16 avril 2014
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15/04/2014 Sources : EMA
Le 7 avril 2014, le général Jean-Jacques Toutous, Représentant de la France (REPFRANCE) au Liban et chef d’état-major de la force intérimaire des Nations-Unies au Liban (FINUL), s’est rendu à Dayr Kifa auprès de la force commander reserve (FCR).
Le général Toutous a rencontré les éléments français du mandat XXI déployés depuis mars, sur le camp de 9.1 à Dayr Kifa, dans le cadre de l’opération Daman.
Forte de près de 900 militaires, la FCR est directement placée sous le commandement de la FINUL. Stationnée à Dayr Kifa, à environ 100 kilomètres de Beyrouth, elle est l’élément d’intervention d’urgence de la FINUL. Elle est en mesure d’intervenir sur court préavis dans toute la zone d’opération de la FINUL pour faire appliquer la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Réserve d’intervention opérationnelle, la FCR travaille en collaboration et coordination étroites avec les forces armées libanaises (FAL) et conduit également de nombreuses actions auprès de la population au sud du Liban.
La FCR est armée par les militaires de la 2e brigade blindée (501e régiment de chars de combat, 16e bataillon de chasseurs, 13e régiment du génie) et est renforcée par des éléments du 121e régiment du train, du régiment de soutien du combattant ainsi que du 8e régiment de matériel.
La France est l’un des principaux pays contributeurs de la FINUL. Cette contribution de la France à cette mission de l’ONU prend le nom d’opération DAMAN. La FCR confère au Force Commanderdes capacités de surveillance terrestre et aérienne, de dissuasion et de réaction. Robuste, souple, réactive, elle constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban. Parallèlement, la FCR entretient une coopération étroite avec les forces armées libanaises, tant lors de patrouilles communes que lors d’entraînements conjoints.
2 avril 2014
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02/04/2014 lorientlejour.com
La ministre italienne de la Défense Roberta Pinotti (Parti démocrate), qui a effectué hier une tournée auprès des dirigeants locaux, a souligné hier « l'appui constant de son pays à la Finul, ainsi que le soutien humanitaire de Rome aux réfugiés, conformément aux aspirations et aux besoins du gouvernement libanais ». « L'Italie maintiendra ses engagements vis-à-vis du Liban », a-t-elle indiqué, annonçant la tenue d'une conférence technique de soutien à l'armée le 10 avril à Rome, en guise de préparation à la conférence majeure qui aura lieu en juin dans la capitale italienne et dans la foulée de la conférence de soutien de New York du 25 septembre dernier.
Il s'agit de la première visite officielle de la ministre italienne depuis sa nomination à ce poste, le 22 février dernier.
Mme Pinotti s'est ainsi entretenue à Baabda avec le président de la République, Michel Sleiman, en présence de l'ambassadeur italien Giuseppe Morabito, avant de se rendre au Sérail où elle a été reçue par le Premier ministre Tammam Salam. Elle a par ailleurs rencontré le ministre de la Défense, Samir Mokbel, et le commandant en chef de l'armée, le général Jean Kahwagi.
La ministre italienne a enfin inspecté, à Naqoura, au Liban-Sud, le contingent de son pays au sein de la Finul, auquel elle a rendu un hommage appuyé. Mme Pinotti a mis l'accent, dans ce cadre, sur l'importance de la contribution italienne à la stabilité et la sécurité au Liban dans le cadre de la situation critique que traverse actuellement la région.
2 avril 2014
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01/04/2014 Sources : EMA
Le 27 mars 2014, tous les éléments du mandat XXI de la Force Commander Reserve (FCR) de l’opération DAMAN, nom de la participation française à la Force Intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), ont rejoint le camp de Dayr Kifa, situé à environ 100 km de Beyrouth.
Les militaires de la FCR du mandat XXI ont passé quelques jours avec leurs prédécesseurs sur le théâtre libanais afin de prendre en compte l’environnement de la mission, le matériel et les différentes consignes (sécurité, maintenance…). Cette relève effectuée dans d’excellentes conditions entre le régiment d’infanterie chars de Marine (RICM) et le 501e régiment de chars de combat (501e RCC) permet au mandat XXI d’être pleinement opérationnel pour les six prochains mois.
Le contingent français au Liban est d’environ 900 militaires. Les unités de combat composant la FCR DAMAN XXI, sont principalement issues des régiments de la 2e brigade blindée (501e RCC, 16e bataillon de chasseurs et 13e régiment du génie), renforcées par les artilleurs du 1er régiment d’artillerie et du 93e régiment d’artillerie de montagne, ainsi que par le 121e régiment du train. Le soutien de l’ensemble des forces françaises au Liban est assuré principalement par le régiment de soutien du combattant, le 8e régiment de matériel et par une quarantaine de personnel d’unités diverses composant le soutien national France (SNF).
La France est l’un des principaux pays contributeurs à la FINUL. Les militaires français présents au Liban sont déployés dans le cadre de l’opération DAMAN, contribution de la France à cette mission de l’ONU. Ils agissent particulièrement au sein de la « Force Commander Reserve » (FCR). Ce détachement confère au Force Commander des capacités de surveillance terrestre et aérienne, de dissuasion et de réaction. Robuste, souple, réactive, elle constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban. Parallèlement, la FCR entretient une coopération étroite avec les forces armées libanaises, tant lors de patrouilles communes que lors d’entraînements conjoints.
22 mars 2014
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21/03/2014 Sources : EMA
Le 20 mars 2014, au camp de Jabal Maroun au Liban, a eu lieu la cérémonie de transfert d’autorité de la Force Commander Reserve (FCR) entre colonel Loïc Mizon et le colonel Emmanuel Charpy.
