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8 juillet 2013 1 08 /07 /juillet /2013 05:50
Espionnage économique : EADS lancé dans une course de vitesse

07.07.2013 Le Monde.fr avec AFP

 

Le directeur des opérations d'Airbus, filiale d'EADS, a estimé que le groupe européen d'aéronautique se trouvait lancé dans une course de vitesse contre l'espionnage économique dont il dit être une cible privilégiée, dans un entretien à paraître dimanche 7 juillet dans Welt am Sonntag.

 

"Nous sommes une cible de choix", a déclaré à propos de l'espionnage économique, Günter Butschek, rappelant que le groupe se trouvait dans ce domaine aux premières loges, bien avant les révélations de l'ex-consultant Edward Snowden de l'Agence américaine de sécurité nationale (NSA) sur le programme de surveillance des communications mondiales par les Etats-Unis. Face à la menace, le groupe européen a fait de la sécurité informatique l'un de ses principaux chantiers, selon M. Butschek. "Presque une réunion de la direction sur deux discute de la question de la sécurité informatique", a expliqué le dirigeant allemand.

 

Le groupe européen se voit lancé dans une course pour ériger une barrière capable de rendre les réseaux informatiques internes hermétiques. "Nous nous sommes entourés d'un grillage", a expliqué M. Butschek, mais "à la vitesse à laquelle nous construisons ce grillage, d'autres y cherchent les failles".

 

Selon Welt am Sonntag, en matière de sécurité informatique, EADS profite de sa branche de défense Cassidian qui dispose de ses propres prestataires pour parer aux cyberattaques. Dans les divisions à haut risque, notamment dans le département en charge de la conception de fusées porteuses pour armes atomiques, les salariés ne disposent d'aucun accès à l'Internet, affirme le journal.

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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 11:50
Xavier Tardy nommé Directeur financier d’Airbus Military

3 juillet Aerobuzz.fr

 

Xavier Tardy, actuellement Directeur financier (Chief Financial Officer – CFO) d’EADS North America et Airbus Americas, a été nommé au poste de Directeur financier d’Airbus Military. Il succède ainsi à Christian Pechmann, qui assumera désormais le rôle de Directeur financier et commercial d’Eurofighter GmbH.

 

Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, qu’il occupera dès le 15 juillet, Xavier Tardy sera placé sous l’autorité directe de Harald Wilhelm, Directeur financier d’EADS/Airbus, et rattaché fonctionnellement à Domingo Ureña Raso, CEO d’Airbus Military.

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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 07:55
L'Etat revient au capital de Dassault Aviation grâce à un pacte d'actionnaire avec EADS

03 juillet 2013 Usinenouvelle.com (avec Reuters)

 

Grâce à son acquisition d'une action de Dassault Aviation, l'Etat français va peser plus directement sur les décisions stratégiques de l'avionneur, et ce en vertu d'un pacte d'actionnaires conclu avec le groupe EADS.

 

Ce pacte d'actionnaires, révélé par un avis de l'Autorité des marchés financiers (AMF), a été conclu le 21 juin avec EADS, qui détient 46,32 % du constructeur du Rafale.

 

L'Etat était déjà indirectement actionnaire de Dassault Aviation, puisqu'il détient 12 % d'EADS, la maison-mère d'Airbus. Il avait déjà obtenu un droit de préemption sur la participation d'EADS dans Dassault Aviation lors de la réorganisation de la gouvernance du groupe européen entrée en vigueur début avril.

 

Dans son avis publié le 2 juillet, l'AMF souligne que l'Etat n'envisage pas de prendre le contrôle de Dassault Aviation, ni même d'acquérir des actions supplémentaires du groupe ou d'obtenir des changements dans la stratégie de l'avionneur.

 

Dassault Aviation n'a fait aucun commentaire sur cette opération.

 

La Cour des Comptes avait estimé en avril que l'Etat devait réfléchir au rôle que doit jouer Dassault Aviation, dont le poids dans le secteur français de la défense s'est renforcé au fil des ans.

 

Dassault Aviation, dont l'actionnaire majoritaire est la holding familiale Groupe industriel Marcel Dassault (GIMD), avec 50,55 % du capital, est le premier actionnaire industriel de l'équipementier aéronautique Thales, qui détient lui-même 35 % du constructeur naval DCNS.

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 10:50
EADS Flags LBG 2013 - photo EADS

EADS Flags LBG 2013 - photo EADS

22 juin 2013 LesEchos.fr

 

PARIS, 22 juin (Reuters) - La faiblesse du dollar par rapport à l'euro est une situation qui n'est plus tenable pour l'industrie aéronautique européenne, dit Marwan Lahoud, directeur général délégué d'EADS, dans une interview à paraître dans le Journal du dimanche.

 

Le dirigeant s'exprime dans cet entretien à l'issue du Salon aéronautique du Bourget, près de Paris, où Airbus a signé en quatre jours la vente de 466 appareils, dont 20 A380.

 

"Notre objectif de 800 commandes sur l'année sera tenu", explique-t-il en estimant que, sur le long terme, Airbus et Boeing resteront "à 50-50".

 

Prié de dire ce qu'il a conseillé aux dirigeants politiques qui ont visité le salon, il répond : "De se battre contre un dollar beaucoup trop faible face à l'euro et de veiller à la compétitivité européenne. La situation n'est plus tenable."

 

"Tout le monde a compris que c'est l'industrie qui va régler les problèmes de l'Europe et non les services. Quand vous regardez les créations d'emploi ou les chiffres du commerce extérieur, vous voyez que l'économie tient grâce à l'aéronautique", ajoute-t-il.

 

Il exhorte également le gouvernement français à arrêter la dégradation de la compétitivité de la France par rapport à l'Allemagne pour assurer la survie de l'industrie française.

 

"Notre chance est d'être dans une industrie en croissance, sur le long terme, qui va embaucher 13.000 salariés cette année", souligne-t-il. "Elle peut amortir des chocs mais elle ne résistera pas éternellement à un coût du travail toujours plus pénalisant vis-à-vis de la concurrence internationale, voire européenne."

