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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 08:50
Lightning II, Spitfire and Camel

 

2/19/2015 Strategy Page

 

To mark the centenary of the formation of RAF 17 Squadron a unique line up of aircraft was assembled at Edwards Air Force Base. Seen here are a Sopwith Camel (replica), Supermarine Spitfire XIV and Lockheed Martin F-35B Lightning II, three of the types flown by the squadron during the past 100 years.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 18:50
Des blindés américains près de la frontière russe, lors d’un défilé en Estonie

 

24 février 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Deux blindés de combat Stryker américains participant à des manœuvres de l’Otan en Estonie ont marqué les esprits par leur présence dans un défilé militaire mardi à Narva, tout près de la frontière russe, alors que les relations entre Moscou et les Occidentaux se sont dégradées avec la crise ukrainienne.

 

Une centaine de soldats de pays de l’Otan, Britanniques, néerlandais, espagnols, lettons et lituaniens ont également défilé dans la neige aux côtés d’environ 1300 militaires estoniens, pour marquer l’anniversaire de l’indépendance de l’Estonie, une ancienne république soviétique désormais membre de l’Union européenne et de l’Otan.

La parade annuelle a pris un relief particulier cette année dans le contexte des craintes suscitées dans les pays baltes par l’engagement dont est accusée la Russie dans le conflit ukrainien.

L’Otan a réagi à ces craintes en envoyant des avions de chasse dans les pays baltes et en y organisant plusieurs exercices militaires.

L’Histoire nous a appris que si nous ne nous défendons pas nous-mêmes, personne d’autre ne le fera, a toutefois déclaré lors du défilé le général Riho Teras, chef d’état-major estonien.

Les habitants venus voir le défilé, dont beaucoup ne parlaient pas estonien, paraissaient cependant faire peu de cas des craintes d’ingérence russe.

La population russophone est fortement majoritaire dans la région de Narva.

La Lituanie voisine a de son côté l’intention de rétablir temporairement le service militaire obligatoire en raison de l’actuel environnement géopolitique, a annoncé mardi la présidente de cet autre État balte, Dalia Grybauskaite.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 17:50
Polish Special Forces MRAP Vehicles Photo ppłk Artur Goławski

Polish Special Forces MRAP Vehicles Photo ppłk Artur Goławski

 

26 February by Jakub Palowski - defence24.pl

 

45 mine-resistant MRAP M-ATV vehicles, supplied by the US, were handed-off for the Polish Special Forces in Cracow.

 

The Polish Special Forces received 45 M-ATV vehicles. The hand-off ceremony took place in Cracow and the US Ambassador in Poland Stephen D. Mull participated in that event. Delivery of the MRAP vehicles is being carried out within the framework of the Excess Defense Articles programme, the standard way that the U.S. military gives leftover equipment to allies. Earlier Poland had received Oliver Hazard Perry vessels or C-130 Hercules transport planes in that way.

 

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 17:45
Libyan PM criticizes U.S., UK and EU for failing to supply weapons

 

26 February 2015 defenceWeb (Reuters)

 

Libya's official Prime Minister Abdullah al-Thinni on Tuesday criticized the United States, Britain and European Union for failing to supply arms to his forces as they battle those of a rival government.

 

The tough comments come a day after Libya's elected parliament, allied to Thinni, suspended its participation in U.N.-sponsored talks to try to end the power struggle between the two rival administrations and assemblies.

 

Thinni has been confined to a rump state in the east since a rival faction called Libya Dawn seized the capital Tripoli last year, reinstating an old assembly known as the GNC and setting up a rival government.

 

Thinni and the House of Representatives, also based in the east, enjoy the recognition of world powers but anti-Western sentiment has been building up. Many normal people demand military support in the power struggle with Tripoli, four years after the NATO-backed ousting of Muammar Gaddafi.

 

"Unfortunately, the international community and especially the United States, Britain and the European Union have refused to arm the Libyan army," Thinni told pan-Arab channel Al-Arabiya.

 

"Libya Dawn is part of militant Islamists which get weapons, ammunition and supplies from all over the world," he said. "But America and Britain have other ideas against the interest of the Libyan people."

 

Libya is still under a U.N. arms embargo dating from the 2011 uprising, though the country is awash with weapons and dominated by armed factions.

 

Thinni has been facing pressure from army general Khalifa Haftar who has merged his forces with army troops in the east to fight Islamist groups. While the alliance has managed to win back some territory in Benghazi, Haftar has drawn criticism for calling in air strikes on civilian airports and seaports.

 

Frustrated with hardships in the east, where the conflict has made petrol, electricity and medicines scarce, protesters have demanded Thinni quit and hand power to a military council headed by Haftar.

 

In another sign of pro-military sentiment, a committee of the House of Representatives on Tuesday voted to create the position of top military commander, its spokesman Farraj Hashem said.

 

Lawmakers did not name anyone but analysts expect Haftar to get the job. Some of his senior officers have already received official positions.

 

In Tripoli, the rival General National Congress (GNC) urged all parties to join the U.N. talks, its second deputy speaker Saleh Makhzoum told reporters.

 

The United Nations had planned to hold a new round in Morocco this week, after several sessions inside and outside Libya made little progress.

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26 février 2015 4 26 /02 /février /2015 12:30
Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

Chinese S-300 (HongQi 9 [HQ-9]) launcher during China's 60th anniversary parade, 2009. photo Jian Kang

 

25/02/2015 lorientlejour.com

 

"La Turquie s'efforce de conclure un meilleur accord, non seulement commercialement mais aussi politiquement".

 

La Turquie a relancé la controverse autour de l'appel d'offres lancé pour équiper son armée de missiles sol-air dernier-cri en agitant à nouveau la perspective d'une victoire de la Chine, à seule fin semble-t-il d'arracher des concessions des autres prétendants.

 

En 2013, le gouvernement islamo-conservateur turc a créé la surprise en annonçant avoir retenu pour ce contrat de 3 milliards d'euros la firme China Precision Machinery Export-Import Corporation (CPMIEC), de préférence à ses concurrents américains Raytheon et Lockheed Martin et le consortium franco-italien Eurosam.

 

Cette décision a provoqué la levée de boucliers des alliés de la Turquie au sein de l'Otan. Tous ont regretté l'absence de compatibilité du matériel chinois avec leurs propres systèmes et rappelé que CPMIEC faisait l'objet de sanctions de Washington pour avoir livré des armes à la Syrie et à l'Iran sous embargo. Sous pression, Ankara a donc été contraint de revoir sa position en repêchant les deux autres candidats, priés de reformuler leurs propositions. A en croire les confidences du président Recep Tayyip Erdogan, ce nouveau tour de piste semblait devoir bénéficier aux Européens. Mais une série de récentes déclarations et de confidences sont venues rebattre les cartes.

