navals en Grande-Bretagne d'ici à 2016. Le site de Portsmouth fermera au deuxième semestre 2014.

 

Le géant britannique de la défense BAE Systems a annoncé mercredi qu'il comptait supprimer 1.775 emplois dans ses chantiers navals en Grande-Bretagne d'ici à 2016 après être parvenu à un accord avec le ministère de la Défense. "BAE Systems est parvenu à un accord de principe avec le gouvernement sur des mesures permettant la mise en oeuvre d'une restructuration de son activité de construction navale au Royaume-Uni", a indiqué le groupe dans un communiqué.

 

Dans le détail, 940 postes devraient être supprimés sur le site de Portsmouth (sud de l'Angleterre), où l'activité cessera au deuxième semestre 2014, et 835 autres répartis sur les sites de Filton (ouest de l'Angleterre), de Glasgow (Ecosse) et de Rosyth (Ecosse). Le groupe va entamer des discussions avec les organisations syndicales. Le coût de cette restructuration sera supporté par le ministère de la Défense, a assuré BAE Systems, qui emploie au total 88.200 personnes dans le monde.

 

Baisse des commandes

 

Cette restructuration intervient alors que ces chantiers navals vont être confrontés dans les années à venir à la baisse de leurs commandes liées à la construction de deux porte-avions pour la Royal Navy, qui doivent entrer en service à l'horizon 2020.

 

BAE Systems entend donc regrouper ses activités de construction navale à Glasgow. Le site écossais se verra attribuer la construction du futur navire militaire Type 26 ainsi que la construction des prochains lots (Lower Block 05 et Upper Blocks 07 et 14) du porte-avions Queen Elizabeth, dont les termes du contrat ont été modifiés. En attendant le Type 26, l'armée confiera à BAE la construction de trois navires de patrouille afin de pallier en partie la baisse du carnet de commandes.

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 17:50
CSDP between internal constraints and external challenges

Report No17 - 06 November 2013 - edited by Eva Gross, Anand Menon

 

Improving Europe’s military and civilian capabilities in a shifting security environment represents a major challenge for the EU and its member states. For one thing, European countries are having to contend with a climate of economic austerity that makes arguments in favour of investment in defence less convincing than they may (or may not) have been in more affluent times; second, broader geopolitical and strategic trends point towards Europeans assuming greater responsibility for their own security and the protection of European interests abroad; finally, the changing nature of conflict and projections concerning the coming decades call for a recalibration of the EU’s approach and appropriate instruments for its engagement in conflicts in its neighbourhood and beyond.

 

This report is the outcome of a conference held together with King's College London in September 2013 entitled 'CSDP between internal constraints and external challenges: the road ahead'.

 

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 17:45
A Rippel Effect grenade launcher and grenades - photo Guy Martin

A Rippel Effect grenade launcher and grenades - photo Guy Martin

 

08 November 2013 by Guy Martin - defenceWeb

 

Germany company Diehl Defence has signed an agreement with Rippel Effect to jointly market the South African company’s 40 mm grenade launchers.

 

Diehl and Rippel Effect Systems (RES) will qualify Diehl’s 40 mm medium-velocity ammunition for Rippel Effect’s XRGL40 and UBL40 grenade launchers, according to IHS Jane’s Defence Industry. This was confirmed by Rippel Effect, but no further details were forthcoming.

 

RES manufactures 40 mm multi-shot grenade launchers, certified to fire both low and medium velocity rounds. Its XRGL40 extended grenade launcher also fires less-than-lethal riot/crowd control ammunition, including rubber, ball, soft-nose, illuminating and smoke grenades.

 

The company also offers its UBL40 under-barrel grenade launcher for assault rifles and its GR40 electronically programmable sighting system, able to distinguish between the use of low- and medium velocity ammunition.

 

Rippel Effect says it has exported thousands of 40 mm grenade launchers to more than 30 countries around the world.

 

Diehl is involved in South Africa through the supply of IRIS-T air-to-air missiles for the South African Air Force’s 26 Gripen fighter jets. The first missiles were delivered in 2009. Diehl has also test-fired its missiles (including the IRIS-T Surface Launch) at Denel’s Overberg Test Range in the southern Cape.

 

According to Jane’s, Diehl has previously partnered with Denel over artillery ammunition.

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 17:45
République centrafricaine : défis humanitaires, politiques et sécuritaires

Briefs - No37 - 25 October 2013 par Cristina Barrios

 

 

« La République Centrafricaine (RCA) est en ­risque de somalisation », ont remarqué la Commissaire européenne chargée de la Coopération internationale, de l’aide humanitaire et de la réaction aux crises, Kristalina Georgieva, et le président français, François Hollande lors de réunions à l’ONU en septembre dernier.

 

En effet, ce qui restait de l’autorité du président François Bozizé, des Forces armées centrafricaines (FACA), et des services publics minimaux s’est effondré suite au coup d’Etat de mars 2013, lorsque la rébellion Séléka (une coalition amorphe composée de quatre factions principales regroupant environ 20 000 hommes armés, dont beaucoup sont originaires du Tchad et du Soudan) a porté Michel Djotodia au pouvoir et a laissé le pays à la merci des bandits et des groupes armés.

 

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 08:55
Participez aux commémorations du 11 novembre

 

07.11.2013 Général de corps d'armée (2s) Dominique DELORT, Président de la Saint-Cyrienne

 

 

Chers camarades,

 

Le prochain 11 novembre sera le deuxième anniversaire de l’évolution de la commémoration de la Victoire et de la Paix qui associe maintenant tous les Morts pour la France dans le même hommage national. Je me permets de vous rappeler que cette loi de février 2012 a été votée à une très large majorité par tous les partis excepté le parti communiste.

 

Cette année encore notre armée a perdu des hommes en opérations notamment au Mali. C’est une raison supplémentaire de manifester notre respect à ceux qui ont accompli leur devoir jusqu’au sacrifice.

