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10 juillet 2014 4 10 /07 /juillet /2014 16:20
Le F-35 pourrait manquer le salon de Farnborough

 

09 juillet 2014 Par Julien Bonnet – Usine Nouvelle

 

L'armée américaine a émis des doutes quant à la présence de son chasseur F-35 au salon aérien de Farnorough, qui se tient la semaine prochaine en Grande-Bretagne. Un contretemps qui vient compléter la longue liste des déboires rencontrés par ce programme déjà très coûteux.

 

Le F-35 trop juste pour briller dans le ciel de Farnborough ? L'armée américaine n'est pas certaine de pouvoir présenter son chasseur lors du salon aérien qui se tiendra la semaine prochaine en Grande-Bretagne. Un contremps fâcheux, les responsables américains avaient en effet vu ce grand rendez-vous de Farnborough comme une occasion en or pour dévoiler leur avion de combat multirôle.

 

Le programme le plus coûteux de l'histoire

 

Salué comme une merveille technologique, le programme "Joint Strike Fighter" s'impose comme le plus coûteux de l'histoire. Son budget a en effet explosé pour atteindre près de 400 milliards de dollars (290 milliards d'euros environ), pour 2 443 avions, et quelque sept ans de retard.

La totalité de la flotte des F-35 américains reste pourtant toujours clouée au sol, a annoncé ce mardi 8 juillet le Pentagone, afin qu'une enquête se poursuive sur les raisons d'un incendie survenu à bord d'un appareil fin juin, le dernier incident d'une longue série de problèmes techniques et de retards.

 

Priorité à la sécurité

 

"La décision n'a pas encore été prise", a déclaré le porte-parole du Pentagone, le contre-amiral John Kirby. "Nous serions déçus si (le F-35) ne pouvait pas participer à Farnborough mais la sécurité est notre priorité. (...) Personne ne veut précipiter cet engin dans les airs avant de savoir exactement ce qu'il s'est passé".

Quatre F-35B, une version à décollage court et à atterrissage vertical, devaient notamment se produire depuis un navire britannique, pays qui a beaucoup investi dans ce programme.  Des responsables militaires ont confié à l'AFP que trois avions sur quatre pourraient bien se produire vers la fin du salon (qui se tient jusqu'au 20 juillet) si les autorités aériennes concluaient à une absence de risque.

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10 juillet 2014 4 10 /07 /juillet /2014 12:20
source johnbrownnotesandessays

source johnbrownnotesandessays

 

07.09.14 by James Kirchick - thedailybeast.com

 

We’re right to spy on a country with close ties to Russia and Iran.

 

I’ve lived and loved in Germany, count Berlin as one of my favorite cities, and—pending reactions to this article—may even move back there someday. But given its intense business and political ties to Russia and Iran, and Moscow’s decades-long cultivation of intelligence assets and collaborators from the first Cold War up through the current one, American intelligence agencies would be crazy not to conduct intensive espionage operations in Germany.

 

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9 juillet 2014 3 09 /07 /juillet /2014 16:20
Deutsche Fluglehrer bilden auf Blackhawk aus

 

09.07.2014 Bundeswehr

 

Im „Army Aviation Center" in Fort Rucker im US-Bundesstaat Alabama bilden die US Streitkräfte eigene und ausländische Hubschrauber Besatzungen aus. Zurzeit unterrichten dort auch sieben Fluglehrer der Bundeswehr auf der Bell UH-60 -- Blackhawk. Für die deutschen Ausbilder bedeutet dies ein enormer Erfahrungsgewinn. Gleichzeitig werden durch ihren Einsatz sog. Credits erwirtschaftet, die wiederum für deutsche Flugschüler eingesetzt werden können. Pro Jahr nehmen rund 60 Bundeswehrsoldaten an Ausbildungen und Lehrgängen in Fort Rucker teil.

 

Quelle: Redakion der Bundeswehr 07/14 14E12901

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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 16:20
Der Erde entgegen - Fernspäher trainieren den Freifall

 

08.07.2014 Bundeswehr

 

Soldaten der Fernspählehrkompanie 200 schulten im US-Bundesstaat Tennessee ihre Fertigkeiten im Freifallspringen aus großer Höhe. Die 20 Aufklärungsspezialis­ten übten unter anderem das Gleitfallschirmsprin­gen mit voller Ausrüstung in der Nähe von Memphis.

Die Kompanie ist der Division Schnelle Kräfte unterstellt.

 

Quelle: Redaktion der Bundeswehr 07/14 14E16602

Kamera und Schnitt: O. Bender

 

Musik: Smash it up -- Grespy Nash, Crunch Time -- David Rolfe

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7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 16:20
Un chasseur Boeing discret...(en Belgique)

 

05 juillet 2014 lavenir.net

 

L’avionneur américain Boeing a présenté cette semaine en toute discrétion son chasseur-bombardier F/A-18F Super Hornet à l’armée belge, alors que la succession des F-16 vieillissants, un gros dossier pour le prochain gouvernement, commence à se profiler, Deux de ces appareils en version biplace séjournent depuis lundi sur la base aérienne de Florennes dans le cadre d’une tournée européenne qui les a déjà menés au Danemark, avant la Grande-Bretagne, avec une participation au salon aéronautique de Farnborough, près de Londres du 13 au 20 juillet.

