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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 13:50
L’armée allemande dispose de 14 EC135 pour la formation initiale de ses pilotes d’hélicoptères photo Airbus HC

L’armée allemande dispose de 14 EC135 pour la formation initiale de ses pilotes d’hélicoptères photo Airbus HC

 

16 décembre 2014 Aerobuzz.fr

 

La Bundeswehr a reconduit jusqu’en 2022 le contrat qui la lie, depuis 2005, à Airbus Helicopters pour le support technique de la flotte d’EC135 de son école de pilotage d’hélicoptères. L’accord stipule que 11 des 14 hélicoptères de l’école doivent être disponibles. Le constructeur entretient sur place à Bückeburg, à l’année, une équipe de techniciens. Le support technique et la logistique son assurés par son centre de Kassel-Calden. Les interventions des militaires se limitent aux seules visites pré-vol.

 

L’armée allemande forme à Bückeburg environ 70 pilotes par an. Elle dispose de 14 EC135 qui effectuent environ 6.000 heures de vol par an. Au cours de douze mois de formation, les élèves-pilotes se forment au pilotage à vue, passent leur qualification de vol aux instruments (IFR) et s’entraînent au vol de nuit à basse altitude.

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4 novembre 2014 2 04 /11 /novembre /2014 14:55
Hélicoptères : quand la gendarmerie se tire une balle dans le pied

Fabriqués par Airbus Helicopters, 15 EC135 et 15 EC145 ont été livré à la gendarmerie nationale (Crédits : Airbus helicopters)

 

04/11/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Après avoir annulé une commande de EC 135, la gendarmerie nationale doit payer un dédit de 5,5 millions d'euros à Airbus Helicopters. Des hélicoptères qui devaient remplacer des vieux Écureuil monoturbines aujourd'hui interdits de voler au-dessus de secteurs urbanisés. Incroyable mais vrai...

 

5,5 millions d'euros... C'est le dédit que doit payer la gendarmerie à Airbus Helicopters pour avoir annulé une commande d'hélicoptères pourtant jugés indispensables à ses besoins opérationnels. Mais, selon le directeur général de la gendarmerie nationale, le général Denis Favier, "le format de la flotte d'hélicoptères a été ajusté, car nous n'avons plus les moyens d'entretenir une flotte importante. La remise en cause du marché lié au plan d'acquisition de nouvelles machines met à la charge de la gendarmerie un dédit de 5,5 millions d'euros, qu'elle doit payer à Airbus Helicopters". Des hélicoptères qui devaient pourtant remplacer 26 Écureuil (AS350 B), des appareils monoturbines interdits depuis le 28 octobre de voler au dessus des secteurs urbanisés...

Pour autant, a expliqué le patron de la gendarmerie aux députés, "nous travaillons toutefois avec le ministère (de l'Intérieur, ndlr) afin d'obtenir une minoration du dédit. La direction générale de la gendarmerie nationale suit la question de près avec la direction générale de l'armement, qui prévoit également l'option d'un étalement du remboursement". De quelle commande parte-t-on ? De douze appareils EC 135 achetés en 2006 pour un coût de 125 millions d'euros, une commande assortie d'une option de 25 appareils EC 135 (pour un coût évalué à 202 millions d'euros). Prévue initialement en 2009, elle a été dans un premier temps reportée faute de financements suffisants puis annulée. Seuls trois EC 135 supplémentaires ont été commandés par la gendarmerie.

 

Les Ecureuils  interdits de survol des zones urbanisées

Pour Airbus Helicopters le compte n'y est donc pas, le prix des hélicoptères ayant été calculé sur une série de 37 appareils. Et non sur quinze. Une méthode très classique pour diminuer le coût unitaire des appareils. Des appareils qui avaient été commandés afin de remplacer progressivement les vieux Ecureuil de la gendarmerie, dont la flotte a aujourd'hui un âge moyen de 30 ans. D'ailleurs, le vieillissement des Écureuil entraîne une croissance du coût du maintien en condition opérationnelle des moyens aériens de la gendarmerie. Par exemple, les crédits de ce poste sont passés de 11,51 millions d'euros en 2010 à 25,6 millions d'euros en 2011.

Le remplacement des hélicoptères Écureuil par de nouveaux modèles répond aux besoins liés, d'une part, à la vétusté des Écureuils, en service dans la gendarmerie depuis 1978 et, d'autre part, à l'évolution de la réglementation européenne, qui interdit le survol de certaines zones, notamment les secteurs urbanisés aux appareils monoturbines. Une situation pour le moins ubuesque. Par ailleurs, l'intérêt de ces nouveaux appareils tient au fait qu'ils sont équipés des technologies les plus modernes (jumelles de vision nocturne, caméras thermiques, phares de recherche, etc.).

 

Une flotte disparate de 56 appareils

La flotte d'hélicoptères de la gendarmerie se compose en 2014 de 56 appareils (15 EC 145, 15 EC 135 et 26 Ecureuils), qui sont utilisés à la fois par la gendarmerie nationale et par la police nationale, en métropole et outre-mer. La flotte des 15 EC 135 biturbines est âgée de quatre ans en moyenne. Ces appareils sont équipés d'un système de vidéo surveillance très performant et affectés aux missions de sécurité publique générale au profit des forces de police (police et gendarmerie). Ils sont déployés à proximité des principaux bassins de délinquance. En outre, la gendarmerie a encore 26 Écureuils, qui équipent essentiellement en métropole les unités de plaine et les unités littorales (12 unités) ainsi que les unités ultramarines (neuf unités). Bien que vieillissant, le parc a bénéficié d'un programme de revalorisation qui permettra le maintien des appareils jusqu'en 2025.

