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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:55
LPM : « L’équipement est la variable d’ajustement »

11.10.2013 par Guillaume Belan (FOB)

 

Les mots sont de Christian Mons, reçu par l’Association des Journalistes de Défense mercredi dernier. Christian Mons qui est à la fois président du GICAT (groupement des industriels de la défense terrestre) et du CIDEF (Conseil des Industries de Défense Françaises réunissant tous les secteurs terre-air-mer) est revenu sur le projet de Loi de Programmation Militaire (LPM) 2014-2019 en cours de discussion devant les assemblées parlementaires. Et son jugement est pour le moins critique. « Les conséquences de la LPM c’est la perte d’un milliard d’euros dans le budget équipement, qui induit un risque important sur le plan de charge industriel et vont conduire à des pertes de compétences ».

 

En 2013, seuls les 2/3 du budget équipement terrestre ont été exécuté

Le constat est d’autant plus inquiétant que, même avant de discuter de la prochaine LPM, il y a déjà en ce moment d’importants retards d’exécution budgétaire. « L’Etat ne passe en ce moment aucune commande, car il attend le vote de la LPM ». Résultat: pour l’Unité de Management Terre (UM Terre), soit les matériels terrestres, « il manque un tiers de commandes sur l’exécution de la loi de finance 2013 », soit 300 millions d’euros de commandes qui vont manquer ! Les conséquences : « trou dans les plans de charges » et difficultés de « maintien des compétences ». Sans parler des impacts sur le tissu des sous-traitants, « il est très difficile d’évaluer l’impact pour les PME, mais des risques pèsent sur 200 à 400 d’entre elles ».

Certaines de ces commandes seront passées sous la prochaine LPM, mais en attendant tout prend du retard et au final, il manquera près d’une année d’exécution budgétaire… Donc des programmes qui passent à la trappe. Exemple : le programme VLTP (véhicule léger tactique polyvalent) qui devait venir remplacer les vieilles P4 (30 ans d’âge) ou les tranches conditionnelles du PPT (porteur polyvalents terrestres). Envolés ! « Le ministre est certainement de bonne foi, mais la réalité est différente » a précisé le président du CIDEF.

 

1 euros investit rapporte 1,3 euros à l’Etat

C’est le constat réalisé par les industriels de la Défense : quand l’État investit un euros dans des programmes de défense, cela rapporte 1,3 euros sur 10 ans en recettes publiques (impôts, charges sociales…), grâce aux leviers de l’exportation. Cet investissement est d’autant plus important que le risque d’un décrochage dans les marchés exports est réel, alors que les pays émergents sont de plus en plus menaçants.

 

La prochaine LPM c’est 20 000 emplois menacés

Le calcul est simple, avec les retards de commandes et l’amputation de l’inflation pour la prochaine LPM, c’est un milliard d’euros qui manquera pour les équipements. LE CIDEF fait un chiffre d’affaires de 16 milliards pour 165 000 emplois directs et autant d’indirects. Un emploi, c’est donc 100 000 euros en moyenne pour les 4000 entreprises qui travaillent dans la défense. Une perte d’un milliard, c’est 10 000 emplois directs menacés et autant d’indirects (sous-traitance…). Soit 20 000 suppressions d’emplois à attendre au cours de la prochaine LPM…

 

Le VBMR en 2018 ? « Un vœu pieux » !

Scorpion est un programme complexe qui a déjà été lancé a rappelé Christian Mons. Le programme Contact (radio nouvelle génération) est déjà acté tandis que le SIC (système d’information et de combat de Scorpion qui va remplacer 4 ou 5 systèmes existants a été commandé à Bull en début d’année. Mais il est maintenant urgent de commander les plateformes. « Il est matériellement impossible que les premiers VBMR (véhicule blindé multi-rôles, remplaçants des VAB) arrivent dans les forces en 2018 » souligne Christian Mons. La DGA (direction générale de l’Armement) doit établir un cahier des charges, rédiger un appel d’offre, lancer un appel d’offre européen, puis dépouiller les offres et prendre une décision. Chacune de ces étapes prend minimum 6 mois, sans compter les inévitables recours en justice qui paralyseront la procédure. Or, « jamais un programme d’armement n’a abouti en moins de 10 ans. Seul le PVP (Petit Véhicule Protégé), a été réalisé en  8 ans » et il s’agissait d’un programme plutôt simple comparé à un véhicule de combat ! Continuant sur le VBMR, le président du GICAT table sur un prototype livré à l’horizon 2020 pour une production vers 2025, après une évaluation par les forces qui aboutira nécessairement à des correctifs…

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:55
A l'écoute des troupes : le ministre rencontre les marsouins du 2e RIMa

15/10/2013 Défense

 

Après sa visite au 152e régiment d'infanterie de Colmar du 10 octobre dernier, Jean-Yves Le Drian a passé une partie de la journée du lundi 14 octobre avec le personnel du 2e régiment d’infanterie de marine, dans la Sarthe.

A travers ces différentes visites, le ministre de la Défense souhaite prendre la mesure du moral des troupes au plus près, à travers un dialogue direct avec les soldats.

 

C'est dans la Sarthe auprès des marsouins du 2e régiment d'infanterie de marine (2e RIMa), que Jean-Yves Le Drian a poursuivi ses visites dans les forces le lundi 14 octobre 2013.

 

Lors de son allocution, le ministre a évoqué les grands enjeux nationaux de l'année 2013 et le renouvellement de la défense défendus dans la loi de programmation militaire 2014-2019. Jean-Yves le Drian a ensuite rappelé l'importance de l'activité et de la préparation opérationnelle, « un sujet qui me tient particulièrement à cœur » et des programmes industriels pour « préparer nos armées à mener les guerres de demain et faire face aux menaces du futur ».

 

Il s'est ensuite entretenu avec les cadres et les soldats du régiment pour entendre leurs difficultés quotidiennes ou leurs craintes quant à l'avenir, notamment les problèmes du logiciel de paiement des soldes Louvois ou le débat sur les retraites.

 

Le 10 octobre dernier, Jean-Yves Le Drian, s'est rendu au 152e régiment d’infanterie (152e RI), basé à Colmar, pour échanger avec les "Diables Rouges"

Le ministre poursuivra ses visites lors des prochaines semaine, au 1er régiment de chasseurs parachutistes de Pamiers et au 4e régiment étranger de Castelnaudary entre autres.

 

A l'écoute des troupes : le ministre rencontre les marsouins du 2e RIMa

Le 2e régiment d'infanterie de marine

 

Implanté sur le camp d'Auvours de Champagné dans la Sarthe, le 2e régiment d'infanterie de marine fait partie de la 9e brigade légère blindée de marine qui appartient au commandement des forces d'actions terrestres (CFAT). Constituées à l'origine pour tenir garnison outre-mer, les troupes de marine du "2" ont servi en opérations extérieures : Côte d'Ivoire, Afghanistan et  Mali, entre autres.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:50
Plus de 1000 heures de vol pour le Watchkeeper

le Watchkeeper britannique en vol (photo Thales Richard Seymour)

 

11.10.2013 par Guillaume Belan (FOB)

 

Thales UK (la branche britannique de l’électronicien français) a annoncé le 7 octobre dernier qu’un certificat de type STDA (ou Statement of Type Design Assurance en anglais) lui avait été délivré par l’autorité de l’aviation militaire du Royaume-Uni (MAA) pour son système de drone Watchkeeper. Ce certificat signifie que le système drone de Thales a atteint un niveau de sécurité et d’intégrité acceptable, ouvrant la voie pour le MOD britannique vers la délivrance de l’autorisation de mise en service initiale. Le Watchkeeper est le premier drone à recevoir un certificat de type de ce type accordé par la MAA. On a compris, il s’agit d’une étape importante vers l’acceptation des drones dans l’espace aérien.