 

L’un d’entre eux a effectué, vendredi après-midi, un vol de démonstration avec un pilote belge en place arrière, alors que Boeing organisait une réception sur invitation – sur la base de Florennes pour quelques invités en ce 4 juillet, jour de la Fête nationale américaine. Selon la Défense, cette visite de deux Super Hornet ne constitue en rien une «évaluation» de l’un des candidats à la succession des F-16. Mais quelques pilotes belges ont eu la possibilité de voler à bord des appareils de Boeing. Il s’agissait de «faire connaissance» avec ce type d’avion peu répandu en Europe.

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7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 07:50
Joachim Gauck s'entretenant avec le président des États-Unis, Barack Obama, au château de Bellevue, le 19 juin 2013 - photo US Gov

Joachim Gauck s'entretenant avec le président des États-Unis, Barack Obama, au château de Bellevue, le 19 juin 2013 - photo US Gov

 

06/07/2014 Par Nicolas Barotte - LeFigaro.fr

 

Un an après le début du scandale des écoutes de la NSA et du piratage du téléphone d'Angela Merkel, les services de renseignements du BND ont découvert qu'un de leurs hommes espionnait pour Washington.

 

Les renseignements allemands tentent de comprendre. Comment ont-ils pu être espionnés pendant deux ans de l'intérieur même de leurs services par leurs homologues américains? Un an après le début du scandale des écoutes de la NSA, quelques mois après les révélations sur le piratage du téléphone portable de la chancelière Angela Merkel, cette affaire d'agent double au sein du BND, révélée vendredi par le magazine Der Spiegel, risque de porter un nouveau coup aux relations de confiance entre les deux alliés traditionnels. Elle fait apparaître aussi de sérieuses failles dans la sécurité du BND.

Ironie de l'histoire, c'est en proposant ses services à la Russie le 28 mai que le suspect au profil trouble a été démasqué. Intercepté, le message adressé par e-mail au consulat russe de Munich a déclenché l'alerte au BND. Il était accompagné de trois documents confidentiels prouvant le sérieux de l'offre. Pour arrêter l'individu, les services allemands ont d'abord voulu lui tendre un piège en lui proposant un rendez-vous. Celui-ci ayant décliné, les enquêteurs ont cherché une autre piste. Ils se sont alors tournés vers leurs confrères américains pour leur demander des informations sur l'adresse mail utilisée: un compte Google. La demande est restée sans réponse. Pire, le compte incriminé a été aussitôt fermé. Les soupçons ont alors changé de direction.

 

218 documents dérobés

L'individu a été finalement identifié deux semaines plus tard grâce au tableau de congés: en examinant les documents proposés, envoyés d'un ordinateur privé, le BND a déterminé quels employés pouvaient y avoir accès. Le suspect était le seul à être absent le jour où ils ont été expédiés. Cet individu, un employé de 31 ans en poste à Pullbach, près de Munich, souffre d'un handicap.

Après avoir été un temps mis sous surveillance, l'agent a été placé mercredi en détention préventive. Décrit comme «peu qualifié» par le BND, il aurait dérobé 218 documents, classés de sensibles à confidentiels, retrouvés chez lui sur une clé USB. Durant les derniers mois, il se serait intéressé aux travaux de la commission du Bundestag chargée d'enquêter sur les écoutes de la NSA. «Tout indique qu'il travaillait pour les Américains», ont reconnu les services de renseignements allemands. Dans son appartement, sur son ordinateur personnel, la police a découvert un programme de communication cryptée caché derrière une application météo. En interrogeant le programme sur le temps à New York, l'agent double pouvait accéder à une interface de transmission sécurisée.

Le BND dément cependant qu'il s'agisse d'un agent infiltré. Le suspect a lui-même pris contact avec l'ambassade américaine de Berlin pour proposer ses services fin 2012. Lors d'une première rencontre à Salzbourg, il aurait touché 10.000 euros de la part de la CIA. Deux autres rencontres en Autriche lui auraient permis de toucher 5000 euros, puis 10.000 euros. Mais le BND évoque aussi un «besoin de reconnaissance» pour expliquer sa trahison. Les conséquences auraient pu être plus graves, minimise-t-on.

 

«Cette fois, ça suffit»

Dimanche, Angela Merkel, qui se trouve en déplacement en Chine, n'avait pas commenté publiquement l'affaire. Mais au sein du gouvernement on assure «ne pas prendre à la légère» cette affaire. Dès vendredi, le ministre des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, avait convoqué l'ambassadeur des États-Unis. Mais Angela Merkel ne pourra pas rester longtemps silencieuse. «Cette fois, ça suffit», s'est exclamé samedi le président fédéral, Joachim Gauck, en accusant les États-Unis de «jouer avec l'amitié» entre les deux pays. En Allemagne, un ressentiment antiaméricain commence à prospérer. À Washington, la Maison-Blanche n'a pas fait de commentaires.

En Allemagne, où le sujet des écoutes est épidermique, les réactions ont été vives. Le ministre de l'Intérieur, Thomas de Maizières, a demandé des explications «rapides» aux Américains. Le SPD a, lui, mis en cause les procédures internes du BND et la possibilité pour un seul individu, au poste modeste, d'accéder à autant d'informations. Les renseignements allemands se sont défendus en expliquant qu'il était difficile d'agir quand des individus choisissaient eux-mêmes de trahir le secret.

