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8 février 2018 4 08 /02 /février /2018 17:50
Safran plays major role in OCEAN2020 project, chosen by European Commission for the PADR defense research program

 

Boulogne-Billancourt, February 7, 2018 – Safran E&D

Safran is one of the main participants in the OCEAN2020 consortium, which won a major contract as part of the European Commission’s 2017 Preparatory Action on Defence Research (PADR) initiative.

This European Commission’s OCEAN2020 project, with 35 million euros in funding, aims to develop a technology demonstrator that will validate the concept of deploying a complete array of drone systems (air, surface and submarine) for surveillance in a maritime environment.

The Leonardo-led OCEAN2020 consortium* won this contract by uniting companies of all sizes, along with academic institutions and government representatives from 15 European Union countries. The winning team will conduct two demonstrations involving the operation of new surveillance systems and integrated information processing systems, deployed in several European naval exercises, first in the Mediterranean in 2019 then in the Baltic Sea in 2020.

During these naval operations, Safran will deploy a maritime surveillance version of its Patroller drone. The only fixed-wing, long-endurance drone taking part in these demonstrations, the Patroller will also be outfitted with a new mission system, including a maritime surveillance radar, an automatic identification system (AIS) for ships and Safran’s EuroflirTM 410 optronic (electro-optical) pod, already used on the army version of the Patroller. The data collected by this multi-sensor suite will be transmitted to the combat systems on several warships, as well as to operations centers.

Safran will contribute to the innovative nature of the OCEAN2020 project by developing an autonomous mission function for naval drones. An onboard data processing function will enable the Patroller drone to detect and automatically track suspect ships in its search zone, while also consolidating key data (speed, trajectory, size, registration numbers, other visual proofs, etc.) to facilitate the job of operators.

These new functionalities will offer a decisive advantage in ensuring the success of drone surveillance operations by navies and government agencies.

Thierry Dupoux, chief innovation officer at Safran Electronics & Defense, said, “We are very proud to be advancing our road map for drone mission systems in maritime surveillance applications. We’re very fortunate to be able to apply our skills to help develop this large-scale European defense R&D program.”

PADR is a three-year program organized by the European Commission to test the EU’s defense Research & Technology (R&T) funding mechanisms, via several targeted projects. It heralds the launch of a framework program to support defense research starting in 2021.

 

* Note RP Defense (source Indra)

The OCEAN2020 consortium comprises:

  • Large companies: LEONARDO, Indra, SAAB, CTM, SAFRAN, IDE, QINETIQ, SKYSOFT, MBDA, IDS, GMV, TERMA, ECA, FINCANTIERI, E-GEOS and HENSOLDT.
  • Small and medium-sized enterprises: PTI, CYBERNETICA, BARRACUDA, SEADRONE, AUTONAUT, BLUE BEAR, PROLEXIA, SCHÖNHOFER, ANTYCIP, INFINITE VISION, INSIS, ALTUS, LUCIAD and BLACKSHAPE
  • Universities and research centers: CMRE, Frauhofer-IOSB, TNO,  VTT, CNIT, University of Athens, IAI.
  • End users: Italian Navy, Lithuanian Navy, Greek Defense Ministry, Portuguese Navy and Spanish Defense Ministry.

The consortium has the additional support of the ministries of defense of Sweden, France, the United Kingdom, Estonia and the Netherlands.

 

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7 février 2018 3 07 /02 /février /2018 13:55
photo Safran E&D

photo Safran E&D

 

Boulogne-Billancourt, le 7 février 2018 - CP Safran E&D

 

Safran est l’un des principaux membres du consortium OCEAN2020 qui a remporté l’appel d’offres majeur associé à l’Action Préparatoire de Recherche de Défense (PADR) de la Commission Européenne pour 2017.

 

Doté d’un montant de 35 millions d’euros, le projet de la Commission Européenne porte sur un démonstrateur technologique attestant de la valeur opérationnelle de systèmes de drones de tous milieux (drones aériens, de surface et sous-marins) dans un environnement maritime.

 

Le consortium OCEAN2020, mené par Leonardo, a remporté cet appel d’offres en fédérant des industriels de toutes tailles, des partenaires académiques et des représentants étatiques de 15 pays de l’Union Européenne. L’équipe gagnante réalisera deux démonstrations de mise en oeuvre de nouveaux moyens de surveillance et de systèmes intégrés de traitement de l’information dans le cadre d’exercices navals européens, en Méditerranée en 2019 puis en mer Baltique en 2020.

 

Au cours de ces opérations navales, Safran déploiera son drone Patroller dans une configuration de surveillance maritime. Seul drone à voilure fixe de longue endurance engagé dans ces démonstrations, le Patroller sera équipé d’une nouvelle chaîne de mission comprenant un radar de surveillance maritime, un système d’identification automatique des navires (AIS) et la boule optronique EuroflirTM 410 de Safran déjà présente sur sa version terrestre. Les informations recueillies par cet ensemble multi capteurs seront transmises aux systèmes de combat de plusieurs navires et aux centres d’opérations.

 

Safran contribuera aux innovations du projet OCEAN2020 en développant une fonction d’autonomie de mission pour drones navals. Des traitements embarqués permettront au Patroller de détecter et de suivre automatiquement un navire suspect dans sa zone de recherche et de réunir de l’information (vitesse, trajectoire, taille, immatriculation, images-preuves…) afin de faciliter le travail des opérateurs de mission.

 

Ces nouvelles capacités fonctionnelles sont déterminantes pour mener à bien les opérations de surveillance des Marines et agences européennes réalisées avec des drones.

 

Thierry Dupoux, directeur de l’innovation chez Safran Electronics & Defense, a déclaré : « Nous sommes fiers de poursuivre notre feuille de route sur les chaînes de mission drone pour les applications de surveillance maritime. C’est une chance de déployer nos compétences pour contribuer à construire un projet européen d’envergure dans la R&D de défense. »

 

L’Action Préparatoire de Recherche de Défense est un programme de recherche de 3 ans de la Commission Européenne visant à tester, à travers plusieurs projets, les mécanismes de financement de la R&T de Défense par le budget de l’Union Européenne. Elle préfigure le lancement d’un programme-cadre de soutien de la recherche de défense à partir de 2021.

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2 décembre 2015 3 02 /12 /décembre /2015 17:50
Programme européen en matière de sécurité: la Commission prend des mesures pour combattre le terrorisme et le trafic d’armes à feu et d’explosifs

 

Bruxelles, le 2 décembre 2015 Commission Européenne

 

Programme européen en matière de sécurité: la Commission prend des mesures pour combattre le terrorisme et le trafic d’armes à feu et d’explosifs

 

La Commission européenne a adopté, ce jour, un train de mesures afin d'intensifier la lutte contre le terrorisme et le trafic d'armes à feu et d'explosifs. Ce train de mesures comprend deux volets principaux: d'une part, une proposition de directive relative à la lutte contre le terrorisme, qui permettra à l’UE de renforcer son arsenal de prévention des attentats en érigeant en infractions certains actes préparatoires tels que l'entraînement et le fait de se rendre à l'étranger à des fins terroristes ainsi que le fait de se rendre complice d'actes terroristes, d'inciter à les commettre et de tenter de les commettre; d'autre part, un plan d’action visant à intensifier la lutte contre les criminels et les terroristes qui ont accès à des armes et à des explosifs et qui en font usage, moyennant un contrôle renforcé de la détention et de l’importation illicites dans l’UE. Les attentats atroces perpétrés à Paris le 13 novembre dernier ont montré une fois de plus que l’Europe devait durcir sa réponse commune au terrorisme et prendre des mesures concrètes pour combattre le terrorisme et le trafic d'armes à feu et d'explosifs.