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 10:50
EADS Flags LBG 2013 - photo EADS

EADS Flags LBG 2013 - photo EADS

22 juin 2013 LesEchos.fr

 

PARIS, 22 juin (Reuters) - La faiblesse du dollar par rapport à l'euro est une situation qui n'est plus tenable pour l'industrie aéronautique européenne, dit Marwan Lahoud, directeur général délégué d'EADS, dans une interview à paraître dans le Journal du dimanche.

 

Le dirigeant s'exprime dans cet entretien à l'issue du Salon aéronautique du Bourget, près de Paris, où Airbus a signé en quatre jours la vente de 466 appareils, dont 20 A380.

 

"Notre objectif de 800 commandes sur l'année sera tenu", explique-t-il en estimant que, sur le long terme, Airbus et Boeing resteront "à 50-50".

 

Prié de dire ce qu'il a conseillé aux dirigeants politiques qui ont visité le salon, il répond : "De se battre contre un dollar beaucoup trop faible face à l'euro et de veiller à la compétitivité européenne. La situation n'est plus tenable."

 

"Tout le monde a compris que c'est l'industrie qui va régler les problèmes de l'Europe et non les services. Quand vous regardez les créations d'emploi ou les chiffres du commerce extérieur, vous voyez que l'économie tient grâce à l'aéronautique", ajoute-t-il.

 

Il exhorte également le gouvernement français à arrêter la dégradation de la compétitivité de la France par rapport à l'Allemagne pour assurer la survie de l'industrie française.

 

"Notre chance est d'être dans une industrie en croissance, sur le long terme, qui va embaucher 13.000 salariés cette année", souligne-t-il. "Elle peut amortir des chocs mais elle ne résistera pas éternellement à un coût du travail toujours plus pénalisant vis-à-vis de la concurrence internationale, voire européenne."

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 11:50
Défense : sans BAE Systems, EADS reste dans l'ombre de Boeing

17/06/2013 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Entre les deux géants de l'aérospatiale, il n'y a pas que dans l'aéronautique commerciale où ils s'affrontent durement. Boeing et EADS se croisent souvent dans les domaines de la défense et de l'espace. Si l'américain domine largement dans la défense, le groupe européen garde la main dans l'espace. Un match sans concession.

 

Avions de combat : Difficile de lutter sur ce marché face aux Américains en général, et à Boeing en particulier. La domination du géant américain avec le F18, construit à plus de 1.500 exemplaires à partir du début des années 1980, et le F15 (plus de 1.000 appareils vendus à partir de 1974) n'est pas discutable face à EADS, qui propose l'Eurofighter Typhoon (EADS détient 46 % du consortium Eurofighter). Néanmoins, le groupe européen a su se faire une petite place à l'international en exportant son appareil en Arabie saoudite, à Oman et en Autriche. Avantage Boeing.

 

Missiles : Entre MBDA (37,5 % EADS), joueur global (3 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2012), et Boeing, un joueur de niche (500 millions d'euros), le match est déséquilibré... Pour autant, le géant américain disposent encore de belles cartouches avec notamment son best-seller, le missile anti-navire Harpoon, le missile de croisière à longue portée SLAM-ER (dérivé du Harpoon) et enfin, le missile de défense aérienne Avenger. Pas de quoi inquiéter MBDA, qui joue dans la cour des grands avec les deux américains Raytheon et Lockheed Martin. Avantage EADS.

 

Avions de transport militaire et de surveillance : Dans le transport, EADS va devenir un redoutable outsider qui pourrait agacer Boeing à terme. Bien sûr, l'américain est pour l'heure intouchable avec le C-17 et le KC-767 mais ces deux appareils appartiennent plus au passé qu'à l'avenir. Avec l'A400M (avions de transport) et l'A330 multi rôle MRTT, qui a collectionné les succès à l'export, EADS dispose de deux avions modernes et performants. Sans compter la gamme des avions de transport tactique Casa (C212, CN235 et C295). Pour autant, Boeing a réagi avec l'avion multi rôle KC-46 Tanker. Dans les avions de surveillance, Boeing avec le P-8 et le 737 AEW&C n'a pas d'égal. Avantage Boeing

 

Hélicoptères : Présent dans toute la gamme des hélicoptères civils et militaires, Eurocopter est sans discussion vainqueur du match. Mais Boeing a deux produits qui, sur le plan commercial, font rêver Eurocopter : l'AH-64 Apache, l'hélicoptère d'attaque (plus de 1.000 exemplaires vendus), et le bus volant, le CH-47 Chinook dont près de 1.200 appareils ont été fabriqués depuis 1962. Avantage EADS.

 

Systèmes de défense : Avec BAE Systems, EADS aurait pu ressembler à Boeing, le modèle de la vision 2020 cher à Louis Gallois, l'ancien président d'EADS. Aussi il est difficile de comparer les deux groupes dans ces activités. D'abord par la taille, Cassidian, hors MBDA et Eurofighter, pèse environ 2 milliard d'euros alors que Boeing approche les 12/13 milliards d'euros. Surtout, EADS est plus un équipementier tandis que Boeing est un grand maître d'œuvre intégrateur. Il peut également pour le compte de l'administration américaine être conseil à la maîtrise d'ouvrage. EADS a quand à lui quelques niches où il est l'un des leaders mondiaux telles que la surveillance des frontières et la surveillance des côtes. Avantage EADS

 

EADS en orbite haute

 

Satellites : Boeing, qui est récemment revenu sur le marché commercial avec une nouvelle famille de satellites, a pris une longueur d'avance sur ses rivaux, y compris sur Astrium. En outre, le géant américain a depuis très longtemps su pleinement profiter des budgets de la défense américain, qui lui ont permis de développer deux/trois technologies qui sont aujourd'hui nulle par ailleurs. Grâce à la manne de la R&D du Pentagone, il a récemment développé le concept du satellite tout électrique. Ce qui lui permet d'augmenter la masse au lancement à environ 6,6 tonnes (contre 6,1-6,3 tonnes pour les constructeurs européens). Cette nouvelle stratégie se fait sentir dans les bilans de fin d'année. En 2012, sur les 18 satellites commerciaux en compétition, Boeing en a remporté cinq, contre deux pour Astrium. L'Europe a réagi et a confié à Astrium et Thales Alenia Space le programme de la nouvelle plate-forme Neosat. Les deux partenaires ont pour objectif de proposer chacun l'adaptation de leur gamme avec ces nouveaux produits dès 2015, avec un premier satellite en orbite dès 2018. Avantage Boeing

 

Lanceurs civils : Astrium, maître d'œuvre d'Ariane 5, reste le leader mondial dans ce secteur et les fournit à la société de lancement, Arianespace, six à sept lanceurs Ariane 5 par an. Boeing, qui a déserté le marché commercial, fournit en moyenne trois à quatre lanceurs de la famille Delta IV à l'administration américaine par an. Avantage EADS.

