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13 mars 2015 5 13 /03 /mars /2015 08:30
F-4 Phantom II - Turkish Air Force

F-4 Phantom II - Turkish Air Force

 

Mar 13, 2015 defense-aerospace.com

(Source: Daily Sabah; published Mar 11, 2015)

 

Turkish Air Forces Announce Halt of RF-4E Warplanes

 

ISTANBUL --- The RF-4E, a type of F-4 fighter jet, will be taken out of service starting on Thursday, weeks after three F-4 class aircraft crashed in central and southeastern Turkey, killing six officers.

 

Gen. Abidin Ünal, commander of the Turkish Air Force's Combatant Air Force Command, announced on Wednesday that the aircraft, which are mainly used in reconnaissance and training flights, will be decommissioned after "one last flight" by himself and Air Force Commander Gen. Akın Öztürk on Thursday.

 

Speaking at the command base in western Turkey's Eskişehir, where an F-4E took off before crashing in Konya province on March 5 killing two officers aboard, Ünal said that two RF-4E aircraft had killed four military officers when they crashed in Malatya on Feb. 24.

 

"We mourn the victims in these subsequent crashes. These crashes brought the aircraft into the spotlight. Everyone interpreted the crashes differently and we have seen comments misleading the public and ignoring the grief of the victims' families and colleagues," he said, noting that the investigation into the crashes was still underway and it would not be concluded in a short time.

 

Mentioning comments that defined the aircraft as "junk" and "old" and pilots as insufficiently trained, Ünal said the jets were eligible for flight until the end of 2015. He said that RF-4E aircraft were designed for reconnaissance missions exclusively and elaborated on their modernization. He said they were planning to "retire" them and replace them with F-16 jets gradually, but as F-16s completed the test flights successfully as of Tuesday, they decided to speed up the process. "We will have a decommissioning ceremony yesterday and I will fly an RF-4E [on Thursday] with our Air Force Commander," he said.

 

Ünal also spoke about the initial findings in the Malatya crashes and said a "human and communications error" might have caused them, noting that the pilots were flying below the altitude required to be kept steady in the area when they crashed into a hill.

 

In the Konya crash, Ünal said the pilots pressed the button that would eject them to safety "one second late" and denied media reports that the pilots were inexperienced.

 

The aircraft involving two crashes in Malatya were RF-4E planes that were first employed by Turkey in the 1980s while the one that crashed in Konya was an F-4E 2020, which will be in use until its eponymous year. The crash in Konya was attributed to "pilot error," according to Minister of National Defense İsmet Yılmaz. Yılmaz said earlier that F-4 jets will be in use until their expiration date five years later after a joint decision by the army and the government. Yılmaz has said past accidents involving the aircraft were primarily due to pilot error and defended their continued use, citing that Egypt, South Korea and Greece also used the fighter jets.

 

Currently, Turkey has eight RF-4E jets and 47 F-4E 2020. F-4 jets have been in use by the Turkish Air Force since 1980 for reconnaissance and training missions. Eleven RF4-Es have crashed between 1995 and 2015. A total of 10 officers were killed in those accidents, which were all mid-air collisions and crashes.

 

The country's F-4 fleet, composed of aircraft donated or bought from Germany and the U.S., underwent a modernization process in 2009. Aviation experts note that the modernization was thorough and the aircraft are as good as new.

 

Crashes have also fuelled conspiracy theories as it was revealed all crashed aircraft were modernized by Israel with which Turkey has strained relations. According to authorities, four crashed aircraft were indeed modernized by Israel while the ones that crashed in Malatya and Konya were modernized by Turkey.

 

Abidin Ünal also spoke about concerns related to a shortage of veteran pilots after casualties. He said 374 pilots quit the Air Force between 2010 and 2015 but the number of pilots, which was 1,280 before the resignations, rose to 1,300 in 2015. He said resignations did not impact the training of pilots. Ünal attributed the resignations to better pay in the private sector, frequent reassignment of pilots and obligation to serve 30 years for retirement eligibility.

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11 mars 2015 3 11 /03 /mars /2015 12:30
F-4 Phantom II de la Force Aérienne Turque

F-4 Phantom II de la Force Aérienne Turque

 

11 Mars 2015 par Defens’Aero

 

La Force Aérienne et Spatiale Turque traverse actuellement une période difficile et douloureuse. En effet, après avoir perdu deux pilotes de chasse et deux officiers navigateurs système d'armes lors d'une collision entre deux F-4 Phantom II le 24 Février dernier, un troisième et tragique accident vient de se passer, encore avec un F-4 Phantom II.