 

Aujourd’hui, Thales a déjà livré 28 plateformes Watchkeeper à l’armée britannique et deux autres devraient être livrées très prochainement – sur un total de 54 plateformes commandées. Neuf stations sol sur les 15 ont également été livrées. A ce jour, environ 600 vols ont été réalisés, représentant plus de mille heures de vol.

 

Rappelons également que dans le cadre de la coopération franco-britannique, le Watchkeeper pourrait intéresser la France, notamment l’armée de Terre, comme l’un des successeurs potentiels du SDTI (système de drone tactique intérimaire). Dans le cadre de cette coopération bilatérale, en juillet 2012, une Task Force Watchkeeper a été mise en place par les deux chefs d’état majors des armées de terre française et britannique.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:50
Statement by EU High Representative Catherine Ashton on her Final Report on the CSDP

Brussels, 15 October 2013 REF 131015/01 - www.eeas.europa.eu

 

The High Representative of the European Union for Foreign Affairs and Security Policy and Vice President of the Commission, issued the following statement today:

 

" I was asked by the European Council in December 2012 to present proposals to further strengthen the Common Security and Defence Policy (CSDP), ahead of a discussion by leaders in December of this year. I presented an interim report in July and I am now issuing the final report.

 

This debate among leaders comes at an opportune moment. The EU needs to protect its interests and promote its values, and it needs to be able to act as a security provider both in its neighbourhood and at the international level. To be credible, this requires capabilities and a strong industrial base.

 

This is both a challenge and an opportunity. Defence cooperation is never straightforward, but there is certainly scope for further enhancing cooperation among the Member States to develop and deploy capabilities. In addition, the defence industry can be a driver for jobs, growth and innovation.

 

The report sets out proposals and actions in three areas:

 

- Strengthening CSDP: the Union needs to be able to respond rapidly to security challenges - cyber, space, energy, maritime and border security. To act as a security provider we need to be able to engage with partners, and to build the capacity of partner organisations and third states, using all the tools of our external action. This is the idea of our comprehensive approach.

 

- Enhancing European defence capabilities: cooperation has become essential to the maintenance of capabilities and to the success of CSDP. It allows Member States to develop, acquire, operate and maintain capabilities together, making best use of potential economies of scale.

 

- Reinforcing Europe's defence industry: a strong and healthy industrial base is a prerequisite for developing and sustaining defence capabilities and securing Europe's strategic autonomy. The European Commission put forward a Communication "Towards a more competitive and efficient European defence and security sector" in July. The proposals in my report complement the Commission's work."

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:50
JOINT WARRIOR 13-2 : Participation de l’EC 2/4 « La Fayette »

14/10/2013 Armée de l'air

 

Du 7 au 17 octobre 2013, dans le cadre de l’exercice JOINT WARRIOR 13-2, qui se déroule au nord du Royaume-Uni, quatre Mirage 2000N de l’escadron de chasse (EC) 2/4 « La Fayette » de la base aérienne 125 d’Istres sont engagés. Cette participation tend à renforcer la technicité des équipages et maintenir leur haut niveau d'excellence.

 

JOINT WARRIOR 13-2 est un exercice interarmées et interallié qui s’inscrit dans le cadre d’un entraînement opérationnel bilatéral. Il vise à maintenir la coopération militaire franco-britannique. Parmi les moyens français mis en œuvre, quatre Mirage 2000N de l’EC 2/4 « La Fayette » sont déployés sur une base aérienne projetée, située à Leeming.

 

L’escadron de chasse 2/4 « La Fayette » a pour principale mission la dissuasion nucléaire. Néanmoins, ses moyens permettent également de réaliser des missions conventionnelles. À ce titre, les équipages s’entraînent quotidiennement, de jour comme de nuit et prennent part à de nombreux exercices. Ce qui rend les unités des forces aériennes stratégiques réellement polyvalentes.

 

La participation de l’EC 2/4 « La Fayette » au sein de l’exercice JOINT WARRIOR 13-2 a pour objectif l’entraînement dans un environnement réaliste. Les équipages sont confrontés à différentes phases tactiques d’une mission aérienne. Parmi pilotes et navigateurs présents, dix d’entre eux effectuent leur première mission à l’étranger. Elle intervient dans le cadre de la formation à la mission dite « conventionnelle ». Cette participation est essentielle à leur qualification et va leur permettre d’améliorer sensiblement leur travail en équipage constitué.

 

Outre l’engagement des plus jeunes au sein de l’exercice, une autre spécificité s’ajoute. Trois aviateurs du personnel navigant (PN) intégrés au détachement sont qualifiés Forward Air Controler (FAC – contrôleur aérien avancé), dont un FAC Supervisor. Le rôle du FAC est de guider, depuis le sol, les avions de combat dédiés à la mission de CAS (Close Air Support – Appui aérien rapproché).

 

La détention de cette qualification au sein même des équipages permet d’améliorer le dialogue PN-FAC de façon significative et donc de gagner en efficacité.

 

Fort de cette complémentarité, l’EC 2/4 « La Fayette » fait preuve d’un engagement entier. Afin d’assurer le bon déroulement de cet exercice, pas moins d’une cinquantaine de personnes, parmi les 270 que comptent l’escadron, œuvrent sur la base aérienne opérationnelle projetée (BOP).

JOINT WARRIOR 13-2 : Participation de l’EC 2/4 « La Fayette »JOINT WARRIOR 13-2 : Participation de l’EC 2/4 « La Fayette »JOINT WARRIOR 13-2 : Participation de l’EC 2/4 « La Fayette »
JOINT WARRIOR 13-2 : Participation de l’EC 2/4 « La Fayette »JOINT WARRIOR 13-2 : Participation de l’EC 2/4 « La Fayette »
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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:45
Abou Anas Al-Libi, membre présumé d’Al-Qaïda, transféré à New York

 

15/10/2013 45eNord.ca (AFP)

 

Une semaine après sa capture controversée à Tripoli, le Libyen Abou Anas al-Libi, responsable présumé d’Al-Qaïda, a été transféré à New York où il devrait comparaître dès mardi.

 

Il a été «transféré ce week-end [...] directement à New York où il est inculpé depuis plus de dix ans. Le gouvernement pense qu’il sera présenté à un officier de justice demain», a annoncé lundi le procureur de Manhattan Preet Bharara dans un bref communiqué.

 

Libi, 49 ans, avait été inculpé à New York en 2000 en lien avec des attentats contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie, et le FBI offrait jusqu’à 5 millions de dollars pour sa capture.

 

L’attentat de Nairobi avait tué 213 personnes, dont 12 Américains, et fait plus de 5.000 blessés le 7 août 1998. L’attentat de Dar es Salaam, simultané, avait fait 11 morts et 85 blessés.