 

Missiles balistiques : Après le M45, Astrium a développé la nouvelle génération de missiles balistiques français, le M51. Conçu pour répondre à l'évolution des menaces et des nouveaux types de défense, il a été mis en service fin 2010. Quant à Boeing, il entretient la dernière génération des Minuteman (Minuteman III), un missile balistique intercontinental (ICBM) à ogive nucléaire lancé depuis le sol et déployé à partir de 1962. Avantage EADS

 

Services : Astrium Services est la pépite d'Astrium. Lancée en 2002 par Eric Béranger, la start-up a atteint "presque 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires Astrium Services est la pépite d'Astrium. Lancée en 2002 par Eric Béranger, la start-up a atteint "presque 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2012 grâce notamment au programme Skynet. Boeing a quant à lui démarré plus tardivement. Il a créé en 2010 Boeing Commercial Satellite Services. Son principal coup est le contrat Immarsat remporté au dépens d'Astrium. Boeing a proposé un rachat de capacités à l'opérateur. Une offre qui a été décisive dans cette compétition. Avantage EADS

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 16:50
photo EDA 2013

photo EDA 2013

16/06/2013 latribune.fr(Reuters)

 

Dans un entretien au Sunday Times, le président exécutif d'EADS estime, au sujet du projet de fusion avorté avec BAE Systems, que cette "opportunité identifiée il y a un an a disparu pour des années."

 

Thomas Enders, le président exécutif d'EADS, exclut toute nouvelle tentative de rapprochement avec le britannique BAE Systems, dans un entretien au Sunday Times, estimant que les deux groupes ont tourné la page après l'échec du projet initié l'an dernier.

"Cette fenêtre a été refermée", a-t-il dit dans cet entretien publié à la veille de l'ouverture du Salon aéronautique du Bourget. "Les deux entreprises sont allées de l'avant. L'opportunité que nous avions identifiée il y a un an a disparu pour des années."

 

Le projet de fusion entre EADS et BAE, qui aurait créé un champion européen de l'aéronautique et de la défense, a été abandonné en octobre dernier faute d'avoir surmonté les obstacles politiques qui lui étaient opposés, notamment par l'Allemagne.

 

Dans l'entretien au Sunday Times, Thomas Enders explique également que le conseil d'administration d'EADS étudiera le mois prochain le cas de Cassidian, la filiale de défense du groupe. Mais il assure: "Nous ne sommes pas en train de nous désengager de la défense."

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 11:50
EADS ne compte pas céder d'activités de défense pour le moment

19/06 LesEchos.fr (Reuters)

 

EADS ne compte pas abandonner ses activités liées à la défense mais n'exclut pas de chercher des alternatives pour certaines d'entre elles, a déclaré mercredi Tom Enders, président exécutif du groupe, au quotidien allemand Die Welt.

 

"Nous allons examiner très attentivement quelles activités valent la peine d'être maintenues, en matière de rentabilité et de perspectives sur les marchés - et quelles activités pourraient bénéficier d'un meilleur avenir dans une coentreprise ou avec un nouveau propriétaire", a dit Tom Enders.

 

"Ce qui est certain, c'est qu'en ces temps de réduction des budgets, une consolidation est nécessaire dans l'industrie de la défense", a-t-il ajouté.

 

Tom Enders a précisé que les activités de défense d'EADS représentaient un chiffre d'affaires de douze milliards d'euros, ce qui en fait le premier acteur européen du secteur.

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 11:35
photo RP Defense

photo RP Defense

19 juin 2013 Par Julien Bonnet - Usinenouvelle.com

 

La Corée du Sud a lancé officiellement mardi 18 juin et pour une durée de onze jours l'appel d'offre pour un contrat de 7,3 milliards de dollars portant sur la fourniture de 60 avions de combat. Deux américains, Boeing et Lockheed Martin, l'européen EADS sont au coude à coude pour décrocher ce contrat.

 

Bataille commerciale dans le ciel coréen. La Corée du Sud a lancé officiellement mardi 18 juin l'appel d'offre pour un contrat de 7,3 milliards de dollars (5,5 milliards d'euros) portant sur la fourniture de 60 avions de combat. Il s'agit de la dernière étape d'un processus qui voit s'affronter deux américains - Boeing et Lockheed Martin - et l'européen EADS. La Corée du Sud a acquis 60 F-15 de Boeing depuis 2002 et souhaiterait donc acquérir 60 avions de combat supplémentaires d'ici 2021.

 

Ces trois géants de l'aéronautique de défense ont chacun présenté leur offre, assortie de conditions favorables destinées à remporter ce marché, le plus important jamais passé par la Corée du Sud. Le pays s'est donné onze jours pour se décider.

 

Trois avions de combat en compétition

 

F15 SE en vol - photo Boeing

F15 SE en vol - photo Boeing

L'agence sud-coréenne d'acquisition des armements (DAPA), qui a bien précisé que le montant du contrat ne pouvait pas dépasser les 8 300 milliards de wons (soit 7,3 milliards de dollars ou 5,5 milliards d'euros), va devoir trancher entre le F-15 Silent Eagle de Boeing, le F-35 Lightning II de Lockheed Martin et l'Eurofighter Typhoon d'EADS.

