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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 19:54
"les choix de défense dans un environnement budgétaire contraint" à Sciences Po (19 nov.)


17/11/2014 Ministère de la Défense

 

Organisé conjointement par l'OED (SGA/DAF) et Sciences Po en présence du ministre et de ses grands subordonnés

 

De façon à stimuler les échanges dans le domaine de l’économie de la défense, l’OED organise désormais chaque année un événement public. En 2013, un colloque ayant pour titre « Economie et choix stratégiques de défense » s’est tenu à l’école militaire en partenariat avec HEC et l’IRSEM. 

 

Le mercredi 19 novembre 2014 se tiendra un grand débat à Sciences Po, en présence du ministre, du major général des armées, du délégué général pour l’armement et du directeur des affaires financières sur "les choix de défense dans un environnement budgétaire contraint".

 

A un moment où le Parlement doit se prononcer sur l’exécution de la loi de programmation militaire, l’enjeu de ce débat est de partager les points de vue et les analyses sur les orientations prises ou envisageables pour rendre compte à la fois des ambitions stratégiques et des contraintes économiques. Seront notamment abordés les arbitrages en matière de programmes d’armement, les choix capacitaires, les externalisations, les conditions de maintien des compétences (tant en interne au ministère qu’au sein de l’industrie) ou encore les opérations extérieures.


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L’Observatoire Economique de la Défense (OED) fait partie de la Direction des Affaires Financières (DAF) au sein du Secrétariat Général pour l’Administration du ministère de la Défense.

Service statistique ministériel, l’OED remplit une mission à la fois de nature statistique et économique. Il collecte, rassemble et synthétise l’information utile aux autorités du ministère et engage des études économiques sur l’ensemble des domaines d’intervention du ministère (contrats d’armement, analyse industrielle, impacts des efforts de défense, externalisations, ressources humaines, etc.). L’objectif poursuivi est d’éclairer les décideurs, tant publics que privés, en leur fournissant l’information adéquate ainsi que des clés de lecture des mécanismes économiques à l’œuvre dans les opérations envisagées ou en cours.

Pour remplir ses missions transversales à tous les services du ministère, l’OED dispose de compétences originales structurées autour de statisticiens de l’INSEE et de docteurs en économie.


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2 questions à Christian Calzada, chef de l’OED :


La question du poids économique de la Défense dans notre pays revient régulièrement et plus particulièrement en période de réorganisation territoriale. Peut-on le mesurer et si oui comment ?

 

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Le budget 2014 du ministère de la Défense avec 42,2 Mds €, représente 13,8 % du budget général de l’Etat et compte près de 279 000 agents. Il finance en moyenne 15 % de la R&D publique. Le ministère est également le premier acheteur et premier investisseur public en France. Il alimente également par ses achats, 26 000 entreprises en France, pour un montant de 14,5 Mds € en 2013. 9 entreprises sur dix sont des PME. A ces achats s’ajoutent ceux réalisés par les grands maîtres d’œuvre industriels auprès des PME / ETI, soit 20,2 Mds € en 2012. Enfin les entreprises de la Base industrielle et technologique de défense réalisent un quart des exportations totales françaises. On estime à 165 000, les emplois directs et indirects générés par les efforts de défense en France.

 

Il y a encore peu de recherches universitaires sur l’économie de défense, pourquoi et comment souhaitez-vous développer ces relations ?

 

Il n’existe pas « d’économie de la défense » au sens strict du terme mais plutôt un domaine qui constitue un cas d’application des outils développés par la science économique. En France et ce contrairement à d’autres pays, les travaux en « économie de la défense » restent dispersés et peu référencés dans les revues internationales. « L’économie de la défense » manque de représentation et de structuration. Et pourtant la défense mérite toute l’attention des économistes et ce au regard des montants investis et des mutations majeures qui ont marqué la défense depuis les années 80 (professionnalisme, nouvelles missions, externalisation, dualité, etc.). L’OED a pour vocation à contribuer à la diffusion d’une culture économique de la défense originale et féconde en entretenant des contacts étroits avec les décideurs publics et privés. L’OED couvre un vaste éventail de thématiques et reste la référence dans un vaste ensemble de domaines (économie industrielle, politiques publiques, commerce international, etc.). Par les conférences et séminaires qu’il organise ou auxquels il participe, il est un lieu d’échange privilégié entre acteurs. Il permet également la rencontre entre chercheurs et praticiens sur les grandes questions économiques d’actualité. Il assure ainsi la diffusion d’une meilleure culture économique dans son domaine. Son action s’oriente également vers le développement de programmes de formation permettant aux professionnels d’acquérir la maîtrise des instruments de l’analyse économique contemporaine.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 18:50
Séminaire HEC à l'Ecole navale

Un officier élève de l'Ecole navale met en pratique ses connaissances en matelotage au profit d'une élève d'HEC Entrepreneurs, lors des ateliers FPC . © F.Lucas - Marine nationale

 

17/11/2014 Marine nationale

 

Du 12 au 15 novembre 2014, pour sa 11 ème édition, l’École navale a accueilli 96 élèves d’HEC Entrepreneurs, pour un séminaire commun avec la promotion École navale 2013 sur le thème: «Le leadership en situation de crise».

 

Après l’allocution d’ouverture du contre-amiral Philippe Hello, commandant l’École navale, et de Bernard Ramanantsoa, président général du groupe HEC Paris, de nombreux intervenants ont pu faire profiter aux élèves de leur expérience dans leurs domaines de compétences respectifs, dont monsieur Frédéric Sanchez, président du Directoire du Groupes Fives et parrain de la promotion HEC 2014, et monsieur Patrick le Lay, ancien PDG de TF1.

