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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 17:30
A Vega launch vehicle takes flight. Photo: Arianspace

A Vega launch vehicle takes flight. Photo: Arianspace

 

EVRY, France, March 19 By Richard Tomkins (UPI)

 

Arianespace reports it will launch two Earth Observation Satellites of the military of the United Arab Emirates in the coming years. The low-orbit Falcon Eye satellite being built by Airbus Defense and Space and Thales Alenia Space will be sent aloft on Vega, or Soyuz, launchers from the Guiana Space Center in 2018 and 2019 under a contract received from Airbus DS, the company said. No information as to the value of the contract received was disclosed.

 

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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 17:30
Pleiades satellite credits Airbus DS

Pleiades satellite credits Airbus DS

 

December 9, 2014 Thales Group

 

Cannes, December 9, 2014 - Thales Alenia Space has been selected by the United Arab Emirates Air Force (UAEAF)  to develop the very-high-resolution payload for their Falcon Eye program, within the scope of a consortium led by Airbus Defense and Space.

 

This contract was officially signed by the United Arab Emirates in August 2014 and is now entering into force.

 

The contract includes building two satellites offering very-high-resolution optical capabilities and a ground system for monitoring, receiving and processing images, as well as a training program for the engineers from the United Arab Emirates who will control and operate the satellites once in orbit.

 

As the co-contractor, Thales Alenia Space is in charge of the high-performance, very-high-resolution optical payload, the image data transmission subsystem, the ground image processing system, and co-engineering and validation of the overall system.

 

The Falcon Eye contract confirms Thales Alenia Space's excellence in very-high-resolution optical instruments and systems, following the success of the Helios 1 and 2 and Pleiades programs. This leadership will be further reinforced through developments now under way for the MUSIS CSO program.

 

"This contract with the UAEAF culminates a long effort by our teams with a total support of the French Government, the French Ministry of Defense in particular. It underlines once again Thales Alenia Space's unique capabilities in high-resolution optical observation systems, whether for French defense applications or export markets. This partnership with Airbus Defense and Space combines the strong points of our two companies to stand up to the competition and bolster Europe's position in the global space industry." said Jean-Loïc Galle, President and CEO of Thales Alenia Space

 

About Thales Alenia Space

 

Thales Alenia Space, a joint venture between Thales (67%) and Finmeccanica (33%), is a key European player in space telecommunications, navigation, Earth observation, exploration and orbital infrastructures. Thales Alenia Space and Telespazio form the two parent companies' “Space Alliance”, which offers a complete range of services and solutions. Because of its unrivaled expertise in dual (civil/military) missions, constellations, flexible payloads, altimetry, meteorology and high-resolution optical and radar instruments, Thales Alenia Space is the natural partner to countries that want to expand their space program. The company posted consolidated revenues in excess of 2 billion euros in 2013, and has 7,500 employees in six countries. www.thalesaleniaspace.com

 

 

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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 19:30
Satellite espion aux Emirats Arabes Unis : Airbus classe l’affaire, enfin !

 

09/12 Alain Ruello / Chef de service adjoint - LesEchos.fr

 

Airbus Group a officialisé la vente pour 700 millions d’euros de deux satellites espions aux Emirats Arabes Unis, un an et demi après la première signature... du contrat  !

 

Pour ceux qui ne seraient pas convaincus que la patience est la première qualité requise pour faire des affaires avec les pays du Golfe, « l’affaire » Falcon Eye en apporte la preuve. Airbus vient tout juste d’annoncer la mise en œuvre de ce contrat de deux satellites espion vendus aux Emirats Arabes Unis pour 700 millions d’euros qui avait pourtant fait l’objet d’une signature en grandes pompes en juillet... 2013 !

Signé à l’époque en présence de Jean-Yves Le Drian - qui s’est démené pour l’arracher face à Lockheed Martin - et du cheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyane, prince héritier du royaume et grand patron de la défense, Falcon Eye marquait le grand retour de la France dans ce pays dans le domaine de l’armement. Mais c’était sans compter l’activisme des Etats-Unis qui ont bloqué la vente de certains composants , en vertu des règles américaines ITAR d’exportation de matériels jugés sensibles.

 

Washington tente le tout pour le tout

L’affaire était tellement sensible qu’elle est remontée à l’Elysée, jusqu’à ce que Washington lâche l’autorisation en marge d’une visite d’Etat de François Hollande sur place. Si les Etats-Unis n’ont finalement pas pu empêcher la conclusion de Falcon Eye, ils ont au moins réussi à la retarder l’échéance : la date de validité de contrat signé en juillet 2013 étant dépassée, il a fallu en négocier un autre.

