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18 juin 2012 1 18 /06 /juin /2012 17:24

JSF--Joint-Strike-Fighter--JSM--Joint-Strike-Missile--MoD-N.jpg

 

Un JSF (Joint Strike Fighter) et deux JSM (Joint Strike Missile) (MinDéf Norvégien)

 

Juin 18, 2012 Mieszko Dusautoy (Bruxelles2)

 

La Norvège a annoncé vendredi (15 juin) l’achat des deux premiers chasseurs F-35 suite à l’accord des américains, reçu plus tôt dans la semaine, sur l’intégration de missiles JSM (Joint Strike Missile) à ces avions. C’était une condition pour la Norvège, qui développe ces missiles. Le ministre de la défense norvégien, Espen Barth Eide, a donc autorisé la commande des avions à l’industriel américain Lockheed Martin.

 

Les missiles JSM, produits par l’entreprise norvégienne Kongsberg, sont complémentaires du JSF F-35 puisqu’ils permettent de viser à la fois des cibles navales et terrestres. Un marché qui représenterait au total entre 3,3 et 4,2 milliards de dollars pour ces JSM.


Les deux premiers chasseurs commandés correspondent au modèle à atterrissage et décollage « conventionnel » (F-35 A). Ils devraient être suivis par une seconde paire en 2016, puis 47 autres à partir de 2017.

 

L’augmentation de budget que représente le financement des F-35 a été approuvé par le parlement norvégien jeudi (14 juin), notamment grâce aux fonds qui vont être redistribués suite au désengagement en Afghanistan.

 

Lire aussi:
- JSF / F- 35 : un programme ambitieux mais plus coûteux que prévu…
- JSF / F35 : un prix qui s’envole, un rapport canadien qui décoiffe

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17 juin 2012 7 17 /06 /juin /2012 17:14

Copie de CDPH-2603 145

 

15/06/2012 MER et MARINE

 

Conçu notamment pour le secteur offshore et le sauvetage en mer, l'hélicoptère hybride d'Eurocopter s'est posé le 12 juin sur le sol américain. Dans le cadre d'une tournée de présentation d'un mois, cet appareil de transport à grande vitesse démontrera toute l'étendue de ses capacités opérationnelles aux opérateurs civils et militaires. Le X3 est arrivé au Texas à bord d'un avion cargo spécialement affrété depuis le Centre d'essais en vol d'Istres, dans les Bouches-du-Rhône.


Au cours de sa tournée estivale aux Etats-Unis, l'appareil fera escale dans cinq villes pour présenter les exceptionnelles performances obtenues en conjuguant les capacités de vol stationnaire d'un hélicoptère avec la vitesse de croisière d'un avion à turbopropulseurs. Outre les démonstrations en vol réalisées par l'équipe d'essais d'Eurocopter, le X3 sera également mis à la disposition, aux fins d'évaluation, de certains opérateurs civils et de membres des forces armées américaines.


Le X3 (© : EUROCOPTER - PATRICK PENNA)

La vitesse de 232 noeuds franchie

Tout au long des essais effectués au Centre d'essais en vol d'Istres, le X3 a franchi sans difficulté l'objectif de vitesse initialement fixé à 220 noeuds, dépassant même les 232 noeuds (430 km /h) lors de vols en palier, en utilisant 80 % de sa puissance disponible. Confirmant son excellent comportement en vol, sa manoeuvrabilité, ainsi que ses exceptionnelles capacités d'accélération et de décélération, l'appareil hybride a atteint des vitesses de montée et de descente sans équivalent et affiché un très faible niveau de vibrations, sans recourir à des systèmes de réduction active ou passive des vibrations, explique Eurocopter. « Alors que nous avons réalisé des essais extrêmement satisfaisants en Europe, cette tournée du X3 aux Etats-Unis va permettre de souligner la maturité de la solution imaginée par Eurocopter pour des usages où le succès des missions dépend de la réduction du temps de vol, la vitesse maximale obtenue en vol de croisière, associées à un coût opérationnel raisonnable », précise Lutz Bertling, président d'Eurocopter. « Il est important de démontrer comment nous appliquons notre capacité d'innovation pour répondre aux attentes du marché en faisant appel à des solutions disponibles dès aujourd'hui et qui assurent une vitesse de croisière supérieure de 50 % à celle d'hélicoptères ordinaires, le tout à un coût extrêmement abordable et avec des augmentations de productivité significatives ».


Le X3 (© : EUROCOPTER - PATRICK PENNA)

Utilisations marines civiles et miliaires

Le démonstrateur X3 est équipé de deux moteurs qui propulsent un rotor principal à cinq pales et de deux hélices installées de part et d'autre de l'appareil sur des ailes de courte envergure. Un large éventail d'utilisations est envisagé pour le X3 : missions de recherche et sauvetage (SAR) sur de longues distances, patrouilles de garde-côtes, missions de surveillance aux frontières, transport de passagers, transfert de personnel vers les plateformes offshores et navettes interurbaines. Selon son constructeur, cet appareil conviendra également aux missions militaires dans le cadre des opérations des forces spéciales, au transport de troupes, aux missions de recherche et sauvetage au combat et aux évacuations médicales. Toutes ces missions pourront s'appuyer sur une vitesse de croisière élevée et d'excellentes performances de décollage et d'atterrissage verticaux.


Le X3 (© : EUROCOPTER - PATRICK PENNA)

Moins de trois ans de développement

Moins de trois ans ont suffi à Eurocopter pour développer cette configuration hybride, depuis le concept jusqu'au premier vol. Après avoir décollé pour la première fois en septembre 2010, l'enveloppe de vol de l'appareil s'est rapidement ouverte, l'objectif de vitesse initial fixé à 180 noeuds (333 km/h) lors d'un vol en palier étant atteint à peine quelques semaines plus tard. Les vols ont repris en mars 2011 suite à l'intégration des boîtes de transmission définitives, une modification prévue et destinée à parvenir à un fonctionnement à plein régime. Le X3 a ainsi pu dépasser sans difficulté son objectif de vitesse de croisière initial en maintenant une vitesse supérieure à 220 noeuds (407 km/h).

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17 juin 2012 7 17 /06 /juin /2012 07:40

2010 JSM bilde Mediafoto source kongsberg.com

 

Jun 15, 2012 ASDNews Source : Kongsberg Gruppen

 

Norway and USA agree to collaborate on integration of Joint Strike Missile (JSM) on F-35. This opens great opportunities for KONGSBERG and other Norwegian industry.

 

Today Defence Minister Espen Barth Eide announced that the Norwegian Government has decided to start the process to finalize the development of JSM and integration on F-35. The decision comes as a consequence of Secretary of Defense Leon Panetta’s confirmation of US support for integration.

 

Through the development of the Naval Strike Missile (NSM), the Norwegian Armed Forces has established KONGSBERG and other Norwegian industry in the top tier as a supplier of long-range, precision strike missiles that will meet military requirements in a 20 to 30-year perspective.

 

“It is of great importance that the US authorities have confirmed their support for the integration of the JSM on the F-35. In doing so, the operational needs of the Norwegian Armed Forces and international partners will be met. Furthermore, this will be an important contribution to the industrial content of the F-35 procurement. JSM is the world leader in its category and further strengthens the F-35's operational capacity", states Walter Qvam, CEO of KONGSBERG.