Enfin, les 15 EC 145 biturbines (âge moyen 10 ans) opèrent essentiellement dans les unités de montagne de métropole et d'outre-mer (huit unités), à Villacoublay au profit des unités des forces d'intervention GIGN et RAID (deux unités) et en Guyane (une unité). Un appareil est affecté au groupement instruction pour assurer les formations des équipages. Trois appareils sont affectés à la maintenance nationale et assurent le remplacement des appareils indisponibles. La constitution de cette flotte a été réalisée en deux temps : 8 appareils ont été commandés en 1999 et 7 appareils supplémentaires en 2006. Les 4 derniers appareils ont été livrés en 2008.

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17 mars 2014 1 17 /03 /mars /2014 08:45
Eurocopter EC 135 Bundeswehr

Eurocopter EC 135 Bundeswehr

New Market: Airbus Helicopters' African customers include Lesotho, which has acquired the company's EC135 light utility helicopter for the Air Wing of its Defense Force.

 

Mar. 16, 2014 - By OSCAR NKALA – Defense News

 

BULAWAYO, ZIMBABWE — Eurocopter Southern Africa Ltd. (ESAL) says it plans to establish a permanent base in Kenya to conduct maintenance, repair and overhaul (MRO) on all Airbus helicopters in Africa and parts of the Middle East, as the company anticipates growing force modernization requirements in sub-Saharan Africa.

 

The company, formerly Eurocopter, has recorded 35 percent growth in business in southern Africa since 2010, as countries in the region have increased investments in military aircraft, airborne law enforcement and civil emergency response capabilities.

 

In recent years, the company has supplied the EC145 helicopter to the Namibian Police Service, the EC135 to the Lesotho Defense Force’s Air Wing and a number of older Eurocopter models to the Botswana Defense Force, which are reportedly due for systems upgrades or replacement.

 

Arnaud Montalvo, CEO of ESAL, said the company’s move to Kenya is a response to a boom in the country’s civil aviation sector and the government’s drive to strengthen its military, law enforcement and conservation agencies, offering numerous sales opportunities.

 

“Originally, our activities were mostly in South Africa. In the past seven to eight years, we have expanded outside South Africa, mainly for law enforcement,” Montalvo said. “But in Kenya, [our market] is not only law enforcement, it is also other government agencies: Kenya Wildlife, Kenya Forestry, Kenya Pipeline, plus many civilian operators who are mostly in the utility sector. ... The Kenya police have growing needs and have issued a tender for a twin-engined helicopter.”

 

The base, to be located at Nairobi Wilson Airport, will be the company’s second in Africa. The existing base in South Africa includes an MRO center for Airbus Helicopter models in sub-Saharan Africa and the Middle East, and a training academy at Lanseria Airport in Johannesburg. It also includes Africa’s first full-motion flight simulator, for training pilots and flight engineers operating the Super Puma helicopter, at the Sim-Aero training center at the O.R. Tambo International Airport, also in Johannesburg.

 

“Kenya and the surrounding region is a growth market for Airbus Helicopters, and Nairobi is perfectly located for the establishment of a base for sales and support to customers and operators in East Africa,” said ESL spokesman Linden Birns.

 

The timeframe for the move to Kenya is still being developed, he said.

 

Eurocopter’s move to Kenya follows market analysts Frost & Sullivan’s prediction that the value of the combined military and civilian helicopter market in the developing world, including the Middle East and Africa, will rise to $146.8 billion between 2014 and 2022.

 

A heavy slump in demand is expected in the European and North American markets, whose combined market value is estimated to rise to $9.7 billion in the same period.

 

In a report, “Global Helicopter & Systems Market: Capturing Growth Opportunities across the Rotorcraft Industry,” Frost & Sullivan said demand will be driven mostly by the ongoing platform renewal cycle that indicates more countries favor retrofitting platforms than buying new ones. It also will be driven by a growing demand for maintenance, upgrade services and the adoption of new mission and avionics systems.

 

“Emerging markets comprise significant opportunities among new helicopter procurements, with a forecast market size of $146.84 billion between 2014 and 2022 for military and civil new platform deliveries, and a related market size of $46.33 billion for service support during the same period,” according to the analysis.

 

Eurocopter’s growing business relationship saw Kenyan customers take delivery of five of the seven Eurocopter helicopters delivered to Africa last year. Kenya also accounted for four of the seven pipeline business orders won by ESAL last year.

 

Despite the shrinking base of the aviation sector in South Africa following the 2007-10 financial crisis, Montalvo said, ESAL has capitalized on increased activity by law enforcement in other southern African countries. Further regional sales are anticipated for new aircraft.

 

“We have introduced ... the EC145, with one delivered to the Namibian Police, and the EC135 to the Lesotho Defense Force. We expect to sell more helicopters to the Lesotho [Defense Force] in the medium term. They have aging aircraft to replace. They are still using an EC135 to replace a BO 105,” an older, German-built light utility helicopter, he said.

 

Montalvo said ESAL also hopes to build on its presence in the Angolan offshore oil and natural gas market by aggressively marketing its larger helicopters in the oil and gas support sectors on the east coast of Africa, from Mozambique to Kenya. It also seeks to expand its product support capabilities and introduce new products to Indian Ocean nations Mauritius, Mada­gascar and the Seychelles, as well as to Reunion, a French island territory.

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