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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 08:55
Les Fusiliers-Marins à Dixmude (oct. 1914)

 

11.11.2015 par Marine Nationale

 

"Octobre 1914 à Dixmude en Belgique. 6500 fusiliers marins - des poupins ou presque - font face à 40000 allemands. Leur mission ? Les ralentir et surtout leur barrer la route de Dunkerque. Dans la glaise, les cendres et sous une pluie d'obus, ces "Demoiselles aux pompons rouges" (leur surnom du fait de leur jeune âge) résisteront, avec courage et héroïsme, trois semaines durant. Dans les dernières semaines de 1914, sous le commandement d'une grande figure militaire, l'amiral Ronarc'h, les fusiliers marins gagnent ainsi leurs titres de gloire et entrent dans la légende de la Grande Guerre dans la bataille de Dixmude. Ces courageux soldats auront bon nombre d'autres occasions de s'illustrer au cours du conflit."

 

Reportage photos

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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 21:55
photos Marine Nationale

photos Marine Nationale

 

6 Mars 2015 Source : Marine nationale

 

Le 6 mars 2015, la nouvelle promotion des quartiers de maître de la flotte (QMF) de la spécialité fusilier marin a été baptisée au cours d’une cérémonie de tradition de l’École des fusiliers marins qui s’est tenue sur le port de Kerroc’h en Ploemeur.

 

Sous la présidence de l’amiral Coupry, commandant la force maritime des fusiliers marins et commandos, en présence de M. Rouillard, député de la 5e circonscription du Morbihan, de M. Loas, maire de Ploemeur et de Mme Lies Laridon, bourgmestre de Dixmude, la promotion des QMF a reçu le nom de baptême du matelot « Jean-Marie Chaton »,  d’après un matelot né à Ploemeur, engagé dans la brigade de fusiliers marins de l’amiral Ronarc’h et tombé au combat à Dixmude au cours de la bataille des Flandres, le 10 novembre 1914. Après le baptême, les matelots se sont vu remettre les fourragères de l’École par leurs anciens de la force des fusiliers marins et commandos.

 

La cérémonie s’est poursuivie par une remise de décoration à des membres des commandos Trépel et Kieffer et de l’école des fusiliers marins et du capitaine de frégate de réserve Leclerc. L’après-midi, le souvenir de la bataille de Dixmude a été à nouveau évoqué avec la remise, par Mme Laridon, de terre de Flandres au musée des fusiliers marins.

École des fusiliers marins : cérémonie de promotion matelot ChatonÉcole des fusiliers marins : cérémonie de promotion matelot Chaton
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13 décembre 2014 6 13 /12 /décembre /2014 08:55
Exposition "Amiral Ronarc'h, bataille de Dixmude" (11 dec – 29 jan 2015)

 

Source Marine Nationale

 

Le Service Historiqe de la Défense (SHD) de Brest propose au grand public l'exposition « Amiral Ronarc’h – bataille de Dixmude » présentée à bord du BPC Dixmude lors des commémorations de la bataille de Dixmude qui se sont déroulées dans la première quinzaine d'octobre 2014.

 

Cette exposition, réalisée par des élèves du lycée Amiral Ronarc’h de Brest, en partenariat avec la Marine nationale, est labellisée par la Mission du Centenaire. Elle est composée de quinze panneaux explicatifs et d'objets remarquables issus de fonds privés et de la Marine. Le SHD de Brest offre la possibilité aux Brestois de découvrir un épisode décisif de la Grande Guerre au cours duquel les fusiliers marins se sont particulièrement illustrés sous le commandement de l'Amiral Ronarc'h.