M. Frans Timmermans, premier vice-président de la Commission européenne, a déclaré: «La Commission est déterminée à faire tout ce qui est en son pouvoir pour aider les États membres à affronter la menace terroriste et à la vaincre. Le nombre croissant de citoyens de l’Union qui se rendent à l’étranger pour devenir des «combattants étrangers» contraint l’UE à mettre à jour son cadre juridique relatif aux infractions terroristes pour apporter une réponse commune sur le plan de la justice pénale. La coopération au niveau de l’UE et avec les pays tiers est également indispensable pour lutter contre le marché noir des armes à feu et des explosifs. Nos propositions accompagneront les efforts des autorités nationales pour désorganiser les réseaux terroristes. »

M. Dimitris Avramopoulos, commissaire européen pour la migration, les affaires intérieures et la citoyenneté, a déclaré pour sa part: «Nous honorons aujourd'hui l'engagement que nous avions pris de nous montrer intransigeant à l'égard du terrorisme. Notre proposition vise non seulement les auteurs de telles atrocités mais aussi leurs complices: ceux qui les aident à se déplacer, qui contribuent à financer ou à soutenir le terrorisme. C’est ainsi que nous durcissons notre réponse pénale pour lutter contre les graves menaces que constituent les combattants terroristes étrangers. Nous proposons également un plan d’action de l’UE sur les armes à feu et les explosifs afin d'empêcher les terroristes d’avoir accès aux trafiquants d’armes dans l’UE et dans sa périphérie. L’Europe doit agir collectivement, promptement et avec détermination, pour réprimer le terrorisme et améliorer notre sécurité.»

Les propositions présentées ce jour s’inscrivent dans le programme européen en matière de sécurité adopté en avril 2015. À la suite des récents événements, le rythme de leur mise en œuvre a été nettement accéléré.

 

Une proposition de nouvelle directive relative à la lutte contre le terrorisme

La proposition de nouvelle directive relative à la lutte contre le terrorisme comble les lacunes que présentait le cadre juridique de l’Union européenne en matière de contrôle du respect de la législation pénale. La proposition de directive prévoit également des définitions communes d'infractions terroristes, ce qui permet d'apporter une réponse commune au phénomène des combattants terroristes étrangers, de maximiser ainsi l’effet dissuasif dans l’ensemble de l’UE et de faire en sorte que les auteurs de ces infractions soient effectivement punis.

La proposition de directive réforme le cadre juridique en vigueur de l’UE sur l’incrimination de comportements liés à des activités terroristes. Elle transpose en droit de l’UE des obligations de droit international, telles que celles découlant des dispositions de la résolution 2178 (2014) du Conseil de sécurité des Nations unies sur les combattants terroristes étrangers, du protocole additionnel, récemment adopté, à la convention du Conseil de l’Europe pour la prévention du terrorisme et des recommandations du groupe d’action financière sur le financement du terrorisme.

La proposition de directive érige en infraction:

  • le fait de se rendre à l’étranger à des fins terroristes, tant sur le territoire de l'Union qu’à l’extérieur, pour lutter contre le phénomène des combattants terroristes étrangers;

  • le financement, l’organisation et la facilitation de ces voyages, y compris par un appui logistique et matériel, dont la fourniture d’armes à feu et d'explosifs, d'abris, de moyens de transport, de services, d'avoirs et de marchandises;

  • le fait de recevoir un entraînement à des fins terroristes. Les structures chargées de contrôler le respect de la loi auront la possibilité d’enquêter sur les activités d'entraînement susceptibles de conduire à la perpétration d’infractions terroristes et d'engager des poursuites contre les personnes ayant reçu cet entraînement;

  • procurer des fonds utilisés pour commettre des infractions terroristes et des infractions en relation avec des groupes terroristes ou des activités terroristes.

La proposition de directive durcit également les dispositions érigeant en infractions pénales le recrutement, l'entraînement à des fins terroristes et la diffusion de la propagande terroriste, y compris en ligne.

La proposition de la Commission énonce également de nouvelles règles, qui complètent la directive concernant les droits des victimes de 2012, afin que les victimes du terrorisme aient immédiatement accès à des services d'aide professionnels offrant des traitements physiques et un accompagnement psychosocial et soient immédiatement informées de leurs droits, quel que soit leur lieu de résidence dans l’Union européenne.

 

Un plan d’action contre le trafic d’armes à feu et l’utilisation d’explosifs

La Commission européenne a également adopté, ce jour, un plan d’action pour cibler le trafic d’armes à feu et d’explosifs dans l’UE. Ce plan vise à améliorer la détection et la saisie des armes à feu, explosifs et précurseurs d’explosifs utilisés à des fins criminelles et terroristes ainsi que les enquêtes en la matière.

Ce plan d’action vient compléter les mesures adoptées le 18 novembre 2015 destinées à durcir les contrôles sur l’acquisition et la détention légales d’armes à feu et à appliquer des normes minimales communes en matière de neutralisation des armes à feu.

Le plan d’action vise à améliorer la coopération opérationnelle au niveau de l’UE et avec des pays tiers en vue d'accroître l'efficacité de la lutte contre le marché noir des armes et des explosifs. Ses principaux éléments sont les suivants:

  • restreindre l’accès aux armes à feu et aux explosifs illégaux: le plan d’action invite tous les États membres à créer des points de contact nationaux interconnectés sur les armes à feu afin de développer leur expertise et d'améliorer l’analyse et l’établissement de rapports stratégiques sur le trafic d’armes à feu, notamment par l'exploitation combinée de renseignements de nature pénale et se rapportant à des données balistiques. Il prévoit également un renforcement du rôle d’Europol en ce qui concerne le trafic en ligne et le détournement du commerce légal grâce à son unité de signalement des contenus sur Internet, créée récemment. Le plan d’action invite instamment les États membres à mettre entièrement en œuvre les règles de l’UE sur les précurseurs d’explosifs.

  • Approfondir la coopération opérationnelle: le plan d’action invite instamment les États membres à créer des cyberpatrouilles ou à étendre celles qui existent aux armes à feu, aux explosifs et aux précurseurs d’explosifs. Les contrôles aux frontières extérieures ainsi que la coopération policière et douanière devraient être renforcés par des contrôles fondés sur les risques ciblant les marchandises, que celles-ci arrivent par des canaux commerciaux (par exemple, en conteneurs), via le transport de passagers (par exemple, dans des voitures) ou dans les bagages des passagers. Le plan d’action propose également d’établir une action de contrôle prioritaire en matière douanière avec les États membres en ce qui concerne le trafic d’armes à feu aux frontières extérieures de l’UE.

