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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 11:35
Exelis’ AN/ALQ-211(V)9 pod cleared for installation on Pakistani F-16 fighters

Exelis- AN/ALQ-211(V)9 AIDEWS has been cleared to fly on board Pakistani Air Force's F 16 fighter aircraft. Photo Exelis

 

1 October 2014 airforce-technology.com

 

The Exelis-built AN/ALQ-211(V)9 advanced integrated defensive electronic warfare system (AIDEWS) has been cleared to fly on board the Pakistan Air Force's F-16 fighter aircraft.

 

The clearance follows completion of the US Air Force's (USAF) Seek Eagle process for aircraft stores certification, which included a series of compatibility flight profile (CFP) missions designed to clear the pod to the F-16's basic limits.

 

Working in collaboration with the USAF and Lockheed Martin Aeronautics Company, the Exelis team evaluated two stores configurations at Eglin Air Force Base, Florida, to capture current and future pod configuration requirements without the need for additional CFP missions.

 

Exelis integrated electronic warfare systems business vice-president and general manager Joe Rambala said: "The AIDEWS pod provides the US and its allies with a modular, highly capable and cost-effective survivability system for a range of fighter aircraft.

 

"Achieving this certification will give more pilots access to the system's advanced RF protection and the flexibility to meet the evolving RF threat."

 

Currently limited to F-16A/B Block 15 aircraft procured by PAF through the Peace Drive 2 foreign military sales programme, the certification can be readily extended to both domestic and foreign F-16 Blocks 25 to 52 fighters.

 

An external pod variant of the Exelis ALQ-211 family of electronic self-protection systems, AN/ALQ-211(V)9 is a self-contained integrated electronic countermeasures and radar warning receiver system designed to protect the F-16 fighter from radio frequency threats.

 

Offering the flexibility to be installed or removed based on mission requirements, the pod provides digital radar warning, high-power jamming, threat geo-location and situational awareness using line replaceable units interchangeable with internal AIDEWS systems.

 

The AN/ALQ-211(V)9 is claimed to be the only digital radio frequency memory-based electronic warfare pod certified to F-16 basic aircraft limits, including requirements for lightning protection.

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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 08:30
photo Sedeyn Ritchie - MIL.be

photo Sedeyn Ritchie - MIL.be

 
26.09.2014 MIL.be

 

Ce vendredi 26 septembre, six chasseurs-bombardiers F-16 ont mis le cap sur Araxos en Grèce. Après l'approbation officielle par la Chambre, ils continuerront leur voyage vers la Jordanie. C'est de là, sous commandement américain, qu'ils participeront à la lutte contre l'organisation terroriste Etat islamique en Irak.

 

Quelque 120 militaires belges, techniciens et pilotes, prennent part à l'opération. Pendant un mois, ils opéreront à partir de la base aérienne d'Azraq, dans le nord de la Jordanie. De là, les F-16 voleront jusqu'à la zone d'opération en Irak. Les Belges n'effectueront pas de missions en Syrie.

Les avions belges peuvent effectuer des missions de reconnaissance mais ils peuvent aussi bombarder. Le premier vol sous commandement américain devrait avoir lieu dans le milieu de la semaine prochaine.

Ces dernières années, la Défense a accumulé beaucoup d'expérience dans ce genre d'opérations, surtout en Afghanistan (depuis 2008) et en Libye (2011).

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26 septembre 2014 5 26 /09 /septembre /2014 13:30
RDAF F-16AM, armed with AMRAAM and a GBU-12 laser guided bomb [RDAF photo]

RDAF F-16AM, armed with AMRAAM and a GBU-12 laser guided bomb [RDAF photo]

 

26 septembre 2014 Romandie.com (AFP)

 

Copenhague - Le Premier ministre du Danemark Helle Thorning-Schmidt a annoncé vendredi le déploiement de sept avions de combat F-16 en Irak pour participer à l'offensive en cours contre l'organisation État islamique.

 

Je suis très heureuse qu'il y ait désormais une large coalition, y compris de pays de la région qui veulent (...) contribuer, a affirmé Mme Thorning-Schmidt lors d'une conférence de presse à Copenhague.

 

Elle a précisé que la mission serait limitée à l'Irak, à l'exclusion de la Syrie.

 

La participation du Danemark à la coalition internationale doit être rapidement approuvée par le Parlement, où elle est assurée d'être soutenue par une majorité, et les F-16 pourraient arriver la semaine prochaine.

 

On nous a demandé d'apporter notre contribution en Irak, cela correspond bien à ce que veut la coalition. Concernant l'Irak nous avons reçu une demande concrète du gouvernement irakien, a expliqué Mme Thorning-Schmidt.

 

Le groupe terroriste EI est une organisation affreuse que le Danemark se doit d'aider à combattre, a-t-elle ajouté.

 

La coalition emmenée par les États-Unis a lancé vendredi de nouvelles attaques aériennes contre le groupe État islamique en Syrie. La France et la Grande-Bretagne ont exclu d'intervenir dans ce pays, tandis que les membres arabes de la coalition le font.

 

La Belgique et les Pays-Bas prévoient d'envoyer six F-16 chacun en Irak.

 

En août, le Parlement danois avait voté l'envoi en Irak d'un avion de transport C-130J Hercules et de jusqu'à 55 militaires pour le garder et le charger.

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8 septembre 2014 1 08 /09 /septembre /2014 16:35
Pakistan receives last upgraded F-16s

 

08.09.2014 by Tolga Ozbek - FG

 

Turkish Aerospace Industries has delivered its last four modernised Lockheed Martin F-16A/Bs to the Pakistan air force, concluding a “Peace Drive 2” programme signed in 2009.

 

A total of 41 aircraft have undergone avionics and structural modernisation activity at TAI’s Kazan/Ankara facilities since work started in 2010. This involved the replacement of more than 1,300 parts, with each aircraft taking around six months to update. The company also provided training for Pakistan air force personnel.