 

La semaine dernière, le ministre de la Défense Ismet Yilmaz a ainsi suggéré que les Chinois allaient l'emporter en indiquant, en réponse à la question d'un député, que le système retenu par les Turcs ne serait pas intégré au système de l'Alliance atlantique. Dans la foulée du ministre, les autorités turques ont insisté sur les mérites de l'offre chinoise, même si elles ont précisé qu'aucune décision n'avait encore été prise. "La Chine est un candidat sérieux et se trouve dans une position plus avantageuse que celle de ses concurrents", explique à l'AFP une source gouvernementale, "elle propose un prix inférieur de moitié et elle accepte de partager sa technologie".

 

"Dans la course"

 

Si certains ont rapidement conclu de ces sorties que les Turcs avaient fait leur choix, les analystes n'y ont vu qu'une péripétie des négociations en cours."Il est faux de présumer que la Turquie a choisi d'acheter ses missiles aux seuls Chinois. Les Américains et les Européens sont toujours dans la course", assure Sinan Ülgen, du Centre d'études économiques et de politique étrangère (Edam) d'Istanbul. "La Turquie s'efforce de conclure un meilleur accord, non seulement commercialement mais aussi politiquement", renchérit Nihat Ali Özcan, du centre d'études Tepav d'Ankara.

 

La presse proche du gouvernement a ainsi rapporté récemment que les autorités n'attribueraient pas le contrat avant le 24 avril, date de la commémoration du centième anniversaire du génocide arménien, afin de s'assurer des bonnes dispositions de Paris et Washington sur ce dossier sensible. "Un accord pourrait être signé avec la Chine si les gouvernements américain et français adoptent des positions pro-arméniennes", a écrit le quotidien Sabah.

 

Un projet de loi français, finalement annulé, pénalisant la négation du génocide arménien a suscité une sérieuse crise entre Paris et Ankara en 2012 et le président français François Hollande a déjà annoncé sa présence à Erevan le 24 avril. Les Turcs s'inquiètent également du dépôt au Congrès américain d'un texte reconnaissant le caractère de génocide aux massacres d'Arméniens par l'Empire ottoman pendant la Première guerre mondiale. Ankara réfute catégoriquement cette qualification.

 

L'Otan comme les pays en course se sont refusés à commenter l'état des discussions. "Chaque nation est libre de décider de l'origine de ses équipements militaires mais il est important que tous puissent fonctionner ensemble", a toutefois rappelé sous couvert de l'anonymat à l'AFP un responsable de l'Alliance atlantique.

 

Le porte-parole du président Erdogan, Ibrahim Kalin, semble avoir entendu ces inquiétudes et a affirmé lundi que son pays assurerait "l'intégration" de son futur système d'armes avec celui de l'Otan.

 

Même si la Turquie fait monter les enchères, donc, les experts restent persuadés qu'elle privilégiera au final les offres occidentales. "Comment pouvez-vous espérer que le système radar de l'Otan basé à Kurecik, dans l'est de la Turquie, puisse fonctionner à pleine capacité avec un système chinois ?", s'interroge Sinan Ülgen, "ce serait un paradoxe". "Européens et Américains font la course en tête, pas les Chinois", confirme M. Özcan.

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 17:20
NSA - capture d’écran (Der Spiegel)

NSA - capture d’écran (Der Spiegel)

 

24.02.2015 nextinpact.com

 

Alors que l’on s’approche doucement des deux ans des premières révélations d’Edward Snowden, le gouvernement américain a bien du mal à défendre sa ligne de conduite dans la cyberdéfense du territoire. Mike Rogers, directeur de la NSA, a tenté hier de faire le point sur ce qui était attendu des grandes entreprises de l’informatique, tout en reconnaissant qu’il existait un risque d’impact financier.

 

Un assortiment juridique et technologique d’armes et de protections

Quelques mois après les grandes révélations sur le programme Prism, la commissaire européenne Viviane Reding avait prévenu les États-Unis : cette surveillance massive devait être sérieusement revue et corrigée, sous peine que les entreprises concernées n’aient à subir un revers financier. Elle prévoyait une crise de confiance et le risque que les clients européens notamment ne se tournent vers des solutions beaucoup plus locales. Mais, comme on a pu le voir dans le cas de l’Allemagne par exemple, les réactions protectionnistes ont également été politiques.

Hier, lors d’une conférence réunissant notamment des journalistes et des responsables techniques d’entreprises, le directeur de la NSA a tenté de présenter une vision unifiée de la cyberdéfense américaine. Bientôt deux ans après les premières révélations sur Prism, la « sécurocratie » américaine a du mal à convaincre, surtout quand il s’agit d’expliquer l’importance et le bien-fondé des backdoors, ou portes dérobées, dans les produits commercialisés.

Mais pour Mike Rogers, il ne fait aucun doute que les États-Unis doivent s’armer. Il reprend ainsi l’attaque de Sony Pictures par la Corée du Nord et explique : « Si vous examinez la topologie de l’attaque […], elle rebondit littéralement à travers toute la planète avant d’arriver en Californie. Une infrastructure répartie sur de multiples continents, dans de multiples zones géographiques ».

Les États-Unis ont donc besoin de posséder un assortiment juridique et technologique d’armes et de protections. Les plus efficaces sont manifestement les trous dans les technologies de chiffrement selon Mike Rogers, d’où les actuels pourparlers avec les entreprises pour négocier des portes dérobées, même si le directeur n’aime pas ce terme : « Ce n’est pas le mot que j’emploierais, parce que quand je l’entends, je me dis : « Tiens, ça parait louche, pourquoi ne passeront-on par l’entrée principale, de manière publique ? ». Nous pouvons créer une infrastructure juridique pour tout cela ». Rogers aimerait donc être plus proactif sur ce qui a aujourd’hui des relents d’illégalité.

 

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25 février 2015 3 25 /02 /février /2015 13:30
UAE signs defence contracts worth about AED 4 bn on third day of IDEX

 

ABU DHABI, Feb 24th, 2015 (WAM)

 

The UAE Armed Forces has signed 7 new deals on the third day of IDEX valued at AED 3. 955 billion with local and foreign firms to buy military hardware including Aerial radars, helicopters and other ammunition.