Les 900 militaires de la FCR, arrivés de France par voie maritime militaire il y a 6 mois, ont effectué plus de 450 patrouilles avec les forces armées libanaises (FAL) dans la zone de responsabilité de la FINUL. Conformément à la résolution 1701 du Conseil de sécurité des nations unies (CSNU), le contingent français a participé à la formation de près de 400 militaires libanais au cours d’une vingtaine d’entrainements conjoints. Ce mandat a enfin été marqué par une dizaine d’exercices conduits avec les détachements de la FINUL, comme les exercices Blue Bird et Steel Storm à Naquoura.
Le général Jean-Jacques Toutous, chef d’état-major de la Force Intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) a présidé la cérémonie de transfert d’autorité de la FCR entre le colonel Loïc Mizon, commandant le régiment d’infanterie de chars de Marine (RICM), et le colonel Emmanuel Charpy, chef de corps du 501e régiment de chars de combat (501e RCC).
D’ici à quelques jours, la FCR sera armée par 900 militaires majoritairement issus de la 2e brigade blindée (501e régiment de chars de combat, 16e bataillon de chasseurs, 13e régiment du génie) et renforcée par le 121e régiment du train, le régiment de soutien du combattant ainsi que le 8e régiment de matériel.
La France est l’un des principaux pays contributeurs de la FINUL. Les militaires français de l’opération DAMAN agissent particulièrement au sein de la FCR qui confère au force commander une capacité de dissuasion, de réaction et de coercition. Robuste, souple et réactive, la FCR constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban, dans le cadre de la résolution 1701 du Conseil de Sécurité de l’ONU.
14 mars 2014
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Crédit: EMA/armée de Terre
Crédit: EMA/armée de Terre
Du 24 au 28 février 2014, à Naqoura, au sud du Litani, la Force Commander Reserve (FCR) a conduit un exercice de tir conjoint avec les Forces armées libanaises (FAL) et les contingents de la Force Intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL).
Durant quatre jours, l’exercice Steel Storm a permis de parfaire l’entrainement au tir de l’ensemble des unités opérationnelles de la FCR tout en renforçant la coopération entre la FINUL et les FAL.
Les blindés français (VBL, VBCI, VAB) et libanais (M113), équipés de différentes armes de bord (mitrailleuses de calibres 7.62 et 12.7 mm, canons de calibres 20 et 25 mm et fusil PGM), se sont succédés sur le pas de tir situé au sud de Naqoura, face à la mer. Près de 33 000 cartouches, de tous calibres, ont été tirées sur des cibles flottantes disposées entre 400 et 1400 mètres du pas de tir.
Cet exercice a également vu la participation aux tirs des contingents espagnols et italiens. La Maritime Task Force de la FINUL, quant à elle, assurait la sécurité en mer. Une démonstration devant les hautes autorités militaires libanaises du secteur Sud Litani et de la FINUL a clôturé l’entrainement.
Dans le cadre de la résolution 1701, la Force Commander Reserve participe à la montée en puissance des Forces armées libanaises, par le biais de patrouilles d’exercices, de formations et d’entraînements conjoint réguliers.
Reportage photos
11 mars 2014
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11 mars 2014 Belgian Defense
Les militaires du détachement BELUFIL 14_02 ont commémoré leurs collègues disparus de la mission des Nations-Unies débutée en 2006. La cérémonie du souvenir s'est déroulée sereinement le 7 mars 2014 devant le monument érigé à Tibnin en souvenir des victimes.
10 mars 2014
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10/03/2014 Sources : EMA
Le 7 mars 2014, au large de Beyrouth, la frégate « Cassard » a effectué un exercice avec le patrouilleur « Sour » de la marine libanaise.
Dans le cadre de sa mission de patrouille en Méditerranée orientale, la frégate « Cassard » a effectué une série d’interactions avec les forces armées libanaises (FAL). Un exercice d’assistance incendie mobilisant une équipe de secours du « Cassard » a été envoyée sur le « Sour ». Les marins français et libanais ont ensuite effectué un exercice de tir sur « buts flottants » avec les mitrailleuses de calibre 12.7 mm et les canons de 20 mm. Quatre marins de chaque nationalité ont par ailleurs été accueillis simultanément à bord de chacun des navires.
Une délégation d’autorités civiles et militaires libanaises a pu rejoindre le « Cassard » grâce à l’hélicoptère du détachement de la flotille 36F embarqué sur la frégate française. Cette délégation comprenait notamment le commandant en chef de la marine libanaise, ainsi que des autorités de l’ambassade de France et de la Mission militaire française au Liban. À l’issue de leur réunion de travail, les autorités libanaises ont confirmé l’intérêt de disposer d’une marine adaptée à la défense des intérêts vitaux d’un pays.
Dans le cadre de la résolution 1701, les militaires français de la Force Commander Reserve engagés dans le cadre du mandat de la FINUL participent à la montée en puissance des Forces armées libanaises, par le biais d’exercices, de patrouilles, de formations et d’entraînements conjoint réguliers.
5 mars 2014
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05/03/2014 Sources : EMA
Du 24 au 28 février 2014, à Naqoura, au sud du Litani, la Force Commander Reserve (FCR) a conduit un exercice de tir conjoint avec les Forces armées libanaises (FAL) et les contingents de la Force Intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL).
Durant quatre jours, l’exercice Steel Storm a permis de parfaire l’entrainement au tir de l’ensemble des unités opérationnelles de la FCR tout en renforçant la coopération entre la FINUL et les FAL.