 

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4 septembre 2014 4 04 /09 /septembre /2014 12:50
Remplacement des F-16: un document secret interne sème le doute

 

2 septembre 2014 RTBF.be

 

    La Défense convoiterait-elle les avions de combat les plus chers? C'est ce qui ressort d'un document secret interne à la Défense que la VRT a pu consulter : la Défense opte pour le Joint Strike Fighter F-35, le chasseur-bombardier de Lockheed Martin, déjà choisi par l'armée américaine, mais dont le coût s'envole. Les partenaires de la suédoise devront faire un choix qui n'est pas sans lourdes conséquences budgétaires. Déjà le sp.a et les écologistes réclament des explications. La Défense n'a pas cherché à favoriser l'un ou l'autre concurrent à l'obtention du contrat de renouvellement des F-16, a-t-elle laissé entendre mardi dans un communiqué.

    Le ministre de la Défense sortant, Pieter De Crem (CD&V) le voulait, et il semble que son département lui emboîte le pas.

    Cet été la Défense a envoyé un questionnaire au cinq producteurs d'avions de combat susceptibles de fournir un successeur au F-16, question de défricher le marché. Ce document est parvenu à la rédaction de la VRT qui l'a fait analysé par un spécialiste, Christ Klep.

 

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Remplacement des F-16: un document secret interne sème le doute

5 candidats à la succession des F-16 

  • F-35 Lightning II, Joint Strike Fighter de l'américain Lockheed Martin
  • F/A-18F Super Hornet de l'américain Boeing
  • Rafale du français Dassault
  • JAS-39 Gripen du suédois Saab
  • Eurofighter-Typhoon, européen
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3 septembre 2014 3 03 /09 /septembre /2014 12:50
Le remplacement des F-16, la défense y est favorable! - photo Belgium MoD

Le remplacement des F-16, la défense y est favorable! - photo Belgium MoD

 

03 septembre 2014 Emmanuel HUET - lavenir

 

On n’avait pas encore entendu la Grande muette sur le remplacement des F-16. La Défense y est favorable afin de maintenir une coopération internationale.

 

À propos du remplacement des F16, la Défense belge y est clairement favorable. Si elle se montre prudente comme un sioux sur le type d’appareil souhaité, la Défense se positionne clairement sur le renouvellement de sa flotte aérienne. Entre une armée plus à vocation humanitaire telle que modelée sous le ministre Flahaut, ou une armée plus va-t-en guerre comme souhaitée par De Crem, l’État-major de la Défense précise sa volonté «de maintenir une capacité de combat aérien importante sur le plan opérationnel pour les 40 à 50 années à venir. Pendant tout son cycle de vie, la capacité de combat aérien doit être dotée de systèmes avancés et d’un armement moderne, entièrement interopérable dans le contexte opérationnel de l’OTAN, ou de l’UE afin d’être mis en opération.»

 

Si aucune décision politique n’a encore été prise, elle se fera au cours de la prochaine législature, la Défense a déjà préparé le terrain. « Une demande préparatoire d’information a été envoyée le 2 juin aux partenaires étatiques identifiés.»

 

Dans ce document technique d’environ 25 pages, la Défense demande des informations spécifiques dans le domaine des capacités opérationnelles possibles, de l’appui technico-logistique, du partenariat recherché et des coûts et risques associés.

 

Une coopération internationale étroite

 

La Défense veut continuer à s’inscrire dans la coopération internationale grâce à sa flotte aérienne. «Suite à l’expérience de la coopération multinationale F-16 depuis 1975, la Défense reconnaît les avantages d’une coopération internationale étroite: besoins opérationnels communs, concepts opérationnels communs, appuis communs. Dans ce cadre, la demande préparatoire d’information explore les possibilités d’une collaboration multinationale étroite pendant le cycle de vie du système d’arme.»

 

À aucun moment, la Défense n’évoque les fameux F-35, qui semblent avoir la cote auprès du gouvernement. Dernièrement le député Denis Ducarme avait relevé que l’achat des F-35, pour plus de 4 milliards d’euros, ne permettrait aucune retombée économique pour la Belgique. «Je pense qu’aujourd’hui, en termes de retour industriel, les offres européennes du point de vue du retour industriel sont plus intéressantes. Je parle ici en milliers d’emplois. Remplacer des F-16, c’est aussi créer de la richesse en Belgique». D’autres solutions -européennes celles-là - permettraient à la Belgique de participer à la fabrication des avions.

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2 septembre 2014 2 02 /09 /septembre /2014 16:50
Belgium’s F-16 fighter-jet replacement

 

 – by , - europeangeostrategy.org

 

During a speech at a conference in December 2013, organised by the Belgian Royal Higher Institute for Defence, the Belgian Defence Minister took a clear stand on the future of the Belgian armed forces and the need to replace the F-16 fighter jets: ‘Defence without the capability of fighter aircraft cannot exist. There absolutely needs to be a replacement for the F-16.’

 

Belgian F-16s have had a long and productive service. They protected the national airspace and served in such theatres as Kosovo, Libya or Afghanistan. Out of the original 160 bought, fifty-five are left which have been since extensively upgraded. They have, however, reached the end of their airframe life. Since life extension is only a temporary solution, the F-16s need to be replaced by 2020-2025. At the moment the Request For Information (RFI) has been sent out to several foreign government agencies and the upcoming new federal government has intentions to procure forty new fighter aircraft. 

Three founding North Atlantic Treaty Organisation (NATO) partners (Denmark, Norway and the Netherlands) have already started their replacement procedures, with Norway and the Netherlands selecting the F-35 Lightning II as their future fighter jet.

There are, however, several hurdles on the road ahead. First of all, the defence budget has been one of the biggest victims of the austerity programmes of successive governments in the last decade. There has been a significant reduction in the size of the army but it was the budget for equipment that was hit the hardest. Belgium currently spends around sixty-five percent of the defence budget on costs with personnel, with only 4.5 percent going to investments in equipment, one of the lowest in NATO. Overall Belgium currently spends just over one percent of Gross Domestic Product (GDP) on defence, far short of the NATO required standard of two percent.

