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29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 07:50
photo Lockheed Martin

photo Lockheed Martin


20 avr. 2015 by Lockheed Martin

 

The British Army’s Warrior armoured vehicle demonstrated its firepower and fighting capability during successful firing trials in Scotland. The new turret and cannon, which has been designed and installed by engineers at Lockheed Martin UK's Ampthill site were tested during trials at Kirkcudbright ranges.

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:50
système SAMP/T - photo DGA

système SAMP/T - photo DGA

 

21/04/2015 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Une bonne nouvelle en cache une mauvaise. Si Varsovie a choisi les Caracal d'Airbus Helicopters (2 milliards d'euros), la Pologne a toutefois sélectionné Raytheon pour sa défense antimissile (4 milliards) au détriment de MBDA et Thales. Clairement, Varsovie a confié à Washington la commande la plus stratégique pour sa défense.

 

C'est officiel cette fois-ci. La Pologne a choisi pour de nouveaux "tests" les Caracal, les hélicoptères multirôles d'Airbus Helicopters, dans le cadre d'un appel d'offres estimé entre 2 et 2,3 milliards d'euros (50 appareils au lieu des 70 fixés par l'appel d'offre), a annoncé mardi le président polonais Bronislaw Komorowski. Une façon originale d'indiquer que le constructeur de Marignane est entré en négociations exclusives avec Varsovie. Et surtout de préciser élégamment que le Caracal a remporté la compétition face aux deux autres hélicoptères en compétition jusqu'ici, le S-70i de l'américain Sikorsky et l'AW149 de l'italo-britannique AgustaWestland.

"Le gouvernement a pris la décision politique de retenir pour tests l'appareil de la société Airbus", a déclaré à la presse Bronislaw Komorowski, à l'issue d'une rencontre avec la Première ministre polonaise, Ewa Kopacz.

Si Airbus Helicopters parvenait in fine à gagner un tel appel d'offre, ce serait la première fois que la Pologne passe une commande significative dans le domaine de l'armement à la France. Historique... Entre 2009 et 2013, la Pologne a par exemple commandé royalement à la France pour un total de 53,6 millions d'euros de matériels militaires. C'est peu et cela dure depuis de très nombreuses années.

La signature du contrat pourrait intervenir "en septembre" et les premiers hélicoptères devraient être livrés "à partir de 2017", a-t-on expliqué de source proche du ministère de la Défense, qui a estimé que la quantité d'hélicoptères pourrait être revue à la hausse. Enfin, Paris a démenti que la décision de Varsovie en faveur des hélicoptères français étaient liée à une promesse française de ne pas livrer les deux porte-hélicoptères de type Mistral à la Russie.

 

Les États-Unis choisis pour la défense antimissile

Paris n'a pas toutefois réalisé le grand chelem en perdant en parallèle une compétition dans la défense aérienne (Air defence). Peu d'observateurs estimaient d'ailleurs possible une victoire total de Paris sur Washington. Le président polonais Bronislaw Komorowski a donc annoncé que la Pologne ouvrirait des négociations avec les États-Unis qui visaient également à l'image de la France le grand chelem, pour finaliser l'appel d'offres des missiles."Les États-Unis visaient le grand chelem, ils ont mis une pression politique majeure au cours des derniers mois sur la Pologne", explique-t-on de source proche du ministre de la Défense.

Varsovie, qui avait accéléré cet automne le processus de sélection du fournisseur de son nouveau système de défense antimissile en raison des tensions liées à la situation en Ukraine, s'est donc employé à réaliser un équilibre transatlantique dans un contexte de montée des tensions avec la Russie. La Pologne, membre de l'Otan depuis 1999, s'est peu à peu rapprochée du reste de l'Europe ces dernières années. Surtout depuis que Barack Obama a réduit le bouclier de défense anti-missiles en Europe de l'Est. Depuis la fin de la Guerre froide, Varsovie entretenait auparavant des liens de défense et de sécurité étroits avec Washington.

 

La très belle offre de MBDA/Thales que Varsovie a refusé

Le ministère de la Défense polonais a précisé pour sa part que Varsovie avait approuvé sa recommandation de passer une commande de missiles Patriot de l'américain Raytheon au détriment d'un consortium tricolore formé par le missilier européen MBDA et Thales (système SAMP/T). Soit un possible contrat de l'ordre de 4 milliards d'euros, ce qui serait le plus gros marché public de l'histoire militaire de la Pologne. Surtout la Pologne a encore choisi les États-Unis, qui a réinvesti l'Europe de l'est avec la crise ukrainienne, pour le contrat le plus stratégique, sa défense antimissile.

"MBDA et Thales avaient une très belle offre qui était en cohérence avec les savoir-faire des deux groupes, regrette-t-on dans l'entourage du ministre. Nous avons le sentiment que cette offre a été sérieusement considérée par la Pologne. Mais il faut savoir d'où vient la Pologne, qui ne peut pas effacer comme cela en deux ans sa relation avec les États-Unis". Une très belle offre qui donnait la part belle à l'industrie polonaise. Bon élève, Eurosam a collé au plus près des demandes de la Pologne.

Ainsi, le GIE proposait le système SAMP/T, un système européen déjà opérationnel dans les pays de l'OTAN, donc compatible avec l'Alliance atlantique. Le SAMP/T bénéficie des dernières technologies, dont la capacité ATBM. En Turquie, faut-il rappeler qu'il est arrivé en deuxième position derrière le système chinois CPMIEC (China Precision Machinery Import-Export Corp.) mais devant les américains Lockheed Martin/Raytheon (PAC-3). D'ailleurs, ce sont les Polonais eux-mêmes qui avaient demandé à Eurosam de concourir alors que le GIE n'avait pas été invité à participer en 2013 au dialogue technique.

 

Une offre qui donnait la part belle à l'industrie polonaise

Contrairement à Raytheon, qui a fait le minimum, MBDA et Thales proposaient un partenariat de haut niveau à la Pologne via un transfert de technologies (ToT) très élevé qui concerne aussi bien le missile que les fonctions Commande et Contrôle, les radars, les lanceurs et les communications (développement, production, intégration, tests, maintenance, formation...). Ce qui aurait pu induire des milliers d'emplois à la clé pour Varsovie selon le degré du ToT négocié. Ils proposaient aussi un partenariat sur le long terme avec l'industrie polonaise, notamment la possibilité de rejoindre la feuille de route Aster grâce à la modernisation du système (Aster B1NT).

