9 novembre 2015
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9 nov. 2015 MIL.be
A l’occasion du centième anniversaire du Renseignement et de la Sûreté Militaire, le Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) organise une exposition du 6 novembre au 6 décembre 2015 à l’Institut National des Vétérans et des Invalides de guerre à Bruxelles.
Cette exposition met en lumière le passé, le présent et le futur du Service. Le visiteur fait la connaissance de thèmes comme le rôle des femmes dans le renseignement, l’affaire de l’espion Guy Binet et le réseau stay behind SDRA 8.
L’exposition est ouverte au public dès le 7 novembre jusqu’au 6 décembre 2015. L ‘entrée est gratuite
Le Service Général du Renseignement et de la Sécurité (SGRS) existe depuis un siècle. Le 6 novembre, et afin de célébrer cet anniversaire, ses membres inauguraient l’exposition CLASSIFIED, the history of the Belgian military intelligence and security service. Le lieutenant général Eddy Testelmans, chef du SGRS, présentait également le livre du même nom.
14 avril 2014
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12/04/14 7sur7.be (Belga)
La Belgique serait capable de se protéger en cas de cyberattaque, mais pas de contrattaquer seule, selon le chef du renseignement militaire, Eddy Testelmans, interrogé par Le Soir samedi.
En cas de cyberattaques contre les systèmes informatiques ou de communications de la Défense, le Service général du renseignement et de la sécurité (SGRS) a pour mission de neutraliser l'attaque, d'identifier l'attaquant et, éventuellement, de riposter. 80% de l'information dont le SGRS a besoin se trouve dans l'espace cybernétique.
Le volet "riposte" n'est pas une priorité des services belges, qui préfèrent imaginer une riposte encadrée, probablement par l'Otan. "De toute façon, ce serait une décision politique car les conséquences d'une contre-attaque seraient énormes", souligne le lieutenant-général Testelmans.
Le réseau ouvert du SGRS a déjà été victime d'un virus et qu'il fait encore l'objet de "hits", mais que la protection fonctionne, selon le lieutenant-général.
Eddy Testelmans plaide pour que le cadre organique soit complété. "Nous avons besoin de toutes les capacités dont nous disposons maintenant, mais j'espère que nous ne serons pas obligés de faire des choix pour raison budgétaire."