Additionally the financial and economic situation of the country makes the replacement process a political minefield, with few parties willing to openly defend investments in the armed forces and the socialist and green parties even advocating for the non-replacement of the F-16, the complete abolition of the tactical fighter wings, and investing the funds instead in social programmes.

Any discussion of the replacement of the F-16 needs to be embedded in a wide discussion about the future role of the Belgian Armed Forces. Apart from the F-16, Belgium will also need to work on replacing the navy’s frigates, mine-hunters and supply ship. The land component will also require investments, for example with the on-going ICT integration and with rising demand for C4ISR capabilities. The shrinking Belgian defence budget is already stretched thin and a decision will thus need to be taken on which capabilities will be maintained or not. International cooperation with the Benelux or other European partners will need to be equated, as ‘pooling and sharing’ can help reduce costs without sacrificing the operational independence of the participating countries.

Defence industry participation in the new fighter programme will also be an important criterion. Reports for the Ministry for the Economy have shown that the investment in the F-16s paid off in offsets over the years and helped to consolidate the Belgian defence industry. It is an obvious expectation that new contracts will include similar arrangements. Furthermore the Belgian defence industry is actively urging that offset contracts and technology transfers should be made the most important selection criterion. Therefore among the options being considered there  is the possibility of the Belgian defence industry participating in the acquisition and maintenance costs of the new fighter aircraft, to justify the contracts they would earn over the years with the new jets.

 

Strategic Requirements

Belgium is a medium-sized European country centrally located in Western Europe. The advent of such institutions as NATO and the European Union (EU) has rendered adjacent inter-state conflict unlikely. Nevertheless, all states must maintain a credible deterrent against potential foes, be these national or transnational in character. Additionally, Belgium has a vested interest in being a credible defence actor if it is to preserve the presence of international institutions in its territory – especially such institutions as NATO’s Headquarters or SHAPE.

In discussing air force requirements though, Belgium would be wise not to opt for extremes. To forgo an air force altogether would be tantamount to abdicating from an autonomous foreign and security policy but it also would make little strategic sense for a small actor to overinvest in military aviation without much in the way of an existential threat.

Thus Belgian air force requirements should aim at guaranteeing air space control and some degree of air power projection but not to the extent of equipping to face off against the world’s premier air force establishments. A Belgian airframe should be fast and manoeuvrable to allow it to take off and land from a small territorial area but not as fast as to compete with air superiority fighters whose purpose is to protect larger areas and assume the interceptor role. A credible defence is not equivalent to premier front-line air superiority technology, nor can this be afforded – especially at a time of austerity.

In terms of power projection, Belgium should try and complement its capabilities with some degree of anti-ground operations so as to provide meaningful cover for allied deployments. Empirically, Belgium has been tasked with either the protection of its own airspace, defending the airspace of NATO allies or with complementing allied operations in joint missions around NATO’s periphery.

 

Candidate replacements

Given these requirements, it would seem therefore unwise to invest in the currently touted F-35 platform. Such features as advanced stealth or electronic warfare capabilities can be very useful for airframes which are meant to survive an operational theatre with advanced anti-aerial components.  All this if, of course, the many doubts concerning the sustainability of the programme are not confirmed, the maintenance of its present already much inflated cost does not rise, not to mention the exceedingly higher operation and lifecycle costs.

However, Belgium is not likely to be in such a position in the foreseeable future. If NATO found itself in the unlikely contingency of having to face a large modern air force in competition for air superiority, it would certainly not be logical to expect a smaller nation like Belgium to provide the muscle for frontline air-to-air dogfighting.

Similarly, twin-engine aircraft such as Boeing’s F/A-18 Hornet, the Eurofighter Typhoon or the Dassault Rafale, provide speed which Belgian aircraft would never really be able to capitalise on in Belgian airspace. The Rafale and F-18 in particular were designed for aircraft-carrier based operations, giving it an excellent operational range but again, a feature which would be inadequate to Brussels’ needs. One of the main advantages of twin-engine airframes is also to improve survivability in case of catastrophic engine failure and this is most useful in inhospitable areas such as maritime or desert environments. Belgium, however, possesses one of the densest networks of highways in Europe and this requirement therefore is not justifiable. The EF-2000 and the Rafale are also marketed in terms of air-superiority features such as advanced electronic warfare, which Belgium, again, would have little use for.

Finally, taking into account the offsets criterion, off-the-shelf products are usually not the best choice because in general it is difficult for small states to secure much in the way of offsets from companies which already have a running production complex elsewhere. The F-35 may be an exception considering its joint-venture nature but Belgium would be a latecomer to that industrial conglomerate. France’s Rafale has also offered great technology transfers to its potential clients but such clients were big states interested in large purchasing orders. It is thus unlikely Belgium would be capable of leveraging the same offsets from the French.

Conversely, a conversation with Sweden would be held on a much more balanced basis. Stockholm’s Saab’s JAS-39 ‘Gripen’ seems especially fit to meet Belgian criteria for a nimble but multi-role jet, inter-operational with NATO forces and capable of short take-off and landing. Sweden has also regularly offered interesting industrial cooperation packages to its European partners and the Gripen entails much lower operational costs. In addition, the Gripen would come with another alluring feature to the Belgian brass: its price-tag.

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16 juillet 2014 3 16 /07 /juillet /2014 16:50
Rafale

Rafale

 

15 juillet 2014 RTBF.be (Belga)

 

    L'industrie aéronautique belge fonde de grands espoirs dans un important - mais coûteux - contrat militaire que pourrait passer le prochain gouvernement, l'achat d'un nouvel avion de combat pour remplacer à partir de 2023 les F-16 vieillissants, tout en regrettant à demi-mots que le ministère de la Défense ne se montre pas plus exigeant sur le volet des retombées économiques.

