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12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 16:45
photo EMA / Armée de Terre

photo EMA / Armée de Terre

 

12 October 2015 defenceWeb (Reuters)

 

French and U.N. troops halted a rebel march towards the capital of Central African Republic this week, clashing with mostly Muslim fighters about 180 km (110 miles) northeast of Bangui, a government spokesman said.

 

Dominique Said Paguindji and residents said the troops fought the Seleka rebels on Saturday in the town of Sibut after an ultimatum for them to halt their march southwards expired.

 

It was not immediately clear if there were any dead or wounded during the clashes.

 

The former French colony has been torn by bloodshed since 2013 and interim authorities are struggling to disarm militias ahead of elections scheduled for Oct. 18.

 

Seleka fighters briefly seized power in the majority Christian country of 4.5 million in 2013 and later handed power over to an interim government. However, they still control large swathes of Central African Republic's north.

 

The international community is pressing for Central African Republic to go ahead with an election intended to restore democratic governance by the end of this year, despite widespread lawlessness.

 

But in a blow to the timetable, the president of Central African Republic's election commission said he was resigning this week.

 

The United Nations Office for the Coordination of Humanitarian Affairs confirmed this weekend that 77 people were killed and more than 400 injured in a surge of violence in Bangui that began in late September.

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11 février 2015 3 11 /02 /février /2015 07:45
Crédits EMA

Crédits EMA

 

10.02.2015 BBC Afrique

 

Des combats ont opposé mardi les forces internationales en Centrafrique à des éléments armés de l'ex-rébellion Séléka à Bria.

 

La ville de Bria à environ 600 kms dans le nord-est de la Centrafrique a été secouée tôt ce mardi matin par des tirs nourris de la part des forces internationales. Les positions des combattants Séléka du Front Populaire pour la Renaissance de la Centrafrique (FPRC), ont été attaquées aux environs de 05h30.

 

Des frappes aériennes de grande envergure menées par les forces de maintien de la paix de l’ONU (Minusca), appuyées par la force française de la Sangaris, ont visé les sites occupés par ces ex-combattants. Difficile de donner un bilan précis. Mais l’Etat-major du FPRC parle d’au moins 6 morts et des blessés dans ses rangs.

 

Le général Arda Hakouna autoproclamé Chef d’Etat-major de la région militaire du nord-est a déclaré qu’il avait été attaqué avec ses hommes par une colonne de 12 véhicules de la Minusca ainsi qu’une frappe aérienne de la Sangaris.

 

Du côté de la Minusca, les responsables expliquent que l’opération consiste à reprendre certains édifices publics de la ville de Bria, occupés illégalement par ces éléments armés ex-Séléka.

 

Elle vise, entre autres, à mettre fin à l’existence d’une administration parallèle et à assurer davantage la protection des civils. La Minusca dit s’être heurtée à l’hostilité immédiate du groupe armé, d’où la riposte déterminée des Forces internationales.

 

Le Ministère de la sécurité publique qui a salué cette action des forces internationales, a avancé un chiffre de 20 combattants seleka arrêtés dont un officier issu des mêmes rangs.

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9 octobre 2014 4 09 /10 /octobre /2014 15:45
Centrafrique: nouveaux heurts à Bangui, la Séléka appelle la présidente à la démission

 

09 octobre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Bangui - Les anciens rebelles de la Séléka ont demandé jeudi la démission de la présidente de transition centrafricaine Catherine Samba Panza, alors que de nouvelles violences intercommunautaires ont fait au moins sept morts depuis mardi à Bangui.

 

L'état-major des forces républicaines ex-Séléka demande purement et simplement que la présidente de transition et son gouvernement démissionnent de leurs fonctions, a déclaré à l'AFP Younous Ngardia, conseiller à l'état-major de l'ancienne rébellion majoritairement musulmane qui avait pris le pouvoir en Centrafrique de mars 2013 à janvier 2014.

 

L'état-major de l'ex-Séléka a été surpris mercredi par la visite de cinq membres du gouvernement venus transmettre le message de la présidente de la République dans lequel elle exige le départ de l'ex-Séléka de Bambari, une ville du centre du pays où des affrontements intercommunautaires ont fait au moins 25 morts la semaine dernière, a-t-il précisé.

 

La coordination des anti-balaka, milices centrafricaines à dominante chrétienne qui s'étaient rendues tristement célèbres pour avoir pourchassé et massacré les musulmans centrafricains après la chute de la Séléka, avait également demandé au début de la semaine la démission de Mme Samba Panza, pour d'autres raisons. Les anti-balaka protestaient notamment contre le retour de soldats tchadiens pour assurer sa protection et la disparition présumée de plusieurs millions de dollars donnés par l'Angola.

 

Les autorités sont accusées d'être incapables de ramener l'ordre à Bangui, où une nouvelle flambée de violences a fait au moins sept morts depuis mardi soir, dont deux tués dans la nuit de mercredi à jeudi, selon la force de l'ONU Minusca.