 

“KONGSBERG has involved a number of Norwegian subcontractors in the first phases of the JSM development. Today's decision for the integration of JSM on F-35 open up new opportunities for a long-term Norwegian industrial success that may be worth as much as NOK 25 billion. In future full-scale production, the JSM programme could translate into 450 jobs at KONGSBERG and significant assignments for more than 100 Norwegian subcontractors for several decades", comments Harald Ånnestad, president of Kongsberg Defence Systems.

 

As part of the JSM development programme, new operational capabilities will be developed and tested for subsequent upgrading of KONGSBERG's Naval Strike Missile (NSM). The NSM is now in production for the Armed Forces of Poland and Norway.

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17 juin 2012 7 17 /06 /juin /2012 07:40

Medium-Extended-Air-Defense-System.--LOCKHEED-MARTIN-.jpg

 

Italy's defense minister and a German legislator have sent letters to top U.S. officials, urging the U.S. to continue funding the Medium Extended Air Defense System. (LOCKHEED MARTIN)

 

Jun. 14, 2012 By Tom Kington – Defense news

 

ROME — Italian and German officials have warned U.S. Defense Secretary Leon Panetta and the chairman of the U.S. Senate Armed Services Committee that a U.S. plan to kill off development of the Medium Extended Air Defense System (MEADS) would seriously damage trans-Atlantic ties.

 

The U.S. has already decided not to purchase the theater-based missile defense system it developed with Germany and Italy. But it had agreed to fund the program through the “Proof of Concept” phase in 2014, which would allow technologies to be harvested, even if the system were not purchased.

 

Plans changed, however, when the U.S. National Defense Authorization Act for 2012 required the termination of MEADS before then, with no funding for 2013.

 

Three congressional committees have turned down the Obama administration’s request for $400 million to complete testing, although the Senate Appropriations Committee is yet to vote on the measure.

 

In a letter to Panetta seen by Defense News, Italian Defense Minister Giampaolo di Paola said the U.S. decision is “causing great concern” in Italy and Germany.

 

“Three committees have zeroed the expected U.S. financial contribution for the year 2013, and this virtually means the termination of the program even before the conclusion of the internationally agreed Design and Development phase,” he wrote.

 

The defense minister urges Panetta to intercede with the Senate Appropriations Committee to restore the funding, warning that the design and development results would be “fundamental” to Italy’s contribution to NATO missile defense work. The MEADS program continues to have “an incredibly relevant political aspect” as regards trans-Atlantic cooperation, he added.

 

A second letter, dated June 13, sent by German Bundestag member Ernst-Reinhard Beck to the chairman of the Senate Armed Services Committee, Sen. Carl Levin, D-Mich., contains more forceful language.

 

Beck asks how the U.S. can demand Europe contribute to missile defense efforts while it bails out of a “prime example” of trans-Atlantic cooperation.

 

“This is critically important to the U.S. relationship with Germany, Italy and its NATO alliance as a whole,” states the letter, which has been seen by Defense News.

 

If the U.S., as planned, scraps its 2013 funding for MEADS, thus “breaking our transatlantic agreement,” writes Beck, it “will probably cause significant financial and national security relationship challenges between trusted partners in the future.

 

“The U.S. Congress must be very aware that a pull-out on its final MEADS commitment has broad implications, and it will have long-term impacts on other multinational cooperative projects,” Beck writes.

 

Designed to replace the Patriot anti-missile system, the air-transportable MEADS is 58 percent funded by the U.S., with Germany and Italy funding 25 percent and 17 percent, respectively. Lockheed Martin leads an industrial team that includes the Italian and German units of European missile house MBDA.

 

Since the news last year that the U.S. would not buy MEADS, Germany and Italy have begun to plan how they can derive benefits from the technologies contained in the system’s radar, battle management system and launcher.

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17 juin 2012 7 17 /06 /juin /2012 07:10

C-130J-30-source-asdnews.jpg

 

Jun 14, 2012 ASDNews Source : Defense Security Cooperation Agency

 

The Defense Security Cooperation Agency notified Congress today of a possible Foreign Military Sale to the Government of Norway for 2 C-130J-30 United States Air Force (USAF) baseline aircraft and associated parts, equipment, logistical support and training for an estimated cost of $300 million.

 

The Government of Norway has requested a possible sale of 2 C-130J-30 United States Air Force (USAF) baseline aircraft, 9 Rolls Royce AE2100D3 Engines (8 installed and 1 spare), countermeasure systems, aircraft modifications, Government Furnished Equipment, communication equipment and support, tools and test equipment, publications and technical documentation, personnel training and training equipment, U.S. Government and contractor engineering, technical and logistics support services, and other related elements of logistical and program support. The estimated cost is $300 million.

 

This proposed sale will contribute to the foreign policy and national security of the United States by helping to improve the security of a NATO ally. Norway has been a strong partner in coalition operations in Libya, Iraq and Afghanistan, and has provided support in the Balkans, the Baltics, and the NATO training mission in Iraq (NTM-I). Norwegian efforts in peacekeeping and humanitarian operations have made a significant impact on regional political and economic stability and have served U.S. national security interests.

 

Norway intends to use these aircraft in support of NATO-International Security Assistance Force (ISAF) missions in Afghanistan. Norway needs these aircraft to fulfill national and international airlift commitments and requirements, and to increase its capability to provide intra-theater lift for its forces. These aircraft will also increase Norway’s ability to assist in disaster relief, humanitarian missions, and military deployments in the future. The Royal Norwegian Air Force, which already operates C-130Js in Norway and in support of operations worldwide, will have no difficulty absorbing these additional aircraft.

 

The proposed sale of this equipment and support will not alter the basic military balance in the region.

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16 juin 2012 6 16 /06 /juin /2012 12:05

F-35A Eglin source Defensetech.org

 

15 Jun 2012by Dominic Perry – FG

 

London - Norway has finally committed to the Lockheed Martin F-35A after securing guarantees from the USA over opportunities for Norwegian industry.

 

Key to the deal for as many as 52 aircraft - at an estimated NKr60 billion ($10 billion), the largest public procurement project in the country's history - was confirmation from the US authorities of their support for the integration of the Kongsberg-developed Joint Strike Missile (JSM) on to the F-35. The air-launched missile will be suitable for carriage in the F-35's internal weapons bays.

 

This guarantee was delivered to the Norwegian minister of defence Espen Barth Eide in a letter from his US counterpart Leon Panetta earlier this week.

 

Eide says: "Securing such support has been an important pre-condition for many of our partner nations before they themselves commit to supporting the JSM.

 

"With such support finally in place, there is now a significant potential for the missile among future operators of the F-35."

 

Norway estimates the total market potential for the JSM to be NKr20-25 billion.

 

Two aircraft have been ordered under today's agreement, with a second pair "expected" to arrive in 2016, says the Norwegian ministry of defence. These will be based in the USA "as part of a joint training centre", it adds.

 

Up to 48 additional aircraft could follow, with the majority stationed at the Norwegian air force's Ørland base in central Norway. A small forward operating base will be established at Evenes in the north of the country to provide quick-reaction cover.

 

On 14 June, Norway's parliament approved a "significant increase in defence spending" of about 7% to 2016 to finance the purchase. Money saved through its withdrawal from Afghanistan will also be redistributed to pay for the F-35As.

 

The F-35A was initially selected by Norway in 2008.

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15 juin 2012 5 15 /06 /juin /2012 21:53

Javelin-missile.jpg

 

Jun 11, 2012 ASDNews Source : Lockheed Martin Corporation

 

The Lockheed Martin [NYSE: LMT] and Raytheon [NYSE: RTN] Javelin Joint Venture recently demonstrated the capability to launch Javelin missiles from a vehicle in winter conditions at a test range in Norway.