 

    Ils se sont ainsi réjouis de la visite que leur a rendue le ministre sortant de la Défense, Pieter De Crem, au deuxième jour du salon aéronautique de Farnborough (sud-ouest de Londres), l'un des plus importants au monde, avec celui du Bourget qui se tient pour sa part les années impaires près de Paris.

 

    Pieter De Crem est allé à la rencontre de la vingtaine d'exposants belges présents à Farnborough, dont les "grands" du secteur, comme Sabca, Sonaca, Techspace Aéro, Asco et Barco. Mais il s'est refusé à toute déclaration à la presse.

 

    La Défense a adressé début juin à cinq agences étatiques, deux américaines et trois européennes, une demande d'information (en anglais "Request for Information", RFI) concernant cinq avions de combat susceptibles de succéder aux F-16.

 

    Il s'agit de la première étape, non contraignante, d'un - long - processus - qui devrait déboucher vers 2018 sur l'acquisition d'un nouveau chasseur avant la fin de vie prévue des F-16 à partir de 2023, pour autant que le prochain gouvernement s'accorde sur le maintien d'une capacité d'avions de combat.

 

    Relance

 

    L'industrie estime en effet qu'elle pourrait raisonnablement obtenir des retombées économiques équivalentes à la valeur du contrat - de l'ordre de quatre milliards d'euros.

 

    "Un vrai plan de relance", a souligné un responsable d'une entreprise sous le couvert de l'anonymat. "Dans un secteur de haute technologie et en croissance", a renchéri un de ses collègues en rappelant que l'achat des F-16, qualifié en 1975 de "contrat du siècle", avait généré de retombées économiques de trois à quatre fois supérieures à la valeur du marché initial.

 

    Les industriels regrettent ainsi que la Défense n'ait, dans la version finale du RFI (ou "survey") adressé début juin aux Etats-Unis, à la France, au Royaume-unie et à la Suède, plus fait mention de compensations économiques.

 

    "Mais nous ne pouvons plus le faire" en vertu de la législation européenne, ont répondu en choeur l'entourage de Pieter De Crem et l'état-major de la Défense.

 

    Eurofighter

 

    Les cinq agences étatiques auxquelles le RFI a été adressé sont le Joint Program Office (JPO), qui pilote le programme de chasseur F-35 Lightning II construit par le groupe Lockheed Martin, le Navy Integrated Program Office (Nipo) pour le F/A-18E/F Super Hornet de Boeing, la Direction générale de l'Armement (DGA) du ministère français de la Défense pour le Rafale du consortium Rafale International (regroupant l'avionneur français Dassault Aviation et ses partenaires Safran et Thales), la Swedish Defence and Security Export Agency (FXM) pour le JAS-39 de Saab et le ministère britannique de la Défense pour l'Eurofighter du consortium éponyme.

 

    Le ministère souhaite en effet conclure un achat "d'Etat à Etat" - et non directement auprès d'un constructeur, selon plusieurs sources.

 

    Mais tous les contructeurs savent qu'ils doivent envisager l'octroi de retours à l'industrie belge, estime la Défense en se défendant de se montrer "plus catholique que le pape" face à la législation européenne qui interdit désormais explicitement de réclamer des compensations économiques lors des marchés publics.

 

    Pieter De Crem s'était déclaré en décembre dernier clairement partisan de l'achat d'une quarantaine de nouveaux avions de combat lors de la législature à venir si la Belgique souhaitait rester un "partenaire fiable" au sein de l'Otan et de l'Union européenne.

 

    Idéalement, selon la composante Air de l'armée, la décision d'achat devrait intervenir en 2016 au plus tard pour lui donner le temps de préparer son entrée en service avant le retrait des F-16, irrévocablement programmé entre 2023 et 2025. L'avion de Lockheed Martin (anciennement General Dynamics) est en service en Belgique depuis 1979, même si les appareils les plus récents datent de 1991. Les 54 avions survivants, sur les 160 achetés, ont tous subi une modernisation à mi-vie ("Mid-Life Update", MLU) qui se poursuit par des évolutions logicielles et structurelles.

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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 07:30
Le premier A400M turc, durant son vol inaugural en aout 2013 photo Airbus DS

Le premier A400M turc, durant son vol inaugural en aout 2013 photo Airbus DS

 

09/07/2014 par François Julian – Air & Cosmos

 

Le premier A400M livré à la force aérienne turque a réalisé sa première mission en dehors de ses frontières. Le 2 juillet dernier, l'A400M "MSN 9" a convoyé vers la Grand-Bretagne l'équipe de soutien du F-16 "Solotürk" de démonstration acrobatique. L'avion s'est posé à Londres. A son retour, il a fait une escale au Luxembourg.

 

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7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 16:20
Un chasseur Boeing discret...(en Belgique)

 

05 juillet 2014 lavenir.net

 

L’avionneur américain Boeing a présenté cette semaine en toute discrétion son chasseur-bombardier F/A-18F Super Hornet à l’armée belge, alors que la succession des F-16 vieillissants, un gros dossier pour le prochain gouvernement, commence à se profiler, Deux de ces appareils en version biplace séjournent depuis lundi sur la base aérienne de Florennes dans le cadre d’une tournée européenne qui les a déjà menés au Danemark, avant la Grande-Bretagne, avec une participation au salon aéronautique de Farnborough, près de Londres du 13 au 20 juillet.

 

L’un d’entre eux a effectué, vendredi après-midi, un vol de démonstration avec un pilote belge en place arrière, alors que Boeing organisait une réception sur invitation – sur la base de Florennes pour quelques invités en ce 4 juillet, jour de la Fête nationale américaine. Selon la Défense, cette visite de deux Super Hornet ne constitue en rien une «évaluation» de l’un des candidats à la succession des F-16. Mais quelques pilotes belges ont eu la possibilité de voler à bord des appareils de Boeing. Il s’agissait de «faire connaissance» avec ce type d’avion peu répandu en Europe.

