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26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 12:50
EADS chief warns jobs cuts coming in defence unit

 

November 26th, 2013 defencetalk.com (AFP)

 

A reduction in defence orders will have an impact on jobs in EADS’s defence unit, the head of the European aerospace giant said in an interview published Monday.

 

Tom Enders told vbw-Unternehmenmagazin, the magazine of the Bavarian economic federation, that “if defence orders are cancelled or reduced as has happened in Germany in recent years, an impact on production and employment cannot be avoided.”

 

Enders’s comments follow a report by the German news agency DPA last week that EADS is considering cutting the workforce by 20 percent, or 8,000 employees. The group will be renamed Airbus Defence and Space next year as it reorganises.

 

EADS said no numbers have been decided, but Enders has previously said drastic measures were needed to secure the future of the division.

 

The restructuring is seen as unavoidable after the failed plan to merge with Britain’s defence firm BAE Systems last year.

 

That was shelved after objections from government stakeholders, notably Germany, which worried it would cause considerable layoffs.

 

Enders said the outlook is not rosy for defence manufacturers due to the high value of the euro and the eurozone debt crisis pushing countries to cut back on acquisitions of new equipment.

 

Enders told the Bavarian magazine that EADS had lost over the past few years orders worth several billion euros just in Germany that the company had thought were certain.

 

He said EADS cannot absorb that without making changes at the affected sites. He did not go into details.

 

The German newspaper Suedeutsche Zeitung reported Monday that a defence factory of EADS’s Cassidian unit located north of Munich would be closed with activities shifted to another facility in Bavaria, where EADS employs some 16,000 people.

 

An EADS spokesman declined to comment on the report, telling AFP that it would not make detailed announcements on its plans before informing its European works council, which meets in Munich on December 9.

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25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 12:50
EADS fermerait le siège allemand de sa division Cassidian

 

25-11-2013 Challenges.fr (Reuters)

 

FRANCFORT - Le groupe européen d'aérospatiale et de défense EADS prévoit de fermer le siège de sa division Cassidian à Unterschleissheim, près de Munich, dans le cadre de sa réorganisation, rapporte lundi le journal Süddeutsche Zeitung en citant des sources proches du groupe.

 

En annonçant fin juillet sa réorganisation autour de trois divisions - Airbus pour les avions civils, et qui donnera son nom à l'ensemble du groupe, Airbus Defence & Space et Airbus Helicopters (Eurocopters) -, EADS avait fait savoir qu'il passerait en revue ses activités de défense et d'espace et n'avaient pas exclu des suppressions de postes dans ce pôle qui emploie quelque 40.000 personnes dans le monde.

 

Selon l'article du Süddeutsche Zeitung, les divisions d'espace et de défense seront regroupées au site d'Ottobrunn, également près de Munich.

 

Le site d'Unterschleissheim emploie 1.400 personnes et autant travaillent à Ottobrunn, soit pour EADS soit pour sa filiale Astrium, ajoute le journal sans être en mesure d'indiquer si et combien de postes seraient menacés.

 

L'agence de presse allemande DPA avait rapporté mercredi qu'EADS réduirait les effectifs de sa nouvelle division Airbus Defense & Space d'environ 20%, soit à peu près 8.000 suppressions de postes. Deux sources industrielles citées par Reuters ont de leur côté parlé de plusieurs milliers de départs mais moins que les 8.000 évoqués par DPA.

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 17:50
IG Metall met en garde la direction d'EADS

 

21 novembre 2013 Par Julien Bonnet - Usinenouvelle.com

 

Le puissant syndicat allemand IG Metall a mis en garde ce jeudi 21 novembre la direction d'EADS contre la rupture des engagements pris, au lendemain d'informations de presse faisant état d'un projet de suppression de quelque 8 000 postes.

Après la publication d'informations faisant état d'un projet de suppression de 8000 postes dans la branche défense et espace d'EADS, le puissant syndicat allemand IG Metall a tenu à mettre en garde la direction du groupe européen.

Mouvement d'action prévu le 28 novembre

"Nous ne commentons pas les spéculations des médias concernant des suppressions de poste", a déclaré Rüdiger Lütjen, président du comité d'entreprise d'EADS en Allemagne et du comité d'entreprise européen du groupe, dans une brève déclaration transmise à l'AFP. "Mais nous mettons très fermement en garde la direction du consortium contre les courses en solitaire et la rupture des engagements pris", a ajouté Rüdiger Lütjen dont le syndicat a confirmé préparer un mouvement d'action pour le 28 novembre.

Ce mouvement, prévu sur les sites situés dans le nord de l'Allemagne, était programmé depuis quelques jours déjà, en raison de craintes de suppressions de poste justement. Les infos de l'agence DPA, selon laquelle EADS pourrait profiter du regroupement de Cassidian, Astrium et Airbus Military au sein de la division Airbus Défense et Espace pour procéder à une baisse des effectifs allant "jusqu'à 20%", ont donc confirmé ces craintes. Les trois entreprises employant ensemble 40 000 personnes, cela signifierait la suppression de 8000 emplois.

Des annonces attendues pour le 9 décembre

Un porte-parole d'EADS a de son côté assuré à l'AFP qu'"aucun chiffre n'a été décidé. Aucun chiffre n'existe" et qu'il ne voyait donc "pas de raison de commenter" ces informations. "Nous présenterons d'abord nos projet aux comités d'entreprise avant de communiquer", a-t-il ajouté.

Des annonces sont attendues pour le 9 décembre, lors de la prochaine réunion du comité d'entreprise européen qui se tiendra à Munich.

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 17:25
EADS: Cassidian Optronics GmbH crée une filiale au Brésil.

 

20/11/2013 lexpress.fr (Cercle Finance)

 

Cassidian Optronics ouvre une filiale au Brésil afin de s'y créer un débouché pour le marché d'avenir que représentent les appareils optiques et optroniques. 

 

Sous la direction de Hans-Peter Jungbauer, gérant, Optronbras Ltda à Belo Horizonte entend jouer le rôle de premier interlocuteur des clients brésiliens en mettant en place des compétences technologiques dans le pays même.

 

Forte de ses quelque 800 collaborateurs, la société Cassidian Optronics GmbH développe et fabrique des produits optiques et optroniques sur ses sites allemands d'Oberkochen et Wetzlar et à Irene en Afrique du Sud. 

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 08:50
DUBAI 2013 : Cassidian lance la fabrication du Sagitta

 

 

20/11/2013 Par Caroline Bruneau – Air & Cosmos

 

Cassidian a profité du salon de Dubai pour annoncer le début des travaux sur le Sagitta. Le Sagitta est un modèle de drone à échelle réduite qui sera fabriquée pour tester les technologies du futur.

 

«La voilure en carbone ultra-léger est en production», a expliqué la filiale d’EADS. Tout le travail de recherche est fait en partenariat avec le DLR, le centre de recherche aéronautique allemand. Le premier modèle devrait être fini en 2014, pour un premier vol en 2015.

