11 janvier 2013 14h53 Romandie.com (AFP)

PARIS - Le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian s'est entretenu par téléphone de la crise malienne vendredi avec le secrétaire américain à la Défense Leon Panetta, et devait faire de même en fin de journée avec ses homologues britannique et allemand.

C'est le ministre lui-même qui en a fait l'annonce lors d'un déjeuner avec des journalistes au siège du ministère à Paris. Il a interrompu le déjeuner pour parler avec M. Panetta, a constaté un journaliste de l'AFP. M. Le Drian a précisé qu'il devait s'entretenir en fin de journée avec ses homologues Philip Hammond (Grande-Bretagne) et Thomas de Maizière (Allemagne).

Un responsable malien a assuré de son côté que des militaires européens, incluant des Français, étaient présents au Mali pour repousser toute avancée des islamistes vers le Sud.

L'armée malienne a déclenché vendredi matin une offensive contre les islamistes pour reprendre la localité de Konna, dans le centre, conquise la veille par les jihadistes. La contre-offensive, qui implique notamment des avions de pays amis, selon un officier de l'armée malienne, est conduite depuis Sévaré, localité à environ 70 km au sud de Konna, où l'armée dispose d'un poste de commandement opérationnel.

Le président François Hollande, qui doit s'entretenir mercredi à Paris avec le président malien Dioncounda Traoré, a indiqué vendredi que la France répondrait strictement dans le cadre de l'ONU à la demande d'aide de Bamako.

Dans une déclaration adoptée jeudi soir par ses 15 pays membres, le Conseil de sécurité de l'ONU a d'ailleurs demandé un déploiement rapide de la force internationale au Mali devant la grave détérioration de la situation sur le terrain.

Le ministre allemand des Affaires étrangères Guido Westerwelle a toutefois appelé vendredi à intensifier les efforts politiques pour résoudre la crise au Mali. Il n'y aura pas de solution uniquement militaire du problème du Mali, a-t-il mis en garde.

Jan 10, 2013 Source : US Air Force

The Air Force announced Altus Air Force Base, Okla. and McConnell AFB, Kan., as candidate bases for the KC-46A formal training unit (FTU) today.

Altus AFB, Fairchild AFB, Wash., Grand Forks AFB, N.D., and McConnell AFB, are candidate bases for the first active-duty led KC-46A main operating base (MOB 1).

Forbes Air Guard Station, Kan., Joint-Base McGuire-Dix-Lakehurst, N.J., Pease Air Guard Station, N.H., Pittsburgh International Airport Air Guard Station, Pa., and Rickenbacker Air Guard Station, Ohio, are candidate bases for the first Air National Guard led KC-46A main operating base (MOB 2).

"The KC-46A will have enhanced refueling capacity and capabilities, improved efficiency, and increased capabilities for cargo and aeromedical evacuation as compared to the KC-135R, making it a vital component to maintaining our global reach for years to come," said Gen. Mark Welsh III, Air Force chief of staff.

The major commands will conduct detailed, on-the-ground site surveys of each candidate base. They will assess each location against operational and training requirements, potential impacts to existing missions, housing, infrastructure, and manpower. Additionally they will develop cost estimates to bed down the KC-46A for each candidate base. Once the site surveys are completed, the results will be briefed to the secretary of the Air Force and chief of staff of the Air Force to select preferred and reasonable alternatives for the FTU and two operating locations. The Air Force plans to announce KC-46A preferred and reasonable alternatives and begin the Environmental Impact Analysis Process in spring 2013.

"Bringing the KC-46A online is an important step in recapitalizing a tanker fleet that has been a leader in air refueling for more than five decades," Welsh said. "This new age aircraft will achieve better mission-capable rates with less maintenance downtime, improving our ability to respond with rapid, global capability to assist U.S., joint, allied and coalition forces and better support humanitarian missions."

Welsh went on to explain that the 179 planned KC-46A aircraft are just the first phase of a 3-phase effort to replace more than 400 KC-135 and 59 KC-10 aircraft. The first phase of tanker recapitalization will complete deliveries in fiscal 2028. He went on to emphasize the importance of continuing KC-135 modernization efforts.

"I want to stress that the KC-135 units not replaced with the KC-46A will continue to fly the KC-135R for the foreseeable future," Welsh said. "Throughout tanker recapitalization, the Air Force is committed to ensuring continued support of combatant commander requirements."