 

Côté Marine, le vice-amiral Franck Baduel, ancien chef du centre de planification et de conduite des opérations (CPCO), ainsi que le lieutenant-commandant Santrian, appartenant à la Royal Navy et commandant la « Royal Naval Leadership Academy », se sont exprimés lors de conférences centrées sur le leadership en opérations.

 

Séminaire HEC à l'Ecole navale

Les élèves d'HEC Entrepreneurs progressent sur le parcours du combattant de l'Ecole navale lors de leurs ateliers FPC (Formation Pratique au Commandement). © F.Lucas - Marine nationale

 

Durant trois jours, les élèves ont été mis en situation pratique et théorique, à travers des ateliers de formation au commandement et des conférences sur le leadership et le management en situation de crise. Les étudiants ont pu comparer leur méthode au regard de leur aspiration commune, celle de diriger à un fort niveau de responsabilités.

 

Séminaire HEC à l'Ecole navale

Conférence de l'Amiral Philippe Hello, commandant l'école navale et le groupe école du Poulmic, lors du séminaire HEC Entrepreneurs à l'Ecole navale, le 13 novembre 2014. © CG.Quillivic - Marine nationale

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 17:58
3e Forum DGA Innovation et bilan du Pacte Défense PME


17/11/2014  Ministère de la Défense

 

Jean-Yves Le Drian inaugurera à l’École polytechnique le 3e Forum DGA Innovation et présentera le bilan du Pacte Défense PME

 

La troisième édition du Forum DGA Innovation se déroulera le 20 novembre 2014 sur le campus de l’École Polytechnique à Palaiseau (Essonne). C’est le lieu privilégié d’échanges et de rencontres professionnelles des acteurs clés de l’innovation et de la recherche de Défense.
C’est aussi l’occasion de présenter des réalisations concrètes de l’action menée par la DGA dans le cadre du Pacte Défense PME lancé par Jean-Yves Le Drian à l’occasion de la première édition du Forum.

 

Le Pacte Défense PME :

Présenté le 27 novembre 2012 par le ministre de la Défense, le Pacte Défense PME propose une stratégie globale en faveur des Petites et moyennes entreprises (PME) et des Entreprises de taille intermédiaire (ETI) situées dans le champ économique du ministère.

Il concerne aussi bien le secteur de l’armement (acquisition et soutien des matériels) que les achats hors armement (achats de fournitures, travaux, services nécessaires au fonctionnement du ministère de la Défense).

Ses quatre grands axes :

-  une meilleure prise en compte des PME dans les stratégies d’achat du ministère de la Défense ;

-  une consolidation dans la durée du soutien financier à l’innovation des PME ;

-  des engagements réciproques entre le ministère et les maîtres d’œuvre industriels de l’armement pour favoriser la croissance des PME ;

-  une action renforcée en région.

 

Le Forum DGA Innovation :

L’édition 2014 rassemblera 850 acteurs : patrons de PME et ETI, représentants des grands maîtres d’œuvres, responsables de laboratoires, acteurs de la recherche académique, doctorants.

 

 Programme :

8h30 : Ouverture du village exposition
10h30 - 12h00 : Speed dating « innovations et opportunités industrielles »
12h00 - 13h30 : Buffet autour des stands
   
13h30 - 15h30 : Ateliers / village exposition
14h30 : Arrivée de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense
14h30 – 15h30 : Visite des stands par le ministre de la Défense
  Point presse du ministre de la Défense
15h30 - 16h30 : Discours de Laurent Collet-Billon, délégué général pour  l’armement
  Discours du ministre de la Défense
  Remise du label fournisseur responsable par Jean-Lou Blachier, médiateur national des marchés publics, au ministre de la Défense
  Remise par le ministre de la Défense des prix récompensant les inventeurs de projets industriels innovants
16h30 : Départ du ministre de la Défense
   
16h30 - 18h00 : Village exposition
18h00 : Clôture du Forum DGA Innovation
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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 17:56
Un exercice d'évacuation réaliste à Angers

 

17/11/2014 Camille Pégol - Armée de Terre

 

Lors de l'exercice ANGERS qui s'est déroulé du 12 au 15 novembre, le montage d'un centre de regroupement et d'évacuation de ressortissants (CRER) a été effectué.

 

Organisation et coordination étaient les mots d'ordre de la manoeuvre, durant laquelle les militaires ont travaillé avec la population civile.

 

Grâce à un accord entre le 6e régiment du génie (6e RG) et l'Académie d'Angers, les hommes du 121e régiment du train (121e RT) ont pu s'entraîner dans des conditions réalistes avec des élèves du département et leurs parents accompagnateurs. Une expérience qui a été très appréciée par le jeune public.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 17:55
SNA Perle en océan Atlantique – juillet 2012 photo Marine Nationale

SNA Perle en océan Atlantique – juillet 2012 photo Marine Nationale

 

17 novembre 2014. Portail des Sous-Marins

 

Mercredi 19 novembre à 10h, le capitaine de vaisseau Stéphan Meunier, commandant l’Escadrille des sous-marins nucléaires d’attaque, fera reconnaître le capitaine de corvette Cyrille Pungier comme nouveau commandant du SNA « Perle » équipage bleu.

 

La prise de commandement se déroulera au monument des sous-mariniers de Toulon, sur le site de la Tour Royale, en présence des familles, d’associations et d’anciens sous-mariniers.

