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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 12:45
photo EUTM Mali

photo EUTM Mali

23 mai 2013 EUTM Mali

 

La mission EUTM Mali a reçu la visite d’autorités civiles et militaires européennes venant de Bruxelles le samedi 18 mai 2013. En effet, M. Maciej Popowski, secrétaire général adjoint du Service européen pour l’action extérieure (SEAE), et le Général Patrick de Rousiers, chairman du comité militaire de l’Union Européenne, se sont rendu au Mali afin de rencontrer les autorités maliennes et la mission Européenne.

 

Ils ont démarré leur visite au Main Head-Quarters de l’Union Européenne de Bamako où il leur a été présenté la mission EUTM Mali et tout particulièrement le pilier « Expertise-Conseil ». Puis, ils ont rencontrés le premier ministre malien, monsieur Diango Sissoko, et le ministre de la défense malien, le général Yamoussa Camara.

 

Ils se sont ensuite déplacés vers Koulikoro. Ils ont, au cours d’une courte cérémonie, pu rencontrer les formateurs européens et le général de Rousiers s’est adressé à eux pour leur dire toute sa satisfaction personnelle mais également celle des 27 états membres devant le travail accompli. Après une présentation du pilier « formation », ils ont pu visiter le camp de Koulikoro, rencontrer le bataillon Waraba et déjeuner avec des cadres européens et maliens.

 

De retour à Bamako, ils ont tenu une conférence de presse avec monsieur l’ambassadeur Zink, chef de la délégation de l’UE au Mali, monsieur Walter Stevens (SEAE) et legénéral Lecointre, commandant EUTM Mali.

 

Reportage photo

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 12:45
Des militaires de l'armée de terre chinoise. Photo DoD/1st Class Chad J. McNeeley

Des militaires de l'armée de terre chinoise. Photo DoD/1st Class Chad J. McNeeley

 

24 mai 2013 par: Romain Mielcarek - ActuDéfense

 

La Chine devrait participer à la mission de maintien de la paix de l’ONU, au Mali. 500 hommes, principalement du génie, qui représenterait le plus gros déploiement dans ce domaine de la part de Pékin.

 

Des casques bleus chinois au Mali ? Ce n’est pas encore officiel, mais des sources diplomatiques au sein des Nations unies ont laissé fuiter ce projet de Pékin. La Chine envisagerait en effet de participer à la Mission intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma) à hauteur de quelques 500 hommes.

 

Une vraie première pour la Chine qui n’a jamais déployé un contingent aussi important au cours de missions de maintien de la paix. L’armée populaire déploie à l’heure actuelle quelques 2000 casques bleus sur divers théâtres d’opération (Liban, RDC, Côte d’Ivoire, Haïti, Soudan). Une bonne partie de ces militaires – on parle de 155 – seraient issus du génie. On peut donc logiquement supposer que cette unité serait principalement consacrée à des missions de génie, le reste des hommes s’occupant de la protection des spécialistes.

 

L’envoi d’un tel contingent au Mali, par la Chine, peut être perçu comme un geste diplomatique fort. Les relations entre Pékin et les pays Occidentaux au sein des Nations unies se sont en tendues à mesure que le blocage sur le conflit syrien perdure. La Chine reste le principal pourvoyeur de casques bleus parmi les membres du Conseil de sécurité.

 

La Minusma doit comporter à terme 12 600 soldats. Son mandat prévoit de protéger les populations mais lui donne aussi la possibilité d’anticiper une attaque terroriste en prenant une posture plus offensive que dans d’autres opérations du même type. C’est d’ailleurs la première fois que des casques bleus vont être confrontés à un contexte terroriste tel que celui qui caractérise la zone sahélienne.

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 12:45
photo EUTM Mali

photo EUTM Mali

21 mai 2013 EUTM Mali

 

Le vendredi 17 mai 2013, les compagnies d’infanterie, l’escadron de cavalerie et la section du génie du bataillon Waraba ont débuté une instruction au combat en localité. Profitant de bâtiments abandonnés dans les alentours de Koulikoro, ils ont entamé un aspect très spécifique de leur apprentissage qu’ils seront certainement amenés à rencontrer dès qu’ils seront déployés dans le nord du Mali.

 

En effet, le combat en localité est un aspect particulier, de plus en plus présent, des guerres modernes. Chaque unité suivra une séance d’instruction chaque semaine durant les quatre dernières semaines de leur formation. Ce qui correspondant à environ 30 heures.  Pour la première séance, l’objectif prioritaire a été de leur apprendre les savoir-faire de base de ce combat spécifique : Le déplacement dans une rue d’un village, l’organisation d’un « Check Point » dans le centre d’une ville et la fouille d’une maison.

 

Si les démonstrations sont menées par les instructeurs européens, très vite l’encadrement de la compagnie prend à sa charge le drill et reprend ses soldats jusqu’à ce que les gestes deviennent des réflexes.

 

Chaque compagnie aura l’occasion de renouveler plusieurs fois ces exercices durant les prochaines semaines. Avant de conclure leurs 10 semaines de formation par un exercice de synthèse de 3 jours du niveau du bataillon.

 

Reportage photo

Arme lourde sur véhicule en appui

Arme lourde sur véhicule en appui

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 12:20
Plus de 70 entreprises canadiennes ont décroché des contrats pour le programme de F-35, le Joint Strike Fighter. Cela représente environ 450 millions de dollars. - photo Lockheed Martin

Plus de 70 entreprises canadiennes ont décroché des contrats pour le programme de F-35, le Joint Strike Fighter. Cela représente environ 450 millions de dollars. - photo Lockheed Martin

23 mai 2013 Marie Tison - La Presse

 

Les entreprises canadiennes qui sont déjà à bord du F-35 devront céder leur place, si le Canada opte finalement pour un autre avion de chasse.

 

«Les bénéfices industriels vont aux entreprises des pays qui achètent ou ont l'intention d'acheter le F-35, a déclaré Dave Scott, directeur de l'engagement des clients internationaux pour le F-35 chez Lockheed Martin, en marge d'une rencontre avec les journalistes organisée hier à Montréal. S'il y a un changement et si un pays décide de ne pas acheter le F-35, nous allons rectifier le tir et nous tourner vers d'autres pays.»

 

Il a spécifié que les contrats en cours seront complétés, mais qu'ils ne seront pas renouvelés. Comme la plupart des contrats sont annuels, les entreprises se retrouveront assez rapidement le bec à l'eau.

 

M. Scott a toutefois indiqué que Lockheed Martin procédera cas par cas: une entreprise qui fournit un produit exceptionnel pourrait donc réussir à faire renouveler son contrat.

 

Plus de 70 entreprises canadiennes ont décroché des contrats pour le programme de F-35, le Joint Strike Fighter. Cela représente environ 450 millions de dollars.

