Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 mars 2015 3 04 /03 /mars /2015 18:45
EU Mission for Security Sector Reform (EUSEC) RD Congo extended

 

1/3/2015 European Union Ref: CL15-501EN

 

Summary: 1 March 2015, Brussels - The Council of the European Union today extended the mandate of the EU mission to provide advice and assistance for Security Sector Reform in the Democratic Republic of the Congo (EUSEC RD Congo) until 30 June 2015.

 

This decision extends the transition period, during which the mission will have a reduced staff and will focus on preparing the transfer of most of its duties to a major programme to support defence reform in the Democratic Republic of the Congo under the 11th European Development Fund.

 

From 30 June 2015 until 30 June 2016, EUSEC RD Congo will be preserved as a CSDP "Micro- mission”, maintaining the EU's support to the Congolese military authorities for activities which cannot be supported from the European Development Fund, such as strategic advice and support to military schools.

 

The mission will continue assisting the Congolese authorities on the implementation of reforms in the Congolese army (FARDC) by providing advice at the strategic level as well as further support to administrative modernisation, setting up of an effective human resource management system for the army, and building a permanent high quality military education system including schools for both officers and non-commissioned officers.

 

EU SEC RD Congo's headcount will be reduced from 1 October 2014 from 41 currently to 30 personnel and will be further cut as tasks are passed on. A budget of €4.6 million is available until 30 June 2015.

 

EUSEC RD Congo has supported since 2005 the Congolese authorities in rebuilding an army that could guarantee security throughout the whole country, permitting the conditions necessary to stabilisation, restoration of state services and economic and social development. In close cooperation and coordination with other actors in the international community, the mission is focusing its efforts on activities that directly contribute to the structural stabilisation of the FARDC and the improvement of its operational capabilities, in accordance with the principles of good governance and respect for human rights, integrating all actions in the gender perspective.

 

To date, the mission's accomplishments include the support to the legal framework for the reform of the army, helping to set up a nationwide basic military education system for officers and non- commissioned officers, and the establishment of both a biometric census and a payment system for all personnel of the FARDC. EUSEC RD Congo has contributed to more transparent financial procedures in the FARDC and to modernising the management of military arms and munitions stockpiles.

 

Colonel Jean-Louis Nurenberg has been the Head of Mission since October 2012. Currently, 10 EU Member States and the United States of America contribute to the mission.

Partager cet article
Repost0
24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 17:45
RDC: l’armée lance son offensive contre les rebelles hutu rwandais dans l’est

Huit membres des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont péri, ce mercredi, dans des affrontements avec les rebelles (Photo: Archives/Ph. John Bompengo, Radio-Okapi)

 

24 février 2015 45eNord.ca (AFP)

 

L’armée congolaise a lancé mardi des opérations contre des rebelles hutus rwandais présents dans l’est de la République démocratique du Congo, presque un mois après l’annonce d’une offensive contre ces combattants, a-t-on appris de source militaire.

 

Les opérations contre les FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda) ont commencé au Sud-Kivu tôt ce matin et vont durer aussi longtemps que ces gens vont résister, a déclaré à l’AFP un officier des Forces armées de la RDC (FARDC) sous le couvert de l’anonymat.

 

Un haut responsable du Sud-Kivu a précisé que les opérations se déroulent dans le territoire d’Uvira, dans le sud de la province, soulignant que l’armée agissait sans les Casques bleus de l’importante mission de l’ONU en RDC.

 

L’officier de l’armée a confirmé qu’il s’agissait d’opérations unilatérales menées par les seules FARDC et qu’elles étaient commandées par le général de brigade Espera Masudi dans le secteur de Mulenge, dans les moyens plateaux d’Uvira.

 

Selon lui, tous les autres groupes armés réfractaires à se rendre risquent également de se voir attaqués.

 

Cette offensive est la première à se concrétiser depuis que l’armée congolaise a annoncé, le 29 janvier, qu’elle allait cibler les FDLR, dont des membres sont accusés de participation au génocide des Tutsi en 1994 au Rwanda, qui a fait quelque 800.000 morts, d’après l’ONU.

 

La Mission de l’ONU (Monusco) avait promis un soutien logistique, stratégique et opérationnel mais elle l’a finalement retiré parce que Kinshasa a refusé de remplacer deux généraux, Bruno Mandevu et Sikabwe Fall, chargés de piloter des attaques alors qu’ils sont, selon l’ONU, accusés de graves exactions.