Les blindés français (VBL, VBCI, VAB) et libanais (M113), équipés de différentes armes de bord (mitrailleuses de calibres 7.62 et 12.7 mm, canons de calibres 20 et 25 mm et fusil PGM), se sont succédés sur le pas de tir situé au sud de Naqoura, face à la mer. Près de 33 000 cartouches, de tous calibres, ont été tirées sur des cibles flottantes disposées entre 400 et 1400 mètres du pas de tir.
Cet exercice a également vu la participation aux tirs des contingents espagnols et italiens. La Maritime Task Force de la FINUL, quant à elle, assurait la sécurité en mer. Une démonstration devant les hautes autorités militaires libanaises du secteur Sud Litani et de la FINUL a clôturé l’entrainement.
Dans le cadre de la résolution 1701, la Force Commander Reserve participe à la montée en puissance des Forces armées libanaises, par le biais de patrouilles d’exercices, de formations et d’entraînements conjoint réguliers.
8 février 2014
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07/02/2014 Sources : EMA
Du 26 au 30 janvier 2014, le général de corps d’armées Patrick Lefebvre, inspecteur des armées, a effectué une visite d’inspection du contingent français de la FINUL au sud Liban.
Accueilli par le général Jean-Jacques Toutous, représentant militaire de la France au Liban et chef d’état-major de la Force Intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), le GCA Lefebvre s’est tout d’abord rendu à Naqoura où il s’est entretenu avec le Force commander, le major general Paolo Serra. Après la visite du PC de la FINUL et un survol des principaux points d’intérêt de la zone d’opérations au sud du Litani, il a inspecté les différentes unités de la Force commander Reserve (FCR) stationnées sur le site UNP 6.41 et sur le camp de Jabal Maroun. Après une présentation globale du théâtre et des missions de la FCR, l’inspecteur des armées a pu apprécier le moral et juger des préoccupations des soldats déployés au Liban lors de tables rondes catégorielles.
Cette inspection visait à contrôler la mise en œuvre des directives du CEMA par le contingent français de la FINUL, à analyser les conditions d’exercice de sa mission et enfin à réfléchir à l’avenir de la FCR.
Placée directement sous les ordres du général commandant la FINUL, la FCR est susceptible d’appuyer les autres contingents, pour éviter toute escalade de la violence. La FCR est le principal moyen de dissuasion, de réaction et de coercition de la FINUL. Robuste, souple et réactive, elle constitue une véritable force au service de la paix au sud du fleuve Litani et dans toute la zone d’opérations.
28 janvier 2014
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28/01/2014 Sources : EMA
Depuis le 25 septembre 2013, le lieutenant Christine est en mission au Liban, au sein de la Force Commander Reserve (FCR). Elle occupe le poste d’analyste de la section d’environnement opérationnel (SEO) à Dayr Kifa. En France, elle est contrôleur de gestion et responsable qualité au sein de l’établissement du Service National de Lyon.
Aujourd’hui civile de la Défense et réserviste, le lieutenant Christine a débuté sa carrière en 1988 au 7ebataillon des chasseurs alpins (7e BCA) à Bourg-Saint-Maurice. Elle a ensuite effectué un séjour de trois ans en Guyane à Saint-Jean-du-Maroni avant de rejoindre le 21e régiment d’infanterie (21e RI) à Canjuers en 1993. Par la suite elle a occupé le poste de chancelier lors de ses différentes mutations. Après presque 18 ans de service, elle s’est reconvertie en tant que personnel civil de la Défense tout en s’engageant dans la réserve opérationnelle : « Cet engagement m’a été proposé par le chancelier du 35e régiment d’artillerie parachutiste (35e RAP) de Tarbes en 2005, après ma mise en position de retraite. Il souhaitait un renfort chancellerie pour la gestion des réservistes du régiment. Je me suis laissée tenter par l’aventure et ne le regrette pas aujourd’hui, bien au contraire ».
Contrôleur de gestion et responsable qualité au sein de l’établissement du Service National de Lyon, elle est en mission au Liban depuis le mois de septembre 2013 comme analyste à la section d’environnement opérationnel (SEO). Son rôle consiste à connaître précisément l’environnement dans lequel évoluent les militaires de la Force Commander Reserve. Avant son départ, elle a été formée spécialement pour le théâtre libanais, mais la connaissance du terrain s’acquière essentiellement par le biais des informations collectées par les patrouilles de la FCR auxquelles elle participe également : « Outre le fait de dresser une cartographie des acteurs à connaître dans la zone d’opérations, je me dois également de cerner les ressentis, les perceptions, les attitudes et les comportements des différents groupes et individus. Ce travail participe à la meilleure insertion possible de la FCR dans son environnement ».
Formée à l’analyse au Centre Interarmées des Actions sur l’Environnement (CIAE) de Lyon, le lieutenant Christine a pu être désignée par son organisme de rattachement pour partir en mission extérieure (OPEX) au Liban parce que son employeur a accepté de la laisser partir. Pour elle cette première expérience en OPEX en tant que réserviste et analyste est « un formidable laboratoire d’apprentissage ».
27 janvier 2014
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24/01/2014 Sources : EMA
Du 19 au 21 janvier 2014, l’amiral Edouard Guillaud, chef d’état-major des armées (CEMA), a effectué une visite officielle au Liban au cours de laquelle il a rencontré plusieurs personnalités libanaises dont le président de la République, M. Michel Sleiman. Il s’est également rendu dans la zone d’opérations de la Forces Intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) pour y rencontrer les militaires français de la Force.