 

En cette période où nos armées font face à de trop fortes réductions, je souhaiterais que les Saint-Cyriens montrent l’exemple en assistant, nombreux, éventuellement avec leur famille, aux multiples cérémonies officielles ou non qui seront organisées en métropole et outre-mer.

 

Afin de donner de la consistance à notre présence devant des monuments aux morts des grandes villes, bourgades ou villages je propose à ceux qui le peuvent de nous adresser une photo, si possible légendée, prise à cette occasion. Elle peut représenter un groupe ou même simplement le monument aux morts de votre commune. Ces photos seront placées dans la photothèque de notre site. Elles formeront le préambule de l’année du Centenaire vu par des Saint-Cyriens ou l’expression du fidèle respect à cette génération de Français.
 
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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 08:55
Montée en puissance du bataillon de réserve Île-de-France. Photo SIRPA Terre

Montée en puissance du bataillon de réserve Île-de-France. Photo SIRPA Terre

 

07/11/2013 Défense

 

Du 22 octobre au 1er novembre 2013, le bataillon de réserve Île-de-France – 24e régiment d’infanterie (BRIDF – 24e RI) a effectué son troisième stage de formation militaire initiale du réserviste (FMIR), depuis sa création en juillet 2012.

 

Pour « servir le pays », « trouver un équilibre de vie », « assouvir un sentiment patriotique », « se préparer à entrer dans l’active » ou encore « échapper au quotidien métro-boulot-dodo », chacune des recrues s’est engagée « avec la passion qui les anime », assure le lieutenant-colonel Orlik, premier chef de corps du bataillon.

 

Durant 13 jours, 48 jeunes réservistes ont donc effectué leur FMIR au camp de Frileuse, à Beynes (Yvelines), où les compétences indispensables à un militaire en mission leur ont été enseignées. Au programme : missions communes de l’armée de Terre (MiCAT), techniques d’intervention opérationnelles rapprochées (TIOR), module prévention et secours civiques de niveau 1 (PSC 1), instruction sur le tir de combat (IST-C), etc.

 

À la suite du rallye d’évaluation, le stage s’est achevé, le 3 novembre dernier, par la cérémonie de création officielle de la 1re compagnie et la remise de son fanion au commandant d’unité.

 

Un bataillon composé de réservistes

 

Le BRIDF – 24e RI, aux ordres du gouverneur militaire de Paris (GMP), offre une réserve opérationnelle d’hommes et de femmes capables d’être mobilisés et déployés, sur court préavis, pour répondre à des missions de sécurisation, de soutien logistique ou d’appui en zone ÎDF.

 

Ce bataillon, le premier à être composé uniquement de réservistes, participe ainsi à une meilleure réactivité de la réserve.

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 08:54
Campagne Bleuet de France

Campagne Bleuet de France Crédit  SIRPA Terre

 

07/11/2013 Communauté Défense

 

Du 2 au 11 novembre 2013, l’œuvre nationale du Bleuet de France effectue sa campagne d’appel au don. Pour agir au profit des anciens combattants et transmettre la mémoire aux jeunes générations.

 

Avec plus de 1 034 000 € récoltés en 2012, 10 069 ressortissants de l’office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONACVG) ont bénéficié de la générosité des donneurs et 566 manifestations de mémoire, expositions et rencontres intergénérationnelles ont été financées dans toute la France. Il est aujourd’hui possible d’agir au quotidien pour venir en aide aux personnes qui se sont engagées pour la liberté de la nation, tout en préparant un avenir plus solidaire pour tous. « Donner au Bleuet de France, c’est aider ceux qui restent. »

 

Bleuet de France : symbole de solidarité

 

Les premiers bleuets, confectionnés par les blessés de guerre au cours de la première guerre mondiale, sous l’impulsion de Charlotte Malleterre-Niox, fille du général Niox, étaient destinés à leur faire oublier leurs souffrances et à leur procurer des ressources. Symbole de la solidarité pour l’ensemble du monde militaire, le Bleuet de France est une œuvre caritative agissant concrètement pour les anciens combattants et la transmission de la mémoire aux jeunes générations.

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 08:50
Contre-attaque des maîtres espions anglais

 

07/11/2013 Par Florentin Collomp – LeFigaro.fr

 

Les patrons du MI5, du MI6 et du GCHQ, interrogés pour la première fois en public par une commission parlementaire, jugent « très dommageables » les révélations de l'ex-agent américain Edward Snowden et justifient leurs méthodes.

 

Depuis les révélations d'Edward Snowden sur l'espionnage à grande échelle par les services secrets américains et britanniques, al-Qaida est «enchantée» et «nos adversaires se frottent les mains de joie», affirme le patron du MI6, John Sawers.

 

Son homologue du service de renseignement électronique GCHQ (Government Communications Headquarters) dit même avoir entendu des terroristes, au Moyen-Orient et en Afghanistan, discuter de ces fuites et de nouvelles méthodes pour échapper à la surveillance occidentale. «La couverture médiatique de ces fuites a rendu notre travail beaucoup plus difficile», s'alarme son directeur, Iain Lobban.

 

L'audition jeudi après-midi des trois chefs du renseignement britannique par une commission parlementaire était historique par nature. Elle était retransmise à la télévision avec un décalage de deux minutes, au cas où une information confidentielle leur aurait échappé. Précaution inutile, tant les maîtres espions avaient rodé leurs arguments. Au lieu d'un interrogatoire en règle sur la surveillance généralisée des citoyens, la séance d'une heure et demie s'est transformée en plate-forme leur permettant de contre-attaquer pour défendre le bien-fondé de leur action. Aidés, il est vrai, par les questions complaisantes des membres de la commission du renseignement, dont la légitimité est elle-même contestée puisqu'ils ont été nommés par le premier ministre.