Durs en affaire, les Emiratis ne se sont pas privés pour arracher des concessions supplémentaires auprès d’Airbus et de son partenaire Thales Alenia Space... La deuxième signature est finalement intervenue en août dernier, soit un an après la première !

« Le contrat inclut la réalisation de deux satellites optiques de haute résolution et d’un segment sol de contrôle, de réception et de traitement d’images, ainsi qu’un programme de formation des ingénieurs émiriens destiné à les aider à contrôler et à utiliser les satellites placés en orbite », a précisé Airbus dans un communiqué. De son côté, Thales Alenia Space, fournit la charge utile des satellites, de la transmission des données image, ou encore de la validation du système global.

Les satellites d’observation de la terre à haute résolution constituent une des grandes spécialités de l’industrie spatiale française.

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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:30
Satellites espions : la France à nouveau proche de conclure aux Emirats Arabes Unis

Le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, a beaucoup œuvré en coulisse pour enfin confirmer le contrat signé en juillet dernier entre les deux industriels, Airbus Space Systems et Thales Alenia Space

 

18/07/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Airbus Space Systems et Thales Alenia Space sont à nouveau proche de conclure aux Emirats Arabes Unis (EAU) la vente de deux satellites d'observation (programme Falcon Eye). Un contrat estimé à 700 millions d'euros à partager entre les deux industriels.

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 11:30
Satellites espions : les Emirats Arabes Unis reprennent les discussions avec Paris

Les Emirats Arabes Unis pourraient conclure les négociations avec Airbus Space Systems et Thales Alenia Space pour l'achat de deux satellites espions de type Pléiades dans le cadre du programme "Falcon Eye"

 

11/04/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La reprise récente des discussions est une bonne nouvelle pour Airbus Space Systems et Thales Alenia Space, qui étaient en attente depuis plusieurs semaines d'une reprise de contact par Abu Dhabi.

 

Selon plusieurs sources concordantes, les Emirats Arabes Unis ont très récemment repris les discussions avec Airbus Space Systems et Thales Alenia Space pour l'achat de deux satellites espions de type Pléiades dans le cadre du programme "Falcon Eye" pour un montant de plus de 700 millions d'euros. Des négociations qui avaient été interrompues après le refus des États-Unis d'exporter certains des composants "made in USA" nécessaires à la fabrication de ces deux satellites, Washington appliquant la réglementation Itar (international traffic in arms regulations). La visite de François Hollande aux États-Unis avait finalement permis du 10 au 12 février de régler ce dossier très brûlant entre Paris et Washington.

La reprise des discussions est une très bonne nouvelle pour les deux industriels concernés, Airbus Space Systems en tant que maître d'oeuvre du programme, et Thales Alenia Space, qui étaient en attente depuis plusieurs semaines d'une reprise de contact par Abu Dhabi. C'est fait. Mais quel scénario va-t-il être privilégié par Abu Dhabi pour la signature du contrat, qui a déjà été pourtant paraphé à Abu Dhabi en juillet 2013 par le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, et Sheikh Mohammed, le prince héritier et ministre de la Défense ?

 

Deux scenarii

Certains estimaient que la signature pourrait intervenir rapidement, peut-être d'ici à la fin du mois. Mais le calendrier pourrait toutefois glisser, une visite d'un responsable politique français en mai pourrait être l'occasion de signer une bonne fois pour toute ce contrat très attendu par la France. D'autres s'interrogeaient en revanche sur ce que souhaitent faire les Emiratis à savoir renégocier ou pas le contrat. "On peut s'attendre à tout à ce stade. Abu Dhabi pourrait avoir envie de renégocier le prix, la performance et les spécifications techniques des satellites. Mais c'est encore prématuré", explique-t-on à "La Tribune". A suivre.

La balle est donc dans le camp émirati. Seules certitudes pour le camp français, le besoin d'Abu Dhabi pour ces satellites d'observation est réel et ils en ont très envie. La France est le seul pays ou presque à pouvoir lui fournir une technologie aussi performante sans trop de contraintes. Ce qui n'est pas le cas des États-Unis notamment. Enfin, il n'y a jamais eu de remise en cause de ce projet de la part des Émirats.

 

Washington a soufflé le chaud et le froid

Mauvais perdant, les États-Unis, qui avait soutenu tour à tour Raytheon puis Lockheed Martin face aux deux groupes français, ont longtemps soufflé le chaud et le froid sur ce dossier. Fin 2013, Washington avait décidé d'appliquer la réglementation ITAR, compromettant ce contrat entre la France et les Émirats Arabes Unis. Mais le journal "Le Monde" écrivait le 29 janvier qu'au lendemain d'une visite de Jean-Yves Le Drian à Washington, une source ministérielle avait déclaré le 27 janvier qu'une "solution technique" avait été trouvée, sans plus de détails. Ce que confirmait fin janvier une source proche du dossier à "La Tribune" en assurant qu''il n'y avait "plus de problème"

Mais finalement les États-Unis ont remis leur veto à l'exportation de ces composants, a assuré cette même source fin février. Finalement, le dossier a pu se dénouer à très haut niveau, entre François Hollande et Barack Obama.