 

Source : Marine Nationale (CECMED)

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 17:55
Baptême de la promotion Commandant Fayolle (Ecole de l'Air 2009)

Baptême de la promotion Commandant Fayolle (Ecole de l'Air 2009)


17 nov. 2014 Armée de l'Air

 

Le général Francis Pollet, commandant les écoles d'officiers de l'armée de l'air, explique le regroupement des écoles en une école unique, l'École de l'air, où les élèves-officiers, d'origines variées, seront désormais réunis dans une promotion unique.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 17:55
Observatoire du Monde Cybernétique


08/10/2014 Observatoire du Monde Cybernétique

 

Les lettres mensuelles et trimestrielles de l'Observatoire du Monde Cybernétique proposent une veille et des analyses qui couvrent l'ensemble des enjeux liés au cyberespace, qu’ils soient politiques, diplomatiques, militaires, économiques ou technologiques. Par la Compagnie Européenne d’Intelligence Stratégique (CEIS).

 

Lettre mensuelle n°33, septembre 2014

 

Lettre mensuelle n°32, août 2014

Lettre mensuelle n°31, juillet 2014

Lettre mensuelle n°30, juin 2014

Lettre mensuelle n°29, mai 2014

Lettre mensuelle n°28, avril 2014

Note 1er trimestre 2014

Lettre mensuelle n°27, mars 2014

Lettre mensuelle n°26, février 2014

Lettre mensuelle n°25, janvier 2014

 

Note 4ème trimestre 2013

Lettre mensuelle n°24, décembre 2013

Lettre mensuelle n°23, novembre 2013

Lettre mensuelle n°22, octobre 2013

Note 3ème trimestre 2013

Lettre mensuelle n°21, septembre 2013

Lettre mensuelle n°20, août 2013

Lettre mensuelle n°19, juillet 2013

Note 2ème trimestre 2013

Lettre mensuelle n°18, juin 2013

Lettre mensuelle n°17, mai 2013

Lettre mensuelle n°16, avril 2013

Note 1er trimestre 2013

Lettre mensuelle n°15, mars 2013

Lettre mensuelle n°14, février 2013

Lettre mensuelle n°13, janvier 2013

 

Note 4ème trimestre 2012

Lettre mensuelle n°12, décembre 2012

Lettre mensuelle n°11, novembre 2012

Lettre mensuelle n°10, octobre 2012

Note 3ème trimestre 2012

Lettre mensuelle n°9, septembre 2012

Lettre mensuelle n°8, août 2012

Lettre mensuelle n°7, juillet 2012

Note 2ème trimestre 2012

Lettre mensuelle n°6, juin 2012

Lettre mensuelle n°5, mai 2012

Lettre mensuelle n°4, avril 2012

Note 1er trimestre 2012

Lettre mensuelle n°3, mars 2012

Lettre mensuelle n°2, février 2012

Lettre mensuelle n°1, janvier 2012

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 17:45
Cérémonie de fin de formation du Cours des futurs commandants d’unité

 

15 novembre 2014 par mhq pao – EUTM Mali

 

La cérémonie de fin de formation du Cours des futurs commandants d’unité a eu lieu le 13 novembre 2014 à Koulikoro.

 

Après avoir commencé il y a 11 semaines, la formation des officiers maliens s’est déroulée de telle sorte que ce projet – pilote pour l’EUTM  Mali peut être considéré comme pleinement réussi. Tous les stagiaires ont été jugés aptes à commander une unité. La formation et l’évaluation ont été effectuées par les instructeurs européens, secondés par une douzaine d’instructeurs maliens. Tous, formateurs et stagiaires, ont été félicités pour leur très bon état d’esprit, leur assiduité et leur comportement.

 

Pendant la cérémonie, les officiers maliens ont reçu un diplôme qui sanctionne les compétences acquises.

Cérémonie de fin de formation du Cours des futurs commandants d’unitéCérémonie de fin de formation du Cours des futurs commandants d’unité
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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 16:56
BPC Vladivostok photo Marine Nationale

BPC Vladivostok photo Marine Nationale

 

17 nov 2014 Marine & Océans (AFP)

 

Bruxelles - La France "est suffisamment créative" pour trouver un moyen de ne pas livrer les navires de guerre Mistral à la Russie, mais trouver preneur ailleurs, a estimé lundi le ministre ukrainien des Affaires étrangères Pavlo Klimkine.

 

L'opposition de Kiev à la livraison des deux bâtiments vendus par la France à la Russie en 2011 est "extrêmement claire", a affirmé M. Klimkine dans un entretien à l'AFP. "Le Mistral ne pourrait et ne devrait pas être livré à la Russie", a-t-il insisté, "aussi bien politiquement que par rapport à l'actuel code de conduite de l'UE", a ajouté le ministre en référence aux sanctions européennes qui interdisent toute exportation d'armes vers ce pays.

 

"Je pense que les autorités françaises, dans leur façon toujours créative et engagée, devraient trouver une solution pour livrer le Mistral à d'autres entités, afin d'assurer la sécurité et non la saper", a poursuivi M. Klimkine. "Je suis sûr que nos amis français trouveront une solution".

 

"Livrer le Mistral ne serait pas seulement un problème politique difficile, mais aussi un problème d'image pour les autorités françaises, car au sein de l'UE et au-delà, de nombreux pays considéreraient une telle livraison comme une atteinte à la sécurité européenne et globale", a-t-il encore déclaré.

 

Construits par les chantiers navals STX de Saint-Nazaire, les Mistral, vendus par la France à la Russie pour 1,2 milliard d'euros en juin 2011, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, sont au centre d'un imbroglio diplomatico-militaire depuis que le président français François Hollande a décidé début septembre de lier leur livraison à un règlement politique de la crise en Ukraine.

