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21 janvier 2016 4 21 /01 /janvier /2016 20:55
La mort du général Jean-Philippe Douin, ancien chef d’état-major des armées

 

21 Janvier 2016 Jean-Dominique Merchet

 

Un communiqué de l’Elysée nous apprend le décès du général  Jean-Philippe Douin, 75 ans, qui fut chef d’état-major des Armées (CEMA) de septembre 1995 à avril 1998. Il avait ensuite été nommé Grand Chancelier de l’Ordre de la Légion d’Honneur.

Issue d’une famille militaire, Jean-Philippe Douin était un aviateur : entré à l’Ecole de l’Air en 1961, il devint pilote de chasse, essentiellement sur Mirage. Commandant de la base de Dijon-Longvic, il fut brièvement chef d’état-major de l’armée de l’air, avant d’être nommé Cema par Jacques Chirac, à la suite de l’amiral Lanxade.

Il eut à lancer la professionnalisation des armées, décidée en 1996, ainsi que le reformatage de la dissuassion nucléaire (fin des essais à Mururoa, fermeture du plateau d’Albion...). Au plan des Opex, son « mandat » de Cema fut essentiellement marqué par la guerre en Bosnie. 

Grand, mince, peu démonstratif, sans doute mal à l’aise dans ce poste de cema trop politique pour lui, le général Douin était animé d’une profonde foi catholique. Après avoir quitté la grande chancellerie en 2004, il avait, pour ainsi dire, disparu des écrans-radar de la communauté de défense. 

Il est, à ce jour, le dernier aviateur a avoir occupé le poste de chef d’état-major des armées.

source Elysée:

Entré à l’Ecole de l’Air en 1961, Jean-Philippe DOUIN avait choisi de devenir pilote de chasse. Aviateur d’exception, il a joué un grand rôle dans la modernisation de l’Armée de l’air. Son apport fut essentiel dans la mise au point du système d’armes du Mirage 2000 puis comme pilote d’essai du Mirage F1.

Commandant de la base aérienne 102 « Capitaine Guynemer » de Dijon en 1985, Jean-Philippe DOUIN occupe ensuite divers postes de haut niveau à dominante interarmées, avant d’accéder aux responsabilités militaires les plus hautes : chef d’état-major de l’armée de l’air, puis chef d’état-major des armées en 1995.

C’est ce parcours exceptionnel qui a conduit le Président de la République Jacques CHIRAC à le nommer en 1998 à la tête des deux ordres les plus prestigieux de notre République, en le faisant Grand Chancelier de l’Ordre de la Légion d’Honneur, Chancelier de l’Ordre national du mérite, fonctions qu’il a exercées jusqu’en 2004.

 

source  Association Nationale des Membres de l'Ordre National du Mérite :

Le général Jean-Philippe Douin est le premier aviateur auquel furent confiées les hautes responsabilité de Chancelier des deux grands Ordres nationaux, jusqu’alors confiées à des officiers généraux de terre ou, plus récemment, de mer. Petit-fils d’officier de marine, et fils d’officier d’infanterie, c’est l’arme aérienne que devait choisir ce dernier rejeton d’une lignée de soldats. Né le 8 avril 1940 à Saint Florentin, dans le département de l’Indre, Jean-Philippe Douin fut élève de l’Ecole de l’Air de 1961 à 1964. Les stages qu’il suivit à l’issue de sa scolarité, successivement à l’Ecole de chasse, à la 8° escadre de Cazaux et à la 7° de Nancy précédèrent son affectation à l’Escadron de chasse Lafayette de Luxeuil, puis, en 1966, à l’Escadron de chasse des Cigognes, à Dijon, sur Mirage IIIC.

Commandant de la SPA 103 en 1970, il reçut quelque temps plus tard la médaille de l’Aéronautique en témoignage des recherches personnelles qu’il poursuivait et qui devaient aboutir, en 1980, à la mise au point du Système d’armes Mirage 2000 . En raison de ses capacités techniques aussi bien que tactiques, il fut chargé du pilotage d’essais du nouveau Mirage F 1 C, prévu comme appareil de défense aérienne, et reçut la mission de récréer l’escadron de chasse Comtat Venaissin, sur Mirage F 1 B. C’est alors qu’il suivit un an de stage à l’Ecole supérieure de guerre aérienne, et fut affecté à l’Etat major de la Force aérienne tactique et de la première région aérienne de Metz. Durant trois années il étudiera les possibilités d’un rapprochement interarmées entre les Alliés en considérant les diverses spécificités de l’armée de terre et de la marine.