 

Le gouvernement du Canada avait annoncé son intention d'acquérir 65 appareils F-35, mais, à la suite de rapports négatifs, il a lancé un nouveau processus pour examiner les cinq appareils qui pourraient répondre à ses besoins: le F-18 de Boeing, le Rafale de Dassault, l'Eurofighter Typhoon d'EADS, le Gripen de Saab et le F-35.

 

Le directeur du développement des affaires d'Héroux-Devtek, Jean Gravel, a avoué que la perspective de voir Ottawa se tourner vers un autre avion de chasse le rendait nerveux.

 

«Lorsqu'il s'agit de suivre le cahier des charges de Lockheed Martin, ils ne sont pas obligés de renouveler avec nous, a-t-il déclaré à La Presse Affaires en marge de la rencontre d'hier. Mais il y a des pièces que nous avons conçues. C'est un peu plus solide.»

 

Héroux-Devtek fabrique des systèmes de verrouillage de portes pour le F-35.

 

Larry Fitzgerald, directeur général chez PCC Aerostructure Dorval, a noté que les chaînes d'approvisionnement des autres appareils considérés par Ottawa étaient établies depuis bien longtemps. Il serait donc difficile de s'y insérer. «Une occasion comme le F-35, on n'en verra pas d'autres dans cette génération», a-t-il affirmé.

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 11:55
Les 60 ans de la Grande Dame

23/05/2013 Armée de l'Air

 

Pour son soixantième anniversaire, la Patrouille de France démontrera tout son savoir-faire, notamment les 25 et 26 mai 2013, lors des journées de la base aérienne 701 de Salon-de-Provence, terre d’accueil de la PAF depuis 1964.

Le 17 mai 1953, l’enthousiasme provoqué par les acrobaties aériennes de quatre F-84G Thunderjet au meeting aérien d’Alger signe l’acte de naissance de la Patrouille de France (PAF). Soixante ans plus tard, la grande Dame, comme elle est affectueusement appelée, se porte comme un charme !

Depuis sa création, la Patrouille de France contribue à tisser des liens puissants entre la Nation et ses aviateurs. Comme le souligne le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air, « cet engouement ne s’est jamais démenti, car les Français sont très sensibles à la part de rêve que suscite chacune de ses démonstrations. »

Aux côtés des autres ambassadeurs de l’armée de l’air, tels que les peintres de l’air, la Musique de l’air, les parachutistes ou les équipes de présentations en vol, la PAF offre une vitrine exceptionnelle du savoir-faire des forces aériennes françaises. En effet, ses pilotes, ainsi que l’ensemble de son personnel, proviennent directement des unités de l’armée de l’air. «La Patrouille de France symbolise la quintessence de notre métier, car son ballet est le résultat d’un entraînement régulier et très exigeant, estime le général Mercier. Il y a une vraie continuité entre leur rôle au service de leur mission opérationnelle et celui d’ambassadeurs où ils concrétisent la qualité du travail réalisé dans leurs unités.»

Retrouvez le programme de cet évènement exceptionnel en cliquant sur ce lien :  http://www.60ansdelapaf.fr/

Les 60 ans de la Grande Dame

DVD Patrouille de France

 

Nouvelle référence du genre, ce film retrace son histoire, la vie de l’équipe, l’entraînement des pilotes, leurs frissons, leurs émerveillements. Fou d’avions et de belles images, Éric Magnan, le réalisateur, a capté des moments exceptionnels avec des moyens exceptionnels. Les passionnés y trouveront leur graal, le film dont ils n’avaient jamais osé rêver, tandis que les profanes découvriront une histoire, un univers esthétique et une émotion qui les marqueront à jamais.

D’Éric Magnan ; Airborne films :
www.patrouilledefrancelefilm.com ; Prix du coffret 2 DVD
sorti le 20 juin: 19,99 €.

Les 60 ans de la Grande Dame
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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 11:50
L'exercice Titanium Falcon met en œuvre des moyens britanniques et français

L'exercice Titanium Falcon met en œuvre des moyens britanniques et français

23/05/2013 Armée de l'air

 

L’exercice franco-britannique Titanium Falcon 13 se déroule du 14 au 24 mai 2013, sur la base aérienne britannique de Leeming. Il sera suivi de Joint Warrior 13-2, exercice de type « livex » (avec mission réelle), au mois d’octobre.

 

Faisant appel à plus de 250 personnes dont 60 Français, il a nécessité le déploiement d’un élément précurseur SIC (systèmes d’information et de communication) du groupement de télécommunications (GT) d’Orléans et du GTSIC aéronautiques d’Évreux, depuis le 26 avril.

 

Cet exercice de type CPX/CAX (command post exercice/computer assistedexercice - poste de commandement assisté par ordinateur) a pour objectif d’entraîner les deux nations, dans le cadre de la préparation à la force franco-britannique interarmées projetable (Combined Joint Expeditionary Force - CJEF) et à la montée en puissance d’un commandement interarmées de la composante «air» (Joint Forces Air Component Command - JFACC) commun aux deux nations.

 

Mis à profit pour confronter les différents modes de fonctionnement des JFACC français et britannique, il favorise le développement des procédures opérationnelles communes et améliore l’interopérabilité des moyens SIC qui seraient utilisés pour une opération réelle conjointe.

 

Au-delà des aspects opérationnels et techniques, cet exercice a également été l’occasion, par les échanges entre les personnels, de renforcer la connaissance mutuelle de nos deux armées de l’air.

 

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 11:45
Kenya to get UAVs to monitor small arms trafficking as insecurity worsens

22 May 2013 by Oscar Nkala - defenceWeb

 

The United States and Japan have agreed to fund Kenya to purchase unmanned aerial vehicles (UAVs) for border patrol duties as the country steps up efforts to crack down on small arms trafficking.

 

Patrick Ochieng, director of the Kenya Focal Point on Small Arms and Light Weapons, said that the two countries would help fund the purchase of UAVs, which would cut down on crime in Kenya.

 

The move followed shortly after the government announced plans to acquire firearms detectors to be deployed at border posts to search for firearms and other ordnance in cars, luggage and bulk haulage vehicles.

 

According to a recent survey conduct by the Kenya Action Network on Small Arms, the country is awash with more than 600 000 illegal firearms while the capital Nairobi is one of the biggest open markets for illegal small arms after Mogadishu.

 

Addressing journalists during a tour of the restive northern town of Garissa late last week, Ochieng said Kenya urgently needed the UAVs to monitor porous borders and track the movement of illegal weapons which are flowing freely from the wars in neighbouring Ethiopia and Somalia into Kenya and Tanzania.

 

“We need a concerted effort internationally, regionally and nationally in order to gain ground in this fight against small arms and that is why our development partners have decided to come in and assist us,” Ochieng said.

 

Kenya says the free flow of small arms has contributed to widespread insecurity, especially among pastoralist communities where firearms have replaced traditional weapons in wars over pasture, water and cattle rustling.

 

Due to high demand, illegal arms dealing has become a highly profitable business in Kenya with illegal weapons dealers in Nairobi believed to be selling low-calibre pistols for as much as US$140 while AK-47 and other automatic assault rifles sell for up to $500.