 

Libi a été capturé le 5 octobre devant chez lui à Tripoli par les forces spéciales américaines, et d’abord transféré à bord d’un navire de l’US Navy en Méditerranée, le USS San Antonio, pour y être interrogé, hors la présence de tout avocat.

 

Tripoli a réclamé sa remise, en vain

 

Les Américains l’accusent d’avoir notamment mené, dès 1993, des opérations de surveillance «visuelle et photographique» de l’ambassade américaine à Nairobi.

 

L’année suivante, selon l’acte de mise en accusation, Libi, considéré comme un expert en informatique, avait étudié avec d’autres membres d’Al-Qaïda plusieurs cibles possibles d’attentat, dont l’ambassade américaine à Nairobi, l’agence américaine pour le développement international dans la même ville, et des «cibles britannique, française et israélienne à Nairobi».

 

Son groupe était allé ensuite rapporter ses informations à Oussama Ben Laden au Soudan.

 

Libi avait été inculpé à New York en 2000 avec 20 autres membres présumés d’Al-Qaïda, notamment de complot visant à tuer des citoyens américains et complot visant à détruire des bâtiments et propriétés des Etats-Unis, en lien avec les attentats en Afrique.

 

Plusieurs de ces inculpés, dont Oussama Ben Laden, sont morts depuis.

 

De son vrai nom Nazih Abdul Hamed al-Raghie, Libi avait été membre du Groupe islamique de combat libyen (Gicl) avant de rejoindre Al-Qaïda à ses débuts. Les Américains espèrent qu’ils pourront en obtenir de précieuses informations sur les premières années du groupe.

 

Dans les années 90, il avait vécu au Royaume-Uni, où il avait obtenu l’asile politique, selon le FBI.

 

La Libye, très embarrassée par sa capture qui a provoqué la colère de groupes d’ex-rebelles et de partis politiques, a dénoncé un «enlèvement», affirmant qu’elle n’en avait pas été prévenue.

 

Tripoli a convoqué après la capture l’ambassadrice des États-Unis, et le Congrès général national libyen (CGN), la plus haute autorité politique de Libye, a demandé, en vain, «la remise immédiate du citoyen libyen», qualifiant le raid américain de «violation flagrante de la souveraineté nationale».

 

Mais le président des États-Unis Barack Obama a affirmé qu’il serait jugé par la justice américaine.

 

«Nous savons que Libi a aidé à planifier et à mettre en oeuvre des complots qui ont abouti à la mort de centaines de personnes, dont de nombreux Américains. Nous en avons des preuves solides. Et il sera traduit en justice», a-t-il assuré.

 

Les États-Unis ont agi conformément aux «lois internationales sur la guerre, au fait que nous sommes habilités, d’après la loi internationale, à nous défendre», a également affirmé la semaine dernière la porte-parole du département d’Etat, Marie Harf.

 

Les États-Unis ont refusé de dire s’ils avaient demandé la permission d’intervenir au gouvernement libyen.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:35
Australians Invest Millions To Upgrade Facilities For Marines

Marines with Marine Rotational Force-Darwin sprint to their first station wearing full gear during a May 23 squad competition at a training range in Australia. (Sgt. Sarah Fiocco / Marine Corps)

 

Oct. 14, 2013 - By GINA HARKINS – Defense News

 

The Australian government will begin a multimillion-dollar construction project this month at two military facilities to accommodate future rotations of up to 2,500 US Marines.

 

Australia’s defense department announced Friday that it awarded $11 million for new facilities at the Australian army’s Robertson Barracks and the Royal Australian Air Force Base in Darwin, according to a news release. The project will ensure “appropriate living and working accommodation is available for the US Marine Corps.”

 

The Corps’ presence in Australia’s Northern Territory is expected to increase dramatically next year when, starting in the spring, about 1,200 Marines arrive for six months of training in the region. The last two rotations comprised about 200 Marines. By 2016, the U.S. expects to deploy a full Marine air-ground task force numbering 2,500 personnel, officials have said.

 

To date, the company-size units rotating through Darwin have stayed at Robertson Barracks. But with aviation support in tow next year, about 130 Marines — along with four heavy-lift helicopters — will be stationed at the air force base, the news release says.

 

The construction projects are expected to begin in coming weeks and will be completed by the end of February.

 

About 200 Marines and sailors with Lima Company, 3rd Battalion, 3rd Marines, recently returned home to Hawaii, having spent six months Down Under as Marine Rotational Force-Darwin. It’s unclear which unit will deploy next.

 

Before leaving in September, US and Australian forces conducted a battalion-level training event at Bradshaw Field Training Area, located in the remote Australian outback. About 750 Marines and sailors from the 31st Marine Expeditionary Unit joined 150 Marines with MRF-Darwin and 100 Australian troops.

 

The exercise helped commanders identify the advantages and limitations of the training field, said Col. John Merna, the 31st MEU’s commanding officer. They found that its location, about 200 miles inland from the shallow waters of the Coral Sea coastline, presented some logistical challenges.

 

“It’s very austere,” Merna told Marine Corps Times. “Any time you can go into a training area that’s an established training area, it’ll be more useful and effective. So more facilities, harder structures, communications — things that are more permanent — [would be] helpful.”

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:35
Think Tank: Taiwan - the missing piece in the rebalance puzzle

 

15 October 2013 By Alexander Neill – Pacific Sentinel

 

In the wake of the US President’s decision to pull out of any engagements in Asia surrounding the APEC summit in Bali last week, critics of the US rebalance to Asia policy have exploited his absence as evidence of US regional strategic bluster.

 

For the most part, the Chinese media avoided the temptation of hubris, taking a more conciliatory tone and played up the central role of China’s regional economic engagement at the summit. Chinese leaders will have recalled the abrupt departure by Hu Jintao from the G8 summit in Italy in 2009 as insurrection broke out in troubled Xinjiang.

 

The US has been very quick off the mark with rebuttals, proclaiming the Asia pivot to be firmly rooted in Washington DC’s foreign policy. Standing in for the President, Secretary of State Kerry’s presence in Bali was a notable exception to his predisposition for the quagmire in the Middle East, viewed by many as another counterweight to the Asia pivot.

 

World attention in Bali has focused on the windfall presented to Chinese President Xi Jinping, allowing China to steal centre stage. Xi has made a whirlwind circuit through the region on a state visit to Jakarta, then on to Kuala Lumpur before returning to Indonesia for the APEC summit.

 

China is now Indonesia’s second largest trading partner, with bilateral trade amounting to US$66 billion in 2012. During the state visit, both countries agreed to increase bilateral trade by a further $15 billion by 2015.

 

In Malaysia, China agreed a five-year plan to boost bilateral trade to US$160 billion by 2017. With these kinds of figures thrown into the mix of China’s increasingly dexterous Southeast Asian diplomacy, it’s difficult to imagine how the US couldn’t have been upstaged at Bali. But the US, facing the looming shadow of debt default as the shutdown continues, has put on a brave face, confident that a final deal on the Trans Pacific Partnership can be achieved by year end.