 

In a Norwegian Ministry of Defence-sponsored live fire demonstration in Rena, Norway, two Javelin missiles scored two direct hits when fired from a Piranha V vehicle configured with a Kongsberg Protector Remote Weapon Station (RWS) and the Javelin Vehicle Launcher (JVL) electronics. The two targets were located 800 and 1650 meters from the launch vehicle.

 

The RWS is a remote controlled weapon station for light and medium caliber weapons, and can be mounted on any type of platform. The JVL allows the standard Javelin missile round to interface with vehicle fire control systems. With the JVL, the U.S. Army and international customers are able to fire Javelin missiles from vehicle platforms with the gunner safely under armor.

 

“These firings will lead to further discussions with Norway, as they evaluate the potential of employing their Javelin missiles on their existing vehicles,” said Duane Gooden, Javelin Joint Venture president.

 

“The live fire tests in Norway demonstrated that Javelin is capable of being deployed on vehicles with remote weapon stations and that the concept is mature and ready for implementation,” said Barry James, Javelin Joint Venture vice president and Javelin program director in Lockheed Martin’s Missiles and Fire Control business.

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15 juin 2012 5 15 /06 /juin /2012 16:35

F-35AedwardsUSAF

 

15 juin 2012 Romandie.com (AFP)

 

OSLO - Le gouvernement norvégien a annoncé vendredi avoir autorisé l'acquisition de deux premiers chasseurs F-35A, sur un programme prévoyant l'achat de 52 de ces avions de combat à l'américain Lockheed Martin pour un montant total de 8 milliards d'euros.

 

La Norvège a aujourd'hui lancé le plus vaste projet de marché public de son histoire, a déclaré le gouvernement dans un communiqué.

 

Le ministre norvégien de la Défense, Espen Barth Eide, a salué la signature de l'accord en soulignant dans un communiqué que le F-35, que la Norvège a choisi en 2008, représente une génération complètement nouvelle d'avions de combat, qui constituera la pierre angulaire des future forces armées norvégiennes.

 

La Norvège a décidé en 2008 d'acheter 52 avions F-35 Lightning II à Lockheed Martin pour un montant total de 60 milliards de couronnes (8 milliards d'euros), mais elle avait retardé sa commande jusqu'à obtention de l'accord des autorités américaines d'équiper l'avion d'un système d'armes norvégien, qui est intervenu cette semaine.

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15 juin 2012 5 15 /06 /juin /2012 15:05

air f-35a aa-1 flight top lg-source DefenceWatch

 

15 juin 2012 Par  Astrid Gouzik – USINE NOUVELLE

 

Le programme prévoit au total l’achat de 52 avions de combat à Lockheed Martin pour 8 milliards d’euros.

 

Vendredi 15 juin, le gouvernement norvégien annonce avoir donné son accord pour l’acquisition de ces deux premiers chasseurs. "La Norvège a aujourd'hui lancé le plus vaste projet de marché public de son histoire", se félicite le gouvernement dans un communiqué.

 

C’est en 2008 que la Norvège décide d’acheter 52 avions F-35 Lightning II à Lockheed Martin. Mais dans l’attente de l’accord des autorités américaines pour équiper l’avion d’un système d’armes norvégien, la commande avait été retardée. Le pays a finalement obtenu cet accord cette semaine.

 

"Le F-35, que la Norvège a choisi en 2008, représente une génération complètement nouvelle d'avions de combat, qui constituera la pierre angulaire des futures forces armées norvégiennes", juge le ministre norvégien de la Défense, Espen Barth Eide, ne manquant pasde saluer la signature de l’accord.

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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 08:03

thales-logo-lg

 

13 juin aerobuzz.fr

 

A l’occasion d’Eurosatory, Thales annonce la certification STANAG (STANdardization AGreement) 7085 du TMA 6000, son terminal aéroporté de transmission de données . Il s’agit du premier terminal européen ayant passé avec succès cette certification délivrée par l’organisme de certification américain, le Joint Interoperability Test Command (JITC). Le TMA 6000 a démontré sa capacité à transmettre tout type de données (navigation, vidéo, image) vers les équipements « manpack » américains largement utilisés par les forces OTAN déployées au sol.

 

En assurant une liaison à haut débit entre un système aéroporté et des forces au sol, le TMA 6000 se révèle comme un élément indispensable de l’efficacité d’un soutien aérien lors d’opérations militaires sur le terrain.

 

Le TMA 6000, installé à bord des aéronefs, transmet à très haut débit en bande Ku des données capteurs. Ce terminal aéroporté peut équiper la plupart des plateformes aéronautiques telles que les drones, les avions de mission, les avions de combat, les nacelles de reconnaissance et de désignation laser ainsi que les hélicoptères. Il propose plusieurs options de chiffrement basées soit sur un chiffreur intégré soit sur un chiffreur externe.

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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 11:50

SkeetIR Thermal Monocular

 

June 10, 2012. David Pugliese Defence Watch

 

At the recent CANSEC show BAE highlighted its SkeetIR thermal monocular. The device is pretty small and it can be attached to a weapons site or the information it gathers can be feed into a lightweight eyepiece.

 

The U.S. Special Operations Command (USSOCOM) recently awarded BAE Systems an $11 million contract to procure the company’s revolutionary SkeetIR thermal monocular for its forces.

 

More from BAE’s press release:

 

The combat proven monocular can be used by USSOCOM personnel in a variety of modes.

 

“Our primary focus is to allow our operators to see the enemy before they’re seen, and the SkeetIR does just that,” said Vadim Plotsker, president of BAE Systems OASYS in Manchester, New Hampshire, where the devices are designed and produced. “The SkeetIR has undergone extensive Department of Defense review and testing and is often referred to as a game changing operational capability.”

 

The SkeetIR is one of the smallest and most versatile thermal imagers on the market. It fits within the dimensions of a credit card and it allows for seamless operational transition from an observation to a targeting device.

 

The thermal device can be used in clip-on, handheld, and helmet mount modes and for visual augmentation for image intensified devices. The SkeetIR greatly enhances vision at night and in dust or smoke conditions.

 

BAE Systems OASYS has expertise in thermal imaging technology, optical assembly design and manufacture, precision optical components, and rapid development of multi-mission use devices. The company continues to improve its systems providing customers with smaller, lighter, and lower power devices.

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 16:50

gamme ANPRC148 source LdDef

 

June 9, 2012 Tamir Eshel – Defense-Update

 

Thales Communications Inc. (the US subsidiary of the Thales Group) is now certified to offer the Ultra High Frequency (UHF) SATCOM integrated Waveform (IW) with its AN/PRC-148 Joint Tactical Radio System (JTRS) Enhanced Multiband Inter/Intra Team Radio (MBITR), also known as ‘JEM’. SATCOM IW capability eliminates the need for warfighters to carry their existing heavy, manpack tactical radio systems, and enables each member of the team to deploy with a fully-interoperable, beyond line-of-sight (BLOS) capability. Users can now access SATCOM IW on their fielded AN/PRC-148 JEMs via software upgrade, producing minimal impact on deployed radios and requiring minimal operator intervention. The IW upgrade will provide both commanders and users with increased voice quality, higher data throughput, improved user HMI, and increased command and control capability on the battlefield, all in a smaller, lighter package.