 

Garissa County commissioner Mohamed Maalim said that weapons are being concealed in bags of sugar and imported into the country.

 

As part of the crackdown on small arms, Kenya and Tanzania have also launched the first in a series of planned security operations along their common borders with the aim of seizing all illegally held firearms.

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 11:45
Etude de l'IRSEM n°25-2013 : Les défis stratégiques africains : la gestion de la conflictualité en Afrique Centrale

22/05/2013 IRSEM

 

Sous la direction de Amandine GNANGUÊNON, avec les contributions de Catherine GUICHERD, Angela MEYER, Germain-Hervé MBIA YEBEGA, Flora BOUBOUR, Laura SALICH DI FRANCESCA, Geoffroy MONTAGNE, Nicolas TEINDAS, Samuel NDUTUMU, Romain ESMENJAUD, Benjamin BIBAS

 

Dans la continuité des travaux menés au sein des ateliers de l'IRSEM sur les défis de la conflictualité en Afrique de l'Ouest et en Afrique de l'Est, cette étude propose un tour d'horizon des problématiques liées à l'Afrique centrale. Un premier constat s’impose : l'Afrique centrale est en proie aux mêmes problématiques sécuritaires que le reste du continent. La multiplicité des facteurs de conflit (sociaux, politiques, économiques, sanitaires et environnementaux) pose la question de leur gestion par les Etats africains aux niveaux national, régional et continental.

 

Le rapport de force entre le pouvoir politique et les acteurs militaires constitue le fil directeur de cette étude et le point commun entre les différentes aires géographiques en Afrique. Il continue d’évoluer dans un contexte de tensions permanentes où la promotion d’un ordre régional doit s’imposer sur le désordre que les régimes politiques sont tentés d’instrumentaliser pour assurer leur survie. Chaque région a finalement son laboratoire pour expérimenter l’efficacité des modes de résolution des conflits. En Afrique centrale, il s’agit essentiellement de la République démocratique du Congo à l’Est et des pays du Golfe de Guinée à l’ouest.

 

Etude de l'IRSEM n°25-2013

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 11:45
Etude de l'IRSEM n°25-2013 : Les défis stratégiques africains : la gestion de la conflictualité en Afrique Centrale

22/05/2013 IRSEM

 

Sous la direction de Amandine GNANGUÊNON, avec les contributions de Catherine GUICHERD, Angela MEYER, Germain-Hervé MBIA YEBEGA, Flora BOUBOUR, Laura SALICH DI FRANCESCA, Geoffroy MONTAGNE, Nicolas TEINDAS, Samuel NDUTUMU, Romain ESMENJAUD, Benjamin BIBAS

 

Dans la continuité des travaux menés au sein des ateliers de l'IRSEM sur les défis de la conflictualité en Afrique de l'Ouest et en Afrique de l'Est, cette étude propose un tour d'horizon des problématiques liées à l'Afrique centrale. Un premier constat s’impose : l'Afrique centrale est en proie aux mêmes problématiques sécuritaires que le reste du continent. La multiplicité des facteurs de conflit (sociaux, politiques, économiques, sanitaires et environnementaux) pose la question de leur gestion par les Etats africains aux niveaux national, régional et continental.

 

Le rapport de force entre le pouvoir politique et les acteurs militaires constitue le fil directeur de cette étude et le point commun entre les différentes aires géographiques en Afrique. Il continue d’évoluer dans un contexte de tensions permanentes où la promotion d’un ordre régional doit s’imposer sur le désordre que les régimes politiques sont tentés d’instrumentaliser pour assurer leur survie. Chaque région a finalement son laboratoire pour expérimenter l’efficacité des modes de résolution des conflits. En Afrique centrale, il s’agit essentiellement de la République démocratique du Congo à l’Est et des pays du Golfe de Guinée à l’ouest.

 

Etude de l'IRSEM n°25-2013

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 11:45
Mali: point de situation du 23 mai

23/05/2013 Sources : EMA

 

Point de situation sur les opérations de la force Serval depuis le jeudi 16 mai à 18 heures jusqu'à ce jour 18 heures.

 

Au cours de ces 7 derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ cent vingt sorties, dont la moitié a été consacrée aux opérations de transport dans le cadre de la relève de la brigade Serval.  Une trentaine de sorties a été consacrée au soutien des opérations (ravitaillement et renseignement) et autant à l’appui feu des opérations.

Mali: point de situation du 23 mai

Alors que la relève de la brigade se termine, les opérations se poursuivent. Au centre du pays, sur la boucle du Niger, les unités de la force Serval, depuis Gao, ont poursuivi leurs opérations de sécurisation dans la région. Au Nord, une mission de reconnaissance a été menée dans la région de Tessalit par le 1er régiment étranger de cavalerie (1er REC).

Mali: point de situation du 23 mai

Du 17 au 20 mai, une trentaine de sapeurs  du 31e  Régiment du génie (31e RG) ont installé un pont « Bailey » à Tassiga, dans l’Est du pays, situé sur un axe majeur entre le Niger et le Nord Mali. Ce pont renforce l’ouvrage détruit par les groupe terroristes en février dernier. Cette opération a permis de rétablir la circulation et par la même occasion les échanges commerciaux avant le début de la saison des pluies. Aux abords du pont, une section de légionnaires du 2e Régiment étranger d’infanterie (2e REI) et une section du bataillon nigérien de la MISMA ont assuré la protection du chantier.

Mali: point de situation du 23 mai

Le 19 mai 2013, une délégation de l’ONU conduite par madame Haq, secrétaire générale adjointe à l’appui aux missions, s’est rendue à Gao pour préparer le déploiement de la Mission des Nations unies de stabilisation au Mali (MINUSMA) à compter de l’été.  A cette occasion, elle a rencontré à Gao le général Kolodziej, commandant la brigade Serval, et à Bamako le général de Saint Quentin, commandant la force Serval.

Mali: point de situation du 23 mai

Le 20 mai 2013 à Gao, a eu lieu le transfert d’autorité entre le Groupement tactique interarmes numéro 2 (GTIA 2) et le GTIA Désert. Le colonel Eric Ozanne, chef de corps du 2e régiment étranger d’infanterie (2e REI) a ainsi succédé au colonel Bruno Bert, chef de corps du 92e régiment d’infanterie (92e RI). Initialement, la brigade Serval comptait 3 GTIA et 1 GAM. Avec la réarticulation du dispositif, un unique GTIA, désormais baptisé « Désert », et 1 GAM arment désormais la brigade Serval. Le GTIA Désert est composé d’unités provenant principalement de la 6e Brigade légère blindée (6e BLB) : un état-major tactique et  une compagnie d’infanterie sur VAB du 2e REI, une compagnie VBCI du 1er Tirailleurs (1er RTIR), une compagnie de combat du génie, un détachement de Fouille Opérationnelle Spécialisée (FOS) et une Equipe Opérationnelle de Déminage (EOD) du 1er Régiment étranger de génie, d’un escadron blindé monté sur AMX 10-RC du 1er Régiment étranger de cavalerie et d’un groupement artillerie composé CAESAR de 155mm et de mortiers de 120mm.