 

Another casualty of the paralysis in Washington is its stake in Taiwan. While acrimony between China and Japan lingered beneath the veneer of economic engagement at the summit, the cross-strait relationship between Taiwan and China appeared to demonstrate new momentum. Heralded as a milestone meeting, Xi Jinping’s discussions with Vincent Siew, Taiwan’s senior envoy and former Vice President, added a new twist to the debate over China’s strategic intent in the Asia–Pacific.

 

Xi called for an end to institutionalised procrastination over Taiwan’s reunification with China, describing Taiwan and China as ‘one family’. He insisted that the time is right for political discussions on the cross-strait relationship, without the conditional tones which infused statements on the same issue under Hu Jintao’s leadership.

 

Aside from the showcase handshake between Siew and Xi, another sign of acceleration in the thaw in cross-strait relations was a meeting between the head of Taiwan’s Mainland Affairs Council, the Taiwanese executive body tasked with managing relations with the People’s Republic, and the head of China’s Taiwan Affairs Office. Both bodies have served as rubber stamp outfits over the years, while the real business has been conducted behind closed doors within the Kuomintang-Communist Party ‘party-to-party’ framework, initiated by Hu Jintao and Lien Chan in 2005 and fast-tracked after the KMT regained power in 2008. At the Bali meeting, both bodies formally referred to their respective official designations. It’s rumoured that significant progress may have been achieved in the establishment of representative offices in Beijing and Taipei.

 

China’s economic integration of Taiwan in recent years is a good example of how Beijing is courting ASEAN member states. With China’s burgeoning economic clout in the neighbourhood, Taipei, Seoul, Tokyo and ASEAN member states are beginning to hedge their approaches to the US. Some of these approaches seem ad hoc at best, others more developed into what resembles coherent strategy.

 

A confidant of Taiwanese President Ma Ying-jeou and former National Security Secretary General, Su Chi best sums up the predicament of US friends and allies on China’s littoral as: ‘the tail wagging two dogs’. The biggest question mark is whether or not Xi Jinping will sacrifice the hitherto sacrosanct cross-strait status quo in order to pursue the reunification agenda with as much vigour as China’s other core concerns.

 

The lingering fissure in the integrity of the motherland is apparently of such pressing concern for the Chinese communist party that an additional tenth dash recently appeared off Taiwan on Chinese maps showing China’s maritime territorial demarcation. Crucial to any political progress across the strait will be military de-escalation and the offer by both sides of military confidence building measures. Former Premier Wen Jiabao had hinted in 2010 at de-targeting the PLA’s missiles pointed at Taiwan but it appears the opposite has happened. The PLA’s strategic rocket force known as the second artillery corps has now deployed its new anti-ship ballistic missiles across the strait.

 

Taiwan is still China’s greatest concern, and the issue has driven the modernisation of the People’s Liberation Army for the last decade. A few years ago, defence analysts in the US warned that the military balance across the strait was tipping in favour of the PLA (PDF). According to Taiwan’s 2013 National Defense Report released on 8 September, China will be able to successfully invade Taiwan by 2020. And as Chairman of the Central Military Commission, Xi may also feel emboldened by the decline in Taiwan’s defence spending.

 

Traditionally, Taiwan has kept the US in the loop on important junctures in cross-strait relations and Washington has been careful not to engage with Beijing on such issues over the head of Taipei. Post shutdown, as the White House resuscitates its rebalance to Asia, Congress would be well advised to review its commitments under the Taiwan Relations Act.

 

Alexander Neill is a Shangri-La Dialogue Senior Fellow for Asia-Pacific Security, at the International Institute for Strategic Studies-Asia, Singapore

 

This article first appeared on the ASPI "The Strategist" Blog

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:35
Afghanistan: l'ONU prolonge le mandat de l'ISAF jusqu'à la fin de 2014

NEW YORK (Nations unies), 10 octobre - RIA Novosti

 

Le Conseil de sécurité de l'ONU a prolongé le mandat de la Force internationale d'assistance et de sécurité en Afghanistan (ISAF) jusqu'au 31 décembre 2014 conformément à la résolution ad hoc adoptée jeudi à l'initiative de l'Australie.

 

D'ici 18 juin 2013, l'armée afghane doit se charger de la sécurité sur tout le territoire du pays. A cette occasion, le Conseil de sécurité de l'ONU a souligné la nécessité de conserver le rôle de l'ISAF "dans le soutien apporté au gouvernement de l'Afghanistan" et "dans le renforcement des forces nationales afghanes de sécurité".

 

Le Conseil de sécurité a également salué l'attachement de l'Otan et du gouvernent afghan à la consolidation de leur partenariat bilatéral conformément à l'entente intervenue entre les alliés lors du sommet de l'Otan à Lisbonne en 2010.

 

La Force internationale d'assistance et de sécurité a vu le jour peu après le commencement de la guerre contre les talibans en 2001. Elément constitutif de la coalition encadrée par l'Otan, l'ISAF opère dans le cadre d'un mandat du Conseil de sécurité de l'ONU.

 

L'entente conclue en 2010 à Lisbonne prévoit le retrait des troupes de la coalition d'Afghanistan et le transfert à l'armée afghane des responsabilités en matière de sécurité dans le pays.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:25
Russia has proposed joint development of the T-50 to Brazil

15.10.2013 Rostec

 

The two sides are expected to discuss the creation of advanced aviation technology

 

The Russian delegation has invited Brazil to participate in the joint development of its fifth-generation T-50 (PAK FA).

 

During negotiations, the parties will discuss military and technical cooperation, according to reports of RIA Novosti based on information from representatives of the delegation.

 

Led by minister of defense Sergei Shoigu, the Russian delegation will visit Peru and Brazil from October 14-17. The delegation also includes Alexander Fomin, head of the Federal Service for Military-Technological Cooperation, and Anatolii Isaikin, head of Rosoboronexport.

 

Brazil has still not yet selected the winner of the bidding competition for 36 fighter aircraft for its air force. The estimated amount of the contract is $4 billion.

 

“We are prepared to propose to our partners at the negotiations in Brazil not only the purchase of modern, ready-made models of aircraft such as the Su-35, but also the opportunity to develop in tandem future aircraft models such as the T-50,” said a representative of the delegation.

 

The Brazilians have three aircrafts: the French RAFAL, the Boeing F/A-18E/F Super Hornet, and the SAAB JAS-39. The Su-35 is not included in this list, which is why Russia has proposed the purchase of ready-made fighter jets in addition to the opportunity to co-produce the new, advanced aircraft systems.

 

The fifth-generation T-50 fighter has a top speed of more than 2,500 km/h, as well as artificial intelligence–the plane is able to perform complex operations without the aid of the pilot. The T-50 also has automatic target recognition, and special transceiver electronics are designed to inform the pilot of potential threats.

 

Key elements of the T-50 design have been produced at Rostec plants. Designers at the United Engine Corporation developed the propulsion system. Specialists of RT-Khimkompozit made the cockpit canopy and trim.

 

The company Radio-Electronic Technologies designed the avionics and other electronic equipment to meet the requirements of a fifth-generation aircraft.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:20
URS Awarded Contracts to Support US Space and Naval Warfare Systems Center Atlantic

Oct 15, 2013 ASDNews Source : URS Corp.