Commandant de la Base aérienne Guynemer à Dijon, en 1985, il fut affecté, en 1987, au Centre des Hautes Etudes de la Défense nationale, puis, en juillet 1988, promu commandant du Centre d’opérations de gestion de la guerre du Golfe. Entre 1991 et 1994, élevé au grade de major général de l’Etat major des armées, il élabora la mise au point des diverses organisations interarmes, ce qui lui valut, le 1° juillet 1994, de parvenir au rang de général d’armée aérienne et de chef d’Etat-major de l’Armée de l’Air. Totalisant six mille heures de vol, le général Douin fut nommé Grand Chancelier de l’Ordre de la Légion d’honneur, Chancelier de l’Ordre national du Mérite, par décret présidentiel du 4 juin 1998. Grand-Croix des deux Ordres nationaux, il est également titulaire de nombreuses décorations étrangères parmi les plus prestigieuses.

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26 octobre 2015 1 26 /10 /octobre /2015 12:56
Crédits photo: Section PARVI de l'Ecole de l'air

Crédits photo: Section PARVI de l'Ecole de l'air

 

23.10.2015 par ONERA

 

Vendredi 16 octobre après-midi, le premier vol d'un radar passif utilisant des signaux de télévision numérique (la TNT) a eu lieu sur la Base Aérienne 701 de Salon-de-Provence. Cette expérimentation fait suite aux premiers essais prometteurs au sol du système complet et qui se sont déroulés au printemps 2015.

 

Depuis 2013, l'École de l'air et l’ONERA mènent des travaux de recherche de détection par radar passif aéroporté. Ce projet réunit le Centre de recherche de l'armée de l'air (CReA), l'ONERA, et le laboratoire SONDRA* - alliance entre l'ONERA, l'école Centrale-Supélec, l'université nationale de Singapour et le DSO, laboratoire de R&D de la défense de Singapour.

 

Voir sans être vu

 

Cette technologie récente offre la capacité de détecter d'éventuelles menaces aériennes à basse altitude et à faible vitesse, tout en restant discret. La principale caractéristique de ce système radar tient au fait qu'il n’agit qu’en récepteur et utilise les émissions électromagnétiques déjà présentes dans l'environnement. Il s'agit en effet d'exploiter les échos créés par des émetteurs civils tels que ceux de télévision numérique terrestre (TNT).

 

L'avion expérimental utilisé pour ces essais est le motoplaneur BUSARD de l'ONERA. Ce dernier a embarqué le système complet de réception spécialement développé pour le projet, afin notamment de pouvoir s'intégrer dans le POD de l'appareil.

Ce premier vol, d'une durée de 2 heures, s'est déroulé dans la zone Salon-de-Provence – Orange – Aix-en-Provence afin de profiter des émetteurs de TNT de Marseille Grande Etoile et du Mont Ventoux. Ces essais ont permis de valider la partie électronique du système.

 

Une étape importante du projet vient ainsi d'être franchie. L’intégrité des données a été validée et leur exploitation par l’équipe du projet est en cours afin de poursuivre le développement des traitements adaptés à l'environnement aéroporté.

 

(*) Supelec Onera Nus Dso Research Alliance

Crédits photo: Section PARVI de l'Ecole de l'air

Crédits photo: Section PARVI de l'Ecole de l'air

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25 juillet 2015 6 25 /07 /juillet /2015 11:55
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

22/07/2015 Armée de l’Air

 

Le 7 juillet 2015 la commission des titres d’ingénieur (CTI) a émis un avis favorable au renouvellement de l’accréditation de l’École de l’air à délivrer un diplôme d’ingénieur.

 

La CTI est un organisme chargé, en partenariat avec l’Éducation nationale, d’évaluer toutes les formations d’ingénieurs et de promouvoir le titre et le métier d’ingénieur en France comme à l’étranger. C’est elle qui accrédite toutes les écoles d’ingénieurs françaises souhaitant obtenir l’habilitation à délivrer un titre d’ingénieur diplômé. L’avis de la CTI est celui sur lequel le ministère de la Défense se fonde pour prononcer la décision d’habilitation pour l’École de l’air.

 

Suite de l’article

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 12:55
Saison des stages pour les élèves de l’École de l’air

Stages 2015 de l'École de l’air

 

20/03/2015 Armée de l'air

 

Le mois de mars signe le début de la période de stage pour les élèves de troisième année de l’École de l’air (EA), de Salon-de-Provence.

 

Le stage de fin d’études est la dernière étape de leurs trois années de formation d’ingénieur. Les élèves-officiers vont pouvoir mettre en application les connaissances qu’ils ont acquises, dans un contexte industriel ou de recherche. Pendant 15 semaines, ils se formeront en France ou à l'étranger au sein d’universités prestigieuses comme Berkeley, l’Embry Riddle aeronautical university, l’Universität der Bundeswehr, ou l’École royale militaire de Belgique. D’autres ont fait le choix d’entreprises majeures telles que Dassault, Thales, Airbus, la commission maritime d’expertise, le centre national d’études spatiales ou encore de centres de recherche de premier plan comme l’ONERA ou le Von Karman Institute...