 

Le Sagitta avait été présenté en juin dernier au salon du Bourget. Ce projet vise notamment à réaliser des travaux de recherche fondamentale pour les futurs systèmes de drones.

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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 20:39
EADS pourrait supprimer 8.000 emplois

 

20/11/2013 lexpansion.lexpress.fr (AFP)

 

Le groupe d'aéronautique EADS pourrait se séparer de 20% de ses effectifs dans la division Défense et Espace.

 

L'inquiétude monte au sein du groupe d'aéronautique et de défense EADS, qui pourrait se séparer de 20% de ses effectifs.

 

Le groupe de défense et d'aéronautique EADS pourrait supprimer 20% des effectifs de sa division Défense et Espace, soit 8000 emplois, indique mercredi l'agence allemande DPA, citant une "source informée".

 

Ce projet entrerait dans le cadre du regroupement par EADS du groupe de défense Cassidian, le groupe spatial Astrium et Airbus Military au sein d'une division Airbus Défense et Espace, dont les modalités doivent être annoncées prochainement. Un porte-parole d'EADS à Paris a cependant assuré à l'AFP qu'"aucun chiffre n'a été décidé, aucun chiffre n'existe".

 

Un porte-parole d'EADS à Paris a cependant assuré à l'AFP qu'"aucun chiffre n'a été décidé. Aucun chiffre n'existe. Nous ne voyons pas de raison de commenter".

 

"Nous présenterons d'abord nos projet aux comités d'entreprise avant de communiquer", a-t-il ajouté.

 

Le syndicat allemand IG Metall de Cassidian n'était pas joignable pour commenter cette information.

 

Mardi, le comité européen EADS - qui réunit les organisations syndicales européennes et la direction du groupe - avait tenu une réunion extraordinaire à Toulouse (sud-ouest de la France) sous la présidence du président exécutif, Tom Enders. Aucun chiffre n'avait filtré de cette réunion.

 

Le patron du groupe y avait réaffirmé les grandes lignes de la réorganisation qui accompagnera le changement de nom d'EADS en groupe Airbus, à l'été 2014.

 

Tom Enders a vivement inquiété les syndicats à la fin octobre en déclarant dans une interview au quotidien allemand Süddeutsche Zeitung: "sans des mesures draconiennes, ça ne marchera pas (...) Nous ne pourrons pas éviter de nouvelles réductions des coûts et des effectifs".

 

Cette restructuration était rendue nécessaire par la fusion avortée avec le britannique BAE Systems, préparée en secret à l'été 2012 avant d'échouer en octobre, devant les réticences gouvernementales, allemandes surtout.

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 19:50
EADS : Airbus Military et Cassidian au coeur de Perseus

 

18.11.2013 Boursier.com

 

Airbus Military et Cassidian, deux filiales d'EADS, ont joué un rôle clef dans le programme maritime européen Perseus, le premier démonstrateur à grande échelle destiné à disposer de moyens technologiques avancés pour répondre à la migration clandestine et à la contrebande. Des tests ont été menés avec un avion de patrouille CN235 équipé du système FITS et un drone Atlante. Le programme Perseus bénéficie d'un budget de 43,7 millions d'euros.

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 13:31
DXB13 - photo Stephane Fort

DXB13 - photo Stephane Fort

 

18 novembre 2013 Par Julien Bonnet - Usinenouvelle.com

 

Le Rafale de Dassault Aviation et le Typhoon du consortium Eurofighter emmené par le britannique BAE Systems s'affrontent pour ce contrat d'au moins 60 appareils, estimé à sept milliards d'euros et destiné à renouveler la flotte de Mirage des Emirats.

 

Les Emirats arabes unis (EAU) n'ont pas encore choisi le fournisseur de leurs futurs avions de chasse, un contrat que convoitent notamment la France avec le Rafale et la Grande-Bretagne avec l'Eurofighter Typhoon, a appris Reuters dimanche 17 novembre d'une source du Golfe proche du marché de l'armement.

 

Le Rafale de Dassault Aviation et le Typhoon du consortium Eurofighter emmené par le britannique BAE Systems s'affrontent pour ce contrat d'au moins 60 appareils, estimé à sept milliards d'euros et destiné à renouveler la flotte de Mirage des Emirats.

 

"Cameron fait le forcing"

 

La source a déclaré que la visite au Salon aéronautique de Dubaï du Premier ministre britannique, David Cameron, avait logiquement nourri les spéculations sur une possible décision en faveur de l'Eurofighter. Mais aucune décision n'a été adoptée, a-t-elle ajouté.

 

"Cameron fait le forcing, c'est normal. Mais les autres aussi font le forcing", a dit la source. Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, devait lui aussi se rendre à Dubaï ce dimanche. L'américain Boeing est également en lice pour ce contrat avec son F15, a ajouté la source.

 

Dans le Golfe, l'Eurofighter, conçu par BAE, EADS et l'italien Finmeccanica, espère également séduire l'Arabie saoudite, le Qatar et Bahreïn.

 

"Je ne veux pas exagérer mais je crois que nous progressons. Nous faisons partie d'une équipe emmenée par BAE et nous sommes très motivés pour soutenir cette campagne", a déclaré Tom Enders, le président exécutif d'EADS.

 

Des sources du secteur proches du consortium Eurofighter ont dit espérer que le Salon de Dubaï permettrait de faire avancer le dossier, voire de permettre la signature d'un protocole d'accord ou d'un contrat.

 

Côté français, le projet de loi de programmation militaire dévoilé en août faisait le pari d'au moins deux contats à l'export du Rafale d'ici 2019. Outre les Emirats, Paris négocie avec l'Inde, le Qatar, le Brésil et la Malaisie.

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 08:50
photo EDA

photo EDA

November 13, 2013 defense-aerospace.com

(Source: Wall Street Journal; published Nov. 12, 2013)

 

EADS: CEO Says Restructuring Plans Will Involve Job Cuts (excerpt)



PARIS -- Job cuts stemming from the planned restructuring of European Aeronautic Defence & Space Co. will mainly affect the group's defense, security and space businesses that are being molded together, the company's chief executive told employee representatives Tuesday.

Faced with shrinking government spending on defense and space, the company said this year that it would have to reshape its profile in these areas to eliminate overlaps, create synergies and prevent an erosion of its competitiveness.

But Chief Executive Tom Enders stopped short of providing any details during a special meeting of the company's European works committee, according to labor representatives who took part in the meeting at the headquarters of Airbus, EADS's commercial aircraft unit, in Toulouse, France. (end of excerpt)


Click here for the full story, on the 4-Yraders website.