 

Du lundi 8 décembre 2014 au jeudi 29 janvier 2015

Hall d'accueil du SHD, du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h à 17h30

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1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 08:55
Dixmude et ses demoiselles

 

20 Novembre 2014 Marine Nationale

 

Octobre 1914 à Dixmude en Belgique. 6 500 fusiliers marins -  des poupins ou presque - font face à 40 000 allemands. Leur mission ? Les ralentir et surtout leur barrer la route de Dunkerque. Dans la glaise, les cendres et sous une pluie d’obus, ces « Demoiselles aux pompons rouges » (leur surnom du fait de leurs jeunes âges) résisteront, avec courage et héroïsme, trois semaines durant. Ce Beau-Livre leur rend hommage, 100 ans exactement après. Auteur d’un précédent ouvrage sur le commandant Philippe Kieffer, l’historien Benjamin Massieu continue d’imprimer sa marque à l’encre Marine.

 

 

Dixmude et ses demoiselles

Les demoiselles aux pompons rouges - La résistance héroïque des fusiliers marins à Dixmude de Benjamin Massieu. Préface de Jean-Yves Le Drian. 112 pages – 19.90 €  (Pierre de Taillac)

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12 novembre 2014 3 12 /11 /novembre /2014 17:50
Dixmude, tenir coûte que coûte


23 Octobre 2014 LV (R) Pascal Boisson, Docteur en histoire, Centre de Recherche Historique de l'Ouest

 

Août 1914, le contre-amiral Ronarc’h chargé de maintenir l’ordre dans Paris et de défendre ses environs forme «une brigade de fortune». Il rassemble 6 585 marins originaires majoritairement de Bretagne dont un quart de fusiliers brevetés. Finalement les armées ont besoin d'eux pour d'autres théâtres d'opérations. Ainsi, le 8 octobre, la brigade se porte au secours des Belges en retraite. Retour sur l’action des fusiliers marins entre le 16 octobre et le 10 novembre 1914.

 

 

Les marins embrigadés viennent de tous les horizons. Paul Petit-Dutaillis, un des médecins de la brigade, note dans ses souvenirs : «Les hommes de cette brigade étaient de tous âges : il y en avait de moins de 20 ans et de plus de 50 ans. On y trouvait toutes les spécialités, aussi bien des timoniers, des gabiers, des infirmiers, des soutiers, des électriciens, que de véritables fusiliers, et des canonniers sans canon». Nombreux sont ceux qui, improvisés officiers ou officiers-mariniers, rempliront avec courage des rôles auxquels ils n'étaient pas préparés. L’extrême jeunesse de certaines recrues, qui surprend bon nombre de leurs compatriotes, leur vaut le surnom de « demoiselles aux pompons rouges ».

Après leur baptême du feu à Melle, les fusiliers s'établissent à Dixmude, position stratégique, tête de pont d’une ligne de résistance qui s’appuie sur le petit fleuve Yser depuis Nieuport. Le 16 octobre, la brigade brise le premier assaut des divisions allemandes lancées dans la course à la mer pour s'emparer de Dunkerque et Calais. Le 24, l'amiral reçoit l’ordre de tenir «coûte que coûte tant qu’il restera un fusilier marin vivant».

Les conditions de vie des soldats au front sont atroces. Le quartier-maître Luc Platt évoque dans sa correspondance les souffrances physiques et morales des longs moments passés dans les tranchées quand il ne se bat pas : «Sur une nuit de douze heures, chacun de nous monte six heures de garde : deux fois trois heures ! Il fait, la nuit, un froid terrible, et il faut rester trois heures sans bouger ni dormir. Je vous assure que c’est là le plus pénible du métier : on a beau mettre les pieds dans le sac à viande avec deux paires de chaussettes, on est transformé en glaçon». Les maux dont souffrent les hommes sont multiples : gelures, fièvres, dysenterie, maladies vénériennes, parasites, affections dentaires et cutanées, bronchites, conjonctivites.

Dans ces conditions difficiles, le rôle du lieutenant de vaisseau Jean Pinguet est primordial pour ses hommes : « Quand ils sont trop à me regarder ainsi, comme des chiens battus qu’on mène à l’assommoir, je chante quelque refrain du bataillon, un de ceux qu’ils connaissent tous. L’effet est immédiat : ils oublient la canonnade, et, sur la ligne, cinq ou six chansons s’élèvent, déclenchant les rires partout. C’est le facteur moral qui donne».