Mali: point de situation du 23 mai

L’ensemble des unités qui compose le GTIA Désert opéreront en vue de faciliter le déploiement sur le terrain de la MISMA, puis de la MINUSMA, ainsi que les forces armées maliennes accompagnées par la mission de l’Union européenne EUTM.

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 11:45

23/05/2013 IRSEM

 

Conférence-débat IRSEM - Ouest France/Lignes de défense, à 18h00

Avec le général de division (2s) Maurice de Langlois, Sonia Le Gouriellec, Oswald Padonou. Table ronde animée par Philippe Chapleau.

 

Locaux de Ouest-France, 38 rue du Pré Botté, Rennes, Métro République.

 

Présentation - Inscriptions

 

Mali, Centrafrique, Livre blanc, terrorisme, coopération...: voici les thèmes dont vont débattre intervenants et auditeurs, lundi 27 mai, lors d'une conférence-débat co-organisée à Rennes par Ouest-France et l'IRSEM. L’IRSEM relance à cette occasion ses forums en les déplaçant dans les régions; cette première expérience aura lieu à Rennes (à 18h), en collaboration avec Ouest-France/Lignes de défense qui l'accueillera dans ses locaux de la rue du Pré-Botté, à Rennes (métro République). L'entrée sera libre.

Au menu: " La présence militaire française en Afrique ".

 

Trois intervenants :

 
- Le général de division (2S) Maurice de Langlois, directeur du domaine "Sécurité européenne et transatlantique" de l'IRSEM,
- Sonia Le Gouriellec, doctorante rattachée à l’IRSEM, spécialiste de l'Afrique de l'Est, qui anime le blog Good Morning Afrika.
-  Oswald Padonou, chercheur béninois, co-auteur du livre Le Bénin et les Opérations de Paix: pour une capitalisation des expériences, L'Harmattan, Paris, 2011. Il est également l'auteur de "La Force Africaine en Attente (FAA) à l’épreuve des crises et conflits : les défis d’un outil à renforcer", communication présentée lors du colloque des 26 et 27 avril 2012 organisé par l’Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole Militaire (IRSEM) à Paris.

 

Philippe Chapleau animera cette table ronde à laquelle les organisateurs invitent tous ceux qui s'intéressent à l'Afrique, aux Opex françaises, à la diplomatie, au développement... Et qui ont envie d'en débattre.

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 10:45
Le général KOLODZIEJ, le colonel BERT et le colonel OZANNE au TOA du GTIA2

Le général KOLODZIEJ, le colonel BERT et le colonel OZANNE au TOA du GTIA2

22/05/2013 Sources : EMA

 

Le 20 mai 2013 à Gao, a eu lieu le transfert d’autorité entre le Groupement tactique interarmes numéro 2 (GTIA 2) et le GTIA Désert. Le colonel Eric Ozanne, chef de corps du 2e régiment étranger d’infanterie (2e REI) a ainsi succédé au colonel Bruno Bert, chef de corps du 92e régiment d’infanterie (92e RI).

 

Au cours de la cérémonie, le général Laurent KOLODZIEJ, commandant la brigade Serval a félicité les « Gaulois » du 92eRI ainsi que toutes ses unités subordonnées pour l’excellent travail accompli dès les premières heures de l’opération.

 

Initialement, la brigade Serval comptait 3 GTIA. Avec la réarticulation du dispositif, un unique GTIA arme désormais la brigade Serval. Ce dernier est désormais baptisé « Désert ».

 

Le GTIA Désert est composé d’unités provenant principalement de la 6e Brigade légère blindée (6e BLB) : un état-major tactique et une compagnie d’infanterie sur VAB du 2eREI, une compagnie VBCI du 1er Tirailleurs (1erRTIR), une compagnie de combat du génie, un détachement de Fouille Opérationnelle Spécialisée (FOS) et une Equipe Opérationnelle de Déminage (EOD) du 1er Régiment étranger de génie, d’un escadron blindé monté sur AMX 10-RC du 1er Régiment étranger de cavalerie et d’un groupement artillerie composé CAESAR de 155mm et de mortiers de 120mm.

 

L’ensemble de ces unités opéreront, en vue de faciliter le déploiement sur le terrain de la MISMA, puis de la MINUSMA, ainsi que les forces armées maliennes accompagnées par la mission de l’Union européenne EUTM.

Le colonel BERT et le colonel OZANNE au TOA du GTIA2

Le colonel BERT et le colonel OZANNE au TOA du GTIA2

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 10:45
Tchad : campagne de tir interarmes à Tchigchika

22/05/2013 Sources : EMA

 

Du 15 au 17 mai 2013, les éléments français au Tchad ont conduit une campagne de tir interarmes et interarmées sur le champ de tir de Tchigchika, situé à plus de 850 kilomètres à l’Est de N’djamena.

 

Les 15 et 16 mai, la campagne a débuté par un tir d’entraînement au canon de 90mm pour les Engins Roues Canons (ERC 90 Sagaie) de l’escadron blindé du groupement terre de la force Épervier armé par le 3e régiment de Hussards. Lors de ces deux premiers jours, les Sagaie ont tiré une soixantaine obus.

photo EMA

photo EMA

Le 17 mai, l’ensemble des unités des groupements air et terre a participé au parcours de tir interarmées. Ce parcours de tir collectif est une succession de tirs coordonnés. Selon le scénario déterminé, les tirs et les déplacements sont effectués en ambiance tactique aux ordres des chefs de troupes.

Tchad : campagne de tir interarmes à Tchigchika

Au sol, le groupement terre avait déployé un peloton de trois ERC 90 Sagaie, une section d’infanterie du 110e RI et une batterie du 8e RA avec des mortiers de 81mm et 120mm, accompagnées de leurs équipes d’observation. Ces dernières font l’acquisition des objectifs à vues directes, transmettent les demandes de tir et observent les résultats en vue d’améliorer l’efficacité des tirs et de les évaluer. Auprès d’eux, une équipe TAC-P (Tactical Air Control Party) était chargée de guider l’action des Rafale.

 

Dans les airs, une patrouille constituée de deux avions Rafale, guidée par les TAC-P, a effectué des largages de bombes d’exercice lors de passes LGTR (Laser Guiding Training Rocket) et des passes canon de 30 mm. Cet exercice de tir était une première pour les Rafale nouvellement déployés au Tchad. Un hélicoptère Puma Pirate de l’aviation légère de l’armée de Terre (ALAT) a également effectué des tirs avec son canon de 20mm en sabord.