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 12:30
EADS Underscores Commitment to Middle East at Dubai Air Show 2013

Dubai,  11 November 2013 eads.com

 

From commercial and military aircraft to satellites and secure communications systems, EADS and its Divisions – Airbus, Astrium, Cassidian and Eurocopter – will present a broad selection of cutting-edge products, technologies and services at Dubai Airshow from 17 to 21 November 2013 at Dubai World Central (DWC) located in Jebel Ali, Dubai.

Dubai Airshow is a unique opportunity to meet the whole aerospace and defence community. For the first time in the Middle East and under the strapline ‘’EADS, delivering innovation’’, the EADS Group will have an integrated presence (Pavilion P10) in a central position at the show alongside the Airbus, Eurocopter and Cassidian products static display. The A380 and the A400M will be part of the daily flying display.

EADS has representative offices in the United Arab Emirates (UAE), Saudi Arabia, Oman, Qatar and Egypt. The Middle East is playing an ever more important role in international business and is a key strategic partner of EADS; the founding companies of EADS having had a presence in the Gulf region since the 70’s.

The EADS Group will feature a number of products and exhibits including:

  • Airbus/Airbus Military: an A380 (from 17th to 19th) and an A400M military airlifter will be part of the daily air display, an Egyptair A330-300 will be part of the static display; while the latest generation A350 XWB cockpit mock-up will be on stand display;
  • Astrium: a scale model of the Yahsat 1B telecoms satellite and some of its latest satellite equipment. For ASTRIUM Services, the AirPATROL Airborne satcom system and 3 Geo-information applications: WorldDEM global homogeneous Digital Elevation Model, GEOINT 2D and 3D Foundation layer and SPOT Maps;
  • Cassidian: Unmanned Aerial Vehicles, sensors, defence electronics, border surveillance and avionics systems. Furthermore, the Division will demonstrate its ‘Touch Lab’ multi-media scenario laboratory;
  • Eurocopter: the new EC175 advanced medium lift multi-purpose helicopter will be in the static display, alongside an evolved EC145 T2 and a latest generation AS350 B3.

Tom Enders, CEO of EADS, said: “The Dubai Air Show is one of the world’s premier gatherings for the aerospace and defence community. EADS is a leader in this market and a trusted partner for governments and commercial customers in a range of activities.”

He added: “Gulf leaders have shown strong leadership and vision in recognising that the aerospace and defence sector is a key driver for technology and economic growth. EADS is proud to partner many of the region’s most prestigious companies and be trusted as the provider of technology for many of the region’s most important programmes”

This will be the final major aerospace trade show prior to EADS being re-branded as the Airbus Group from 1 January 2014.

Notes to Editors

EADS has media hosting facilities inside its Pavilion at the Airshow (located at Pavilion P10) and would be pleased to welcome accredited media to discover more about the Group.

About EADS

EADS is a global leader in aerospace, defence and related services. In 2012, the Group – comprising Airbus, Astrium, Cassidian and Eurocopter – generated revenues of € 56.5 billion and employed a workforce of over 140,000.

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 08:50
EADS finalise sa transformation en Airbus Group

 

12/11/2013 Mathieu Sevin - bfmtv.com

 

Le groupe européen d'aéronautique et de défense tient, de mardi 12 à jeudi 14 novembre, un comité européen extraordinaire. Au menu: son changement de nom et sa réorganisation. Le but est de gagner en visibilité et d'améliorer sa marge.

 

Suite de l’article

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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 17:35
Projet F-X : décision fin novembre, Lockheed Martin bien placé, EADS et Boeing menacés

 

SEOUL, 11 nov. (Yonhap)

 

Le gouvernement communiquera à la fin du mois en cours les nouvelles conditions (plus strictes) de son programme d’achat d’avions de chasse (F-X) pour remplacer une partie de sa flotte vieillissante, a annoncé ce lundi le ministère de la Défense.

 

Après avoir finalement écarté le Silent Eagle de Boeing pour sa faible capacité furtive, le seul avion qui respectait le budget de 8.300 milliards de wons (7,2 milliards de dollars) de l’appel d’offres, Séoul cherche à présent un chasseur techniquement plus avancé, accroissant ainsi grandement les chances de Lockheed Martin, constructeur du F-35.

 

Alors que des consultations ont lieu actuellement, l’armée de l’air a récemment fait part de son souhait d’acquérir un avion de combat possédant une surface équivalente radar (SER) réduite, mesurant la furtivité d’un appareil, et une capacité de guerre renforcée. Ces conditions semble-t-il seront confirmées dans les prochaines semaines.

 

«Le Comité des chefs d’état-major interarmées (JCS) aura une réunion fin novembre pour décider des capacités opérationnelles militaires», a indiqué le porte-parole du ministère Kim Min-seok en conférence de presse. Une fois que les critères auront été confirmés, l’armée établira un plan d’achat et l’Administration du programme d’acquisition de défense (DAPA) lancera un nouvel appel d’offres.

 

Les nouvelles grandes lignes, si elles sont adoptées réellement, auront un impact radical sur chacune des entreprises concernées en ce sens que le F-15 de Boeing et l’Eurofighter d’EADS ont des capacités furtives relativement faibles. En effet, seul le F-35 répondrait à ces exigences strictes. Celui-ci est vendu uniquement dans le cadre du programme américain de vente d’Etat à Etat de matériels militaires, appelé FMS (Foreign Military Sales).

 

«Comme nous ne savons pas encore si la demande portera sur un ou plusieurs types d’appareil, la réunion du JCS sera très importante», a noté Kim. Concernant le budget estimé, le porte-parole a déclaré que son ministère consulterait le ministère des Finances pour tenter d’obtenir 120% du budget global initial pour le projet F-X.

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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 11:55
France: L'industrie de la défense s'alarme de nouvelles coupes budgétaires

 

08/11/2013 boursorama.com (AFP)

 

L'industrie de la défense est très inquiète de voir le ministre du Budget préparer des coupes dans le budget de la défense que le président François Hollande s'était engagé à préserver, a déclaré vendredi le président du syndicat qui la représente.

 

"On parle d'annuler 600 millions d'euros de crédits sur le budget de la défense 2013 (...) L'impact immédiat sur le tissu industriel va être colossal", a déclaré à l'AFP Marwan Lahoud, président du Gifas, qui regroupe les sociétés spécialiste du secteur de l'industrie aéronautique, spatiale et militaire.

 

Le ministre délégué au Budget Bernard Cazeneuve a annoncé jeudi dans une interview au journal Les Echos que des économies de 3 milliards d'euros seraient "réparties sur l'ensemble des ministères".

 

"C'est une inquiétude très forte de toute l'industrie", a poursuivi M. Lahoud, également chef de la stratégie du groupe d'aéronautique et de défense EADS.

 

"Ces annulations vont porter sur les dépenses d'équipement, elles ne vont pas porter sur les dépenses incompressibles, comme les opérations extérieures ou la rémunération".