Le 20 janvier, l’amiral Guillaud a été reçu par M. Michel Sleiman, président de la République libanaise, par M. Fayez Ghosn, ministre de la Défense et par le général Jean Kahwagi, commandant en chef de l’armée libanaise. Au cours de ces différents entretiens il a pu réaffirmer l’importance de la coopération militaire entre la France et le Liban et évoquer avec ses interlocuteurs libanais les enjeux de sécurité auxquels fait face la région.
Accueilli par le général Jean-Jacques Toutous, chef d’état-major de la FINUL, il s’est ensuite rendu à Naqoura où il s’est entretenu avec le Force Commander, le Major General Paolo Serra.
Le CEMA a achevé sa visite à Dayr Kifa où il s’est adressé aux militaires français qui arment la Force Commander Reserve (FCR) et à une délégation d’officiers insérés au sein de l’état-major de la FINUL. Il leur a indiqué que c’est auprès de soldats en opérations, au Liban pour l’occasion, qu’il a souhaité débuter sa tournée d’adieux car les opérations sont la raison d’être du ministère de la Défense. « Depuis 2006 la Liban n’a jamais connu de période paix aussi longue. La situation à laquelle vous devez faire face impose de la souplesse et du professionnalisme, ce dont les soldats français disposent à foison ». Il a terminé son allocution en témoignant de sa considération pour le travail accompli par le contingent français de la FINUL et sa fierté d’avoir commandé des armées qui s’imposent sur le terrain.
Placés sous les ordres du commandant de la FINUL, les éléments français de la FINUL agissent dans le cadre de la résolution 1701 de l’ONU sur l’ensemble de la zone comprise entre le fleuve Litani et la « Blue Line », au Sud Liban. Ils mènent leurs actions en coopération étroite avec les Forces Armées Libanaises (FAL).
6 janvier 2014
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02/01/2014 Sources : EMA
Du 17 au 20 décembre 2013, la Force Commander Reserve (FCR) s’est déployée dans le secteur ouest de la zone d’opérations de la Force Intérimaire des Nations Unies (FINUL), afin de renforcer son interopérabilité avec les bataillons composant ce secteur commandé par les Italiens.
Pendant 4 jours, plus d’une centaine de militaires et une quarantaine de véhicules de la FCR ont été déployés dans le secteur ouest de la zone d’opérations au Sud du Litani. Une section de la compagnie d’infanterie équipée de véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI), deux pelotons de l’Escadron d’Eclairage et d’Investigation (EEI), deux équipes cynophiles et des éléments de la batterie ont effectué des patrouilles et des entrainements communs avec les soldats coréens et italiens. Dans le même temps des démonstrations dynamiques et statiques de matériels ont été organisées par chaque unité. Alors que les sapeurs italiens présentaient leur matériel spécifique de déminage sur le camp de Shama où se trouve l’état-major du secteur ouest, l’EEI a quant à lui effectué une présentation de ses véhicules et de son armement aux Coréens avant de partir avec eux en patrouille.
C’est le quatrième déploiement réalisé par le mandat Daman XX de la FCR en moins de trois mois dans la zone d’opérations. Ces déploiements ont pour objectif de développer et d’améliorer l’interopérabilité entre les militaires français et ceux des bataillons des secteurs. Ces déploiements favorisent également la montée en puissance des Forces Armées Libanaises (FAL) puisqu’ils sont l’occasion de mener des patrouilles conjointes avec les soldats libanais et avec les unités des secteurs.
La FCR est en mesure d’agir très rapidement au profit de tous les contingents déployés sur l'ensemble de la zone d’opérations de la FINUL, dans le cadre de la résolution 1701. Basée à Dayr Kifa, 100 kilomètres au sud de Beyrouth, la FCR est le principal moyen de réaction et de coercition de la Force placé directement sous les ordres du Force Commander, le général Paolo Serra.
22 décembre 2013
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20/12/2013 Sources : EMA
Du 9 au 13 décembre 2013, une centaine de militaires français de la FCR (Force Commander Reserve) se sont déployés avec une trentaine de véhicules dans le secteur Est de la zone d’opération de la FINUL (Forces Intérimaires des Nations Unies au Liban), sur le camp Miguel Cervantes.
Ce déploiement avait pour objectif de renforcer l’interopérabilité avec le contingent espagnol de la FINUL déployé dans ce secteur. Durant cinq jours, les fantassins, artilleurs et sapeurs français ont partagé leur expérience et leurs savoir-faire au cours de patrouilles communes et de démonstrations.
Les équipes EOD (Explosive Ordnance Disposal) françaises et espagnoles ont comparé leurs méthodes et procédures en matière d’investigation, de déminage, de sécurisation des munitions et de dépollution de zone. De leur côté, les équipes cynophiles françaises ont effectué des démonstrations de fouille de véhicule.
Placée directement sous les ordres du général commandant la FINUL, la FCR est susceptible d’appuyer les autres contingents, pour éviter toute escalade de la violence. La FCR est le principal moyen de dissuasion, de réaction et de coercition de la FINUL. Robuste, souple et réactive, elle constitue une véritable force au service de la paix.
6 décembre 2013
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06/12/2013 Sources : EMA
Le 30 novembre 2013, la Force Commander Reserve (FCR) a participé à l’exercice Blue Bird, organisé chaque année par l’état-major de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL).
Cet exercice a pour objectif de vérifier que les procédures à appliquer en cas d’alerte de sécurité sont bien connues du personnel civil libanais et international de la FINUL, ainsi que des militaires chargés d’assurer leur protection.
Le 30 novembre, à 8h00, l’état-major de la FINUL à Naqoura, a alerté la FCR que la situation sécuritaire dans la zone nécessitait de mettre en sécurité le personnel civil libanais et international de la Force, ainsi que leurs familles. Une dizaine de points de concentration est répertoriée dans toute la zone d’opérations de la FINUL. Le camp de Dayr Kifa est l’un d’eux.