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 16:35
Dutch F-16s fly last mission in Afghanistan

A Royal Netherlands Air Force F-16 Fighting Falcon aircraft conducts a mission over Afghanistan, May 28, 2008

 

2 Jul 2014 By: Anno Gravemaker - FG

 

 

On 30 June, the last two Royal Netherlands Air Force Lockheed Martin F-16AMs completed their final mission for the air task force over Afghanistan.

 

For the last 12 years the service had maintained a detachment of F-16s to support the NATO-led International Security Assistance Force mission in the country. Since starting operations in October 2002, the Dutch aircraft amassed over 24,000 flight hours on more than 10,000 missions, mainly flown in support of coalition ground forces.

 

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 16:35
F-16C Fighting Falcons conducting flight over Kunsan air base in Korea. Photo US Air Force

F-16C Fighting Falcons conducting flight over Kunsan air base in Korea. Photo US Air Force

 

Jun 25, 2014 ASDNews Source : BAE Systems PLC

 

BAE Systems has begun to upgrade 134 South Korean F-16 aircraft in partnership with the U.S. Air Force.

 

Two of the F-16s recently arrived at the company’s modification facility at Alliance Airport in Fort Worth, Texas, where they will be equipped with advanced weapons and next-generation avionics, including advanced mission computers, new cockpit displays, and advanced radars and targeting sensors.

 

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 12:20
Un F-35 et un F-16 volent côte à côte. Photo Lockheed Martin

Un F-35 et un F-16 volent côte à côte. Photo Lockheed Martin

 

19/06/2014 Par Julien Bergounhoux

 

Pierre Sprey, l'un des pères du F-16, considère le F-35, le fameux "Joint Strike Fighter" pour la clientèle internationale, comme un désastre irrécupérable. Ce projet faramineux dont le coût s'est multiplié au fil des ans n'en finit pas de subir des déconvenues, mais pour cet ingénieur, c'est le concept même de l'avion qui est en cause.

 

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 16:30
Iraq Accepts 1st Lockheed Martin F-16 Aircraft

 

 

Jun 5, 2014 ASDNews Source : Lockheed Martin

 

Lockheed Martin (NYSE:LMT) delivered the first of 36 F-16 Block 52 aircraft to the Iraqi Air Force during a ceremony today at its Fort Worth facility.

 

Lockheed Martin is producing the F-16s under a contract from the U.S. Department of Defense. The F-16s are being built in a configuration tailored to meet the specific requirements of the Iraqi Air Force, and the contract includes mission equipment and a support package provided by Lockheed Martin and other U.S. and international contractors.

 

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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 11:50
Rafale - photo S. Fort

Rafale - photo S. Fort

 

04 juin 2014 leVif.be (Belga)

 

Le ministère de la Défense vient d'adresser à cinq agences étatiques, deux américaines et trois européennes, une demande d'informations concernant cinq avions de combat susceptibles de succéder aux F-16 vieillisants, a-t-on appris mercredi des sources concordantes.

 

La publication de ce RFI, qui n'engage en rien à un achat futur ni au choix d'un appareil déterminé, "vise à rassembler des informations" allant au-delà des sources ouvertes jusqu'ici disponibles pour la prospection, ont expliqué plusieurs sources au sein du ministère. Elle n'en représente pas moins la première étape d'un - long - processus qui devrait déboucher sur l'acquisition d'un nouveau chasseur avant la fin de vie prévue des F-16 à partir de 2023, pour peu que le prochain gouvernement fédéral s'accorde sur ce remplacement. Les cinq agences étatiques auxquelles le RFI (ou "survey") a été adressé sont le Joint Program Office (JPO), responsable du programme de chasseur F-35 Lightning II construit par le groupe Lockheed Martin, le Navy Integrated Program Office (Nipo) pour le F/A-18F Super Hornet de Boeing, la Direction générale de l'Armement (DGA) du ministère français de la Défense pour le Rafale de Dassault, la Swedish Defence and Security Export Agency (FXM) pour le JAS-39 de Saab et le ministère britannique de la Défense pour l'Eurofighter du consortium éponyme, a précisé un porte-parole de la Défense à l'agence BELGA.

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23 mai 2014 5 23 /05 /mai /2014 18:50
Pologne : Exercice COMAO

 

23/05/2014 Sources : EMA

 

Le 15 mai 2014, dans le ciel de Pologne, deux Rafale du détachement français de Malbork ont participé à un exercice mené par un escadron de F16 polonais.

 

Les deux Rafale ont décollé à 9 h 30 de la base aérienne de Malbork, pour un exercice d’une durée de 55 minutes.

 

À 11 h 02, les Rafale se sont posés et les pilotes ont pu débriefer leur vol.

 

Plus-value extraordinaire dans ce type d’exercice mettant en scène plus de vingt avions de combats, la L16 a permis à tous les participants de cette mission d’être connectés, et de travailler en harmonie.

 

La L16 est une liaison de données tactiques en temps réel entre tous les niveaux de la chaîne de commandement ; elle autorise une rapidité de frappe grâce à une vue complète de l'image tactique, partagée par tous les acteurs sur le terrain.

 

Depuis le 6 mai 2014, sur demande de l’OTAN, le détachement déployé en Pologne a débuté une mission de permanence opérationnelle (PO). Dans le cadre de son déploiement, le détachement de l’armée de l’Air alterne cette mission de permanence opérationnelle avec des missions d’entraînement à la NATO Air Policing, aux côtés des équipages polonais.

 

Les quatre Rafale se tiennent ainsi prêts, aux côtés de nos alliés, mais depuis la Pologne, à décoller 24/24h et 7/7j pour garantir l’intégrité territoriale de l’espace aérien des Etats Baltes.

Pologne : Exercice COMAO
Pologne : Exercice COMAO
Pologne : Exercice COMAO
Pologne : Exercice COMAO
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8 mai 2014 4 08 /05 /mai /2014 16:30
First Iraqi F-16 Completes First Flight

 

 

May 8, 2014 ASDNews Source : Lockheed Martin Corporation

 

Lockheed Martin (NYSE:LMT) successfully completed the first flight of the inaugural F-16 Fighting Falcon for the Iraq Air Force. The jet is the first of 36 F-16 Block 52 aircraft on order through the U.S. Department of Defense for Iraq.