 

Andrew Parker, patron du MI5, l'a martelé à plusieurs reprises: «Nous travaillons dans le cadre de la loi.» Les trois directeurs ont souligné combien leur convenait le cadre légal actuel, pourtant jugé obsolète car datant, pour l'essentiel, du XXe siècle. «C'est aux politiciens d'en décider. Si le Parlement veut changer la loi, très bien», affirme Iain Lobban, tout en admettant être «inquiet» de la réflexion entamée en la matière par les États-Unis. «Si on diminue notre capacité d'utiliser les technologies, on va réduire notre avantage», plaide John Sawers, du MI6.

 

Le patron du très secret GCHQ tente de justifier la généralisation des interceptions électroniques à l'aide d'une métaphore: «Quand on cherche une aiguille dans une botte de foin, on doit ramasser énormément de foin, mais on met de côté tout le foin qui n'est pas néces­saire», promet Lobban. Autrement dit, «si vous êtes un terroriste ou un délinquant, il y a des chances que vos conversations soient écoutées, mais si vous ne l'êtes pas ou n'êtes pas en contact avec eux, vous n'êtes pas écoutés».

 

Les patrons du renseignement balayent les critiques sur leurs échecs à anticiper les attentats ou le printemps arabe. Selon le directeur du MI5, depuis les attentats de 2005, 34 complots terroristes au Royaume-Uni, «dont un ou deux majeurs chaque année» ont été déjoués. Pour le MI5 et le MI6, la menace ne cesse d'augmenter et de se diversifier. Leurs chefs soulignent notamment leur inquiétude face aux «centaines» de Britanniques qui combattent en ce moment en Syrie.

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 08:45
Mali : ce qu'a tenté l'armée française après l'enlèvement des envoyés spéciaux de RFI

 

08.11.2013 Par Nathalie Guibert  - Le Monde.fr


Plusieurs moyens de la force française Serval au Mali, engagés dans des opérations en cours, ont été dépêchés, en vain, vers Kidal, pour tenter de secourir Ghislaine Dupont et Claude Verlon, les deux envoyés spéciaux de Radio France internationale (RFI) assassinés le 2 novembre, a précisé l'état-major de l'armée française, jeudi 7 novembre.

 

Outre les deux hélicoptères de Tessalit, à qui le quartier général de Gao a donné l'ordre d'annuler une mission prévue pour décoller en urgence, deux Rafale ont été déroutés d'une opération dans l'extrême nord du Mali pour tenter d'intercepter les ravisseurs. Hélicoptères et avions arrivèrent tous sur la zone sans avoir pu intervenir.

 

C'est un convoi parti par la piste vers l'est, en direction de Tin-Essako, qui a découvert le véhicule des ravisseurs à 14 h 30, soit une heure après l'alerte donnée par un habitant de Kidal à la force Serval.

 

RAFALE, HÉLICOPTÈRES ET PATROUILLE AU SOL

 

Les Rafale sont arrivés sur ce point, à 12 km de la ville, en même temps que cette patrouille au sol, a expliqué le colonel Gilles Jaron, porte-parole de l'état major de l'armée française. Selon lui, "en fouillant les approches", pour s'assurer que la zone n'était pas piégée, les militaires de la patrouille au sol découvrirent les corps sans vie des deux envoyés spéciaux "aux alentours de 14 h 50".

 

Les hélicoptères sont arrivés eux quarante minutes plus tard, compte tenu des distances, près de 250 km, entre Tessalit et Kidal, où aucun appareil n'est stationné en permanence.

 

"Une force capable de réorienter un avion de chasse configuré pour une mission donnée, ainsi que d'autres moyens, en cinquante minutes est une force très entraînée", a justifié l’état-major en réponse à des questions de la presse sur la réactivité de Serval.

 

Lire notre décryptage : Mali : questions au sujet d’un double assassinat

 

ÉVITEMENT ET ARMEMENT

 

Aucune précision n'a été fournie sur la façon dont les ravisseurs ont pu ou non être pistés par la suite ; leur véhicule abandonné, ils ont pu être emmenés par un autre pick-up. "Des actions combinées de renseignement se poursuivent", a simplement ajouté le colonel Jaron.

 

Douze hélicoptères de Serval sur seize – pour ce qui concerne les forces conventionnelles – étaient mobilisés ces jours derniers pour l'opération Hydre. Cette vaste opération de contrôle de zone a été menée du 20 octobre au 3 novembre avec 1 500 soldats français, maliens et onusiens.

 

Lire : Tuer l'hydre djihadiste au Mali

 

Elle n'a, officiellement, pas permis d'arrêter ou de neutraliser de chefs djihadistes. Dans la région de Gao, ces derniers n'ont pas cessé de s'armer, selon les sources militaires françaises, mais ils poursuivent leur stratégie d'évitement : "Nous avons eu confirmation de leur mode d'action. A l'approche des forces, l'adversaire tente d'échapper au combat. Et nous n'avons pas retrouvé d'armement significatif", a encore précisé le colonel Jaron.

 

UNE IMPORTANTE PLATEFORME LOGISTIQUE NEUTRALISÉE

 

Des sources sur le terrain avaient cependant révélé au Monde que des caches d'armes "résiduelles" avaient été découvertes. L'état-major a annoncé jeudi qu'une plateforme logistique importante a été neutralisée près de Tombouctou.

 

Organisée de façon militaire, "comme l'aurait fait l'armée française", elle comportait en plusieurs lieux du ravitaillement, des véhicules, et des moyens de soutien aux combattants.

 

Entre juin et octobre, soit les cent vingt premiers jours de Serval II, les Français ont été en opération pendant quatre-vingt-dix jours au total. Trente tonnes d'armement et une tonne et demie de matières explosives ont été découvertes, ainsi que des ateliers de fabrication de bombes artisanales.