Une fois l’alerte déclenchée, la FCR s’est préparé à recevoir les personnes venant se placer sous sa protection. Pendant qu’elles rejoignent le camp, un dispositif de protection a été déployé et les différents ateliers où les ressortissants doivent se présenter sont montés.
Chaque personne arrivant sur le camp de la FCR a été prise en charge et enregistrée, afin de s’assurer que personne ne manque à l’appel. Les ressortissants ont ensuite été dirigés vers une zone d’attente où leur ont été présentés un sac d’alerte type et tout ce qu’il doit contenir pour pouvoir vivre correctement en cas d’évacuation.
Grace à l’investissement de tous les acteurs, cet exercice s’est parfaitement déroulé. Si la zone d’opérations de la FINUL est calme, chacun doit néanmoins savoir ce qu’il doit faire en cas d’alerte. C’est l’objectif de l’exercice « Blue Bird ». Celui-ci a été parfaitement atteint dans la zone dont la FCR a la responsabilité.
Placés sous les ordres du commandant de la FINUL, les éléments français de la Force agissent dans le cadre de la résolution 1701 de l’ONU sur l’ensemble de la zone comprise entre le fleuve Litani et la « Blue Line », au Sud Liban. Ils mènent leurs actions en coopération étroite avec les Forces Armées Libanaises (FAL).
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28/10/2013 Sources : EMA
Du 21 au 25 octobre 2013, sur le camp de Naqoura où est implanté l’état-major de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), un stage de formation à la mise en œuvre des moyens de transmissions et à l’apprentissage des procédures en vigueur au sein de la FINUL a été mené au profit d’une quinzaine de militaires de la force. Deux sous-officiers français de la Force Commander Reserve (FCR) et trois sous-officiers libanais ont participé à cette instruction.
Présents au Liban depuis la fin du mois de septembre 2013, les deux sous-officiers français ont participé à l’instruction « systèmes d’information et de communication » (SIC) dispensée à tous les transmetteurs nouvellement arrivés sur le théâtre par le bureau SIC (J6) de l’état-major de la FINUL.
Sous-officiers transmissions du centre opérations (CO) de la FCR, ils ont pu découvrir et apprendre à se servir de tous les moyens mis à la disposition des bataillons et des états-majors de la FINUL pour leurs communications opérationnelles.
Ce stage, qui est organisé à échéances régulières pour tenir compte des relèves, a réuni pour cette édition des stagiaires de huit nationalités différentes. Tous les cours ont été dispensés en anglais par des formateurs eux aussi de nationalités variées. La formation est sanctionnée par un test final et la remise d’un diplôme. Elle garantit que tous les transmetteurs de la FINUL, quelle que soit leur origine, sont en mesure d’utiliser la procédure en vigueur au sein de la FINUL et le matériel mis à leur disposition.
Basée à Dayr Kifa, 45 kilomètres au nord-est de Naqoura, la FCR est la force de réserve du général commandant la FINUL et est en mesure d’appuyer les autres bataillons de la force onusienne. Elle est le principal moyen de réaction, de dissuasion et de coercition de la FINUL. Elle est en mesure d’intervenir rapidement dans toute la zone d’opérations de la force, pour faire appliquer la résolution 1701 du conseil de sécurité des Nations Unies.
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22/10/2013 Sources : EMA
Le lieutenant-colonel Patrick est arrivé à Naqoura en juillet 2013. Il est inséré au sein de l’état-major de la force intérimaire des nation-Unies au Liban (FINUL) et plus précisément à la division des affaires politiques et civiles (DPCA). Sa mission consiste à préparer les réunions tripartites qui réunissent à échéances régulières les représentants des forces armées libanaises (FAL), des forces de défense israéliennes (IDF) et de la FINUL. Il participe également à toutes les enquêtes déclenchées par le commandement de la FINUL lorsqu’il y a une présomption de violation de la résolution 1701 du conseil de sécurité des nations-Unies.
Les réunions tripartites sont les seules occasions pour les représentants des forces armées libanaises et des forces de défense israéliennes de se rencontrer physiquement pour tenter de résoudre les tensions qui peuvent apparaitre entre les parties et en particulier le long de la « Blue Line » (Ligne Bleue : ligne d’observation du retrait israélien).
Elles se tiennent tous les mois sous l’égide de la FINUL. La préparation des dossiers abordés au cours de ces réunions est de la responsabilité des « Staff Officers » de DPCA dont fait partie le lieutenant-colonel Patrick. Il s’agit d’un travail précis et délicat qui consiste en une synthèse de tous les évènements qui ont pu survenir entre deux réunions. Cette synthèse sert de support aux échanges entre les participants.
Le travail du lieutenant-colonel Patrick ne s’arrête pas à la seule préparation des dossiers. Il est également chargé de la préparation matérielle de la salle dans laquelle se déroule la rencontre. « Cette phase est très importante. Elle consiste à faire en sorte que les participants disposent de tout ce dont ils ont besoin, mais également à s’assurer que leur sécurité et la confidentialité de leurs échanges soient optimum ». En effet, si tout fonctionne correctement, les participants sont placés dans de bonnes conditions et les chances que leurs échanges soient fructueux sont multipliées.