 

Maj-Gen Obaid Al Ketbi, IDEX spokesman, briefing media today, said that the Armed Forces has entered into a deal with Tawazan Dynamics for the purchase of highly ultra-precision guided ammunition at a value of AED 1.53 billion, and also with Emirates Advanced Research and Technology Holding, EARTH, to develop Oshkosh defence systems and provide technical assistance and maintenance by providing spare parts with a total value of AED 864 million.

 

The Armed Forces has signed a deal with Caracal International, part of the Emirates Defence Industries Company (EDIC), to buy 80 thousands modern assault rifles, type CAR816 at a value of AED 763 million.

 

The fourth deal was signed with AgustaWestland Aviation Services (AWAS) from Italy to buy 9 helicopters with a total value of AED 732 million, six will be for search and rescue purposes and three for VIP use.

 

The fifth deal was done with Rheinmentall Air Defence to provide technical support through providing spare parts and maintenance services, and repair for the Skyguard Cannon System at a value of AED 34 million.

 

The sixth deal was done with Raytheon Systems from Britain, to purchase and assemble an aerial radar to detect planes at a value of AED 11 million.

 

The final deal of today was signed with Thales Communications and Security from France for technical maintenance, repair and support of devices at a value of AED 21 million.

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24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 11:55
La Lettre de l'IRSEM 2015

 

18/02/2015 IRSEM

 

La Lettre de l'IRSEM est notre lettre d'information. Chaque mois, chercheurs résidents et invités y présentent un dossier stratégique, des chroniques et points d'actualité.
Vous trouverez dans cette rubrique les liens vers les numéros de chaque collection annuelle.

 

La lettre de l'IRSEM n°1 - 2015

Dossier stratégique :
Risques et défis internationaux

2014 - La lettre de l'IRSEM

La lettre de l'IRSEM n°8 - 2014
Dossier stratégique : Sécurité globale et surprises stratégiques en Europe

La lettre de l'IRSEM n°7 - 2014
Dossier stratégique : La Syrie : Quelles perspectives pour une sortie de crise ?

La lettre de l'IRSEM n°6 - 2014
Dossier stratégique : La politique étrangère et de défense de la Chine :  Une nouvelle étape?

La lettre de l'IRSEM n° 5 - 2014

La Lettre de l'IRSEM n°4 - 2014
Dossier stratégique : Quelles stratégies étatiques dans le monde arabe face au jihadisme?

La Lettre de l'IRSEM N°3 - 2014
Dossier stratégique: La Pologne, un acteur de la défense européenne

Version en polonais du dossier stratégique

La Lettre de l'IRSEM N°2 - 2014

La Lettre de l'IRSEM N°1 (2,02 Mo)

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23 février 2015 1 23 /02 /février /2015 21:20
Entraînement interallié : le SNA Saphir en chasse

 

17 Février 2015 Source : Marine nationale

 

Après plusieurs jours de traque, sous la menace constante des avions de patrouille maritime P8 Poseidon et des destroyers de type Arleigh Burke, le commandant parvient à inscrire la silhouette massive du porte-avions nucléaire USS Theodore Roosevelt dans le réticule de son périscope. Encore quelques centaines de yards[1] et il sera en portée de tir. Le central-opérations retient son souffle : le Carrier Strike Group (groupe aéronaval) guette la moindre indiscrétion pour une réplique aussi fulgurante que létale.

 

C’est un scenario exaltant, digne des plus célèbres ouvrages d’espionnage qu’a vécu le sous-marine nucléaire d’attaque (SNA) Saphir lors de sa participation à l’exercice COMPTUEX (C2X) du Carrier Strike Group Theodore Roosevelt, qui marquait la fin de l’entrainement avancé de ce groupe aéronaval avant son déploiement prochain. Inséré en son sein du 22 janvier au 5 février, le SNA Saphir a successivement protégé puis menacé le porte-avions, au gré des thèmes retenus pour animer l’exercice.  En effet, après une phase initiale d’exercices tactiques (dont le Saphir était absent), l’exercice comprenait deux scenarios inspirés par l’environnement opérationnel des zones de déploiement permanent de l’US Navy, l’océan Indien et le Pacifique. Par ailleurs, un officier de l’état-major de l’amiral français commandant les forces sous-marines et la force océanique stratégique (ALFOST) était présent à Norfolk, pour conseiller sur l’emploi optimal du Saphir et faciliter son contrôle.

 

Immersion américaine

 

La variété des situations et des modes de contrôle s’est avérée précieuse pour améliorer l’interopérabilité de nos deux marines, et tirer les enseignements nécessaires pour préparer une coopération plus efficace sur le théâtre des opérations. Les moyens mis en œuvre par les États-Unis ont offert un environnement stimulant pour l’entrainement du Saphir ; la présence française a donné l’opportunité aux marins américains de travailler leurs procédures de coopération multinationale, ce qui n’est pas toujours acquis dans ces grands exercices. Les organisateurs de l’exercice ont loué la qualité du travail du Saphir, son aptitude à pénétrer les défenses sans contre-détection et sa flexibilité.

 

L’expérience américaine se prolonge pour le Saphir lors d’une escale à Norfolk, plus grande base navale au monde, du 6 au 12 février. À cette occasion, le vice-amiral d’escadre Louis-Michel Guillaume, amiral commandant la force océanique stratégiques (ALFOST), s’est déplacé pour rencontrer l’équipage, débriefer l’exercice et s’entretenir avec ses homologues américains.  L’entente entre nos deux marines océaniques, parmi les rares marines du monde à mettre en œuvre des sous-marins nucléaires, est plus forte que jamais.

 

Le cycle d’entrainement des forces aéronavales américaines.

 

La dimension de la marine américaine et les besoins permanents des commandants interarmées régionaux (Combattant Commanders) impliquent une organisation calibrée et cyclique de l’entrainement. Ainsi, les unités de chaque composante sont entrainées séparément, à la mer et en simulation, lors de la phase initiale (3 à 5 mois) avant d’être combinées progressivement lors de la phase intégrée (4 mois). Le COMPTUEX est la sortie à la mer la plus complexe. Il est suivi d’un entrainement synthétique pour maitriser les aspects interarmées, après quoi le groupe est certifié opérationnel.

 

[1] 0,9144 mètre dans le système métrique anglais. 2000 yard font 1 mile nautique.

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17 février 2015 2 17 /02 /février /2015 12:50
Rome devrait maintenir sa commande de 90 avions de chasse F-35

 

16/02/2015 zonebourse.com

 

Le gouvernement italien va résister aux pressions politiques émanant de son propre camp et maintenir sa commande de 90 avions de chasse F-35 fabriqués par l'américain Lockheed Martin, a-t-on appris de sources à Rome et aux Etats-Unis.