"We are committed to executing a deliberate, repeatable and standardized basing process," said Kathleen Ferguson, Air Force principal deputy assistant secretary for installations, environment and logistics. "In this process, the Air Force uses criteria-based analysis and military judgment in its decision making."

"We look forward to the next phase when preferred and reasonable alternatives are announced and our candidate base communities have an opportunity to participate by providing input for the environmental impact analysis," Ferguson added.

The KC-46A will provide improved capability, including boom and drogue refueling on the same sortie, worldwide navigation and communication, airlift capability on the entire main deck floor, receiver air refueling, improved force protection and survivability, and multi-point air refueling capability.

The FTU and MOB 1 will begin receiving aircraft in fiscal 2016. MOB 2 will receive aircraft in fiscal 2018.

09/01 Alain Ruello, Les Echos

Face au coût prohibitif du F-35, Ottawa sonde les concurrents de Lockheed Martin. L'avionneur français est prêt à répondre à un appel d'offres.

Persuadé que le jeu en vaut la chandelle, Dassault va répondre à la demande d'information du Canada sur le Rafale. Mieux, si Ottawa décide de lancer un appel d'offres plutôt que de confirmer son intention d'acheter de gré à gré des F-35 à Lockheed Martin, l'avionneur français participera à la compétition. «  Il y a un coup à jouer. Le Canada est potentiellement le premier pays qui pourrait remettre en cause le F-35. Nous ne pouvons pas ne pas l'accompagner», assure aux « Echos » Eric Trappier, qui remplace aujourd'hui Charles Edelstenne au poste de PDG de Dassault.

La confiance affichée dans les chances du Rafale d'équiper un jour l'armée canadienne en surprendra plus d'un. De par sa proximité avec Washington, on imagine mal Ottawa acheter autre chose qu'américain pour un armement aussi stratégique.

C'est d'ailleurs ce que le gouvernement conservateur du Premier ministre Stephen Harper a décidé en 2010, en jetant son dévolu sur le F-35. Il s'agissait de remplacer 78 CF-18 vieillissants de Boeing par 65 exemplaires de l'avion furtif que Lockheed Martin vante comme le seul de cinquième génération. Sachant qu'Ottawa finance, avec sept autres pays, une partie du programme, il n'était pas illogique qu'aucun avion concurrent n'ait été envisagé.

Les choses en seraient restées là si le coût du F-35 n'en finissait pas d'exploser, au point que le programme est considéré comme le plus coûteux de tous les temps en matière d'armement. Au Canada, les critiques se sont faites de plus en plus virulentes pour dénoncer le manque de transparence d'un achat jugé déraisonnable. Cédant à la pression, Ottawa a commandé à KPMG un rapport indépendant pour faire le point sur le projet. Le verdict est tombé le 12 décembre, et il a fait l'objet d'une bombe.

Selon le cabinet d'audit, l'achat et la maintenance de 65 F-35 coûteront aux contribuables 46 milliards de dollars canadiens sur quarante-deux ans. Très loin des 16 milliards affichés en 2010 par le gouvernement ! Ce dernier s'est défendu en expliquant qu'il n'avait pris en compte que le prix d'achat des avions sortis d'usine, et sur vingt ans seulement. L'explication a fait pschitt...

Confiance de l'avionneur

Obligés de lâcher du lest, la ministre des Travaux publics, Rona Ambrose, et le ministre de la Défense, Peter MacKay, ont annoncé qu'ils allaient étudier des alternatives au F-35. Joignant l' acte à la parole, ils ont écrit à Boeing, EADS, Saab, et Dassault pour savoir ce qu'ils auraient à proposer. Au siège de l'avionneur français, à Saint-Cloud, son PDG peaufine sa réponse. «  Nous sommes prêts à expliquer ce que peut être une offre Rafale, ses capacités opérationnelles, et une coopération industrielle », assure Eric Trappier.