 

    URS to Provide Business Technology, Network and Cyber Security Support Services to the U.S. Navy

    Contracts Have $1.8 Billion Aggregate Maximum Value to All Awardees

 

URS Corporation (NYSE:URS) today announced it has been awarded two indefinite delivery/indefinite quantity, multiple-award pillar contracts by the Space and Naval Warfare Systems Center Atlantic (SSC Atlantic). The Company was selected as one of 15 prime contractors to provide business and force support services, and as one of 13 prime contractors to provide integrated cyber operations services. Each contract has a one-year base period, followed by four one-year option periods, and each has a maximum, aggregate value of $899 million to all awardees, if all options are exercised.

 

Pillar contracts are designed to align the services provided by awardees with SSC Atlantic’s specific technological functions. Under the terms of the contracts, URS can compete for or be awarded task orders to provide program support, and network and cyber security services to the U.S. Navy.

 

 

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 11:15
Déclaration de Catherine Ashton, Haute Représentante de l'UE, sur son Rapport final sur la PSDC

 

Bruxelles, le 15 Octobre 2013 ref 131015/01 - www.eeas.europa.eu

 

La Haute Représentante de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et vice-présidente de la Commission, a fait ce jour la déclaration suivante:

 

" Le Conseil européen m’a demandé en décembre 2012 de présenter des propositions afin de renforcer la Politique de sécurité et de défense commune (PSDC), dans la perspective d’une discussion des Chefs d’Etat et de gouvernement en décembre de cette année. J’ai présenté en juillet un rapport intérimaire et remets à présent le rapport final.

 

Ce débat entre les dirigeants intervient à un moment opportun. L'UE a besoin de protéger ses intérêts et promouvoir ses valeurs, et elle doit être capable d'agir comme garant de la sécurité, tant dans son voisinage qu’au niveau mondial. Cela nécessite, pour être crédible, des capacités et une base industrielle solide.

 

C'est à la fois un défi et une opportunité. La coopération en matière de défense n'est jamais un acquis, mais il est évidemment possible de renforcer davantage la coopération entre États membres afin de développer et déployer des capacités. En outre, l'industrie de la défense peut être un moteur pour l'emploi, la croissance et l'innovation.

 

Le rapport contient des propositions et des actions dans trois domaines :

 

- Renforcer la PSDC : l'Union doit être en mesure de réagir rapidement aux défis sécuritaires – cybersécurité, espace, énergie, sécurité maritime ou des frontières. Pour agir comme garant de la sécurité, nous devons être en mesure de nous engager avec nos partenaires, et de renforcer les capacités des organisations partenaires et des pays tiers, en utilisant tous les outils de notre action extérieure. C'est l'idée de notre approche globale.

 

- Améliorer les capacités de défense européennes : la coopération est devenue essentielle au maintien des capacités et à la réussite de la PSDC. Elle permet aux États membres de développer, acquérir, exploiter et maintenir des capacités ensemble, tirant ainsi le meilleur parti des économies d'échelle potentielles.

 

- Consolider l'industrie européenne de la défense : l’existence d'une base industrielle forte et en bonne santé est une condition préalable pour le développement et le maintien de nos capacités de défense, et pour assurer l'autonomie stratégique de l'Europe. La Commission européenne a présenté en juillet une communication intitulée « Vers un secteur de la défense et de la sécurité plus compétitif et plus efficace en Europe ». Les propositions contenues dans mon rapport complètent le travail de la Commission."

 

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 07:55
Jean-Yves Le Drian teste le FELIN au 2e RIMa, avant de mettre cap au sud

14.10.2013 par P. Chapleau Lignes de Défense

 

Quelques lignes sur la visite du ministre de la Défense au 2e RIMa du Mans, "régiment glorieux entre tous" et dont le drapeau "est celui qui comporte le plus de noms de bataille" (dixit JYLD dans son discours).

Le ministre est arrivé vers 9h15 pour quitter Auvours vers 17h, trois tables rondes, un discours, des présentations (photo ci-dessus) et un déjeuner plus tard (photo ci-dessous).

"J'ai rencontré certains d'entre vous dans l'Amettetaï", a rappelé Jean-Yves le Drian aux militaires avec qu'il a échangé. "D'autres demain s'engageront sur d'autres théâtres" (RCA?). Sur les échanges, peu de précisions mais Louvois a figuré en bonne place.

photo1.jpg

Et après? Cap au sud pour le ministre... Le 23 octobre à Pamiers (1er RCP) pour le 30e anniversaire de l'attaque contre l'immeuble Drakkar à Beyrouth; le 25 octobre à Castelnaudary (4e RE). Et en novembre, un doublé: Castres (8e RPIMa) et Carcassonne (3e RPIMa).

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 07:50
photo Frontex

photo Frontex

 

PARIS, 12 oct 2013 marine-oceans.com  (AFP)

 

Le chef du gouvernement italien Enrico Letta a appelé samedi l'Union européenne à mettre en oeuvre "immédiatement" Eurosur, système de surveillance des frontières de l'UE avec les pays de la Méditerranée, sur la radio française Europe1

 

"On ne peut pas continuer comme ça", a lancé Enrico Letta, au lendemain d'un nouveau naufrage d'un bateau de clandestins au large des côtes italiennes et maltaises, huit jours après celui qui avait coûté la vie à plus de 350 personnes près de l'île de Lampedusa.

 

"Je pense qu'avec les instruments qu'on a mis sur la table jusqu'à maintenant il n'y a pas la possibilité de trouver des solutions efficaces au drame qu'on est en train de vivre", a-t-il dit en réitérant son appel pour que le Conseil européen des 24 et 25 octobre se saisisse du sujet.

 

"Il faut qu'on mette en marche immédiatement Eurosur, il faut que chaque pays soit mis en condition de faire son travail", a-t-il dit.

 

"Il faut qu'il y ait d'avantage de moyens pour surveiller la Méditerranée, et aussi qu'il y ait les conditions pour que les bateaux et avions qui ne sont pas italiens ou maltais ou grecs puissent faire leur travail sans avoir de problèmes juridiques".

 

Le Parlement européen a donné jeudi son aval à la mise en place en décembre d'Eurosur, un système de surveillance des frontières de l'UE avec les pays de la Méditerranée destiné à prévenir les mouvements de migrants.

 

"On est dans une situation dans laquelle tout ce qui est en train de se passer en Afrique du nord, en Erythrée, Somalie, Syrie, fait que l'on est devant une urgence réelle", a ajouté M. Letta. "Le grand problème aujourd'hui c'est la quasi explosion de la situation libyenne", a-t-il insisté.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 07:40
Conseil Russie-Otan: Choïgou participera à la réunion du 23 octobre (source)

BRUXELLES, 14 octobre - RIA Novosti

 

Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou prendra part à une réunion du Conseil Russie-Otan à Bruxelles le 23 octobre, a annoncé lundi à RIA Novosti une source militaire russe.

 

"Notre ministre doit y prononcer un discours important", a indiqué l'interlocuteur de l'agence.