Quoi qu'il en soit, le BND est sur la sellette. Mis en cause pour ne pas avoir su empêcher que le portable d'Angela Merkel soit écouté, le BND va devoir réexaminer ses procédures de sécurité, qui montrent de sérieuses défaillances. D'ailleurs, il y a quelques jours, le quotidien Bildannonçait que le tout dernier téléphone sécurisé de la chancelière n'était pas sûr à 100 %. La NSA aurait déjà trouvé le moyen de contourner ses systèmes de cryptage. Mais Merkel peut se rassurer: lors de sa dernière visite à Washington, Obama lui a promis qu'elle ne serait plus écoutée.

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 07:50
F-35 deployment to the United Kingdom will test logistics requirements for the fighter jet

 

June 30, 2014 David Pugliese

 

While deployment of the F-35 Joint Strike Fighter to air shows in the U.K. may help to build momentum toward securing Britain’s order for the aircraft, it will also help build an understanding of the logistics requirements needed for the complex fifth-generation fighter, Aviation Week is reporting.

 

More from their article:

 

Plans for the deployment now involve up to four F-35Bs arriving in the first week of July ready to make their international debut, first at the Royal International Air Tattoo at RAFFairford on July 11 and then at the Farnborough International Airshow, which opens on July 14.

 

In addition to appearing at the two shows, a sortie to Scotland to conduct a flyby at the naming ceremony of the new HMS Queen Elizabeth aircraft carrier is on the agenda.

 

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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 16:50
Rockwell Collins showcasing F-35 Lightning II HMDS at Farnborough Airshow 2014

 

Jul 2, 2014 ASDNews Source : Rockwell Collins

 

    MultiScan ThreatTrack Weather Radar, EVS-3000 Enhanced Vision System and HeliSure Situational Awareness system on display for first time at Farnborough

 

In celebration of the F-35 making its international debut, the Rockwell Collins ESA Vision Systems F-35 Lightning II Helmet Mounted Display System (HMDS) will be in the spotlight at the Farnborough Airshow 2014.

 

The F-35 HMDS provides pilots with unprecedented situational awareness. All the information that pilots need to complete their missions – through all weather, day or night – is projected on the helmet’s visor, an industry first. In addition, real-time imagery streamed from six infrared cameras mounted around the aircraft to the helmet, allows pilots to “look through” the airframe.

 

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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 11:50
UK - Tomahawk Block IV Torpedo Launched Land-Attack Missiles

 

Jul 2, 2014 ASDNews Source : Defense Security Cooperation Agency (DSCA)

 

The State Department has made a determination approving a possible Foreign Military Sale to the United Kingdom for Tomahawk Block IV Torpedo Launched Land-Attack missiles and associated equipment, parts, training and logistical support for an estimated cost of $140 million. The Defense Security Cooperation Agency delivered the required certification notifying Congress of this possible sale on July 1, 2014.

 

The United Kingdom (UK) has requested a possible sale of up to 65 Block IV All-Up-Round Torpedo Tube Launched Tomahawk Land-Attack Missiles, containers, engineering support, test equipment, operational flight test support, communications equipment, technical assistance, personnel training/equipment, spare and repair parts, and other related elements of logistics support. The estimated cost is $140 million.

 

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3 juillet 2014 4 03 /07 /juillet /2014 10:50
Law Enforcement and Military Combine Efforts at the First European Homemade Explosives Course

 

Brussels - 02 July, 2014 European Defence Agency
 

Experts from the civilian law enforcement and the military have taken part in the first European Homemade Explosives Training course which took place between 2 and 6 June in the Curragh Camp at the IE Department of Defence Ordnance School.

 

The course, run jointly by the European Defence Agency and Europol, brought together 28 experts from 16 different countries.  The participants took part in highly realistic training scenarios involving homemade explosives, in order to improve skills and to share best practices. The training consisted of identifying, processing, and disposing of different types of  homemade explosives that can be found in improvised laboratories, such as those of criminals and/or terrorists.

The cooperation between EDA and Europol reflects the need for a combined civil-military approach to the threat not only of homemade explosives but the whole C-IED spectrum. This approach helps to ensure that there are clear lines of communication between the two and the need to share skills and experiences among military and civilian law enforcement agencies.

 

EU-US Cooperation

The course also showed the increasingly close ties between EU and US actors in the field of explosives security and safety issues with participation and support from the United States Department of Justice (DOJ), Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives (ATF), and the Federal Bureau of Investigation (FBI).

The course received very positive feedback from participants, with organisers looking at the possibility of arranging a second course to meet the high level of demand. 

The course forms part of EDA’s comprehensive approach to tackling improvised explosive devices (IEDs). These efforts include areas such as  the counter-IED Technical exploitation lab Level 2 Multinational Technical Exploitation Laboratory, MNTEL (D) which  has been stationed in Afghanistan since 2011, a Manual Neutralisation Techniques Category B programme, for which the first exercise will be held in September in Vienna (1 to 12 September), the Joint Deployable Exploitation Analysis laboratory (JDEAL) initiative, which its operational life is intended to start in November 2014 as well as another ongoing C IED related activities and projects.

 

More Information

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 11:50
Sweden and NATO: getting closer?

 

1st July 2014  – by Oscar Jonsson * - europeangeostrategy.org

 

Sweden has been described as the North Atlantic Treaty Organisation’s (NATO) number one partner, and is known for carrying a heavier defence burden than many Allied nations. In 2002, Sweden officially gave up public claims to neutrality in favour of being ‘alliance free’, and in 2009 Sweden issued a declaration of solidarity to its neighbours who, except for Finland, are all NATO members. Furthermore, back in 2004, Sweden started transforming its Armed Forces to provide shell-defence capabilities with the rationale of being part of an alliance.