 

Actuellement, deux élèves-officiers ont la chance de participer à la mission Solar Impulse 2 pour leur stage de fin d’études. Intégrés dans l’équipe technique, ils accompagnent ce tour du monde en avion solaire.

 

Ces stages ont pour but de permettre aux élèves de l’EA de développer leur autonomie, leur curiosité, et leur esprit d’initiative, par l'élaboration d'un raisonnement scientifique pour répondre à un problème donné.

 

Ils regagneront tous Salon-de-Provence à la fin du mois de  juin pour présenter les résultats de leurs travaux lors de soutenances orales qui concrétiseront trois années intenses de travail. Trois années au cours desquelles ils auront acquis le bagage indispensable pour débuter efficacement leur carrière d’officier au sein des unités opérationnelles de l’armée de l’air.

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 08:35
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

18/03/2015 Armée de l'air - Economie et technologie

 

Partie d’Abu Dhabi le 9 mars 2015 pour le premier tour du monde en avion solaire, l’équipe de Solar Impulse 2 a fait une escale à Ahmedabad en Inde. Les sous-lieutenants Charly et Axel, les deux élèves de l’École de l’air intégrés au projet, relatent cette étape.

 

Lors de l’escale à Ahmedabad, la population locale a pu découvrir l’avion HB-SiB de Solar Impulse 2 lors d’une porte ouverte. Ne devant initialement être ouverte au public que deux heures, la tente abritant l’avion est finalement restée ouverte toute l’après-midi, face à l’engouement de la population locale.

 

Au total, plus de 15 000 personnes ont fait le déplacement pour voir cet avion solaire, qui éveille la curiosité de tous, à commencer par les jeunes écoliers venus observer l'appareil. Cet intérêt est une motivation supplémentaire pour l’équipe : « tant de sourires et de remerciements nous font prendre pleine conscience de la portée exceptionnelle de ce projet » confie le sous-lieutenant Axel.

 

Toujours en Inde, les deux élèves ont rejoint Varanasi dans la nuit du 14 au 15 mars, avec l’Advance team. Composée de 10 personnes, l'équipe est envoyée sur le lieu de la prochaine escale quelques jours avant l'arrivée de l'avion, pour régler les préparatifs avec l'aéroport local.

 

Suite aux conditions météorologiques défavorables, l'arrivée du HB-SiB n'est prévue que le mercredi 18 mars. L'avion effectuera un arrêt mécanique puis redécollera pour Mandalay (Myanmar), jeudi 19 mars au petit matin.

 

Les deux élèves seront en piste pour l’atterrissage à Varanasi et le décollage jeudi pour Myanmar. « Nous accueillerons l'avion en début de soirée. Il faudra l’installer dans le hangar mobile, monté pour cette escale de trois jours.
 La période à venir s'annonce comme la plus dense de ce tour du monde ! »

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 18:50
photo Armée de l'Air

photo Armée de l'Air

 

25/02/2015 Armée de l'air

 

Du 13 au 15 février 2015, l’École de l’air (EA) a accueilli à Salon-de-Provence une délégation du collège de la Royal Air Force de Cranwell (Royaume-Uni) pour la 19ème rencontre sportive bilatérale.

 

Emmenée par l’Air Commodore Chris Luck, commandant le collège, les élèves britanniques se sont mesurés aux élèves de l’EA. Au programme : rugby, cross-country, natation, volley-ball, futsal et dash (nouvelle activité en relais organisée sous forme de petits ateliers sportifs).

 

Malgré la pluie, la cohésion était au rendez-vous. Les deux écoles se sont illustrées dans plusieurs épreuves : les Français ont remporté le futsal, le cross et le volley, tandis que les Britanniques ont brillé plus particulièrement au rugby, à la natation et au dash.

 

La prochaine rencontre est déjà programmée : les deux écoles se retrouveront à Cranwell en 2016!

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 07:55
L’École de l’air à nouveau primée

 

04/12/2014 Armée de l'air

 

Pour la deuxième année consécutive, l’École de l’air est classée numéro 1 des meilleures écoles d’ingénieurs spécialisées en aéronautique, mécanique et automobile – Post Prépa.

 

Le cabinet SMBG a dévoilé, le 30 novembre 2014, la 5e édition de son classement des meilleurs licences, bachelors et grandes écoles. À ce titre, l’École de l’air monte sur la plus haute marche du podium dans le classement des écoles d’ingénieurs spécialisées en aéronautique et mécanique – post-prépa.

 

Les trois critères qui ont présidé à ce classement sont :

• la notoriété de la formation

• les salaires et débouchés

• le retour de satisfaction des élèves.