 

La réunion du Conseil aura lieu dans le cadre d'une réunion des ministres de la Défense de l'OTAN prévue pour les 22 et 23 octobre dans la capitale belge.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 07:35
Le porte-avions Admiral Gorchkov quittera la Russie pour l'Inde le 30 novembre (Moscou)

MOSCOU, 14 oct 2013 marine-oceans.com (AFP)

 

Le porte-avions Admiral Gorchkov, un bâtiment rénové de l'époque soviétique, a passé avec succès les essais en mer et quittera les eaux russes le 30 novembre pour être livré à l'Inde avec plus de cinq ans de retard, a annoncé lundi un responsable gouvernemental russe.

 

"Les essais en mer ont été passés avec succès", a déclaré le vice-Premier ministre Dmitri Rogozine, cité par les agences russes.

 

"Les défauts qui étaient apparus pendant les essais l'année dernière ont été complètement rectifiés", a-t-il ajouté lors d'un entretien avec le Premier ministre Dmitri Medvedev.

 

M. Rogozine, responsable de l'industrie de la Défense au sein du gouvernement, a ajouté que le navire, qui sera rebaptisé avant sa livraison INS Vikramaditya, quitterait les eaux russes le 30 novembre en direction de l'Inde.

 

L'Inde avait signé avec la Russie en 2004 un contrat de modernisation de ce navire. Mais sa livraison, prévue au départ à l'été 2008, avait été repoussée de plusieurs années en raison de plusieurs différends financiers, de retards dans la livraison d'équipements ainsi que de problèmes apparus lors de tests.

 

La facture de l'Admiral Gorchkov a depuis plus que doublé à 2,3 milliards de dollars.

 

Ces problèmes avaient tendu les relations entre Moscou et New Delhi, un de ses alliés de l'époque soviétique et premier client de son industrie militaire.

 

La réalisation de ce contrat constitue "une question de prestige pour notre industrie navale", a souligné Dmitri Medvedev.

 

Construit il y a trente ans, l'Admiral Gorchkov rebaptisé INS Vikramaditya doit combler le vide laissé par le tout premier porte-avions indien, l'INS Vikrant, retiré du service en 1997.

 

M. Rogozine a relevé que le navire qui serait livré dépassait les exigences techniques prévues dans le contrat, notamment en termes de vitesse.

 

"J'ai même dit pour plaisanter au ministère indien de la Défense que cela faisait même de la peine de le livrer", a rapporté le vice-Premier ministre.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 07:30
Syrie/armes chimiques: vers la création d'une mission conjointe Onu/OIAC

NEW YORK (Nations unies), 11 octobre - RIA Novosti

 

Le Conseil de sécurité des Nations unies a donné son feu vert à la création d'une mission conjointe de l'Onu et de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), chargée d'éliminer l'arsenal chimique syrien, a appris vendredi à RIA Novosti une source diplomatique au sein de l'Onu.

 

"Dans sa lettre (au secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon, ndlr), le Conseil de sécurité annonce avoir examiné sa proposition et approuvé la mise en place de la mission", a déclaré l'interlocuteur de l'agence.

 

M.Ban avait recommandé lundi la création d'une mission conjointe Onu/OIAC, forte d'une centaine d'hommes. Basée à Damas avec une base arrière à Chypre, elle serait dirigée par un "coordinateur civil spécial". Cette mission sera chargée de détruire les armes chimiques syriennes d'ici le 30 juin 2014.

 

Pour gagner du temps, le Conseil de sécurité a décidé jeudi d'envoyer une lettre au secrétaire général au lieu d'adopter une résolution spéciale.

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 07:30
Syrie: des terroristes formés en Afghanistan (Moscou)

 

MOSCOU, 11 octobre - RIA Novosti

 

Des pays tiers entraînent illégalement en Afghanistan des commandos chargés de lutter contre le régime syrien, en leur apprenant notamment à manier des armes chimiques, a indiqué vendredi à Moscou le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

"On a appris dernièrement que des pays tiers ont illégalement utilisé le territoire afghan échappant au contrôle de Kaboul pour y entraîner des terroristes chargés de combattre le régime syrien, en leur apprenant notamment à manier des substances toxiques", a déclaré M.Lavrov lors d'une conférence de presse.

D'autre part, selon les informations de Moscou, la fameuse cellule islamiste Jabhat al-Nosra ("Front du soutien", ndlr) envisage de livrer sur le territoire irakien des substances toxiques et des spécialistes afin d'organiser des attentats en Irak.

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 20:45
Piraterie maritime Djibouti

Piraterie maritime Djibouti

 

14/10/2013 DPSD

 

Djibouti occupe une position stratégique et, dans ce cadre, le poste de protection et de sécurité de la défense local est, en appui du commandement, à la pointe de la contre-ingérence…

 

L’intérêt de Djibouti n’est plus à démontrer et les forces françaises stationnées à cet endroit constituent la principale implantation militaire en Afrique.

 

La contre-ingérence constitue la priorité du poste afin de renseigner et de prévenir les actes terroristes éventuels à l'encontre des personnes et des installations des forces françaises, de déceler et de prévenir toute menace contre les forces, et de suivre l’activité des puissances étrangères dans un contexte crisogène et concurrentiel marqué.

 

Dans ce contexte, le chef de poste et son adjoint, qui sont les conseillers privilégiés du commandement (COMFOR), sont consultés dans le cadre des mesures de prévention lorsque la sécurité de nos forces et de nos concitoyens est engagée.

 

De plus, la coopération avec nos services homologues alliés, présents à Djibouti, est constante. Les échanges d’informations sont réguliers et les évaluations sécuritaires sont en général établies de manière collégiale.

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 19:55
Quand les sénateurs examinent la LPM : Magnifique ! Les nouvelles Simca 1000 sont arrivées !

14.10.2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord. - Défense Globale

 

Jean-Claude Carrère, le président de la Commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat, évoque une Loi de programmation militaire " d'une grande cohérence mais relativement fragile ". Des euphémismes pour le sénateur socialiste landais, car " le manque de l'un de ses éléments peut mettre l'ensemble en péril ".

 

Si bien que l'examen du rapport et du texte de la Loi de programmation militaire 2014-2019 par la commission, en présence du ministre, Jean-Yves Le Drian, a donné droit à quelques phrases virulentes... Petit florilège.

 

- Daniel Reiner (équipements) : " L'exécution de la précédente loi a moins souffert d'une dérive financière que d'une mauvaise maîtrise de la masse salariale qui est venue amputer les crédits d'équipement. "

 

- Jacques Gautier (équipements conventionnels) : " La loi de programmation va trop loin dans la réduction des cibles des programmes de missiles et de bombes. La cible du scalp naval, déjà ramenée à 200 unités, passe à 150. C'est trop peu, quand on sait que 170 missiles de croisières ont été envoyés sur la Libye aux premiers jours de l'intervention. "

Autre phrase bien sentie : " Quand il s'écoule cinquante ans entre la conception d'un programme et l'arrivée dans les forces du dernier exemplaire, c'est un peu comme si nos soldats s'écriaient : « Magnifique ! Les nouvelles Simca mille sont arrivées ! ». "

 

- Xavier Pintat  (nucléaire et espace) : " Il faut être cohérent : ou bien nous réduisons nos ambitions à la hauteur de nos moyens, ou bien nous nous donnons les moyens de nos ambitions. Cette loi de programmation est ainsi la moins mauvaise possible dans le cadre budgétaire tracé... malheureusement ce cadre budgétaire n'est pas le bon. "