 

La Corée du Sud souhaite acquérir 60 avions de combat supplémentaires

Propositions de partenariats industriels

 

Dans son offre, EADS propose d'investir 2 milliards de dollars pour aider la Corée du Sud à développer ses propres avions de combat s'il est choisi. Lockheed Martin s'engage pour sa part à aider le pays à développer et lancer des satellites de communication militaire, tandis que Boeing a promis d'acheter des milliards de dollars de pièces détachées aux entreprises sud-coréennes.

 

En janvier dernier, la Corée du Sud avait préféré l'anglo-Italien AgustaWestland à l'américain Sikorsky pour la livraison de six hélicoptères à la Marine sud-coréenne, un contrat de 567 millions de dollars, signe que Séoul, qui traitait habituellement uniquement avec des sociétés américaines, a élargi ces derniers mois la liste de ses fournisseurs.

 

Acquisition de missiles Taurus

 

La Corée du Sud souhaite acquérir 60 avions de combat supplémentaires

Autre exemple ce mercredi 19 juin, le pays a annoncé qu'il allait acquérir des missiles de croisière Taurus, produits par l'Allemagne et la Suède, après le refus des Etats-Unis de lui vendre un armement correspondant, le Pentagone s'inquiétant d'un regain de tensions avec la Corée du Nord. Selon l'agence de presse Yonhap, Séoul se porterait acquéreur de 170 de ces missiles air-sol (portée de 500 kilomètres) d'une valeur totale de 300 millions de dollars (223 millions d'euros).

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 07:50
AMPS (Airborne Missile Protection System)

AMPS (Airborne Missile Protection System)

19/06/2013 Cercle Finance

 

Cassidian, la division de défense et de sécurité d'EADS, annonce avoir développé un système intelligent pour la protection des avions civils contre les attaques de missiles MANPADS (Man-Portable Air-Defense Systems). 

 

Il permet le survol des zones de crise ainsi que les atterrissages et les décollages sur des pistes d'aéroports civils tout comme la traversée d'espaces aériens civils.

 

Cassidian a obtenu une réponse positive de l'Agence Européenne de la Sécurité Aérienne (EASA) et de l'Office fédéral allemand de l'aviation (LBA) - faisant suite à une étude approfondie de sa demande préalable - pour équiper des avions de la taille de jets commerciaux en dehors des vols réguliers. 

 

Cela concerne notamment les exploitants d'aéronefs qui proposent des transports en zones de crise sur mandat d'Etats ou d'organisations d'aide humanitaire et qui sont particulièrement sujets aux attaques de missiles légers guidés à infrarouges, communément appelés MANPADS.

 

La solution de Cassidian consiste à modifier le système militaire de défense anti-missile AMPS (Airborne Missile Protection System) qui détecte le rayonnement UV de missiles en approche et déclenche l'envoi de leurres pour détourner l'autodirecteur du missile. 

 

Avec l'équipementier EADS Elbe Flugzeugwerke de Dresde, Cassidian planche sur une étude de conception et d'homologation visant à l'intégration de l'AMPS dans les avions à fuselage large, afin de pouvoir à l'avenir proposer également aux exploitants de gros modèles d'avions un concept de protection homologable dans le civil. 

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 07:50
Cassidian CyberSecurity présente son offre cyber défense à la 50 édition de "Paris Air Show"

19 juin 2013 - Frédéric Mazué - solutions-logiciels.com

 

Aujourd’hui, les attaques cybernétiques sont omniprésentes, ciblant en priorité les secteurs à haute valeur ajoutée telle l’aéronautique. Toutes les organisations sont confrontées au risque d’intrusion dans leurs systèmes de logiciels malveillants ou de virus susceptibles de modifier les données transmises, de dérober des données confidentielles et de mettre en danger la santé des organisations ciblées.

 

Face à l’accroissement et à la diversité des cyber attaques, Cassidian CyberSecurity a été créé pour protéger les gouvernements, les infrastructures nationales critiques et les industries dans leur combat quotidien contre la menace cyber. Les équipes d'experts, basées en France, en Grande-Bretagne et en Allemagne travaillent étroitement avec leurs autorités gouvernementales respectives afin de mettre en place les solutions dynamiques nécessaires pour détecter et contrer ces nouvelles menaces.

 

Pour répondre à ces nouvelles menaces, les organisations doivent pouvoir s’appuyer sur des partenaires de confiance disposant de l’expertise nécessaire pour mettre en place un plan de riposte global. Associant un haut niveau d’expertise humaine à des processus et outils entièrement nouveaux pour lutter efficacement contre les attaques, Cassidian CyberSecurity a développé une approche originale qui se décompose en 7 étapes permettant une détection rapide des menaces à l'investigation post-attaque.

 

Au salon du Bourget, Cassidian CyberSecurity présente sur la Touch table ces outils et en particulier Cymerius, son outil de supervision en temps réel des réseaux les plus sensibles, qui permet de fournir aux opérateurs un plan de réaction détaillé.

 

Jean-Michel Orozco, Président de Cassidian CyberSecurity a déclaré: “Paris Air show est une opportunité majeure pour présenter nos compétences en cybersécurité. Cassidian CyberSecurity vise à devenir un leader européen fournisseur de produits et de solutions à forte valeur ajoutée"

 

Le 29 avril dernier, Cassidian CyberSecurity annonçait l’acquisition de Arkoon Network Security, un des acteurs majeurs en matière de sécurité des réseaux, de protection des systèmes d’information et de confidentialité des données. Cet événement intervient 6 mois après l’acquisition de Netasq, leader français en matière de solutions intégrées destinées à sécuriser les réseaux. Ces rachats stratégiques constituent une étape supplémentaire dans la croissance de Cassidian CyberSecurity

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17 juin 2013 1 17 /06 /juin /2013 20:50
Le groupe EADS présent en force au Salon du Bourget

17/06 Par Bruno Trevidic – LesEchos.fr

 

EADS, avec ses filiales Airbus, Cassidian, Eurocopter et Astrium, sera une fois encore le plus important exposant du Salon. Entre le chalet et le stand du hall du 2A, toutes ses activités seront représentées, avec un accent particulier mis sur le recrutement. Le groupe, qui prévoit d'embaucher 5.000 personnes cette année, participera à l'animation de 21 ateliers, destinés à faire mieux connaître les filières de l'aéronautique et de l'espace aux jeunes. Le groupe fera également le spectacle avec, pour la première fois au Bourget, des démonstrations en vol de l'avion de transport militaire A400M, ainsi que du premier A380 aux couleurs de British Airways. Les hélicoptères Tigre et NH90 seront aussi de la partie. Sur son stand, EADS présentera une section grandeur nature de la cabine et du poste de pilotage de l'Airbus A350, dont le premier exemplaire pourrait faire un passage au-dessus du Salon. Par ailleurs, le Salon devrait être ponctué d'annonces d'Airbus, qui espère engranger plusieurs centaines de commandes.