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17 février 2014 1 17 /02 /février /2014 18:30
Le satellite Pléiades proposé à l'exportation

Le satellite Pléiades proposé à l'exportation

 

 

14/02/2014 Michel Cabirol – laTribune.fr

 

Selon le PDG d'Airbus Defence & Space France, François Auque, "le contrat Falcon Eye sera mis en œuvre dans quelques jours".

 

Le dossier de la vente des deux satellites espions (Falcon Eye) aux Émirats Arabes Unis (EAU) est réglé depuis plusieurs semaines. Interrogée fin janvier, une source proche du dossier avait expliqué à "La Tribune" qu'il "n'y avait pas de problème spécifique" sur la vente de ces deux satellites aux Emirats Arabes Unis. Plus précisément les États-Unis, en dépit de la perte de ce marché par les industriels américains (Raytheon puis Lockheed Martin), estimaient de leur "intérêt" que la France soit sélectionnée plutôt qu'un autre pays, comme la Russie, voire la Chine. "C'est de la réalpolitik", avait alors conclu cette même source. Enfin, le dossier a été évoqué lors de la visite d'état de François Hollande aux États-Unis mais il était débloqué depuis quelques semaines.

 

De quoi parle-t-on au juste ? Washington, appliquant sa réglementation Itar (international traffic in arms regulations) a refusé, puis accepté l'exportation de certains composants sur les satellites Falcon Eye, avant de revenir en arrière puis de l'autoriser in extremis avant l'expiration fin janvier de la validité du contrat. Mais une clause inscrite dans le contrat prorogeait de deux mois sa validité en cas d'aléa. Ce qui a permis au PDG d'Airbus Defence & Space France (ADS), François Auque, lors du séminaire Perspectives spatiales organisé par le cabinet Euroconsult à Paris, jeudi 13 février; d'assurer que "le contrat Falcon Eye sera mis en œuvre dans quelques jours, ces licences ayant été obtenues".

 

Au Maroc, les États-Unis ont donné leur accord

 

Le journal "Le Monde" écrivait déjà le 29 janvier qu'au lendemain d'une visite de Jean-Yves Le Drian à Washington, une source ministérielle a déclaré le 27 janvier qu'une "solution technique" avait été trouvée, sans plus de détails.

 

Pour exemple, au Maroc, où la France a vendu deux satellites espions, les États-Unis ne se sont pas opposés à ce contrat mis en vigueur en 2013. Un contrat secret qui n'est pour le moment confirmé par aucun des groupes concernés (TAS et ADS).

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19 novembre 2013 2 19 /11 /novembre /2013 12:30
DUBAI 2013 : Riyadh veut ses satellites d'observation

 

18/11/2013 Par Stefan Barensky- Air & Cosmos

 

L'Arabie Saoudite pourrait passer commande très prochainement de son propre système de satellites d'observation. Ce contrat est attendu dans la foulée des Emirats qui ont choisi les Européens Astrium et Thales Alenia Space en juillet dernier pour réaliser leur système Falcon Eye, avec deux satellites optiques à haute résolution.

 

Pendant vingt ans, les Etats du Consell de coopération du Golfe (CCG) ont tenté de se doter d'un système de satellites pour surveiller cette région hautement stratégique, avec un intérêt particulier pour les agissements du turbulent voisin iranien. Ce projet, baptisé « Hud Hud », devait allier capacités optiques et radar. Les aspirations divergentes des différents partenaires n'ont pas permis d'aboutir. Les Emirats ont été les premiers à se retirer du projet pour étudier un système national.

 

Le voisin saoudien ne compte pas attendre trop longtemps et pourrait choisir un maître d'œuvre très prochainement. « C'est aussi devenu une affaire de fierté nationale » estime un industriel proche du dossier. L'équipe Astrium/TAS serait à nouveau bien placée et un accord pourrait être signé lors d'une visite du président François Hollande à Riyadh au début de 2014.

 

Toutefois, les concurrents américains restent très actifs sur ce marché, tout comme leurs homologues russes. Ces derniers ont déjà pris pied en Egypte avec RKK Energiya, maître d'œuvre d'Egyptsat 2, un système pour lequel Paris n'avait pas autorisé ses industriels à soumettre une offre. Lockheed Martin Space Systems est présent sur le salon, tout comme NPO Arsenal, qui présente sa nouvelle gamme de satellites d'observation.

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