En plus de la préparation des réunions tripartites, le lieutenant-colonel Patrick est systématiquement associé à toutes les enquêtes sur les incidents qui peuvent advenir dans la zone d’opération de la FINUL et qui constituent des violations de la résolution 1701 du conseil de sécurité de l’ONU. Sur le terrain, le lieutenant-colonel Patrick joue un rôle de « facilitateur » et fait profiter l’équipe d’enquêteurs de son expérience militaire dans le domaine du renseignement et de sa très bonne connaissance du terrain qu’il sillonne au quotidien. « Dès que je le peux, je pars en reconnaissance sur les points sensibles de la « Blue Line ». Cela me permet de bien connaitre le terrain. C’est absolument nécessaire pour être efficace et pour bien remplir ma mission ». Quand l’enquête est achevée, l’équipe d’enquêteurs rédige un rapport pour le « Force Commander ». Ce rapport contient une appréciation de la situation élaborée par l’équipe d’investigation. Quand une violation de la résolution 1701 est avérée, elle est alors inscrite à l’ordre du jour de la réunion tripartite à venir pour y être discutée.
Toujours sur la brèche, le lieutenant-colonel Patrick participe également au groupe chargé de définir l’emplacement précis des marques de la Ligne Bleue, ou « blue barrels » (barils de couleur bleue matérialisant cette ligne). Il est également membre du groupe d’évaluation de la menace. Fort de sa très bonne connaissance du texte de la résolution 1701 et du mandat de la FINUL, son action quotidienne, qu’il inscrit dans celle de ces prédécesseurs, participe indubitablement de la réussite de la mission des casques bleus au Liban. Depuis 2006 en effet, la zone de responsabilité de la FINUL est l’une des plus calmes du Liban et de toute la région du Proche et du Moyen-Orient.
28 octobre 2013
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25/10/2013 DPSD
Mosaïque de communautés, le Liban est un condensé du Moyen-Orient.
Au cours de l'automne 2006 (suite à la résolution 1701 du conseil de sécurité des Nations Unies du 11 août 2006), les effectifs de la FINUL (Force intérimaire des Nations Unies au Liban mise en place par les résolutions 425 et 426 des Nations Unies en mars 1978) ont été renforcés, et par la même ceux de la DPSD. La mission de ce contingent de la FINUL est de participer au rétablissement de la paix et de la sécurité internationales et d’aider le gouvernement libanais à assurer la restauration de son autorité effective dans la région sud Liban.
Le chef du détachement de la DPSD est le conseiller privilégié du French Senior National Representative (SNR) au sein de la FINUL, dans le cadre de l’exercice de ses fonctions en matière de protection et de sécurité des forces françaises engagées.
Articulé autour de deux sites, Naqoura et Dayr Kifa, le personnel de la DPSD a compétence sur l’ensemble des forces françaises présentes sur le théâtre et des employés locaux (les contrôles de sécurité des personnels civils qui travaillent sur les emprises françaises constituent la 2ème mission principale du détachement), permanents ou de passage, travaillant sur les emprises françaises placées sous sa responsabilité.
Toutefois, afin d’évaluer les risques pour les forces françaises dans les domaines du TESSCo (terrorisme, espionnage, sabotage, subversion, crime organisé), la principale mission du détachement est le recueil du renseignement de contre-ingérence.
A ce titre, le détachement de la DPSD a développé des échanges avec les services de renseignement civils et militaires français, locaux et étrangers, présents au Liban.
Par ailleurs, la DPSD réalise des actions de prévention au travers des sensibilisations et des évaluations techniques de la sécurité des locaux.
17 octobre 2013
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17/10/2013 DICOD
Lundi 14 octobre, la Force Commander Reserve s’est rendue à Beyrouth pour participer à la commémoration de l’attentat du Drakkar en présence de Kader Arif, ministre délégué auprès du ministre de la Défense, chargé des anciens combattants, du général de corps d'armée Hervé Charpentier, gouverneur militaire de Paris et de Patrice Paoli, ambassadeur de France au Liban.
C'est dans les jardins de la résidence des pins à Beyrouth, où a été érigée une stèle à la mémoire des 58 soldats français ayant trouvé la mort dans l'attentat du Drakkar il y a 30 ans, que la Force Commander Reserve (FCR) a participé à la cérémonie commémorative en présence du ministre délégué aux anciens combattants, du gouverneur militaire de Paris et de l'ambassadeur de France au Liban.
Beyrouth, 23 octobre 1983, 6h20. Deux minutes après un premier attentat ayant coûté la vie à 241 Américains, 55 parachutistes du 1er régiment de chasseurs parachutistes et 3 parachutistes du 9e régiment de chasseurs parachutistes trouvent la mort lorsqu’un camion piégé explose devant l'immeuble de huit étages qu’ils occupent, le poste « Drakkar ».
C'est en présence des familles des victimes, de deux rescapés et des ambassadeurs britanniques et américains, que Kader Arif a rappelé avec émotion « qu'il y a presque 30 ans, près de 300 hommes trouvent la mort sur cette terre où is étaient venus reconquérir la paix ». Il a également salué, au nom de la Nation, leur courage et leur sacrifice. Après le récit de l’attentat, le nom de chaque victime a été cité devant les militaires du contingent français présents qui, eux aussi, remplissent une mission de paix au sein de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul), 30 ans après cet événement tragique.
Le 23 octobre prochain, Kader Arif accompagnera le ministre de la Défense et le chef d’état-major de l’armée de Terre à la cérémonie commémorative qui se déroulera à Pamiers dans l’enceinte du 1er régiment de chasseurs parachutistes.
2 octobre 2013
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02/10/2013 Sources : EMA
Le 28 septembre 2013, au camp de Dayr Kifa au Liban, a eu lieu la cérémonie de transfert d’autorité de la Force Commander Reserve (FCR) entre le colonel Christophe Baudouin et le colonel Loïc Mizon.