 

Les FDLR compteraient entre 1.500 et 2.000 combattants. Elles sont principalement disséminées dans les provinces riches des Nord- et Sud-Kivu, instables depuis 20 ans et où des soldats ont commis de graves violations de droits de l’homme (meurtres, viols, enrôlements d’enfants, pillages…)

 

La communauté internationale avait laissé aux FDLR six mois, jusqu’au 2 janvier, pour déposer les armes et faire reddition, mais à peine 300 combattants s’étaient rendus, dont aucun des chefs recherchés par la justice rwandaise et internationale.

Partager cet article
Repost0
12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 16:45
BelgianDefense photo Sedeyn Ritchie

BelgianDefense photo Sedeyn Ritchie

 

9/05/14 - 7sur7.be (Belga)

 

L'armée belge a dépêché deux petits groupes d'instructeurs en République démocratique du Congo (RDC) où ils doivent poursuivre l'encadrement de la formation d'unités de l'armée gouvernementale, ragaillardie par sa victoire l'an dernier sur la rébellion du Mouvement du 23 mars (M23), a annoncé vendredi le ministère de la Défense.

 

Quatorze instructeurs sont ainsi arrivés fin avril à Kananga (Kasaï occidental, centre), le siège de l'académie militaire des Forces armées de la RDC. Ils doivent y assurer durant quatre semaines la formation d'instructeurs congolais qui dispenseront à leur tour des cours aux soldats des FARDC selon le modèle "Train the Trainers" (TTT), a indiqué un porte-parole de la Défense au cours de son point de presse hebdomadaire.

 

Suivra une période de "coaching" des instructeurs (CTT) de cinq semaines, dispensée en juin par un plus petit nombre de militaires belges (neuf), a-t-il ajouté.

 

Deux autres militaires - un officier et un sous-officier - sont également présents à Kananga, mais sur une plus longue période, comme conseillers du commandant de l'académie formant les futurs officiers congolais.

 

Dans la province du Katanga (sud-est), huit autres instructeurs sont arrivés le 30 avril à Likasi, à 120 km au nord-est de Lubumbashi, le chef-lieu de la province, pour une mission de formation au profit de l'école de génie des FARDC. Elle doit durer deux mois, selon le porte-parole.

 

Une poignée de militaires belges se trouve enfin toujours à Kindu, le chef-lieu de la province du Maniema (est), où la Belgique a formé trois bataillons commando (les 321ème, 322ème et 323ème), considérés comme des unités d'élite et qui ont été engagés contre plusieurs rébellions.

 

Après la formation de ces trois bataillons, entre 2008 et 2013, l'armée belge a assuré jusque fin mars celle d'un état-major devant les chapeauter.

 

L'armée belge s'est aussi attelée à encadrer la formation d'un état-major de brigade qui doit "coiffer" trois bataillons URR.

Partager cet article
Repost0
7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 19:45
RDC: violents combats entre l'armée et des miliciens près de Lubumbashi

 

07 janvier 2014 Romandie.com (AFP)

 

LUBUMBASHI (RD Congo) - De violents affrontements ont opposé l'armée congolaise à des rebelles armés dans la nuit de lundi à mardi près de Lubumbashi, deuxième ville de la République démocratique du Congo, a-t-on appris de source officielle, un témoin indiquant avoir vu plusieurs militaires blessés.

 

Il y a eu de vifs combats entre les Forces armées de la RDC (FARDC) et des maï-maï Bakata Katanga cette nuit à la frontière entre la commune et le territoire de Kipushi, dans le village de Kiziba, a déclaré à l'AFP Kahozi Bin Malisawa, un élu local.

 

Kiziba est situé à une trentaine de kilomètres au sud-est de cette ville, capitale du Katanga, riche province minière et instable.

 

Selon M. Bin Malisawa, les affrontements ont duré de 22h00 (20h00 GMT) jusqu'à l'aube.

 

Joint par l'AFP, un porte-parole militaire a confirmé qu'il y avait eu des combats mais a refusé de communiquer le moindre élément d'information complémentaire.