Concrètement si Eurosam avait gagné le contrat, les industriels français auraient signé des partenariats avec les groupes polonais Bumar PIT Radwar, Mesko et HSW filiales de la holding Polska Grupa Zbrojeniowa (PGZ). Des déclarations d'intention (Letter of Intent) avaient déjà été signées. Thales a déjà une coopération étroite avec Radmor sur les postes de radio PR4G fabriqués en Pologne, ou encore la technologie IFF qui fait l'objet d'une coopération entre Thales et Radwar.

Enfin, les deux partenaires au sein d'Eurosam donnaient, contrairement aux Américains, la maîtrise totale du système. Soit une indépendance opérationnelle de l'armée polonaise. Au-delà, la France proposait un partenariat stratégique avec un choix d'un système européen pour participer à la construction de l'Europe de la défense et ne pas reposer uniquement sur les États-Unis. Raté...

 

Airbus Helicopters remporte la mise

"Nous nous préparons maintenant pour les prochaines étapes de l'appel d'offres, a réagi Airbus Helicopters dans un communiqué. Nous coopérerons étroitement avec les forces armées polonaises, pendant la période des essais, afin de répondre à toutes questions et demandes et démontrer ainsi que le Caracal satisfait à l'ensemble des critères de l'appel d'offres et des besoins opérationnels". Dans le camp français, on s'attend à des recours des deux rivaux. "La procédure a été respectée", a-t-on expliqué.

Mais on explique dans l'entourage du ministre de la Défense, que le choix de Varsovie est "difficilement réversible" même si Airbus Helicopters "n'a pas encore gagné". Pourquoi un tel optimisme? Parce qu'au ministère, on estime que l'annonce a été faite par le président polonais, c'est donc "un peu plus qu'une étape technique", veut-on croire. D'autant que le Caracal a convaincu les Polonais, a-t-on insisté : "ils achètent un matériel dans la perspective d'un engagement militaire. Ils l'ont déjà vu fonctionner, sur le terrain et en exercice".

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27 avril 2015 1 27 /04 /avril /2015 16:50
Photo Daniel Orban – MIL.be

Photo Daniel Orban – MIL.be

 

23/04/2015 Stijn Verboven –  MIL.be

 

Une centaine de militaires du Bataillon de Chasseurs à Cheval participaient à l'exercice Saber Junction organisé en Allemagne du 14 au 30 avril. L'US Army en Europe veut, par le biais de cet exercice à grande échelle, préparer l'OTAN et ses pays partenaires, à des opérations offensives, défensives et de stabilité.

 

Au total, quelque 5 000 militaires provenant de 17 pays se sont rassemblés sur le terrain militaire d'Hohenfels. Ils disposent d'un mois afin de mettre en pratique leurs connaissances tactiques contre les troupes américaines. Celles-ci endossent, entre autres, le rôle de l'ennemi lors de Saber Junction.

 

Le Bataillon Chasseurs à Cheval fournit un appui au combat par la collecte d'informations transmises ensuite aux unités de combat. Raison pour laquelle, ce corps est également connu en tant que bataillon ISTAR pour intelligence, surveillance, target acquisition and reconnaissance.Normalement, et selon leur devise « voir sans être vu », son personnel essaie de ne pas être détecté par l'ennemi. À Hohenfels, les hommes doivent s'adapter aux méthodes de travail des Américains avec lesquels les observateurs doivent engager directement le combat.

 

« Cet exercice nous oblige à réagir de manière agressive », explique le lieutenant-colonel Francis Pierard, commandant du Bataillon de Chasseurs à Cheval. « C'est nécessaire afin de garder nos jeunes sur le qui-vive. Se battre n'est plus notre mission principale mais nous devons nous y préparer en cas de besoin. Cela ne signifie pas que nous changerons radicalement notre mode de fonctionnement parce que je suis satisfait de la manière dont les Belges travaillent actuellement. »

 

L'exercice se poursuit sur le terrain jusqu'au 27 avril. Le 30 avril, tous les militaires rentreront au pays.

Photo Daniel Orban – MIL.be
Photo Daniel Orban – MIL.bePhoto Daniel Orban – MIL.bePhoto Daniel Orban – MIL.be
Photo Daniel Orban – MIL.bePhoto Daniel Orban – MIL.be
Photo Daniel Orban – MIL.bePhoto Daniel Orban – MIL.be

Photo Daniel Orban – MIL.be

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 16:30
Passex franco-américaine pour le « Cassard »

 

10/04/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Le 7 au 8 avril 2015, la frégate antiaérienne Cassard, déployée en Méditerranée depuis le 26 mars, a conduit aux larges des côtes de Chypre, une série des manœuvres conjointes avec les unités de la marine américaine présentes dans cette zone.

 

Le Cassard a réalisé des exercices avec les deux destroyers de l’US Navy l' USS Laboon et l' USS Ross, qui sont, au même titre que les bâtiments français, des acteurs incontournables dans la  Méditerranée, région d’intérêt stratégique pour la France. L’objectif de ces manœuvres était le renforcement de l’interopérabilité des deux marines alliées.

 

Transferts de personnels, tirs d’artillerie conjoints, évolutions tactiques et appontages et décollages de l’hélicoptère français Panther sur les bâtiments américains ont rythmé ces deux journées. Au cours de ces activités, notamment par la précision de leur tir, les équipages français et américains ont pu constater qu’ils avaient un savoir-faire et des procédures très similaires, permettant d’obtenir des performances équivalentes.

 

Ce type de coopération permet aussi de partager avec nos alliés dans cette région des procédures communes, mais aussi des informations, analyses des menaces et retour d’expériences différents qui participent pleinement à l’appréciation générale de situation. Cet entraînement a aussi renforcé l’interopérabilité et les liens de confiance qui existent depuis des décennies entre les deux marines amies.