 

Despite these moves, the legacy and self-perception of Sweden as a neutral state persists. It is for this reason that Sweden has preferred to focus on the development of the European Union’s (EU) Common Security and Defence Policy (CSDP). CSDP is a different animal to NATO, and more amenable to the interests of a neutral state. Think how CSDP is couched within the Comprehensive Approach, and therefore within a policy paradigm that emphasises non-military approaches to security (aid, trade, etc.). While Sweden has taken a lead role in pushing the EU Battlegroup concept, and has put its weight behind the whole CSDP project, disagreements over the Chad mission, French re-integration into the military structures of NATO and the hesitancy over the Libya intervention has effectively killed the Policy.

 

It has taken Sweden a long time to come to terms with the ‘death’ of the CSDP, but it is slowly doing so. This partly explains why Sweden has pushed for regional cooperation through Nordic Defence Cooperation (NORDEFCO); such regional arrangements are becoming the norm in Europe. Nonetheless, NORDEFCO is an unsatisfactory solution even though its members share a similar political culture and it could reduce materiel and training costs. The truth is that two important members of NORDEFCO –Norway and Denmark –are NATO members, and there is still a lack of unity between the members: observe how Norway opted for the United States’(US) F-35 over Sweden’s Gripen fighter.

 

Sweden is stuck in a ‘no mans land’with a major discrepancy between its security policy (which stipulates non-alliance) and its defence policy (which stipulates alliance). Sweden’s security policy is explicitly based on giving and receiving help from others in a time of crisis, but it is utterly unclear who would help Sweden in a given crisis. Given the status of the CSDP and NORDEFCO a major question needs asking: why is Sweden not a NATO member?

 

Sweden’s NATO debate

 

There are a number of strong arguments keeping Sweden out of NATO. Firstly, it is argued that at present Sweden has more influence over the US because it is not a member of the Alliance. Owing to Sweden’s contributions to international missions, its defence industry and its intelligence cooperation with the US vis-à-vis Russia, it is claimed that Sweden gets more attention from the US than it ever would as a NATO member. If Sweden were to join NATO, runs the argument, it would rather be subjected to complaints of under-spending rather than applause for its current contributions.

 

The second argument against Swedish NATO membership is that the Alliance can never be a substitute for the proper functioning of the Swedish Armed Forces. Given the vast finance problems within the Swedish Armed Forces, there is a big risk that NATO might hinder their development if Sweden were to join NATO too soon. At least, that is how it has certainly been sold in public debates. This is important because, as the crisis in Ukraine has showed us, when a crisis starts, you have what you have where you have it. And if you are going to receive support, it will take a while, even if you have prepared for such a crisis. In short, Sweden still needs to rely on its own forces especially considering that, as it is now, a Swedish capacity for territorial defence is lacking.

 

Thirdly, public support is often cited as a major means barring Sweden’s NATO accession. While support for Swedish membership has been increasing it still lies at around 30%. Interestingly, in the only poll made after the Ukraine crisis, support for NATO actually decreased.

 

Fourthly, and related to the issue of public opinion, is the position of the political parties. The biggest party of the ruling coalition, the Moderates, have listed three prerequisites regarding Sweden’s potential NATO membership. These prerequisites are: 1) it needs to be done with the support of the Swedish Social Democrats; 2) Finland must also join NATO; and, 3) there must be public support. These are all very reasonable arguments, but they all have problems attached to them.

 

Illogical arguments keeping Sweden out of NATO

 

It is, however, possible to refute logically, to a certain degree, all the arguments against Sweden’s membership of NATO. Firstly, seeking consensus with the Social Democrats is good, but the notion of Swedish neutrality is still embedded in the party’s image. For the Social Democrats to accept membership, they would need to re-write their history and image. So it would be difficult to join with them, but joining without their support would entail a fragile membership. The first prerequisite would therefore be difficult.

 

However, the second condition –Finland’s NATO membership –can be refuted. Indeed, Finland has so far investigated NATO membership three times and the country already has a strong territorial defence. This makes the issue of membership much more pressing in Sweden, whose defence forces are already transformed to be a part of an alliance and cannot perform credible territorial defence. Finland’s NATO membership should not pose an absolute hindrance to Sweden’s own accession.

 

The third condition – public support – cannot be seen as authoritative yet because the question has not been tried publicly. Public support is inconsistent and polls show that the public is not overwhelmingly pro-NATO, but the crux of the matter is that no one has driven the question. Rather, the Moderates, who are pro-NATO, want to silence the question because supporting membership would be politically costly. Yet the public opinion argument would not have been tested until the ministers stand up and tell the people of their conviction that NATO is best for the country.

 

Furthermore, it is illogical to argue that NATO, as an alliance based on the doctrine of nuclear deterrence, would hinder Sweden’s work for disarmament and peace. This has not hindered Norway playing a role in peace and disarmament, even though it is a NATO member. Other arguments that hold that NATO would force Sweden to spend 2% of GDP on defence are also wide of the mark. While there is undoubted pressure to spend more within NATO, most members of the Alliance do not presently meet the 2% threshold.