 

J'ai vu deux jeeps des FARDC transporter des blessés ce matin vers l'hôpital militaire de Ruashi, à Lubumbashi, a indiqué un témoin à l'AFP, sans être en mesure de donner une estimation précise du nombre de victimes ainsi convoyées. Le même témoin a ajouté qu'il y avait déjà eu des combats non loin de chez lui le 4 janvier.

 

Plusieurs témoins ont fait état d'une forte présence militaire dans la périphérie de Lubumbashi à proximité de la zone des combats de la nuit. Des habitants de ma commune ont été empêchés de se rendre aux champs pour des raisons de sécurité, de même que des mineurs, a indiqué M. Bin Malisawa.

 

Le Katanga est la région la plus riche du pays mais ses ressources sont inégalement réparties entre le Sud riche en cuivre et en cobalt, et le Nord très déshérité.

 

Originaires du nord de la province et sécessionnistes, les Bakata Katanga attaquent régulièrement des objectifs militaires. En mars et en novembre, ils ont été à l'origine de combats ayant fait plusieurs dizaines de morts en plein centre de Lubumbashi, ville où les accrochages armés sont fréquents.

 

Le 30 décembre, Lubumbashi a été avec Kinshasa, la capitale, et la ville de Kindu, dans l'est de la RDC, l'un des théâtres de l'apparent coup de force contre le pouvoir au cours duquel 95 assaillants et huit éléments des FARDC avaient été tués par les forces de l'ordre, selon le décompte officiel.

 

A Lubumbashi, comme à Kinshasa, des assaillants se sont réclamés du pasteur Joseph Mukungubila Mutombo (opposant au président congolais Joseph Kabila et originaire comme lui du Katanga).

 

Le gouvernement de la province du Katanga a annoncé lundi que soixante adeptes du pasteur Mukungubila, hommes et femmes, arrêtés sur les lieux des attaques et lors d'opérations des forces de l'ordre après leur répression, avaient été transférés à la prison d'un tribunal militaire dans l'attente d'un jugement.

 

Depuis le 31 décembre, les activités de la secte sont suspendues jusqu'à nouvel ordre au Katanga.

Partager cet article
Repost0
16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 07:45
RDC: accrochage entre l’armée et le M23

 

15 octobre, 2013 – BBC Afrique

 

Un accrochage a eu lieu dans la nuit de lundi à mardi sur la ligne de front entre la rébellion du M23 et l'armée congolaise, dans l'Est de la RDC.

 

Les Forces armées de la RDC se sont heurtées brièvement aux rebelles du M23 dans la localité de Kanyamahoro située à 30 km au Nord de Goma.

 

Les deux camps se sont rejetés la responsabilité de l'incident.

 

Selon le porte-parole du M23, les FARDC les auraient attaqués à 2 heures du matin, le groupe n’aurait pas riposté, et l’armée aurait pris le contrôle de deux des positions du M23.

 

Le M23 dit avoir perdu un combattant sous les tirs ennemis.

 

Selon le lieutenant-colonel Olivier Hamuli, porte-parole des FARDC, ce sont les hommes du M23 qui ont tenté de les provoquer, sans succès, au milieu de la nuit, et l'armée aurait répondu par des tirs de sommation qui auraient fait fuir les rebelles.

 

Selon une source militaire à Kanyamahoro, les rebelles se seraient ensuite repliés vers la localité de Kibumba à quelques kilomètres au sud de là, et auraient commencé à tirer en l’air.

 

Plusieurs centaines de personnes auraient fui le village de Kimbuba cette nuit, toujours selon cette source.

 

Haussant le ton, le lieutenant-colonel Olivier Hamuli a déclaré à la BBC que si le M23 provoquait à nouveau les FARDC, elles riposteraient.

 

Il s’agit du deuxième accrochage entre le M23 et les FARDC depuis la reprise officielle des pourparlers à Kampala début septembre.

 

Les discussions sont toujours dans l’impasse depuis quelques semaines.

 

La médiation ougandaise a présenté la troisème version de projet d'accord, réclamé depuis des mois par le gouvernement congolais.

 

Les deux parties devraienet commencer à discuter du document mercredi.

 

Toutefois, selon un membre de la délégation congolaise, le projet d'accord ne répond pas aux exigences de la RDC.