 

Deux accrochages seulement se sont produits. Le premier le 14 septembre à Bourem, où Serval a fait trois prisonniers, l'un étant mort de ses blessures. Le second à Tombouctou le 1er octobre, au cours duquel les forces spéciales ont tué 10 djihadistes.

 

Lire aussi : Kidal, "ville de tous les dangers" pour les journalistes

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 08:30
L'Egypte compte acheter des armes russes pour 4 mds USD (médias)

 

LE CAIRE, 7 novembre - RIA Novosti

 

L'Egypte pourrait prochainement acheter des armes russes modernes pour 4 milliards de dollars, rapporte jeudi l'édition palestinienne Dounia Al-Watan se référant à des sources informées.

 

Selon l'édition, un pays du Golfe serait déjà prêt à financer l'acquisition d'armements par l'Egypte. Des sources de Dounia Al-Watan affirment que Moscou a proposé au Caire de "signer un contrat historique en permettant pour la première fois à l'Egypte de choisir des armes modernes sans aucune restriction".

 

Les informations sur l'éventuel achat d'armes russes par l'Egypte surgissent à la veille des visites officielles d'une importante délégation russe conduite par le ministre de la Défense Sergueï Choïgou en Egypte et en Serbie du 12 au 15 novembre prochains, a annoncé jeudi à RIA Novosti un responsable du ministère russe de la Défense.

 

La délégation russe comprendra notamment le premier directeur adjoint du Service fédéral russe pour la coopération militaire et technique (FSVTS) Andreï Boïtsov et des représentants de l'Agence russe d'exportation d'armements (Rosoboronexport).

 

L'Union soviétique a été le principal fournisseur d'armes en Egypte pendant les années 1950-1970. Les livraisons d'armes soviétiques ont cessé après que le président égyptien Anouar el-Sadate a opté pour la coopération avec les Etats-Unis.

 

Selon Dounia Al-Watan, le secrétaire d'Etat américain John Kerry aurait essayé, lors de sa récente visite au Caire, de dissuader le ministre égyptien de la Défense Abdel Fattah al-Sisi d'acheter des armes à la Russie en promettant de resserrer les liens américano-égyptiens bousculés par la destitution par l'armée du président égyptien Mohamed Morsi. D'après le journal palestinien, le ministre égyptien aurait rejeté les propositions de M.Kerry.

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 00:43
AH-64D de la force aérienne hollandaise engagé dans l’exercice CJPRSC à Cazaux, le mois dernier. (photo F. Lert)

AH-64D de la force aérienne hollandaise engagé dans l’exercice CJPRSC à Cazaux, le mois dernier. (photo F. Lert)

 

8 novembre, 2013 FOB

 

La Hollande s’apprête à renforcer la Minusma  au Mali, avec un contingent de 380 hommes. Plus important encore, Amsterdam va déployer au Mali quatre hélicoptères AH-64D Apache du 301 Squ. de la force aérienne hollandaise. De quoi apporter un sérieux punch aux troupes déployées dans le pays, à condition toutefois que les règles d’engagement permettent d’utiliser de façon efficace ces appareils.

 

La Hollande dispose depuis le début des années 2000 de 29 appareils (30 achetés moins un détruit en 2004 en Afghanistan) au standard block II le plus récent. Huit de ces appareils sont basés en permanence aux Etats Unis à Fort Hood, où ils servent à la formation des équipages hollandais, en lien étroit avec l’US Army.  Ces hélicoptères sont équipés de missiles Hellfire, de roquettes Hydra de 70mm et de leur canon de 30mm. Les Hollandais étudient actuellement l’intégration de roquettes guidées sur leurs appareils. Dommage pourtant que ces Apache ne soient pas équipés du radar Longbow comme le sont leurs homologues de l’US Army. Un radar qui aurait pu se révéler très utile pour la surveillance des vastes espaces du nord Mali, mais dont l’achat fut repoussé lors de l’achat de l’hélicoptère pour des raisons économiques.

 

Depuis leur mise en service, les Apache hollandais ont été engagés dans plusieurs opex : en 1998-1999 en Bosnie Herzégovine avec la SFOR. Puis en 2001, à Djibouti pour appuyer les militaires hollandais engagés dans les opérations de paix en Ethiopie et en Erythrée. Ils ont ensuite été envoyés en Irak pour y soutenir la SFIR (Stabilization Force in Iraq). De 2004 à 2010, les hélicoptères ont ensuite été longuement engagés en Afghanistan. Six appareils ont été basés dans un premier temps sur l’aéroport de Kaboul. Après la destruction d’un appareil sur accident, les cinq appareils restant ont ensuite été déplacés vers Kandahar puis  « Kamp Holland » dans la région de Tarin Kowt, dans le sud du pays. Ils y ont été utilisés pour appuyer les troupes de la coalition au sol, escorter les convois routiers et les autres hélicoptères. Les appareils sont finalement rentrés en Hollande à la mi novembre 2010, après avoir accumulé 7000 heures de vol en Afghanistan.

 

Dans le cadre de l’exercice CJPRSC qui se tenait à Cazaux en septembre dernier, le 301 Squadron de la force aérienne hollandaise a déjà pu travailler avec les hélicoptères de l’armée de l’air française sur des scénarios complexes de récupération de personnel et de sauvetage au combat. Le déploiement au Mali sera sans doute l’occasion de peaufiner la coopération avec l’Alat, dont trois Tigre restent à ce jour actifs au Mali. Il est prévu à ce stade que les troupes hollandaises restent dans le pays au moins jusqu’en 2015, et peut-être même au-delà.