L’École de l’air à nouveau primée
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9 juillet 2014 3 09 /07 /juillet /2014 07:56
Revue de l'ensemble des élèves par le général Denis Mercier

Revue de l'ensemble des élèves par le général Denis Mercier

 

08/07/2014 Armée de l'air

 

Vendredi 4 juillet 2014, le baptême des promotions 2013 de l’École de l’air et de l’École militaire de l’air s’est déroulé en présence du général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air et de nombreux invités internationaux, sur la base aérienne 701 de Salon-de-Provence.

 

C’est au crépuscule que le général Denis Mercier accompagné, de ses homologues militaires africains, a passé en revue l’ensemble des élèves à l’honneur. La promotion 2013 de l’École de l’air porte désormais le nom de «général Martial Valin», tandis que celle de l’École militaire de l’air s’est vue attribuer celui de «colonel Amédée Passemard». Elles ont ensuite procédé à l’échange des drapeaux entre la promotion précédente et celle de 2013. La Musique de l’air, les chœurs des élèves et la Patrouille de France ont clôturé les festivités.

 

Cette traditionnelle cérémonie a rassemblé près de 2 200 invités. Elle célébrait également le 40ème anniversaire du cours spécial de l’École de l’air (CSEA). En 2013, la promotion a accueilli des élèves officiers du Bénin, de la Côte d’Ivoire, du Burkina Faso, du Cameroun et du Sénégal. De nombreuses autorités civiles et militaires françaises et étrangères (Cameroun, Niger, Bénin, Mali, Gabon, Côte d’Ivoire, Sénégal, Burkina Faso, Maroc) ont été conviées pour partager ce moment d’émotion. La cérémonie, symbole de valeurs, marque l'engagement des futurs officiers de l’armée de l’air à vivre avec honneur et dignité.

 

Les 40 ans du cours spécial de l’École de l’air

 

Créé en 1973 au sein de l’École de l’air, le CSEA  est destiné à former des officiers des armées de l’air étrangères dont les pays sont liés à la France par des accords de coopération.

Admis sur concours, les élèves sont tous francophones. Le programme de leur formation (3 ans)  est identique à celui de l’École de l’air, sauf l’instruction technique et scientifique qui est adaptée.

Depuis sa création environ 550 élèves, issus de 27 nationalités différentes ont été diplômés à Salon-de-Provence, dont certains sont devenus chef d’état-major dans leur pays.

 

Échange des gardes drapeaux entre les promotions

Échange des gardes drapeaux entre les promotions

Le CEMAA entouré de ses homologues militaires pour le baptême des promotions 2013

Le CEMAA entouré de ses homologues militaires pour le baptême des promotions 2013

source Ordre de la Liiberation

source Ordre de la Liiberation

 

Saint Cyrien de la promotion 1917, il intègre l’armée de l’air  en 1926. En 1940, il devient colonel et rallie la France libre puis développe et dirige les Forces aériennes françaises libres (FAFL) avant de les commander en juillet 1941.

Nommé général, il réorganise le transport aérien militaire ainsi que les unités parachutistes. Jusqu’en 1944, en même temps que commandant des Forces aériennes françaises en Grande-Bretagne, il est chef d’état-major général adjoint de l’armée de l’air et chef de la mission de l’air à Londres.En août 1944, il participe à la Libération de Paris à la tête des Forces françaises de l’intérieur (FFI).

Chef d’état-major de l’armée de l’air de 1944 à 1946, puis chef de la délégation militaire française aux Nations unies, il est nommé Inspecteur général de l’armée de l’air de 1947 à 1957.

Il reste le seul général de l’armée de l’air à avoir été maintenu sans limite d’âge, dans l’état-major général, pour avoir commandé en chef devant l’ennemi. Il décède le 19 septembre 1980.

 

 

Colonel Amédée Passemard

 

Baptême des promotions 2013 à Salon-de-Provence

 

Né en 1920, il obtient son brevet de pilote à 17 ans et s’engage dans l’armée de l’air en 1938. Il lutte contre la Luftwaffe, prend part à la campagne de Tunisie, puis à la Libération de la Corse. Promu  sous-lieutenant en 1944, il rejoint Meknès (Maroc)  comme instructeur. En 1946, à l’état-major de la Défense aérienne du Territoire en Afrique française du Nord, il cumule les fonctions d’adjoint au chef du 3ème bureau, chef des transmissions et commandant de l’escadrille d’entraînement.

Il part en Indochine, puis prend la tête de l’aviation légère d’Oranie (Algérie) avant le prendre le commandement de la base de Bangui (République Centrafricaine).

En 1965, il commande la base aérienne 125 d’Istres avant d’intégrer l’état-major de la Force aérienne tactique, chargé de la sécurité militaire. Il quitte l’armée de l’air en 1969.

Totalisant 5 000 heures de vols et 650 missions de guerre, il décède le 19 août 2013.

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