 

With more than 4,540 F-16s delivered to date, the Foreign Military Sale to Iraq adds to the F-16’s reputation as the world’s most versatile and affordable 4th generation multi-role fighter. Lockheed Martin’s F-16 production line is expected to continue through 2017, with major upgrades being incorporated for all F-16 versions.

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7 mai 2014 3 07 /05 /mai /2014 07:50
photo Composante Air

photo Composante Air

 

5 mai 2014 RTBF.be (Belga)

 

    Aucun parti politique francophone, à l'exception du PTB, ne s'oppose formellement à l'idée d'acheter de nouveaux avions de combat pour succéder aux F-16 vieillissants - un marché estimé à quelque quatre milliards d'euros -, mais tous souhaitent inscrire un tel achat dans un "cadre européen", révèle une enquête menée la Coordination nationale d'Action pour la Paix et la Démocratie (CNAPD), dont les résultats ont été publiés lundi.

 

    Sans surprise, c'est le président du MR, Charles Michel, qui se montre le plus affirmatif en déclarant que son parti est favorable à une décision au cours de la prochaine législature concernant "le remplacement ou la modernisation de nos F-16", tout en prévenant que les libéraux francophones "opteront pour la solution économique, industrielle et opérationnelle la plus favorable".

 

    M. Michel ajoute, dans une réponse écrite au questionnaire adressé à six partis (cdH, PS, FDF, MR, Ecolo et PTB), que le prochain gouvernement devra définir "un plan stratégique volontariste" des capacités dont devra disposer l'armée belge à l'horizon 2020.

 

    Le MR propose de maintenir le maintenir le budget de la Défense en euros courants (c'est à dire incluant l'inflation) pour "générer une marge libre indispensable au rééquipement en matériels majeurs à la suite d'une réduction +naturelle' de l'effectif vers 25.000 hommes".

 

    Le président du PS, Paul Magnette, a lui aussi répondu personnellement à la CNAPD en assurant que son parti "ne ferme pas la porte au débat et à la possibilité de consentir les investissements indispensables à notre sécurité et au maintien de la paix", tout en soulignant qu'ils doivent s'apprécier en fonction des moyens budgétaires disponibles, des options prises par le prochain plan stratégique (...), des retombées en termes de création d'emploi et de transferts technologiques.

 

    Pour M. Magnette, c'est ce nouveau plan stratégique 2015-2030 qui devra fixer un nouveau niveau d'ambition pour notre défense. "Et c'est sur cette base que devra s'établir le prochain programme pluriannuel d'investissement et d'équipement", précise le président des socialistes francophones.

 

    "De manière générale, nous estimons qu'il faut consentir à un investissement de Défense que s'il correspond aux véritables besoins belges et européens en la matière, et certainement pas servir des intérêts stratégiques qui ne sont pas les nôtres", ajoute M. Magnette.

 

    A cet égard, le PS privilégie une approche européenne en la matière. Selon les socialistes, la Belgique doit en effet "poursuivre et renforcer son engagement pour une Europe de la défense qui permette de rationaliser les dépenses militaires tout en gagnant en efficacité et en faisant de l'Europe un acteur diplomatique majeur et fiable à l'échelle mondiale".

 

    Le cdH a répondu, de manière anonyme, à la CNAPD, en affirmant que "la Défense demeure une composante incontournable d'une stratégie internationale de stabilité et de paix crédible, qui doit s'inscrire résolument dans une perspective européenne".

 

    "La Belgique doit assumer sa part de responsabilité dans la sécurité européenne et mondiale. Cela peut se faire notamment en ayant une composante aérienne de pointe si ce besoin est identifié à l'échelon européen", ajoutent les humanistes.

 

    Ils estiment que la décision de remplacement des F-16 devra se fonder sur une analyse des besoins à l'échelon européen "ainsi que les retombées économiques, technologiques et financières pour notre pays et en consultation avec nos partenaires européens".

 

    Les FDF estiment pour leur part qu'une composante aérienne de combat "reste actuellement encore nécessaire" pour assurer des missions de police du ciel, de reconnaissance, de défense aérienne ainsi que d'appui aux troupes engagées au sol. Le remplaçant du F-16 devrait posséder une capacité multirôles réelle; disposer d'une technologie récente et éprouvée mais également pouvoir participer à des missions expéditionnaires hors d'Europe, a indiqué un attaché à la présidence du parti amarante, Michaël Vossaert.

 

    Pour Ecolo, le renouvellement des avions de combat doit "faire l'objet d'une réflexion plus large" et il est essentiel que la Belgique se spécialise "dans certains métiers pour lesquels nous sommes reconnus".

 

    Les écologistes ne "souhaitent pas a priori" que la Belgique dispose d'avions de combat. "Toutefois, si la Belgique devait, dans la cadre de sa +part européenne+, acheter des avions de combat, il serait indispensable de d'abord poser la question des objectifs assignés à ces avions", ont-ils indiqué à la CNAPD.

 

    Nettement plus carré, le PTB a pour sa part répondu: "Nous ne voulons pas acheter d'avions de combat du tout".

 

    L'industrie aéronautique chiffre l'achat d'une quarantaine de nouveaux chasseurs-bombardiers à environ quatre milliards d'euros.

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16 avril 2014 3 16 /04 /avril /2014 07:45
Cubic to supply P5 combat training system to Moroccan Air Force

A USAF personnel puts the automatic air collision avoidance system data cartridge into the P5 Combat Training System at Edwards Air Force Base, US. Photo: courtesy of Christian Turner.

 

15 April 2014 airforce-technology.com

 

Cubic Defense Systems has received a contract to supply its P5 combat training system (P5CTS) to the Royal Moroccan Air Force.