 

Déployée en Méditerranée orientale depuis le 20 mars, la frégate Cassard y a relevé la frégate La Fayette. Dans cette partie de la Méditerranée traversée par d’importants flux maritimes et dont plusieurs pays riverains connaissent de graves tensions, le Cassard prend part à la sécurisation et au contrôle des voies maritimes et participe au recueil de renseignement et à l’entretien de la connaissance générale de la zone.

 

Au cours de leurs missions en méditerranée orientale, les bâtiments français conduisent régulièrement des entraînements avec les pays riverains, mais également avec des navires alliés présents dans la zone afin d’améliorer notre interopérabilité et d’être en mesure d’effectuer des missions opérationnelles conjointes ou en coalition.

Passex franco-américaine pour le « Cassard »
Passex franco-américaine pour le « Cassard »
Passex franco-américaine pour le « Cassard »
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9 avril 2015 4 09 /04 /avril /2015 12:20
Le major général de l’armée de l’air rencontre son homologue américain

 

08/04/2015 Armée de l'air

 

Les 30 et 31 mars 2015 l’état-major de l’armée de l’air a organisé les Operator Engagement Talks à Paris.

 

Cette réunion d’état-major entre la France et les États-Unis avait pour objectif de tracer les grandes lignes de la coopération bilatérale entre les deux nations. Le partage des visions stratégiques, les systèmes de combat futur, la cyber défense, les engagements conjoints sur les théâtres d’opérations (au Levant et en Afrique), ainsi que les travaux sur les drones Reaper étaient notamment au centre de discussions riches.

 

Le général de corps aérien Antoine Creux a ainsi accueilli la délégation américaine en provenance de Washington DC et de Ramstein, emmenée par le Lieutenant général Wolters, Deputy chief of staff for operations à l’United States Air Force et le Lieutenant général Roberson, commandant la troisième Air Force, lors de deux journées dont l’objectif était également d’entretenir les liens qui unissent la France et les États-Unis.

Le major général de l’armée de l’air rencontre son homologue américain
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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 16:55
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

1 Avril 2015 Source : Marine nationale

 

À l’occasion du passage du groupe aéronaval américain articulé autour du porte-avions Théodore Roosevelt, les Rafale de la flottille 12F et les F18 américains ont réalisés des vols d’entraînement conjoint.

 

Samedi 28 mars au matin, les pilotes et les techniciens des  deux pays s’activent sur la base de Landivisiau et sur le porte-avions Roosevelt. Des manœuvres se préparent au large de Ouessant. Les moteurs rugissent, prêts au combat simulé.

 

Deux Rafale Marine décollent de la base pour rejoindre deux F18 catapultés du porte-avions américain dans une zone prévue pour un entraînement au combat aérien.

 

L’après-midi, l’entraînement s’intensifie,  quatre Rafale décollent pour un exercice tactique contre quatre F18.

 

Ces manœuvres s’inscrivent dans le cadre de la coopération franco-américaine. Depuis de très nombreuses années, une amitié particulière lie l’aéronautique navale française et américaine.

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28 mars 2015 6 28 /03 /mars /2015 12:50
Holloman - Impressionen


26 mars 2015 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 03/2015 15E10507

 

Auf der Holloman Air Force Base findet die Waffensystemausbildung auf dem Tornado statt. Neun Monate lang lernen die jungen Piloten und Waffensystemoffiziere, das Kampfflugzeug zu beherrschen. Die Trainingsmöglichkeiten in New Mexico sind ideal: der militärische Flugraum ist so groß wie Thüringen und auch das Wetter ist meistens perfekt, denn in Holloman scheint an 300 Tagen im Jahr die Sonne.



Musik: "Tactical Invasion" (Concors) / Universal

 

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 13:50
USS Theodore Roosevelt on visit to the UK - photo Sky News

USS Theodore Roosevelt on visit to the UK - photo Sky News



24 mars 2015 Royal Navy

 

As images of US-UK partnership working goes they don’t come much stronger than this – the USS Theodore Roosevelt anchored off Stokes Bay near Gosport.

The 100,000 tonne ship and her escort – the destroyer Winston S Churchill – will be in Portsmouth waters until the end of the week as the carrier’s first port of call on her global deployment.

With a 4.5 acre flight deck that can launch aircraft every 30 seconds the USS Theodore Roosevelt has a crew of 5,000 sailors, many of which were keen to offer advice to Royal Navy sailors for when they join the UK’s new aircraft carriers – HMS Queen Elizabeth and HMS Prince of Wales.

Lt Courtney Callaghan said: “I am really excited about the news that the Royal Navy will get two new aircraft carriers. There is nothing like serving on a carrier – it is a completely different environment to other ships. My top tip would be to really learn about your department, learn who is in your department and how it integrates with the others on the ship. It is a huge space to learn your way around so they need to take their time and just enjoy it.”

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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 08:50
USS Theodore Roosevelt and its accompanying warships - photo US Navy

USS Theodore Roosevelt and its accompanying warships - photo US Navy

 

22 March 2015 from Ministry of Defence and The Rt Hon Michael Fallon MP

 

The 100,000 tonne aircraft carrier USS Theodore Roosevelt has anchored off Portsmouth on a round-the-world deployment.

 

The giant aircraft carrier and her escort, the destroyer Winston S Churchill, arrived on Sunday for five days on the first stop of a world wide deployment.

The visit forms part of an ongoing partnership between the US and UK on carrier operations in the run-up to the Royal Navy’s two new 65,000-tonne ships – HMS Queen Elizabeth and Prince of Wales – entering service.

Among the 5,226 crew on board the carrier are six Royal Navy aircraft handlers who are honing their skills ahead of serving on board HMS Queen Elizabeth which is due to arrive in Portsmouth in 2017.

Another crew member is on board the support ship Winston S Churchill, 27 year-old Royal Navy officer Lieutenant Lynsey Sewell is the ship’s navigating officer. The position is always filled by a UK navigator to honour the ship’s British connection.

Senior officers on board both ships will call on senior Royal Navy officers during the visit to discuss recent global operations and get an update on the UK’s carrier programme.

Defence Secretary Michael Fallon, said:

The USS Theodore Roosevelt’s visit shows yet again that UK/US relations are as close as ever. Ten days ago, I was the first of his counterparts to meet incoming Defence Secretary Ash Carter.