 

Cette décision est motivée par deux facteurs: le gros contrat d'entretien obtenu par la compagnie publique de défense Finmeccanica pour ces F-35 et la nécessité de renouveler la flotte de chasseurs.

 

"Le nombre approprié (de chasseurs) pour que l'Italie joue le rôle industriel auquel elle aspire est 90", a dit à Reuters une source italienne proche du dossier. "Respecter le programme est conforme aux différentes résolutions parlementaires et 90 est le nombre qui nous permet de couvrir les besoins du pays en terme de défense."

 

Cette opinion est partagée à Washington.

 

"La participation industrielle est proportionnelle au nombre d'avions que vous commandez. S'ils réduisent leur commande, le travail qu'ils auront à faire sur le site (d'assemblage et de vérification) et l'entretien diminueront", dit-on aux Etats-Unis.

 

L'achat de F-35 permettra à l'Italie de renouveler une flotte de plus en plus obsolète, alors que les tensions géopolitiques sont vives en Europe et dans son environnement, en raison de la crise en Ukraine et de l'islamisme radical.

 

Des élus du Parti démocrate, la formation du président du Conseil Matteo Renzi, ont réclamé en mai dernier de diviser par deux la somme consacrée à ce programme, estimé à 12 milliards d'euros. Certaines formations d'opposition réclament même l'abandon pur et simple du projet.

 

Matteo Renzi a lui-même évoqué l'an dernier une réduction de ce programme pour financer des baisses d'impôts pour les revenus les plus modestes.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:51
photo USAF

photo USAF


10 février 2015 par Edouard Maire – Info Aviation
 

L’US Air Force (USAF) a déployé un détachement de Fairchild-Republic A-10 Thunderbolt II Warthog en Europe au sein d’un Theater Security Package (TSP) en soutien à l’opération « Atlantic Resolve » (source : U.S European Command).

 

Douze avions A-10 Warthog et environ 300 membres du personnel du 355th Fighter Wing, basée à Davis-Monthan (Arizona), seront affectés au 52e Escadron de chasse à la base aérienne de Spangdahlem en Allemagne. Tous les équipements devraient être opérationnels d’ici la fin février.

Selon l’USAF en Europe, le TSP accentuera la force de frappe aérienne de l’opération « Atlantic Resolve » pour améliorer l’interopérabilité entre les alliés de l’OTAN. Une fois en Allemagne, les A-10 pourront être déployés vers différents pays d’Europe de l’Est membres de l’OTAN.

Il s’agit du premier déploiement d’un TSP en Europe et d’un signal clair envers Moscou suite à la crise en Ukraine. Les rotations devrait durer six mois selon les missions et les exigences du United States European Command.

L’US Air Force mène déjà des rotations de TSP dans la zone du Pacifique depuis 2004, notamment en Corée du sud.

Le A-10 Warthog est conçu pour l’attaque au sol et la destruction des blindés. Il est équipé d’un turboréacteur à double flux General Electric TF34-GE-100 d’une poussée de 40 kN chacun. Il témoigne d’une excellente maniabilité à faible vitesse et à basse altitude. Son arme emblématique est un canon GAU-8 Avenger de 30 mm qui peut tirer jusqu’à 3 900 projectiles à la minute. Son utilisation en Europe était envisagé depuis les années 70 par l’armée américaine en cas d’invasion des blindés soviétiques durant la guerre froide.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:50
The Eyes of the Future RN Carrier Strike Force

Thales UK and Lockheed Martin submitted final offers for the Crowsnest carrier based, Helicopter borne AEW solutions last month, competing for the £500 million ($761 million) contract.

 

Feb 8, 2015 Defence-Update

 

The British MOD is set to select soon the future Airborne Early Warning (AEW) system to be deployed on the future Royal Navy (RN) Queen Elizabeth II aircraft carriers. The Crowsnest airborne surveillance and control (ASaC) program set to become operational in 2019, will providing the Queen Elizabeth Class aircraft carriers an organic air surveillance and battlespace management for the carrier strike force from 2020.

 

Thales UK and Lockheed Martin submitted final offers for the Crowsnest solutions last month, competing for the £500 million ($761 million) contract. Although the two radar systems proposed by the companies are designed for the Royal Navy AgustaWestland EH101 Merlin Mk 2 ASaC helicopters, they are profoundly different in their mission approach, future capabilities and cost. As part of the U.K. defense ministry’s assessment of the two options, both have been flight tested on a Merlin Mk. 2.

As the Sea King family helicopters is due to retire in 2016, MOD is extending the service of a number of the Sea King helicopters operated by 849 Naval Air Squadron through 2018, to prevent a capability gap between the withdrawal of the Sea King ASaC.7 and the introduction of Merlin ASaC.2. 10 of the Merlin helicopters are to be modified to accept the Airborne Surveillance and Control (ASaC) system, configured as ‘roll on/roll off’ kit.

Leading a £750 million ($1.15 billion) upgrade to 30 of the Royal Navy’s legacy Merlin HM1 helicopters, Lockheed Martin UK has been awarded a £24 million contract to run a competition to design, develop and demonstrate Crowsnest. As the company is also one of the competitors for the tender, the Merlin team has to be ‘firewalled’ to prevent leaking commercially sensitive information to Lockheed Martin UK.

The solution proposed by Thales UK recapitalizes existing the Searchwater 2000 radars currently providing the AEW mission for the Royal Navy on board HMS Ocean. These helicopters carry the mechanically rotating radar in a retractable drum-shaped dome lowered into position below the helicopter after takeoff. Positioned below the fuselage, the rotating radar gains unobstructed view of the hemisphere below, thus covering effectively 360 degrees. Thales plans to utilize this system for the new platform, using a modernized and updated radar along with its associated Cerberus mission system – both are currently used on the Sea King ASaC7.


 

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 08:50
General Dynamics European Land Systems and Excalibur Army collaborate to market, sell and service the Pandur II 8×8


06.02.2015 Defense Global
 

General Dynamics European Land Systems-Steyr GmbH, and the Czech Republic company Excalibur Army entered into a collaboration that allows Excalibur Army to exclusively market, sell and service the Pandur II 8×8 wheeled armoured vehicle family in Czech Republic and other selected markets in Eastern Europe and Asia.

 

The vehicles will be manufactured under license at Excalibur Army sites in Czech Republic and Slovakia. General Dynamics European Land Systems-Steyr will support Excalibur Army’s activities with design services and delivery of components.

The two companies will bring the benefits of this partnership to compete for the Czech Ministry of Defence program to build and supply 20 Pandur II 8×8 command and communication vehicles.