 

L'ESPRIT DE RÉSISTANCE

Ronarc'h permet à l’armée belge d’échapper à l’encerclement et à l’armée française de contenir les tentatives d’enfoncement du front avant de le consolider jusqu'en 1918. La résistance acharnée de l'amiral marquée par la ténacité et l’héroïsme de ses hommes n’est finalement submergée que le 10 novembre, jour de la prise de la ville par les Allemands. Ses marins, nous dit Dutaillis, «ont toujours manqué d’un peu de tout, aussi bien de voitures, d'ambulance que de pinard et d'artillerie». Et pourtant ils s’affirmeront les égaux des soldats de la Marne ; ils se battront farouchement pendant vingt cinq jours aux côtés de 5 000 Belges, 1 200 Sénégalais, et trois bataillons de chasseurs à pied, résistant à environ 40 000 Allemands. «Nous sommes restés dans la tradition de la brigade, fidèles à tenir : c’est ordinairement tout ce qu’on demande aux marins, et ils savent le faire» écrit l'enseigne de vaisseau Charles Poisson. La brigade perd la moitié de son effectif et 80% de ses officiers ; les Allemands 8 000 hommes.

La bataille de Dixmude marque l'arrêt de l'invasion allemande. Un coup sérieux est porté à la puissance militaire de l’Allemagne ; son prestige est atteint, ses effectifs réduits par de lourdes pertes, ses approvisionnements entamés.

Les fusiliers marins ont tenu au prix de grandes souffrances durant cette courte mais terrible et défensive campagne. Dixmude est un des tournants majeurs dans l'histoire de la Première Guerre mondiale ; c'est un combat primordial, puisque la formidable défense de l'Yser que l’ennemi n’a pu franchir vient compléter la victoire de la Marne en fermant aux Allemands le dernier passage encore ouvert de la défense française.

Dans l’Histoire française et belge, la ténacité et le courage des demoiselles aux pompons rouges de Dixmude demeurent le symbole de la résistance.

 

 

Dates clés

 

7-28 août 1914 : Formation de la brigade

 

8 octobre : Arrivée en Belgique

 

24 octobre : Ordre de tenir Dixmude « coûte que coûte. La seule hypothèse qui ne puisse être envisagée c’est la retraite»

 

7-9 novembre : Pilonnages massifs des allemands

 

10 novembre 1914 : Prise de Dixmude

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4 novembre 2014 2 04 /11 /novembre /2014 12:50
Photos : Jorn Urbain

Photos : Jorn Urbain

 

15/10/2014 Hubert Rubbens – MIL.be

 

L'équipage du BPC Dixmude, ainsi que des élèves de l'école de Fusiliers Marins de Lorient, se sont souvenus de leurs anciens de la Brigade Ronarc'h tombés à Dixmude. C'est, en effet, ces 11 et 12 octobre qu'un détachement d'honneur de l'école de Fusiliers Marins de Lorient ainsi, qu'une délégation de l'équipage du BPC Dixmude ont pris part aux cérémonies de Melle et de Dixmude. Ces commémorations se sont déroulées dans le cadre du 100e anniversaire de la Grande Guerre.

 

La Brigade des Fusiliers Marins, sous le commandement du contre-amiral Alexis Ronarc'h, a protégé la retraite de l'armée belge depuis Anvers jusque Dixmude lors de l'invasion allemande de 1914. De 1914 à 1915, les hommes de Ronarc'h ont combattu aux côtés de l'armée belge et se sont sacrifiés pour stopper l'armée allemande et ainsi protéger le port de Dunkerque. 172 officiers, 346 sous-officiers et près de 6000 matelots ont été tués ou portés disparus sous le feu ennemi.

 

Samedi, à Melle, l'accent a été mis sur les 9 premières victimes de la Brigade. Elles sont tombées lors de la retraite des armées française et belge aux alentours de la ville de Melle. Un détachement de Fusiliers Marins, une délégation de l'équipage du BPC Dixmude ainsi qu'un détachement de la Composante Marine rehaussé par la présence de la Musique Royale de la Marine ont participé à cette cérémonie afin de rendre hommage à leurs aïeuls.