 

Et d'après lui, ce ne sont pas tellement les grands groupes qui seront touchés, les deux tiers des annulations affecteront les équipementiers avec qui ils sous-traitent. "On attaque directement le tissu de la sous-traitance", a prévenu le dirigeant d'EADS.

 

"Le président de la République a déclaré solennellement qu'on conserverait ces crédits là, avant même que l'exécution de la Loi de programmation militaire 2014-2019 ait commencé, on voit qu'elle n'est pas garantie".

 

L'industrie de la défense avait accepté contrainte et forcée la réduction des crédits militaires qui va entraîner des réductions et des étalements de programme dans les années à venir.

 

"On savait qu'il y avait des adaptations nécessaires et on était prêt à les gérer, mais ce qui est en train de se passer c'est qu'on va sortir du cadre de ce qui est gérable et maîtrisable", a insisté M. Lahoud

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 13:50
Drone : un nouveau projet européen sur la table

Le projet de drone de renseignements de future génération s'inspirerait du programme Talarion, abandonné il y a deux ans. - Photo EADS/Cassidian

 

05/11 par Alain RUELLO – LesEchos.fr

 

EADS, Finmeccanica et Dassault ont dévoilé leur projet de drones à la DGA.

 

Quatre mois après leur communiqué du Bourget, EADS, Dassault et Alenia (Finmeccanica) ont dévoilé leur projet de drone de renseignements de future génération à la DGA, a-t-on appris de sources concordantes. La réunion a eu lieu le 18 octobre dernier. Elle s'est tenue en présence de Bernhard Gerwert, Eric Trappier et Giuseppe Giordo - les PDG respectifs des trois industriels - venus en personne tenter de convaincre Laurent Collet-Billon, le délégué général pour l'armement du bien-fondé de leur démarche. Et quelle démarche, puisqu'il s'agit de ressusciter le projet franco-allemand Talarion, celui-là même que Dassault n'a eu de cesse de torpiller avant que Paris puis Berlin ne l'enterrent il y a deux ans.

 

Humiliés par la décision de Jean-Yves Le Drian d'acheter 12 Reaper à l'américain General Atomics, EADS, Dassault et Finmeccanica ont formé une sainte alliance au Bourget dans les drones Male (moyenne altitude longue endurance). Pourtant, si le ministre de la Défense français a été contraint de se fournir outre-Atlantique, c'est bien parce que les industriels concernés et leurs Etats respectifs ont été incapables - après vingt ans d'atermoiements et beaucoup d'argent dépensé - de bâtir une filière industrielle européenne autonome.

 

Qu'est-il ressorti de la réunion du 18 ? Dans les grandes lignes, les trois industriels repartent du projet Talarion, toiletté de ses défauts les plus criants, doté de capteurs plus performants, et avec la possibilité de l'armer. Sa mise au point coûterait 1 milliard d'euros. La répartition serait la suivante : la plate-forme pour EADS, le système pour Dassault et les équipements pour Alenia. L'identité du leader n'a pas été dévoilée lors de la réunion. Mais il se murmure que c'est à EADS qu'échoirait le rôle, avec l'assentiment de Dassault.

 

Contractant unique

 

Point important : MM. Gerwert, Trappier et Giordo ont lié leur engagement à la condition non négociable qu'un des trois pays potentiellement intéressés - Allemagne, France et Italie - assume le rôle de contractant unique, pour éviter les déboires de la plupart des projets européens d'armement.

 

Pour la petite histoire, les trois impétrants avaient baptisé leur bébé « FeMale » pour Future European Male, mais se sont vite ravisés, craignant que l'acronyme ne leur vaille quelques railleries… Ils se sont rabattus sur un plus classique Male 2020, histoire de fixer un cap. Précisément, si une étude de faisabilité démarre en 2014, EADS, Dassault et Alenia s'engagent à livrer l'appareil en 2022.

 

C'est là tout le problème. Faute d'argent et - pour l'instant du moins - de volonté politique affirmée de Paris, Berlin et Rome, rien n'est prévu pour démarrer cette étude, incontournable pour vérifier que Male 2020 tient la route. Si la France achète comme prévu ses 12 Reaper, ceux-ci voleront jusqu'en 2025 au moins. Si Male 2020 voit le jour, ce ne sera donc pas demain.

 

D'autant que, avant de donner le top départ du projet, il faudra aussi que les armées de l'air française et allemande se mettent d'accord sur un besoin commun (la France ne se lancera jamais seule dans l'aventure). Il faudra aussi démontrer que l'heure de vol de ce drone européen ne sera pas beaucoup plus chère que celle des Reaper. L'autonomie industrielle européenne oui, mais pas à n'importe quel prix ! La DGA n'a d'ailleurs pas manqué de le rappeler à ses visiteurs le 18 octobre…

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 18:50
photo Cassidian

photo Cassidian

 

28/10/2013 lexpress.fr  (Cercle Finance)

 

Cassidian, la division de défense d'EADS, a conclu avec succès les essais en vol du programme de revalorisation phase 1 (P1E) de l'Eurofighter Typhoon. 

 

'La campagne d'essais intensive de ce premier lot de revalorisation, effectuée avec les exemplaires de série instrumentés 4 et 7, confirme que cette revalorisation apportera aux armées nationales une capacité multi-rôle robuste.' Elle sera disponible pour les clients d'ici la fin de l'année.

 

Les essais ont été menés sur les centres aéronautiques militaires de Cassidian à Manching (Allemagne) et Getafe (Espagne), avec la coopération de BAE Systems et d'Alenia Aermacchi.

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 08:50
EADS : la branche défense connaîtra l'ampleur de sa restructuration en décembre

28.10.2013 Boursier.com

 

La branche "Défense" d'EADS connaîtra son sort en décembre prochain, et nul doute qu'une restructuration se dessine. Le président du groupe, Tom Enders, a expliqué au 'Süddeutsche Zeitung' que le pôle subira nécessairement des réductions d'effectifs. Le géant européen avait déjà fait savoir fin juillet dernier qu'il allait repenser ses contours, en regroupant Airbus Military, Astrium (satellites) et Cassidian (défense et sécurité) au sein d'une même division "défense et espace", qui sera rebaptisée "Airbus Defence & Space". La mise en oeuvre de la nouvelle structure était prévue au 1er janvier prochain, avec un déploiement progressif tout au long de 2014.

 

Tom Enders explique dans les colonnes du journal allemand qu'il sera autorisé à en dire plus sur la restructuration en décembre. En rapprochant trois entités opérationnelles, le groupe estime qu'il sera en mesure de réaliser des synergies, et risque fort d'être confronté à des doublons en matière d'emplois. Mais outre ce volet organisationnel, la branche défense, contrairement à son pendant aéronautique civile, est confrontée à un contexte économique beaucoup plus tendu, à cause de la baisse des budgets de la défense sur les marchés traditionnels des économies développées. Les sites allemands seraient notamment "à risque", car Berlin a nettement réduit la voilure sur ses dépenses en faveur de l'armée.