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17 juin 2013 1 17 /06 /juin /2013 19:50
photo RP Defense

photo RP Defense

 

 

16/06/2013 Par Véronique Guillermard

 

Après l'achat de 12 drones de ce type aux Etats-Unis en mai, Dassault aviation, EADS et Finmeccanica se sont déclarés prêts à se coordonner pour mettre au point un appareil européen.

 

La réplique des industriels européens n'a pas tardé. Ils avaient accusé le coup lorsque la France a annoncé, en mai 2013, l'achat de 12 drones de surveillance (MALE) américains Reaper pour 670 millions d'euros. Le gouvernement français les avait accusé de ne pas avoir mis de projets sur la table alors qu'ils font des propositions depuis plus de dix ans. Les industriels passent à l'offensive. Et en force puisque le français Dassault Aviation*, l'allemand Cassidian, filiale défense d'EADS, et l'italien Alenia Aermacchi, filiale de Finmeccanica, ont décidé de parler d'une seule voix. Dimanche 16 juin, ils ont publié un manifeste en faveur d'un futur drone MALE et mis les politiques face à leurs responsabilités. «Partageant une même vue sur la situation actuelle des drones MALE en Europe, EADS Cassidian, Dassault Aviation et Finmeccanica Alenia Aermacchi appellent au lancement d'un programme MALE européen», écrivent-ils dans un communiqué.

 

En mutualisant l'effort d'investissement, ce programme ferait d'une pierre deux coups: il pèserait moins lourd sur les budgets de la défense nationaux et satisferait aux besoins de plusieurs forces armées. Les trois industriels se déclarent «prêts à se coordonner autour d'un tel programme» qui permettrait de créer une nouvelle filière de haute technologie et des emplois à forte valeur ajoutée sur le Vieux Continent. Le trio pourrait s'élargir: «Si le gouvernement britannique exprime un besoin, BAE Systems, avec lequel nous menons des études en amont sur le futur drone de combat européen, pourrait nous rejoindre», souligne un porte-parole de Dassault Aviation.

 

«Cette déclaration d'intention va dans le bon sens. Nous sommes contraints d'acheter américain car il n'y a pas de solution française ou européenne immédiate car les précédents gouvernements n'ont pas pris de décision. Or, il y a une urgence opérationnelle immédiate. Si chacun fait son travail, nous aurons une solution européenne prête en 2020-2022. Dans l'intervalle, l'européanisation du Reaper doit permettre aux industriels de mettre le pied à l'étrier», souligne-t-on de source proche du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian.

 

Accès souverain

 

L'union des Européens est nécessaire car le marché des drones est trop étroit (30 à 40 exemplaires) sur le Vieux Continent pour justifier un investissement (1 milliard, selon plusieurs experts) sur une base nationale.

 

L'Europe ne peut continuer à dépendre des États-Unis ou d'Israël, les deux nations leaders sur ce marché. D'autant que «la technologie des drones militaires aura des retombées pour l'aéronautique civile», affirme Tom Enders, PDG d'EADS. Surtout, les drones sont indispensables pour collecter des renseignements et surveiller de vastes étendues pendant de très longues périodes comme dans la région Sahélienne au Mali. Les armées européennes doivent avoir un accès souverain au renseignement. Ce que garantirait le futur drone européen «tout en offrant un système robuste, capable de résister aux cyberattaques», soulignent les trois industriels.

 

Afin de pouvoir faire voler son futur drone dans son espace aérien, l'Europe doit intégrer, dès la conception, les contraintes de leur insertion dans le trafic aérien civil. Ce qui n'est pas le cas du Reaper. Du coup, l'engin doit être reprogrammé. Il faut donc avoir accès à ses «codes source». Or, le Pentagone a toujours refusé d'ouvrir la «boîte noire». C'est pour cette raison que Cassidian qui travaillait à l'européanisation du GlobalHawk a jeté l'éponge. Mettant une croix sur plus de 500 millions d'investissement. «Ce sera pareil avec le Reaper vendu à la France», lâche un expert. Jean-Yves Le Drian assure que l'achat des Reaper est conditionné pour 10 d'entre eux (les 2 premiers seront stationnés au-dessus du Sahel) au feu vert préliminaire du Pentagone sur l'accès «aux codes source». À défaut, la France se tournerait vers Israël.

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16 juin 2013 7 16 /06 /juin /2013 21:50
Flying display validation of the...second A400M !

photio EADS - Le Bourget - Paris Air Show 2013

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15 juin 2013 6 15 /06 /juin /2013 11:50

15 juin 2013 EADStv·

Paris, we are coming!

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13 juin 2013 4 13 /06 /juin /2013 07:20
EADS North America renonce à son objectif d'un CA de $10 mds d'ici 2020

12/06 LesEchos.fr (Reuters)

 

La question budgétaire aux Etats-unis, parmi d'autres facteurs, rendent peu probables les chances d'EADS d'atteindre un chiffre d'affaires de 10 milliards hors Airbus sur le marché américain d'ici 2020, à moins d'une grosse acquisition, a déclaré mercredi son directeur général pour l'Amérique du Nord.

 

"A moins d'une acquisition, je ne nous vois pas atteindre ce chiffre', a déclaré Sean O'Keefe à des journalistes.