 

As the demand for SATCOM has increased in current operations around the world, SATCOM IW (MIL-STD-188-181C, 188-182B, and 188-183B) offers a significant increase in capacity over legacy Demand Assigned Multiple Access (DAMA) SATCOM. UHF SATCOM enables users to operate globally on-the-move and under both severe weather conditions and cluttered ground cover. SATCOM IW, developed by the U.S. Defense Information Systems Agency (DISA), doubles UHF SATCOM capacity of existing communications services employing Time Division Multiple Access (TDMA) methods. The use of Mixed Excitation Linear Predictive (MELP) voice encoding improves overall voice quality.

 

SATCOM Integrated Waveform (IW) (MIL-STD-188-181C, 188-182B, and 188-183B) offers a significant increase in capacity over legacy Demand Assigned Multiple Access (DAMA) SATCOM. SATCOM IW, developed by the U.S. Defense Information Systems Agency (DISA), doubles UHF SATCOM capacity of existing communications services employing Time Division Multiple Access (TDMA) methods. The use of Mixed Excitation Linear Predictive (MELP) voice encoding improves overall voice quality. Additionally, SATCOM IW is faster and easier to set up through a more intuitive human-machine interface (HMI).

The full edition of Eurosatory Show Live is available for only 4.95 Euros before the show. We recommend you download it and keep it accessible throughout the show on your mobile phone.

 

A new software update transforms every AN/PRC-148 MBITR JTRS set (JEM) into a Satellite Communications system, supporting global reach. Photo: Thales CommunicationsAN/PRC-148 JEM

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9 juin 2012 6 09 /06 /juin /2012 16:45

UH-60 Black Hawk source asdnews

 

June 8, 2012 defpro.com

 

CHARLOTTE, N.C. | Goodrich Corporation has received an order from the U.S. Army to provide 80 spare health and usage management system (HUMS) electronic units for the Army's UH-60 Black Hawk helicopters. The units will be produced by Goodrich's Sensors and Integrated Systems business in Vergennes, Vt. Deliveries are expected to commence in early 2013.

 

"It started as an R&D project in Vermont, but HUMS has become a vital life-saving and cost-saving tool that now is standard equipment on military helicopters," said Senator Patrick Leahy (D-Vt.). "I am so proud of the important work that Goodrich is doing in our state," he added. Senator Leahy, a senior member of the Senate Appropriations Committee's Defense Subcommittee, has been a long-time supporter of Goodrich's work in Vergennes, including the technology behind HUMS.

 

Tony Wurmel, general manager of Goodrich Sensors and Integrated Systems in Vergennes said, "This award highlights the value that the Goodrich HUMS brings in lowering operating and maintenance costs while enhancing safety for the Army's Black Hawk fleet. We thank Senator Leahy for his strong support over the last decade in helping the Army equip its frontline helicopter fleet with this cost-effective system; it will help the troops remain effective and maintain the fleet at high readiness in an uncertain world."

 

The HUMS system has contributed to lower operating costs and increased effectiveness for Army Black Hawk helicopters in executing important safety and rescue missions during ongoing conflicts in Iraq and Afghanistan. In recent deployments the Black Hawks with HUMS had 17% lower total maintenance costs with a greater than 50% reduction in unscheduled maintenance, enhancing readiness for critical troop transport and medical evacuation missions.

 

Goodrich provides HUMS for numerous U.S. military platforms, including the Army UH-60 and CH-47 fleets, Marine Corp. CH-53, AH-1, UH-1, & V-22 fleets, and the Navy MH-60 fleet. Goodrich has delivered more than 2,000 units to the U.S. Army alone.

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 22:17

cyber warfare

 

08/06/2012  Par Raphaële Karayan - lexpansion.lexpress.fr

 

La conception par les Etats d'armes sophistiquées de cyberguerre est une certitude. Sont-elles encore dangereuses une fois qu'elles se propagent au-delà des cibles qu'on leur a affectées en première intention?

 

Stuxnet, Flame... Des armes de précision conçues pour la cyberguerre, secrètes, jusqu'à ce qu'elles soient découvertes par les spécialistes de la sécurité informatique. Ceux-là même qui lancent des alertes pour vous éviter de tomber dans les pièges tendus par les cybercriminels. La découverte récente de Flame et la sortie d'un livre américain sur l'origine de Stuxnet, qui révèle notamment le rôle de Barack Obama dans la cyberguerre contre le programme nucléaire iranien, ont mis ces sujets sur le devant de la scène.

 

Stuxnet et Flame, des virus pas comme les autres

Ce ne sont pas des programmes malveillants comme les autres, créés par des cybercriminels dans le but d'en tirer de l'argent. Dans son livre Confront and Conceal: Obama's Secret Wars and Surprising Use of American Power, David Sanger soutient que Stuxnet a été mis au point par les Etats-Unis et Israël, dans le but de saboter le programme nucléaire iranien. Comment ? En injectant un code malveillant dans le système informatique de la centrale nucléaire de Natanz, destiné à enrayer les centrifugeuses de la centrale après en avoir espionné le fonctionnement, comme le résume Reflets.

 

En ce qui concerne Flame, les spécialistes - à quelques exceptions près - jugent que la sophistication, la cible géographique (le Moyen-Orient) et les objectifs (cyberespionnage) du programme laissent penser qu'il est lui aussi l'oeuvre d'un Etat. Ce que reconnaît aussi l'ONU (qui qualifie en même temps de "spéculation" les assertions du livre de Sanger). Flame est une "boîte à outils" capable d'espionner les données qui transitent sur le réseau, d'enregistrer les conversations en prenant le contrôle du micro d'un ordinateur, de récupérer des documents PDF, des dessins industriels, de se propager via l'USB, ou encore d'activer le Bluetooth pour détecter d'autres appareils Bluetooth environnants.

 

Comment ces "armes" perfectionnées sont-elles soudain lâchées dans la nature?

David Sanger explique que Stuxnet s'est propagé accidentellement sur internet à l'été 2010 par le biais de l'ordinateur portable infecté d'un ingénieur. Certains spécialistes sont de toute manière convaincus que n'importe quel malware se retrouve un jour ou l'autre libéré de ses créateurs. Stephen Cobb, "security evangelist" chez le concepteur de solutions de sécurité ESET, écrit ainsi sur son blog que "chaque dollar dollar dépensé par une nation pour développer un code malveillant est un cadeau fait aux criminels et aux autres Etats". "Il est impossible de s'assurer qu'un malware va rester où il est", confirme Nicolas Brulez, analyste senior malware chez Kaspersky, interrogé par LExpansion.com.

 

Peuvent-ils contaminer les ordinateurs de tout un chacun?

Google a mis en garde les internautes, cette semaine, contre de possibles cyberattaques commanditées par des Etats, les incitant à protéger leurs données personnelles. Google, lui-même, indique mettre en place "des barrières supplémentaires". Le groupe a notamment recommandé de créer des mots de passe mélangeant des lettres capitales, minuscules, des signes de ponctuation et des chiffres. Mais pas besoin d'être membre d'une agence gouvernementale pour craquer une base de données ou faire du phishing !

 

Les cyber frappes sont, comme on dit, chirurgicales. Les experts ne craignent pas les dommages collatéraux. "Il y a peu de chance de que vous soyez la cible de Flame à moins que vous soyez un officiel d'un gouvernement moyen-oriental ou que vous travailliez dans la recherche sur l'armement pour ce gouvernement (...) Vous ne trouverez pas Flame attaché dans un email dans votre boîte Outlook ", écrit Stephen Cobb.

