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3 février 2015 2 03 /02 /février /2015 18:55
photo Tronics Microsystems

photo Tronics Microsystems

 

02 février 2015 Par Ridha Loukil - Usine Digitale

 

A l’occasion de son entrée en bourse, le fabricant français de Mems professionnels Tronics Microsystems reçoit le soutien de l’un de ses grands clients : Thales. Pour l’accompagner dans son développement, l’équipementier d’électronique et de défense compte prendre 16,3% de son capital.

 

Dans son plan de croissance, Tronics Microsystems a le soutien d’un industriel, et pas des moindres : Thales. A l’occasion de son entrée en bourse sur le marché de l’Euronext de Paris, il devrait recevoir de l’équipementier d’électronique et de défense 6 millions d’euros des 9,1 à 12 millions qu’il espère lever lors de cette opération. De quoi assurer à Thales 16,3% du capital du petit fabricant français de Mems professionnels, sur la base basse de la fourchette.

Ce soutien conforte la stratégie de diversification de Tronics Microsystems. Créée en 1997, à Crolles, près de Grenoble, cette PME de 88 personnes réalise des Mems à la demande faisant office de capteurs (accéléromètre, gyromètre et magnétomètre) fabriqués en silicium comme des puces électroniques. Mais, contrairement à STMicroelectronics ou Bosch, focalisés, eux, sur le marché grand public, elle s’adresse aux applications professionnelles à hautes performances. "Nous sommes le seul acteur en Europe avec ce positionnement, revendique son CEO, Pascal Langlois. Dans le monde, nous affrontons des concurrents américains comme Honeywell ou Analog Devices."

 

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 18:55
Hercule V3 photo RB3D

Hercule V3 photo RB3D

 

20/06/2014 Par Julien Bergounhoux

 

Le premier exosquelette français, Hercule, est exposé en ce moment au salon Eurosatory 2014 par son fabricant RB3D. Il est décliné en deux versions : l'une civile, à destination de l'industrie, et l'autre militaire, développée en partenariat avec la DGA et conçue pour déployer plus de puissance et procurer une meilleure protection aux forces armées.

 

RB3D, une PME bourguignonne spécialisée dans l’assistance à l'effort, a présenté le prototype de la version militaire de son exosquelette Hercule au salon Eurosatory 2014. Aurélie Riglet, chef de projet exosquelettes chez RB3D, était présente sur place et nous en a appris un peu plus sur ce projet innovant 100 % français.

 

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18 septembre 2013 3 18 /09 /septembre /2013 11:55
Création de l’association ''Embedded France''

17/9/2013 Jacques Marouani, ElectroniqueS

 

Les pôles de compétitivité Aerospace Valley, Images & Réseaux, Minalogic, et Systematic Paris-Région, Cap'Tronic, ainsi que le Syntec Numérique, viennent de créer l'association "Embedded France".

 

Afin de mieux structurer et animer l’écosystème du logiciel et des systèmes embarqués, Cap'Tronic, Aerospace Valley, Images & Réseaux, Minalogic, Systematic Paris-Région et le Syntec Informatique, viennent d'annoncer la création de l’association "Embedded France"(*).

 

Créée sous l’impulsion du rapport de Dominique Potier sur le "Logiciel embarqué 2013", commandé par les pouvoirs publics - les ministres Arnaud Montebourg et Fleur Pellerin ainsi que le Commissaire général à l'investissement Louis Gallois -, l’association a pour ambition de porter la réflexion nationale sur les enjeux présents et futurs du secteur en France et à l’international.

 

Les missions de "Embedded France" consistent précisément à :
- approfondir la connaissance du domaine dans une vision prospective,
- formuler des propositions auprès des pouvoirs publics français et des instances européennes en vue du développement de son écosystème,
- optimiser la visibilité et la promotion du marché de l’embarqué et de ses acteurs tant en France, qu’en Europe et à l’international,
- organiser des actions spécifiques en liaison avec les pouvoirs publics français et les instances européennes,
- ouvrir l'écosystème embarqué "traditionnel" aux nouvelles technologies, à leurs acteurs et marchés.

 

"Avec la création de "Embedded France", nous souhaitons étendre et renforcer les initiatives françaises impulsées depuis 2007 par le comité Embarqué de Syntec numérique et le Club des grandes entreprises de l'embarqué (CGEE). Notre objectif est ainsi d’assurer la représentation de cet écosystème et d'intégrer les communautés émergentes en les associant rapidement à nos activités", commentent Agnès Paillard, présidente du CGEE et Jean-Luc Chabaudie, membre du Comité Embarqué Syntec numérique.

 

Les missions et objectifs d’Embedded France seront présentés lors des Assises de l’Embarqué qui se tiendront le 28 octobre 2013, évènement majeur dont l’organisation sera reprise en 2014 par Embedded France.