On en est cependant pas encore là car les autorités canadiennes n'ont pas précisé quand elles souhaitaient une réponse, et surtout ce qu'elles en feront. Pour nombre d'observateurs, il n'est donc pas certain que cette demande de renseignements signifie l'abandon de l'option F-35. Pour autant, Dassault estime que le Canada va sérieusement étudier ce que les concurrents de Lockheed Martin ont à proposer, à la différence des Pays Bas, et, surtout, du Japon. Quand, il y a quelques années, les militaires nippons sont venus lui faire miroiter la possibilité d'un appel d'offres ouvert, Charles Edelstenne les avait éconduits poliment, persuadé que ses visiteurs n'avaient qu'un but : se servir du Rafale comme d'un lièvre pour que Lockheed Martin baisse ses prix.

Bien que très prudent, Eric Trappier pense que ce ne sera pas le cas au Canada, où «  il y a un vrai problème politique par rapport au prix » du F-35. «  Il y en a un qui y croit, c'est Boeing, alors pourquoi pas nous ? Moi j'y crois », poursuit-il, convaincu que le Rafale constitue «  une des meilleures alternatives », comme l'a confirmé sa sélection par l'Inde. A l'en croire, ses équipes suivent le dossier depuis plusieurs mois et préparent des partenariats avec des entreprises locales.

4 Jan 2013 By Craig Hoyle - FG

London - The UK's urgent requirement to field a maritime unmanned air system capability from later this year appears to have narrowed to a fight between Boeing and EADS company Cassidian, with two other potential contractors understood to have opted against tabling bids.

Boeing Defence UK is offering the Boeing/Insitu ScanEagle for the initially two-year requirement, while Cassidian has confirmed pitching the AAI Aerosonde. Also invited to tender for the deal last November, Lockheed Martin UK Integrated Systems and Qinetiq both decided not to submit proposals before an 18 December deadline, says an industry source.

The Ministry of Defence has previously outlined a goal to contract a bidder for the maritime UAS deal by early February. Its requirement is for a contractor-owned and contractor-operated system to initially be launched from and recovered to Royal Fleet Auxiliary vessels, before also later being flown from the RN's Type 23 frigates.

An aircraft endurance of 8h is sought while carrying a surveillance payload including at least an electro-optical/infrared sensor and while operating 32nm (59km) from the launch vessel. A commercial off-the-shelf system is mandated, due to the short programme schedule.

The urgent operational requirement deal seeks an initial single "task line" capable of providing 300h of intelligence, surveillance and reconnaissance cover per month, with a second line to be added later. The contract will run until at least 31 May 2015.

Cassidian says its Aerosonde proposal requires no deck alterations to UK ships, includes a small logistical support footprint and is backed by the provision of experienced UAS operators. It also claims to be able to offer "more interoperability options through Astrium with the other services," referring to the UK's military satellite communications infrastructure.

Confirming its withdrawal from the process, Qinetiq says that while it believed its industry team had come up with "the most capable solution" for the deal, "following discussion with the MoD on the nature of their requirement we feel that it is not possible to meet the timescales demanded without introducing unacceptable levels of programme risk to the user. Hence, we have reluctantly decided not to proceed at this time".

Lockheed was unavailable for comment.

4 janvier Aerobuzz.fr

L’avionneur américain Northrop Grumman ne sera pas présent au salon du Bourget 2013. La firme américaine explique qu’elle souhaite faire des économies qui lui permettront d’être plus présente en Australie et au Moyen Orient.

Dec. 19, 2012 - By PIERRE TRAN  - Defense News

ISTRES, France — French defense officials were in the United States recently for talks on a possible procurement of the Reaper medium-altitude long-endurance (MALE) UAV, a defense official here said Dec. 19.

The French officials were in “Washington D.C. last week” for discussions on the General Atomics’ Reaper under the Foreign Military Sales program, the official told journalists at a press conference for the French-led Neuron UCAV demonstrator program.

France’s previous administration shelved the Reaper in favor of the Israeli Aerospace Industries’ Heron TP for an interim MALE UAV. But the arrival of the Socialist government in June led to a rejection of the Heron TP selection and a fresh look at the U.S.-built drone.

The interim MALE UAV is intended to fill a capability gap until a new generation air vehicle is built with Britain under a cooperative program, which French officials say is open to other European partners.

The official was speaking after a high-profile presentation of the stealthy, swept-wing Neuron air vehicle, which made a 10-minute autonomous flight at the flight test center of the Direction Générale de l’Armement (DGA) procurement office.

Dassault Aviation is the prime contractor on the Neuron, while the DGA is the lead agency for the six countries signed up to the program — France, Italy, Greece, Spain, Sweden and Switzerland.