 

Finally, some believe that NATO would force Sweden to deploy troops to conflicts in which Sweden has no national interest. Decisions about deployment are taken by consensus in NATO, and not all members deploy troops to each and every NATO mission. Indeed, while it is true that there is more pressure as a NATO member to contribute to the Alliance, Sweden is already involved in a number of missions anyway. For example, Sweden joined the intervention in Libya in 2011 when only 15 out of 28 NATO members actually participated. Additionally, last spring Sweden contributed troops to NATO’s Response Force (NRF) and the country has played a role in the Provincial Reconstruction Teams in Afghanistan.

 

Sweden should join NATO

 

Sweden should join NATO but only if it does not lead to a further operational loss for the Swedish Armed Forces. Indeed, NATO would add three important factors to Sweden’s security and defence: 1) Article 5 of the North Atlantic Treaty (1949) would strengthen Sweden’s political deterrence and security; 2) it would allow Sweden to deepen cooperation with NATO and allow it to contribute to the development of the Alliance; and 3) membership would allow Sweden to undertake the military planning and exercises that our defence policy is built upon.

 

These are important considerations for a country like Sweden. The country is no longer ‘neutral’ and it has given a declaration of solidarity to its neighbours and to all EU member states, 90% of which are NATO members. It is an inescapable fact that the security of Sweden, particularly in the present context with Russia’s annexation of Crimea, is dependent on the strength of the country’s partners and institutions. While it will be challenging to convince all of Sweden that NATO membership is in the best interests of the country, being without NATO seems increasingly impotent in providing for Sweden’s security needs.

 

* Oscar Jonsson is a PhD-Candidate at the Department of War Studies King's College London. He has held positions in the Swedish Armed Forces and the EU Institute for Security Studies. He writes here in a personal capacity.

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2 juillet 2014 3 02 /07 /juillet /2014 11:20
Iceland-U.S. Defense Agreement ‘Model for Eastern Europe’

 

July 01, 2014 By Zoë Robert - icelandreview.com

 

Victoria Nuland, United States Assistant Secretary of State for European and Eurasian Affairs, has said that the U.S. defense agreement with Iceland is pioneering and should be used as a model, particularly for U.S. agreements in Eastern Europe.

 

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27 juin 2014 5 27 /06 /juin /2014 11:50
Ecoutes de la NSA : Berlin se passe de Verizon

 

27.06.2014 Le Monde.fr avec AFP et Reuters

 

Le gouvernement allemand ne veut plus de l'américain Verizon comme fournisseur de ses infrastructures de réseaux de télécommunications, en raison notamment de l'affaire d'espionnage de la NSA, a révélé jeudi un communiqué du ministère de l'intérieur.

 

« Le gouvernement allemand a l'intention de mettre fin au contrat existant avec le fournisseur américain Verizon », selon le communiqué. Un porte-parole a précisé à qu'il ne s'agissait pas d'une dénonciation du contrat ou d'une rupture anticipée des relations commerciales, mais d'une décision intervenue « dans le cadre du contrat existant », qui arrive prochainement à terme. « Les exigences à l'égard des infrastructures de réseau et les menaces qui pèsent sur les réseaux augmentent », par le biais de virus extrêmement dangereux par exemple, explique le communiqué.

 

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 16:50
Saber Strike 2014 - International Cooperation

 

25.06.2014 Puolustusvoimat – Försvarsmakten

 

Saber Strike 2014 is a U.S. Army Europe-led security cooperation exercise primarily focused on the three Baltic States.

 

Parts of a Finnish mechanized infantry batallion participated in the exercise in Latvia and Lithuania in july 2014.

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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 11:50
L'AATV (créditsG Belan)

L'AATV (créditsG Belan)

 

19 juin, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

L’industriel du terrestre américano-européen présente durant Eurosatory des véhicules légers qui viennent compléter sa gamme par le bas. Fort du succès de ses blindés de plus de 10 tonnes (Ascod, Piranha…), General Dynamics European Land Systems (GDELS), s’est associé à des industriels hollandais et s’attaque au segment des véhicules tactiques légers, avec déjà un certain succès.

 

Le nouveau véhicule tactiques des forces spéciales hollandaises

 

L’ATTV (Air Transportable Tactical Vehicle), basé sur un partenariat avec le hollandais Defenture Bv est une véhicule tactique léger de la classe des 3/4 tonnes. Transportable en hélicoptère lourd Chinook CH47, l’ATTV est basé sur un châssis civil tout droit venu du rallye Paris Dakar ! Basé sur un châssis tubulaire central, permettant une architecture ouverte du véhicule et un centre de gravité bas, le véhicule est propulsé par un moteur Steyr de 220 chevaux (170 km/h sur route et 90 km/h en tout terrain). Avec ses hautes capacités en terme de mobilité, 50 ATTV ont déjà été commandés par les forces spéciales hollandaises. Le véhicule de pré-série a déjà été livré aux forces néerlandaises qui mènent une campagne de test et les livraisons interviendront l’année prochaines.

Le Quad (crédits: G Belan)

Le Quad (crédits: G Belan)

 

Un Quad étonnant

 

Véhicule encore plus léger, GDELS (en partenariat avec Winro Bv) présente le Quad, une petite surprise. Propulsé par un surprenant moteur diesel trois cylindres de 54 chevaux (100 km/h en vitesse et 500 km d’autonomie), le quad a la particularité de disposer de deux axes directionnels. Ces caractéristiques lui permettent d’afficher des capacités étonnantes en terme de mobilité ! Les virages, traditionnellement délicats sur une telle machine, ne sont absolument plus un problème. Autre surprise du véhicule, sa charge utile : avec un poids de 500 kg, le véhicule peut prendre près d’une tonne de charge utile. Pas de commande encore enregistrée sur ce véhicule, mais vu les performances uniques de l’engin, des forces spéciales s’y intéressent déjà de très près.