 

Vendredi, une source haut placée à Moscou avait sommé la France de livrer un premier Mistral avant fin novembre, sauf à s'exposer à de "sérieuses" demandes de compensation. Samedi, M. Hollande a assuré qu'il prendrait sa décision "en dehors de toute pression".

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 16:55
Défense antiaérienne : une compétence partagée

 

17/11/2014 Camille Pégol

 

Du 3 au 7 novembre, l’exercice ZOHAN a été organisé au large d’Hyères, sur l’île du Levant. Cet exercice interarmées a permis, grâce au soutien de la Direction générale de l’Armement, le déploiement de moyens de défense sol-air des trois armées.

 

La préparation s’est faite conjointement avec la frégate de défense aérienne Chevalier Paul de la Marine nationale, le système d’armes Crotale des bases aériennes de Mont-de-Marsan et d’Istres, et du 54e régiment d’artillerie (54e RA) sol-air de Hyères, avec sa batterie de commandement tactique et une section Mistral. La coordination et l’ordre des feux étaient assurés par le personnel du 54e RA, établi en poste de commandement.

 

Le but de cet exercice était de vérifier l'interopérabilité des moyens interarmées, dans le cadre de la défense antiaérienne, grâce à des procédures communes, en s’appuyant sur le réseau de transmission L16, commun aux trois armées.

 

Ainsi l’exercice ZOHAN a permis d’être plus efficient face à une menace aérienne.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 16:55
L’aéronautique navale prend la permanence opérationnelle


17/11/2014 Marine nationale

 

La base aéronautique de Landivisiau, par l’intermédiaire de sa flottille 12F, prend la permanence opérationnelle à partir du mercredi 18 novembre jusqu’au mardi 2 décembre 2014 pour la façade ouest du territoire. Elle poste pour cela, deux Rafale Marine et un troisième le week-end sur la base aéronautique navale de Lann-Bihoué.

Cette mission est normalement dévolue à l’armée de l’Air et émane directement du ministre de la Défense et du Premier ministre. La Marine nationale, avec ses Rafale, la prend alors à son compte une à deux fois par an ce qui permet le partage du calendrier.
La France étant découpée en plusieurs zones, la «chasse française» intervient pour protéger et sécuriser l’espace dès qu’un aéronef non autorisé est intercepté mais aussi pour porter assistance et secours aux aéronefs en difficulté.

Cette permanence opérationnelle permet la veille 24h/24h de l’espace aérien métropolitain, assure la continuité de la dissuasion nucléaire et intervient très rapidement dans les missions de service public.

La dernière permanence avait été assurée par la  flottille 11F du 20 février au 7 mars 2013.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 16:50
Drone de combat : pourquoi Londres n'a voulu s'engager que sur 2 ans avec Paris

Le futur drone de combat franco-britannique verra-t-il le jour ? (Crédits : Dassault Aviation)

 

17/11/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Le programme Système de combat aérien futur sera à la merci, fin 2015 ou début 2016, d'une revue stratégique de la part de Londres. En outre, les Britanniques ne peuvent pas tout montrer aux Français, en raison des coopérations entre Londres et Washington.

 

Un contrat à durée déterminée (CDD)... Dans l'aviation de combat du futur, les fiançailles entre Londres et Paris sont en quelque sorte un CDD de deux ans. "Nos homologues britanniques n'ont pas voulu s'engager sur une durée supérieure à deux ans s'agissant du contrat FCAS DP", une étude d'un montant de 150 millions d'euros portant sur la faisabilité du Système de combat aérien futur (SCAF), a expliqué au Sénat le délégué général pour l'armement (DGA), Laurent Collet-Billon.

Pourquoi ? Selon Laurent Collet-Billon, "les élections britanniques (au plus tard en mai 2015, ndlr) seront immédiatement suivies d'une revue stratégique, dont les conclusions pourraient être disponibles fin 2015 si c'est le camp conservateur qui l'emporte, mais pas avant fin 2016 en cas de basculement de majorité. Cette revue stratégique est l'occasion, au Royaume-Uni, de revenir sur le choix entre politique pro-européenne et politique pro outre-Atlantique. Je suis incapable de prévoir ce qui va passer".

 

Les Britanniques contraints de cacher la copie

La coopération entre la France et la Grande-Bretagne sera vraisemblablement parasitée par celle qu'entretient Londres avec Washington. "Certains points sont par ailleurs quelque peu compliqués, notamment en matière d'échanges de données très classifiées, une partie de celles-ci nous étant refusées par le Royaume-Uni au motif qu'elles proviennent de sources d'information qui ne sont pas la propriété du Royaume-Uni", a ainsi précisé le délégué général pour l'armement, dont les propos ont été tenus avant la signature du programme franco-britannique, FCAS DP, le 5 novembre.

Les informations que refusent de partager Londres "résultent de programmes que les Britanniques mènent avec les Américains, comme celui relatif au F35, et ne nous sont pas cessibles. Il faut donc mesurer l'incidence que cela peut avoir sur la mise en commun réelle des projets. On se donne deux ans pour obtenir la réponse". On est loin des discours positifs prononcés début novembre par les industriels et les responsables étatiques pour annoncer une coopération qualifiée d'historique dans l'aviation de combat. Outre BAE Systems et Dassault Aviation, font partie de l'équipe historique les deux motoristes Snecma et Rolls-Royce, et les deux électroniciens Thales et Selex UK.

 

Et l'Allemagne ?

Interrogé pour savoir s'il ne valait pas mieux de faire l'avion de sixième génération avec les Allemands, Laurent Collet-Billon a fait valoir que Berlin n'a "rien prévu" dans ce domaine. "C'est un vrai problème. Cela ne peut redémarrer, côté européen, que dans la mesure où l'Allemagne se dote d'une réelle politique en la matière. Tant que ce n'est pas le cas, on est face à un mur", a-t-il expliqué.