 

"Flame peut tomber entre de mauvaises mains, mais les criminels ont déjà des outils plus simples pour récupérer des informations plus simples, explique Nicolas Brulez. Votre PC n'est pas une centrifugeuse nucléaire ! Un programme comme Stuxnet n'a aucun risque d'être détourné vers des particuliers. Les criminels peuvent en revanche analyser le code et y trouver des informations intéressantes. Mais il est à la limite plus rapide de repartir des outils existants".

 

Il faut également signaler que, dès qu'un malware est repéré, les sociétés publient des mises à jour de leurs logiciels pour parer ses attaques. C'est le cas de Microsoft, car Flame, par exemple, était capable de se faire passer pour une mise à jour de Windows. Les antivirus sont désormais mis à jour pour protéger les ordinateurs de Flame.

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 16:45

4highres 00000401912869

 

June 8, 2012 defense-aerospace.com

(Source: Kongsberg Gruppen; issued June 8, 2012)

 

Received Order for Communication Equipment

 

Kongsberg has received an order from Raytheon valued at 29.6 MUSD for the delivery of communication equipment for the Patriot Air and Missile Defence System.

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 12:30

Royal-Norwegian-Air-Force-C-130J-30-aircraft-Photo-Solbergs.JPG

The Royal Norwegian Air Force's C-130J-30 aircraft

at 2009 Rygge Airshow. Photo Solbergsindre

 

8 June 2012 airforce-technology.com

 

The US Defense Security Cooperation Agency (DSCA) has notified Congress of a potential foreign military sale (FMS) of two C-130J-30 US Air Force (USAF) baseline aircraft and associated parts to the Government of Norway.

 

Under the $300m FMS programme, Norway has additionally requested the supply of nine Rolls-Royce AE2100D3 engines, including eight installed and one spare, countermeasure systems, aircraft modifications, communication equipment and support, tools and test equipment, personnel training and training equipment, as well as logistical support services.

 

The potential sale is expected to enhance the Royal Norwegian Air Force's (RNoAF) ability to assist in disaster relief, humanitarian missions and future military deployments.

 

According to the DSCA, Norway is planning to deploy the aircraft in support of the Nato-led International Security Assistance Force's missions in Afghanistan, and also to boost its capability in providing intra-theatre lift for its armed forces.

 

Norway has participated in coalition operations in Libya, Iraq and Afghanistan, as well as providing support in the Balkans, the Baltics, and the Nato training mission in Iraq.

 

Lockheed Martin-Aerospace will serve as the prime contractor for the programme.

 

A stretched version of Lockheed Martin-built C-130J Hercules, the C-130J-30 is a four-engine, medium-lift military transport aircraft designed to carry out military, civilian and humanitarian aid operations.

 

The aircraft, ordered by Norway in 2007, are intended to replace its ageing fleet of six C-130H Hercules transport aircraft, which entered service in 1969.

 

RNoAF had four Hercules aircraft in its inventory as of January 2012, but one was lost during the Cold Response military exercise, conducted in March 2012.

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 07:55

http://www.defense.gouv.fr/var/dicod/storage/images/base-de-medias/images/ema/le-chef-d-etat-major/120606-cema-l-amiral-guillaud-recoit-l-adjoint-du-commandant-supreme-des-forces-alliees-en-europe-dsaceur/l-amiral-guillaud-recoit-l-adjoint-du-commandant-supreme-des-forces-alliees-en-europe/1811010-1-fre-FR/l-amiral-guillaud-recoit-l-adjoint-du-commandant-supreme-des-forces-alliees-en-europe.jpg

 

06/06/2012 Sources : EMA

 

Le 6 juin 2012, l’amiral Edouard Guillaud, chef d’état-major des armées (CEMA), a reçu le général britannique Richard Shireff, adjoint du commandant suprême des forces alliées en Europe (DSACEUR).

 

Le DSACEUR est plus particulièrement chargé de recenser les forces requises aux opérations de l’Alliance et de les obtenir des pays membres.

 

Dans ce cadre, cette visite a été l’occasion de faire un point sur les conclusions du sommet de Chicago qui s’est tenu les 20 et 21 mai 2012. Trois grands thèmes essentiels ont été abordés : l'engagement de l'Alliance envers l'Afghanistan dans la durée, la notion de «paquets défense» (paquets de projets multinationaux destinés à remédier aux insuffisances capacitaires critiques) et le renforcement du réseau de partenaires que l’OTAN entretient dans le monde.

 

Le CEMA et le DSACEUR ont également abordé la contribution française aux opérations et aux structures de l’OTAN, et plus particulièrement la mise en œuvre des décisions du Président de la République concernant l’opération Pamir (le retrait des forces conduisant des missions de combat en Afghanistan d’ici la fin de l’année 2012). Ce sont 2 000 militaires français qui seront désengagés d’Afghanistan d’ici la fin de l’année. Un millier assurera le désengagement logistique, le retour des matériels et équipements, qui se poursuivra en 2013. Au-delà, environ 400 poursuivront les missions de formation de l’armée afghane au sein de l’ISAF (International Security Assistance Force).

 

Les sujets de la réforme des structures de l’Alliance et de la situation au Kosovo ont également été traités. Cette rencontre a confirmé la qualité des relations que les armées françaises entretiennent avec l’OTAN et du rôle majeur que la France tient au sein de l’Alliance.

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 17:38

Lockheed_F-16_ADV-A_Block_15.JPG

 

Jun 6, 2012by Luca Peruzzi - FG

 

A last flight of Lockheed Martin F-16 fighters to have been operated by the Italian air force touched down in Tucson, Arizona, on 1 June, marking the end of a "Peace Caesar" lease deal with the USA.

 

Five single-seat F-16As and one twin-seat trainer from the Italian air force's 37th Wing left its Trapani-Birgi air base in Sicily on 28 May, before making a longer-than-scheduled stop in the Azores due to inclement weather conditions. The formation was accompanied by one of the service's Lockheed C-130Js for search and rescue cover and by a US tanker on the journey.

 

Signed in March 2001 using the USA's Foreign Military Sales funding mechanism, the lease agreement covered the provision of 30 F-16As and four B-model trainers for an expected 45,000 flying hours to be logged between 2003 and 2010.

 

Based in Trapani-Birgi and at Cervia air base, the aircraft covered the gap between the retirement of Italy's last Lockheed F-104 Starfighters and the operational availability of the Eurofighter Typhoon.

 

In 2009 the deal was extended until mid-2012 and a maximum 47,800h at no additional cost to the Italian defence ministry.

 

In addition to defending Italian airspace from December 2003, some of the nation's leased F-16s were employed in air policing services during last year's NATO-led Operation Unified Protector campaign to protect Libyan civilians.

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 12:30
BALTOPS 2012 multinational naval exercise begins

6 June 2012naval-technology.com

 

Maritime forces from 12 countries have started the 40th annual multinational naval exercise, Baltic Operations (BALTOPS) 2012, in the Baltic Sea, aimed at maintaining peace and security in the region.

 

The multinational maritime exercise is also intended to enhance mutual understanding and to improve participating navies' interoperability to jointly combat regional and transnational threats.

 

As part of the exercise, some 30 aircraft and 1,500 sailors and marines, as well as 27 ships from the participating nations are scheduled to conduct operations, which include mine clearance, anti-submarine warfare, surface-to-air defence, counter-piracy, small-boat attacks and other maritime security tasks.

 

US 6th Fleet and NATO Striking and Support Forces commander vice admiral Frank Pandolfe said that the common goal of BALTOPS was to enhance Baltic Sea security through increased interoperability and collaboration among allied nations.