Dassault chief executive Charles Edelstenne highlighted the European cooperation aspect of the 405 million euro ($538 million) program, half of which came from France.

The cooperative program drew on four conditions, he said. The conditions were a strong political and budgetary commitment from the six countries; a clear and simple program management structure with one government agency and one prime contractor; industrial contributions based on established competence; and finally use of a single common industrial language on a cooperative virtual platform.

The competences developed on the Neuron will feed into work on a next generation combat aircraft, whether manned or unmanned, and which would be a European cooperative project, Edelstenne said.

Italy is keen to continue work on any follow-on program, while Germany shows no real signs of interest for the time being, the defense official said.

Dassault leads the industrial partners Alenia Aermacchi for Italy, EADS CASA for Spain, Hellenic Aerospace Industry for Greece, Ruag for Switzerland, Saab for Sweden.

France launched the Neuron project in 2003. The other countries signed up later, and a contract was signed in 2006.

The Neuron air vehicle will now undergo a two-year flight test campaign, with flights in France, Sweden and Italy, including weapons launch.

WASHINGTON, Dec. 20 (UPI)

Maintenance and repair services for security systems for customers of the U.S. Army Corps of Engineers will be provided by Siemens Government Technologies.

The services include maintenance and repair of electronic security, access control points, utility monitoring and control and physical security systems at domestic and overseas U.S. facilities.

"Siemens is a trusted technology partner for smart, safe and secure buildings and installations," said Judy Marks, president and chief executive officer of Siemens Government Technologies Inc. "We are excited to extend our offerings through this contract and we are committed to delivering mission success affordably and efficiently for our government customers."

Work will be performed under a multiple awardee Army Maintenance Services contract, which has a one-year base period and four option years. The shared contract has an overall value of $315 million.

Siemens Government Technologies noted it has extensive experience in the area of managed services and is a prime contractor for federal government organizations such as the Department of Homeland Security and U.S. Army Corps of Engineers.

ATHENES, 17 décembre - RIA Novosti

La Bulgarie s'est déclarée prête à accueillir sur son territoire un contingent militaire américain permanent, rapporte lundi le quotidien bulgare Troud.

Les autorités bulgares estiment que la présence des militaires américains dans le pays aidera à renforcer la sécurité dans la région ainsi qu'à améliorer la formation des soldats bulgares, écrit le journal au terme de la visite du ministre bulgare de la Défense Aniou Anguelov aux Etats-Unis.

Les Etats-Unis utilisent actuellement trois sites militaires bulgares, dont le polygone de Novo Selo près de Sliven (est), ainsi que les bases aériennes de Bezmer près de Yambol (sud-est) et de Graf Ignatievo près de Plovdiv (sud) en vertu d'un accord conclu en 2006. Depuis cette date, Washington a investi près de 60 millions de dollars dans la reconstruction du polygone à Novo Selo.

L'accord de 2006 prévoit également le stationnement de 2.500 militaires américains en Bulgarie avec la possibilité d'augmenter leur nombre jusqu'à 5.000 pour un délai de trois mois.

Pour le moment, aucun document officiel sur l'élargissement de la présence militaire américaine sur le territoire bulgare n'a été signé, indique le Troud.

Dec 11, 2012 ASDNews Source : BAE Systems PLC

BAE Systems has received a $35 million order from the U.S. Defense Logistics Agency (DLA) for the production of tactical vests equipped with body armor.

Improved Outer Tactical Vests (IOTV) include both soft-armor ballistic inserts and hard-armor plates, which provide Soldiers with lighter weight, advanced features and increased mobility in the field.

"This tactical vest is a necessary and life-saving piece of equipment for the Soldier,” said Eric Gavelda, director of Warfighter Protection at BAE Systems’ Protection Systems business. “The vest helps shield vital organs and protect against a variety of battlefield threats. Our ultimate goal is to help our warfighters return home safely to their families.”

The IOTV is the most widely deployed bullet and fragmentation protection soft armor system for the Department of Defense. Since 2007, BAE Systems has produced more than 800,000 outer tactical body armor vests for U.S. troops serving in Iraq, Afghanistan and around the world.

DLA Troop Support ordered the vests as part of a four-year contract issued in March, which could reach a cumulative value of $267 million. BAE Systems has thus far received a total of $83 million under the contract. Production will occur at the company’s Jessup, Pennsylvania facility, and this order is scheduled to be complete by October 2013.