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24 juin 2014 2 24 /06 /juin /2014 21:20
Le Kevlar est orphelin

 

20 juin, 2014 Frédéric Lert (FOB)

 

Qui connaissait Stephanie Kwolek ? Trop peu de monde sans doute… Stéphanie Kwolek, qui vient de décéder à l’âge de 90 ans, était une chimiste de talent employée par la firme américaine DuPont de Nemours. Au milieu des années soixante, elle découvra par hasard avec son collègue Herbert Blades un polymère liquide pouvant donner naissance à des fibres d’une exceptionnelle résistance. A la suite de cette découverte, la firme américaine réagit très rapidement en recherchant systématiquement toutes les applications possibles de cette fibre d’aramide qui prit le nom commercial de Kevlar. Bien évidemment, la fabrication de blindages alliant légèreté et résistance figura très vite sur la liste des applications possibles, parmi plusieurs centaines d’autres dans une immense variété de domaines. Stephanie Kwolek se disait très fière de savoir que même les chiens policiers pouvaient être équipés d’une veste de protection en kevlar. Sa réussite professionnelle lui permit également de militer pour une plus grande participation des femmes dans le milieu scientifique majoritairement masculin.

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24 juin 2014 2 24 /06 /juin /2014 16:20
Transatlantic reserve training

Clearing an area of dense forest for Osprey helicopters to use [Picture: UK MoD]

 

24 June 2014 Ministry of Defence

 

British Army reservists join American colleagues for 2-week exercise.

 

Commandos from 131 Independent Commando Squadron Royal Engineers, an Army Reserve squadron which provides engineering support to 3 Commando Brigade Royal Marines, took part in a 2-week exercise at Marine Corps Base Quantico in Virginia, USA.

Exercise Red Dagger 14 involved 65 commandos in total working alongside 60 marines from the US Marine Corps (USMC) and focused on integration between the 2 units and cross-training on US weapons and equipment.

Major Mark Normile, officer commanding 131 Commando, said:

The challenges of this exercise have tested everyone involved. This is a unique opportunity to train our reservists and prepare them to deploy and work alongside our US colleagues. It also provides everyone with an experience they won’t forget.

For Sapper Dan Lansley, aged 20, this was his first overseas exercise with 131 since passing the commando course in May. He said:

It’s been great working with the US marines. The highlight of the exercise so far has been the helicopter landing site, where we used heavy plant, chainsaws and explosives to clear a 100-metre-square area of dense forest for Osprey helicopters to use.

Training ranged from small arms and heavy weapons familiarisation shoots to demolition ranges. And it wasn’t just the British reservists who took something away from this overseas exercise.

Captain Ethan Akerberg, operations officer of Engineer Company C from 6th Engineer Support Battalion USMC, highlighted the benefits:

We’re used to working alongside other forces, especially in Afghanistan, but this is the first time we’ve operated with the Brits in such a close manner.

We have planned and executed this exercise in unison, and our soldiers and marines, operating in mixed squads under some very challenging conditions, have bonded very well.

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24 juin 2014 2 24 /06 /juin /2014 11:20
West Point ESM St-Cyr - photo West-Point.org

West Point ESM St-Cyr - photo West-Point.org

 

19 juin 2014 Vincent Dozol  - France-Amérique.com

 

Les échanges universitaires ne sont pas le seul cadre de formation de Français aux Etats-Unis. Grâce à un partenariat datant du début des années 70, environ cinquante-cinq militaires par an de la plus ancienne alliée des Etats-Unis sont accueillis dans les bases de l’armée américaine pour suivre des formations académiques ou opérationnelles de durées variables.

 

A l’heure du déjeuner, les cadets de la prestigieuse académie de l’Army (armée de terre) située à West Point (New York) se regroupent par section devant les différentes entrées de l’immense salle à manger. L’alignement est parfait. Les élèves, encadrés par les statues d’Eisenhower et de MacArthur, patientent dans un silence immobile. Au milieu de cet océan d’uniformes gris et de casquettes identiques surgissent parfois des tenues qui dénotent. Un jeune homme, tête nue, porte un treillis. C’est un étudiant de l’école spéciale militaire de Saint-Cyr, en formation à West Point pour un peu plus de deux mois.

 

La France continue d’investir dans la formation de son personnel militaire et envoie une petite partie des meilleurs d’entre eux se former aux Etats-Unis, pays incontournable dans le domaine de la défense. La crise économique a certes marqué l’armée française. Suite aux réductions budgétaires, certains observateurs se demandent si la décennie 2009-2019 ne sera pas celle du « déclassement militaire français ». La défense reste pourtant le troisième budget de l’Etat (31,4 milliards d’euros) et les partenariats de formation sont maintenus.

 

Une coopération continue et méconnue

 

Même en période de tension politique entre les deux pays, la coopération militaire s’est poursuivie et développée. L’intégration de militaires français dans des bases américaines relève de trois types de coopération : la formation académique et d’opération, la liaison ou l’échange. Les officiers de liaison sont en résidence sur de longues périodes, ils captent les dernières évolutions de doctrine et les font remonter au ministère de la Défense à Paris. Dans le cadre de l’échange, qui concerne un nombre très réduit de personnes, le soldat est complètement intégré dans une unité opérationnelle américaine, en général pendant trois ans. Il suit le même programme d’entraînement que son unité et, avec l’accord de la France, peut être envoyé en opération avec l’armée américaine.