 

"As in past years, our sailors and marines will be working side-by-side with their colleagues from partner nations, both on land and at sea, becoming familiar with each other's military operating procedures and practices," Pandolfe added.

 

Expeditionary Strike Group 2 commander rear admiral Ann Phillips added that BALTOPS provided an opportunity for the forces to train jointly in a challenging environment to quickly and effectively respond to real-world situations.

 

"Through combined exercises, we are able to enhance our effectiveness by blending varied experiences and perspectives," he said.

 

Other participating nations in the BALTOPS 2012 exercise include Denmark, Estonia, France, Georgia, Germany, Latvia, Lithuania, Netherlands, Poland, Russia, Sweden and the US.

 

BALTOPS 2012 is scheduled to take place until 16 June and will be held in the territorial waters of Germany, Poland, Lithuania and Estonia of the Baltic Sea.

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 07:45

M-39-Block-1A-Army-Tactical-Missile-System-atacms.jpg

 

June 5, 2012 defpro.com

 

WASHINGTON | The Defense Security Cooperation Agency (DSCA) notified U.S. Congress June 1 of a possible Foreign Military Sale (FMS) to the Government of Finland for 70 M-39 Block 1A Army Tactical Missile System (ATACMS) T2K Unitary Missiles and associated parts, equipment, logistical support and training for an estimated cost of $132 million.

 

The Government of Finland has requested a possible sale of 70 M-39 Block 1A Army Tactical Missile System (ATACMS) T2K Unitary Missiles, Missile Common Test Device software, ATACMS Quality Assurance Team support, spare and repair parts, tools and test equipment, support equipment, personnel training and training equipment, publications and technical data, U.S. government and contractor engineering and logistics support services, and other related elements of logistics support. The estimated cost is $132 million.

 

This proposed sale will contribute to the foreign policy and national security of the United States by helping to improve the security of a friendly country which has been, and continues to be, an important force for political stability and economic progress in Europe.

 

Finland intends to use these defense articles and services to expand its existing army architecture and improve its self-defense capabilities. This will contribute to the Finnish Defense Forces’ goal of modernizing its capability while further enhancing interoperability between Finland, the United States, and other allies.

 

The proposed sale of this equipment and support will not alter the basic military balance in the region.

 

The prime contractor will be Lockheed Martin Missiles and Fire Control in Dallas, Texas. There are no known offset agreements proposed in connection with this potential sale.

 

Implementation of this proposed sale will require up to two U.S. Government or contractor representatives to travel to Finland for up to one week for equipment de-processing/fielding, system checkout, and training.

 

There will be no adverse impact on U.S. defense readiness as a result of this proposed sale.

 

This notice of a potential sale is required by law and does not mean the sale has been concluded.

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 20:39

IRSEM

 

05/06/2012 IRSEM

Cahier de l'IRSEM n°10 - 2012Les mutations de l'industrie de défense : regards croisés sur trois continents,

Yves Bélanger, Aude Fleurant, Hélène Masson, Yannick Quéau

 

Synthèse

 

L'économie de défense mondiale traverse actuellement une importante phase de mutation dont l'issue est encore largement indéterminée. Cette transition est provoquée par le déplacement partiel des moteurs de la croissance des dépenses militaires vers de nouveaux pôles, en particulier en Asie. Cependant, l'actualité géopolitique de cette zone et l'affirmation de la puissance chinoise occultent parfois les dynamiques à l'œuvre dans l'Atlantique. Ces dernières sont pourtant riches d'enseignements dans le cadre de la mondialisation de l'industrie de défense.

 

Les textes réunis dans ce cahier examinent donc la trajectoire récente de l'Europe, des États-Unis et de l'Amérique du Sud dans un espace transatlantique en phase de tricontinentalisation. Ils mettent en perspective les choix que les acteurs gouvernementaux et industriels font dans un contexte économique et sécuritaire fluctuant. La démarche révèle les tensions sous-jacentes au processus ainsi que l'interpénétration des logiques économiques et politiques qui le soutienne. La pression exercée sur les budgets de défense des pays de la zone Atlantique Nord, dont l'industrie est encore dépositaire des capacités techno-industrielles militaires les plus avancées, et la croissance soutenue des économies émergentes conduisent acheteurs et clients à adopter de nouvelles stratégies industrielles de défense afin de s'ajuster aux nouveaux paramètres du marché des armements.

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 17:09

essais_balistiques_2.jpg

 

05.06.2012 Benjamin Podvin - portail-ie.fr

 

Les calibres 7.62 (7.62 x 51) et 5.56 (5.56 x 45) constitue les deux normes balistiques standards des pays membres de l’OTAN. Leur histoire a été marquée par des évolutions techniques, mais également par des intérêts géoéconomiques bien définis. Le lien entre l’établissement de ces normes internationales et le renforcement de l’industrie d’armement américaine peut apparaitre plus important que le souci d’efficacité des normes otaniennes.


Pour comprendre l'élaboration du calibre 7.62, un détour par l'histoire est nécessaire. Avant le déclenchement de la seconde guerre mondiale, l’Allemagne débute des recherches sur le développement d’un calibre intermédiaire afin de remplacer le 8mm qu’elle utilisait depuis la fin du 19ème siècle. Dès 1934, ses recherches portèrent sur le développement d’armes automatiques capables de lui conférer une supériorité sur le champ de bataille comme cela fut le cas durant la première guerre mondiale avec le Maschinenpistole 18 (mitraillette équipée en 9mm) qui s’était révélé extrêmement performant sur le terrain. L’Allemagne brave donc l’interdiction qui lui avait été faite dans le cadre du Traité de Versailles concernant le développement d’armes automatiques et cherche à développer des cartouches permettant d’établir une catégorie d’arme intermédiaire entre les mitraillettes (jugées trop lourdes et manquant de précision) et les fusils dont la cadence de tir ne satisfaisait pas l’Etat-major. Ces recherches aboutissent en 1938 à la production du calibre 7.9 Kurz (7.9 x 33) qui va équiper le MP43, fusil d’assaut notamment employé sur le front de l’Est, et particulièrement en Russie.    


Mettant la main sur des stocks de MP43 et de 7.9 Kurz durant la guerre, les autorités soviétiques développent alors à leur tour des cartouches basées sur la technologie allemande. En 1943, les ingénieurs russes aboutissent finalement au développement d’un nouveau calibre: le  7.62 x 39. Deux ans plus tard, l’ingénieur russe Mikhaïl Kalachnikov développe un fusil d’assaut adapté à cette cartouche : l’AK 47 (Avtomat Kalashnikov). Il va devenir l’arme de référence de l’armée rouge dès 1947, date à laquelle il commence à être produit. Cette arme et ses cartouches se répandent très rapidement sur le marché de l’armement mondial du fait de sa grande fiabilité et surtout de son faible coût et représente une menace de taille pour le complexe militaro-industriel du bloc occidental. Il est aujourd’hui encore considéré comme le fusil d’assaut le plus répandu dans le monde puisque sa production est estimée entre 70 et 100 millions d’unités depuis 1947.    

Le développement outre-Atlantique et la norme transatlantique 

   
Les Etats-Unis décident également de développer des cartouches intermédiaires pendant la seconde guerre mondiale. Les recherches aboutirent à la production du calibre .30.06  équipant le M1 Garand, fusil réglementaire de l’armée US durant la seconde guerre mondiale, puis durant la guerre de Corée. Mais ce fusil ne satisfaisait pas l’infanterie américaine qui désirait une arme plus légère et capable d’emmagasiner plus de munitions.


