10 juin 2015
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photo EMA / Armée de Terre
08/06/2015 Sources : État-major des armées
Le Sous-Chef Opérations de l’État-major des armées, le général de corps d’armée Castres, s’est rendu le 28 mai 2015 sur le site de 9.1 à Dayr Kifa au Liban.
Dans le cadre de cette visite, le général s’est vu présenté l’ensemble des capacités opérationnelles de la FCR (Force Commander Reserve). Plusieurs démonstrations ont été faites lui permettant ainsi de rencontrer une délégation de nombreux soldats représentant la diversité du contingent français. Il a ensuite partagé un moment de détente et de convivialité avec eux autour d’un repas typiquement libanais.
Afin de bénéficier d’une vue d’ensemble des sites français dans le sud Liban, le général de corps d’armée Castres accompagné du général Hautecloque-Raysz (Senior National Representative) et du colonel Hasard, chef de corps de la FCR, s’est rendu sur le poste de 6.41. Après avoir visité le camp, le lieutenant Place, chef de section de la batterie, a présenté l’ensemble du matériel.
La FCR est l’élément d’intervention d’urgence de la FINUL, en mesure de se déployer sur court préavis. Elle peut intervenir dans toute la zone d’opération au profit des bataillons de casques bleus de 36 nationalités différentes, dans le cadre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Présente depuis 1978 au Liban, la France est l’un des principaux pays contributeurs de la FINUL, avec près de 900 soldats déployés en permanence. La grande majorité d’entre eux arme la FCR qui est directement placée sous les ordres du général commandant la FINUL et est en mesure d’agir au profit de tous les contingents déployés sur l’ensemble de la zone d’action de la FINUL, dans le cadre de la résolution 1701. Le volet naval de cette mission comporte en permanence plusieurs frégates déployées en force constituée (la Task Force 448). Leur mission : surveiller les approches maritimes du Liban, et empêcher l’introduction d’armes par la mer.
photo EMA / Armée de Terre
10 février 2015
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photo Thomas Baronnet - PR / Elysée
09 Février 2015 valeursactuelles.com
COULISSES. Il y a un an, alors qu’il venait d’avoir 61 ans, le général Benoît Puga, chef d’état-major particulier du président de la République, a vu son mandat prolongé de manière exceptionnelle, retardant ainsi une retraite qu’il se voyait prendre à la grande chancellerie de la Légion d’honneur.
Mais à l’été prochain, la question de son départ se posera de nouveau. Au sein de la “grande muette”, beaucoup voient le général Didier Castres, qui a déjà travaillé à l’Élysée, occuper ce poste, à défaut d’avoir pu devenir chef d’état-major de l’armée de terre. À moins qu’un marin ne revienne à l’Élysée. Dans ce cas, tout le processus de succession de l’amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la marine, promis pour la retraite dans quelques mois, se trouverait gelé.
11 juin 2014
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Sauf changement de dernière minute et dans l'attente d'une nomination en conseil des ministres, le général Jean-Pierre Bosser devrait être désigné prochainement comme Chef d'Etat-Major de l'Armée de Terre (CEMAT). Il coifferait ainsi sur le poteau le général Didier Castres, longtemps donné comme favori.
Issu des paras-colo, Jean-Pierre Bosser, 54 ans, a commandé le 8ème RPIMa puis la 11ème Berigade parachutiste. Il est aujourd'hui à la tête de la DPSD (Direction de la protection et de la sécurité de la défense). A ce poste sensible, il jouit de la pleine confiance du cabinet du ministre de la défense, qui souhaitait, il y a quelques mois encore, le maintenir dans cette fonction.
Jean-Pierre Bosser est sans doute le candidat préféré de l'état-major de l'armée de terre, où l'on ne voit pas toujours d'un bon oeil l'arrivée du général Castres, au caractère trop entier. A cet égard, Jean-Pierre Bosser offre un profil très différent : «calme, posé, serein», c'est ainsi que le présentent ceux qui le cotoient.
L'armée de terre est une institution très secouée par les récentes réformes et les dysfonctionnements (Louvois). Son moral est fragile et la fonction de Cemat est devenue celle d'un super-DRH.
4 décembre 2013
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04/12/2013 Sources : EMA
Le 21 novembre 2013, le général de corps d’armée Didier Castres, sous-chef opérations de l’état-major des armées (EMA) s’est rendu auprès des militaires français participant à la mission européenne d’entrainement des forces armées maliennes (EUTM), sur le camp de Koulikoro.
Accueilli par le général Bruno Guibert, commandant la mission EUTM, le sous-chef opération a assisté à un exercice de contrôle de zone mené par les soldats maliens du bataillon « Sigui », troisième bataillon malien à être formé par les instructeurs d’EUTM.
Cet entraînement s’inscrivait dans un exercice se déroulant sur trois jours. Il avait pour objectif de mettre en pratique les savoir-faire acquis au cours de sept semaines de formation. Il s’agissait de confronter les militaires à des situations auxquelles ils pourront avoir à faire face après leur déploiement et de valider l'intégration et la coopération entre les différentes unités du groupement tactique interarmes (GTIA). C’est une des dernières étapes de la formation de bataillon "Sigui" avant l'exercice final et l'achèvement de l’instruction dispensée sous la responsabilité d’EUTM Mali.
Différents incidents ont ponctué les trois jours d’exercice : IED, attaques du point de contrôle par des rebelles ou infiltrations de nuit. Des situations mettant en application les cours de droit international humanitaire dispensés tout au long de leur entrainement ont également été simulées. Ces incidents spécifiques avaient pour objectif d’apprendre aux militaires maliens à gérer des situations imprévues, tout en menant leur action principale.
EUTM Mali a pour mission de former les unités combattantes des forces armées maliennes sur le camp d’entraînement de Koulikoro. Elle a également un mandat d’expertise et de conseil, assuré par le détachement de liaison et d’expertise (ALTF), destiné à appuyer la réorganisation de l’armée malienne.
Commandée par le général français Bruno Guibert, la mission européenne d’entraînement au Mali regroupe 550 militaires européens, de 23 nationalités différentes, dont 110 militaires français. Les militaires français sont principalement issus de l’état-major de la 1re Brigade mécanisée de Chalons en Champagne et du 1er Régiment d’infanterie de Sarrebourg.