Having the Roosevelt in Portsmouth today is yet another example of the world’s broadest, deepest and most enduring defence relationship at work. I’m thrilled to be going aboard today to welcome the crew personally.

The Royal Navy’s First Sea Lord, Admiral Sir George Zambellas, said:

It is excellent to see US Navy carrier steel in Portsmouth. And in barely two years we will see UK carrier steel here too.

We warmly welcome the Theodore Roosevelt Carrier Strike Group - a reflection of the close partnership between our nations and navies, and the value of credible seapower in support of our shared national interests.

Across the spectrum – from Type 45 destroyers providing area air defence for US carriers launching air strikes against ISIL, to generous US support as we regenerate our own carrier strike capability – our common bond has never been richer.

USS Theodore Roosevelt will anchor off Stokes Bay near Gosport on Sunday at 17:00 and the USS Winston S Churchill arrives at Portsmouth Naval Base at approximately 13:30. Both leave Portsmouth on March 27.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 12:50
SNMG2 Completes Operations in the Black Sea

 

20 Mar. 2015 by NATO

 

NATO ships assigned to Standing NATO Maritime Group Two (SNMG2) completed their participation in joint NATO training exercises and maritime situational awareness operations in the Black Sea today.

 

Led by Rear Adm. Brad Williamson (USA N), SNMG2 is currently comprised of the flagship USS Vicksburg (CG 69), HMCS Fredericton (FFH 337), TCG Turgutreis (F 241), FGS Spessart (A 1442), and ITS Aliseo (F 574).

 

"The planning, coordination and execution of these exercises allowed the integration of SNMG2 and other maritime Alliance assets in a multi-threat environment," said Lt. Cmdr. Ruiz Rodriguez (ESP N), SNMG2 Staff Communications Officer.  "The training provided us with outstanding results and allowed us to showcase our integration for key leadership across the Alliance."

 

SNMG2 was deployed to the Black Sea to reassure allies in the region of the Alliance’s collective defence and resolve. Throughout the month of March, SNMG2 participated in three separate exercises designed to improve interoperability and enhance rapid integration of Alliance maritime assets.

 

"Working with our Allied navies helps us improve our teamwork and interoperability," said Ensign Andrew Hanna, Vicksburg’s 1st Lieutenant. "The experience that we gained from these exercises will help us become more proficient both as operators and as a unit."

 

The force trained on anti-air, anti-submarine and anti-surface warfare procedures during separate exercises with the Turkish, Bulgarian and Romanian navies. The ships also responded to simulated small boat attacks and maneuvers with the ships in close proximity to one another.

 

"I am truly proud of the performance of all SNMG2 Sailors over the last several weeks," said Williamson. "The hard work they put in during this period allowed for invaluable training with our Allies on the Black Sea. The rapid integration we were able to achieve with three different navies is a true testament to the strength of the Alliance."

 

While in the Black Sea, SNMG2 made port visits to Varna, Bulgaria and Constanta, Romania. During each visit, the Sailors and leadership of the group interacted with key decision-makers both professionally and personally. The crews from all ships were also afforded time to explore the region and experience the rich history and culture of the Alliance nations bordering the Black Sea.

 

Since Williamson assumed command of SNMG2 in July 2014, the group deployed to the North American coast where it participated in three high-tempo exercises with multiple Allied nations.

 

Upon completion of their North American deployment, the ships of SNMG2 returned to the Mediterranean and again engaged in complex multinational exercises with Allied nations, including one of NATO’s largest exercises and the naval response force certification event for 2014; exercise Noble Justification. SNMG2 also completed several surges in support of NATO’s anti-terrorism mission, Operation Active Endeavour.

 

The group will resume patrols in Mediterranean, contributing to maritime situational awareness in the region.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 12:50
54 millions de $ à DSS pour gérer des stocks prépositionnés US en Allemagne

 

22.03.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Après le retour en Europe des Abrams et des Bradley, le soutien !

 

Le Pentagone a annoncé vendredi soir que le soutien des unités mécanisées récemment déployées en Allemagne (voir mon post ici) va être externalisé. Defense Support Services a décroché un premier contrat d'un an, d'une valeur de 54 millions de $.

DSS, fondée en 2004 par Lockheed Martin et Day & Zimmermann, appartient depuis 2011 à Pacific Architects and Engineers Incorporated (PAE). Lire ici un communiqué de presse de PAE.

La prestation aura lieu sur la base aérienne de Coleman Barrcks qui devait fermer. Mais en février dernier, il a été annoncé (lire ici) que ces installations vont rester actives et accueillir les équipements de la brigade blindée US tournante déployée dans le cadre de l'U.S. Army Regionally Aligned Forces. 800 véhicules y seront stockés.

 

L'avis:
 

Defense Support Services LLC, Mannheim, Germany, was awarded a $54,036,577 firm-fixed-price contract for maintenance and logistical support for the Army Prepositioned Stock for the European Activity Set equipment at Coleman Barracks, Mannheim, Germany. Funding and work location will be determined with each order with a completion date of March 31, 2016. Bids were solicited via the Internet with one received. Army Contracting Command, Kaiserslautern, Germany, is the contracting activity (W564KV-15-D-0005).

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 12:50
U.S. Black Hawks in Iraq. Photo:U.S. Department of Defense/Army Sgt. 1st Class Antony Joseph.

U.S. Black Hawks in Iraq. Photo:U.S. Department of Defense/Army Sgt. 1st Class Antony Joseph.

 

LODZ, Poland, March 20 By Richard Tomkins (UPI)

 

Sikorsky Aircraft and PZL Mielec promise to invest $200 million in Polish Military Aviation Works facilities if they win the contract.

 

Sikorsky Aircraft and its Polish subsidiary will invest in Polish Military Aviation Works facilities if awarded a government contract for new military helicopters.

 

PZL Mielec said the investment would be nearly $200 million and establish service and repair units for UH-60 Black Hawk helicopters in plants of Polish Military Aviation Works, or WZL-1, in the cities of Lodz and Deblin.

 

"For WZL-1 it will be a technological revolution," said PZL Mielec. "Above all, it is the acquisition of new technology and competence in the field of aircraft service and repairs, replacement of machines and devices, and most importantly a move away from the current 'Soviet' approach to the service of aviation equipment and replacing it with 'Western' methodology."