L’Ordnance Technical Commitee fut alors en charge de développer le nouveau calibre qui allait succéder au .30 dans l’armée américaine. La nouvelle cartouche  fut le 7.62 x 51, qui s’apparente à une cartouche de type .30 raccourcie. Mais son adoption par l’armée US dépendait de son acceptation par les pays membres de l’OTAN qui devaient se prononcer sur une norme liant toutes les armées de l’organisation. Les britanniques proposèrent un calibre de type .280 (7mm), projet appuyé par la Belgique, un autre important pays producteur d’armement et de munitions. Les américains s’opposèrent farouchement à la proposition Européenne, déclarant qu’ils n’accepteraient pas un calibre inférieur à 30 pouces (.30).     


Et pour cause, si la norme transatlantique adoptée avait été la norme britannique, l’industrie américaine entière aurait dû adapter sa production au marché européen afin de pouvoir continuer d’exister à l’export. Cette situation aurait de surcroit entrainé une distorsion des normes entre, d’un côté le continent américain, et de l’autre le continent européen. L’écoulement de la production américaine aurait de ce fait était dépendante de la demande européenne alors que l’objectif américain était d’utiliser le marché européen pour écouler la surproduction des ses usines. C’est tout l’esprit du Plan Marshall qui a permis de soutenir la croissance américaine grâce à la transformation de l’Europe occidentale en un « deuxième marché intérieur ».    


Ainsi, après de nombreuses tractations politiques, l’OTAN adopta, en 1953, le format 7.62 x 51 NATO (résolution STANAG 2310) comme référence standard pour toutes les armées otaniennes. L’armée américaine adopta elle ce format en 1959 avec le fusil M14 qui fut employé massivement durant la guerre du Vietnam.    

Le développement du calibre 5.56 : american history x    


Malgré l’adoption du standard OTAN en 1953, le complexe de défense militaro-industriel américain poursuit ses études concernant l’optimisation de l’efficacité de ses fusils d’assaut. Durant les années 50, deux rapports commandés par l’armée américaine et conduit par l’ORO (Operation Research Organization) sont publiés, les rapports HALL et HITCHMANN. Ceux-ci pointent le fait que durant les phases de combat les soldats touchant leurs cibles sont à environs 300 mètres de celles-ci et qu’afin d’augmenter les chances de toucher la cible, il faut multiplier les projectiles de petits calibres à forte vélocité et à dispersion limitée.


 Après avoir mis en concurrence de nombreux producteurs américains, l’armée retient son attention sur l’AR15 développé par la société ARMALITE en 1957. Ce fusil d’assaut expérimental se base sur une cartouche de type 5.56 x 45 (ou M193) développée conjointement avec REMINGTON qui a pour cela développé un nouveau type de calibre, équivalent civil du 5.56 x 45: le .223 Remington. Cette cartouche est aujourd’hui l’une des plus vendues dans le secteur privé de l’armement au Etats-Unis, notamment en ce qui concerne la chasse et le tir sportif. Elle équipe la plupart des armes légères vendues sur le territoire américain, le plus important au monde, l’export ne concernant qu’à peine 10% du secteur des munitions dans les années 1980, il convient de prendre en compte l’importance du marché domestique pour les entreprises américaines.     


REMINGTON n’est pas une entreprise d’armement comme les autres. Leader sur le marché américain de la production de munition, elle a établie en 1941 l’usine d’Etat de Lake City Army Ammunition Plant qu’elle dirigera jusqu’en 1985. Aujourd’hui encore, plus de 99% des munitions d’armes de petits calibres utilisées par l’armée américaines sont manufacturées dans cette usine. Il existe donc un lien commercial évident entre les intérêts de REMINGTON et ceux de l’armée américaine.     


Suite à des essais se révélant positifs, bien que ceux-ci aient fait l’objet de nombreuses contestations par la suite laissant planer le doute sur leur objectivité, le Département de la Défense américaine ordonne la cessation de la production de M14 en 1963 au profit de l’AR15 (rebaptisé M16 par l’armée américaine). Plus de 100 000 unités sont commandées à Colt, qui a racheté la licence de l’AR15 à ARMALITE. L’armée US se retrouve alors dans une situation délicate car elle possède désormais deux standards. De plus, elle a cessé de produire des fusils utilisant le 7.62 au profit du 5.56 ce qui rend sa situation logistiquement incompatible avec celle de l’OTAN. Mais ayant constaté une certaine efficacité du M16 et du 5.56 lors de la campagne américaine au Vietnam, d’autres pays développent la production de fusils d’assaut utilisant du 5.56. Devant cet état de fait, la standardisation d’une nouvelle norme devient une nécessité pour l’OTAN qui s’aligne sur la position américaine le 28 octobre 1980 en adoptant comme second standard le 5.56 x 45 NATO (STANAG 4172) basé sur la cartouche belge SS109.   


Malgré les nombreuses critiques qu’il essuie, le 5.56 demeure le calibre le plus produit par les 324 compagnies américaines produisant des munitions. De son côté, l’usine de Lake City Army Ammunition Plant a produit, entre 1999 et 2008, 7 450 millions de munitions de type 5.56 contre seulement 1 200 millions de 7.62. Cet ordre de grandeur souligne un point clé :


A travers l’établissement des normes atlantiques, les Etats-Unis ont su imposer aux 28 signataires du Traité de l’Atlantique Nord une standardisation et un alignement de leurs équipements sur la production, et par là même, sur l’économie américaine.    


Ce système est complété par le rôle joué par le SAAMI (Sporting Arms and Ammunitions Manufacturers Institue), organisme américain à raisonnance international établissant la compatibilité des cartouches avec les fusils. Il s’agit de la seule organisation établissant de telles normes. Son rôle ne se limite donc pas qu’aux Etats-Unis, mais s’exerce mondialement.


Selon ses recommandations, l’équivalent civil du 5.56 x 45NATO, le .223 Rem peut tout à fait être utilisé par des fusils prévus pour du 5.56 NATO, mais l’inverse n’est pas possible. Autrement dit, il est fortement déconseillé pour tout utilisateur, de charger un fusil prévu pour des cartouches OTAN avec des cartouches Remington américaine, mais il les entreprises américaines peuvent elles exporter leurs cartouches civiles vers des armées otaniennes. Ainsi, il n’est pas étonnant de constater que si les Etats-Unis sont favorables à l’inscription des armes de petits calibres dans l’Arms Trade Treaty, ils s’opposent farouchement à l’inscription des munitions au sein de ce même traité.    


Ces normes ont servi les Etats-Unis à s’imposer comme l’acteur principal du marché blanc de l’armement léger. Si l’AK 47 et les cartouches 7.62 x 39 sont largement répandus dans le monde, c’est en énorme majorité grâce aux marchés gris et noire d’occasion. On est donc en mesure de dire aujourd’hui que les Etats-Unis sont les principaux bénéficiaires financiers du marché des munitions d’armes légères. Ayant la mainmise sur l’OTAN, les américains ont pu développer leur marché économique intérieur en imposant une nécessité de standardisation extérieure, ceci concernant en premier lieu les armées européennes. De plus, certains pays non-OTAN ont également dû se conformer à ces standards de par leurs liens trop importants avec les économies et armées occidentales. C’est le cas d’Israël qui ne produit du 5.56 que depuis 2000. Fonctionnant jusqu’ici majoritairement sur des cartouches 9 mm (tout comme la Chine), elle fournie désormais les cartouches de l’armée française et s’est totalement standardisée sur les normes OTAN depuis l’abandon de son fusil mitrailleur UZI en 2005. Preuve encore que l’adoption de normes internationales dépend fortement des contraintes que celles-ci font peser sur les industries nationales.    