 

Selon les médias locaux turcs, un F-4E Phantom II-2020 "Terminator" s'est écrasé Jeudi 05 Mars au cours d'un exercice de formation, conjointement organisé avec la Force Aérienne Azerbaïdjanaise.

 

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 12:30
Au-dessus de l’Irak, Américains et Iraniens se débrouillent pour ne pas se croiser

 

4 décembre 2014 45eNord.ca

 

Les frappes aériennes menées par l’Iran contre le groupe État islamique (EI) en Irak révèlent comment les États-Unis et l’Iran opèrent dans deux zones séparées dans le pays pour éviter toute confrontation dans le cadre d’une alliance informelle et fragile contre les djihadistes.

 

Les récents raids iraniens en Irak ont en effet visé des djihadistes de l’EI dans une zone de l’Est où les avions américains n’opèrent pas.

 

Ils ont eu lieu «dans la province orientale de Diyala», a précisé un porte-parole du Pentagone, Steven Warren, en soulignant que c’était la première opération de combat des F-4 iraniens contre l’EI, à la connaissance de Washington. «Nous ne sommes pas actifs là-bas».

 

Téhéran de son côté n’a pas confirmé officiellement avoir mené ces missions au-dessus de l’Irak.

 

Un responsable américain a expliqué que Téhéran et Washington souhaitaient éviter toute confrontation ou tout accident qui risquerait de créer une crise internationale ou de nourrir des violences sectaires. Ils font donc en sorte de ne pas gêner les opérations de l’autre pays.

 

La coalition emmenée par les États-Unis est d’ailleurs prête à tolérer la présence de conseillers militaires et d’avions iraniens dans les provinces de l’est et du sud de l’Irak, où vivent majoritairement des chiites.

 

«Il y a un accord tacite selon lequel nous n’allons pas agir dans le même espace. Et ils ne ciblent pas les forces américaines», a expliqué le responsable de la défense à l’AFP, sous couvert d’anonymat. «Nous savons qu’ils ont des intérêts dans ces régions: l’Irak est leur voisin».

 

L’espoir de Washington est aussi que les frappes iraniennes augmentent la pression sur les djihadistes du groupe EI, mais l’arrangement tacite entre Washington et Téhéran pourrait s’effilocher et les États-Unis craignent que le rôle joué par l’Iran chiite ne déclenche des violences sectaires.

 

«C’est un équilibre délicat», a repris le responsable. «Le plus important est que les Iraniens appuient les Irakiens d’une manière qui n’alimente pas le sectarisme».

 

La présence iranienne en Irak n’est pas nouvelle: Téhéran a en effet dépêché des conseillers militaires dans le pays dès l’offensive du groupe EI dans le nord et l’ouest en juin.

 

Des agents des forces d’élite iraniennes ont ainsi été envoyés à Samara, Bagdad ou Karbala pour tenter de préserver les zones chiites et aider à organiser les milices chiites locales, explique l’analyste Farzin Nadimi dans un rapport publié par le Washington Institute for Near East Policy.

 

L’Iran a aussi utilisé des drones de surveillance au-dessus de l’Irak, selon des responsables américains. D’autres observateurs avancent que des pilotes iraniens sont aux commandes des avions russes Soukhoï Su-25 mis à la disposition de Bagdad par Téhéran il y a déjà plusieurs mois.

 

«Ils ont des soldats et des conseillers au sol depuis longtemps, et ils font voler des avions sans pilotes», a encore souligné le responsable du Pentagone.

 

Les récents raids aériens menés illustrent l’implication accrue de Téhéran, et ils sont aussi une démonstration de force et d’influence, a estimé de son côté Ali Reza Nader, analyste du groupe de réflexion RAND Corporation. «L’Iran n’a pas besoin de mener ces raids aériens, mais ses dirigeants veulent montrer que l’Iran est une force avec laquelle il faut compter».

 

L’arrangement tacite entre les deux pays convient en tout cas aux États-Unis. Washington est en effet conscient qu’une coopération militaire ouverte avec Téhéran fâcherait au plus haut point ses alliés comme Israël et d’autres pays arabes.

 

Les responsables américains estiment en outre qu’il y a peu de risques que les deux pays se marchent sur les pieds: «Il y a plein de cibles disponibles pour tout le monde», a ainsi ajouté un deuxième responsable du Pentagone.

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