 

 

Ce type d’exercice permet de maintenir une capacité opérationnelle nécessaire pour mener à bien les missions Épervier. Les éléments français au Tchad (EFT) de la force Épervier assurent deux missions permanentes : conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad, ils apportent un soutien logistique (ravitaillement, carburant, transport, formation) ainsi qu’un appui renseignement aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes. Ils garantissent également la protection des intérêts français et, tout particulièrement, la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 16:55
Un master "PPP Sécurité Défense" à l’Institut Supérieur de la Défense et de l’Armement

22.05.2013 par P. CHAPLEAU Lignes de Défense

 

Externalisation, partenariats Public-Privé... Difficile de fermer les yeux sur une tendance forte dans les domaines Sécurité Défense. C'est dans cette optique que l’Institut Supérieur de la Défense et de l’Armement (ISAD) a décidé de développer son master professionnel "Défense et Dynamiques Industrielles" en ajoutant à la filière traditionnelle  "Contrats d’Armement" en formation initiale (alternance) et en formation continue (convention avec l’Ecole de guerre et la DCSD du Ministère des Affaires Etrangères), une  filière "PPP Sécurité-Défense" en formation continue.

 

Programme de la filière "PPP Sécurité-Défense":

 

1. Cette formation, qui s’adresse à des personnes âgées de plus de 26 ans, est en formation continue. Les cours se déroulent de 18h à 21h dans les locaux de l’Université Paris 2 (soit au centre Panthéon soit au centre Assas);

 

2. Les cours se déroulent du 15 septembre 2013 au début juillet ; ils comprennent 11 modules d’enseignement et deux modules de formation à la négociation et au lobbying. Les étudiants devront rédiger un mémoire en vue de l’obtention du diplôme;

 

3. La formation dispensée permet d’obtenir un Master 2. Cette formation est susceptible d’être étalée sur deux années.

 

Module de base (72 heures de cours), comportant trois enseignements à choisir dans le tronc commun du Master « Défense et Dynamiques Industrielles ». Les étudiants devront sélectionneront trois cours parmi les cinq suivants : 1. Théories de la sécurité (24h) 2. Éthique et Relations Internationales (24h) 3. Economie de la défense (24h) 4. Cadre juridique de la défense (24h) 5. Puissance et mondialisation (24h)

 

Module de spécialisation (192h de cours), comportant 8 enseignements : 1. Droit des marchés publics (24 h) 2. Droit des délégations de service public et des contrats globaux (24 h) 3. Méthodes d’évaluation des politiques publiques (24h) 4. Les externalisations du Ministère de la Défense (24h) 5. La coproduction de sécurité (24h) 6. La mutualisation des soutiens (24h) 7. Gestion et contrôle des organisations (24h) 8. Retour d’expérience : le cas américain en Irak (24h)

 

Module « Métiers » 1. Négociation 2. Lobbying

 

Mémoire de recherche.

 

Renseignements pratiques:

Coût de la formation : 4 850 €.

Contact : Professeur Jean-Jacques Roche: Mel : jjroche@noos.fr, tél : 06 82 96 09 37

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 16:55
photo H Laurent AdT EMA

photo H Laurent AdT EMA

21 Mai 2013 Jean-Dominique Merchet

 

Un entretien avec le général Arnaud Sainte Claire-Deville, commandant l'Ecole de Cavalerie.

 

 

Le général Arnaud Sainte Claire-Deville commande les Ecoles militaires de Saumur, dont fait partie l’Ecole de Cavalerie. A ce titre, il est le « père » de cette Arme et nous poursuivons avec lui notre tour d’horizon de l’armée de terre. Le général Sainte Claire-Deville, 53 ans, a notamment commandé le 3ème régiment de hussards, une unité de la Brigade franco-allemande, et la 2ème Brigade blindée.

Mon général, on parle désormais de la Cavalerie et non plus de l’Arme Blindée Cavalerie (ABC). De quand date ce changement ?
Officiellement, on parle de la cavalerie blindée, mais de plus en plus on dit simplement cavalerie (qui couvre mieux la diversité de notre arme). L’Ecole que je commande à Saumur a changé de nom en 2009 : d’Ecole d’application de l’arme blindée cavalerie (EAABC), elle est devenue Ecole de cavalerie. Elle appartient au pôle de formation de Saumur, qui compte également le Centre d’études et d’enseignement du renseignement de l’armée de terre (CEERAT), le centre de défense NBC (CDNBC) et l’école d’état-major, qui était précédemment à Compiègne. Au total, 600 permanents pour 3500 stagiaires chaque année.
 
Que représente la cavalerie au sein de l’armée de terre ?
C’est l’une des trois armes de mêlée, avec l’infanterie et l’Alat. Nous sommes l’arme du combat embarqué : nous combattons à bord de nos véhicules, comme nous le faisions auparavant sur nos montures.
La cavalerie, c’est 7000 hommes, soit 10% des forces terrestres et 7% des effectifs totaux de l’armée de terre.
C’est, au total et avant les mesures qui découleront du nouveau Livre blanc, une force de 50 escadrons de combat : 16 escadrons de Leclerc, 21 escadrons de blindés à roues (AMX 10 RC et Sagaie), 7 escadrons d’aide à l’engagement, à vocation antichar (VBL Milan, VAB Hot, etc.) et 6 escadrons d’éclairage et d’investigation (EEI) sur VBL. Il y a onze régiments. 4 sur Leclerc : le 12ème cuirassiers (Olivet), le 501ème régiment de chars de combat (Mourmelon), le 4ème dragons (Carpiagne) et le 1er chasseurs (Verdun). Il y a 7 régiments roues-canon : le 4ème chasseurs (Gap), le 1er hussards para (Tarbes), le RICM (Poitiers), le 1er régiment d’infanterie de marine (Angoulême), le 1er Spahis (Valence), le 1er étranger de cavalerie (Orange) et le 3ème hussards (Metz). On trouve également 6 EEI rattachés directement à leurs brigades. Plusieurs autres unités appartiennent à la famille cavalerie. Deux régiments de renseignement : le 13ème RDP et le 2ème RH. Ainsi que le 2ème Dragons spécialisé dans la défense NBC, deux régiments axés sur la préparation opérationnelle des forces : le 1er Chasseurs d’Afrique, (Canjuers) et le Centac de Mailly (qui conserve les traditions du 5ème Dragons), enfin le centre sportif d’équitation militaire de Fontainebleau, héritier du 8ème Dragons.
En terme d’équipement, la Cavalerie aligne aujourd’hui 254 chars Leclerc, 256 AMX 10RC, 110 ERC Sagaie et 912 VBL.

La cavalerie est-elle une arme très sollicitée ?
Sur nos 50 escadrons, nous en avons actuellement 10 engagés : 7 en opex, 3 dans les forces prépositionnées (2 dans leur métier de cavalier et 1 en structure proterre). Soit 20% du total. Compte tenu des relèves, cela signifie qu’en un an 60% des escadrons sont engagés et sur deux ans, tous le sont !