Le général de brigade irlandais Patrick Phelan, adjoint du commandant de la Force Intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL) a présidé la cérémonie de transfert d’autorité de la FCR entre le colonel Baudoin, commandant le 4e régiment de Dragon, et le colonel Loïc Mizon, chef de corps du régiment d’infanterie Chars de Marine. En 6 mois, les 600 militaires de la FCR mandat 19 ont effectué plus de 500 patrouilles avec les forces armées libanaises (FAL). Conformément à la résolution 1701 du CSNU, la FCR a conduit une vingtaine d’instructions opérationnelles au profit de plus de 300 militaires libanais. Enfin, le mandat de la FCR a été marqué par l’exercice « Steel Storm » pendant lequel, sous commandement français, les détachements de la FINUL se sont retrouvés pour un exercice de tir à Naqoura. 40 000 munitions de petit calibre ont été tirées à cette occasion.
La FCR mandat 20 est désormais armée par 600 marsouins des régiments de la 9e brigade d’infanterie de Marine (régiment d’infanterie Chars de Marine, 6e régiment du génie, 11e régiment d’artillerie de Marine) et d’une compagnie d’infanterie du 92e régiment d’infanterie de Clermont Ferrand, aux ordres du colonel Loïc Mizon.
La relève nombre pour nombre des militaires de l’opération DAMAN initiée le 25 septembre est donc achevée. Les derniers éléments des unités « montantes » ont été débarqués du BPC Tonnerre dans la matinée du 29 septembre et ont rejoint Dayr Kifa à environ 100 kilomètres au sud de Beyrouth.
L’organisation millimétrée des mouvements d’embarquement et de débarquement, orchestrée par l’équipage et la batellerie du BPC Tonnerre, ont permis à cette opération d’ampleur de s’achever dans d’excellentes conditions. Une section de protection des forces armées libanaises (FAL) a assuré la sécurité de l’opération aux côtés d’une section de la « Force Commander Reserve » (FCR) sur véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI). Comme le 25 septembre, du personnel du Service de l’immigration était présent sur place pour assurer la gestion et la fluidité des formalités administratives d’entrée et de sortie du territoire libanais. Madame Cécile Longé, consule générale de France au Liban a rendu visite aux militaires des deux mandats présents sur la zone de débarquement.
La France est l’un des principaux pays contributeurs de la FINUL. Les militaires français de l’opération DAMAN agissent particulièrement au sein de la FCR qui confère au force commander une capacité de dissuasion, de réaction et de coercition. Robuste, souple et réactive, la FCR constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban, dans le cadre de la résolution 1701 du Conseil de Sécurité de l’ONU.
29 septembre 2013
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27/09/2013 Sources : EMA
Le 25 septembre 2013, les premiers militaires relevés de l’opération DAMAN, nom de la participation française à la Force intérimaire des nations Unies au Liban (FINUL), ont quitté le sol libanais. Ils sont relevés par les militaires du mandat XX arrivés la veille par voie maritime militaire
La relève nombre pour nombre des militaires de l’opération DAMAN est en cours. Les unités « montantes » ont été débarquées du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre pour rejoindre l’emprise de Dayr Kifa. Elles ont été remplacées à bord par les unités « descendantes », qui rentreront en France dans les prochains jours.
Débutée à l’aube, les manœuvres de transbordement, à la mer et sur la côte, se sont poursuivies jusqu’en fin de matinée. Trois rotations à partir d’un engin de débarquement amphibie rapide (EDA-R) et de deux chalands de transport de matériel (CTM), ont permis de transporter hommes et paquetages depuis le BPC resté au large de la côte.
Grâce à une météo clémente et à une organisation précise des mouvements de débarquement et d’embarquement, cette première partie de la relève s’est déroulée dans de très bonnes conditions. Des militaires autrichiens et Sri-lankais de la FINUL ont appuyé la manœuvre logistique en assurant la sécurité et l’acheminement des détachements entre le port et Dayr Kifa.
Enfin, une section des forces armées libanaises (FAL) et du personnel du service de l’immigration présents sur place ont assuré la gestion et la fluidité des formalités administratives d’entrée et de sortie du territoire libanais.
La France est l’un des principaux pays contributeurs de la FINUL. Les militaires français de l’opération DAMAN agissent particulièrement au sein de la « Force Commander Reserve » (FCR) qui confère au « force commander » une capacité de dissuasion, de réaction et de coercition. Robuste, souple et réactive, la FCR constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban, dans le cadre de la résolution 1701 du Conseil de Sécurité de l’ONU.
25 septembre 2013
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24/09/2013 Sources : EMA
Depuis juin 2008, la Brigade de Sapeur-Pompiers de Paris participe aux opérations extérieures au Liban au sein de la force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL). Basé sur le camp de Dair Kifa, le détachement de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) est composé de deux sous-officiers et de quatre militaires du rang.
La mission première du détachement est la prévention et la lutte contre le risque incendie. Il assure ainsi au quotidien la protection des personnes et des biens sur les sites occupés par le contingent français. Il a également en charge la sensibilisation du personnel militaire français sur le risque d’incendie.
Pour remplir sa mission, le détachement est équipé d’un Véhicule d’Incendie des Camps (VIC), d’un VLTT P4, d’une remorque secours routier et, depuis le 6 août 2013, d’une motopompe remorquable.
Les six sapeurs-pompiers du détachement DAMAN XIX ont été sélectionnés parmi les nombreux volontaires de la BSPP. Intégré au sein de l’Unité Multifonction Logistique (UML), le détachement de la BSPP participe activement aux missions quotidiennes de l’unité.