D'une façon générale, a-t-il jugé, "les sujets de coopération avec l'Allemagne sont aujourd'hui extrêmement faibles. On parle depuis des années d'une coopération autour des satellites d'observation, d'une énième version de drone franco-italo-allemand, et c'est tout". S'agissant du programme qui va succéder à Helios, Laurent Collet-Billon s'est montré très critique envers l'Allemagne. Notamment du programme CSO (Composante spatiale optique), destiné à succéder aux actuels satellites d'observation militaires Helios 2 utilisés par les forces armées françaises et ses partenaires (Allemagne, Belgique, Espagne, Grèce et Italie).

"Où en sommes-nous de la politique spatiale ? Nulle part ! On discute toujours avec l'Allemagne de la construction d'un troisième satellite CSO à son profit. La question tourne autour de ce que ce pays pourrait récupérer industriellement en retour. Des questions se posent, à l'infini, sur l'accès aux images et leur transmissibilité à des tiers. (...) L'Allemagne propose de construire un satellite intégralement réalisé par OHB, une société allemande..." Et selon le DGA, "plus on attend, et moins le choix d'un satellite de type CSO est pertinent. La technologie évolue, et on a donc presque intérêt à patienter deux ans de plus pour bénéficier d'une meilleure solution". Et de regretter que "la politique spatiale de défense est dans le même état que la politique spatiale civile".

 

Quelles coopérations avec la Grande-Bretagne ?

Pour Laurent Collet-Billon, "nous sommes en train de tirer le bilan de l'accord franco-britannique. L'avancée sur les UCAV est réelle et importante.  il va maintenant falloir prendre la mesure effective de ce qu'on a mis « dans les tuyaux », savoir ce que cela nous a apporté, et connaître les liens politiques qui ont été créés par cette coopération".

Pour le missile ANL (Anti-Navire Léger), le programme a commencé. "Il est prévu que les Britanniques, au début, en financent le développement, avant que nous ne prenions la relève. Il n'est pas souhaitable que les choses s'arrêtent ; même si les états-majors ont estimé qu'ils n'en avaient pas besoin, ils seront bien contents d'en disposer". Quant aux VBCI, une expérimentation est en cours, mais l'infanterie britannique "n'en a pas besoin avant 2025. Je pense donc que la chaîne sera largement achevée d'ici là, puisqu'on assemble les derniers en ce moment". Laurent Collet-Billon reste donc sceptique sur un achat britannique.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 13:50
Discours du commandant de la Training Task Force

Discours du commandant de la Training Task Force

 

Nov. 15, 2014 by mhq pao – EUTM Mali

 

The final ceremony of the Coy Commanders Course took place on November 13, 2014 at Koulikoro.

 

After 11 weeks of training, this pilot project for EUTM Mali can be considered a success. All trainees were deemed able to command theirs units. Training and evaluation were conducted by European instructors, assisted by a dozen of Malian instructors. At the end, all trainers and trainees were praised for their engagement, diligence and behavior.

 

During the ceremony, the Malian graduating officers received theirs diplomas.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 13:50
Photos Michel Decourtit

Photos Michel Decourtit

 

14/11/2014 Jean-claude Carlier – MIL.be

 

Saviez-vous que, comme de coutume, l’URNOR (Union Royale Nationale des Officiers de Réserve) et l’URNSOR (Union Royale Nationale des Sous-Officiers de Réserve) organisent conjointement chaque année une compétition ?

 

C’est un événement se déroulant sur deux jours auquel peuvent participer tous les militaires de réserve appartenant à une unité ou un état-major. À côté des équipes belges participent également chaque année quelques équipes étrangères. La Suisse qui essaye de déléguer annuellement deux équipes, en est un acteur traditionnel. Mais aussi la France, l’Angleterre, l’Italie et la Pologne envoient régulièrement une délégation d’un à plusieurs compétiteurs.

 

La compétition se présente comme un concours où des équipes de 4 personnes s’affrontent dans différentes disciplines militaires. Une vingtaine d’épreuves sont littéralement parcourues à toutes jambes sur une journée et demie. Les épreuves sur chaque stand divergent beaucoup. Tant les connaissances militaires que la condition physique sont mises à l’épreuve. Les tests d’armement, de vision nocturne, de lutte anti-incendie, et de premiers soins en font régulièrement partie. De plus, chaque année, des tests spécifiques par composante y sont ajoutés auxquels l’unité d’appui organisatrice apporte sa petite touche personnelle. La solidarité et un esprit d’équipe sain sont les ingrédients indispensables à la bonne réussite de ces épreuves. L’équipe gagnante entre en considération pour l’obtention de la “coupe du Roi”. L’équipe qui se classe trois fois première d’affilée reçoit officiellement cette coupe en main propre du Palais et elle lui est acquise.

 

En 2014, la compétition a eu lieu les 23 et 24 octobre au sein du 1 Wing de Beauvechain. Le CRC Glons en est sorti grand vainqueur, tant pour l’équipe mixte (officiers, sous-officiers et volontaires de réserve) que pour le classement général. Quatre équipes étrangères ont participé cette année: deux équipes anglaises et évidemment deux équipes suisses.

 

Intéressés ? Prenez rapidement contact avec les associations nationales ou  surfez régulièrement sur le site web de la Défense. Les inscriptions doivent se faire directement auprès des associations nationales. Votre participation est considérée comme un rappel ordinaire et entre en ligne de compte pour le “minimum training”. Les autorisations de participation sont délivrées par la Direction de la Réserve Nationale.