 

Le groupe continue de s'intéresser à d'éventuels achats aux Etats-Unis, mais il n'a fourni aucun détail sur ses cibles.

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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 16:50
Le président du conseil d'adminsitration de BAE Systems, Dick Olver, paie pour l'échec de la fusion entre le groupe britannique et EADS / crédit photo BAE Systems

Le président du conseil d'adminsitration de BAE Systems, Dick Olver, paie pour l'échec de la fusion entre le groupe britannique et EADS / crédit photo BAE Systems

12/06/2013, Michel Cabirol – LaTribune.fr (AFP)

 

Le groupe britannique a annoncé mercredi la nomination de Sir Roger Carr en tant que président du conseil d'administration de BAE Systems pour remplacer Dick Olver. Ce dernier avait très critiqué après l'échec du projet de fusion entre EADS et BAE Systems.

 

Neuf mois après l'échec de la fusion entre EADS et BAE Systems, le président du conseil d'administration de BAE Systems, Dick Olver, va finalement quitter son fauteuil. Le groupe britannique a annoncé mercredi la nomination de Sir Roger Carr, une grande figure du patronat britannique, pour le remplacer. Dick Olver avait été très critiqué par certains actionnaires, dont le premier d'entre eux Invesco, qui détient 18 % de BAE Systems, lors du projet de rapprochement avorté avec EADS. Le fonds avait même écrit à la direction pour demander sa démission. En vain. En mai, Dick Olver, président du numéro un en Europe des ventes d'armements depuis juillet 2004, avait réussi à conserver son poste à l'issue du vote des actionnaires lors de l'assemblée générale, recueillant près de 99 % des suffrages. Son nouveau mandat devait courir jusqu'en mai 2014.

 

Mais visiblement, les couteaux n'étaient complètement rangés. D'autant que BAE Systems avait expliqué lors de l'assemblée générale que Dick Olver pourrait quitter la présidence à tout moment. Un chasseur de têtes était déjà mandaté pour lui trouver un remplaçant, avait-elle précisé. Dick Olver n'ira donc pas au bout de son mandat jusqu'en mai prochain.

 

Roger Carr, un candidat remarquable

 

Roger Carr fera son entrée au conseil d'administration le 1er octobre prochain avant de succéder à Dick Olver au cours du premier trimestre 2014, après une période de transition, a précisé le groupe dans un communiqué. Agé de 66 ans, Roger Carr est actuellement président du groupe d'énergie Centrica et était il y a peu à la tête de la CBI, la principale organisation patronale du pays. Selon Nick Rose, administrateur indépendant de BAE, Roger Carr est "un candidat remarquable ayant une expérience de deux décennies au plus haut niveau de l'industrie britannique. Ses compétences, sa réputation et ses relations avec les investisseurs et les ministres seront d'une valeur considérable pour le groupe dans le pays et à l'étranger".

 

Se disant "privilégié" de pouvoir prendre la tête de BAE, Sir Roger Carr a jugé que le groupe était "d'une importance stratégique non seulement pour le Royaume-Uni mais aussi sur le plan international car il joue un rôle clé dans la défense aux Etats-Unis et dans d'autres parties du monde".

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12 juin 2013 3 12 /06 /juin /2013 11:55
X3 photo Pierre Bayle

X3 photo Pierre Bayle

11 juin 2013 Par Elodie Vallerey - usinenouvelle.com

 

Dans un communiqué, la filiale d'EADS Eurocopter annonce que son démonstrateur d’hélicoptère hybride a atteint la vitesse record de 472 km/h en palier le 7 juin.

 

Une nouvelle performance pour le démonstrateur d'hélicoptère X3, conçu par Eurocopter, qui devient le plus rapide du monde. La firme de Marignane, filiale hélicoptériste d'EADS, a annoncé le 11 juin dans un communiqué la vitesse record de 472 km/h (255 noeuds) en palier atteinte le 7 juin dernier par son concept.

 

"Plusieurs jours avant cette performance, le X3 a atteint une vitesse de 487 km/h (263 noeuds) en descente. Fort de ces deux succès, le X3 a dépassé le record de vitesse non homologué pour un hélicoptère", précise le communiqué.

 

Le jalon historique de 472 km/h a été atteint par le X3 à une altitude d’environ 10 000 pieds (3 048 m) pendant un vol de 40 mn dans la région d’Istres (Bouches-du-Rhône).

 

"A 472 km/h, le comportement du X3 est resté identique à celui expérimenté dans son enveloppe de vol, démontrant une stabilité exceptionnelle, et un niveau de vibrations faible sans avoir recours à un système anti-vibrations", a assuré Hervé Jammayrac, pilote d’essai d’Eurocopter, cité dans le communiqué.

 

L'été dernier, Eurocopter a exhibé son nouveau fleuron aux Etats-Unis lors d'une tournée destinée à séduire le marché civil et militaire américain.

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11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 17:50
EADS: 'massivement' présent au salon du Bourget.

10/06/2013 (CercleFinance.com)

 

EADS annonce qu'il sera 'massivement présent' au 50ème salon aéronautique du Bourget, qui débutera la semaine prochaine.

 

EADS et ses filiales Airbus, Astrium, Cassidian et Eurocopter comptent présenter leurs produits vedettes et leurs dernières innovations à l'occasion de l'événement.

photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

Au programme des démonstrations en vol, l'avion de transport militaire A400M et le premier A380 en passe d'être livré à British Airways seront dévoilés dès les premiers jours du salon.

 

EADS présentera également une section complète grandeur nature de la cabine et du poste de pilotage de l'Airbus A350 XWB, ainsi qu'une maquette de l'avion de transport et de ravitaillement A330 MRTT d'Airbus Military.

Ravitaillement d’un A400M par un A330MRTT photo Airbus Military

Ravitaillement d’un A400M par un A330MRTT photo Airbus Military

Le géant européen de l'aéronautique - qui compte recruter 5000 personnes cette année - animera une vingtaine d'ateliers à cet effet.

 

EADS Innovation Works, la division de recherche et technologie du groupe, présentera de son côté l'avion-école tout-électrique E-Fan dédié à l'aviation générale.

