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26 août 2015 3 26 /08 /août /2015 17:30
photo Marine Nationale

photo Marine Nationale

 

20/08/2015 Sources : Etat-major des armées

 

Les 12, 13 et 17 août 2015, un avion de surveillance maritime Falcon 50 de la Marine nationale a de nouveau survolé la Méditerranée centrale à des fins de renseignement sur le trafic dans cette zone. Depuis le 3 juillet, la France apporte une contribution opérationnelle à l’opération EUNAVFOR MED, lancée le 22 juin 2015 par l’Union européenne.

 

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Note RP Defense : op. EUNAVFOR MED sur Facebook

EUNAVFOR MED : Trois nouvelles missions aériennes de renseignement

La Marine nationale participe de façon permanente et à hauteur de 10% de ses effectifs, à la protection du territoire national. Ainsi, plus de 3000 marins sont engagés en métropole (500  outre-mer) au titre des opérations permanentes de protection du territoire national.

 

L’ensemble des unités de la Marine participe à un dispositif permanent de renseignement, de surveillance et d’actions, à terre comme en mer, de mise en sécurité globale du littoral métropolitain et de ses approches sur près de 6000 km de côtes.

 

Ainsi un Falcon 50 a été déployé ces dernières semaines en Méditerranée afin d’assurer une mission de sûreté des approches maritimes du territoire.

 

Le  Falcon 50 est un avion de surveillance et d’intervention maritime (AVSIMAR), remplissant des missions de :

- surveillance (ZEE, approches maritimes), recherche de renseignement ;

- secours (SECMAR (secours maritime), SAR (search and rescue)) ;

- lutte contre les pollutions maritimes ;

- surveillance et police des pêches ;

- surveillance et lutte contre les trafics illicites (narcotrafic, piraterie, immigration clandestine).

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17 juillet 2015 5 17 /07 /juillet /2015 16:30
photo JJ Le Bail - Marine Nationale

photo JJ Le Bail - Marine Nationale

 

17/07/2015 Sources EMA

 

Le 17 juillet 2015, un avion de surveillance maritime Falcon 50 de la Marine nationale a de nouveau survolé la Méditerranée centrale à des fins de renseignement sur le trafic de dans cette zone. Depuis le 3 juillet, la France apporte une contribution opérationnelle à l’opération EUNAVFOR MED, lancée le 22 juin par l’Union européenne.

 

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3 juillet 2015 5 03 /07 /juillet /2015 16:50
photo EMA / Marine Nationale

photo EMA / Marine Nationale

 

03/07/2015 Sources : État-major des armées

 

Le 3 juillet 2015, un avion de surveillance maritime Falcon 50 de la Marine nationale a survolé la Méditerranée centrale à des fins de renseignement sur le trafic de migrants en Méditerranée. Il s’agissait de la première contribution opérationnelle de la France à l’opération EUNAVFOR MED, lancée le 22 juin par l’Union européenne.

 

L’avion, en provenance de la base d’aéronautique navale de Lann Bihoué, dans le Morbihan, a décollé de la base d’aéronautique navale de Hyères à 10h locale. Un ravitaillement en carburant à Sigonnella, en Italie, lui a permis de réaliser un survol de trois heures au large de la Sicile. Le renseignement collecté a été transmis à l’état-major tactique de l’opération. Cette structure d’une centaine de militaires européens, au sein de laquelle trois militaires français sont insérés, est embarquée à bord du porte-aéronefs italien Cavour.

 

Cette mission de renseignement s’inscrit dans le cadre de la première phase de l’opération EUNAVFOR MED, consacrée à la surveillance et à la collecte de renseignements sur les réseaux de trafic de clandestins dans la partie sud de la Méditerranée centrale.

 

EUNAVFOR MED

 

Le 22 juin, le conseil de l’Union européenne a décidé le lancement de l’opération EUNAVFOR MED destinée à « mettre fin au modèle économique des trafiquants en Méditerranée ». L’opération a pour le moment été lancée dans sa phase initiale uniquement. Elle est axée sur la surveillance et l'évaluation des réseaux de passeurs et de trafiquants d'êtres humains dans la partie sud de la Méditerranée centrale.

 

Les armées françaises contribuent activement à cette mission au travers de différents volets :

-  la fourniture de renseignement selon les besoins exprimés par l’Union européenne (photos satellitaires, photos aériennes, synthèses de renseignement, renseignements bruts). Des moyens aériens de surveillance maritime ainsi que des moyens de renseignement satellitaires sont ponctuellement mobilisés à cette fin.