La France, engagée au Liban depuis 1978 dans le cadre de la FINUL, a notamment pour mission de soutenir les forces armées libanaises (FAL) afin qu’elles prennent en compte la sécurité du Sud Liban. Le partenariat avec les FAL, inscrit dans le dialogue stratégique FAL-FINUL (entériné par la résolution 2064 d’août 2012 qui renouvelle le mandat de la résolution 1701), fait partie des axes d’effort de la FCR qui conduit ses missions en étroite coopération avec les FAL.
21 septembre 2013
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20/09/2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord. - Défense globale
Six cents soldats de la 9e BIMa sont partis ce vendredi matin de Toulon à bord du BPC Tonnerre, à destination du Liban.
Ils relèvent pour six mois une bonne partie des 900 casques bleus français engagés en permanence au sein de la FINUL, la Force intérimaire des Nations unies au Liban.
Deux cents soldats du RICM (infanterie chars de marine) de Poitiers forment le gros de l'effectif, avec l'état-major et le chef de corps, le colonel Loïc Mizon. Trois escadrons de commandement et de logistique, d'éclairage et d'investigation, d'aide à l'engagement intégreront la force d'intervention de réserve (Force Commander Reserve) de la FINUL, la principale force de dissuasion et de coercition de la mission. La FCR est basée à Dayr Kifa dans le sud mais peut appuyer tout contingent onusien ou libanais sur le territoire.
Les Poitevins sont accompagnés d'une grosse compagnie VBCI du 92e RI (infanterie) de Clermont-Ferrand mais aussi d'éléments du 6e RG (génie) d'Angers, du 4e RMat de Nîmes et d'une section défense sol-air Mistral du 11e RAMa (artillerie de marine) de Saint-Aubin-du-Cormier.
Si certains éléments ont rejoint le Liban en avion, la relève s'effectue par voie maritime grâce au BPC Tonnerre, commandé par le capitaine de vaisseau François Majoufre. Pour des raisons de sûreté mais aussi pour des motifs économiques... Ils devraient débarquer dans le port de Tyr.
Les tensions syriennes font de cette mission onusienne une force essentielle pour maintenir un équilibre dans la région. Le général français Jean-Jacques Toutous est depuis le 1er août le chef d'état-major de la FINUL.
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20/09/2013 Sources : EMA
Le 20 septembre 2013, à Toulon, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre a appareillé en direction du Liban. Il transporte près de 600 militaires. Appartenant au régiment d’infanterie Chars de Marine (RICM) et au 92e régiment d’infanterie, ils sont désignés pour relever le mandat XIX de l’opération DAMAN et poursuivre la mission des forces françaises au Liban.
La France est l’un des principaux pays contributeurs à la FINUL. Les militaires français présents au Liban sont déployés dans le cadre de l’opération DAMAN, nom de la participation française à cette mission de l’ONU. Ils agissent particulièrement au sein de la FINUL, particulièrement au sein de la « Force Commander Reserve » (FCR). Ce détachement confère au force commander une capacité de dissuasion, de réaction et de coercition. Robuste, souple, réactive, elle constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban. Parallèlement, la FCR entretient une coopération étroite avec les FAL, tant lors de patrouilles communes que lors d’entraînements conjoints.
Une vingtaine de militaires arment par ailleurs des postes au sein de l’état-major de la FINUL.
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20 sept. 2013 FORCESFRANCAISES
Le 20 septembre 2013, à Toulon, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre a appareillé en direction du Liban. Il transporte près de 600 militaires. Appartenant au régiment d'infanterie Chars de Marine (RICM) et au 92e régiment d'infanterie, ils sont désignés pour relever le mandat XIX de l'opération DAMAN et poursuivre la mission des forces françaises au Liban.
La France est l'un des principaux pays contributeurs à la FINUL. Les militaires français présents au Liban sont déployés dans le cadre de l'opération DAMAN, nom de la participation française à cette mission de l'ONU. Ils agissent particulièrement au sein de la FINUL, particulièrement au sein de la « Force Commander Reserve » (FCR). Ce détachement confère au force commander une capacité de dissuasion, de réaction et de coercition. Robuste, souple, réactive, elle constitue une véritable force décisive au service de la paix au Sud Liban. Parallèlement, la FCR entretient une coopération étroite avec les FAL, tant lors de patrouilles communes que lors d'entraînements conjoints.
Une vingtaine de militaires arment par ailleurs des postes au sein de l'état-major de la FINUL.
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18.09.2013 Hélène Sallon (Dayr Kifa, Liban, envoyée spéciale) – LeMonde.fr
Une carte plastifiée du sud du Liban à la main, le maréchal des logis Antoine indique à ses hommes le parcours, tracé en vert, de la patrouille du jour. Pendant trois heures, samedi 14 septembre, cette unité de l'escadron d'éclairage et d'investigation du contingent français de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) doit sillonner, avec les Forces armées libanaises, les paysages vallonnés environnant la base de Dayr Kifa.
La zone en question, au cœur des fiefs du mouvement chiite du Hezbollah, a servi pour le lancement de roquettes lors de la guerre de l'été 2006 entre le Hezbollah et Israël. Conformément à la résolution 1701 du Conseil de sécurité, la surveillance de la zone vise à empêcher la reprise des hostilités et le réarmement des groupes armés, et à appuyer le déploiement d'une brigade libanaise entre le fleuve Litani et la ligne bleue de cessez-le-feu.
Avant que le convoi de véhicules blindés légers, aux couleurs de l'ONU, ne s'engage sur ces routes de crête, jalonnées des drapeaux jaune et vert du Hezbollah et du parti chiite Amal, les consignes sont données. "La situation en Syrie peut nous affecter à tout moment. Prenez cela en compte", intime le chef de patrouille à ses huit hommes.
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