  • Améliorer la collecte et le partage d’informations opérationnelles: le plan d’action incite les États membres à faire pleinement usage des outils existants pour faciliter l’échange d’informations et à inclure systématiquement les informations sur les armes à feu recherchées dans le système d’information Schengen et dans le Système INTERPOL de gestion des données sur les armes illicites et du traçage des armes (iARMS). L'échange de données balistiques devrait être renforcé au moyen d'une plateforme spécialisée.

  • Consolider la coopération avec les pays tiers: afin de réduire l’importation illégale d’armes à feu dans l’Union européenne et l'accès aux explosifs sur son territoire, le plan d’action propose d'intensifier la coopération avec les pays tiers, par l'inclusion systématique du trafic d’armes à feu et de l’utilisation d’explosifs dans les dialogues sur la sécurité avec les pays et organisations partenaires clés. La Commission européenne propose, en plus de renforcer la coopération avec les pays clés des Balkans occidentaux, d'approfondir celle menée avec des pays du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord ainsi qu'avec la Turquie et l'Ukraine. Une attention particulière est accordée à l'instauration d’un dialogue avec les pays de la région du Sahel, avec la Ligue arabe et diverses organisations internationales. Dans certains cas, l’aide financière de l’UE pourrait être envisagée pour la confiscation et la mise hors service des armes à feu.

 

Contexte

La responsabilité d'assurer la sécurité intérieure incombe en premier lieu aux États membres, mais les enjeux transfrontières défient la capacité de chaque pays à agir seul et rendent nécessaire l’appui de l’UE pour susciter la confiance et faciliter la coopération, l’échange d’informations et une action conjointe.

Dans les orientations politiques du président Juncker, la sécurité figure parmi les priorités de la nouvelle Commission, tandis que le programme de travail de la Commission pour l'année 2015 prévoyait la présentation d'un programme européen en matière de sécurité.

Le 28 avril 2015, la Commission européenne a présenté un programme européen en matière de sécurité pour la période 2015-2020, qui doit aider les États membres à coopérer contre les menaces qui pèsent sur la sécurité et donner plus de poids à notre action commune contre le terrorisme, la criminalité organisée et la cybercriminalité. Ce programme expose les mesures et outils concrets auxquels recourront toutes les parties prenantes pour garantir la sécurité et affronter plus efficacement ces trois menaces particulièrement préoccupantes. Depuis lors, d'importants progrès ont été réalisés dans la mise en œuvre des différents points prévus par ce programme.

Dans le programme en matière de sécurité et dans le programme de travail pour l'année 2016, la Commission s’est engagée à réexaminer en 2016 la législation en vigueur sur les armes à feu afin d’améliorer le partage de l’information, de renforcer la traçabilité, d’harmoniser le marquage et d’instaurer des normes communes de neutralisation des armes à feu. Compte tenu des événements récents, la Commission a sensiblement accéléré ces travaux.

 

Pour de plus amples informations

Fiche d’information: Mise en œuvre du programme européen en matière de sécurité — nouvelles mesures pour lutter combattre le terrorisme, le trafic d'armes à feu et l’utilisation illicite d’explosifs

Proposition de directive relative à la lutte contre le terrorisme

Plan d’action de l’UE contre le trafic et l’utilisation illicite d’armes à feu et d’explosifs

Programme européen en matière de sécurité

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30 octobre 2015 5 30 /10 /octobre /2015 16:50
Patroller carries out Portugal homeland security tests

 

26 October, 2015 By Beth Stevenson - FG

 

London  - In an effort to further test the integration of unmanned air vehicles (UAVs) in European airspace, European Commission testing saw the SAGEM Patroller carry out flight trials in homeland security scenarios in Portugal.

 

Through the Commission’s airborne information for emergency situation awareness and monitoring – or Airbeam – project, the Patroller operated in civil airspace from the Beja air base in Portugal from 5-8 October, using homeland security scenarios as defined by the Portuguese national guard and air force. The aim of the project is to develop a management system for large-scale crises using UAVs, balloons and satellites, and these operational demonstrations serve to validate that system. “The Patroller played a full role in all of these events, which provided full-scale simulations of homeland security missions,” SAGEM says. This included the surveillance of high-value sites as well as missions entailing population risk management. “In fact, the drone’s capabilities turned out to have a very practical, and unexpected purpose, since during one of its flights the Patroller detected a fire in the country at a range of more than 20km,” SAGEM added. “The information on this situation that it transmitted in real time helped coordinate the response teams.”

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14 septembre 2015 1 14 /09 /septembre /2015 16:50
The future of European drone programmes

14-09-2015 - by SEDE

 

On 22 September the Subcommittee will debate the future of European drone programmes with representatives of the European Defence Agency and the European Commission.

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9 septembre 2015 3 09 /09 /septembre /2015 16:50
Une colonne B-FAST avec un véhicule terrestre ICARUS en tête (Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be)

Une colonne B-FAST avec un véhicule terrestre ICARUS en tête (Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be)

 

07/09/2015 Stijn Verboven – - MIL.be

 

ICARUS, tel est le nom du projet de recherche européen visant à développer l'utilisation de drones lors d'opérations de sauvetage. L'École Royale Militaire coordonne les actions des 24 partenaires provenant des 10 pays participants. Afin de démontrer les capacités de ces engins, l'école organisait une grande rencontre à Marche-en-Famenne le 4 septembre dernier.

 

Lors de la démonstration, les collaborateurs ICARUS ont simulé un village dévasté par un fort tremblement de terre. Des survivants nécessitant des secours se trouvent encore dans des immeubles à appartements, des écoles et des fabriques. Une équipe B-FAST, proche du lieu de la catastrophe, se tient prête à intervenir mais l'avion solaire ICARUS reconnaît déjà l'itinéraire. Cet appareil détient le record du monde du vol autonome depuis peu. Il dresse des cartes des environs de manière à ce que l'équipe sache ce que l'on attend d'elle.

 

 (Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be) (Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be) (Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be)
 (Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be) (Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be)
 (Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be) (Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be) (Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be)

(Photo Jürgen Braekevelt – MIL.be)

Voici l'une des manières dont les drones ICARUS peuvent aider une équipe de secours mais cela ne s'arrête pas là. Ils détectent également des victimes grâce à leurs caméras thermiques ou dressent des cartes en trois dimensions. Les engins terrestres peuvent ainsi déblayer des décombres, étançonner des bâtiments et travailler dans d'autres constructions trop instables pour les équipes de secours.