 

"The acquired competences are also the chance for WZL-1 to join to the global support and service network of Sikorsky Aircraft and achieve in the future opportunity for providing improvements and modernization to the worldwide fleet of Black Hawk helicopters."

 

The Polish military plans to acquire as many as 200 helicopters -- transport as well as combat -- in the coming years to modernize its aviation capabilities.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 09:30
Coalition Airstrikes Hit ISIL in Syria, Iraq

 

WASHINGTON, March 21, 2015 – DoD News

 

U.S. and coalition military forces have continued to attack Islamic State of Iraq and the Levant terrorists in Syria and Iraq, Combined Joint Task Force Operation Inherent Resolve officials reported today.

Officials reported details of the latest strikes, which took place between 8 a.m. yesterday and 8 a.m. today, local time, noting that assessments of results are based on initial reports.

 

Airstrikes in Syria

Bomber aircraft conducted three airstrikes near Kobani, destroying nine ISIL fighting positions, one ISIL vehicle, one large ISIL machine gun, and one ISIL machine gun.

 

Airstrikes in Iraq

Attack, fighter, and remotely piloted aircraft conducted seven airstrikes in Iraq:

-- Near Mosul, two airstrikes destroyed one ISIL storage facility and neutralized one ISIL rocket site, one ISIL RPG position, one ISIL large machine gun, and one ISIL mortar.

-- Near Kirkuk, one airstrike destroyed one ISIL fighting position, one ISIL tank and one ISIL excavator.

-- Near Hit in Anbar Province, one airstrike struck an ISIL tactical unit.

-- Near Ramadi, one airstrike destroyed an ISIL building.

-- Near Taji, one airstrike destroyed two ISIL armored vehicles.

-- Near Beiji, one airstrike destroyed two tactical units.

 

Part of Operation Inherent Resolve

The strikes were conducted as part of Operation Inherent Resolve, the operation to eliminate the ISIL terrorist group and the threat they pose to Iraq, Syria, the region, and the wider international community. The destruction of ISIL targets in Syria and Iraq further limits the terrorist group's ability to project terror and conduct operations, officials said.

Coalition nations conducting airstrikes in Iraq include the United States, Australia, Belgium, Canada, Denmark, France, Jordan, the Netherlands and the United Kingdom. Coalition nations conducting airstrikes in Syria include the United States, Bahrain, Jordan, Saudi Arabia and the United Arab Emirates.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 08:50
MFoCS systems photo DRS technologies

MFoCS systems photo DRS technologies

 

March 20, 2015 By Tom Kington - Defense News

 

ROME — After hinting for months that he would consider selling DRS, Finmeccanica CEO Mauro Moretti said on Thursday he was taking stock of the firm's improving results and putting off all decisions until September.

Moretti first suggested last summer he could sell the US electronics unit that Finmeccanica bought in 2008. Then, in January, he told analysts that he would seek a partner to help run the unit, while selling off activity worth €200 million (US $214.6 million), including DRS' Aviation and Logistics, as well as Training Communications and Network solutions units.

At the time, Moretti said DRS' volumes had halved since Finmeccanica bought the firm for $5.2 billion, citing slowing US defense spending.

There were also, he said, "Clear difficulties managing the business effectively as a true domestic player if you are not American."

After finding a partner, Moretti said, "We will look at longer term options." Analysts at the time said the partnership could be a prelude to selling.

But on Thursday, at a meeting with analysts to discuss Finmeccanica's 2014 results, Moretti appeared more upbeat about DRS.

 

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 08:30
'No Turning Back' for IMI Sale

 

March 21, 2015 By Barbara Opall-Rome – Defense News

 

TEL AVIV — Israel has passed the point of no return in its plans to sell Israel Military Industries (IMI) to the highest qualified bidder by the end of this year, according to the man charged with overseeing privatization of the nation's oldest defense firm.

"There's no turning back … We're now in a process that won't be stopped," said Ori Yogev, head of the Government Companies Authority (GCA).

After decades of discussion and short-lived privatization plans, the government formally published its request for bids this month.

By autumn, the government aims to announce the winning bidder or consortium of investors in IMI Systems, a restructured, debt-free, advanced technology-oriented spinoff of IMI, an 82-year-old firm that predates Israeli independence.

Up to 90 percent equity in the new firm is being offered to eligible foreign investors, with transaction closing slated by the end of December.

In an interview shortly before last Tuesday's election, Yogev said neither the current lame duck government nor the one to be formed under fourth-term leadership of Prime Minister Benjamin Netanyahu are interested or even capable of halting the process.

"We have the force of a formal government decision driving this and there is consensus among all the political players," he said.

"There won't be a new defense minister who can do anything differently. We would need a new prime minister, finance minister and defense minister to jump in and battle the consensus, and that simply won't happen."

In April, the GCA, IMI management and advisers from Stifel, Nicolaus & Co. — a US-based brokerage and investment banking firm hired by the government to assist in the sale — will embark on a road show aimed at cultivating interest among prospective buyers in the US and possibly Europe.

Candidates have until May 15 to notify the government of their interest, after which they will be screened by the Israeli Defense Ministry to access GCA's data of IMI financials, technology development programs and backlog of orders. Access to GCA's data room will require a $1.5 million bank guarantee.

"At this stage, the [bank guarantee] allows preliminarily certified candidates into the data room where they'll see the entire agreement, closing schedules and all they need to conduct due diligence. Then, if they decide they really want to bid, candidates will undergo a final screening by MoD to determine eligibility," Yogev said.

Under the closure of sale process, MoD-cleared candidates have until mid-September to submit bids, along with a prerequisite $8.5 million bank guarantee. The government plans to sell IMI to the highest bidder, with transaction closing slated by the end of the year.

"In the meantime, it could be that some of the international and local parties may want to join forces, since the government is requiring an Israeli partner with at least 10 percent equity," Yogev said.

He noted that the government retains the option to negotiate a best and final offer, should offers fall short of IMI's assessed value of some $600 million.

He confirmed locally published accounts that the government has subsidized IMI to the tune of 2.5 billion shekels (US $620 million) over the past decade, primarily to cover pension expenses of employees long absent from company rosters.

"We are taking all the problems of the past and leaving them in the government's hands," Yogev said.