 

La formation de militaires français aux Etats-Unis remonte au début des années 70. Huit cadets, alors en deuxième année à l’École de l’Air de Salon-de-Provence, sont les premiers à intégrer l’US Air Force Academy à Colorado Springs. Pour les forces armées transatlantiques, il s’agit de « forger des capacités opérationnelles entre la France et les Etats-Unis le plus en amont possible », alors que la France a quitté le commandement intégré de l’OTAN en 1966. Cette formation bénéficie plus tard à l’unité entière et permet une approche différente.

 

Le général Bruno Caïtucoli, chef de la mission de Défense à l’ambassade de France à Washington D.C., souligne l’importance de cette période d’exposition à la culture militaire américaine : « On a tendance à réduire ce type de coopération — dite d’intéropérabilité — à la simple dimension technique, comme la possibilité pour nos deux armées de communiquer par radio et d’éviter les surprises au moment des opérations communes. Mais c’est aussi un enjeu culturel, une façon différente d’aborder un problème qui enrichit en fin de compte les processus de décision. » Cette proximité s’est révélée déterminante lors des opérations conjointes récentes en Libye, au Mali et maintenant en Centrafrique. S’ils ne sont pas directement intervenus dans l’opération Serval, les Etats-Unis ont renforcé les échanges de renseignements et ont déployé des moyens de transports aériens au service des troupes françaises. La France s’est aussi retrouvée récemment seule aux côtés des Etats-Unis sur le point de déclencher des frappes aériennes en Syrie.

 

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 20:20
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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 18:54
Défense. Le Salon de l'armement bien morose

 

20 juin 2014 Philippe CHAPLEAU – Ouest-France

 

À Eurosatory, le Salon de l'armement terrestre, les exposants tentent d'ignorer la crise qui touche les budgets militaires.

 

La signature de deux ou trois beaux contrats très médiatisés ne doit pas cacher la réalité : le marché de l'armement et de la sécurité est touché de plein fouet par la crise économique et la fin des grandes opérations en Irak et en Afghanistan.

 

Eurosatory, qui se tient jusqu'à ce soir à Villepinte (Seine-Saint-Denis), est, à ce titre, une double vitrine : de la morosité budgétaire d'une part, de l'inventivité technologique et commerciale d'autre part. Ainsi, le fabricant américain de blindés Oshkosh a eu beau présenter son tout nouveau blindé M-ATV et sa variante destinée aux forces spéciales, il n'a pas réussi à faire oublier ses mauvais résultats et le licenciement de centaines d'employés.

 

Baisse du budget

 

Globalement, tous les fournisseurs d'équipements et de services américains sont en récession. La faute à la baisse du budget de la Défense, aux retraits d'Irak et d'Afghanistan qui font chuter les commandes des armées américaines. Face à cette crise, les industriels ont pris des mesures pour défendre leurs revenus et leur compétitivité : suppression d'emplois, ventes de filiales en mauvaise santé, fusions..., et recherches de nouveaux marchés.

 

Clairement, les ambitions sont dirigées vers l'Afrique et l'Asie, théâtres de crises en cours ou anticipées, ainsi que vers les opérations onusiennes de maintien de la paix. « Là, il y a encore de l'argent », résume l'un des dirigeants de SGF, entreprise française spécialisée dans la formation militaire. D'autres groupes tricolores ont créé des filiales à Washington pour être au plus près des centres de décisions. « Mais il n'y aura pas des contrats pour tout le monde », a prévenu le patron de DynCorp (17 000 employés), entreprise spécialisée dans le soutien militaire et sécuritaire.

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 16:20
A Rochefort, le pavillon DCNS flotte désormais dans la mâture de l’Hermione

 

DCNS Group

 

Porté par sa passion de la mer et son attachement au patrimoine maritime, DCNS se porte partenaire du voyage américain de l’Hermione, prévu au printemps 2015. A l’occasion des festivités marquant l’arrivée à Rochefort, via la Charente, du dernier des 26 canons de l’Hermione, Max Hoarau – directeur du site DCNS d’Angoulême-Ruelle – et Benedict Donnelly – président de l’association – ont scellé un partenariat riche de sens.

 

Samedi 21 juin, en présence des équipes de l’association et d’un large public, le 26e et dernier canon de la frégate a fait son arrivée sur la Charente, avant d’être transbordé à bord du navire. A cette occasion, Max Hoarau, directeur du site DCNS d’Angoulême-Ruelle, a fixé sur l’affût de ce canon une plaque aux couleurs de DCNS, pour symboliser le soutien que porte le Groupe au défi de l’Hermione.

Engagé dans la sécurisation et la valorisation durable des océans, DCNS a toujours eu une longueur d’avance dans la conception de nouveaux produits. Déjà, sous Louis XVI, le Groupe assurait à la France sa suprématie technologique en réalisant des vaisseaux de 74 canons qui ont longtemps été considérés comme les meilleurs au monde.

En soutenant l’aventure de l’Hermione, DCNS a souhaité rendre hommage aux savoir-faire historiques de la construction navale. Un patrimoine avec lequel le Groupe entretient une ascendance indirecte.