Info@Reserve : Forts ensemble !
Info@Reserve : Forts ensemble !
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Info@Reserve : Forts ensemble !
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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 12:55
Renforcer la puissance navale française ? Privatiser les bases navales avancées

Carte remplie par le Fauteuil de Colbert. Les chantiers navals de Damen en vert sur la carte. source Mumuze.com - 2010.

 

10 novembre 2014 le Fauteuil de Colbert

 

Dans le cadre de notre série de billets sur Renforcer la puissance navale française, continuons à casser les codes et à renverser quelques tables. A priori, vous ne faites qu'encourager la démarche.

 

Aujourd'hui, il s'agit d'aborder rapidement une réflexion qui me tient à coeur : le réseau de bases navales avancées. Un navire qui est en mer n'est que la somme de différentes forces qui se rejoignent pour former un capital. Celui ne cesse de se dégrader à chaque jour de mer, entre les avaries et la consommation des différents combustibles.

Dans cette optique, un réseau de points d'appui est un multiplicateur de forces. Ceci, dans le sens où ils permettent à une force navale de se réapprovisionner et de se maintenir en condition opérationnelle. Plutôt que de représenter un navire comme un flux qui quitte son port-base et son lieu de mission, nous pouvons le représenter comme une somme de micro-flux. Plus ils sont nombreux, plus le capital opérationnel est haut.

 

Cependant, cette même optique suppose plusieurs choses. Premièrement, c'est la capacité à faire escale autant de fois qu'il est possible. Ce qui nous amène à deux considérations. D'une part, tous les ports ne sont pas amicaux à un navire de guerre. D'autre part, quand bien même ils le seraient, ils ne disposent pas tous des infractures nécessaires.

 

C'est pourquoi la réponse traditionnelle d'une puissance maritime au besoin d'étendre le rayon d'action de ses forces navales a été de disperser des bases navales de par le monde. Le soutien logistique d'une force navale n'est semble-t-il apparu que très tardivement (tout début du XXe siècle).

Malheureusement, la création d'un réseau de bases navales dans la zone d'influence de la puissance maritime considérée est un travail de très longue haleine. Que nous pensions aux Provinces Unies, à l'Espagne, à la France, à l'Angleterre, aux Etats-Unis ou à la Chine, cette entreprise stratégique nécessite plusieurs dizaines d'années, si ce n'est bien plus.

Concentrons nous sur l'exemple français. Encore récemment, à propos d'une fiche de lecture sur l'ouvrage de l'enseigne de vaisseau Mathieu Le Hunsec (" La Marine nationale en Afrique depuis les indépendances - 50 ans de diplomatie navale dans le Golfe de Guinée"), il était loisible de constater que la France n'avait  pas ou n'a pas voulu se donner les moyens d'avoir un réseau de bases navales à la hauteur de ses ambitions. Les points d'appui en Afrique n'avaient rien de comparables avec les arsenaux de la métropole. Ce qui gênait pour soutenir l'Empire, au point qu'un certain Raoul Castex n'écrivait pas moins qu'il fallait soit donner l'indépendance à l'Indochine, soit y construire une véritable base navale pour soutenir une force de 40 navires de guerres.

 

De facto, nous observons tous, aujourd'hui comme hier, que très grossièrement il y a deux catégories de points d'appui naval :

  • les noeuds fondamentaux du réseau, ils se situent près des détroits et autres carrefours stratégiques,
  • les redondances.

 

Cela nous amène à une constatation initiale. Des industriels, pour diverses raisons, constituent aujourd'hui des réseaux avec des points d'appui de par le monde. C'est le cas de l'entreprise navale hollandaise Damen mais aussi de la française DCNS.

 

L'une investit dans les entreprises de réparation navale et se sert de son réseau pour offrir des solution de MCO aux marines clientes de ses navires militaires (l'arrêt technique de la corvette SIGMA de la marine marocaine à Brest). L'autre vend surtout des navires militaires et s'implante par la suite pour soutenir des contrats quand ceux-ci comportent un volet soutien.

 

Actuellement, les contrats de MCO semblent se concentrer sur la capacité vendue par un industriel à entretenir un navire dans un port donné pour qu'il puisse être à "x" % de ses capacités.

 

A l'aune du réseau de chantiers navals de Damen (cf carte), une autre philosophie du MCO pourrait être abordée.

 

Premièrement, un industriel privé peut constituer un réseau de bases avancées. Il n'a pas à négocier avec le gouvernement d'un Etat car, semble-t-il, personne ne s'intéresse vraiment aux entreprises de réparation navale (surtout en France). 

 

Deuxièmement, ce réseau constitué peut offrir de nouvelles capacités en matière de MCO. Le contrat pourrait concerné non plus le seul soutien des systèmes et sous-sytèmes du navire mais bien sa capacité à durer le temps d'une mission. Dans ce cadre, pourquoi ne pas imaginer des solutions énergétiques innovantes comme :

  • un changement de bulbe d'étrave en cours de mission pour mieux s'adapter aux différents rythmes de la vie du navire ;
  • ou tout simplement un carénage rapide pour nettoyer la coque afin qu'elle demeure lisse et optimiser la consommation d'énergie tout au long de la mission (justement, une proposition de Damen Brest).

 

Ainsi, nous pourrions entrevoir la volonté allemande de projeter pendant deux ans ses frégates F125 sans retour au port base avec seulement des relèves d'équipage. Le navire ne reviendrait-il plus que pour les grands carénages et refontes ? La consommation d'énergie des navires serait réduite à hauteur des possibilités offertes pour maintenir les performances d'origines. Au final, les industriels pourraient vendre des jours de navigations et tenter d'en faire le diminuer le coût pour tout le périmètre hors équipage.