 

Le travail de sauvetage n'est pas la tâche principale de la Défense mais selon le chercheur de l'ERM Geert De Cubber, coordinateur du projet, celui-ci présente également des applications militaires intéressantes. « Dans une période où les budgets de la Défense diminuent, ce type de projet est indispensable à l'obtention de financements complémentaires », explique-t-il. Nous œuvrons dans un domaine proche des préoccupations de la Défense. Nos drones peuvent rechercher des victimes ou des ennemis également. Ils peuvent rendre des services dans la protection d'installations par la détection d'intrus. »

 

Le projet ICARUS prendra fin dans quelques mois en janvier 2016. De Cubber est toutefois satisfait des résultats. « La commission européenne voit notre projet promis à un bel avenir », dit-il. « Elle l'utilise comme un projet exemplaire dans lequel les fonds auront été bien investis en débouchant jusqu'à présent sur des applications concrètes. »

Vidéo : Wim Cochet

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28 août 2015 5 28 /08 /août /2015 16:50
Industry consultation on the European Transfers Directive


Brussels - 17 August, 2015 EU Defence Agency
 

An evaluation of the implementation of the Directive on intra-EU-transfers of defence-related products has been launched by the European Commission. The European Defence Agency, under its role as an interface to wider EU policies impacting defence, is coordinating with the Commission in order to raise awareness and increase the input of Member States Ministries of Defence as well as defence industry, on issues related to the implementation of Directive 2009/43/EC.

 

Also known as the Directive on intra-EU-transfers of defence-related products, it aims to simplify terms and conditions of transfers of defence-related products within the Community. The Directive entered into force in 2009 and was transposed into national legislation across all Member States and EEA countries by 2012.

The Commission has recently launched an evaluation of the implementation of the ICT Directive, in view of preparing a report to the European Parliament and Council by June 2016. It has contracted the independent consultancy Technopolis Group to evaluate the implementation, uptake and impact of the Directive, and to provide recommendations to address any identified problems, in view of supporting the Commission in the preparation of its report.

A central aspect of the evaluation is a survey-based consultation with European defence industry. The online survey can be accessed at this link. The consultation is due to close on Friday 18th September 2015.

According to Technopolis, all responses obtained through the consultation will be treated in the strictest confidence, in line with EU legislation on data protection, and access to the data will be restricted to a small team within Technopolis. Information will only be passed to the Commission and published in aggregated and non-attributable form.

 

More information

  • For further information or clarifications regarding the study or the consultation, industry can contact Technopolis / Mr. Neil Brown directly at: defence@technopolis-group.com
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1 juillet 2015 3 01 /07 /juillet /2015 11:50
Commissioner Christos Stylianides visits EDA

 

Brussels - 30 June, 2015 European Defence Agency

 

European Commissioner for Humanitarian Aid and Crisis Management Christos Stylianides visited the European Defence Agency today to exchange views and cooperation opportunities with EDA staff and top management.

 

The Commissioner started his visit with a meeting with EDA Chief Executive as well as the Agency’s top management, with whom he exchanged views on the EDA’s way of working, especially its role of interface with wider EU policies, as well as on current workstrands that might contribute to support Humanitarian missions and initiatives.

After the meeting, Commissioner Stylianides met with EDA project officers who briefed him on some of the Agency’s ongoing initiatives in the field of operations support, satellite communications or medical. Current EDA projects focusing on maritime surveillance, personnel recovery or airlift support to humanitarian missions were also discussed.

A lot of activities and projects developed under the framework of the Agency have a potential dual-use role, and thus can be as useful in humanitarian missions as they are in high-intensity conflicts”, EDA Chief Executive Jorge Domecq commented during the visit. “As part of our close cooperation with the European Commission we stand ready to provide support  in areas of dual-use capabilities and dual-use research, while at the same time enhancing the pooling and sharing of capabilities”, he added.

 

More information

  • Link to Commissioner Christos Stylianides' website
  • Link to EDA Operations Support project page
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9 juin 2015 2 09 /06 /juin /2015 17:50
European defence-industrial cooperation: from Keynes to Clausewitz


02 Jun 2015 by Daniel Fiott - Global Affairs
 

The European Union is still far from having a consolidated defence market but the European Defence Technological and Industrial Base (EDTIB) has emerged as a policy framework through which to liberalize and regulate defence markets, protect and sustain jobs and to improve the interoperability of Europe's armed forces; all at the EU level. This article argues that a purely economic rationale for defence-industrial cooperation is being reformulated to include also questions of strategic relevance. Indeed, by charting the transition from a past policy framework called the European Defence Equipment Market (EDEM) to the EDTIB, the article examines the European Commission's role as a key driver in this policy evolution. This article shows how the European Commission is using dual-use technologies to increase its policy relevance in the defence-industrial policy milieu, but it also reaffirms the enduring role of the member states and the importance of national interests.

 

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29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 11:50
Frans Timmermans - photo EU Commission

Frans Timmermans - photo EU Commission

 

28 avril 2015 45eNord.ca (AFP)

 

La radicalisation de jeunes musulmans et les menaces de nouveaux attentats dans l’UE imposent de renforcer la sécurité, mais il n’est pas question de réduire les libertés civiles ni de créer un FBI européen, a affirmé à l’AFP le vice-président de la Commission européenne, Frans Timmermans.

 

La stratégie pour la sécurité intérieure proposée par l’exécutif bruxellois prévoit la création d’un centre européen du contre-terrorisme au sein d’Europol pour donner aux Etats « un cadre de coopération », a-t-il expliqué, après les attentats de Bruxelles, Paris et Copenhague.

 

« Il n’est pas question de proposer un +Patriot act+ ni un FBI européen. On ne change pas le droit, ni les traités, ni les compétences », a-t-il assuré. « Pour les Etats, la sécurité est le noyau dur de la souveraineté nationale. Ouvrir un débat sur les compétences serait stérile ». « L’objectif de la stratégie proposée par la Commission est de lever les barrières pour une meilleure coopération », a-t-il insisté.

 

Une des demandes formulées par la France est le renforcement des contrôles aux frontières extérieures de l’espace de libre circulation Schengen, qui réunit 22 des 28 Etats membres.

 

Les membres de Schengen réclament également un fichier européen des données des passagers des compagnies aériennes similaire à celui exigé par les Etats Unis. Le projet PNR est bloqué au Parlement européen, qui réclame des garanties sur la protection des données.

 

L’objectif de ces deux mesures est d’obtenir des informations sur les départs des ressortissants européens soupçonnées de vouloir rejoindre les mouvements djihadistes en Syrie et en Irak, et informer les Etats de leur retour.

 

Les contrôles systématiques des citoyens européens sont interdits par le code des frontières de Schengen. « La France a demandé d’envisager un amendement à cette législation. Ce n’est pas à exclure. Mais pas à l’heure actuelle. Pour le moment, nous devons améliorer ce qui existe », a insisté M. Timmermans.

 

« Il est évident que les Etats ont des informations par leurs services de renseignements, mais ils ne les partagent pas, à cause du manque de confiance qui règne entre eux », a déploré l’ancien ministre néerlandais des Affaires étrangères. « Les services de renseignements pratiquent le donnant-donnant. Et ils se posent toujours la question: puis-je avoir confiance? ».