 

Les principaux points d'achoppement restent la question de l'amnistie et de la réintégration dans l'armée des commandants du M23.

Partager cet article
Repost0
19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 07:45
Des membres des forces spéciales tanzaniennes de la Brigade d'intervention de la MONUSCO, déployées dans le Nord-Kivu (Sylvain Liechti/MONUSCO)

Des membres des forces spéciales tanzaniennes de la Brigade d'intervention de la MONUSCO, déployées dans le Nord-Kivu (Sylvain Liechti/MONUSCO)

 

19/09/2013 par Jacques N. Godbout – 45eNord.ca

          

«Des cas de viols, enlèvements et autres exactions perpétrées par des hommes armés sont signalés » au Congo, a déclaré le porte-parole de la Mission de l’Organisation des Nations Unies (MONUSCO) en République démocratique du Congo, Madnodje Mounoubai, lors d’une conférence de presse.

 

La MONUSCO a indiqué mercredi que près de 80.000 personnes, se trouvant actuellement dans des conditions précaires, ont été déplacées depuis la reprise des affrontements armés dans l’est du pays le 22 août, rapporte le service d’Information de l’ONU.

Lors de la conférence de presse sur la Journée internationale de la Paix qui sera célébrée à travers le monde, ainsi qu’en République démocratique du Congo, le samedi 21 septembre 2013, le porte-parole de la Mission a fait le point de la situation militaire et de la situation humanitaire

 

Ituri

«Des villages entiers ont été vidés de leur population. De nombreux déplacés, craignant la violence des combats, se seraient réfugiés dans la brousse, à l’intérieur de zones encore inaccessibles», a-t-il affirmé, ajoutant que les agences humanitaires sont particulièrement préoccupées par la situation dans le district de l’Ituri, en Province Orientale, où des combats opposent l’armée gouvernementale aux miliciens du Front de Résistance Patriotique d’Ituri (FRPI).

Selon le porte-parole de la MONUSCO, 120.000 personnes sont touchées par le conflit dans le sud du territoire d’Irumu, en Ituri, notamment par les destructions de maisons et les pillages occasionnés par les combats.

Les 13, 14 et 15 septembre, des affrontements sporadiques entre l’armée gouvernementale et les insurgés du FRPI ont donné lieu à l’utilisation de part et d’autre de mitrailleuses, de mortiers et de lance-roquettes.

Les agences humanitaires ont l’intention de prêter assistance à 150.000 personnes et on estime que deux millions de dollars sont nécessaires pour répondre aux besoins additionnels, dit l’ONU.

Suite à cette situation, la Force de la MONUSCO a mis en alerte maximale toutes ses bases opérationnelles déployées dans ce secteur; dans le but de dissuader toute exaction contre les populations civiles et assurer leur protection.

 

Nord-Kivu

Quant au climat sécuritaire au Nord-Kivu, en dépit d’une tension observée dans les régions situées au nord de la ville de Goma, le climat sécuritaire, il est globalement stable et reste sous le contrôle des forces onusienne et congolaise, selon le porte-parole de la MONUSCO.

La récurrence des accrochages entre le M23 et le groupe Mayi-Mayi Nyatura du Mouvement Populaire d’Autodéfense (MPA) dans le territoire de Rutshuru, constitue toutefois une source de préoccupation majeure à la protection des populations civiles dans cette partie de la province.

Par ailleurs, le niveau de la menace sécuritaire pour la ville de Goma est demeuré moyen et la Force de la MONUSCO continue d’activer le Plan de Sécurité Interne de cette capitale provinciale, conformément à l’opération unilatérale «Wide awake» (Réveil total).

En effet, la Brigade de la Force de la MONUSCO déployée dans cette province y poursuit toujours avec détermination et engagement, la conduite de ses six opérations unilatérales dénommées: «Wide awake» (Réveil total), «Formidable» (Formidable), «Silent Guns» (Armes silencieuses), «Blue Redoubt I & II» (Forteresse bleue I & II), «Strong Flank» (Flanc rigide), et «Blue Eagle» (Aigle bleu); dans le but de dominer le terrain et d’interdire toute liberté d’action aux groupes armés.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : RP Defense
  • : Web review defence industry - Revue du web industrie de défense - company information - news in France, Europe and elsewhere ...
  • Contact

Recherche

Articles Récents

Categories