December 1, 2012: Strategy Page

The U.S. Army has bought another 34 twin engine UH-72A ("Lakota") Light Utility Helicopters, for $5.4 million each. Additional electronics and anti-missile systems add several millions to the cost per chopper. With the new order the army has bought 312 of the 345 UH-72As it plans on getting. Most have already been delivered.

Built by European firm EADS, the UH-72A is a militarized version of the EC145, a helicopter long popular with law enforcement agencies, including the FBI. The EC145 was introduced eight years ago and has been very popular with its users. The UH-72A purchase is a side effect of the cancellation of the Comanche scout helicopter eight years ago (mainly because of constantly increasing costs). Comanche was perceived as too expensive and complex. The UH-72A mainly replaces the few remaining UH-1 (“Huey”) helicopters, which are being retired because of old age.

The UH-72A has about the same capacity as the UH-1, despite its smaller size. The 3.6 ton UH-72A has a top speed of 260 kilometers an hour and a max range of 660 kilometers. Average endurance per sortie is about two hours. The helicopter has a crew of two and can carry up to eight passengers or about three-quarters of a ton of cargo or weapons. The UH-72A has been popular with its users and has had a readiness (for flying) rate of 90 percent.

There is also an AAH-72X armed scout version in development, which can carry about a ton of weapons (machine-gun pod, plus guided and unguided rockets) and sensors and is competing to become the new armed scout helicopter and replace the Vietnam era OH-58D. The AAH-72X is basically an armed version of the new UH-72A, with added electronics to make it an all-weather aircraft and more aware of its surroundings. This is part of a second attempt to obtain a new scout helicopter. An earlier (2005) competition had been won by the ARH-70 but that contract was canceled after the manufacturer increased the price by 70 percent (to $14.5 million per helicopter). The AAH-72X has an inside track because the military is pleased with the UH-72A.

ELGIN, Okla., Dec. 7 (UPI)

BAE Systems is expanding its work at Elgin, Okla., to complete low-rate initial production of the Paladin Integrated Management self-propelled howitzer system.

The U.S. Army's PIM LRIP award, slated for the third quarter in 2013, follows successful design and development work at BAE Systems' York, Pa., facility and recent user tests in Arizona.

BAE Systems said that as part of the PIM LRIP program, employees at the Elgin facility will complete final integration, assembly and testing of 72 PIM systems -- including vehicle chassis -- for the 155mm weapon.

The company's facility is in the Fort Sill Industrial Park, home of the U.S. Army field artillery.

"This is a great opportunity for the company to work even closer with the Artillery Center of Excellence and local industry in the Elgin-Lawton area," said Mark Signorelli, vice president and general manager of vehicle systems at BAE Systems.

"Being this close to Fort Sill allows us to access a highly skilled and experienced artillery workforce, while enabling a time and cost-saving transition of the PIM vehicles from production to verification."

07/12/2012 Armée de l'air

Du 3 au 7 décembre 2012, la 4e édition du séminaire « Workshop » réunissant l’armée de l’air française, l’US Air Force (USAF) et la Royal Air Force (RAF) s’est déroulée sur la base aérienne 942 de Lyon Mont-Verdun.

Ce Workshop trilatéral a rassemblé une cinquantaine d’officiers supérieurs français, anglais et américains, experts dans le domaine du commandement et de la conduite des opérations aériennes. Parmi eux, le général Philippe Montocchio pour la France, le général Bergeson pour les États-Unis et l’Air Commodore Sampson pour le Royaume-Uni, sous l’encadrement du général Patrick Charaix, commandant les forces aériennes stratégiques.

Trois groupes de travail – stratégique, opérationnel, technique – ont été mis en place ainsi qu’un groupe d’officiers généraux chargés de discuter des problématiques politico-militaires. La synthèse de ces travaux a été présentée le 6 décembre, par visio conférence (VTC), entre les trois centres de commandement et de conduite des opérations aériennes de Lyon Mont Verdun (France), Ramstein (US), et High Wycombe (UK). Puis, le 7 décembre, aux chefs d’état major des trois armées de l’air par VTC sécurisée depuis Paris.