"All the agreements are signed. More than 1 billion shekels have been budgeted to prepare for this privatization… Already 800 workers have left IMI and there is a plan for a few hundred more during the course of the year," Yogev said.

"The company we're offering is debt-free and cleansed of all legal claims. It's a company with a rich heritage that boasts a record backlog of more than $2 billion based on fully transparent and internationally accepted accounting procedures," Yogev said.

 

Vital Strategic Asset

Designated by the government a vital strategic asset, the new firm will remain an Israeli company, managed by Israeli nations and subject to Israeli laws and Defense Ministry security procedures.

According to data posted on the GCA's website, candidate investors will be disqualified if they are: "a hostile state; a citizen or resident of a hostile state; a corporation that was signed or whose center of business is in a hostile state; a corporation controlled by a hostile state or citizen and/or resident of a hostile state; or a foreign state."

The company will be sold as a single entity apart from heavy rocket propulsion systems and other classified programs that will remain in government hands under a new company, called Tomer, to be managed by MoD.

Yogev estimates that all but "a few hundred million shekels" of IMI's $2.125 billion backlog and 380 of its 2,700-strong workforce will be transferred to state-owned Tomer.

"There's a small, but very important part of IMI that we will not transfer to private ownership. But Tomer will not compete with the privatized IMI. On the contrary, Tomer has a strong agreement with IMI to cooperate in future. The new IMI will produce for Tomer and will be a market for some of its technologies," he said.

IMI Managing Director Avi Felder noted that the new company up for sale has undergone a significant restructuring and efficiency streamlining, with hundreds of millions of shekels invested in upgraded infrastructure and new product lines.

"At the beginning of 2015, IMI realigned its corporate operating structure to better serve a shift in customer demand from individual products to comprehensive defense solutions. In the process, we've reduced redundancies across divisions," he said.

"We enjoy a global customer base that spans Europe, Asia and the Americas, along with decades of close cooperation with the Israel Defense Forces, the US military and NATO forces," Felder said.

He noted that sale of the firm includes 85 percent of Ashot Ashkelon, a provider of jet engine shafts, drive and suspension systems; as well as 100 percent of IMI's Anti-Terror Academy.

"We're well positioned across a very focused and value-added spectrum of the defense and homeland security market," Felder said.

According to the GCA's website, IMI streamlined its operations from five divisions with 11 units into three divisions — firepower, maneuverability and small caliber ammunition — with five customer-oriented business units.

GCA noted that the firm routinely invests some $110 million in Israeli government- or customer-funded research and development and is now operating under high environmental, health and safety standards as required by Israeli law.

Recent awards include a $660 million, five-year contract to Israel's MoD for advanced tank rounds and munitions and another $150 million in Israeli MoD replenishment of weaponry expended in last summer's Protective Edge war in Gaza. Additionally, GCA listed another $700 million in unspecified export contracts as part of IMI's backlog.

"At the beginning of 2016, IMI is set to operate as a leading international defense company under private ownership," said retired Israeli Maj. Gen. Udi Adam, IMI's chairman.

"As a private company, IMI will have more managerial flexibility to maximize existing capabilities and fortify future competitiveness on the global market," he added

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 07:40
Otan/Bouclier antimissile: un ambassadeur russe menace le Danemark

The Danish HDMS Hvidbjoernen (F 360), British HMS Chatam (F 87), and U.S. guided missile cruiser USS Cape St. George (CG 71) cruise in formation during the joint combined exercise BALTOPS 2002 - photo US Navy

 

Copenhague, 21 mars 2015 Marine & Océans (AFP)

 

L'ambassadeur russe au Danemark a averti samedi que la marine danoise serait visée si ce pays participait au système de bouclier antimissile de l'Otan, une déclaration jugée "inacceptable" par Copenhague.

 

"Je ne pense pas que les Danois comprennent parfaitement les conséquences de leur éventuel ralliement au système de défense promu par les Etats-Unis", a écrit l'ambassadeur Mikhail Vanin dans un article d'opinion paru dans le quotidien danois Jyllands-Posten.

 

"Si cela arrive, les navires de guerre danois deviendront les cibles des missiles nucléaires russes", a-t-il ajouté.

 

La Russie s'oppose au bouclier antimissile de l'Otan, lancé en 2010 et prévu pour être complètement opérationnel en 2025. Il vise à déployer des intercepteurs de missiles et de puissants radars en Méditerranée, Pologne et Roumanie.

 

Le Danemark a prévu de fournir une ou plusieurs frégates équipées de systèmes de radars antimissiles perfectionnés.

 

Le ministre des Affaires étrangères danois, Martin Lidegaard, a qualifié les propos de l'ambassadeur de "rhétorique inacceptable", "complètement hors de propos". "Personne ne devrait faire de menaces aussi sérieuses", a-t-il déclaré à l'agence de presse Ritzau.

 

Ces déclarations sont "très menaçantes et inutiles" puisque le bouclier antimissile est seulement une "alarme anti-intrusion", a commenté de son côté la présidente de la commission des Affaires étrangères au parlement danois, Mette Gjerskow.

 

"C'est une façon d'accentuer l'escalade verbale entre la Russie et l'Otan (...) mais ça ne change rien au fait que nous n'avons pas peur", a assuré à l'AFP Mme Gjerskow, estimant que les propos de l'ambassadeur s'adressaient aussi à l'opinion publique russe.

 

Les relations entre la Russie et les pays scandinaves se sont tendues ces dernières années avec la multiplication d'incursions de l'aviation militaire russe dans la région baltique.

 

Présenté comme une protection contre l'Iran ou la Corée du Nord, le projet de bouclier antimissile est depuis plusieurs années un grand sujet de discorde entre l'Otan et la Russie, qui le perçoit comme une menace pour sa sécurité.

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22 mars 2015 7 22 /03 /mars /2015 07:30
Joint statement after today's discussion on nuclear negotiations with Iran

 

London, 21/03/2015 EEAS ref 150321_02_en

 

We, the Foreign Ministers of France, Germany, the United Kingdom and the United States, together with the EU High Representative, met this afternoon to review progress in the nuclear negotiations with Iran.