 

Dimanche après-midi, c'est la ville de Dixmude qui accueillait les Fusiliers Marins français. À cette occasion, la nouvelle promotion de Fusiliers Marins a été présentée par le commandant du Corps des Fusiliers Marins, le contre-amiral Olivier Coupry. Une première pour une cérémonie de la sorte à l'étranger. Son Altesse Royale le Prince Laurent, l'amiral Bernard Rogel, chef d'état-major de la Marine française, ainsi que de nombreuses autorités belges et étrangères étaient présentes pour ce devoir de mémoire.

 

Le "Bagad de Lann Bihoué" de la Marine française a honoré ces deux cérémonies de sa présence.

 

Ces cérémonies commémoratives soulignent, une fois de plus, les liens d'amitiés entre les deux nations et témoignent de la reconnaissance du peuple belge envers les soldats français tombés pour défendre la liberté.

Devoir de mémoire pour les Fusiliers-Marins de la Brigade Ronarc'h tombés à Dixmude
Devoir de mémoire pour les Fusiliers-Marins de la Brigade Ronarc'h tombés à Dixmude
Devoir de mémoire pour les Fusiliers-Marins de la Brigade Ronarc'h tombés à Dixmude
Devoir de mémoire pour les Fusiliers-Marins de la Brigade Ronarc'h tombés à Dixmude
Devoir de mémoire pour les Fusiliers-Marins de la Brigade Ronarc'h tombés à Dixmude
Devoir de mémoire pour les Fusiliers-Marins de la Brigade Ronarc'h tombés à Dixmude
Devoir de mémoire pour les Fusiliers-Marins de la Brigade Ronarc'h tombés à Dixmude
Devoir de mémoire pour les Fusiliers-Marins de la Brigade Ronarc'h tombés à Dixmude
Devoir de mémoire pour les Fusiliers-Marins de la Brigade Ronarc'h tombés à Dixmude
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26 septembre 2014 5 26 /09 /septembre /2014 11:50
photo Marine nationale

photo Marine nationale

 

25/09/2014 Marine nationale

 

Dans le cadre de la commémoration de la bataille de Dixmude, la Marine nationale honorera le souvenir des fusiliers marins qui ont combattu aux côtés de leurs camarades de l’armée de Terre, des soldats belges et britanniques pendant la Première Guerre Mondiale.

 

A cette occasion, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude sera déployé entre le 29 septembre et le 27 octobre 2014 afin de participer aux cérémonies de commémoration de la bataille de l’Yser les 11 et 12 octobre en Belgique.

 

Au cours de son déploiement, le BPC fera escale Lorient du 6 au 8 octobre, à Zeebrugge du 10 au 15 octobre, à Brest du 17 au 19 octobre et à Lisbonne le 21 octobre.

 

L’équipage du Dixmude ainsi que les fusiliers marins embarqués participeront à des cérémonies de commémoration. Des conférences et des expositions auront également lieu à bord.

 

La bataille de Dixmude est un épisode marquant de l’Histoire militaire et de la Première Guerre Mondiale par le caractère décisif de cette bataille dans la campagne des Flandres, dans la guerre de mouvement que cette dernière clôture en empêchant les troupes allemandes de déborder les troupes alliées. La création de la brigade des fusiliers marins principalement à partir des inscrits maritimes, de jeunes marins et d’anciens gabiers, mécaniciens - principalement encadrés par des fusiliers marins.

 

La Marine n’a de cesse, depuis la Première Guerre Mondiale, de transmettre le souvenir de cet engagement par la force maritime des fusiliers marins et commandos marine, par le baptême d’unités de la Marine au nom de Dixmude et enfin par une coopération active avec les forces belges.

