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12/10/2015 Sources : Marine nationale
Le 6 octobre 2015, le général de division aérienne Hervé Rameau, directeur de la sécurité aéronautique d’État, a visité les installations de la base aéronautique navale (BAN) de Lanvéoc-Poulmic. À cette occasion, il a remis au capitaine de vaisseau Marc Gander, commandant la BAN, le certificat d’agrément FRA-145.
Cette certification FRA-145 valide la capacité de la BAN de Lanvéoc-Poulmic à réaliser la maintenance et la réparation de l’ensemble des hélicoptères affectés à Lanvéoc ( NH90 Caïman Marine, EC225, Lynx et Alouette III).
La direction de la sécurité aéronautique d'État (DSAÉ) est un service à compétence nationale placé auprès du ministre de la Défense et est au service de l’aviation d’État (armée de l’Air, armée de Terre, Marine nationale, DGA essais en vol, gendarmerie nationale, sécurité civile, douanes). Elle offre un double bénéfice : garantir la sécurité (préservation des vies humaines et des matériels) tout en favorisant les aptitudes opérationnelles de chaque exploitant. Ses missions sont réalisées au travers de ses trois domaines d’expertise :
La circulation aérienne militaire ;
La navigabilité étatique ;
La formation des personnels navigants et l'exploitation des aéronefs.
17 décembre 2014
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16 Décembre 2014 Marine nationale
Implantée sur la base d’aéronautique navale de Lanvéoc-Poulmic et équipée d’EC225, la flottille 32F assure l’alerte SECMAR à Cherbourg depuis le 1er janvier 2013.
Le 10 décembre 2014, une nouvelle station d’avitaillement a été mise en service au profit des hélicoptères de service public stationnés sur l’aéroport de Cherbourg-Maupertus. Cette station offre une capacité de stockage de 12 m3 dans le respect des dernières normes environnementales. A terme, elle sera également installée sur les sites de service public du Touquet et de La Rochelle.
Afin d’être totalement opérationnel et autonome, le personnel technicien de la flottille 32F a été formé à l’utilisation de cette nouvelle station par le Service des Essences des Armées (SEA). Dès le 11 décembre, le personnel des douanes du Havre, lié par une convention de ravitaillement 24 heures/24, a également découvert la nouvelle station.
Les différents services de l’état (EMM, ALAVIA, SEA, SID Cherbourg, SDIS 50) et des représentants de la société RELLUMIX ont assisté à sa première mise en œuvre.
13 octobre 2014
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12 Octobre 2014 Source : Marine nationale
Les 8 et 9 octobre, alors que le BPC fait cap sur Zeebrugge (Belgique), pour participer aux commémorations de la bataille de Dixmude, avec, à son bord, de nombreux invités civils et militaires, l’équipage profite du transit vers la mer du Nord pour poursuivre ses entraînements opérationnels.
Les deux jours en mer ont permis au BPC de procéder à plusieurs manœuvres aviation impliquant le personnel du bord, ainsi que des aéronefs de l’Aéronavale. Quatre Rafale Marine de la 12F ont ouvert le bal le 8 octobre pour une simulation de passe de tir à basse altitude. Une bonne occasion pour le Central Opérations du BPC de tester ses capacités de défense anti-aériennes, et pour les invités d’admirer le ballet des chasseurs depuis le pont d’envol. Les collégiens des établissements Jean Le Coutaller et Henri Wallon, de la région de Lorient, ont également assisté au spectacle. « Le passage des avions près du bateau était vraiment impressionnant », confie l’un des jeunes, qui embarque pour la première fois sur un bâtiment de la Marine nationale.
Malgré une mer peu clémente, plusieurs hélicoptères de la Marine nationale ont également procédé à des exercices d’appontage, d’approvisionnement et de transport vertical (Vertrep). Les manœuvres ont notamment impliqué des EC225 de la 32F. « Ces exercices, qualifiant pour le personnel de bord, sont courants lors des transits du bâtiment et permettent aux pilotes de l’Aéronavale, de l’armée de terre, de l’armée de l’air et des armées étrangères de profiter des capacités du BPC pour parfaire leur formation dans des domaines tels que l’appontage ou le transport de charge suspendue », explique le responsable du pont d’envol hélicoptères. Un exercice de simulation de crash hélicoptère a également été mené pour tester les capacités de réponse du bord.
27 novembre 2013
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EC725 photo Helibras Felipe Christ
26.11.2013 Romain Guillot journal-aviation.com
Le premier exemplaire de l’EC725 Cougar intégralement produit au Brésil par Helibras (Helicópteros do Brasil S.A.), filiale d'Eurocopter, a effectué son vol inaugural le 21 novembre dernier depuis les installations de l’industriel à Itajubá (État du Minas Gerais). L’hélicoptère porte l’identifiant BRA 17.
Helibras précise que ce premier vol intervient deux mois avant la date limite du calendrier prévisionnel fixé pour ce programme. Cet appareil est destiné à la marine brésilienne avec une livraison prévue pour le second semestre de l’année prochaine. L’hélicoptériste brésilien ajoute que sept autres exemplaires sont actuellement sur la ligne d’assemblage.
Le Brésil avait signé un contrat avec Helibras pour l’acquisition d’une cinquantaine d’EC725 destinés à la marine, à l’armée de terre et à la FAB (Força Aérea Brasileira) en 2009. Si les huit premiers exemplaires de ce contrat ont été assemblés à Marignane, tous les autres appareils seront intégralement produits sous licence à Itajubá jusqu’en 2017. Ce contrat de 1,8 milliard d’euros comprend un certain nombre de transferts technologiques avec 50% des éléments des hélicoptères produits au Brésil.
Helibras a également rappelé que l’usine Itajubá avait nécessité un investissement de l’ordre de 136 millions d’euros pour la construction d’un hangar abritant la ligne d’assemblage, un nouveau banc d’essai, un atelier peinture ainsi que la formation des employés brésiliens en France. Elle produira également la version civile EC225 (Super Puma) destinée à des clients brésiliens et sud-américains, notamment pour des opérations offshore liées aux industries pétrolière et gazière.
Rappelons que les EC725/EC225 brésiliens sont équipés des turbines Makila 2 ainsi que des groupes auxiliaires de puissance Saphir 20 produits par la nouvelle usine de Turbomeca do Brasil à Xerèm, dans l’État de Rio de Janeiro.