 

(*)Les missions des membres fondateurs de l'association "Embedded France" :

- Aerospace Valley est l'association qui assure la gouvernance du pôle de compétitivité mondial Aéronautique, Espace et Systèmes Embarqués.
- Fondée par le CEA et Oséo, et financée par le ministère du Redressement productif, l’association Jessica France est chargée de la mise en œuvre du programme Cap’Tronic. Celui-ci a pour objectif d’aider les PME françaises, quel que soit leur secteur d’activité, à améliorer leur compétitivité grâce à l'intégration de solutions électroniques et de logiciel embarqué dans leurs produits.
- Le pôle de compétitivité mondial Images & Réseaux stimule l’innovation dans les services et technologies associés aux nouveaux usages des contenus numériques et des médias.
- Le pôle de compétitivité mondial Minalogic anime et structure dans la région Grenoble-Isère, un espace majeur d'innovation et de compétences spécialisées dans la création, la mise au point et la production de produits et services autour des solutions miniaturisées intelligentes pour l'industrie.
- Syntec numérique est le syndicat professionnel des entreprises de services du numérique (ESN), des éditeurs de logiciels et des sociétés de Conseil en Technologies. Syntec Numérique représente 1200 sociétés adhérentes, soit 80% du chiffre d’affaires de la profession.
- Enfin au croisement de la filière Logiciel et Numérique au service de l’industrie et des services, Systematic confirme son positionnement sur ses 5 secteurs industriels et services historiques (transports, énergie, sécurité, santé, télécommunications).

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24 juin 2013 1 24 /06 /juin /2013 17:50
Conforme à la norme DEF STAN 61-5 section 6 édition 6, le module DSF226 de XP Power cible les applications militaires sous 28 V.

Conforme à la norme DEF STAN 61-5 section 6 édition 6, le module DSF226 de XP Power cible les applications militaires sous 28 V.

20/6/2013 Philippe Corvisier, ElectroniqueS

 

Avec le DSF226, XP Power introduit un module de filtrage et de protection contre les surtensions, destiné aux applications militaires exploitant une tension d'alimentation de 28 Vdc.

 

Présenté dans un boîtier métallique de 61,2 x 36,8 x 12,9 mm, ce module est susceptible de fournir 200 W.

 

Conforme à la norme DEF STAN 61-5 section 6 édition 6, il répond par ailleurs aux normes d'immunité et d'émissions électromagnétiques MIL-STD 1275A-D, DEF STAN 59-411 et MIL-STD 461C.

 

Spécifié dans la gamme de température -46 °C à +100 °C, le DSF226 supporte une tension transitoire de 10 V pendant 1 s. Une sortie en collecteur ouvert est fournie afin de délivrer une alarme en cas de température excessive.

 

Enfin, le rendement est typiquement de 97 % et le MTBF supérieur à 2 millions d'heures (selon MIL-HDBK-217F à 40 °C).

 

Le filtre est conçu pour fonctionner de pair avec les convertisseurs DC-DC issus des séries MTC/QSB/ICH de la société. Il peut aussi être associé aux convertisseurs 24 V 4:1 de la série J pour des solutions militaires "sur étagère".

 

Le DSF226 est disponible auprès des distributeurs agréés de XP Power, ou directement auprès de la société. La garantie est de 3 ans.

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 07:55
Benoît Neel, président du Simtec

Benoît Neel, président du Simtec

 

24/4/2013 Pascal Coutance, ElectroniqueS

 

Les chiffres du Simtec, le syndicat français de la profession, montrent que derrière une croissance de 5,1% des chiffres d'affaires cumulés de ses membres en 2012, se cachent des disparités.

 

Lors d'une conférence de presse donnée hier 23 avril, le Simtec (Syndicat de l'instrumentation de mesure, du test et de la conversion d'énergie) a indiqué que le marché français du test et de la mesure a connu une croissance de 5,1% en 2012, pour atteindre 333,1 millions d'euros. C'est la 3è année consécutive de hausse après celles de 9,4% en 2011 et de 7,2% en 2010. Rappelons ici que ces chiffres correspondent aux ventes annuelles cumulées des adhérents du Simtec qui ont bien voulu répondre à l'enquête du syndicat et qui représentent environ 80 % du marché français du test et de la mesure.

 

"Ce résultat globalement positif tient au fait que l'activité de nos membres s'exerce principalement sur trois segments de marchés qui continuent à être bien orientés en France, à savoir l'aéronautique et la défense, les radiocommunications et le haut débit et enfin la recherche", précise Benoît Neel, président du Simtec (photo).

 

En revanche, la contribution du secteur automobile au marché du test et de la mesure a baissé en 2012. Toutefois, la baisse a été moins importante que l'on aurait pu croire, les équipementiers automobiles continuant à avoir une activité soutenue, notamment grâce à leurs exportations.

 

Enfin, dans le domaine des équipements industriels, des disparités se font jour entre les orientations positives constatées du côté de l'industriel ou du nucléaire, la stabilité de la contribution du ferroviaire et les difficultés rencontrées dans les domaines des énergies renouvelables et des semi-conducteurs.