 

Under the terms of the $5m contract, awarded by the US Air Force (USAF), the company will supply P5CTS system for use by Moroccan pilots who fly the recently-delivered F-16 Fighting Falcon aircraft.

 

With the contract, Morocco joins the US Air Force, Navy, and Marine Corps, along with a number of international air forces, in using the P5CTS to support high-fidelity, TOPGUN-style live and post-mission training.

 

Cubic Defense Systems president Dave Schmitz said the contract is a demonstration of the company's commitment to the air combat readiness of one of the US' allies.

 

"Cubic is dedicated to provide and develop best-in-class, cost-effective, advanced flight training for pilot mission readiness," Schmitz said.

 

"All foreign air forces that fly fighter or attack jets or conduct joint exercises and training with the US should have a P5 system to maximise their training capabilities."

 

Cubic will be the prime contractor responsible for performance in all areas of systems engineering, and for development / integration / installation of the ground instrumentation subsystem.

 

The company has also subcontracted DRS Training & Control Systems for design, development, production and aircraft integration of the P5CTS airborne instrumentation subsystem.

 

The P5 combat trainer is designed to provide real-time training for air-to-air, air-to-ground and surface-to-air combat missions by recording mission data, relay time, space and positioning information between participating aircraft during training sorties.

 

Key components of the fifth-generation system include GPS-enabled aircraft-mounted airborne instrumentation packages and ground stations, which will help aircrew to conduct, monitor and control air combat training and post-flight debriefing in addition to the flexibility to carry out anywhere, anytime training capability.

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13 avril 2014 7 13 /04 /avril /2014 11:20
Sharing The Skies

 

 

4/10/2014 Strategy Page

 

For more than three decades, F-16s have controlled the skies above Luke Air Force Base. Luke's first F-35 takes to the skies with an F-16.

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 07:30
Oman Air Force Continues F-16 Legacy

 

 

Apr 6, 2014 ASDNews Source : Lockheed Martin Corporation

 

The Sultanate of Oman accepted the first of its second order of Lockheed Martin [NYSE: LMT] F-16 Fighting Falcons in a ceremony April 3 at Lockheed Martin's Fort Worth facility. The fighter aircraft will ferry to Oman later this year.

 

In 2002, the Sultanate of Oman became the 23rd member of the F-16 family and now joins the 15 other countries which have ordered additional F-16 jets for their air defense. The new F-16s will add to the Oman Air Force's existing fleet of F-16s used to defend Oman's borders.

 

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8 avril 2014 2 08 /04 /avril /2014 07:30
Israeli squadrons trial joint combat formation

 

 

7 April 2014 By: Arie Egozi - FG

 

Tel Aviv - The Israeli air force has unveiled a new strategy intended to increase the operational capabilities of its fighting squadrons at a time of war – operating two different types of aircraft very closely.

 

The decision to train in a joint formation is based on the assumption that during a war the air force would have to deal simultaneously with suppressing rocket and missile attacks being made against Israeli territory, and with any attempt by aerial forces to enter the nation's airspace to strike targets.

 

In late March, two squadrons trained using the new technique, with the target of employing the joint formation to achieve the best operational results. This involved Boeing F-15s from the "Knights of the Double Tail" unit, operating out of Tel Nof air base, and Lockheed Martin F-16C/Ds from the "First Jet" squadron at Ramat David air base.

 

During three days of training, the units employed mixed formations against a simulated enemy in a scenario in which they had to defend Israeli airspace on the nation's northern front. They also flew in larger numbers than usual, in a bid to exploit the advantages of each combat aircraft type. Air crews also gathered for joint briefings and debriefings throughout the process.

 

By merging its assets into one flying formation, the air force can deal with a wide variety of threats. Its F-15s have longer-range capability and carry some unique weapons, while the F-16 has attributes including its defensive electronic warfare equipment.

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 16:50
USAF F-16 Fighting Falcon Lask Air Base Poland

USAF F-16 Fighting Falcon Lask Air Base Poland

 

April 1, 2014 defense-aerospace.com

(Source: US Air Force; issued March 31, 2014)

 

Av-Det Keeps U.S.-Polish Training Running Smoothly

 

LASK AIR BASE, Poland --- "All the expectations you have for a normal assignment -- throw those out the window. We have to analyze who we have, what our guys bring to the table and what we can do to overcome any challenges thrown our way," said Maj. Micah Chollar, 52nd Operations Group, Detachment 1 director of operations.

 

The Aviation Detachment here was activated in November 2012, and consists of a small group of Airmen marking the first enduring presence of U.S. military members on Polish soil. The detachment's presence in Poland makes it possible to host multiple allied air force elements and serve as a regional hub for air training and multi-national exercises. They also facilitate and enable combined U.S. and Polish training and exercises to increase air support to NATO.

 

Ten Airmen are assigned and work at the Av-Det, each serving a vital role in the mission here. The various jobs consist of Airmen from several mission-essential career fields to include: A C-130 Hercules and an F-16 Fighting Falcon instructor pilot, an aerospace ground equipment troop, a crew chief, a maintenance officer, a contracting officer, a logistics airman, two communications airmen and a supply airman.

 

"It's interesting because we're used to operating with people within our own career fields," said Chollar. "Now, all of us are one deep in the shop together. You learn a lot about each other's career fields, what each person brings to the fight and how to communicate more efficiently."

 

With the limited on-base resources available to those assigned here, the contracting officer, whose job is to procure anything needed off the economy, takes on a large responsibility within the detachment.

 

"My assumption coming here is that we are going to a U.S. Air Force base, but I came to quickly realize that we are a very small tenant unit inside a Polish air force base," said Tech. Sgt. Rommel Delmundo, 52nd OG, Det 1 contracting officer. "That changes a lot of things. We don't have a base exchange or a commissary or a gas station so we depend and rely a lot on the economy as far as accomplishing our mission to not only maintain our unit but the rotations that come through here as well."

 

While working and living with only 10 Airmen on a day-to-day basis may seem like a daunting task, the Airmen stationed here for the year realize it comes down to cooperation and understanding.