« Concentrés aujourd’hui sur la conception et la construction de navires de défense de hautes technologies, les collaborateurs DCNS entretiennent une passion pour la mer et ses métiers », a souligné Max Hoarau. Le soutien, exprimé en ce jour où le dernier canon est embarqué, est donc riche de sens. « Il s’agit d’abord d’un salut à notre histoire : le site de Ruelle, aujourd’hui site équipementier de haute-technologie, était autrefois une fonderie qui alimentait en canons l’arsenal de Rochefort. Mais ce partenariat est aussi un témoignage d’admiration et de fierté pour tous ces hommes amoureux de la mer qui entreprennent avec passion une aventure qui les mènera à traverser l’océan. »

Benedict Donnelly, président de l’association Hermione-La Fayette a salué cet engagement : « je remercie très chaleureusement DCNS de son soutien au voyage américain de l’Hermione, programmé au printemps 2015. Ce grand événement approche à grands pas, chaque mois compte. Nous sommes donc heureux de pouvoir compter sur de nouveaux partenaires avec qui nous partageons la passion de la mer. »

 

A Rochefort, le pavillon DCNS flotte désormais dans la mâture de l’Hermione

 

L’association Hermione-La Fayette

Depuis 1997, à Rochefort en Charente Maritime, l’Association Hermione-La Fayette pilote la reconstruction de l’Hermione, la frégate qui en 1780 emmena La Fayette en Amérique. Le projet est désormais entré dans sa dernière ligne droite, en avril 2015, l’Hermione, ce grand voilier de plus de 65 m de long, portant 3 mâts et 2 200 m2 de voilure, prendra la mer, avec un équipage de 78 hommes à son bord, pour son voyage inaugural transatlantique, sur les traces de La Fayette.

Le voyage durera près de 3 mois avec une dizaine d’escales symboliques dans les ports historiques de la côte est américaine, depuis Yorktown sa première étape, jusque Boston et pour finir Halifax au Canada.

Pour le trajet retour, la frégate est attendue à  Brest, sa première étape sur les côtes françaises, avant de rejoindre Rochefort son port d’attache à la mi-aôut.

 

DCNS : Sea the Future

DCNS est convaincu que la mer est l’avenir de la planète. Le Groupe invente des solutions de haute technologie pour la sécuriser et la valoriser durablement. DCNS est un leader mondial du naval de défense et un innovateur dans l’énergie. Entreprise de haute technologie et d’envergure internationale, DCNS répond aux besoins de ses clients grâce à ses savoir-faire exceptionnels et ses moyens industriels uniques. Le Groupe conçoit, réalise et maintient en service des sous-marins et des navires de surface. Il fournit également des services pour les chantiers et bases navals. Enfin, DCNS propose un large panel de solutions dans l’énergie nucléaire civile et les énergies marines renouvelables. Attentif aux enjeux de responsabilité sociale d’entreprise, le groupe DCNS est l’un des premiers acteurs de son secteur à avoir été certifié ISO 14001. Le Groupe réalise un chiffre d’affaires de 3,4 milliards d’euros et compte 13 600 collaborateurs (données 2013).

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23 juin 2014 1 23 /06 /juin /2014 06:50
source johnbrownnotesandessays

source johnbrownnotesandessays

 

20-06-2014 par - RFI

 

Que sait l’Allemagne des activités de la NSA sur son territoire ? L’hebdomadaire allemand Der Spiegel a publié le 18 juin une enquête reposant en partie sur des documents transmis par Edward Snowden. Ces informations mettent en lumière la coopération très poussée de la NSA avec les services de renseignement allemands.

 

Après la révélation de la mise sur écoute du téléphone portable de la chancelière allemande Angela Merkel, la classe politique allemande s’était indignée des pratiques de la National Security Agency (NSA). Le gouvernement allemand a ainsi envoyé à trois reprises une liste de questions aux Etats-Unis à propos de leurs méthodes d’espionnage, et une commission d’enquête parlementaire a été ouverte. La justice s’est elle aussi emparée du dossier, avec le lancement d’une enquête par le procureur général. Der Spiegel, dans son enquête du 18 juin, s’interroge : comment le gouvernement allemand peut-il être surpris alors que ses services de renseignements sont les principaux partenaires européens de la NSA ?

 

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 16:50
Royal Air Force B-2 exchange pilot

 

 

18 June 2014 Royal Air Force

 

Royal Air Force personnel exchange places with overseas counterparts to improve relationships and integration. Here Tornado GR4 pilot Flt Lt Ian Hart talks about the B-2A Spirit stealth bomber which he is currently flying in the USA.

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 11:50
PROTECTOR MCT-30 unveiling at Eurosatory

 

Jun 17, 2014 ASDNews Source : Kongsberg Gruppen

 

General Dynamics Land Systems and KONGSBERG will unveil its latest vehicle integration at Eurosatory. The PROTECTOR MCT-30 and LAV integration will be exhibited for the first time in Paris during the exhibition.

 

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17 juin 2014 2 17 /06 /juin /2014 11:20
Raytheon, Thales team to upgrade TOW missile

New variant will reduce cost, increase warfighter survivability

 

Jun 16, 2014 ASDNews Source : Raytheon Corporation

 

Raytheon Company (NYSE: RTN) and Thales have signed a 27-month development and five-year production agreement in support of future improvements of Raytheon's tube-launched, optically-tracked, wireless-guided (TOW) weapon system.

 

Thales has committed a £13.5M (~$20.2 million) investment in the design and qualification of two new TOW missile subassemblies that will address obsolescence, increase system fuze safety and reduce total missile cost.

 

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