9 septembre 2015
3
09
/09
/septembre
/2015
17:45
photo EMA / Armée de Terre
09/09/2015 Sources : État-major des armées
Du 25 au 29 août 2015, le 134e escadron de reconnaissance malien (134e ERM) de Gao et le Détachement de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) d’Ansongo de la force Barkhane ont mené ensemble l’opération Orba à l’Ouest de Gao.
Cette opération visait à réduire la capacité d’action des terroristes, à sécuriser une zone où la population est régulièrement victime de banditisme et à améliorer les relations entre les forces armées et la population locale. Les cellules d’action civilo-militaire de la plateforme française de Gao et des forces maliennes ont distribué des vivres de première nécessité (riz, sucre, huile…) dans trois villages particulièrement pauvres de la région avec une forte densité de population : Dorey, Doro et Ntihilit. Les habitants de Dorey et Doro ont également pu profiter d’une aide médicale organisée et conduite conjointement par les médecins des forces maliennes et françaises. Une cinquantaine de patients ont ainsi bénéficié de soins adaptés dans un dispensaire mis sur pied avec la collaboration des chefs de village. De nombreux médicaments ont été distribués, dont une partie venait d’organisations non gouvernementales.
Suite de l’article
photo EMA / Armée de Terre
25 juillet 2015
6
25
/07
/juillet
/2015
11:45
photo EMA / Armée de Terre
20/07/2015 Sources : État-major des armées
Au nombre de quatre, les détachements de liaison et appui opérationnel (DLAO) sont déployés dans le Nord du Mali au sein de bases avancées appelées plateformes désert relais (PFDR). Composés chacun d’une trentaine de soldats, les DLAO déployés dans le cadre de l’opération Barkhane sont placés au plus près des forces partenaires maliennes et internationales. Leurs missions : accompagner et conseiller les forces armées partenaires dans l’exécution de leurs missions, mais également leur apporter des appuis spécialisés dans les domaines du guidage aérien, de la lutte contre les engins explosifs improvisés (contre-IED) et du soutien santé notamment.
Lire l’article
photo EMA / Armée de Terre
24 février 2015
2
24
/02
/février
/2015
12:45
23/02/2015 SCH Beltran - Armée de Terre
Trois équipes du 1er régiment d’artillerie de marine (1er RAMa) sont déployées à Tombouctou (Mali) dans le cadre de l’opération Barkhane. Elles participent au détachement de liaison et d’appui opérationnel numéro 4 (DLAO 4) au côté du 3e régiment du génie et du 93e régiment d’artillerie de montagne.
Ces équipes ont pour mission d’appuyer les forces armées maliennes (FAMa) et la mission des nations unies au Mali (MINUSMA) dans les actions spécifiques, notamment le guidage aérien, la lutte contre les IED et la santé. Les soldats de l’armée de Terre démontrent une nouvelle fois, dans un contexte particulièrement exigeant, leur faculté d’adaptation dans les missions qui leur sont confiées.
Lancée le 1er août, 2014, Barkhane est une opération conduite par les armées françaises. Elle repose sur une approche stratégique fondée sur une logique de partenariat avec les principaux pays de la bande sahélo-saharienne (BSS) : Mauritanie, Mali, Niger, Tchad et Burkina-Faso. Elle est commandée par le général de division Jean-Pierre Palasset.
16 octobre 2014
4
16
/10
/octobre
/2014
12:45
16/10/2014 Sources : Etat-major des Armées
Du 4 au 11 octobre 2014, le détachement de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) de Tessalit était à Aguelhok pour appuyer le bataillon tchadien de la MINUSMA.
Lors de cette mission à Aguelhok, l’une des villes majeures de sa zone de responsabilité, la plus au nord du Mali, le DLAO a été accueilli par le bataillon tchadien de la MINUSMA avec lequel il a effectué quatre patrouilles conjointes, en véhicules et à pieds. Ces patrouilles ont été l’occasion d’appuyer la MINUSMA et de manifester la présence française dans le Nord Mali, zone de refuge des groupes armés terroristes.
Au cours de sa présence à Aguelhok, le DLAO a mené des séances d’instruction au profit du bataillon tchadien, dans les domaines de la lutte contre-IED et du secourisme au combat. Le 7 octobre, le DLAO a été ravitaillé en eau et en carburant grâce à un largage par air (LPA). L’avion en provenance de Niamey a ainsi permis de parachuter 3,5 tonnes de fret.