The Czech Republic currently field 107 Pandur II vehicles, with several of them locally produced by VOP CZ.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 07:30
L'ONU cherche à bloquer le financement de l'Etat islamique

 

12.02.2015 Le Monde

 

Le Conseil de sécurité de l'Organisation des Nations unies cherche à asphyxier les groupes djihadistes comme l'Etat islamique (EI) ou le Front Al-Nosra. Jeudi 12 février, il a adopté à l'unanimité une résolution visant à bloquer leur financement, issu notamment de la contrebande de pétrole, du trafic d'antiquités et de rançons réclamées à la suite d'enlèvements.

 

Ce texte, présenté à l'initiative de la Russie, alliée de Damas, a été coparrainé par trente-sept pays, dont les principaux protagonistes du conflit syrien (Syrie, Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Irak, Iran et Jordanie notamment). Il demande aux Etats de geler les avoirs de ces groupes qui combattent le régime syrien, de ne pas commercer directement ou indirectement avec eux et de contrôler le trafic de camions passant notamment par la frontière turque. La résolution étend à la Syrie l'interdiction de faire commerce de biens culturels volés, qui s'appliquait déjà à l'Irak. Les contrevenants s'exposent, en principe, à des sanctions.

 

Lire notre analyse (édition abonnés) : L'or noir, arme stratégique de l'Etat islamique

 

UN MILLION DE DOLLARS PAR JOUR

Selon des experts, le groupe Etat islamique tirerait près de un million de dollars par jour de la vente de pétrole à de nombreux intermédiaires privés. Mais ces revenus ont été amenuisés sous l'effet des bombardements de la coalition internationale, qui ont détruit des raffineries, et surtout par la baisse du cours du brut.

Cette initiative accroît la pression sur les djihadistes, qui, selon des responsables américains, ont commencé à perdre du terrain en Syrie et sont menacés d'une offensive terrestre en Irak.

 

Lire : L’Etat islamique sort-il affaibli de la bataille de Kobané ?


 
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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:50
Futur proche ? Les Queen Elizabeth et Illustrious

Futur proche ? Les Queen Elizabeth et Illustrious

 

10 février 2015 Le Fauteuil de Colbert

 

La France décidait en 1986 puis 1994, 2007 et 2011 d'agir mieux que tout le monde en renouvelant à moitié sa composante aéronavale. Sorte de French touch dans l'art de la guerre aéronavale dans le monde, il ne sera pas nécessaire de revenir sur le pourquoi du comment le budget de l'Etat alimente autant un second porte-avions imaginaire sans cesse amélioré au fil des années.

 

Une fois que nous avons dit cela, c'est pour mieux saisir le contraste mondial qui dépasse l'hémispère occidental qui nous englobe. Le couant de pensée dominant nous entraînait lentement mais sûrement vers un reniement de la guerre navale au sens large : puisque la Méditerranée, l'Atlantique et l'océan Indien sont des lacs américano-otaniens, la mer est utilisable par nous pour supporter nos voies de communication et donc servir à déplacer porter le fer à terre.

 

Depuis la fin du conflit Est-Ouest (1991), rien n'est venu entravé cette vue stratégique à court terme. Les engagements des Etats-Unis d'Amérique, des alliés ou de la France en dehors de leur sol ne craignaient pas une menace navale critique ayant la capacité d'entraver une action aéronavale et aéroamphibie. La configuration stratégique est telle qu'il n'y a plus lieu de lutter pour acquérir la maîtrise temporaire et locale de la mer pour agir à terre. Configuration stratégique tellement favorable que les priorités sont à terre où il y a toujours à faire. Les Etats-Unis pouvaient même imaginer descendre leur nombre de navire porte-avions de 15 (tentative d'apogée sous l'ère Reagan) à 8, voire 6 (projets de l'administration Obama avec Robert Gates comme secrétaire d'Etat à la Défense).

 

Pourquoi pas : si la Défense est le premier devoir de l'Etat, alors il nous incombe de nous adapter ?

 

La fin de l'Histoire ne s'est jamais produite. Mieux encore, certains peuples, certaines nations croient toujours au sens de l'Histoire. Tout du moins, les ambitions ne sont pas une denrée rare parmi des puissances émergentes. En tous les cas, l'expansion de leur économie en dehors de leurs frontières nationales se combine avec un volet maritime et naval.

 

Pékin développe des porte-avions. Pour un pays qui tente de récupérer toutes les coques de ces navires qui sont à démolire de par le monde, ce n'est pas une surprise qu'il y ait une ambition autre que de devenir le champion mondial de la déconstruction de porte-avions. La refonte de l'ex-Varyag puis l'apparition sur la toile de clichés montrant de nombreuses infrastructures terrestres liées au fait aéronaval atteste d'une volonté chinoise de s'approprier cet outil. De là à s'étonner que depuis 2006, la Chine communique à chaque grande étape sur la construction de trois porte-avions en plus de son "navire-école", c'est plus un aboutissement de près d'une trentaine d'années d'efforts qu'une surprise.

 

L'Inde ne désarme pas encore le vieux Viraat (1953-?). L'ancien joyau de la couronne britannique acquiert lui aussi un ancien porte-aéronefs soviétique : l'amiral Gorshkov qui devient depuis 2013 le Vikramaditya. Le programme Air Defense Ship puis Indigenous Aicraft Carrier vise, ce jour, à livrer deux unités à la marine indienne. Elles seront de conception locale (avec le concours de l'ingéniérie italienne). La première unité, le Vikrant, est espérée pour 2018. La seconde pour le milieu de la décennie suivante. Reste à savoir comment vont évoluer les ambitions aéronavales indiennes au fur et à mesure des années. Par exemple, l'Inde ne s'oriente actuellement que sur dans la filire STOBAR et non pas CATOBAR. En attendant, New Delhi table sur trois porte-avions d'ici à 2025.

 

L'Angleterre revient elle aussi sur le devant de la scène. Le concept de Sea Control ship incarné par la classe Invincible réduite de 6 à 3 navires n'a pu convaincre lors de la guerre des Malouines. A leur décharge, une seule de ces unités était alors en service : le HMS Invincible. Il devait être vendu à l'Australie quand éclata la guerre... Les deux porte-aéronefs en cours de finition ou de construction, de 65 000 tonnes à pleine charge, illustrent un retour à des ambitions aéronavales plus importantes. Le choix confirmé de la formule STOBAR et les problèmes rencontrés dans la mise au point du F-35 retarderont la montée en puissance du nouvel outil aéronaval de la Royal Navy. Et le rendez-vous de la refonte CATOBAR est toujours une question pendante de l'autre côté de la Manche.