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 20:45
Côte d’Ivoire : Licorne soutient le désengagement de Serval

 

07/11/2013 Sources : EMA

 

Du 31 octobre au 2 novembre 2013, la force Licorne a appuyé la manœuvre logistique de l’opération Serval en assurant le stockage puis l’embarquement de matériel désengagé à destination de la France. Elle a également réceptionné du matériel destiné à être engagé au Mali.

 

Sous la conduite du pôle soutien de la force Licorne, plus d’une centaine de véhicules et remorques et près de 90 containers ont été chargés à bord du navire affrété « Calao », après avoir été acheminés en convoi sur les 1200 km séparant Bamako et Abidjan.

 

Pour assurer cette opération, le Centre de coordination interarmées des transports, transits et mouvements (CCITTM) de Licorne a été renforcé par un peloton du 519eGroupe de Transit maritime (GTM), par deux patrouilles de circulation et par le détachement de liaison Serval.

 

Des éléments du 2erégiment de Dragons ont au préalable procédé à la désinfection des véhicules et containers quittant le territoire par voie maritime. Acheminés vers le port autonome d’Abidjan par le peloton de circulation sous escorte des prévôts de la force Licorne, les véhicules et containers ont été placés sur les parkings à proximité du navire, dans l’ordre de chargement puis ont été embarqués à bord du navire.

 

Préalablement avaient été débarqués une trentaine de véhicules provenant de France (AMX10RCR, VAB, ESRC, etc.) et destinés à être engagés au Mali. Parmi eux figuraient 6 porteurs polyvalents logistiques avec dispositif de protection (PPLOG DP) déployés pour la première fois sur un théâtre d’opération. Ils ont quitté la Côte d’Ivoire en direction de Bamako le 2 novembre dernier.

 

Dès les premières heures du déploiement au Mali, la force Licorne a apporté une contribution opérationnelle et logistique conséquente au profit de Serval. Aujourd’hui, tout en assurant les missions qui lui sont normalement dévolues, elle poursuit ce soutien en mettant à disposition de l’opération Serval une base opérationnelle avancée qui permet de faciliter l’acheminement et le désengagement des hommes et du matériel depuis Bamako.

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 19:50
European Defence Matters: Issue 4 Out Now

 

Brussels | Nov 05, 2013 European Defence Agency

 

In this fourth issue of European Defence Matters, the magazine of the European Defence Agency, readers will get an insight into preparations ahead of the European Summit in December when Heads of States and Government will discuss defence and security topics. The feature includes an overview of the final report on CSDP by High Representative and Head of the Agency, Catherine Ashton as well as of the European Commission Communication on Defence Industry. A third article details the importance of critical technology investment as well as defence research and technology.

 

Key interviews of this issue include Anders Fogh Rasmussen, Secretary General of NATO, Claude-France Arnould, EDA Chief Executive, General Gerard Van Caelenberge, Belgian Chief of Defence and General Bruno Guibert, commander of EUTM Mali. 

 

In the section on programmes and industry, more information is provided on the recent EDA electronic procurement initiatives eQuip, a government-to-government electronic market place for surplus defence equipment and the EDA Procurement Gateway, the one-stop shop to defence procurement information and opportunities. Readers will also get an update on the Agency’s work in the areas of cyber security, armament cooperation training, Remotely Piloted Aircraft Systems and military airworthiness harmonisation.  

 

More information:

  • European Defence Matters, issue 4, is available for download here.

  • For monthly updates, please register to our e-news here.

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 19:50
Pour une Europe de la défense

 

7 Novembre 2013 Par Romano Prodi, Philippe Esper

 

Depuis plus de dix ans, les animateurs (intellectuels, économistes, diplomates et militaires) du Cercle européen de la défense plaident pour que la question majeure de la défense et la sécurité de notre Vieux Continent cesse d'être traitée au sein de comités, certes éclairés, mais souvent ésotériques. Ils demandent qu'elle soit l'objet exclusif d'un sommet de l'Union européenne. Les pays membres de l'Union ont prévu qu'elle sera l'objet principal de leur sommet de fin d'année. Mais elle risque, hélas, d'en être un chapitre accessoire.

 

Et pourtant dans un climat international de crises, tensions et terrorismes, et dans un monde où l'Europe risque de se réduire comme peau de chagrin, quelle ambition plus saine, plus claire et plus urgente que celle d'une Eurodéfense, relance de l'Europe de la défense autour de quelques pays qui le veulent et qui le peuvent.

 

Cinq propositions sous-tendraient une telle ambition :

 

1. Engager une réflexion sur la stratégie de sécurité commune européenne, à l'instar du nouveau concept stratégique de l'OTAN renouvelé en 2010.

 

Que doit faire l'Europe pour les opérations militaires? Se donner les moyens d'une autonomie de décision ou accepter une dépendance de l'OTAN et des USA? Se limiter aux opérations humanitaires ou civilo-militaires? La première et fondamentale question à laquelle les chefs de gouvernement doivent répondre est celle des responsabilités que les pays européens veulent assumer en matière de défense.

 

2. Décider la mise en place (progressive) d'un Quartier général européen unique et permanent.

 

Ayant vocation à remplacer les cinq QG nationaux (France, Angleterre, Allemagne, Italie et Grèce), étant réduit dans son périmètre permanent et apte à être renforcé en cas d'engagement européen, un tel Centre de planification et de conduite des opérations devrait être une proposition ferme de sommet, quoi qu'il en soit des réticences de certains de nos partenaires européens.

 

3. Développer l'idée que, faute d'une solide industrie européenne de l'aéronautique, de l'espace et de la défense, il n'y aura plus à terme de défense européenne.

 

Cette proposition relève d'une approche conjointe entre les dirigeants de groupes industriels à centre de gravité européen et les responsables publics (civils et militaires, professionnels et politiques). Pouvoirs publics et industriels européens doivent intégrer que, à l'instar de nos principaux concurrents mondiaux (passés, présents et à venir), la distinction dans ce domaine entre industrie de nature civile et industrie de nature militaire est dangereuse pour le devenir desdites industries et préjudiciable à nos capacités de défense. Il faut réconcilier la logique politique et opérationnelle avec la logique industrielle et technologique...