Et au Mali, par exemple ?
Le ratio entre la cavalerie et l’infanterie est d’environ un pour deux. Nous avons deux escadrons d’AMX 10RC, un escadron d’aide à l’engagement (VAB et VBL) et un état-major tactique. Nos moyens nous permettent d’acquérir du renseignement tactique, de créer la surprise, de reprendre l’initiative face à des menaces inopinées en appliquant des feux précis et puissants, d’aller plus vite et plus loin. Le Mali se prête, par exemple, aux raids blindés. La cavalerie joue un rôle important dans le contrôle de zone, sur de vastes territoires, notamment grâce à nos systèmes embarqués de numérisation de l’espace de bataille.

Quel est l’avenir de vos matériels ?
Nous nous inscrivons dans le cadre du programme Scorpion. La première étape, c’est d’abord l’EBRC (engin blindé de reconnaissance et de combat), le blindé médian qui doit remplacer les AMX 10RC et les Sagaie et la rénovation des Leclerc pour le combat en zone urbaine, c’est aussi l’évolution des SIC et à la marge l’arrivée du VBMR (pour nos véhicules de commandement), successeur du VAB. La seconde étape sera le remplacement des VBL avec l’arrivée du VBAE, le véhicule blindé d’aide à l’engagement.

Quel est le calendrier pour le nouveau char, l’EBRC ?
L’AMX 10 RC est arrivé en 1983, il y a donc trente ans… S’il dure quarante ans, il faut donc penser à un renouvellement à partir du début des années 2020.

"La cavalerie, c'est cinquante escadrons très sollicités"

Lorsqu’on visite des régiments, on est frappé par le peu de blindés qui y sont. Qu’en est-il ?
C’est le résultat de notre politique d’emploi et de gestion du parc (PEGP), qui vise à rationaliser l’emploi de nos moyens et à faire des économies. Nos blindés sont répartis entre quatre parcs différents : le service permanent, dans les régiments, l’entrainement, dans les grands camps, l’alerte à Miramas, et le parc de gestion. Si l’on prend un régiment Leclerc, c’est sur le papier un RC60, c’est-à-dire un régiment de chars à 60 blindés. Mais sur place, on ne trouve que 18 Leclerc, dans le parc de service permanent. Compte tenu de la disponibilité technique opérationnelle, en permanence une douzaine est vraiment disponible pour l’entrainement de base, de niveau peloton. Lorsque le régiment entraine ses escadrons, il le fait dans les camps de Champagne ou de Provence en s’appuyant sur les chars du parc d’entraînement.

Recrutez-vous facilement ?
Oui, nous n’avons aucun problème de recrutement. Nous sommes l’arme qui sort le mieux au niveau des écoles d’officiers et de sous-officiers. L’esprit cavalier et les chars attirent toujours.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 16:55
Assemblage d’un missile Exocet. Photo MBDA

Assemblage d’un missile Exocet. Photo MBDA

19 mai 2013 Par Olivier Fourt  -Lignes de défense

 

Dans la Chronique Défense de ce dimanche 19 mai, Olivier Fourt nous conduit aujourd’hui dans le centre de la France, à la découverte de l’usine dans laquelle sont fabriqués les célèbres missiles Exocet. Pour la première fois, une radio a été autorisée à effectuer un reportage sur le site de la chaine d’assemblage. Une zone placée sous haute surveillance où ces missiles antinavires très perfectionnés sont l’objet de toutes les attentions.

L’usine ou naissent les missiles « Exocet »
(02:59)
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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 16:45
Liberian soldiers deploying to Mali participate in IED recognition course

22 May 2013 by Africom

 

Armed Forces of Liberia (AFL) soldiers slated to deploy to Mali completed an improvised explosive device recognition course provided by the US military’s Operation Onward Liberty mentors at Edward Binyah Kesselly Military Barracks earlier this month.

 

The IED recognition course, held on May 3, built on prior IED familiarization and lane exercises, in which squads cycle through various scenarios, to provide the deploying soldiers with additional IED experience in preparation for their upcoming deployment, US Africa Command (Africom) said.

 

Onward Liberty (OOL) is a U.S. Marine Corps Forces Africa-led operation comprised of joint U.S. service members who mentor and advise the AFL in order to develop a national military that is responsible, operationally capable and respectful of civilian authority and the rule of law. OOL’s goal is to assist the AFL in building a professional and capable military force that can effectively contribute to the overall security environment in Liberia.

 

OOL personnel continue to mentor AFL leaders and training staff at all levels to ensure the deploying platoon is properly trained and equipped to succeed in partner-nation operations in Mali and to represent Liberia as a legitimate, capable and professional force for good.

 

U.S. Marine Corps 1st. Lt. Robert Rivera, AFL engineer mentor, oversaw the planning and execution of the IED lane course. “The purpose of this course was to identify strengths and improvement areas for the platoon and to build on their prior training ahead of their deployment,” he said. “They’ve received basic IED training and seen scenario lanes, and this training built on that. They encountered four different lanes which each entailed a dynamic, Mali-focused threat they may encounter.”

 

Rivera added that the platoon excelled at the entry control point lane specifically. “I was very impressed with the quality of their performance there,” he said. “I’m confident that they’ll be able to build on that and work on their improvement areas to continue to gain overall proficiency.”

 

AFL 1st. Lt. Nathaniel Waka, platoon commander, said that the combination of lane training and IED recognition posed a new challenge for his soldiers. “We’ve had training on each previously, but these scenarios were new,” he said. “The course was invaluable for helping the troops think on their feet and react in dynamic situations. With each new course and phase of training, our soldiers continue to improve and grow in confidence and proficiency.”

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 16:40
Iak-130: les Forces aériennes russes s'équipent de trois appareils

IRKOUTSK, 22 mai - RIA Novosti

 

L'usine aéronautique d'Irkoutsk a remis trois avions d'entraînement et de combat russes Iakovlev Iak-130 au centre de formation des Forces aériennes russes de Borisoglebsk (région de Voronej, sud-est), lit-on mercredi sur le site du constructeur. 

 

"Il s'agit du premier lot de Iak-130 destinés aux Forces aériennes russes de l'année 2013", indique le communiqué. 

 

En vertu du contrat passé le 5 décembre 2011, le chantier d'Irkoutsk, qui fait partie du groupe aéronautique Irkout, doit livrer au ministère russe de la Défense 55 avions d'entraînement et de combat de type Iak-130.

 

A présent, le parc des Forces aériennes russes compte 29 Iak-30, dont 18 construits par le groupe aéronautique Irkout et 11 autres par l'usine aéronautique Sokol de Nijni Novgorod. La livraison de 15 autres avions de ce type est prévue avant 2014. 

 

Conçu par le bureau d'études Iakovlev, le Iak-130 permet de perfectionner les compétences des pilotes d'avions russes et étrangers de 5e génération. Il s'agit d'un avion universel d'entraînement et de combat qui peut être utilisé comme un chasseur léger.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 16:35
Inde: test réussi pour un missile naval BrahMos

NEW DELHI, 22 mai - RIA Novosti

 

L'Inde a testé mercredi avec succès son missile de croisière naval BrahMos lancé pour la première fois depuis la frégate Tarkash, construite en Russie, a annoncé à RIA Novosti une source au sein du ministère indien de la Défense.