 

Citons, pour terminer ce tour d'horizon, que l'Australie réfléchi à voix haute sur une possible reconstruction de ses deux navires amphibies achetés à l'Espagne en porte-avions, que la Russie maintient ses ambitions de remplacer et compléter le Kuznetsov, tout comme le Brésil qui souhaite au moins remplacer le Foch avec l'intérêt de l'Argentine, que le Japon et la Corée du Sud construisent et mettent en service de lourds porte-aéronefs ou que la France devra se pencher sur le cas du second porte-avions assez rapidement...

 

Le basculement océanique mondial ainsi que le pivotage d'une partie des forces américaines de la façade Atlantique à l'Asie du Sud-Est invite à reconsidérer des espaces qui ne sont ni des lacs américains ni des lacs otaniens. Le porte-avions était contesté du fait de l'existence d'une stratégie d'interdiction, notamment et surtout portée par la Chine, qui devait le condamner. Stratégie d'interdiction qui ne fait qu'imiter ce que développait l'URSS face à l'US Navy dans les années 70 et 80 du XXe siècle, période où le porte-avions n'était pas non plus abandonné.

 

De plus, l'acquisition d'un outil aéronaval hauturier par des puissances navales émergentes déplaçe l'horizon des confrontations navales potentielles de demain. La menace d'une fleet in being, quelles que soit ses capacités, rendra impératif de considérer et la menace d'un groupe aéronaval en pleine croisière avant d'envisager une action à terre, tout du moins, sans consacrer les moyens nécessaires à une maîtrise locale et temporaire de la mer. C'était l'exemple britannique en 1982 où la Royal Navy ne trouvait pas le porte-avions argentin.

 

A partir de 2015 et la rencontre du porte-avions Charles de Gaulle avec un ou deux porte-avions Indien, voire une possible croisière lointaine du porte-aéronefs chinois, nous pourrions assister à une reconsidération de la nécessaire acquisition d'une maîtrise temporaire et locale de la mer afin de projeter une force aéroamphibie contre un littoral ou pour utiliser tout simplement les communications maritimes. Dans pareil cadre, le rôle du porte-avions pour acquérir ou défendre cette maîtrise risque fort d'être reconsidéré.

 

Faudra-t-il invoquer l'effet mimétique ou l'incapacité de trouver un autre outil que la projection de la puissance aérienne depuis la mer pour expliquer la reconsidération de ce navire ? En tous les cas, nous pourrions très bien voir surgir des débats aux Etats-Unis sur un nombre de porte-avions trop bas. Tout comme les croisières des unités indiennes, chinoises et anglaises stimuleront de nouvelles diplomaties navales qui changeront les regards portés sur la maîtrise des espaces maritimes. En 2022, nous serons dans une toute autre configuration stratégique...

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 08:30
Islamic State crisis: UAE resumes air strikes

 

10 February 2015 by BBC Middle East
 

The United Arab Emirates has resumed air strikes against Islamic State (IS) militants for the first time since halting operations last year. The UAE had suspended its involvement in coalition strikes after a Jordanian pilot was captured in Syria by IS. But after a video of him being burnt alive emerged, the UAE said it was sending F-16 fighters to Jordan. The UAE jets returned safely, a statement published on state media said giving few other details. Jordan vowed to wipe IS "off the face of the earth" after the murder of pilot Moaz al-Kasasbeh. The US-led coalition, including a number of Arab states, has been carrying out strikes against IS targets in Iraq and Syria. Until now, Arab states have only been involved in a fraction of the air campaign against the militants. The news comes after Syrian President Bashar al-Assad told the BBC in an exclusive interview he is receiving information from a third party about the strikes.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 12:50
MQ-9 Reaper Block 5

MQ-9 Reaper Block 5


10.02.2015 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

La Defense Security Cooperation Agency a annoncé vendredi que le Département d'Etat a donné son feu vert à une FMS (foreign military sale) au profit des Pays-Bas. Cette vente porte sur 4 MQ-9 Block 5, 4 stations de contrôle etc. Pour voir la liste complète, cliquer ici.

Le package comporte aussi 3400 heures (sur 3 ans) de formation et soutien technique qui seront fournies par des employés fédéraux et des contractors (comme ceux de General Atomics et L3C qui sont déployés à Niamey auprès des militaires français de l'escadron Belfort).

Montant du contrat: 339 millions de dollars.

Deux pilotes et deux opérateurs vont être envoyés sous peu aux USA (à Holloman AFB) pour y être formés.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 12:20
17 (Reserve) Squadron begin UK F-35 testing


10 févr. 2015 Royal Air Force

 

The arrival of the UK's first F35 Lighting II Stealth Fighter Aircraft at Edwards Air Force Base in the USA on the 13th Jan 2015. The Aircaft was flown in to Edward's by Wing Commander Jim Beck ,Officer Commanding for 17(R) TES Squadron.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 08:50
photo MinDefFR

photo MinDefFR

 

05.02.2015 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord – Défense Globale

 

Les ministres de la Défense de l'OTAN, réunis ce jeudi [5 fev.] après-midi à Bruxelles, ont annoncé en fin d'après-midi le renforcement, pas seulement symbolique, de la défense de l'Alliance à l'est. Une nouvelle force " fer de lance " de 5 000 hommes va voir le jour en 2016, ainsi que six " centres de commandement ". Suffisant pour contenir et impressionner l'ours russe, considéré comme agresseur en Ukraine ?

 

" C'est une réponse aux actions agressives de la Russie de la Russie qui a violé la loi internationale et annexé la Crimée ", a résumé le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, avant même la réunion des ministres. Ce renforcement remonte au sommet de septembre au Pays-de-Galles et voit son prolongement logique face au défi russe.

La nouvelle force " fer de lance " (spearhead) comptera autour de 5 000 hommes au sein de l'alerte NRF (Nato Response Force) qui va passer de 13 000 à 30 000 soldats. Sous appellation contrôlée OTAN, elle sera nommée VJTF (Very High Readiness Joint Task Force), soit en bon français Force interarmées à très haut niveau de préparation (et d'exécution).

Elle sera capable de se déployer sur très court préavis (une critique de la NRF actuelle), " en particulier à la périphérie du territoire des pays de l'OTAN ", précise-t-on sur le site Internet otanien.

 

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:50
F-16CD Jastrząb fighter Foto Michał Wyszkowski

F-16CD Jastrząb fighter Foto Michał Wyszkowski

 

7 février Aerobuzz.fr

 

Varsovie lance un appel d’offres pour l’achat de missiles air-air moyenne portée AIM-120 Amraam de Raytheon, des missiles d’entrainement et des bombes air-sol pour ses avions de combat F-16. Cette tendance qui s’ajoute à la volonté de rééquiper les forces terrestres et navales du pays démontre la volonté polonaise de se protéger contre toute velléité militaire Russe.