 

Suite de l’article

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 19:35
Hommage des rugbymen aux morts de 14-18

 

07/11/2013 Communauté Défense

 

Les rugbymen Français et Néozélandais qui s'affrontent samedi 9 novembre lors d'un match au stade de France participent aux commémorations de la Première Guerre mondiale.

 

Le ministre délégué auprès du ministre de la Défense, chargé des anciens combattants s'est rendu mercredi 6 octobre à la résidence du XV de France à Marcoussis afin de signer une déclaration d'intentions pour commémorer le centenaire de la Première Guerre mondiale.

 

Cette déclaration prévoit que la fédération française de rugby (FFR) ornera le maillot des joueurs du XV de France d'un bleuet, symbole français des anciens combattants, pour les rencontres internationales qui se dérouleront entre les mois de novembre 2013 et novembre 2014. "Cette action marque notre volonté de rendre hommage aux victimes de cette guerre et aux nombreux rugbymen qui ont perdu la vie au champ d'honneur pendant la première guerre mondiale", explique Pierre Camou, président de la FFR. "Nous sommes très fiers et très heureux que l’État français et le ministère de la Défense aient choisi le rugby pour ces commémorations."

 

Kader Arif qui rencontrait les équipes de France de rugby a déposé, en compagnie du capitaine Thierry Dusautoir, une gerbe au pied de la plaque commémorative des internationaux français morts pour la France en 1914-1918. Dans son allocution, le ministre a précisé que la Défense et le rugby partageaient des valeurs communes. "Quand je parle avec des militaires, et notamment ceux que j'ai rencontré au Mali, je m'aperçois que les valeurs au combat sont les mêmes, s’agissant des théâtres d'opérations ou du terrain de sport. La devise de notre République Liberté, égalité, fraternité prend tout son sens.

 

"Le fait d'arborer le bleuet sur notre maillot est un vrai motif de fierté. Nous avons à cœur d’honorer la mémoire de nos anciens internationaux et de tous ceux qui sont tombés pour défendre la Nation", a dit Thierry Dusautoir.

 

Le soir, une délégation de l'équipe néozélandaise de rugby,les all-blacks, participait à la cérémonie de ravivage de la flamme, sous l'Arc de Triomphe. Accompagnés de la ministre des sports, Valérie Fourneyron, du ministre délégué aux anciens combattants, Kader Arif, et de l'ambassadrice de Nouvelle-Zélande, quatre All Blacks ont ravivé la flamme du Soldat inconnu. Une manière de rappeler qu'entre 1914 et 1918, un Néo-Zélandais sur 10 est venu se battre au côté de la France. Samedi 9 Novembre, le match amical entre le XV de France et les All-Blacks sera l'occasion de poursuivre cette série d'hommage.

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 18:55
Livraison du deuxième A400M

 

07/11/2013 Actualité DGA

 

La direction générale de l’armement (DGA) a réceptionné le deuxième exemplaire de série de l’avion de transport militaire A400M Atlas le mercredi 6 novembre 2013.L’appareil, qui porte le numéro de série MSN8, rejoindra la semaine prochaine la base aérienne d’Orléans-Bricy, sa base de mise en œuvre au sein de l’armée de l’air.

 

Avion de transport militaire tactique doté d’une allonge stratégique et à la pointe de la technologie, l’A400M produit par Airbus Military est sans équivalent sur le marché mondial. Équipé de quatre turbopropulseurs, il est conçu pour transporter jusqu’à 37 tonnes de matériels et réaliser l’ensemble des missions liées au transport, notamment les liaisons inter et intra-théâtre, les poser d’assaut sur terrains sommaires, l’aérolargage de personnel et de matériel y compris à très grande hauteur, le ravitaillement en vol ou les évacuations sanitaires.

 

Sept pays clients participent au programme de l'avion de transport européen A400M : Allemagne, Belgique, Espagne, France, Luxembourg, Royaume-Uni et Turquie.La France est le premier pays à recevoir des avions A400M.

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 12:45
AgustaWestland A109 Light Utility Helicopter

AgustaWestland A109 Light Utility Helicopter

 

06 November 2013 by Dean Wingrin - defenceWeb

 

After five months of not flying, the South African Air Force’s (SAAF) fleet of Agusta A109 Light Utility Helicopters (LUH) are back in the air again and converting new pilots.

 

The current conversion course for new A109 pilots has finally resumed at 87 Helicopter Flying School, AFB Bloemspruit, near Bloemfontein. The other two squadrons equipped with the type, 15 Squadron (Durban) and 17 Squadron (Swartkop) are also flying again, with the type appearing at the SAAF Air Capability Demonstration held at the Roodewal bombing range at the end of October.

 

The latest grounding followed the March crash of an A109 on aerial patrol in the Kruger National Park, which flew into ground, killing all five on board. As a result, the course converting existing helicopter pilots to the A109 was temporarily stopped, pending the investigation. The course pupils were sent on leave and thereafter back to their previous home squadrons, but as they had already started their conversion, they were not allowed to fly the Oryx helicopters that they were previously qualified on.

 

After some months of inactivity, the severe budgetary constraints affecting the SAAF resulted in a shortage of funds to keep the A109 fleet flying. Ground running the engines and infrequent flights was all that could be done, with the course pupils still sitting idly at their previous home squadrons.

 

At the same time, it is rumoured that certain tail rotor bolts had to be replaced, but these had not been ordered. Then, the A109 ground simulator was upgraded, resulting in yet another delay to the commencement of the course.