Composé d’une trentaine de soldats, le DLAO de Tessalit est principalement armé par le commando parachutiste de l’air n°30 (CPA 30). Il coordonne et assure des missions aux côtés des forces partenaires, en leur apportant des appuis spécialisés : guidage aérien, lutte contre-IED et santé notamment.
L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes pouvant agir dans la bande sahélo-saharienne.
2 septembre 2014
2
02
/09
/septembre
/2014
17:45
29/08/2014 Sources : EMA
Le 23 août 2014, les militaires du détachement de liaison et d’appui opérationnel n°3 (DLAO3) de la force Barkhane, basé à Ansongo, ont participé à l’inauguration d’un projet civilo-miliaire dans la ville de Zakoiré, située à 5 km au Nord d’Ansongo.
Le projet, élaboré en liaison avec la force française, consistait en la réalisation de travaux de rénovation du toit de trois salles de classes de l’école de Zakoiré, et la réparation d’une pompe à eau.
Le toit des salles de classe s’était effondré après de violentes pluies survenues au mois de mai, tandis que la pompe à eau, située à proximité de la cantine de l’école, était en panne depuis plus d’un an. Le président du comité de l’école avait alors pris contact avec les militaires du DLAO 3 pour solliciter leur aide.
L’inauguration a eu lieu en présence du premier conseiller du chef du village, M. Badji Haoussa, du directeur et du président du comité de gestion de l’école, ainsi que de nombreux villageois et enfants de Zakoiré.
Cette action s’inscrit dans la continuité des rapports permanents qui existent entre la force Barkhane et la population. Les liens tissés permettent aux soldats déployés de parfaitement comprendre la situation locale, facteur essentiel dans la recherche et la lutte des groupes armés terroristes.
Lancée le 1eraoût 2014, l’opération Barkhane se caractérise par une logique de fusion et de partage des moyens qui, jusqu’alors, étaient dévolus à des opérations distinctes (l’opération Serval au Mali, déclenchée en 2013 et l’opération Epervier au Tchad, déclenchée en 1986). L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à poursuivre la lutte contre les groupes armés terroristes.
10 juillet 2014
4
10
/07
/juillet
/2014
18:45
10/07/2014 Sources : EMA
Les effectifs de la force Serval sont de l’ordre de 1 600 soldats et le dispositif français reste inchangé. Les effectifs de la MINUSMA (ONU) sont de plus de 8 000 hommes. Ceux des forces armées maliennes sont de plus de 7 000 hommes.
Dans le domaine des opérations aériennes, la semaine a été marquée par une soixantaine de sorties air, dont une vingtaine de missions réalisées par les avions de chasse, autant de missions de ravitaillement et de renseignement, et autant de missions de transport.
Du 2 au 7 juillet 2014, le sous-groupement infanterie du groupement tactique Dio (GT-Dio) de la force Serval a conduit une mission de reconnaissance et de contrôle de zone sur la rive Est du fleuve Niger au nord de Gao. Le sous-groupement tactique interarmes (SGTIA) était composé de 3 sections de la compagnie d’infanterie du GT-Dio, de la section d’aide à l’engagement débarqué, d’un groupe génie et de la section environnement opérationnel. Dans un premier temps, la mission du SGTIA était de reconnaître des itinéraires et de trouver un accès jusqu’à la ville d’El Farat au nord de Gao. Appuyé par un élément du génie, la compagnie d’infanterie a aussi pu déterminer les accès à différents villages, entre Kokorum au sud et Forgho Sonrhai au nord. Précédé de la section environnement opérationnel dont la mission était d’évaluer et de favoriser l’acceptation de la force par la population, le sous-groupement s’est ensuite rendu au contact de celle-ci afin d’évaluer la situation sécuritaire dans la zone et de réaffirmer sa présence dans le nord de la région de Gao.
Parallèlement, les DLAO des forces françaises continuent d’accompagner les formations de l’armée malienne et de la MINUSMA. Le 3 juillet, le DLAO5 a ainsi appuyé une section du bataillon tchadien de la MINUSMA dans une mission de reconnaissance à l’ouest de Tessalit. Le DLAO4 a effectué des missions de reconnaissance en appui du bataillon burkinabé dans la région de Tombouctou dans la période de 3 au 7 juillet. Enfin le DLAO 1 a réalisé une mission d’assistance médicale aux populations à Amache, à proximité de Tessalit, le 4 juillet.