-  l’occupation de postes d’importance au sein des états-majors de l’opération. Une dizaine de militaires français sont insérés au sein des états-majors opératif et tactique de l’opération. Un officier général français, le contre-amiral Hervé Bléjean, occupe le poste d’adjoint au commandant de l’opération, au quartier général d’EUNAVFOR MED basé à Rome.

 

La première phase est un préalable indispensable à toute autre action de l’Union européenne. Elle doit préparer, à terme, la lutte contre cette forme d’exploitation humaine.

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 12:50
OTAN : deux avions en missions


14/11/2014 Sources : État-major des armées

 

Le 13 novembre 2014, un avion Awacs et un Falcon 50 Marine français ont effectué des missions de surveillance aérienne au-dessus de la Roumanie et de la Baltique.

 

Ces missions s’inscrivent dans le cadre des mesures dites de « réassurance » décidées par l’OTAN au profit des alliés d’Europe centrale et du Nord depuis le début de la crise ukrainienne. Au titre de ces mesures, un avion de patrouille maritime Falcon 50 de la Marine nationale, est déployé depuis le 2 novembre à Gdynia, au Nord de la Pologne, pour participer à la surveillance du trafic maritime en mer Baltique.

 

Un avion Awacs de l’armée de l’air a par ailleurs effectué une nouvelle mission de surveillance aérienne au-dessus de la Roumanie. Les Awacs effectuent depuis le mois d’avril des missions régulières de surveillance des espaces aériens roumain et polonais. Avec ce vol, 29 missions de surveillance, en Pologne et en Roumanie ont ainsi été réalisées au départ de la base aérienne d’Avord.

 

Voir notre dossier : La France au cœur des mesures de réassurance

 

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5 novembre 2014 3 05 /11 /novembre /2014 08:45
photos D. Geffroy - FFDj

photos D. Geffroy - FFDj

 

04/11/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 12 au 26 octobre 2014, le maître principal Stéphane a effectué 60 heures de vols à bord d’un Falcon 50 au-dessus du golfe d’Aden et le long de la côte somalienne. Après 11 000 heures de vol, 33 ans de service dans la Marine nationale et une carrière opérationnelle bien remplie, cette mission était sa première à Djibouti au profit de l’opération européenne de lutte contre la piraterie Atalante.

 

Le maître principal Stéphane est détecteur navigateur. Les yeux rivés sur son radar, il détecte les navires jusqu’à 60 km de distance et fait partager cette vision large au reste de l’équipage du Falcon 50, pour mieux appréhender l’environnement dans lequel l’avion évolue. Dans le cadre d’une interception, cette capacité de détection est essentielle au guidage des bâtiments de la coalition européenne.

 

Avant toute sortie, le maître principal Stéphane prépare la cartographie utile à l’ensemble de l’équipage. A bord, il tient un journal de bord qui assemble diverses données : brèves descriptions des points observés, altitude, horaires, vitesses… Il est complété par une prise de photographies, le tout constituant une source de renseignements précieux qui sont ensuite analysés dans le cadre des missions de surveillance et de renseignement.

 

Le Falcon 50 est facilement modulable et peut donc être reconfiguré en fonction des missions qui lui sont assignées. Ses capacités logistiques (largage de canots de survie) et technologiques (détection de surface) en font, par exemple, un aéronef parfaitement adapté aux exigences des missions de surveillance maritime. Avant de partir à Djibouti, le maître principal Stéphane a ainsi pu voler sous cette configuration en participant, , à l’action de l’Etat en mer en France dans le cadre, notamment, du plan Vigimer (l’équivalent de Vigipirate en mer) et des secours maritimes.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la république de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. Elles participent ainsi au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, les FFDj bénéficient d'une capacité d’entraînement permanente, avec comme principal « outil » le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert de Djibouti (CECAD) qui accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, des unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

FFDj : dans la peau d’un radariste sur Falcon 50
FFDj : dans la peau d’un radariste sur Falcon 50
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27 octobre 2014 1 27 /10 /octobre /2014 17:45
FFDj : retour du Falcon 50 déployé à Djibouti en mission de surveillance et renseignement

 

27/10/2014 Sources : État-major des armées

 

Le 26 octobre 2014, le Falcon 50 de la flottille 24F de la Marine nationale déployé à Djibouti afin de participer aux missions de surveillance planifiées au profit de la mission européenne de lutte contre la piraterie Atalante, est rentré en France.

 

Au cours de son déploiement sur la base aérienne 188 à Djibouti, le Falcon 50 a effectué une quinzaine de missions de surveillance et de renseignement au large des côtes somaliennes au profit de la lutte contre la piraterie menée dans le cadre de l’opération Atalante.