Ces réflexions contribueront à une meilleure préparation des trois armées de l’air, seules forces aériennes occidentales disposant d’un spectre complet de capacités cohérentes dont celle d’entrer en premier sur un théâtre d’opérations aériennes. Les investissements trilatéraux d’aujourd’hui concourent à établir une confiance mutuelle, véritable pierre angulaire des réussites opérationnelles de demain. Le responsable de l’initiative trilatérale au sein de l’armée de l’air est le colonel Olivier Erschens, directeur adjoint du centre d’études stratégiques aérospatiales (CESA) et chef de la division stratégie.

Genèse des "Workshops" trilatéraux

D’après le colonel Cyril Carcy, officier d’échange français auprès du Strategic Studies Group de l’US Air Force, « Le partenariat trilatéral qui unit l’armée de l’air à l’USAF et à la RAF, au niveau stratégique, a été initié par les trois chefs d’état-major dès 2010, afin de renforcer la connaissance et la confiance mutuelles des trois armées et de mieux répondre aux défis communs auxquels nos forces aériennes ont et auront à faire face. »

Les « Workshops » ont donc pour objectif de développer les échanges, les visions et la culture stratégique commune des trois armées de l’air en identifiant les divergences organisationnelles et en proposant des initiatives pour accroitre la coopération. L’organisation d’un quatrième « Workshop » à Lyon Mont-Verdun s’inscrit dans la lignée des précédents (Paris en 2011, Grande-Bretagne et Etats-Unis en 2012) et porte en particulier sur la conduite des opérations aériennes et le partage de l’information.

Au delà de ces séminaires, l’opération en Libye et les exercices communs ont contribué à renforcer la confiance entre les trois Nations. Mais l’opération Harmattan a également mis en exergue des axes d’amélioration, en particulier dans les domaines du partage de l’information et de la gestion des cibles en coalition. Les « Workshops » constituent des jalons qui permettent d’alimenter d’autres travaux (tribunes, articles, réflexions doctrinales) et de poursuivre la dynamique trilatérale au meilleur niveau. Afin d’assurer cette mission, les colonels Emmanuel Caboche et Cyril Carcy ont chacun été insérés au sein des armées de l’air britannique et américaine en tant qu’officier d’échange.

La 4e édition a rassemblé une cinquantaine d’officiers supérieurs français, anglais et américains

03 December 2012 Thales

Arlington VA, 30th November 2012 – Thales, a global technology leader for the Defence, Security, Transportation, Aerospace and Space markets will participate in I/ITSEC 2012, the world’s largest modelling, simulation and training conference, held at the Orange County Convention Center, Orlando, Florida from 3rd to 6th December 2012.

Covering the range from training equipment to turnkey training services, the Thales ethos is to act as a partner, understanding the changes that must be made in order to adapt our training solutions. Thales is committed to providing a service quality that guarantees performance and system availability in five areas which will be on show at I/ITSEC 2012 :

Firstly, Directed-Fidelity® delivers customized, targeted training solutions to customers based on an end-to-end analysis. Through close work with customers to discover their key requirements, Thales Directed-Fidelity® aims to blend the best mix of live and synthetic training to ensure that all individuals are optimally trained.

Thales’s sophisticated Combat Training System, designed for combined land forces, links together various simulators to perform the full spectrum of military operations in a digitized battlespace environment. Thales is a key provider of Land Forces Training Systems, from Armored Vehicle gunnery and driving to Small Arms training and live training within Combat Training Centers, which will be demonstrated on Thales’s stand 1000.

The Helicopter Mission Training zone will display Thales’s range of training devices for high-value mission and tactical training. The outstandingly realistic visual displays and faithful replications of cockpits within the Thales system resemble the exact flight crew environment, resulting in a superior training system which can be used from ground school to pre-deployment.

Reality H, Thales’s high fidelity Helicopter Full Flight Simulator, will also be on show on the Thales stand this year. This mission-orientated training system is already in service around the world, providing improved operational efficiency and high quality training supported by a powerful image generation system, full instructor control and high accuracy motion and controls.

Thales is a major leader in the area of Mission Training for complex missions such as Air Tanker training, Land Forces operations or Urban operations. As an illustration, Thales will be displaying its capabilities in Synthetic Environments for Mission Training via video on the stand.

Thales endeavours to be the partner of choice in the provision of the finest training services and simulation equipment, to introduce innovative new solutions in all our fields of operation and to ensure our customers benefit from the best solutions.