 

« Le centre européen de renseignement vise à créer un espace de coopération entre les services » au sein d’Europol, a-t-il expliqué. Le Royaume-Uni, comme l’Irlande, Chypre, Malte, la Roumanie et la Bulgarie ne sont pas membres de Schengen, mais Londres ne s’oppose pas à cette coopération, selon lui.

 

Frans Timmermans s’est refusé à donner un calendrier. La feuille de route pour renforcer la lutte contre le terrorisme, le crime organisé et la cybercriminalité est soumise aux Etats et au Parlement. « Nous devons faire mieux, mais je ne suis pas naïf. Cela ne va pas se faire demain », a-t-il reconnu.

 

La tentation est grande dans les Etats de prendre des mesures nationales. La France est en passe de se doter d’une loi sur le renseignement, critiquée notamment par la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), inquiète d’une dérive vers une « surveillance généralisée et indifférenciée ». Le gouvernement français récuse cette accusation.

 

Ne souhaitant pas commenter cette législation, M. Timmermans a rappelé que « la Commission protège les droits fondamentaux et assurera cette protection ». « Nous comprenons la nécessité d’augmenter la sécurité en France, mais nous devons vérifier que les mesures sont proportionnelles à la menace pour la sécurité », a-t-il ajouté.

 

« Le choix est entre les mains des Etats. Soit on a un système unique pour tous, soit on a 28 systèmes différents. Pour assurer une meilleur protection, il vaut mieux avoir un système unique européen », a-t-il soutenu. « Nous essayons d’aider les Etats à mieux coopérer. Mais si on peut mener le cheval à l’eau, on ne peut pas le forcer à boire ».

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 07:50
Fusée Soyouz - photo EMA

Fusée Soyouz - photo EMA

 

31.03.2015 sputniknews.com

 

L'Union européenne compte renoncer aux fusées russes au profit des lanceurs Ariane.

 

Dès 2016, l'Union européenne utilisera des fusées Ariane au lieu des Soyouz russes pour lancer les satellites Galileo, a annoncé mardi la commissaire européenne au Marché intérieur Elzbieta Bienkowska.

 

"Nous nous attendons à ce que les Ariane soient prêtes pour de nouveaux lancements, mais cela ne se produira qu'au début de l'année 2016. Pour atteindre notre objectif visant à lancer 30 satellites d'ici 2020, il faut prendre une décision. Nous devons soit continuer à utiliser les lanceurs Soyouz, soit attendre encore un an", a déclaré Mme Bienkowska lors d'une conférence de presse à Bruxelles.

 

"Nous avons décidé d'utiliser les fusées Soyouz, mais nous allons passer aux lanceurs Ariane fin 2015 ou début 2016", a fait savoir la commissaire.

 

Le weekend dernier, un lanceur russe Soyouz-ST tiré depuis le site spatial de Kourou, en Guyane française, a placé en orbite deux satellites de navigation européens Galileo FOC M2.

 

La constellation Galileo comptera, d'ici à 2020, trente satellites, soit six appareils de plus que le GPS. Les concepteurs du projet Galileo affirment qu'il assurera une plus grande précision que le GPS américain et permettra de garantir l'indépendance de l'Europe vis-à-vis du GPS, du GLONASS russe ou du Beidou/Compass chinois.

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 13:50
«Sans l’armée française, l’UE serait sans défense»

 

19 mars 2015 lessentiel.lu

 

Au lendemain de l’attaque qui a fait au moins 19 morts à Tunis, le président de la Commission européenne a salué le rôle de la France qui assurait quasiment seule la défense de l’Union européenne.
 

Jean Claude Juncker s’est dit «terrifié, interpellé par le fait que justement cette attaque meurtrière se soit déroulée en Tunisie, berceau du Printemps arabe. «Je voudrais dire à quel point nous sommes tunisiens», a confié le Luxembourgeois à Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1, jeudi matin. «Je me suis senti très tunisien». Et quand le journaliste lui demande si l’Europe est consciente du danger, Jean-Claude Juncker rétorque, «l’Europe n’est pas en danger mais en alerte, car nous appuyons notre action sur un cortège de valeurs sûres et certaines», concédant toutefois que ces valeurs étaient menacées.

«Je crois que nous sommes en face d’un risque de guerre polymorphe et donc la menace terroriste doit être prise en compte quand nous discutons des moyens de défense de l’Europe». Il y a quelques jours, il plaidait pour une armée européenne. Une idée qu’il a réaffirmée, «l’armée française sauve très souvent l’honneur de l’Europe», citant le Mali. Et de constater que «sans l’armée française, l’Europe serait sans défense». Pour soulager la France de ses dépenses militaires lourdes, Juncker espère à l'avenir «une prise en charge plus collective de l’effort de défense».

 

«La France est un pays que nous admirons»

Sur le plan économique, Jean-Claude Juncker a par ailleurs indiqué qu’il avait confiance en la France pour résorber son déficit et qu’en tant qu’«amoureux» de la Grèce», «il fallait tout faire pour permettre au pays de sortir de l’impasse». «Les Grecs ont fait beaucoup d’efforts (…) on n’a pas le droit de dire que c’est un peuple de feignants». Au chapitre fiscal, le Luxembourgeois a affiché son soutien aux propositions faites mercredi par le commissaire européen, Pierre Moscovici. «L’équité fiscale est une valeur que nous devons activement rechercher».

Interrogé sur la montée de l’extrême droite en Europe et notamment en France, Jean-Claude Juncker a invité à «engager un dialogue conséquent car l’extrême droite pose parfois de bonnes questions mais donne toujours les mauvaises réponses». «La France pour un Luxembourgeois que je suis est un pays que nous admirons mais pas de loin mais de très près». Avant de conclure qu’il souhaitait que les «forces démocratiques et vertueuses, résolument tournées vers l’avenir, prenant en compte les droits de l’homme, respectant l’autre et ne détestant pas l’étranger continuent de diriger la France».

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 11:50
Critical space technologies for European strategic non-dependence

 

Brussels - 19 March, 2015 European Defence Agency

 

The European Space Agency (ESA), the European Commission (EC) and the European Defence Agency (EDA) agreed on a list of actions for strategic non-dependence in the area of critical space technologies. The list was elaborated in a joint task force together with the relevant Member States organisations, industry and academia and contains 39 non-dependence actions in technology domains such as materials, electronic or photonic components, green propellants or complex structures.

 

One of the key objectives of the European Space Policy is to ensure non-dependence on critical technologies. This requires significant efforts in a large array of domains such as skills, sustainable European industrial capabilities, appropriate public policies and regulations as well as forward-looking research and technology.

Europe’s ability to get access to  key enabling technologies is crucial to both space and defence capabilities. Considering the similarities between the defence and space domains, since 2009, ESA, EC and EDA have run the European non-dependence process through a joint task force for critical technologies. Its objective is to map key technology needs and to identify priority actions to be implemented within European or national programmes. 

On 13 February 2015, the 3rd European non-dependence process results were presented to Member States and industry. The final list of urgent actions for the time frame 2015-2017 was finalised on 18 March 2015.