 

- André Dulait (ressources humaines) : " La réussite de la déflation demande que le moral des troupes soit préservé (...) La condition militaire ne doit pas s'écarter excessivement des conditions de travail des civils ; la qualité du recrutement comme la fidélisation des militaires en dépendent. La tentation peut être forte de jouer sur les recrutements si les départs anticipés ou les mobilités vers la fonction publique ne sont pas à la hauteur. Les administrations, qui réduisent leurs effectifs, n'accueillent pas nos militaires à bras ouvert ! "

- Michel Demessine (infrastructures) : " Le réajustement des commandes d'équipement entraînera une adaptation des programmes d'infrastructures qui y sont associés mais dans une moindre mesure : réduisez le nombre de hangars, il faut toujours une piste pour les avions... "

Autre phrase claire : " Ses crédits sont sanctuarisés alors que l'arme nucléaire ne faisant plus face aux menaces actuelles, il est inutile de la moderniser. Ses crédits seraient bien plus utiles à l'armée de terre. "

 

- Gilbert Roger (préparation et maintien en condition opérationnelle) : " Les jours d'entraînement de l'armée de terre ont fondu comme neige au soleil des 150 jours prévus dans la loi de programmation 2009 aux 83 réalisés en 2013.... "

Autre phrase : " On se trouve aujourd'hui dans l'effet de ciseau de ce qu'on appelle la courbe en baignoire : la maintenance d'un parc d'équipement vieilli et hétérogène devient difficile et plus couteuse ; l'arrivée de nouveaux matériels renchérit également le coût d'entretien, insuffisamment couvert par les dotations budgétaires. Puiser dans le stock de pièces de rechange a fini par affecter directement la disponibilité des matériels. Nous avons ainsi de véritables points noirs bien connus : transport stratégique et tactique de l'armée de l'air, patrouille maritime de la marine, AMX10 de l'armée de terre... La prévision de disponibilité est tombée à 40% pour les véhicules de l'avant blindé (VAB), à 50% pour les frégates et à 60% pour les avions de combat de l'armée de l'air. "

 

- André Trillard (recherche et technologie) : " Imaginer le futur de l'avion de combat et avoir les études sur les drones c'est bien ; avoir les drones en vrai c'est bien aussi. je me demande s'il ne faudrait pas dissocier les fonctions d'orientation et d'éclairage stratégique de la recherche des fonctions de conduite des programmes d'armement. Aux États-Unis, la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) est une agence autonome et son action n'est pas absorbée par la lourde responsabilité de définir et de conduire les différents programmes. Or, en France, la Direction générale de l'armement est responsable de tout. "

 

Jean-Louis Carrère (renseignement) : " Les compagnies aériennes françaises transmettent les données PNR aux États-Unis, au Canada et à l'Australie, en vertu d'accords conclus avec l'Union européenne, alors que nos propres services de renseignement ne peuvent y avoir accès. "

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 19:50
Royal Dragoon Guard receives Military Cross

British troops on patrol in Jackal vehicles (library image) [Picture: Leading Airman (Photographer) Si Ethell, Crown copyright]

 

14 October 2013 Ministry of Defence

 

Corporal Oliver Bainbridge has been recognised for his brave actions after his patrol vehicle was hit by a roadside bomb in Afghanistan.

 

Corporal Bainbridge’s troop had been ordered to move into position to watch over 2 Brigade Reconnaissance Force units as they began to move towards a patrol base.

As they moved into position, the lead Jackal vehicle, of which Corporal Bainbridge was the commander, struck an improvised explosive device (IED), disabling the vehicle and engulfing it in debris and dust:

It really threw us about,” he said. “It blew the whole vehicle forward.

Corporal Bainbridge’s driver, who had a suspected broken femur, was semi-conscious and in shock. Quickly seizing control, Corporal Bainbridge conducted effective first aid before reassuring his gunner, who had been blown from the vehicle and was disorientated, and ordering him to safety.

The controlled explosion of a roadside bomb
The controlled explosion of a roadside bomb in Helmand province (library image) [Picture: Crown copyright]

As a medic moved forward to assist, their position came under heavy machine gun fire. Corporal Bainbridge grabbed his injured driver, dragging him to a crater caused by the blast while simultaneously instructing the Vallon (IED detector) team and medic to seek cover.

Corporal Bainbridge lay on the driver, shielding him with his own body while exposing himself to the incoming fire for several minutes. He said:

I just wanted to protect him because he was vulnerable and couldn’t protect himself, so I had to help him.

He then took up a rifle, his own had been broken by the blast, to suppress the firing point before personally co-ordinating the extraction of his driver to the relative safety of a Warthog armoured vehicle:

At the time I just had my mind set on one thing and that was making sure there were no more casualties.

With his crew safe, and with the light fading, Corporal Bainbridge returned to his vehicle to remove all mission-essential equipment, a task that took 2 hours to complete as everything hand been bent and mangled by the blast:

I said I’d do it because the fire was so accurate and I didn’t want people standing there making a bigger target,” he said. “When I’d stripped enough equipment off to make a load I’d call guys forward to get it then they’d drag it back and wait until I’d stripped another load.

Corporal Oliver Bainbridge
Corporal Oliver Bainbridge of the Royal Dragoon Guards [Picture: Corporal Andy Reddy, Crown copyright]

Corporal Bainbridge then moved with his troop to a defensive position 100 metres north of the stricken vehicle and, at first light, he led a 3-man team back to oversee its recovery by a Warthog, under small arms fire.

Despite the risk to his own safety, Corporal Bainbridge returned for a third time to ensure nothing could be exploited by insurgents in a display of personal courage, selfless commitment and inspired leadership:

I’ve been asked why I went back, but it was my vehicle, so it was my responsibility. How can you ask somebody else to go in your place?

This action typifies Corporal Bainbridge’s character; during his military career he has been struck by IEDs on no less than 3 occasions. He said:

Seeing the damage an IED can do, it’s always in my mind. I wouldn’t say it makes you more cautious, but it means you don’t take unnecessary risks.

Corporal Bainbridge was enjoying a break at Bovington Camp when he was called in to see the Colonel:

I thought, oh no, am I in trouble?” admitted Corporal Bainbridge. “And then, when the Colonel told me I was getting an award, I was speechless for ages and then I must admit I swore, and the Colonel said ‘yeah, that would probably have been my first word too!’

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 17:45
Côte d’Ivoire : opération de présence de moyenne durée dans l’Ouest

14/10/2013 Sources : EMA

 

Du 10 au 15 septembre 2013, les militaires de la force Licorne ont effectué une opération de moyenne durée (OPMD) dans l’ouest de la République de Côte d’Ivoire.

 

Ce détachement était composé de deux sections de la 1ère compagnie du 21e Régiment d’infanterie de marine (21e RIMa), renforcées par le peloton d’éclairage et d’investigation du 5ème escadron du 1er Régiment étranger de cavalerie (REC).

 

Les opérations de présence menées par la force Licorne ont pour but de s’assurer de la situation sécuritaire dans le pays et participent au processus de stabilisation en Côte d’Ivoire.