 

Le groupe tiendra plusieurs conférences pendant la semaine.

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10 juin 2013 1 10 /06 /juin /2013 16:50
The Vega launcher in French Guiana - ESA-CNES-ARIANESPACE

The Vega launcher in French Guiana - ESA-CNES-ARIANESPACE

10/06 Par Les Echos

 

ESPACE : Safran, Thales, EADS et deux autres groupes, l'un allemand et l'autre américain, soumettront d'ici à fin juin des offres préliminaires sur , le spécialiste italien de la propulsion spatiale, selon « Il Sole 24 ». Avio Spazio, détenu à 81 % par Cinven et à 14,3 % par Finmeccanica, est estimé entre 300 et 400 millions d'euros. Fin 2012, Cinven et Finmeccanica ont vendu les activités aéronautiques d'Avio à General Electric pour 3,3 milliards d'euros.

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 11:55
Eurocopter et EADS se donnent de l'air avec le programme "Eurosud"

07 juin 2013 Par Jean-Christophe Barla (Provence-Alpes-Côte d'Azur) - Usinenouvelle.com

 

Près de 11 000 mètres carrés de bureaux sur trois bâtiments ont été inaugurés le 6 juin à Vitrolles (Bouches-du-Rhône). Ce programme "Eurosud", d'un coût de 22 millions d'euros, héberge à la fois des sous-traitants d'Eurocopter et des services partagés d'EADS.

 

Eurocopter poursuit la réorganisation de son site historique de Marignane (Bouches-du-Rhône). Joseph Saporito, directeur exécutif d'Eurocopter, en charge de la "global supply chain", et Jean-François Petithomme, directeur des sites France et opérations d'EADS, ont inauguré le 6 juin le programme "Eurosud", implanté juste en face de l'enceinte de l'hélicoptériste, sur la commune de Vitrolles.

 

Conçu par Cardete Huet Architectes Sud-Est, construit par le groupe Lazard et financé par EADS Real Estate, ce projet d'un coût total de 22 millions d'euros accueille plus de 750 personnes sur trois immeubles de bureaux. L'un abrite les services partagés d'EADS (formation, recrutement, administration du personnel...) dont une partie était jusqu'alors installée à Aix-en-Provence. Ce bâtiment comprend notamment une trentaine de salles de formation, aptes à recevoir 250 stagiaires par jour. Les deux autres sont occupés par les équipes de dix-sept sous-traitants d'Eurocopter, soit 400 personnes (bureaux d'études, supply chain...) auparavant localisées à l'intérieur de son site.

 

"Eurocopter compte 800 sous-traitants. Certains ont besoin d'une proximité avec nous, en matière d'échanges de données, de moyens industriels... Eurosud est un symbole de la synergie instaurée avec eux", explique Joseph Saporito. Le programme a été édifié et livré en dix-huit mois. Malgré sa réalisation, Eurocopter manque encore de place en Provence pour faire face à ses projets de développement. Directeur des sites France, Gérard Goninet souligne d'ores et déjà qu'il reste "des zones de bonne facture tout autour du site et donc des opportunités à saisir, dès lors que les acteurs du territoire sont prêts à nous aider".

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6 juin 2013 4 06 /06 /juin /2013 07:50
A400M-C295 photo Airbus Military

A400M-C295 photo Airbus Military

4 Jun 2013 By Craig Hoyle - FG

 

With his company within weeks of delivering its first A400M under a European project for 170 of the type, Airbus Military chief executive Domingo Ureña-Raso has for the first time hinted openly at a potential future development programme for a smaller transport aircraft.

 

To provide the air forces of Belgium, France, Germany, Luxembourg, Spain, Turkey and the UK - plus first export customer Malaysia - with a tactical airlifter capable of carrying a maximum payload of 37t, the A400M has been designed to occupy a niche between the USA's smaller Lockheed Martin C-130J and larger Boeing C-17.

 

Significant product development work is still being conducted on Airbus Military's C295 medium transport, which can carry a cargo of up to 9t. This includes a winglet-equipped production standard to be delivered to customers from 2014, plus a version on offer to several potential buyers with an airborne early warning and control system developed by Israel Aerospace Industries' Elta Systems subsidiary.

 

Speaking in Seville on 29 May, Ureña-Raso said the company's next development task could be to create an offering to fit below the size of the C-130 Hercules. Possible payload capacities for such a product could be in the 9t area already occupied by the current C295, or in the "16-18t" sector, he said. The latter would pit any such transport in the same broad category as Embraer's turbofan-powered KC-390 transport and tanker, which the Brazilian company says will be able to lift between 16 and 23t, depending on mission type. Embraer's developmental product should be ready for service introduction with the Brazilian air force during 2016.

 

Despite his hints at Airbus Military's possible future development strategy, Ureña-Raso notes that no such activity will be launched in the short-term, while final assembly of the A400M continues to ramp up and the company also pursues a "second wave" of orders for its Airbus A330-based multi-role tanker transport, and further orders for its C295 product line.

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5 juin 2013 3 05 /06 /juin /2013 12:50
Euro Hawk décollage de la BA De de Manching 11.01.2013 photo EADS - Cassidian

Euro Hawk décollage de la BA De de Manching 11.01.2013 photo EADS - Cassidian

4 juin 2013 Hanna Klimpe - Courrier international

 

La presse allemande spécule sur le sort du ministre de la Défense, Thomas de Maizière, qui doit être entendu ce mardi 4 juin par l'Otan et mercredi 5 juin par le Bundestag à propos de l'affaire Euro Hawk, le programme d'achat de drones défaillants.

 

"Je souffre de la pression que je dois supporter", telle est l'information la plus précise que la presse a reçue jusque-là du ministre de la Défense, Thomas de Maizière, à propos de l'affaire Euro Hawk [drone de reconnaissance non armé]. Il s'agit de l'achat de drones inutilisables, car défaillants. Une affaire qui a coûté des centaines de millions d'euros au pays.