From October 2014 to February 2015 the joint task force together with the relevant Member States organisations, industry and academia conducted a consultation process to find consensus on the most urgent research actions. The current action list contains 39 non-dependence actions in technology domains such as materials, electronic or photonic components, green propellants or complex structures. It promotes synergies between ESA, EC and EDA activities and serves as input for the upcoming H2020 Space workplan.

This succesful joint process illustrates the commitment of both Member States and European institutional actors in securing those key technologies that reinforce Europe’s supply chain and thus its strategic independence and security.

 

(c) Pictures: ESA, European Commission

More information:

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 17:50
Fight against piracy in Africa

 

11-03-2015 - SEDE

 

The Subcommittee will hold an exchange of views on the fight against piracy inAfrica with representatives of the United Nations Office of Drugs and Crime(UNODC), the EEAS and the European Commission.

 

When: 17 March 2015

 

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 17:50
photo  European Parliament

photo European Parliament

 

March 11th, 2015 defencetalk.com (AFP)

 

Polish and Latvian officials on Tuesday voiced scepticism over calls for a European Union army to counter a militarily resurgent Russia.

 

“It’s a very risky idea,” Polish Foreign Minister Grzegorz Schetyna told Poland’s private Radio Zet in reaction to Sunday’s proposal by European Commission head Jean-Claude Juncker.

 

Juncker, a former Luxembourg prime minister, called for the creation of an EU army following rising tensions with Russia, saying the force could help counter new threats beyond the bloc’s borders and defend European values.

 

“First of all we have to ask where to raise money to finance such an army, how the combat units will work, who will be in charge of training them,” Schetyna said.

 

His sentiments were echoed by Latvian Prime Minister Laimdota Straujuma on Monday.

 

“There is a possibility it could be discussed in July at the European Council, but it’s important to check whether this might be duplicating NATO,” she told Latvian public broadcaster LTV.

 

Ex-communist Poland joined NATO in 1999 ahead of the three former Soviet-ruled Baltic states of Estonia, Latvia and Lithuania which joined in 2004.

 

They have all urged the alliance to boost its presence in the region since Russia annexed Ukraine’s Crimean peninsula last year.

 

NATO is countering Moscow’s moves by boosting defences on Europe’s eastern flank with a spearhead force of 5,000 troops and command centres in six formerly communist members, including the three Baltic states and Bulgaria, Poland and Romania.

 

General Stanislaw Koziej, a security adviser to Polish President Bronislaw Komorowski, said Juncker’s idea was an impractical “dream”.

 

“These days, nobody in Europe, no single country is contemplating giving up its sovereignty,” said Koziej.

 

“To have an army, you need first of all a political decision-maker who would deploy such an army,” added the general, urging further political integration of Europe first.

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 13:50
photo  EU2015LV

photo EU2015LV

 

March 6, 2015 defense-unmanned.com

(Source: Aerospace and Defence Industries Association of Europe; issued March 5, 2015)

 

ASD Welcomes EU Initiative On Remotely Piloted Aircraft Systems

 

RIGA, Latvia --- On the occasion of the High Level Conference on civil Remotely Piloted Aircraft Systems organised by the Latvian EU Presidency in Riga on 5-6 March 2015, the AeroSpace and Defence Industries Associations (ASD) welcome the intention of the EU Commission to move forward with a joint European action plan to open the (civil) Remotely Piloted Aircraft Systems (RPAS) market.

 

“RPAS will be huge potential market of future aviation contributing to an estimated employment of 150 000 direct jobs in 2050 , innovation and growth in Europe. In the future, many applications could be developed both in terms of fixed wing aircraft and rotorcraft. Moreover, important technological spin offs could be created to improve efficiency and safety for manned aviation,” said Jan Pie, ASD Secretary General.

 

Speaking in the name of ASD, Mr Alberto Pietra, Business Development Director at Selex ES, delivered the keynote speech, highlighting the importance of making progress on the insertion of all categories of RPAS into controlled airspace without reducing safety and airspace capacity. Mr Pietra also drew the attention to the fact that Industry was prepared to play a leading role in terms of technology development provided that the right framework is put in place in terms of safety regulation and EU public funding for R&D. ASD in particular stressed the need for Industry to be fully involved in all safety rulemaking initiatives and the need to increase the amount of public funding for R&D beyond the funds currently allocated to SESAR 2020.

 

ASD represents the Aeronautics, Space, Security and Defence industries in Europe. Based in Brussels, the organisation’s membership today comprises 15 major European aerospace and defence companies and 27 member associations in 20 countries. These industries reach a turnover of 197.3 billion euros, invest 20 billion euros in R&D, employ more than 778,000 people and counts over 3000 companies, 80000 suppliers, many of which are SMEs.

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 12:50
Britain Rejects EU Army Proposal

 

March 10, 2015 By Julian Hale – Defense News

 

BRUSSELS — The UK has strongly rejected any possibility of a European army being created following a proposal along those lines made by European Commission President Jean-Claude Juncker.

 

"Our position is crystal clear that defence is a national, not an EU, responsibility and that there is no prospect of that position changing and no prospect of a European army," said a UK government spokesperson.

 

However, in a recent press statement, the European Federalist Party (EFP) welcomed the proposal to create a European army to face the threat represented by an increasingly assertive Russia as well as other security threats.

 

"Of course any army must be under democratic oversight, which requires the European Union to make a step further in the process of European integration towards a federal Europe with a stronger role for the European Parliament," said Pietro De Matteis, the president of the European Federalist Party.

 

Daniel Keohane, research director at the European think tank FRIDE, said he does not see it as a feasible proposal.

 

"There's no point in talking about an army unless you're talking about a federal state," Keohane told Defense News. "You need to be clear who is the political authority controlling it and who pays for it."

 

Keohane argued that the idea of military integration across the EU is a good one as "we have a demilitarization problem in the EU and falling defense budgets.This is what pooling and sharing in the EU is all about. But the drivers behind that integration have to be the national governments and not the EU institutions. That's the difficulty with the proposal."

 

While he said he can see why a committed federalist like Juncker wants to put the idea on the table, it is not "politically or militarily very realistic," Keohane said.

 

"I don't think it'll have much impact on the nuts and bolts of the EU defense debate as the Commission only plays a small role in that," he said. "Defense policy is really an intergovernmental area. More important is what EU governments will discuss at their June summit, where they are expected to discuss defense policy, and if anything new comes out of that, especially in terms of pooling and sharing. Without EU countries pooling more money, it is difficult to see how capabilities can improve much."

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 08:50
SESAR acknowledges shortfall in RPAS integration funding

 

3 Mar 2015 By Beth Stevenson - FG

 

Brussels - The European Commission’s future air traffic management initiative has only one-third of the budget required to carry out the full integration of remotely piloted air systems (RPAS) into European airspace, a senior representative has acknowledged.

Speaking at the AUVSI Unmanned Systems conference in Brussels on 3 March, Denis Koehl, senior advisor for military affairs on the Single European Sky ATM Research (SESAR) programme, explains that it is some €110 million ($123 million) short of the required amount for full unmanned air vehicle integration.