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4 octobre 2013 5 04 /10 /octobre /2013 17:50
Cassidian CyberSecurity : comment Netasq et Arkoon sont intégrés

3 octobre 2013 par Philippe Guerrier - itespresso.fr

 

Assises de la Sécurité IT : l’an passé, Cassidian CyberSecurity avait marqué les esprits en acquérant Netasq puis Arkoon plus récemment. Un an plus tard, les synergies démarrent et l’offre produits évolue.

 

Cassidian CyberSecurity vient d’effectuer un point sur ses activités après avoir annoncé le rachat de Netasq (solutions de sécurité unifiées) puis d’Arkoon (protection systèmes et réseaux informatiques).

 

« Il y a un an, nous étions 300 personnes avec un chiffre d’affaires de 50 millions d’euros. Maintenant, nous disposons d’un effectif global de 600 personnes dans trois pays européens et affichons un CA de 100 millions d’euros et  de CA », se réjouit Jean-Michel Orozco, CEO de Cassidian CyberSecurity (rattachée à la branche Défense du groupe EADS).

 

« L’an dernier, on a embauché 80 personnes sur les trois pays, dont 60 en France », précise le dirigeant, qui souligne les trois points forts d’expertises du nouvel ensemble : Cyberdéfense temps réel, supervision des infrastructures et protection périmétrique.

 

« On continuera de façon à croître de manière organique et avec des partenariats », précise Jean-Michel Orozco, en citant l’alliance signée avec le groupe Axa en matière « d’offres de risques techniques ».

 

Destinées à renforcer les compétences globales de Cassidian CyberSecurity, les filiales Netasq et Arkoon gardent une certaine autonomie opérationnelle.

 

Néanmoins, une jonction a été réalisée : François Lavaste, un manager qui vient de Netasq, va cumuler le poste de président du directoire des deux sociétés. Des mutualisation d’offre et de capacités d’innovation vont être réalisées afin de proposer des solutions de protection des réseaux, des infrastructures et des postes de travail.

 

A l’occasion des Assises de la Sécurité IT qui se déroulent actuellement à Monaco, le catalogue du nouvel ensemble s’enrichit : Cassidian CyberSecurity dévoile Keelback (« détection et lutte contre les cyber-menaces sophistiquées »), qui comporte une offre de services comprenant des capteurs et des logiciels, une identification et caractérisation des menaces et un service « procurant des capacités de réaction immédiate en cas d’attaques avérées ».

 

Du côté de Netasq, c’est une nouvelle version logicielle (9.1) pour la gamme de réseaux de parefeux NG-UTM qui est mise en avant. Avec un accès au cloud d’Amazon Web Services.

 

Pour la contribution d’Arkoon, c’est la solution StormShield sur la sécurisation des postes clients qui a été renforcée (jusqu’à 20 000 agents par serveur, « X4 par rapport à la version précédente ») et son déploiement a été facilité.

 

Sur le front de la mobilité, Cassidian CyberSecurity commercialise depuis le début de l’année l’application Moeso Smart pour le chiffrement des communications de voix sur IP.

 

Disponible pour iPhone, Android et BlackBerry, cette solution à vocation à contrer les risques de piratage des conversations vocales par téléphone. Mais elle n’assure pas la confidentialité des messages SMS et e-mails.

 

Par rapport à Bull (avec son nouveau smartphone Hoox) ou Thales (Teorem) qui privilégient l’approche terminal numérique isolé, Cassidian cherche à se démarquer dans la sécurité mobile. « Pour être efficace, il faut installer la solution logicielle de sécurité sur le téléphone d’usage d’un dirigeant et non sur un terminal dédié qui reste généralement dans sa valise », estime Jean-Michel Orozco.

 

Cette solution professionnelle, vendue par contrat, est facturée sur un mode d’abonnement mensuel. « Nous avons quelques centaines d’utilisateurs actuellement. Nous allons passer le millier avec les contrats signés avec deux très gros industriels nationaux. »

 

Ce qui fait dire au CEO de Cassidian CyberSecurity que son groupe dispose du parc de clients le plus significatif en France en matière de chiffrement de la voix via les terminaux mobiles.

 

Sur le thème fort de l’édition 2013 des Assies de la sécurité c’est à dire la protection des systèmes industriels (SCADA), le groupe de cybersécurité annonce que des projets sont en cours de développement et que des produits « marketables » devraient arriver d’ici fin 2014.

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 16:51
L’A400M, une réussite européenne… et des leçons pour l’avenir

01.10.2013 Helen Chachaty à Séville et Orléans - journal-aviation.com

 

A400M, Airbus Military, EADS, Armée de l'air, Europe,Défense, Danjean, OCCAR,

 

Les officiels semblaient s’être donné le mot à Séville et à Orléans le 30 septembre, ne tarissant pas d’éloges lors des cérémonies célébrant l’arrivée officielle (l’avion ayant déjà été livré le 1er août à la DGA et le 2 août à l’armée de l’air) de l’A400M d’Airbus Military au sein des forces aériennes françaises.

 

« Je voudrais saluer la démarche européenne qui a rendu possible l’A400M. Avec la livraison se concrétise une réussite politique, celle de la mise en place d’une coopération européenne qui a rassemblé sept pays » a déclaré le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian à Séville, ajoutant ensuite que « cette réussite confirme que nous n’appelons pas seulement de nos vœux l’Europe de la Défense, mais que nous la construisons par des actes, par des projets, qui peuvent peut-être prendre du temps mais dont la réussite est manifeste et permet d’aborder avec optimisme les enjeux de demain ».

 

Même son de cloche chez Airbus Military. Son CEO Domingo Ureña-Raso a affirmé que la cérémonie espagnole célébrait la « consolidation d’un grand défi », mais aussi la célébration de ce que l’Europe était capable de réaliser lorsque les nations travaillaient en coopération. « Seul, aucun pays n’aurait pu le faire. Avec l’A400M, nous jouons en première ligue dans la Défense. »

 

Le directeur adjoint de l’OCCAR, Eric Huybrechts encensait également la coopération européenne : « Il y a de l’espoir pour que la coopération en Europe se renforce et soit le moyen le plus rentable de combler des lacunes capacitaires avec des équipements de premier plan. C’est une nouvelle ère de la coopération dans le domaine de l’aviation militaire. […] Le programme A400M démontre clairement ce que peut réaliser la coopération européenne. »

 

Le prince Felipe des Asturies a lui aussi déclaré que ce programme était une réussite, qui « contribue à construire une Europe forte avec une influence internationale réelle et crédible ». Il a décrit l’A400M comme un « magnifique produit de la coopération européenne ».