 

The SAAF commitment of supplying Oryx helicopters to MONUSCO, the UN Mission in the Democratic Republic of Congo (DRC), has also resulted in a shortage of Oryx pilots, whilst other pilots were drafted to 16 Squadron to increase the pool of Rooivalk attack helicopter pilots. The Rooivalk was only recently deployed to the DRC.

 

The cascading effect was such that a new instructor course was required before the deferred conversion course could recommence. With this process completed, the conversion course resumed at the beginning of October, much to the relief of the course students.

 

The A109 has been the black sheep of SAAF’s helicopter fleet, never living up to expectations. Deemed too complex to convert newly qualified pilots onto helicopters, it has also been reported that the helicopter can neither carry operational loads in high heat conditions nor fly in strong wind.

 

Although the conversion course onto the A109 is held at Bloemfontein, the course deploys to Port Elizabeth for certain landing tasks as Bloemfontein is deemed too hot and high to practise such techniques.

 

The Anglo-Italian AgustaWestland A109 LUH was purchased to replace the elderly Alouette III helicopter in the light utility role, with the delivery of the first of 30 helicopters commencing in 2005.

 

According to the SAAF, typical missions for the A109 includes training, search and rescue, rope extraction & rappelling, trooping, medical evacuation (casevac), cargo transport, border patrol, peacekeeping, communications and urban operations.

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 12:45
An SA Army 120 mm mortar in action

An SA Army 120 mm mortar in action

 

06 November 2013 by Guy Martin - defenceWeb

 

The state of the South African Army’s vehicles and other so-called prime mission equipment (PME) is declining to unacceptable levels while modernisation remains stagnant due to budget constraints and hurdles from entities like Armscor, according to the Department of Defence.

 

In its annual report for the period April 1, 2012, to March 31, 2013, the Department of Defence (DoD) noted that the period “remained a challenging year for the SA Army as a result of ever-increasing costs of the sustainment of PME, facilities, personnel, ammunition for training and operations.”

 

“The state of prime mission equipment, particularly in the Landward Defence programme, continued to decline to unacceptable levels. Additional funding provided for maintenance and repair of the operational vehicle fleet has had some effect, but is not sufficient to address this concern adequately. The rejuvenation of these capabilities therefore remains one of the DoD’s top priorities,” the DoD’s accounting officer said in the annual report.

 

As the Army did not receive any equipment from the Strategic Defence Packages (‘arms deal’), the DoD said it is lacking the required human resources, infrastructure and technologically advanced equipment.

 

Modernising the South African Army and acquiring more equipment “has remained stagnant” and has been hampered by a lack of funding and the delays to the finalisation of the Defence Review “which will inform the required future Landward Defence Capabilities of the SANDF”, the DoD said.

 

The serviceability and repair of equipment and vehicles was highlighted as a challenge to the landward arm of the SANDF due to the long process of acquisition, distribution of spares and shortage of personnel.

 

Although the SA Army said it was fully motivated to support its equipment, it said that support from Armscor and the Central Procurement Service Centre (CPSC) “remained extremely challenging.” Reliance on Armscor and the CPSC “created challenges for the SA Army resulting in the underutilisation of National Treasury funding.”

 

The South African Army actually underspent in the last financial year, something that was attributed to “external spending hurdles” such as the CPSC, Public Works department and Armscor, “which the SA Army is unable to influence.” Indeed, actual expenditure for 2012/13 was R12.367 billion, versus the R12.68 billion budgeted for.

 

The DoD said the defence budget allocation for landward renewal was “adequate” for the short term, but that rejuvenating the Army’s equipment, human resources and infrastructure was “compromised by a variety of institutional challenges central to which is the limited budget”. Indeed, the Strategic Capital Acquisition Master Plan (SCAMP) faces a budget deficit of R3 billion between FY 2017 and FY2020.

 

While the DoD highlighted the poor state of the Army’s vehicle fleet in its report, some relief came this year when Denel Land Systems received a contract for the production of 264 Badger armoured vehicles, to be produced over ten years, with the first delivery in 2015.

 

Apart from budget issues affecting equipment, the DoD said the SA Army’s personnel are insufficiently rejuvenated, directly affecting its ability to provide and sustain operational obligations in the future. A number of units were singled out as being in adequate to sustain operations, notably 16 and 17 Maintenance Units, 101 and 102 Field Workshops, Hospitality Services and VIP Protectors.

 

For the year under review, the DoD said the SA Army, as part of the Landward Defence Programme, made a significant contribution, notably through border protection duties and external deployments in Africa. “The SA Army fulfilled all its Joint Force Employment (JFE) commitments, notwithstanding the fact that it was overstretched, especially in the infantry, engineer, intelligence, signal and support capabilities. Reserve and MSDS [Military Skills Development System] members were utilised for both internal and external deployments to alleviate the pressure on Regular units.”

 

The external deployments included United Nations missions to the Democratic Republic of Congo (Monusco), Darfur (Unamid) and in support of training and protection in the Central African Republic. The SANDF also sent personnel to train DRC military forces. Two SA Army Reserve sub-units supported the Monusco and Unamid operations respectively

 

During the year under review, the SA Army provided 11 combat-ready sub-units for Border Safeguarding Operations as part of internal deployments. Eight SA Army Reserve sub-units were deployed for border safeguarding. A total of 10 784 reserves were called up for 1 647 109 man-days. 65% of the full call-up complement were employed for operational and force preparation duties.

 

The SA Army was also used to support the South African Police Service, particularly during the Marikana unrest, supported the African Cup of Nations and assisted the Mozambican Defence Force with counter-piracy operations in the Mozambique Channel.