 

Lors d’une mission de surveillance, les cinq membres d’équipage occupent chacun une fonction bien définie. Le pilote, secondé de son chef de bord, ajuste le vol en fonction des paramètres et des besoins fournis par l’équipage. Le radariste signale les objectifs et intercepte les signaux. L’opérateur de vol suit le positionnement des navires, et le radiographiste effectue les prises de vues et échange en direct avec le commandement d’Atalante.

 

Polyvalent, l’équipage assure également l’exploitation technique et l’analyse des images des objectifs terrestres et maritimes après le vol. L’équipage avec son Falcon contribue pleinement à la lutte contre la piraterie aux côtés des alliés européens dans une zone dont la superficie est aussi vaste que l’Europe. Son action s’inscrit dans un dispositif plus large. D’autres avions de patrouille maritime basés à Djibouti et aux Seychelles patrouillent dans la corne de l’Afrique ainsi que dans l’océan Indien tout au long de l’année.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la république de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. Elles participent ainsi au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Par ailleurs, les FFDj bénéficient d'une capacité d’entraînement permanente, avec comme principal « outil » le centre d’entraînement au combat et d’aguerrissement au désert de Djibouti (CECAD) qui accueille des unités permanentes ou en mission de courte durée des FFDj, des unités ou écoles de métropole, ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

FFDj : retour du Falcon 50 déployé à Djibouti en mission de surveillance et renseignementFFDj : retour du Falcon 50 déployé à Djibouti en mission de surveillance et renseignement
FFDj : retour du Falcon 50 déployé à Djibouti en mission de surveillance et renseignement
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22 octobre 2014 3 22 /10 /octobre /2014 11:45
Djibouti: un Falcon 50 déployé dans le cadre de l’opération Atalante

 

21/10/2014 Sources : EMA

 

Du 12 au 26 octobre 2014, un Falcon 50 de la flottille 24F de la Marine nationale est déployé à Djibouti afin de participer aux missions de surveillance planifiées au profit de la mission européenne de lutte contre la piraterie Atalante.

 

À partir de Djibouti, l’équipage du Falcon doit accomplir des missions de surveillance et de renseignement au-dessus du golfe d’Aden et une partie de l’océan Indien. Le détachement effectue également des missions de prises de vue de la côte somalienne, contribuant ainsi au renseignement de la force européenne.

 

Chaque année, deux à trois détachements d’avions de patrouille maritime ( Atlantique 2) sont déployés régulièrement pour contribuer à la lutte contre la piraterie.

 

Le Falcon 50 et son équipage opèrent depuis la base aérienne (BA) 188 des forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj). Dans le cadre de l’arrangement local signé entre l’Union Européenne et les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj), en date du 31 mars 2009, l’ensemble des unités et directions des FFDj apportent un soutien logistique et opérationnel dans les domaines techniques, administratifs, médical, de l’hébergement, du transport ou de la sécurité, couvrant les activités aériennes et navales de l’opération Atalante.

 

En conformité avec le traité de coopération de défense signé en 2011 avec la République de Djibouti, les FFDj constituent une base opérationnelle avancée en Afrique de l’Est. A ce titre, elles participent au dispositif militaire français prépositionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise.

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14 juillet 2014 1 14 /07 /juillet /2014 12:55
Falcon 50 MS

Falcon 50 MS

 

12.07.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense

 

C'est l'entreprise Sabena Technics (installée sur l'aéroport de Dinard-Pleurtuit) qui va assurer le maintien en condition opérationnelle des avions Falcon 50 de la Marine Nationale. Huit appareils sont concernés.

La valeur de ce contrat est de 108 429 322 euros (Hors TVA).

L'avis d'attribution est à lire ici.

Les Falcon 50 Mi (Intervention) et Ms (Surveillance) de la Marine Nationale sont des avions triréacteurs supérieurs à 5,7 tonnes, selon les termes de la réglementation civile. Ces avions, issus de la version civile du Falcon 50, ont reçu des modifications spécifiquement militaires, à savoir notamment le radar Ocean Master 100, la trappe de largage (sur Falcon 50 Mi uniquement) ou les hublots d'observation pour les équipages. Leurs missions principales sont la surveillance maritime, la recherche du renseignement, la recherche et le sauvetage en mer.

La consultation portait sur le soutien global (cellule, rechanges cellule et OAE associés; moteurs, rechanges moteurs et OAE associés; GAP, rechanges GAP et OAE associés; autres Oae) en métropole et hors métropole.

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