 

We agreed that substantial progress had been made in key areas although there are still important issues on which no agreement has yet been possible. Now is the time for Iran, in particular, to take difficult decisions. Our negotiators, together with those from China and Russia, will resume meetings with Iran next week in Lausanne.

 

We reaffirmed that we are all equally committed to finding a solution that ensures that Iran’s nuclear programme remains exclusively peaceful in line with its stated commitment. Any solution must be comprehensive, durable and verifiable. None of our countries can subscribe to a deal that does not meet these terms.

 

These negotiations are a shared effort among the E3+3 coordinated by the EU. Experts in different disciplines from every member of the group are contributing in depth to our coordinated negotiating positions and this coordination, as well as multiple bilateral talks with Iran, will continue to be a vital part of achieving success.

 

We are at an important moment in the negotiations. If we are able to resolve all the main issues, technical work will follow to convert a framework into a detailed text.

 

We will all continue to work together with unity of purpose to secure a successful outcome.

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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 21:20
USS Carl Vinson & FS Charles de Gaulle in the Northern Arabian Gulf photo US Navy

USS Carl Vinson & FS Charles de Gaulle in the Northern Arabian Gulf photo US Navy

 

March 19, 2015 Defense news (AFP)

 

WASHINGTON — Once a source of irritation for the United States, France has nudged aside Britain to become the US military's key European partner.

The growing ties between the two militaries were on display this month when France's top military officer, Gen. Pierre de Villiers, hosted his US counterpart, General Martin Dempsey, aboard France's aircraft carrier, the Charles de Gaulle.

The French flagship, which arrived in the Gulf in February to take part in US-led air strikes on the Islamic State group, is operating under US command — a first for the French naval forces.

During the carrier's mission, US F-18 fighter jets have touched down on the deck of the De Gaulle and French Rafale fighters have visited American vessels.

On the deck of the carrier, the acrimony that plagued US-French relations 12 years ago over the American invasion of Iraq seemed a distant memory.

The new relationship is reflected in the warm rapport between the top generals, Dempsey and de Villiers, who have forged an "unmistakable" bond, according to Dempsey's spokesman, Col. Ed Thomas.

"That trust has influenced French and American officers many levels down," he said.

US commanders were also grateful when France took the lead in military operations against Islamist extremists in the Sahel region of Africa, with US forces providing logistical support and drones to back up the effort.

"I think it is quite clear that this is a significant new development," said author Linda Robinson of the RAND Corporation think tank.

"France is coming to the fore in a number of venues because their interests are aligning with US interests."

 

Activist Ally

One French officer boasted to AFP: "France at the moment is the most activist, most engaged European ally."

Over the past decade, France initially sought defense partners inside the European Union but found itself frustrated with Germany's more cautious view of military power.

Paris then promoted a partnership with the British military, but the much-touted effort proved disappointing, said Chris Chivvis, a former Pentagon official.

"In the last two-and-a-half years or so, there's been an increasing shift toward looking to cooperate with the United States," Chivvis said.

The evolution began with France's decision in 2009 to join NATO's integrated command structure, an acknowledgement by Paris that it needed allies to mount operations.

And on crucial security issues, France — even more than Britain — has recently found itself in agreement with the United States.

France played a leading role in the 2011 air war in Libya and adopted a tough stance on Iran's nuclear program that resembles and even goes beyond Washington's view.

In 2013, France — not Britain — stood alone with Washington in support of possible military action against the Syrian regime over its use of chemical weapons.

And last year France quickly signed up to join the air campaign against the IS group in Iraq.

The trend, through both conservative and socialist governments in France, has been a relatively "hawkish" line, Chivvis said.

More than anything, France's swift intervention in Mali in 2013, which halted an alarming advance by Islamist extremists, made an impression at the Pentagon.

"It surprised the Americans," a French diplomat said.

The Mali operation, involving more than 4,000 troops, was a "watershed," Robinson said. It conveyed that France could be relied on to check terror threats in northwest Africa.

France's robust posture coincides with the Obama administration's recognition that the United States cannot always be in the lead and wants allies to help share the burden.

"The Americans need partners that have capabilities and the will to engage and project military power," the French diplomat said.

 

France Over Britain?

Britain, meanwhile, long seen as America's closest military ally, is struggling to cope with intense budget pressures that have drastically scaled back its forces.

The long wars in Iraq and Afghanistan have taken a toll on British hardware and on public support for more foreign missions.

British commanders are warning the cutbacks could gut the force, and US officials have made known their concern that it would no longer be an effective ally in expeditions abroad.

Although France has an aircraft carrier, and Britain has none while it waits for construction of new ships, the two countries' forces remain roughly equivalent.

And Paris faces similar constraints on its military budget.

But it is France's willingness to deploy troops swiftly into harm's way that has set it apart from Britain in the past few years.

That does not mean that the so-called US "special relationship" with Britain has been replaced with a new entente cordiale.

The partnerships are "different in nature," Chivvis said, and US and British forces and intelligence services have been collaborating for decades.

That level of integration, he said, "is much tighter than the US-France relationship is going to be any time soon, if ever."

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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 12:55
EGIDE déploie sa présence commerciale à l’international

 

Trappes, Bollène et Cambridge, le 20 mars 2015 – EGIDE

 

Egide confirme le nouvel élan de sa politique commerciale avec le déploiement de son réseau à l’international et annonce la signature de 3 nouveaux partenariats en Italie, Israël et Amérique du Nord.

 

Aujourd’hui, le Groupe déploie activement son offre de produits en Europe et aux Etats-Unis via son site français de Bollène et le site de Cambridge (MD) aux Etats-Unis, en s’appuyant sur l’excellence reconnue de ses produits et sur la fiabilité des solutions innovantes qu’il propose. Egide s’adosse également sur un réseau de représentants commerciaux aux Etats-Unis, en Chine et en Inde.

Dans le cadre de son plan stratégique 2018, le Groupe Egide complète aujourd’hui sa présence commerciale dans le monde par la signature de trois nouveaux contrats de représentation couvrant :

• l’Italie, avec Consystem,

• Israël, avec Marlin Systems,

• les Etats-Unis (Alabama, Floride et Géorgie), avec Robert Duke Inc.