 

Pour 2013, même si certains secteurs d'activités comme les radiocommunications vont continuer à tirer le marché avec le déploiement de la 4G/LTE notamment, le Simtec se contente d'"espérer une stabilité du marché compte tenu du manque de visibilité actuel", selon les termes de M. Neel. Le point positif reste que le secteur du test et de la mesure est transversal et se comporte généralement mieux que la moyenne du marché de l'industrie électronique dans son ensemble.

Nous reviendrons plus en détails sur les résultats du Simtec dans le numéro de mai de notre revue ElectroniqueS.

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 07:55
Premier pas vers la création d'un grand groupement unifié de l'électronique française

24/4/2013 Jacques Marouani, ElectroniqueS

 

Pour être plus forts, les deux syndicats qui représentent les fabricants de composants, le Sitelesc et le Gixel, ont acté leur processus de fusion, l'objectif étant de concrétiser ce rapprochement d'ici la fin de l'année 2013. D'autres syndicats pourraient les rejoindre en 2014.

 

Hier soir 23 avril, six grands syndicats de la filière électronique, le Sitelesc (semi-conducteurs), le Gixel (composants passifs et sous-systèmes), le Simtec (instrumentation électronique), le GFIE (founisseurs d'équipements et de consommables), le SPDEI (distribution) et le Snese (sous-traitance), se sont retrouvés à la Maison de la Mutualité pour tenir leurs assemblées générales respectives et pour matérialiser leur engagement commun à agir ensemble pour une meilleure reconnaissance de l'industrie électronique française.

 

La journée s'est terminée par une conférence commune du groupement "Agir pour l'industrie électronique" (APIE) que les six syndicats ont constitué dès l'année dernière. Cette conférence a souligné principalement la nécessité pour ces six syndicats de parler d'une même voix à leurs interlocuteurs, notamment leurs clients intégrateurs et les pouvoirs publics. "APIE, c'est d'abord un pôle qui a une vision d'avenir, ce groupement représente un secteur ayant un fort potentiel de croissance. Contrairement à beaucoup d'idées reçues, nous devons convaincre que l'électronique française n'est pas morte. Sans électronique, pas de numérique, sans électronique, sur quoi reposerait Internet ? Sur de l'air ?", questionne Jean-Pierre Quemard, président du Gixel.

 

Aussi, APIE souhaite-t-il faire comprendre que l'électronique est essentielle à l'économie numérique, et par voie de conséquence, à l'économie toute entière. Pour cela, le groupement insiste sur la nécessité de continuer à produire en Europe et de disposer de compétences suffisantes pour continuer à embaucher, alors que les jeunes se désintéressent de plus en plus de l'électronique en particulier et des métiers de l'industrie en général. Il convient donc d'engager des actions pour y remédier. Et de manière collégiale afin d'être mieux entendu !

 

Le Sitelesc et le Gixel devraient être rejoints par d'autres syndicats

 

Pour être plus forts, les deux syndicats qui représentent les fabricants de composants, le Sitelesc et le Gixel, ont acté leur processus de fusion, l'objectif étant de concrétiser ce rapprochement d'ici la fin de l'année 2013. "Ce premier regroupement restera ouvert à d'autres syndicats et il faut s'attendre à ce que d'autres organisations professionnelles de l'initiative APIE nous rejoignent en 2014", nous a précisé l'un des artisans du rapprochement Sitelesc-Gixel. De là à imaginer, à moyen terme, un regroupement de l'ensemble des six syndicats impliqués dans APIE, il n'y a qu'un pas que certains dirigeants n'hésitent pas franchir.

Reste à passer de nombreuses démarches administratives et surtout à convaincre les adhérents de chacune des organisations professionnelles qu'un tel groupement est essentiel pour que l'électronique française s'en sorte face à la concurrence mondiale. La fusion du Sitelesc et du Gixel, amorcé il y a un an, ne devrait se concrétiser finalement que dans six mois. "Nous sommes face aux mêmes démarches que dans le cadre d'une fusion de deux sociétés", nous a confié l'un des promoteurs de la fusion Sitelesc-Gixel.

 

Nous reviendrons en détail sur cette première conférence APIE, avec de larges extraits des discours des présidents des six syndicats du groupement dans le numéro de mai de notre magazine "ElectroniqueS".

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 21:31
source ElectroniqueS,

source ElectroniqueS,

19/4/2013 Jacques Marouani, ElectroniqueS,

 

Ce Guide comporte une analyse détaillée de l’ensemble des marchés de l’électronique par applications et par produits, ainsi qu'un annuaire professionnel de l'industrie électronique française.

 

La rédaction du magazine et du site Internet "ElectroniqueS" vient de publier "Le Guide de l'Electronique 2013", véritable outil de travail de l'ensemble des acteurs de la filière électronique.

 

Préfacé par Pierre Gattaz, président de la Fieec (Fédération des industries électriques, électroniques et de communication), ce Guide comporte une analyse détaillée de l’ensemble des marchés de l’électronique par applications et par produits, ainsi que les financements et les programmes de R&D accessibles aux entreprises du secteur, les métiers et les formations de l’électronique, et enfin, un annuaire professionnel de l'industrie électronique française.

Pour tout renseignement, contacter Magali Vialar au 01 75 60 28 40

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