 

"Le missile a effectué une manœuvre suivant la trajectoire fixée et a détruit sa cible", a déclaré l'interlocuteur de l'agence.

 

Selon lui, des missiles BrahMos équiperont les trois frégates construites en Russie en vertu du contrat de 2006: le Tarkash, le Teg et le Trikand. Les deux premiers navires sont déjà en service, le Trikand doit bientôt arriver en Inde de Kaliningrad (enclave russe sur la Baltique).

 

Les premiers missiles de cette classe ont été livrés aux forces armées indiennes en 2005.

 

Ils sont fabriqués par la coentreprise russo-indienne BrahMos fondée en 1998. La société tient son nom des premières syllabes du fleuve indien Brahmapoutre et de la rivière russe Moskova.

 

Il s'agit d'un missile supersonique à propergol solide pesant 2,55 tonnes. Long de 8,3 mètres, il a un diamètre de 0,67 mètre. Doté d'une ogive de 200 à 300 kg, le BrahMos est capable de neutraliser les cibles à une distance de 290 km.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 16:35
La Chine va accorder une aide militaire gratuite à l'Azerbaïdjan

22 Mai 2013 Rachad Suleymanov – APA

 

Bakou.-  La Chine va fournir une aide militaire gratuite pour les forces armées de l'Azerbaïdjan.

 

APA rapporte que l'aide sera mise en œuvre sur la base de l'accord signé le 21 Janvier de cette année entre les ministères de la défense de l'Azerbaïdjan et de la Chine.

 

Selon l'accord, la Chine va fournir aux forces armées azerbaïdjanaises, une assistance gratuite de la propriété militaire d’un montant de 3 millions de yuans (490.000 USD). Les types et montants des aides seront confirmés selon le protocole additionnel signé entre les parties.

 

L'accord a été signé par l'attaché militaire des forces armées azerbaïdjanaises, capitaine 1er rang Nurulla Aliyev, et le porte-parole du ministre chinois de la Défense, général Chi Guoveem.

 

Notons que dans le cadre du protocole​ signé en 2011, le ministère chinois de la Défense avait fourni une assistance gratuite de la propriété militaire d’un montant de 6 millions de yuans (951.067 USD) aux forces armées azerbaïdjanaises.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 16:35
Le ministre indien de la défense reconnait les limitations opérationnelles pour le déploiement des sous-marins

22 mai 2013 Par Rédacteur en chef. PORTAIL DES SOUS-MARINS

 

Alors que le nombre de sous-marins indiens devrait atteindre son minimum en 2015, le ministre de la défense, AK Antony, a reconnu les limitations dans la capacité de la marine à déployer la totalité de sa flotte sous-marine.

 

La marine indienne dispose actuellement de 14 sous-marins, dont un à propulsion nucléaire loué à la Russie. Cependant, la force réelle de la flotte sous-marine est bien moins importante, en raison de la disponibilité opérationnelle des sous-marins.

 

« Il y a des contraintes opérationnelles en ce qui concerne les sous-marins classiques, » a expliqué le ministre Antony dans un discours.

 

Un rapport confidentiel du ministère avait averti en avril dernier que l’Inde n’avait jamais été dans une situation aussi vulnérable et que sa flotte sous-marine était dans « un état très précaire ».

 

Au contraire de la flotte réduite de l’Inde, la Chine dispose d’environ 45 sous-marins, dont 2 SNLE. Elle prévoit aussi de construire 15 sous-marins classiques de la classe Yuan supplémentaires, grâce à l’achat de moteurs diesel allemands.

 

La taille de la flotte sous-marine indienne est environ la même que celle dont disposera dans 2 ans la marine pakistanaise.

 

En 2015, la marine ne disposera plus que de 6 à 7 sous-marins, dont le seul et unique SNLE, l’INS Arihant, puisqu’elle va commencer à désarmer l’an prochain les sous-marins des classes Kilo et U-209.

 

Antony a souligné que « les finances ne seront jamais une contrainte pour des acquisitions importantes, mais doivent être utilisés judicieusement. »

 

La marine a demandé au gouvernement de lancer immédiatement un appel d’offres pour acheter 6 sous-marins, un programme appelé P-75I.

 

DCNS, HDW, Rosoboronexport et Navantia devraient faire des propositions en réponse à cet appel d’offres.

 

Référence : Hindustan Times (Inde)

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 16:35
A Lynx Mk9A helicopter flying over the desert in Helmand province (library image) [Picture: Corporal Barry Lloyd, UK MoD]

A Lynx Mk9A helicopter flying over the desert in Helmand province (library image) [Picture: Corporal Barry Lloyd, UK MoD]

 

22 May 2013 Ministry of Defence

 

The final tour of duty in Afghanistan of the Commando Helicopter Force fliers of 847 Naval Air Squadron (847 NAS) has ended today, 22 May.

 

The Lynx helicopter crews, based at Royal Naval Air Station Yeovilton in Somerset, ended their fourth and final deployment to Afghanistan after a 4-month tour of duty working out of Camp Bastion as the ‘eyes in the skies’ for ground forces and RAF Chinook and Merlin helicopters.

847 NAS deployed to Afghanistan in January after a 2-year break from deployments to the country, this time flying Army Air Corps wheeled Lynx Mk9As.

A Lynx Mk9A helicopter coming in to land
A Lynx Mk9A helicopter coming in to land (library image) [Picture: Corporal Barry Lloyd, Crown copyright]

As well as lacking the distinctive skids of the Lynx aircraft previously flown by the squadron, the Mk9As have more powerful engines – the same as those fitted to the Wildcats which are replacing them – and are armed with a 0.5-inch calibre machine gun.

The missions ranged from escorting RAF helicopters around Helmand to acting as the airborne eyes of international and Afghan troops and security forces when conducting patrols outside operating bases.

To meet those demands, 847 NAS’s engineers and technicians put in 10,500 man-hours of work on the helicopters over 103 shifts. The result was a serviceability rate of over 80% – and over 90% in the final month of the deployment – and 650 hours flown by the squadron.

This detachment has seen weather comparable to the cold temperatures of Norway and, more recently, in the mid-30s Celsius. Personnel also struggled with a tropical storm which led to a flood sweeping through the aircraft hangar, regular sandstorms and some of the highest gusts of winds ever recorded in Helmand during the final days of their deployment.

Lynx Mk9A helicopter
A Lynx Mk9A helicopter run by Naval Air Squadrons working from Camp Bastion in Helmand province (library image) [Picture: Leading Airman (Photographer) Alex Cave, Crown copyright]

847 NAS’s Commanding Officer, Lieutenant Colonel Nick Venn Royal Marines, said his men and women left Afghanistan having forged ‘an enviable reputation’ with all the units they had worked with since January – and having achieved ‘some real operational successes’:

This tour has been an exceptionally busy one in which the squadron has made a very positive contribution to operations in Helmand – a contribution that is universally recognised out here,” he said.