 

Dans le cas strictement français,les entreprises DCNS, Piriou, Eiffel peuvent prétendre à ces marchés qui sont bénéfiques avant tout pour elles. L'Etat pourrait "inviter" une entreprise comme CMA-CGM a expérimenté cette manière de faire pour une fraction de sa flotte.

 

Prenons l'exemple hollandais : Damen possède un chantier en Afrique du Sud, deux aux EAU et un à Singapour. C'est une belle couverture de l'Océan Indien, bien qu'incomplète. Ce qui nous amène à considérer qu'un industriel peut s'implanter dans des pays à hauts risques politiques, ce que ne peut pas toujours faire un Etat pour raisons diplomatiques. Imaginons qu'une entreprise française puisse implanter un chantier de réparation navale à Socotra (Yemen) ou dans le Nord de la Somalie.

 

L'intérêt de l'Etat réside dans la localisation géographique des sites. La dispersion de ces derniers dans les mains de plusieurs entreprises peuvent permettre de ne pas heurter les Etats locaux qui pourraient avoir l'impression d'être face à une simple société-écran. Enfin, l'Etat bénéficie d'une concurrence entre industriels et non pas d'une administration unique ayant les apparences du privé dans le cadre d'une concentration exagérée.

 

In fine, l'Etat pourrait recentrer sa Marine sur les noeuds fondamentaux d'un réseau où il est nécessaire de pouvoir soutenir la Flotte en toute indépendance. Les industriels de la navale militaire peuvent de leur côté fonder un réseau de bases avancées d'origine privée.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 12:55
« Défendre la France dans un environnement budgétaire contraint »

 

14/11/2014 Ministère de la Défense

 

Opérations extérieures de nos armées, programmes d’armement, stratégie de défense en 2020, cyberdéfense, formation des compétences : comment répondre aux ambitions stratégiques de notre pays face aux contraintes financières ? Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, s’exprimera devant les étudiants de Sciences Po et répondra à leurs questions en présence des grands subordonnés et des responsables du ministère de la Défense le mercredi 19 novembre 2014, à Sciences Po, 27 rue Saint-Guillaume, 75007 Paris.

 

En présence de :

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, à partir de 19h30

Général  d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées

Laurent Collet-Billon, délégué général pour l’armement

Hugues Bied-Charreton, directeur des affaires financières du ministère de la Défense

 

Animé par :

Ghassan Salamé, doyen de l’Ecole des Affaires internationales de Sciences Po

Jean-Michel Oudot, économiste à la direction des affaires financières du ministère de la Défense et enseignant à l’École des Affaires internationales de Sciences Po

 

Programme :

17h30   Accueil des journalistes

18h00    Introduction par Ghassan Salamé

18h15-19h30      Table-ronde entre le général d’armée Pierre de Villiers, Laurent Collet-Billon, Hugues Bied-Charreton, animée par Ghassan Salamé et Jean-Michel Oudot

19h30    Intervention du ministre de la Défense

19h45    Échanges avec la salle

20h15    Clôture du débat

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 12:55
Journées nationales de l’infanterie 2014

Les journées nationales de l'infanterie 2014 se dérouleront les 18 et 19 novembre à l'école de l'infanterie de Draguignan. Tous les pays alliés de l'OTAN y sont conviés et largement représentés.

 

17/11/2014 Ministère de la Défense

 

Les journées nationales de l’infanterie 2014 se dérouleront les 18 et 19 novembre à l’école de l’infanterie à Draguignan. Elles seront présidées par le général de corps d’armée Eric Margail, commandant le quartier général du Corps de Réaction Rapide - France, et se tiendront en présence du major général de l’armée de Terre Bertrand Houitte de la Chesnais.

 

Présidées par le général de corps d’armée Eric Margail, commandant le quartier général du Corps de Réaction Rapide - France, les journées nationales de l’infanterie (JNI) 2014 se dérouleront les 18 et 19  novembre à l’école de l’infanterie à Draguignan, en présence du major général de l’armée de Terre Bertrand Houitte de la Chesnais.

 

Manifestation annuelle de cohésion organisée au sein de la maison mère de l’Arme, les JNI sont l’occasion de présenter un point de situation de l’infanterie, de conduire des réflexions, de faire part de témoignages, et de diffuser des informations récentes sur une arme largement représentée sur tous les théâtres d’opération où nos armées sont déployées.

 

Ces JNI 2014 revêtent, pour la première fois, une dimension internationale puisque tous les pays alliés de l’OTAN y sont conviés et largement représentés (Suisse, Italie, Pays-Bas, Belgique, Espagne, Pologne, Grèce, Danemark, Allemagne, Royaume Uni, Etats-Unis mais également les Emirats Arabes Unis,…).

 

Ces journées sont pour tous l’occasion de réfléchir à l’avenir de l’infanterie et aux capacités et structures du régiment d’infanterie à l’horizon 2020, dans le cadre du Projet Armée de terre du général chef d’état-major de l’armée de terre.

 

Ces journées sont aussi l’occasion de développer, lors de deux colloques, deux thèmes d’actualité : la simulation dans l’infanterie, ou comment optimiser l’emploi des nouvelles technologies à des fins de formation et d’entraînement, ainsi que le retour d’expériences de l’opération Sangaris (République de Centrafrique).

 

Une cérémonie nocturne, organisée le mardi 18 novembre à 20h15, nous permettra de célébrer Saint Maurice, de commémorer les combats menés par l’infanterie en 1914 et de rendre hommage à nos camarades de l’arme décédés ou meurtris dans leur chair au cours de l’année écoulée.