 

Durant cette OPMD, les légionnaires et marsouins du détachement de la force se sont déplacés dans les villes de Bouaflé, de Daloa et de Man, distantes de plus de 400 kilomètres du camp de Port-Bouët à Abidjan. Tout au long de l’opération, des contacts ont pu être établis avec la population et les autorités civiles, militaires et coutumières.

 

A cette occasion, un certain nombre d’actions civilo-militaires ont été conduites au profit des habitants, comme par exemple la distribution de kits scolaires pour les écoles de la région. L’équipe médicale a également effectué des distributions de médicaments et assuré plus de 140 consultations médicales.

 

La force Licorne comprend 450 hommes qui accompagnent la réforme de l’armée ivoirienne, en soutien de l’ONUCI. Elle organise notamment des formations pour les militaires ivoiriens, des aides à la dépollution ou à la destruction de munitions, ainsi que des actions civilo-militaires. Elle est par ailleurs en mesure d’assurer la protection des ressortissants français.

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 17:45
EUTM Mali : début de la formation du 3e GTIA malien

14/10/2013 Sources : EMA

 

Le 7 octobre 2013, sur le camp d’entraînement de Koulikoro, s’est déroulée la cérémonie marquant le début de la formation du 3e GTIA des Forces Armées Maliennes par la Mission européenne d’entraînement au Mali (EUTM Mali), au cours de laquelle les soldats maliens ont symboliquement été mis à la disposition des instructeurs européens d’EUTM Mali pour une durée de 10 semaines.

 

Cette cérémonie s’est tenue à l’issue d’une première semaine dédiée aux formalités d’incorporation et d’évaluation consécutives à l’arrivée du GTIA, qui va à présent entamer deux semaines de formation commune « infanterie », avant de suivre la phase d’instruction par spécialité.

 

Commandé par le lieutenant-colonel Sangaré, le GTIA 3 est constitué de plus de 700 soldats, principalement issus du centre d’instruction des forces armées maliennes de Markala, complétés par des éléments venus de l’ensemble du Mali. Il est articulé autour de trois compagnies d’infanterie, renforcées d’unités d’appui spécialisées (combat blindé, appuis feux, génie, logistique).

 

Il s’agit du troisième bataillon malien à suivre le cursus de formation d’EUTM, après les GTIA Waraba et Elou, dont les formations se sont achevées en juin et septembre 2013. Ce troisième bataillon va ainsi bénéficier du retour d’expérience pris en compte par EUTM Mali suite aux deux précédentes formations.

 

Commandée par le général français Bruno Guibert, la Mission Européenne d’Entraînement au Mali regroupe 550 militaires européens de 23 nationalités différentes, dont 110 militaires français, principalement issus de l’état-major de la 1re Brigade mécanisée de Chalons en Champagne et du 1er Régiment d’infanterie de Sarrebourg.

 

EUTM Mali repose sur deux piliers : une mission de formation des unités combattantes des forces armées maliennes sur le camp d’entraînement de Koulikoro et une mission d’expertise et de conseil assurée par le détachement de liaison et d’expertise (ALTF), destiné à appuyer la réorganisation de l’armée malienne.

EUTM Mali : début de la formation du 3e GTIA malienEUTM Mali : début de la formation du 3e GTIA malienEUTM Mali : début de la formation du 3e GTIA malien
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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 17:45
C-27J Spartans from Alenia Aermacchi

C-27J Spartans from Alenia Aermacchi

 

 

14 October 2013 by Guy Martin - defenceWeb

 

Chad’s Air Force will soon receive two new C-27J Spartan medium transport aircraft from Alenia Aermacchi, with the aircraft undergoing final assembly at the company’s site in Italy.

 

The first C-27J for the Force Aerienne Tchadienne (Chad Air Force) is mostly complete, having had its engines installed ahead of a provisional mid-December delivery, and is undergoing avionics and mission systems installation. The fuselage of the second aircraft will shortly arrive at Alenia’s Caselle site in Turin, where the C-27J final assembly line is located.

 

Training of Chadian flight crew and technicians is currently underway in preparation for delivery of the aircraft later this year.

 

The Chad Air Force has a small transport fleet, comprising of a couple of Antonov An-26s (which entered service in 1994) and a single Lockheed Martin C-130 (which entered service in 1989). It is possible that the An-26s will be replaced by the C-27Js.

 

Chad began discussing the possible purchase of Spartans some years ago, with a leaked 2009 US diplomatic cable discussing the possibility of Chad buying C-130Js or C-27Js. “Purchasing C-27Js would be more economical for the GOC [Government of Chad] than buying C-130Js and might be no more expensive than buying refitted C-130Hs,” the cable read. “The C-27Js can land at many more airports in Chad than the bigger C-130s, either Js or Hs, thus complementing USG [US Government] efforts to make the Chadian military capable of combating terrorism in Chad's vast, remote, under-populated, and under-governed northern Saharan and Sahelian regions.”

 

Morocco is the only other C-27J operator in Africa, having bought four Spartans in October 2008. The first was delivered in July 2010. Morocco selected the C-27J for its ability to operate without under extreme environmental conditions, and without deployed ground support.

 

Alenia Aermacchi is gearing up to deliver another two C-27Js to Australia, as part of its May 2012 order for ten, and the final three of 21 for the US Air Force, which will place them in storage after the 2012 decision to stop flying the type.

 

The C-27J has been selected by more than ten countries, including Australia, Bulgaria, Greece, Italy, the United States, Lithuania, Romania, Morocco, Slovakia, Mexico and Chad and has flown missions in Iraq and Afghanistan. The aircraft has a payload capacity of 11.5 tons and can carry 60 troops or 36 litters with six attendants.

 

The Spartan’s closest competitor, the Airbus Military CN235/C295, has also been pushing for African sales, and has gained orders in Algeria, Cameroon, Egypt and Ghana.

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 17:45
SERVAL en appui aux FAMa et à la MINUSMA pour sécuriser Kidal

 

14/10/2013 Sources : EMA

 

Depuis le 1er octobre 2013, le bataillon sénégalais de la MINUSMA, le détachement de liaison et d’appui (DLA) de la force Serval et une section du groupement tactique interarmes Désert mènent des patrouilles mixtes dans la ville de Kidal et ses environs, afin de sécuriser la région.

 

Les DLA ont un rôle fondamental au sein du dispositif déployé dans le nord du Mali. Ils coordonnent les opérations entre les forces internationales de la MINUSMA, les forces armées maliennes et la force Serval : « nous avons pour mission d’entretenir dans un premier temps la coordination et la cohérence des actions entre la force Serval et les contingents de la MINUSMA. Nous n’avons pas les mêmes procédures de travail, notre objectif est de rationaliser ces méthodes pour mieux agir, notamment dans le domaine des transmissions, puis de mutualiser les moyens. Nous avons également pour mission d’appuyer le commandement des contingents des forces concourantes, à l’aide des moyens spécialisés dont nous disposons, comme dans les domaines du déminage, de l’appui feu, de l’appui sanitaire, etc. » précise le commandant du DLA déployé à Kidal.

 

Environ 3200 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.

SERVAL en appui aux FAMa et à la MINUSMA pour sécuriser Kidal
SERVAL en appui aux FAMa et à la MINUSMA pour sécuriser Kidal
SERVAL en appui aux FAMa et à la MINUSMA pour sécuriser Kidal
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