 

Héritière de la brigade des fusiliers marins commandée par l’Amiral Ronarc’h, la force maritime des fusiliers marins et commandos a un rôle déterminant dans le succès des missions de la Marine. Elle a une double mission, la protection et la défense des sites stratégiques et des unités de la Marine, le renforcement de la protection des certains bâtiments français jugés sensibles pour les intérêts nationaux ou particulièrement exposés à certaines menaces maritimes, la participation aux opérations spéciales en haute mer, depuis la mer ou à terre.

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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 17:55
Cérémonie de tradition à Guidel

Cérémonie de tradition à Guidel

 

06/12/2013 Marine nationale

 

La cérémonie de tradition et de prise d’armes de l’école des fusiliers marins s’est déroulée le 6 décembre 2013 à Guidel, dans le Morbihan. En présence des hautes autorités civiles et militaires, l’école des fusiliers marins s’est ouverte une nouvelle fois à la cité en organisant ces manifestations de fin de cours et de tradition à l’extérieur de ses murs.

 

La cérémonie a débuté par la revue des troupes par le commandement de l’école des fusiliers marins et une présentation au Drapeau du 1er Régiment des Fusiliers Marins. Cette dernière symbolise pour eux l’intégration dans le monde militaire et celui des fusiliers marins.

 

« Vous porterez le nom du capitaine de corvette Yvon Graff »

 

La cérémonie s’articule autour de trois moments importants. Le premier étant le baptême du cours des jeunes engagés. En effet, chaque promotion d’élèves engagés dans la spécialité de fusilier marin, et suivant la formation de 1erniveau, est baptisée du nom d’un fusilier mort pour la patrie. Pour la promotion n°29, elle prendra le nom du « capitaine de corvette Graff », mort pour la France en novembre 1997 à Belgrade. Lors de ce baptême, l’unité se voit également remettre la fourragère aux couleurs de la Légion d’Honneur acquise par les fusiliers marins durant la première guerre mondiale, ainsi que la Croix de la Libération acquise durant la seconde guerre mondiale.

 

Deuxième moment marquant de la matinée, la remise de décoration à 3 commandos marine. Le premier maitre Sébastien T. s’est vu remettre la Légion d’Honneur, Le maitre Loïc F. et le second-maitre Jean-Philippe D. se sont vu attribuer, eux, la Croix de la Valeur Militaire avec étoile de bronze.

 

Le dernier moment marquant, et non des moindres, a été la remise du béret vert des commandos marine à une vingtaine de marins. Ils ont brillamment réussi le stage commando, obligatoire pour porter ce mythique béret. Ils seront affectés rapidement en commando pour être par la suite déployé en opérations extérieures.  

 

2014, une année symbolique pour l’école des fusiliers marins

 

2014 marquera les 70 ans du débarquement en Normandie et les 100 ans de la bataille de Dixmude*. Ces deux événements historiques sont des dates fondatrices pour le corps des fusiliers marins et commandos. En effet, les fusiliers marins ont glorieusement combattu dans les tranchées de Dixmude en octobre 1914, perdant lors de ces combats plus de 3000 hommes. En 1944, les commandos marine sont les seuls militaires français à avoir participé au débarquement en Normandie, à Ouistreham.

 

* 6 juin 2014 : 70ème anniversaire du débarquement en Normandie

 

Octobre 2014 : Célébration du centenaire de la bataille de Dixmude

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 12:50
Groupe de fusiliers marins. Drie-Grachtne. (Belgique 3 septembre 1917)photo couleur frères Lumière

Groupe de fusiliers marins. Drie-Grachtne. (Belgique 3 septembre 1917)photo couleur frères Lumière

16 octobre 2013, Portail des Sous-Marins

 

En octobre 1914, les Allemands en surnombre menacent d’anéantir les défenses belges. La brigade reçoit la mission de quitter Paris pour aller en renfort de l’armée belge, cette mission étant également donnée à la 87e division d’infanterie territoriale. Il s’agit d’aider l’armée belge à se replier vers la France et de protéger le port stratégique de Dunkerque.

 

Référence : Association de Réservistes de la Marine - Alsace

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