The disclosure comes ahead of a commission-sponsored conference on the future of ATM, due to begin on 5 March in Latvia. This is expected to produce decisions on the commitment that the EU will make towards the integration of UAVs into the SESAR programme.

 

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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 17:50
Michel Barnier - photo EU Commission

Michel Barnier - photo EU Commission


27.02.2015 Par - RFI
 

Michel Barnier, l'ex vice-président de la Commission européenne reprend du service: à la demande du nouveau patron de la Commission Jean-Claude Juncker, il est devenu conseiller spécial sur les questions de sécurité et de défense. C'est à ce titre qu'il est invité par Dominique Baillard (RFI) et Caroline de Camaret (France 24) dans Ici l'Europe.

L'ancien commissaire plaide pour une industrie de la défense européenne. Interrogé sur l'actualité diplomatique, il désapprouve l'initiative des parlementaires français en Syrie, rejette les solutions militaires en Ukraine... et s'exprime aussi sur son propre parti: «très déçu» de ne pas avoir été retenu pour mener la liste des régionales en Rhône-Alpes en décembre 2015, il regrette les «méthodes d'autrefois (...) brutales» de son parti, l'UMP.

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4 février 2015 3 04 /02 /février /2015 07:50
EU Commission adopts new measures in Schengen Information System for counter-terrorism purposes

 

29/1/2015 EU source: European Commission Ref: EC15-017EN

 

Summary: 29 January 2015, Brussels - Today, the European Commission has adopted new measures and technical upgrades of the Schengen Information System (SIS) which will allow an accelerated and more targeted information exchange on terrorist suspects amongst law enforcement authorities, state security services and border guards throughout the 28 Schengen States.

 

By this new action SIS will reinforce the efforts of Member States to invalidate personal identification documents of persons who may join terrorist groups outside the European Union. It will substantially contribute to more effective border controls as when checks of travel documents are carried out at the external borders such documents must be seized and the person concerned will be detained. This forms part of the work carried out by the Commission, in close cooperation with the Member States, to reinforce border security within the existing legal framework in response to terrorist threats.

 

Commissioner for Migration, Home Affairs and Citizenship, Dimitris Avramopoulos, is currently in Riga to participate in discussions and present this decision at the informal Justice and Home Affairs Council on countering terrorism.

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22 janvier 2015 4 22 /01 /janvier /2015 07:50
Antiterrorisme: la Commission avance à son tour quelques pistes

 

21-01-2015 Pierre Benazet correspondant à Bruxelles - RFI

 

À Bruxelles, la Commission européenne a présenté ce mercredi 21 janvier ses premières pistes de réflexion pour améliorer la lutte antiterrorisme en Europe. Elles concernent la création d'un registre européen des passagers aériens (PNR) bloqué depuis 2011, une amélioration du fonctionnement de l'espace Schengen sur la libre circulation, ou encore la cybersécurité et la coopération entre les services de sécurité nationaux. Retour sur la conférence de presse prudente du premier vice-président de la Commission Frans Timmermans.

 

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19 janvier 2015 1 19 /01 /janvier /2015 08:50
photo European Parliament

photo European Parliament

 

19 janvier 2015 par Jean Quatremer - Coulisses de Bruxelles

« Ce qui nous hante, ce sont les erreurs commises par les Américains au lendemain du 11 septembre 2001 : le « Patriot Act », la zone de non droit de Guantanamo, la torture, etc. » Pour ce membre de la Commission européenne, « Robert Badinter a parfaitement défini le défi auquel nous devons faire face : répondre au  terrorisme sans pour autant créer la société voulue par les terroristes ». « L'Europe doit être unie pour défendre ses valeurs et ses libertés. Mais nos actions devront être guidées par la réflexion, et non par la peur », a déclaré à Libération Dimitris Avramopoulos, le commissaire chargé de la sécurité intérieure. Une position de principe partagée par le Parlement européen qu’il ne va pas être facile de tenir : la pression des Etats membres va s’accroitre d’ici au sommet européen du 12 février afin que l’Union renforce rapidement sa législation répressive au nom de la sécurité sans égard excessif pour les libertés publiques...

 

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17 janvier 2015 6 17 /01 /janvier /2015 18:50
La Commission européenne a renforcé sa sécurité après l'opération antiterroriste belge

 

16 janvier 2015 Romandie.com (AFP)

 

Bruxelles - La Commission européenne a indiqué vendredi avoir renforcé sa sécurité au lendemain de la vaste opération menée en Belgique contre une cellule jihadiste qui s'apprêtait à commettre des attentats.

 

La Commission a décidé d'augmenter son niveau d'alerte, a déclaré lors d'un point de presse une porte-parole, Mina Andreeva. Elle a précisé que cela passait notamment par l'accroissement des contrôles à l'entrée et des agents de sécurité.

 

C'est simplement une mesure de précaution. Nous n'avons aucune indication d'une menace spécifique contre les institutions européennes, a-t-elle assuré. Nous sommes en contact avec la police belge pour s'assurer que la sécurité est assurée, a-t-elle dit.

 

La Commission européenne avait déjà renforcé sa sécurité au mois de septembre après des informations sur des menaces jihadistes, tout en affirmant alors ne pas avoir d'éléments sur des menaces spécifiques contre ses bâtiments.

 

Le journal belge l'Echo avait alors affirmé que les autorités belges avaient déjoué plusieurs attentats par des jihadistes revenus dans le pays après avoir combattu en Syrie. La télévision publique néerlandaise NOS avait indiqué que la Commission européenne figurait parmi les cibles possibles.

 

Les bâtiments de la Commission abritent les bureaux des commissaires ainsi que plusieurs milliers de fonctionnaires européens.

 

La police belge a démantelé jeudi une cellule qui s'apprêtait à commettre des attentats contre des policiers. Quinze personnes ont été arrêtées, dont deux en France. L'opération a été marquée par un assaut de la police à Verviers (est). Deux suspects sont morts après avoir riposté à l'arme de guerre.

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8 janvier 2015 4 08 /01 /janvier /2015 16:35
Charlie Hebdo: l'UE cherche des défenses européennes contre les jihadistes

 

08 janvier 2015 Romandie.com (AFP)

 

Riga - Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker a annoncé jeudi à Riga son intention de proposer aux Etats membres un nouveau programme de lutte contre le terrorisme au lendemain de l'attentat meurtrier contre l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo à Paris.

 

Nous allons présenter un nouveau programme de lutte contre le terrorisme dans les semaines à venir, a-t-il annoncé au cours d'une conférence de presse avec Laimdota Straujuma, premier ministre de la Lettonie qui assure la présidence semestrielle de l'UE depuis le 1er janvier.

 

Il est encore trop tôt pour annoncer les détails, mais nous allons explorer un certain nombre de pistes, a-t-il précisé.

 

La Commission veut renforcer la collecte et l'échange d'informations au sein de l'UE, mais elle se heurte aux réticences des États et des élus européens.