 

Des propos très élogieux et optimistes, de mise pour ce genre de cérémonie officielle, mais qui laissent de côté les difficultés passées du programme. Celles-ci ont toutefois été relevées par le CEO d’EADS Tom Enders, qui, comme à son habitude, a osé le franc-parler. Après avoir parlé d’une journée placée sous le signe de la « fierté » et de la « joie », Tom Enders a salué le soutien « personnel » du roi Juan Carlos « même dans les heures les plus sombres du programme en 2009 et en 2010 ». Le PDG du groupe européen d’aéronautique et de Défense a décrit les dix années passées du programme A400M comme n’étant « certainement pas une balade dans un parc », ni pour les industriels, ni pour les clients.

 

Il ne s’est pas étendu sur les difficultés connues de tous, mais a lancé quelques pistes sur les leçons à retenir de la « saga A400M » : « Les industriels, les politiques et les leaders militaires devront éviter de répéter les erreurs que nous avons faites pour l’A400M : des délais irréalistes et des fonds insuffisants dès les débuts du programme, des exigences qui parfois vont au-delà des capacités physiques ». Le grand patron d’EADS a également mis l’accent sur la nécessité de constituer une autorité européenne de certification militaire, qui serait le pendant de l’AESA pour l’aéronautique civile. Enfin, il a émis le souhait que ces problématiques soient évoquées lors du prochain Conseil européen de décembre 2013, consacré aux questions de Défense.

 

Un point de vue partagé par Arnaud Danjean, président de la sous-commission « sécurité et défense » du Parlement européen, qui a salué la franchise du PDG : « Il a eu le mérite de faire un discours qui pose les enjeux pour le futur ». L’eurodéputé affirme lui aussi que l’A400M « reste un succès, malgré les aléas », inhérents à tout programme ambitieux. Il renchérit sur les paroles prononcées par Tom Enders un peu plus tôt, assurant lui aussi qu’il faut « rationaliser les prises de décision, envisager un maître d’œuvre unique pour tout programme à dimension européenne ».

 

Revenant sur le passé, Arnaud Danjean analyse les difficultés du programme A400M : « Il y a eu beaucoup de perte de temps au début et trop d’ambition sur les délais par exemple, mais c’était surtout lié à la volonté politique. » Il salue toutefois cette première livraison, assurant que la France pouvait « se satisfaire d’avoir un si bel avion » et qu’il ne fallait pas s’attarder sur le passé : « c’est l’avenir qui est important, il faut apprendre de ses erreurs », rejoignant ainsi le discours de Tom Enders sur les écueils à éviter pour les futurs programmes européens.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 11:25
EADS North America to provide support and service to 4 CN235 Maritime Patrol Aircraft for Mexican Navy

Sep 27, 2013 ASDNews Source : European Aeronautic Defence and Space Company EADS N.V.

 

EADS North America will deliver contractor logistics support and service (CLSS) to four CN235-300 Maritime Patrol Aircraft (MPA) for Mexican Navy. The CLSS contract consists of one base year with four one-year options. The contract includes a field service representative to provide on-site technical support, management of parts and depot maintenance.

 

EADS North America delivered the four Airbus Military CN235-300 MPAs to the Mexican Navy in 2011 and 2012 under a U.S. Coast Guard managed foreign military sales agreement. The CN235-300 MPAs enhance Mexico’s ability to support the Mérida Initiative, a cooperative security arrangement between the U.S., Mexico and Central American countries. The aircraft’s missions include homeland security, search and rescue, military readiness, cargo and personnel transport, drug interdiction and maritime environmental protection.

 

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28 septembre 2013 6 28 /09 /septembre /2013 15:50
En vidéos : la conférence de Tom Enders sur l'aéronautique transatlantique
27.09.2013 AEROCONTACT TV
 
Thomas Enders, président exécutif d'EADS, a profité d’une conférence organisée par l'European American Press Club à Paris le 26 septembre pour exposer sa vision sur les perspectives de la coopération transatlantique dans le secteur aéronautique et spatial.

Vous retrouverez ci-dessous les principales séquences de son intervention (en anglais).
- See more at: http://www.journal-aviation.com/actualites/24315-en-videos-la-conference-de-tom-enders-sur-l-aeronautique-transatlant#sthash.JtnzTfwZ.dpuf
 
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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 16:20
Le tropisme transatlantique du président d’EADS

27 septembre 2013 blog.hajnalka-vincze.com

En parlant des perspectives de « l’aéronautique transatlantique », Tom Enders joue cartes sur table maintenant. Dès le départ, son intention d'évincer les Etats européens d'EADS et son désir de le transformer en une compagnie de facto américaine formaient un tout inséparable. C'est logique, ce sont les deux faces de la même médaille. Comme noté auparavant, « moins il y a d’interférence étatique (européenne) dans une entreprise, plus il lui sera facile d’accepter celle, extrêmement étendue, rigoureuse et exclusive, des pouvoirs washingtoniens ; c’est le prix à payer d’avance pour être présent sur le marché de défense américain. »

 

Le rêve d'Enders est donc la transatlantisation croissante du secteur, il n'y a là rien d'original. A relire l'excellent papier de Jean-Paul Hébert et Yves Bélanger « Vers une transatlantisation des industries de défense? » de 2003, où les auteurs notent déjà que « En fait, un nombre croissant d’analystes se demande si la base industrielle de défense ne serait pas engagée dans un processus de mondialisation / transatlantisation aussi inévitable qu’irréversible. » D’autant plus que « La sensibilité des dirigeants des firmes européennes d'armement aux impératifs stratégiques est aujourd'hui bien différente de ce qu'elle était auparavant, conséquence de la privatisation généralisée et de la priorité donnée maintenant à la valeur pour l'actionnaire avant toute autre considération. »

 

Ajoutons que, après les restructurations gigantesques de sa base industrielle de défense, l’Amérique voit d’un très mauvais œil que l’Europe, qui devrait normalement être « la prochaine étape », nourrisse quelques (bien maigres) velléités d’indépendance. Et c’est à ce moment que les industriels (disons plutôt financiers-gestionnaires, du type Enders) entrent en jeu. Pour Hébert et Bélanger : « Les firmes américaines, qui occupaient, jusqu’à récemment, au moins la moitié du marché européen, ne souhaitent aucunement voir se fermer ce marché. Parallèlement, les firmes européennes caressent ouvertement l’idée de s’implanter sur le lucratif marché intérieur américain ». Quelle coïncidence heureuse.

 

En avant, donc, pour les fusions, rachats d’entreprises et autres rapprochements transatlantiques. Dans la mesure du possible, c’est-à-dire à sens unique pour ce qui est du contrôle effectif. Pour illustration, les membres non-Américains de la direction d’un groupe avec filiale aux USA, Tom Enders y compris, doivent se contenter de recevoir les résultats financiers. Les technologies, les produits, les programmes leur restent invisibles, comme l’avait très bien décrit l’ancien patron de BAE. Pas de surprise donc si Enders met beaucoup d’espoir dans les négociations de libre-échange transatlantique, qu’il souhaite voir aboutir à des règles d’investissements dans les entreprises US qui seraient « moins restrictives ».