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:50
 Photo Ritchie Sedeyn - MIL.be

Photo Ritchie Sedeyn - MIL.be

 

09/02/2015 Liesbeth Bardyn – MIL.be

 

L’aéroport militaire de Melsbroek accueillait un avion américain le 9 février dernier. L’appareil est à la disposition de la Benelux Arms Control Agency (BACA) pour une semaine. Via cette agence, les pays du Benelux prennent part au traité Open Skies, dans lequel 34 pays ouvrent leur espace aérien à des vols d’observation.

 

Il est 13 heures précises, lorsque l’avion de transport américainatterrit sur le sol belge. L’équipage anglo-américain débarque et serre chaleureusement les mains du personnel de l’équipe de la BACA. Cette agence accompagne les équipes étrangères qui viennent effectuer des observations aériennes en Belgique dans le cadre du traité Open Skies. 

 

Cet accordest d’application depuis 1996. Chaque année, la Belgique doit autoriser environ six vols d’observation au-dessus de son territoire. Des pays comme la Russie en nécessitent davantage. Un appareil suit une route selon divers points que l’équipe observe en vol. Les casernes militaires les plus importantes ponctuent invariablement un tel itinéraire.

 

Avion américain pour entraînement Benelux
Avion américain pour entraînement Benelux
Avion américain pour entraînement Benelux
Avion américain pour entraînement Benelux

« Les Américains ne sont pas ici pour effectuer des vols de reconnaissance », clarifie l’adjudant-major Johan Temmerman. Il travaille depuis 15 ans pour la BACA et connaît tous les aspects du traité Open Skies. « Ils prêtent leur appareil pour effectuer un entraînement bilatéral visant à aguerrir l’équipe de la BACA aux procédures à appliquer lors d’un vol réel d’observation. Un tel avion américain est partout prioritaire. De plus, la coopération se passe sans anicroche. »

 

La tâche de l’équipe de contrôle du Benelux est importante. Ses membres examinent le plan de vol et la route de l’appareil. L’avion vole-t-il à la bonne altitude ? Les caméras et capteurs travaillent-ils selon les attentes ? La résolution des images prises n’est-elle pas trop haute ? Telles sont les questions que doivent traiter les collaborateurs de la BACA au cours d’un vol d’observation.

 

L’appareil américain survolera notre territoire jusqu’au 13 février. L’équipe de la BACA sera, dès lors, prête à effectuer un vol d’observation réel.

Vidéo: Mathieu Duhembre

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 07:20
70ème anniversaire de la Bataille des Ardennes à Washington

 

06/02/2015 Texte et photos: Attadef USA

 

Le jeudi 27 janvier dernier, une commémoration a eu lieu à Washington DC, aux Etats-Unis, à l’occasion du 70ème anniversaire de la fin de « la Bataille des Ardennes » le 25 janvier 1945. L'événement était organisé par l'attaché militaire belge aux Etats-Unis, en collaboration avec l'ambassade de Belgique et l'association desVeterans of the Battle of the Bulge.

 

Au cours de l'après-midi, des couronnes ont été déposées au mémorial de la Seconde Guerre mondiale, au monument de « la Bataille des Ardennes », au Cimetière National d'Arlington et sur la Tombe du Soldat Inconnu.

 

Plus tard dans la journée, à la résidence de l'ambassadeur belge, le documentaire « L'Ange oublié de Bastogne » a été diffusé pour la première fois sur le sol américain. Enfin, l'attaché militaire belge a délivré un honneur belge Fourragère 1940  à d'honorables vétérans américains.

 

70ème anniversaire de la Bataille des Ardennes à Washington

Parmi plus de 100 participants se trouvaient les représentants de la diplomatie américaine, le ministère de la Défense américaine, le réalisateur Mike Edwards et plus de 20 braves vétérans et leurs familles.

 

L'événement, très estimé, est un succès qui s'est clôturé par un « verre belge de l'amitié et de la liberté ».

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 21:30
Aviateurs au-dessus de la Syrie: voler, malgré la peur

 

6 février 2015 45eNord.ca (AFP)

 

Les terrifiantes images du pilote jordanien brûlé vif par le groupe Etat islamique hantent désormais les aviateurs qui survolent les terres contrôlées par le mouvement jihadiste, mais rien ne les empêchera d’accomplir leurs missions, assurent d’anciens officiers.

 

Le sort horrible réservé à Maaz al-Kassasbeh illustre l’importance de la procédure de récupération des pilotes abattus, qui dans ce cas n’a pas eu le temps d’être enclenchée à temps pour éviter sa capture dans la région de Raqa, « capitale » du groupe extrémiste qui a conquis des régions entières en Irak et en Syrie.

« Des images comme ça, pour sûr ça frappe les esprits » confie à l’AFP l’ancien chef d’un service français de renseignement, qui demande à ne pas être identifié. « Les pilotes sont des hommes comme les autres, pas des robots. Ils savent qu’ils prennent des risques en survolant des zones hostiles. Mais il est certain qu’après ça ils vont réfléchir à deux fois. »

« Ça fait longtemps que la guerre n’est plus une affaire de gentlemen. Autrefois les pilotes abattus étaient capturés et placés en détention. Tout ça c’est fini. Maintenant, c’est la barbarie, surtout dans les guerres asymétriques. Les pilotes savent que s’ils se font chopper, ça va être très dur pour eux. Et là on a passé un cap supplémentaire dans la sauvagerie. C’est du jamais vu », ajoute-t-il. « S’ils tombent au coeur même des combats, on ne donne pas cher de leur vie ».

Le général Gilles Desclaux a commandé jusqu’en 2011 la défense aérienne et les opérations aériennes (CDAOA) de l’armée de l’air française. Les pilotes « y ont pensé forcément, au moment où c’est arrivé », dit-il. « Puis ils pensent à leur mission. Ils y repenseront sans doute si à un moment ils ont à prendre une décision d’éjection, s’ils ont une panne ou sont abattus au dessus d’une zone de combat, ça leur reviendra à l’esprit. Mais psychologiquement ils sont prêts. Ils en on parlé entre eux, ils en ont parlé avec l’encadrement. Chacun ensuite prend sa décision ».