Cette semaine, le ministre de la Défense doit s'expliquer : le mardi 4 juin auprès de l'OTAN, à Bruxelles ; le mercredi 5 juin auprès du Bundestag. Ce sera "La semaine de la vérité pour Thomas de Maizière", titre Die Welt.

Cependant, la presse rapporte chaque jour de nouveaux éléments. Les derniers venant du Spiegel, qui a consacré sa une à l'affaire : "D'après les recherches du Spiegel, la direction du ministère de la Défense était informée de la dimension des problèmes avec le projet des drones Euro Hawk [...]. Mais ce n'est que quinze mois plus tard que le ministre a arrêté ce programme."

Pour la Süddeutsche Zeitung, ce scandale concerne les dysfonctionnements de l'administration. "Thomas de Maizière a un problème massif dont les dimensions énormes auraient pu être évitées si on s'était intéressé un peu plus aux détails dans son ministère", note Christoph Hickmann dans un article intitulé "La misère".

Déjà des voix s'élèvent pour exiger des sanctions personnelles, allant jusqu'à la démission du ministre. "L'opposition veut soumettre Maizière à un feu croisé de questions", titre ZEIT Online. "Le sacrifice d'un pion ne suffira pas", écrit l'hebdomadaire, en citant le chef du groupe parlementaire social-démocrate [SPD, opposition], Thomas Oppermann. La chancelière Angela Merkel a jusque-là évité de prendre position. "Le ministre de la Défense a annoncé pour cette semaine un exposé détaillé sur le projet depuis son commencement il y a dix ans. Je ne préjugerai pas avant de l'avoir entendu", a-t-elle souligné.

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5 juin 2013 3 05 /06 /juin /2013 12:35
photo Dmitry A. Mottl

photo Dmitry A. Mottl

04/06/13 bourse.challenges.fr

 

La Corée du Sud devrait officiellement lancer la semaine prochaine l'appel d'offres pour le renouvellement de ses jets de combat, selon l'agence locale Yonhap, qui cite un officiel de l'agence des achats de l'armée. Pour ce contrat évalué à 7,5 milliards de dollars pour une soixantaine d'appareils, le F-15 de Boeing, le F-35 de Lockheed Martin et l'Eurofighter de BAE Systems et EADS sont sur les rangs. La durée de l'appel d'offres pourrait être limitée à deux à trois semaines, les parties ayant déjà négocié un certain nombre d'éléments.

 

Selon l'agence coréenne, comme il est d'usage en pareil cas, les prétendants ont rivalisé de propositions pour s'attirer les faveurs du pays. EADS aurait ainsi mis sur la table un investissement de 2 milliards de dollars à Séoul pour y assembler les appareils. Boeing aurait pour sa part proposé 1,2 milliard de dollars pour une usine d'équipements pour son appareil, ainsi que pour des pièces d'autres programmes à l'export. Lockheed Martin s'et enfin engagé à produire certains éléments de ses appareils dans le pays, et à aider à l'export l'industrie aéronautique coréenne.

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 18:50
Euro Hawk décollage de la BA De de Manching 11.01.2013 photo EADS - Cassidian

Euro Hawk décollage de la BA De de Manching 11.01.2013 photo EADS - Cassidian

Jun. 3, 2013 – By DEBORAH COLE (AFP) - Defense News

 

BERLIN — A simmering election-year scandal around German Chancellor Angela Merkel’s defense minister over a botched drone deal threatens to boil over this week when he testifies before lawmakers.

 

The minister, Thomas de Maiziere, is a close confidant of Merkel’s from her conservative Christian Democratic Union and had often been mentioned as a possible successor to the 58-year-old leader.

 

But with less than four months to go until a September general election, De Maiziere, 59, has become entangled in allegations he mismanaged a now-scrapped unmanned surveillance aircraft project with costly consequences.

 

The Euro Hawk program had already swallowed more than €500 million (US $651 million) before the defense ministry said on May 14 it would pull the plug.

 

Officials feared aviation authorities would not certify the Euro Hawk — a version of US-based Northrop Grumman’s Global Hawk customized by Europe’s EADS — because it lacks an anti-collision system.

 

The ministry deemed the cost of adding such a system prohibitive.

 

De Maiziere, who has been attacked for failing to act far earlier, is due on Wednesday to present a report to parliament’s defense committee on what the media have dubbed the “drone debacle.”

 

He has been at Merkel’s side since she took power in 2005, serving during her first term as her chief of staff before taking over the defense brief after her re-election in 2009.

 

Long viewed as a safe pair of hands with a particular talent for organization and administration, De Maiziere had figured on the short list of possible candidates to eventually take over the reins from Merkel.

 

Commentators said that speculation now looks to be quashed.

 

“De Maiziere could have become chancellor one day but since the drones crisis, no one is talking about that possibility anymore,” the center-left daily Sueddeutsche Zeitung wrote Monday.

 

“The question is simply how De Maiziere will handle his mistakes and whether he can keep his job.”

 

The wasted funds come at a time in which Merkel has been preaching fiscal discipline throughout the eurozone as a means to check the spiralling debt crisis.

 

De Maiziere will face deputies just days after news weekly Der Spiegel reported that senior defense ministry officials were aware as early as February 2012 about the concerns that led to the program’s cancellation last month.

 

Opposition leaders, who have been struggling to score points during the election campaign against the popular Merkel, leapt on the report.

 

The head of the Social Democrats, Sigmar Gabriel, called De Maiziere’s long silence on the affair “unworthy” of his office, while Greens’ parliamentary group chief Juergen Trittin threatened a formal probe.

 

Last month, Merkel’s spokesman insisted that De Maiziere had her “full confidence.”

 

But in an interview with Der Spiegel published Saturday, Merkel appeared reticent on his crisis management.

 

“The defense minister said he would present a comprehensive report this week about the project from its beginnings more than 10 years ago,” she said when asked about his future in the cabinet.

 

“I do not wish to preempt that.”

 

De Maiziere had already run into trouble in February when he criticized German soldiers in Afghanistan who complained about a lack of public acknowledgement for their service, saying they appeared to be “addicted” to praise.

 

After a massive uproar, he said he regretted if his remarks had caused offense.

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