Ces trois nouveaux partenaires ont été choisis pour la qualité de leur réseau, leur compréhension des marchés et des besoins des clients existants d’Egide mais également de ceux des clients potentiels dans leur zone géographique respective.

 

James F. Collins, Directeur général du groupe, commente :

« Aujourd’hui, Egide ne cesse d’innover et investit une part significative de son chiffre d’affaires dans la R&D pour concevoir, fabriquer et vendre des boitiers hermétiques innovants à de grands donneurs d’ordres français et internationaux des filières de l’industrie aéronautique et spatiale, de la défense, du transport et des télécommunications. En matière commerciale, nous diversifions et déployons progressivement notre réseau de façon ciblée en misant sur l’élargissement de nos champs de compétence en France et à l’étranger. »

Il ajoute :

« Par le biais de ces nouveaux partenariats commerciaux, le groupe Egide adapte sa stratégie aux spécificités de chaque pays où il est présent ou représenté, pour répondre au mieux aux besoins locaux. Nous devons être capables de répondre aux demandes de nos clients existants partout dans le monde. L’internationalisation de notre présence est incontournable. »

 

Retrouvez toute l’information sur Egide : www.egide.fr

 

A propos d’Egide

Egide est un groupe d'envergure internationale, spécialisé dans la fabrication de boîtiers hermétiques pour composants électroniques sensibles. Il intervient sur des marchés de pointe à fortes barrières technologiques dans tous les univers critiques (Spatial, Défense, Sécurité, Aéronautique, Télécommunications, Energies...). Seul acteur global dédié, Egide est présent industriellement en France et aux Etats-Unis

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21 mars 2015 6 21 /03 /mars /2015 12:50
Arctic matters: in from the cold?

 

13 March 2015 Juha Jokela Alert - No15 -  EUISS

 

A variety of new political and security challenges seem to be emerging in the Arctic, including military developments which are particularly worrying at a time of heightened tension between Russia and the West.

Yet these signs of a resurgent geopolitical rivalry are matched by equally strong incentives for continuing cooperation across the polar region.

 

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 12:50
photo UK MoD

photo UK MoD

 

March 19, 2015 By: Beth Stevenson – FG

 

London - An arms transfer study from the Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI) claims that only the UK and Nigeria have been the recipients of armed unmanned air vehicles, despite “widespread interest” in their acquisition.

The numbers of importers and exporters of both armed and unarmed UAVs has “grown significantly” over the past 15 years, SIPRI says, and between the period of 2010 to 2014, 35 countries and the UN acquired 429 UAVs that weigh more than 25kg.

The USA and Israel are the main suppliers, although Austria, France, Germany, Iran, Italy, South Africa and Sweden all exported UAVS, says SIPRI in its “Trends in International Arms Transfers, 2014” paper, released on 16 March.

 

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 07:50
Operation Atlantic Resolve photo US DoD

Operation Atlantic Resolve photo US DoD

 

WASHINGTON, March 19, 2015 – By Jim Garamone - DoD News

 

Thirteen months after Russia began its occupation of Crimea, the United States and its European allies must remain steadfast against the threat such actions pose, the commander of U.S. Army Europe said here this week.

Lt. Gen. Ben Hodges told the Defense Writers Group at a March 17 breakfast that the Russian action of illegally annexing Crimea from Ukraine and its continuing threat to the eastern part of Ukraine is a game-changer on the continent.

 

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 17:50
Tornado-Piloten trainieren Bordwaffeneinsatz

 

19 mars 2015 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 03/2015 15E10501

 

Bei der Waffensystemausbildung in Holloman / New Mexico absolvieren junge Piloten die fliegerische Grundausbildung auf dem Tornado sowie eine Basis-Waffenausbildung. Während der neunmonatigen Ausbildung in den USA lernen die Crews, das Flugzeug in allen Fluglagen und allen Situationen zu beherrschen. Mit 300 Sonnentagen im Jahr und einem großen militärischen Luftraum bietet Holloman ideale Voraussetzungen für die Ausbildung aus einer Hand: Neben der Grundausbildung findet auch die Ausbildung der Flug- und Waffenlehrer in New Mexico statt.


Musik: Ohmwrecker von Concors (Universal Music)

 

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 09:20
Le SNA Saphir - photo S. Richard 32F-Marine Nationale

Le SNA Saphir - photo S. Richard 32F-Marine Nationale

 

Mar 05 2015 - By David Cenciotti - theaviationist.com

 

If you thought aircraft carriers were invincible you were wrong.

 

On Mar. 4, the French Ministry of Defense released some interesting details, about the activity conducted by one of its nuclear-powered attack submarine (SNA) in the waters of the North Atlantic Ocean.

According to French MoD website (that is no longer online, even if you can still find a cached version of the article titled “Le SNA Saphir en entraînement avec l’US Navy au large de la Floride” [or read it on RP Defense website] ), the Saphir submarine has recently taken part in a major exercise with the U.S. Navy off Florida.

The aim of the exercise was joint training with U.S. Carrier Strike Group 12 made by the aircraft carrier Theodore Roosevelt, several Ticonderoga cruisers or Arleigh Burke-class destroyers and a Los Angeles-class submarine, ahead of their operational deployment.

The scenario of the drills saw some imaginary states assaulting American economic and territorial interests; threats faced by a naval force led by USS Theodore Roosevelt.

 

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 08:20
Brimstone offer to USA a test case for Europe, says MBDA

 

17 Mar 2015 By: Craig Hoyle - FG

 

European guided weapons specialist MBDA is waiting on a decision from the US government on whether to acquire its Brimstone air-to-surface missile, with the company’s chief executive warning that a rejection of its offer will call into question the openness of Washington’s defence acquisition policy.

Speaking about the company’s inability so far to meet growth targets for its MBDA Inc unit in the USA, Antoine Bouvier says: “The most significant opportunity we could have short-term is the Brimstone, for some US customers.”

A UK-developed weapon capable of striking moving ground targets in all weather conditions from fixed-wing aircraft and unmanned air vehicles, the dual-mode seeker-equipped Brimstone early last year completed a bilateral firing campaign from a General Atomics Aeronautical Systems MQ-9 Reaper in the USA. A potential order for the missile has also been the subject of discussions between British Prime Minister David Cameron and US President Barack Obama, industry sources confirm.

 

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