2 juin 2014
1
02
/06
/juin
/2014
06:45
28/05/2014 Sources : EMA
Du 5 au 7 mai 2014, l’équipe TACP (Tactical air control party) du détachement de liaison et d’assistance opérationnelle (DLAO) n°4 basé à Tombouctou a mené une instruction sur la création d’une zone de poser d’hélicoptère (ZPH) au profit du bataillon burkinabè de la MINUSMA.
Appuyé par le FAC (Forward Air Controller) de l’équipe TACP, le chef de mission burkinabè a étudié la cartographie et pris en compte les différents facteurs environnementaux et tactiques afin de déterminer la zone la plus propice au décollage et à l’atterrissage d’un hélicoptère de manœuvre.
Une fois la ZPH balisée et sécurisée, un hélicoptère MI-8 de la MINUSMA s’est annoncé par radio pour la validation pratique de la zone. L’échange radio en anglais entre le chef de section burkinabè et le pilote s’est parfaitement déroulé, sous l’expertise du FAC du DLAO 4. L’hélicoptère a pu se poser et redécoller sans difficulté.
Le désert malien est connu pour ses élongations et la mauvaise praticabilité de ses pistes. Savoir créer une ZPH de circonstance est donc nécessaire, notamment en cas d’urgence médicale.
Environ 1600 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent la mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.
3 mars 2014
1
03
/03
/mars
/2014
07:45
28.02.2014 EMA / ECPAD
Le 9 février 2014, les soldats du détachement de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) de Tessalit ont appuyé une action de coopération civilo-militaire (CIMIC) dans la ville.
Ce genre d’action s’inscrit dans le cadre d’une normalisation et d’une relance du développement dans la région du nord du Mali. Les équipes CIMIC de Serval et le DLAO agissent en soutien de la MINUSMA pour la mise en œuvre de ce volet développement.
Reportage photos
19 février 2014
3
19
/02
/février
/2014
13:45
19/02/2014 Sources : EMA
Les 14 et 15 février 2014, le général de brigade Benoît Houssay, général adjoint opérations, a effectué une visite sur la plateforme opérationnelle Désert (PFOD) de Gao ainsi qu’au détachement de liaison et d’assistance opérationnelle (DLAO) 3 basé à Ansongo, à une centaine de kilomètre au sud de Gao.
L’objectif de cette visite était de rencontrer les unités de la PFOD nouvellement arrivées au Mali, dont le GTIA Vercors qui vient de succéder au GTIA Korrigan.
Après une visite du nouveau centre opérations, du bataillon logistique et du sous-groupement aéromobile, il s’est rendu dans les zones de vie des unités élémentaires afin d’échanger avec l’encadrement et les militaires présents.
Environ 2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.
13 février 2014
4
13
/02
/février
/2014
21:45
13/02/2014 Sources : EMA
Depuis le 1er février, les éléments français détachés en appui des unités de l’armée malienne ou de la MINUSMA sont identifiés sous le vocable unique de Détachement de Liaison et d’Appui Opérationnel : DLAO.
Au nombre de six, ces DLAO sont composés chacun de 32 soldats. Ils sont répartis entre Tessalit (2) Kidal, Gao, Ansongo et Tombouctou. Les DLAO succèdent aux DLA (Détachement de liaison et d’appui, déployés aux côtés des bataillons de la MINUSMA) et aux DAO (Détachement d’appui opérationnel, déployés auprès des bataillons FAMA formés par EUTM Mali) qui étaient répartis selon une logique organique. Désormais les DLAO répondent à une logique géographique (prise en compte d’une zone donnée) et de projection indifférenciée aux côtés des FAMA ou de la MINUSMA.
Chacun de ces détachements est composé d’une équipe de commandement, d’éléments du génie, d’infanterie, d’une équipe sanitaire complète, de mécaniciens et de contrôleurs aériens.
Environ 2300 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de sécurisation visant à affaiblir durablement les groupes terroristes, tout en appuyant le transfert de la zone aux contingents relevant de la MINUSMA.