« C’est comme quand j’étais jeune pilote », ajoute-t-il, en évoquant les « missions nucléaires » où les pilotes ignoraient s’ils recevraient ou non l’ordre de lâcher la bombe . « On allait porter des bombes nucléaires sans aucun espoir de retour en Union Soviétique… »

Depuis la guerre du Vietnam, et le sort réservé à ses pilotes tombés aux mains de l’ennemi, l’armée américaine a mis au point des procédures de sauvetage, dont ce sont inspirées toutes les armées modernes.

Cela commence avec la balise qui s’enclenche automatiquement lors de l’éjection, captée par des avions qui survolent la zone en permanence. Les patrouilles de combat comptent toujours au moins deux appareils : si l’un tombe, son équipier tourne en cercle autour du point d’éjection.

« Il fait tout ce qu’il peut pour le protéger », précise le général Desclaux. « En clair, il tire sur tout ce qui approche, tente d’isoler le +survivor+ de tout élément hostile ».

Dès que le pilote est localisé, une course contre la montre commence : des commandos de l’air spécialisés embarquent dans des hélicoptères, eux-mêmes protégés par des chasseurs-bombardiers, et partent récupérer le pilote. Dans le meilleur des cas, il faut compter plusieurs heures.

« Les aviateurs sont entraînés à se cacher le mieux possible, s’ils sont valides. L’idée est de s’enterrer dans la journée et s’ils doivent se déplacer, ils le font la nuit » ajoute l’ancien chef d’un service de renseignement. « Avant même de monter une opération aérienne, la première chose à laquelle on pense, c’est le Resco (Recherche et sauvetage au combat). Et là, faire une opération Resco dans les zones contrôlées par Daesh, c’est dur-dur. Un pays qui fait partie d’une coalition peut refuser de mettre ses pilotes en danger tant qu’il n’y a pas une Resco crédible ».

C’est ce qu’ont fait, au lendemain de la capture du pilote jordanien, les Émirats arabes unis, a révélé le New York Times. Reprochant à Washington d’avoir positionné au Koweït, c’est-à-dire trop loin, ses équipes de Combat Search and Rescue (CSAR), les Emirats ont suspendu leur participation aux frappes aériennes contre le groupe Etat islamique, exigeant que les V-22 Osprey, ces appareils mi-avions, mi-hélicoptères de l’US Air Force et les commandos de l’air soient positionnés dans le nord de l’Irak, pour gagner du temps en cas de besoin.

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 20:30
Irak: une offensive terrestre majeure se prépare pour contrer l'EI

 

09.02.2015 Romandie.com (ats)

 

Une offensive terrestre d'envergure des forces irakiennes se prépare en Irak pour déloger le groupe Etat islamique (EI) des régions qu'il occupe au nord et à l'ouest de Bagdad. Deux attentats suicide ont fait près de 40 tués en trois jours dans cette région.

La capitale irakienne est à l'abri d'une attaque majeure des djihadistes mais des attaques suicide, souvent le fait d'extrémistes sunnites tels les djihadistes de l'EI, continuent de la secouer, comme celle qui a tué 14 personnes lundi dans un quartier chiite.

Trois jours plus tôt, samedi, un attentat semblable avait tué 23 personnes à Bagdad sans qu'il ne remette en cause la levée le soir même du couvre-feu nocturne en vigueur pendant des années dans la capitale, mesure que les habitants avaient fêté comme une "libération".

Après six mois de pilonnage aérien en Irak, d'abord en août par les Etats-Unis puis par d'autres membres de la coalition internationale, et quelques succès sur le terrain, significatifs bien que géographiquement limités, l'armée irakienne s'apprête à lancer une nouvelle offensive terrestre contre les djihadistes.

"Il y aura une contre-offensive terrestre majeure en Irak", a souligné le coordinateur américain de la coalition, John Allen, à une agence jordanienne.

"Dans les prochaines semaines, quand les forces irakiennes commenceront la campagne terrestre pour reprendre l'Irak, la coalition fournira une puissance de feu importante en soutien", a-t-il dit en balayant les accusations de retard dans la livraison d'armes et l'entraînement de l'armée irakienne.

 

La Jordanie très engagée

L'EI a profité de la guerre en Syrie et de l'instabilité en Irak pour s'emparer de pans entiers de territoire dans ces deux pays, où il commet des atrocités dénoncées comme des crimes contre l'Humanité par l'ONU.

Selon le secrétaire d'Etat John Kerry, la coalition mise en place par Washington avec l'objectif de "détruire" ce groupe ultra-radical, a mené depuis août plus de 2000 frappes en Irak et en Syrie et a permis de reprendre "un cinquième du territoire" à l'EI.

Membre de la coalition, la Jordanie a intensifié ses raids depuis l'annonce le 3 février de l'exécution par l'EI d'un de ses pilotes, capturé en décembre après une frappe en Syrie.

 

Damas est contre

En Syrie voisine, le chef de la diplomatie Walid Mouallem a affirmé que son pays s'opposerait à toute éventuelle offensive terrestre de troupes étrangères contre l'EI. "Nous ne permettrons aucune violation de la souveraineté syrienne", a-t-il dit.

Le régime syrien, dont une partie du territoire échappe à son contrôle, lutte depuis près de quatre ans contre une rébellion qui veut sa chute. Mais le conflit a été éclipsé par la montée en puissance de l'EI. Lundi encore, au moins 15 personnes ont péri dans des raids du régime à Douma, bastion des rebelles près de Damas, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), proche des opposants au régime de Bachar al-Assad.

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8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 12:50
Comment les lobbies militaires font pression sur le politique en Belgique

 

07 février 2015 Antoine Clevers – lalibre.be

 

La scène se passe en commission de la Défense de la Chambre, le 28 janvier. Le député Ecolo Benoît Hellings prend la parole. Il dénonce "un incident" et s’insurge contre la présence d’un "lobbyiste du F-35" sur les bancs de la commission, "à côté des parlementaires".

 

L’intéressé s’appelle Dany Van de Ven. Ancien militaire, il est aujourd’hui, selon ses mots, "consultant" pour le F-35. Il collabore, via sa société Bridan, avec Lockheed Martin, le fabricant américain de l’avion de chasse F-35. La commission de la Défense était publique. Il avait donc le droit d’y assister, mais depuis la tribune publique."Je me suis trompé de porte", se défend-il. "C’est la première fois que j’allais à une audition."

 

Cet épisode, assez anecdotique, illustre bien la pression qui règne autour du remplacement des F-16 belges, qui arriveront en fin de vie à partir de 2023. Le gouvernement Michel a fait le choix - c’est écrit dans l’accord de majorité - de "conserver pour le long terme une capacité de chasse et de bombardement". Traduisez : de trouver un successeur au F-16.

 

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