 

Au moins cinq personnes avaient été tuées et plusieurs blessées dans des violences intercommunautaires survenues mardi et mercredi.

 

Un motard musulman a attaqué des passants à la grenade en pleine rue, tandis qu'au quartier KM5, un jeune conducteur de taxi a été tué par des hommes armés, également musulmans, qui ont incendié des dizaines de maisons, selon une source onusienne.

 

En réaction, des barricades ont été érigées par des individus se réclamant des anti-balaka sur certaines grandes avenues du centre-ville et dans les quartiers nord, leur fief.

 

Nous sommes sur le terrain, et c'est un peu tout le monde qui tire, indiquait jeudi matin une source de la gendarmerie locale. Le calme n'était pas revenu dans l'après-midi.

 

Les autorités de transition n'ont pour l'instant fait aucune déclaration officielle sur ces violences, les plus meurtrières qu'a connues la capitale depuis la fin août, lorsque cinq personnes avaient été tuées au cours d'accrochages entre des soldats européens de l'Eufor-RCA et des hommes armés.

 

La Croix-Rouge centrafricaine a parallèlement fait savoir que ses personnels avaient été la cible de menaces ouvertes et directes, dues à une mauvaise perception de ses activités de récupération des corps des victimes par une partie de la population, qui a ainsi bloqué son action.

 

Elle se déclare encore extrêmement préoccupée par ces menaces, qui l'empêchent de mener ses activités de secours. De ce fait, de nombreuses victimes se retrouvent abandonnées à leur sort dans les quartiers de la capitale, déplore-t-elle.

 

Les menaces doivent cesser. Nous demandons à la population de faciliter le travail des volontaires de la Croix-Rouge, a insisté dans un communiqué Jean-François Sangsue, chef de la délégation du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) dans la capitale centrafricaine.

 

Si ces menaces continuent, nous serons obligés de cesser toute activité de secours, laissant ainsi de nombreuses victimes livrées à elles-mêmes, a-t-il conclu.

 

Bangui, ravagée depuis un an et demi par de terribles affrontements, exactions et pillages, et vidée de la plupart ses habitants musulmans traqués par les milices anti-balaka, retrouvait un semblant de normalité depuis plusieurs semaines.

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8 août 2014 5 08 /08 /août /2014 13:45
photo EMA

photo EMA

 

7 août, 2014 – BBC Afrique

 

L'opération française Sangaris annonce qu'elle a mené une opération d’envergure contre l'ex-Séleka à Batangafo , dans le nord de la Centrafrique.

 

Dans un communiqué, Sangaris précise qu'elle a riposté avec force à l'attaque menée, mardi contre ses éléments.

Sangaris ajoute qu'il s'agit d'un "signal fort" contre les groupes armés qui s’opposent au retour à la paix.

Des affrontements qui ont éclaté mardi ont fait au moins trois blessés, deux chez Sangaris et un soldat de la Misca.

L'armée française affirme que la situation a été stabilisée mercredi, mais qu'elle reste tendue, ajoutant que les opérations de contrôle de zone "sont toujours en cours".

C'est le deuxième incident majeur depuis la signature de l'accord de cessez-le-feu le 23 Juillet à Brazzaville.

La semaine dernière, Batangafo avait déjà été le théâtre de violents affrontements entre ex-Séléka et miliciens anti-balaka, faisant au moins 25 morts.

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6 août 2014 3 06 /08 /août /2014 19:45
Centrafrique : 37 morts dans les combats

 

 6 août, 2014 – BBC Afrique

 

 

Les combats ont opposé les forces françaises aux combattants ex-seleka dans le nord de la République centrafricaine lundi.

 

Trente-sept personnes y ont perdu la vie dont vingt-neuf civiles et huit membres de l'ex-coalition seleka. Quatorze personnes seraient blessées dont neuf civils. Ces chiffres ont été donnés par le porte-parole de l'aile militaire, le capitaine Ibrahim Ahmat Nadjab.

 

Les affrontements entre les combattants de l'ex rebellion Seleka et les forces françaises de l'opération Sangaris ont eu lieu pendant plusieurs heures le lundi à Batan-Gafo, dans le Nord de la Centrafrique.

 

L'Etat-major de l'armée française de son côté assure qu'aucune victime n'a été enregistrée dans les troupes françaises, au cours de ces combats.

 

Les soldats français accusent les ex-seleka de les avoir violement attaqués. Un groupe de cent personnes auraient agi de manière coordonnée. Pour en venir à bout, les soldats français ont du faire usage de moyens aériens.

 

Le porte-parole de l'aile militaire a rejeté ces accusations : « On n'a pas tiré sur leurs positions et nous n'avions pas cette intention. Nous n'avons pas de problèmes avec les forces internationales », a déclaré le capitaine Ibrahim Ahmat Nadjab.

 

Un calme règne à présent à Batangafo.

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