 

On le comprend, même si on ne peut pas s’y souscrire. En réalité, à défaut d’une préférence européenne pour nos achats militaires et d’un retour marqué de l’Etat dans nos entreprises stratégiques, les restrictions US constituent notre dernier garde-fou. Car si nos firmes pouvaient accéder au marché américain plus facilement, toutes s’y précipiteraient immédiatement, et deviendraient de facto américaines en peu de temps.

 

A part cela, le raisonnement d’Enders comporte deux erreurs de taille. Premièrement, lorsqu’il reprend à son compte le mantra qui fustige la fragmentation en Europe et présente les consolidations comme la solution aussi désirable qu’inévitable. Or, sur ce point, son contradicteur n’est personne d’autre que le directeur général de Dassault Aviation. Dans un papier publié en janvier, celui-ci démonte le mythe de la taille critique, en citant de nombreux exemples observés en Amérique. Surtout, il y substitue le pragmatisme de la coopération qui a, entre autres, l’avantage de ne pas « figer définitivement la situation ». Un avantage à ne pas négliger alors que l’échiquier mondial est en pleine mutation.

 

Deuxièmement, Enders a raison de « se montrer beaucoup plus sceptique » quant aux perspectives d'un marché commun transatlantique dans le secteur de la défense, du fait que « les USA et l’Europe ne partagent pas les mêmes intérêts géostratégiques ». Mais si c’est vrai (et ça l’est) il y aurait beaucoup d’autres conséquences à en tirer pour le patron d’EADS. Et toutes dans le sens inverse de ce qu’il s’acharne à faire. Vu que l’aéronautique dans son ensemble, avec l’espace bien entendu, sont des secteurs tout aussi essentiels pour la souveraineté que la défense proprement dit, comment justifier vouloir les incorporer dans un système transatlantique (dominé et contrôlé par l’Amérique) alors que, de son propre aveu, nous ne partageons pas les mêmes intérêts géostratégiques. Enigme.

 

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 22:19
EADS : Tom Enders confiant dans les perspectives de l’« aéronautique transatlantique »

26.09.2013 Romain Guillot journal-aviation.com

 

Tom Enders, président exécutif d'EADS, a profité d’une conférence organisée par l'European American Press Club à Paris le 26 septembre pour exposer sa vision sur l’avenir des relations transatlantiques dans le secteur aéronautique et spatial.

 

Dans le secteur de l’aéronautique civil tout d’abord, Tom Enders a voulu rappeler que 40% de la valeur d’un Airbus provenait de fournisseurs américains, exactement la même part que pour un Dreamliner de son concurrent historique Boeing, pointant du doigt les titres de presse qui résument souvent le secteur à une simple bataille « Airbus vs Boeing ». Le secteur civil représente 80% du chiffre d'affaires d'EADS aujourd’hui.

 

Le backlog d'Airbus est par ailleurs constitué à 27% par des commandes émanant des États-Unis et le pays continuera à être le principal acteur du secteur dans les vingt prochaines années, avant d’être rattrapé par l’Empire du Milieu. Tom Enders a également souligné que la future ligne d’assemblage final d’A320 de Mobile (Alabama), dont le chantier a commencé en août dernier, est un bon exemple de coopération transatlantique dans l’industrie aéronautique.

 

Cette FAL, la seconde implantée hors d’Europe après celle de Tianjin, « sera plus compétitive » que celles présentes à Toulouse et à Hambourg, même si Tom Enders n’a pas voulu avancer de chiffre. « Une ligne d’assemblage n’est pas qu’une question de coût de main-d’œuvre et le tissu de fournisseurs qui se développera progressivement autour améliorera encore sa rentabilité avec le temps » a-t-il souligné, ajoutant que « l’aéronautique n’était pas une industrie low-cost ».

 

Le président exécutif d'EADS s’est également montré relativement optimiste sur le projet d'accord de libre-échange entre l'Europe et les États-Unis, qui devraient d’abord bénéficier aux clients finaux (opérateurs), mais qui pourrait aussi être la source de consolidations du secteur au niveau transatlantique dans l’hypothèse ou les règles d’investissements dans les entreprises américaines seraient amener à évoluer pour être moins restrictives.

 

Tom Enders s’est cependant montré beaucoup plus sceptique dans le secteur de la défense, les USA et l’Europe ne partageant pas les mêmes intérêts géostratégiques. Par ailleurs, l’existence d’une diplomatie, voire d’une politique de défense européenne, ne lui a jamais semblé « aussi lointaine depuis 20 ans », une vision illustrée par les conflits en Libye, au Mali ou par la crise syrienne.

 

Une autre problématique qui concerne l’Europe est le manque de concertation et de discernement en termes de recherche, « les projets se chevauchant souvent ». Selon lui, l’Europe, et la France en particulier, sont encore des marchés trop fragmentés et des consolidations sont inévitables.

 

Concernant spécifiquement la participation d’EADS dans Dassault Aviation (46%), Tom Enders a jugé qu’il s’agissait d’un bon investissement, mais qu’il n’était pas stratégique, se gardant d’annoncer une quelconque intention de désengagement dans le futur. « Nous nous occuperons de cette question quand le moment sera venu, mais il n'y a aucune urgence pour l’instant ».

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 07:50
EADS Looks To Simplify 'Wide' Portfolio

Sep. 25, 2013 - By ANDREW CHUTER – Defense News

 

Review Coincides With Defense, Space Business Consolidation

 

LONDON — Industry observers were warned by a top Cassidian executive “not to expect anything earth-shattering” to come out of a portfolio review being conducted by EADS as part of a restructuring and rebranding effort of its defense and space activities.

 

Christian Scherer, head of sales at EADS’ defense arm Cassidian, told reporters on the sidelines of the recent DSEi exhibition here that the review was ongoing but the likely out­come was a simplification of the busi­ness rather than a fundamental change.

 

 

“You could say our portfolio is too wide even for a large company, so as part of the restructuring and integration effort you will see us follow through on the review and that should resolve it,” he said. “Nothing earth-shattering. If anything it should result in a slight simplifying of what we do. ... Over time you will see a slight rationalization of the portfolio.”

 

The rationalization will likely affect operations that are small and segregated from the rest of the company. “We will not be adding complexity by going on a buying spree,” Scherer said.

 

The portfolio review was part of normal business activities, but it was decided it should coincide with the restructuring to avoid having to explain the changes twice, he said.

 

EADS announced in July it was restructuring and rebranding the entire company around the Airbus name used by its commercial aircraft operation.

 

Part of that reorganization involves merging Cassidian, the Astrium space activities and Airbus’ military airlifter business into one unit — Airbus Defence & Space. Scherer will be executive vice president for sales and mar­ket­ing in the new company.