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 08:55
Audition de P. Errera, directeur chargé des affaires stratégiques, sur le projet de loi de programmation militaire et le projet de loi de finances pour 2014

06.11.2013 Assemblée Nationale

Audition de M. Philippe Errera, directeur chargé des affaires stratégiques, sur le projet de loi de programmation militaire et le projet de loi de finances pour 2014

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 08:50
New offshore patrol vessels for Royal Navy

Royal Navy River Class offshore patrol vessels HMS Tyne, HMS Severn and HMS Mersey (library image) [Picture: Leading Airman (Photographer) Al Macleod, Crown copyright]

 

6 November 2013 Ministry of Defence and Defence Equipment and Support

 

MOD plans to commission 3 new ocean-going offshore patrol vessels for the Royal Navy.


 

The new ships will be built by BAE Systems at their shipyards on the Clyde in a deal that will sustain jobs in the UK’s warship-building industry, and will play a key role in counter-terrorism, counter-piracy and anti-smuggling operations.

The agreement with BAE Systems provides work for the company between the completion of the Queen Elizabeth Class aircraft carriers and the Type 26 Global Combat Ship, securing the vital skills needed to build the UK’s future warships.

Defence Secretary Philip Hammond is also announcing today that more than £100 million will be invested in Her Majesty’s (HM) Naval Base Portsmouth, which will be home to both HMS Queen Elizabeth and HMS Prince of Wales. The money will expand the dockyard to ensure it is ready for the arrival of the Royal Navy’s biggest ever warships as well as for the Type 45 destroyers which are based in Portsmouth.

Under the terms of a business agreement signed with BAE Systems in 2009, MOD would have been liable to pay for any periods when no shipbuilding was taking place at UK yards.

HMS Tyne, HMS Severn and HMS Mersey (library image)
Royal Navy River Class offshore patrol vessels HMS Tyne, HMS Severn and HMS Mersey (library image) [Picture: Leading Airman (Photographer) Al Macleod, Crown copyright]

Building offshore patrol vessels means not only are staff at BAE Systems able to continue to work and maintain their skills, but also the Royal Navy benefits from 3 new ships and the taxpayer gets much better value for money.

The cost of building the ships is funded from money that would have been used to pay for idle capacity, finance redundancies and meet the cost of industrial restructuring.

Portsmouth will maintain its proud maritime heritage as the home of much of the Royal Navy’s surface fleet and the centre of BAE Systems’ ship support and maintenance business.

Mr Hammond said:

This deal will provide the Royal Navy with 3 brand new maritime patrol vessels with a wide range of capabilities which will support our national interests and those of our overseas territories.

This is an investment not only in 3 ships but also in this country’s warship-building industry. It prevents workers standing idle and sustains the vital skills needed to build the planned Type 26 frigate in the future.

I am also pleased to announce additional investment in Portsmouth Naval Base to prepare for the significant increase in tonnage as the home port for the Royal Navy’s aircraft carriers and destroyers.

Work on the new offshore patrol vessels is due to begin next year, with the first ship being delivered to the Royal Navy in 2017. The ships are expected to replace the current, smaller River Class vessels, HM Ships Tyne, Severn and Mersey, which have been policing the UK’s waters since 2003, but a final decision will be taken in the next strategic defence and security review.

Admiral Sir George Zambellas, the First Sea Lord, said:

These new patrol vessels will build on the proven performance of the River Class by adding a flight deck to take the Navy’s Merlin helicopters and by adding operational flexibility through extra storage capacity and accommodation. They are very welcome.

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 08:50
L’Autriche réceptionne ses deux premiers Bell 212 modernisés

 

06.11.2013 Helen Chachaty - journal-aviation.com

 

Le ministre autrichien de la Défense Gerald Klug a officiellement transféré les deux premiers hélicoptères de transport Bell 212 au commandement du soutien aérien. La flotte de 23 appareils devrait être totalement rénovée d’ici la fin de l’année 2015 et permettra d’utiliser les hélicoptères jusqu’en 2040, selon le communiqué du ministère.

 

Les modifications apportées aux Bell 212 comprennent de nouvelles lunettes de vision nocturne, un nouveau kit d’autoprotection composé d’un système de détecteur de départ de missiles, un récepteur d’alerte radar et un nouveau système lanceur de leurres.

 

Les biturbines Bell 212 de l’armée autrichienne sont surtout utilisés pour des missions de transport, de sauvetage en montagne, d’évacuations sanitaires, de lutte contre les feux de forêt et largage de parachutistes.

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 08:50
Kosovo : L’EEI se déploie à DOG 31

 

06/11/2013 Sources : EMA

 

Le 1er novembre 2013, l’escadron d’éclairage et d’investigation (EEI) français a relevé la compagnie marocaine au poste de DOG 31, au Nord du Kosovo.

 

Au terme d’une série d’entraînement au contrôle de foule et à l’évacuation médicale d’urgence sur le camp de Novo Selo, deux pelotons de l’EEI de la KFOR ont rejoint le poste frontière Dog 31, au Nord du Kosovo. l'EEI KFOR a pour mission de garantir la liberté de mouvement des populations dans un environnement sécurisé dans toute sa zone de responsabilité, en soutien de la police du Kosovo et d’EULEX.

 

Ce déploiement à DOG 31, en relève d’une compagnie marocaine, a coïncidé avec la tenue des élections municipales, sur tout le territoire du Kosovo, le dimanche 3 novembre.

 

Placé sous le commandement tactique du Multinational Battle Group East(MNBG-E) de la KFOR, l’EEI français continuera à opèrera également sur d’autres postes au Kosovo, tels que Nothing Hill ou Camp Cabra.

 

La KFOR participe au maintien d’un environnement sûr et sécurisé au profit de l’ensemble de la population du Kosovo, en coopération avec la Mission des Nations unies au Kosovo (MINUK) et la mission de l’Union européenne (EULEX). Environ 320 militaires français sont engagés dans l’opération TRIDENT, nom de la participation française à la KFOR, avec une unité de manœuvre (l’EEI) et un élément de soutien national (ESN).

Kosovo : L’EEI se déploie à DOG 31
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