 

Nous allons vérifier la qualité de la coopération entre les Etats membres, a relevé Jean-Claude Juncker. La lutte contre le terrorisme relève d'abord de la compétence de chaque Etat, mais il est évident que des interconnexions doivent être mises en place, a-t-il insisté.

 

La représentante de la diplomatie européenne Federica Mogherini a jugé urgent la mise en place d'un registre européen des données des passagers, un projet voulu par les États membres mais bloqué depuis 2011 par le Parlement européen.

 

Mme Mogherini a inscrit le renforcement des défenses européennes, en particulier face aux problèmes posés par les jeunes Européens enrôlés pour combattre en Syrie et en Irak à l'ordre du jour d'une réunion le 19 janvier à Bruxelles des ministres des Affaires étrangères de l'UE.

 

Elle préparera cette réunion avec le coordinateur européen pour la lutte contre le terrorisme Gilles de Kerchove, a précisé la Commission.

 

En matière de relations extérieures de l'UE, l'important est le travail avec les autres pays, notamment au Moyen Orient, a souligné Mme Mogherini.

 

J'étais en Irak et nous avons effectué un travail important et utile avec les autorités irakiennes pour que notre contribution contre Daesh (l'organisation de l'Etat islamiste) soit plus efficace et utile, a-t-elle expliqué.

 

Nous sommes convaincus qu'il faut séparer complètement les notions de terrorisme et d'Islam. Aucune religion ne peut être utilisée pour des actes aussi cruels et inhumains, a-t-elle insisté.

 

Mais le dossier est surtout du ressort des ministres de l'Intérieur et de la Justice qui se réunissent les 29 et 30 janvier à Riga.

 

Selon la Commission, ils devront notamment examiner les moyens de renforcer la coopération avec Europol et les autres agences européennes compétentes en matière de sécurité pour fluidifier l'échange d'informations, qui se heurte aux réserves des services de renseignements nationaux.

 

Les opposants au projet de PNR européen ne baissent toutefois pas la garde: je ne suis pas catégoriquement opposée à la collecte de données à des fins de sécurité, mais je demande que l'on fournisse au Parlement la preuve de la nécessité de collecter les données de tous les passagers,a expliqué à l'AFP leur chef de file, l'élue libérale néerlandaise Sophie Ind't Veldt.

 

Les ministres sont des cow-boys. Ils ne veulent pas de règles pour faire un contrepoids aux pouvoirs qu'ils réclament afin de garantir la protection des données, a-t-elle ajouté.

 

Dire qu'un PNR européen va permettre de suivre les mouvements des jeunes n'est pas sérieux. Si la directive est adoptée, il faudra des années pour sa mise en oeuvre. Ce n'est pas la réponse aux craintes de l'instant, a-t-elle soutenu.

 

Tous les experts nous disent qu'il faut davantage investir dans le renseignement et que les services secrets acceptent d'échanger leurs informations, a-t-elle conclu.

 

Près de 3.000 Européens se sont engagés au côté des mouvements islamistes radicaux en Syrie et en Irak. L'UE a de nombreux instruments pour les identifier, les suivre et les appréhender, mais leur mise en oeuvre s'avère difficile, notamment au vu des règles Schengen de libre-circulation.

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 13:50
Interconnexion des réseaux physiques en Europe étudié dans un rapport du Sénat.

Interconnexion des réseaux physiques en Europe étudié dans un rapport du Sénat.

15.12.2014 Le Fauteuil de Colbert

Une partie d'entre nous a pour plaisir, habitude ou constat savamment argumenté de dire que l'Union européenne n'est pas un acteur stratégique. Elle n'est pas non plus en déclassement mais sur la piste de la disparition stratégique. Cela, nous en avons entendu une version plus ou moins sophistiquée.

Il y a tout de même quelques faits qui invitent à reconsidérer la position de l'Europe dans le monde. La question de l'Europe de la défense et/ou défense européenne a peut être caché un positionnement de l'Europe sur des positions stratégiques clefs.

Partons d'un postulat : la Terre est un ensemble d'espaces naturels donnés. Selon le philosophe français Gilles Deleuze, il y aurait deux types d'espace : les striés d'un côté, les lisses de l'autre. Tous les espaces sont lisses à l'origine mais c'est l'action de la machine de guerre (la construction de l'Etat pour simplifier) qui permet à un espace de passer du lisse au strié.


Ainsi, l'Océan a toujours été un espace hostile pour l'homme. C'est par le développement des sciences, leur application à des véhicules nouveaux, leur mise en œuvre par des explorateurs qui a ouvert la voie de la navigation hauturière.

Outre cette maîtrise d'un espace naturel hostile à l'homme par nature (où il ne peut ni vivre, ni habiter sans artificialité), notons que pour transformer tous les espaces en milieu, l'être humain doit non pas établir des frontières (toujours utiles certes) mais surtout réticuler l'espace pour le maîtriser, le dominer.

L'espace donné passe du lisse au strié par l'action de le réticuler. Les réseaux sont les outils qui permettent de dominer l'espace.

Le cyberespace, lui, est le seul espace qui soit une construction entièrement artificielle. Réseaux de réseaux qui domine tous les autres réseaux, tous les autres espace.

Quelle est la place de l'Union européenne dans ce postulat ?

Premièrement, le mécanisme d'interconnexion en Europe est un plan pour interconnecter les réseaux européens afin de constituer un réseau européen. La Commission a pour ambition de connecter "tous les réseaux" sans distinction et de les orienter selon ses ambitions. Le plan est doté d'un confortable budget de 50 milliards d'euros.

Deuxièmement, la Commission européenne est accuser de rendre des décisions paradoxales à cause de son idéologique économique qui est stratifiée dans les traités. C'est par exemple l'interdiction faite à Aérospatiale et Alenia de se rapprocher de De Havilland car les trois sociétés auraient eu un monopole de fait dans les avions régionaux (alors que Boeing n'étaient sur aucune position dominante dans aucun secteur de l'aviation ou de l'espace militaire).

Mais les choses changent et une partie des députés européens semblent refuser le libre-échange idéologique d'une partie de l'Union européenne. Par exemple, une résolution d'eurodéputés appellent au démantèlement de Google considéré comme un oligopole nuisible à la concurrence (in fine, à l'émergence de concurrents européens). La Chine ne fait pas tellement différemment dans le cyberespace avec sa grande muraille numérique.

Troisièmement, l'Union européenne (qui n'est pas égale à l'Europe) s'intéresse à l'avenir de l'ICANN. Pour comprendre de manière rigoureuse les enjeux, il y a l'excellente contribution de Mme Dominique Lacroix dans "Penser les réseaux".

C'est à dire que l'Union européenne, tant par son Parlement que par sa Commission, a compris l'intérêt stratégique des réseaux et surtout de celui qui domine les autres : le cyberespace. Et là, au regard de ces enjeux, l'Union n'est pas absente. Même si cela mériterait un volontarisme politique plus poussé (pas inutile tant dans les institutions que dans les Etats membres).

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