 

The goal of the compay’s restructuring is to make itmore effective in export markets and to enable integration of adjacent business segments, such as the company’s space, air and land observation capabilities, Scherer said.

 

The US will remain a target for Airbus Defence & Space, although the restructuring will “probably not enable us quicker access” to the market, he said. Scherer pointed to potential opportunities for the A330 in-flight tanker and the A400M transport if the Pentagon ever needed their capabilities.

 

One area of the business that remains unresolved is the maritime sector, where EADS has a joint venture with ThyssenKrupp in systems and weapons house Atlas Elektronik as well as its own naval radar and other interests.

 

Asked whether he would rule out a possible ownership change at Atlas, Scherer said, “I am not saying there will be or will not be. How we achieve better integration between mission systems and sensors I don’t know. Whether that means a change in the ownership of Atlas or a change in who has 51 percent or 49 percent, the fact is we want to construct products that are more integrated on the naval side than what we have today. We don’t have the answer yet what that means for Atlas.”

 

The new company begins operation at the start of 2014, with completion of the merger by midyear, he said.

 

Airbus Defence & Space will have revenues of €13.7 billion (US $18.3 billion) and employ 45,000 people. The merger would not change the magnitude of the Airbus Defence & Space operation in the foreseeable future and the unit would continue to have aerospace at its heart, Scherer said.

 

That may not be enough to create a growing business, said Howard Wheeldon of Wheeldon Strategic Advisory.

 

“Clearly there remains scope to better integrate defense-related activities with other business activities in order to reduce costs, but that of itself will not contribute to sustainable growth,” Wheeldon said. “While EADS has always been brilliant at product innovation and design, and it has never been shy in research and development, it may need to up its game and the way to do this may be through increased partnerships.

 

“While acquisitions could never be ruled out, EADS’ route to greater success across the defense portfolio will be by product achievement, program execution and partnerships. With its existing financial strength, this could provide interesting future opportunities for growth in defense,” he said .

 

Scherersaid the move had enabled EADS to “find another way to create critical mass for ourselves” after the failure to merge with defense giant BAE Systems 12 months ago.

 

He ruled out suggestions EADS was merely parceling up the defense and space operations ahead of another merger attempt with BAE.

 

“This is not the left hook before the right hook of merging with BAE,” he said. “It’s not on the radar screen.”

 

He acknowledged that the two firms continue to discuss restructuring their interests in the Eurofighter Typhoon program to create an operation that is more responsive to commercial requirements in the export markets. BAE and Cassidian are the principal partners in a Eurofighter industrial effort, which also includes Finmeccanica.

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 06:50
EADS se prépare à une baisse des cadences sur l'A400M

19/09/2013 Par Guillaume Steuer – Air & Cosmos

 

C'est Marwan Lahoud, patron de la stratégie d'EADS, qui le reconnaissait ce matin devant les députés de la commission de défense : "la montée en puissance de la production de l'A400M sera plus lente que prévue", expliquait le dirigeant dans le cadre d'une audition sur le projet de loi de programmation militaire (LPM) pour la période 2014-2019.

 

Ce projet de LPM ne prévoit la livraison que de 15 A400M pour les forces françaises d'ici à 2019, alors qu'il en était encore attendu 30 au titre du contrat qui avait déjà fait l'objet d'une renégociation en 2010. Le dirigeant a cependant précisé que cette nouvelle réduction ne devrait pas avoir "d'impact dynamique" sur les emplois, le programme n'en étant que dans sa phase initiale au niveau de la production.

 

Le patron de la stratégie a en revanche nuancé l'impact pour son entreprise du glissement du programme de renouvellement des avions-ravitailleurs français : le projet de LPM prévoit en effet l'acquisition de deux machines seulement sur la période, pour une cible globale de douze A330 MRTT. "Si EADS était une entreprise 100% militaire, ce serait une catastrophe", a-t-il rappelé, soulignant qu'Airbus livrait plus de 10 Airbus A330 chaque mois à des clients civils.

 

S'exprimant au sujet des drones, Marwan Lahoud a partagé son pessimisme quant à l'émergence à court terme d'un projet de drone Male (moyenne altitude longue endurance) européen, constatant que selon la LPM, "aucun programme de ce type ne devrait être lancé" avant la fin de la décennie. Il a en revanche souligné qu'en matière de R&T, la filière hélicoptères partageait de grandes similitudes avec celle des drones et que l'avenir était selon lui aux voilures tournantes "optionnellement pilotées".

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 21:07
La Corée du Sud annule son contrat d’achat d’avions de combat avec Boeing

Un F-35 de Lockheed Martin prêt à s'envoler (Photo Lockheed Martin Aeronautics)

 

24/09/2013 par Nicolas Laffont – 45eNord.ca

 

Coup de théâtre en Corée du Sud. La Défense du pays a annoncé ce mardi qu’elle allait relancé l’appel d’offres pour la fourniture de 60 avions de combat suite à la décision de son agence en charge des contrats d’armements d’aller contre l’octroi à Boeing d’un contrat de 8300 milliards de wons (7,9 milliards $).

 

Il s’agit pour Séoul de remplacer une flotte vieillissante d’avions F-4 et F-5.

 

Le F-15 Silent Eagle de Boeing était opposé au F-35A de Lockheed Martin et au Typhoon du consortium européen Eurofighter (EADS, BAE Systems et Alenia). Ces deux derniers avaient cependant été éliminés car leurs offres dépassaient le budget fixé par Séoul, Boeing étant le seul à avoir soumis une offre correspondant au budget.

 

Une partie de l’état-major sud-coréen s’était toutefois récemment prononcée publiquement contre l’octroi de ce contrat à Boeing, jugeant que le F-15 Silent Eagle ne répondait pas aux besoins actuels des armées du pays. La raison invoquée serait entre autres le manque de capacités de furtivité de l’appareil face à certains de ses concurrents (le F-35 en tête).

 

Fin août, 15 anciens haut responsables de l’aviation sud-coréenne ont signé une pétition qualifiant d’«irrationnelle» la procédure qui avait éliminé les appareils de Lockheed Martin et d’EADS.

 

Le porte-parole du ministère de la Défense sud-coréenne a précisé que l’ensemble du processus devrait prendre «environ un an» et que le ministère ferait tout pour «accélérer les choses afin de nous assurer que le vide dans notre défense nationale soit limité à un minimum de temps».

 

Plusieurs possibilités seront examinés: le nombre d’avions commandés pourrait changer, la période de financement pourrait être prolongée, ou le contrat pourrait porter sur plusieurs types d’avions.

 

Les Pays-Bas ont récemment signé une commande de F-35, portant à sept le nombre de pays autres que les États-Unis optant pour cet avion, avec la Grande-Bretagne, l’Australie, l’Italie, la Norvège, Israël et le Japon.

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