 

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 16:55

Bright-Green-Light-army.mil.jpg

 

June 5, 2012: Strategy page

 

Police in Italy have been unable, after 18 months, to catch whoever is using a laser pointer to distract (usually) or blind (potentially) pilots landing and taking off at the Aviano military airbase. This is a major NATO facility, and there have been ten of these laser incidents since January, 2011. Such incidents have occurred at airports all over the world, and the perpetrators are usually caught quickly, or scared off, if they try to blind pilots more than once. In the United States the incidence of these laser attacks at airports has been increasing sharply, from 1,527 in 2009, 2,836 in 2010 and 3,592 last year.

 

There is some fear that the Aviano laser incidents are part of some terrorist plot, because you could, in theory, cause enough distraction or blindness to cause a crash during a landing. That's a long shot, but those are the kind of odds terrorists have learned to accept.

 

Commercial eye safe green laser pointers, used at briefings and such, have a range of about two kilometers, and cost about $70. These lasers are not completely harmless. If you get long enough exposure these lasers can cause temporary or permanent blindness. For example, eye safe green lasers have been used in Iraq and Afghanistan since 2005, to force drivers to stop at check points. While no civilians have had their eyes injured by these devices, at least two soldiers lost sight in one eye, and over fifty others have suffered temporary blindness. These incidents took place when troops were horsing around with the devices, or simply being careless, and lased another soldier at close range.

 

In Iraq and Afghanistan some green lasers were mounted in a weather proof, articulated enclosure, enabled troops to operate the laser remotely, to flash the laser light at oncoming drivers, to get them to stop at checkpoints, or other locations.

 

Anyone getting hit in the eye with these lasers will be disoriented for up to 15 minutes. When the marines began using the device, they bought a model that lowered the power when the target was too close. A laser becomes less powerful the farther away you are from it. This is one reason why troop injuries were more severe, as the victims are a lot closer to the laser. Civilians usually get hit when they are a hundred meters or more away. The navy has issued these devices to ships, to keep suspicious boats away.

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5 juin 2012 2 05 /06 /juin /2012 12:35

eagle-6x6-field.jpg

 

05.06.2012 par Guillaume Belan (FOB)

 

Le salon Eurosatory a toujours été une occasion privilégiée pour les industriels de dévoiler leurs nouveautés. Et l’édition 2012 du plus grand salon d’armement de la défense terrestre, qui ouvre ses portes à Paris lundi prochain, en recélera de très nombreuses. FOB assurera d’ailleurs une couverture particulière du salon défense la semaine prochaine. Aujourd’hui, c’est l’Eagle 6X6 de General Dynamics European Land Systems (GDELS) dont FOB a le privilège de dévoiler en exclusivité les premières photos.

 

Fort du succès de sa gamme Duro et Eagle 4X4, déjà en service en Allemagne, en Suisse ou au Danemark et déployés en opérations (Afghanistan…), la branche européenne du géant américain Général Dynamics a donc décidé d’adjoindre à l’Eagle 4X4 (1000 exemplaires vendus), un grand frère. Véhicule tactique léger basé sur le châssis 6X6 Duro, l’Eagle version XL s’inspire très fortement de son petit frère, en reprenant la partie mobilité (transmission, suspension, système de stabilisation, roues indépendantes…). Le but étant d’offrir un véhicule de transport blindé (protection niveau MRAP) offrant une forte mobilité pour un prix contenu. Pas de réelle surprise, le véhicule est un dérivé de la gamme existante, une évolution, partageant donc de nombreuses communalités, afin d’arriver à un coût d’acquisition et de maintenance maîtrisé.

 

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L’Eagle devient donc une famille, capable de transporter de 2 à 11 soldats (2 équipage + 9 soldats pour le 6X6) et se décline en plusieurs versions: reconnaissance, poste de commandement, transport de troupes, ambulance, détection NRBC, porteur de mortier ou encore véhicule de dépannage ou logistique. L’Eagle 6X6, avec un plancher anti-mine en double « V » affiche un poids de 15 tonnes et offre une charge utile de 6 tonnes (16 m3). Il est propulsé par un moteur Cummins développant 285 chevaux.

 

Avec son nouveau véhicule, le constructeur européen vise ainsi à la fois sa clientèle traditionnelle et les marchés export et peut ainsi proposer une gamme de véhicule tactique blindé léger standardisée pour divers besoins.

 

Le véhicule a été crée par la branche suisse de GD (ex-Mowag). GDELS, dont le siège est à Madrid, regroupe l’activité défense du groupe américain en Autriche, Allemagne, Espagne et Suisse. GDELS, qui emploi 3,300 personne en Europe, produit notamment le blindé 8X8 Piranha, principal compétiteur du VBCI de Nexter.

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 17:11

BALTOPSLogo.JPG

 

June 4, 2012 defpro.com

 

On June 1 multinational military exercise BALTOPS 2012 began. Two warships of the Lithuanian Navy also set out for Gdynia: mine countermeasures ship M54 “Kursis” assigned to the Baltic Naval Squadron (BALTRON) and patrol ship P11 “Zemaitis”. Multinational exercise BALTOPS 2012 will be held in the territorial waters of Germany, Poland, Lithuania and Estonia of the Baltic Sea.

 

One of the aims of the Exercise is to enhance mutual understanding, confidence, cooperation, and interoperability between military and civilian personnel involved in the Exercise. During the Exercise military forces will conduct joint maritime operations from maneuvering and patrolling to joint operations with other forces – air and land. BALTOPS 2012 is planned to involve approximately 30 warships (from mine countermeasures ships to patrols ships), 30 aircraft (from helicopters to fighter-jets) and ground elements.

 

On June 11 a debarkation operation will be executed in Lithuania for the first time. Personnel of the United States Marine Corps, Lithuanian Special Operations Forces, military personnel of the Motorised Infantry Brigade Iron Wolf, US warship USS Normandy, 2 strategic bombers B 52, 2 PA-200 Tornado fighter-jets of the German Air Force, 2 Mi-8 helicopters of the Lithuanian Air Force, the joint battalion of Lithuania, Latvia and Estonia BALTRON, diving team of the Royal Netherlands Navy and 2 Lublin class ships of the Polish Navy which will debark floating tracked amphibious vehicles.

 

The Exercise will follow a fictitious scenario: a crisis strikes a country called Arcadia and unrest affects the entire region of the Blue Sea. The United Nations Council mandates an operation aimed at an embargo on arms movement, blockade of piracy, stabilization operation in Arcadia and assistance in counter-terrorism actions. International security forces are deployed in the Blue Sea Region.

 

US first organised the naval exercise BALTOPS since 1972. Since 1993 the series has been held under the Partnership for Peace program. Over four decades BALTOPS grew both in number of participating forces and in magnitude becoming one of the largest training events in the Baltic Region. Lithuania has been sending naval assets to take part in BALTOPS since 1994. This year for the first time Lithuania will host the Exercise on its soil.

 

BALTOPS 2012 Opening Ceremony will be held in Lithuania on June at the Lithuanian Grand Duke Butigeidis Dragoon Motorised Infantry Battalion in Klaipeda.

 

The Opening Ceremony is expected to attended by leadership of the Ministry of National Defence and the Lithuanian Armed Forces, and representatives of administration of Klaip?da City and circuit.

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