 

"Since there are only 10 of us, we've come to rely on each other whenever someone gets overloaded and needs help," said Tech. Sgt. Gloria Casanova, 52nd OG, Det 1 client systems. "We have come to be very close and been able to be that helping hand for individuals in any career field."

 

The Av-Det hosts approximately four rotations each fiscal year for off-site training for an average of two weeks at a time. While eight weeks out of the year may not seem that long, the Av-Det Airmen contribute their workload to the preparation before a unit arrives.

 

"What's not commonly known is how little downtime we have here," said Maj. Matthew Spears, 52nd OG, Det 1 commander. "We may have months in between each rotation, but it's not well known how hard we work in those months. It's that behind the scenes work that makes rotations successful here. The preparation we do allows units to come in and begin operations on day one."

 

Delmundo expresses the same views and explains that with extensive preparations, the outcome results in an easier workload while rotations are present at the Av-Det.

 

"There's a lot of preparation going on before a rotation arrives," said Delmundo. "There's hotel coordination, vehicle coordination, getting tents and making sure we have water. That's the majority of what we do here is preparation and when execution time comes, if everything is done right, then it's pretty much cruise control."

 

While preparations for several rotations of F-16 and C-130 squadrons can exhaust a lot of man-hours, Av-Det personnel understand the importance of their mission and enjoy the satisfaction that comes with a successful completion of a rotation.

 

"We know that the work we accomplished was for a valid purpose and we took a little bit of coordination and administration off the plates off an operational unit with a high operations tempo to make their lives a little easier," said Spears.

 

"The team out here works hard, whether we're preparing for a rotation or building relationships with the Polish air force," Spears said. "Either way, I couldn't be prouder of the work that they do."

 

To date, the Secretary of State, the Secretary of Defense, the Chairman of the Joint Chiefs of Staff and numerous other distinguished visitors have visited the Av-Det here to solidify the importance of a U.S. presence in Poland.

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 13:20
Red Flag : entre poussière et lumière

25 mars 2014  Belgian Defense

 

Quelque 150 militaires belges étaient présents du 24 février au 15 mars 2014 sur Nellis Air Force base (USA). Cette base américaine offre l'un des plus grands terrains d'entraînement pour les avions militaires américains et alliés. Située dans le Nevada, à une vingtaine de kilomètres de Las Vegas, elle accueillait notre détachement pour participer à l'exercice Red Flag.

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24 mars 2014 1 24 /03 /mars /2014 12:20
F-16 - photo Composante Air

F-16 - photo Composante Air

 

24/03/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le ministre de la Défense belge, qui est à Paris ce lundi, privilégie l'acquisition de l'avion de combat de Lockheed Martin. Un choix plus ou moins conditionné à son avenir, Pieter de Crem étant candidat au poste de secrétaire général de l'OTAN.

 

Le vice-Premier ministre et ministre de la Défense du Royaume de Belgique, Pieter de Crem, qui est à Paris ce lundi, souhaite toujours autant équiper l'armée de l'air belge avec l'avion de combat américain, le F-35 de Lockheed Martin en dépit de l'inflation du prix de cet appareil qui cumule également les déboires techniques et technologiques. Mais pourquoi ce choix alors qu'il existe pourtant trois avions de combat européens - Eurofighter (BAE Systems, Airbus Group et Finmeccanica), Gripen (Saab) et Rafale (Dassault Aviation) ?

Parce que Pieter de Crem, atlantiste convaincu, est candidat au poste de secrétaire général de l'OTAN, qui doit se libérer cet été, qu'il n'est qu'un outsider et qu'il a donc besoin de donner des gages aux Etats-Unis, explique-t-on à Paris. D'où le choix outre-Atlantique… Le ministre de la Défense blege mène donc depuis de longs mois une campagne relativement discrète entre Washington et Bruxelles. "La Belgique ne peut être otage d'une priorité de campagne du candidat De Crem à l'OTAN", affirme la députée verte belge, Juliette Boulet.

 

60 F-16 à remplacer

La flotte des F-16 compte actuellement 60 appareils, dont 48 sont affectés à l'OTAN. Ces avions, capables d'effectuer des missions défensives et des tâches offensives et de reconnaissance, sont stationnés sur deux bases, Kleine Brogel et Florennes. Grâce au programme de modernisation Mid Life Update (MLU), le F-16 restera apte à effectuer toutes les missions opérationnelles au-delà de l'an 2015. C'est dans ce cadre que la Belgique envisagerait d'acquérir de 35 à 55 avions de combat.

"Nos décisions se baseront sur le niveau d'ambition déterminé dans le cadre des stratégies politiques et militaires et intégreront le pooling and sharing", a récemment expliqué Pieter de Crem, qui a évoqué le besoin d'une quarantaine d'appareils pour l'armée de l'air belge. Un propos qui pousse la Belgique à se rallier au choix des Pays-Bas, de la Norvège et du Danemark, qui ont déjà choisi le F-35. "La décision sera prise sous la prochaine législature (soit après mai 2014, ndlr), dans le respect de la politique de burden and risk sharing (facture et risque partagés, ndlr) développée avec l'OTAN et l'Union européenne", avait-il précisé.

 

Et le Rafale ?

Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

 

Si la Belgique choisit le Rafale, Paris est prêt à proposer à la Belgique une coopération très large sur le Rafale. Notamment des retours industriels significatifs au travers entre autre de la société belge SABCA (filiale de Dassault Aviation), qui a assemblé dans ses ateliers les Mirage 5, puis les Alpha Jet, et enfin les F-16A/B de l'armée de l'air belge.

Paris proposera un aménagement du plan de paiement pour le ministère de la Défense belge, qui dispose d'un petit budget (2,7 milliards d'euros en 2013. En outre, si les Belges le demandent, la France est même prête à équiper l'armée de l'air belge avec des avions cédés en leasing, assure-t-on au sein du ministère de la Défense.

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