The fantastic work rate and innovation of the engineering team has ensured that, despite only a small pool of aircraft, we have been able to ‘punch above our weight’, consistently ensuring that we always have aircraft ready to meet operational demands.

In no small part, the work of the squadron has also contributed directly to helping create the secure environment that the Afghans need as they move towards effective self-governance and security; the same secure environment that will allow the UK to leave Afghanistan in due course.

Having handed over duties to the Army Air Corps’ 661 Squadron, 847 NAS was due back at RAF Brize Norton this afternoon, before personnel are bussed down to Yeovilton for reunions with loved ones.

After leave, 847 NAS personnel will begin the conversion process as they get to grips with the Wildcat which is replacing all the Fleet Air Arm and Army Lynx helicopters in the coming years; the squadron is the first front line unit to get its hands on the new helicopter.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 15:55
Défense : la rigueur rattrape les programmes d'armement

23/05/2013 Michel Cabirol – La Tribune.fr

 

Selon nos informations, le ministère de la Défense pourrait geler environ 400 millions d'euros de crédits de paiements (sur 1,5 milliard d'euros) destinés aux petits programmes d'armement. Ce sont les programmes de l'armée de terre qui seraient visés par la rigueur budgétaire qui s'impose aux armées.

 

Après le Livre blanc, retour aux affaires courantes au ministère de la Défense. Et la rigueur budgétaire est bien là. Elle pèse même sur les budgets équipements de l'armée française. Ce qui n'est pas une surprise tant le budget 2013 est serré, très serré, notamment le programme 146 (Equipement des forces). Selon des sources concordantes, les Autres opérations d'armement (AOA), un jargon budgétaire qui désigne en fait la plupart des petits programmes d'armements des trois armées, feraient l'objet d'un gel de l'ordre de 400 millions d'euros sur un total d'environ 1,5 milliard d'euros en 2013 en crédits de paiements (CP). "C'est la direction générale de l'armement qui a averti l'Etat-major des armées (EMA) qu'elle neutralisait 400 millions d'euros", explique-t-on à La Tribune. A côté de AOA, les budgets des Programmes d'équipements majeurs (PEM) et de la dissuasion s'élèvent respectivement à 5,2 milliards d'euros (CP) et 2,5 milliards en 2013. Au sein du ministère de la Défense, on précise que la décision n'est pas encore prise.

 

L'armée de terre en première ligne

 

La Marine et l'armée de l'air semblent être épargnéespar ce gel. Pourquoi ? Parce qu'elles ont passé des contrats pluriannuels qui rigidifient la dépense. Ce qui n'est pas le cas de l'armée de terre, qui a une multitude de petits contrats. Selon nos informations, près des deux tiers des programmes de l'armée de terre seraient menacés, notamment des programmes de véhicules et des programmes de remplacement de roquettes anti-chars, qui pourraient être des AT4 CS, fabriquées par la société suédoise Bofors.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 15:55
photo .ville-bruz.fr

photo .ville-bruz.fr

22 Mai 2013 par Édouard MARET auprès d’Olivier Lesbre, dirigeant de DGA MI à Bruz.

 

DGA-MI, à Bruz, accueille d'un bon oeil le Livre blanc de la Défense et de la sécurité. L'emploi, dans ce fleuron technologique français, est prospère.

 

Le Livre blanc conforte-t-il les missions de DGA-MI (Direction générale de l'armement - maîtrise de l'information), à Bruz ?

 

Oui, les grandes orientations définies dans le Livre blanc confirment la priorité accordée aux domaines sur lesquels DGA-MI intervient. Je note, d'abord, la volonté de maintenir notre base technologique et industrielle de défense, critique pour notre souveraineté. C'est la mission de la DGA de l'entretenir, et elle s'appuie pour cela sur ses centres d'expertise comme DGA-MI. Ensuite, deux domaines techniques vont bénéficier de moyens nettement accrus : le renseignement et la cyberdéfense. Et ces deux domaines sont au coeur de nos activités.

 

La hausse de vos effectifs profite-t-elle particulièrement au domaine de la cyberdéfense ?

 

Après les transferts d'activités en provenance de Vernon dans les domaines des missiles et de la navigation, c'est maintenant le renforcement de notre compétence nationale dans le domaine de la cyberdéfense qui explique l'essentiel de l'accroissement de nos effectifs. Nous créons, chaque année, plusieurs dizaines de postes d'ingénieurs dans ce domaine : comme l'avait confirmé le ministre lors de son passage à Bruz en septembre dernier, deux cents embauches sont programmées jusqu'en 2017.

 

Aujourd'hui, la totalité des experts employés à Vernon ont-ils quitté ce site pour Bruz ?

 

La totalité des 200 postes d'experts techniques de Vernon a bien été transférée à Bruz. Mais tous les experts de Vernon n'ont pas fait de même : ils sont 80 à avoir suivi leur poste, ce qui est plutôt bien pour un tel mouvement. Les 120 autres postes ont été pourvus par des recrutements directs ou des mobilités professionnelles d'ingénieurs et techniciens qui travaillaient dans d'autres centres. Ces transferts d'activités, effectués entre 2009 et 2012, sont achevés. Au total, l'effectif du site est passé de 950 à 1 250 personnes, et nous avons significativement élargi notre domaine de compétence, en ajoutant les missiles et la navigation à la maîtrise de l'information et à la guerre électronique.

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23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 14:54
Jean-Yves Le Drian jeudi à Moscou

22 mai 2013 Par Europe1.fr (AFP)

 

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian sera jeudi à Moscou où il s'entretiendra avec son homologue russe Sergueï Choïgou, avant de participer à une conférence internationale sur le thème de la sécurité de l'Europe, a annoncé mercredi la Défense. Le ministre français doit arriver dans la capitale russe mercredi soir et avoir dès jeudi matin "un entretien politique" avec Sergueï Choïgou, nommé à son poste en novembre 2012 et que M. Le Drian n'a encore jamais rencontré, a-t-on précisé de même source. Jean-Yves Le Drian doit ensuite participer à une conférence internationale organisée par le ministère russe de la Défense sur la sécurité de l'Europe, et prononcer un discours sur ce thème, a-t-on encore indiqué à son ministère.

 

Il fera également la promotion du Livre blanc des armées développant la stratégie de défense de la France pour les années à venir, comme il l'a fait récemment en se déplaçant à Bruxelles, Londres et Washington. Sur le plan politique, Paris reproche régulièrement à Moscou son soutien au régime syrien, et François Hollande a estimé jeudi dernier qu'il fallait convaincre la Russie que "son intérêt est d'en terminer avec Bachar al-Assad". Washington et Moscou ont repris ce mois-ci l'initiative sur le dossier en tombant d'accord sur la nécessité d'une conférence internationale, baptisée "Genève 2", pour permettre un début de dialogue entre représentants de l'opposition et du régime syrien.

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