 

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 12:30
Chammal : Mission de ravitaillement en vol par un avion ravitailleur C-135 FR

 

17 nov. 2014  Ministère de la Défense

 

Opération Chammal - Novembre 2014 - Mission de ravitaillement en vol par un avion ravitailleur C-135 FR au profit d'un chasseur F-16 belge et d'un avion de détection et de contrôle aéroporté français (E3-F) dans le ciel irakien

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 11:55
Colloque sur le soutien médico-social spécifique des militaires

 

14/11/2014 BCISSA - DCSSA

 

Le 17 novembre 2014, le Service de santé des armées (SSA) et la Caisse nationale militaire de sécurité sociale (CNMSS) organisent à l’École militaire un colloque sur le soutien médico-social spécifique des militaires, sous le haut patronage de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense.

 

Le colloque sur le soutien médico-social spécifique des militaires rassemblera l’ensemble des services du ministère de la Défense, des organismes qui lui sont rattachés et des partenaires qui se mobilisent et consacrent toute leur énergie au soutien du militaire et de sa famille.

 

Depuis plusieurs années, le soutien médico-social du militaire et de sa famille connaît une amélioration significative, dans la diversité des actions engagées et leur périmètre, sous l’action des différents acteurs de la communauté de défense. Ce colloque permettra de faire un état des lieux de l’accompagnement en santé du militaire et de sa famille, notamment lors de déploiement en opérations extérieures ainsi que de la prise en charge et de l’accompagnement du militaire blessé.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 11:55
Adapter la filière Défense aux enjeux du numérique

 

17/11/2014 Jean-Michel Palagos - Président Directeur Général de Défense Conseil International (DCI)

 

Depuis plus d'une dizaine d'années, la plupart des observateurs s'accordent pour voir dans le numérique une transformation importante dans le secteur de la défense : cyberdéfense, drones, robotique, numérisation de l'espace de bataille... La filière de la défense et de la sécurité doit, à l'instar d'autres filières, en tirer trois conséquences organisationnelles : favoriser l'innovation, développer la dimension de service et donner une ampleur nouvelle au rôle de l'Etat.

 

40% des aéronefs de l'armée américaine seraient aujourd'hui des drones, selon un rapport du Congrès. Dans les dernières années, les virus Stuxnet et Al-Shamoun, pour ne parler que d'eux, ont endommagé des infrastructures industrielles majeures. L'emploi très efficace des hélicoptères de l'ALAT (Aviation légère de l'armée de terre) en Côte d'Ivoire, en Libye ou au Mali a montré une fois encore l'importance du professionnalisme des personnels et le caractère essentiel des dispositifs de commandement et de maîtrise de l'information. Il n'y a qu'à voir la liste des exposants du salon Eurosatory qui s'est tenu à Paris en juin dernier et encore récemment en octobre au salon Euronaval, pour constater combien la sécurité terrestre et maritime n'intègre plus seulement des véhicules, des navires et des armes mais aussi les systèmes d'information, la simulation ou encore les drones. Certains des paramètres essentiels de la défense ont évolué sous l'impact du numérique. Les armées et l'industrie sont confrontées à des changements similaires, sous de nombreux aspects, à ce que vit l'industrie de la presse ou de l'énergie aujourd'hui, qui conduisent à poser une question majeure : comment prendre en compte les changements technologiques de façon efficace afin d'en faire bénéficier nos organisations ? En général, cette question se pose ainsi aux dirigeants d'organisations : ce que certains théoriciens du « management » ont appelé le dilemme de l'innovation : faut-il risquer d'affaiblir son métier traditionnel en développant des innovations dans le numérique, sachant que les effets positifs risquent de tarder avant que les effets destructeurs, mais aussi ceux encore plus prometteurs, de ce changement n'apparaissent ?

 

En fait, Shumpeter a théorisé dès le siècle dernier ces cycles d'innovation et leurs effets, mais ses théories reprennent une actualité évidente aujourd'hui. Trois grands leviers doivent permettre aux organisations de se développer dans ce nouveau contexte.

 

Le premier levier est la capacité à innover, ce qui suppose de mettre en place des organisations flexibles, capables de nouer des partenariats et de développer des démonstrateurs d'innovation. Suivant le secteur, ces nouvelles structures peuvent être plus ou moins organisées en réseau et plus ou moins séparées des structures traditionnelles. Les start-ups et PME de l'écosystème peuvent être intégrées dans le travail d'innovation, sur le mode de l'open innovation, mais aussi dans des clusters ou des pôles de compétitivité. Chez Google ou Microsoft, pour un collaborateur direct on peut trouver une dizaine de personnes dans des start-ups partenaires. Dans le secteur de la défense, plusieurs milliers d'entreprises rassemblent quelques 165 000 salariés et près d'un tiers de leur chiffre d'affaires se réalise à l'exportation. Les partenariats sont plus que jamais essentiels, car les compétences et expertises doivent être imbriquées pour favoriser l'innovation.

 

Le deuxième levier est la dimension de service. La numérisation questionne la notion de produit au profit du système et de l'organisation. Il ne suffit pas de disposer d'une flotte d'hélicoptères de pointe. Il faut une organisation capable de disposer des pilotes et navigateurs les plus expérimentés, d'entretenir et faire évoluer le matériel et d'intégrer les véhicules dans l'espace de bataille afin d'en obtenir l'impact maximal. De même, en cyberdéfense, la question du facteur humain est cruciale, Tant les méthodes d'ingénierie sociale sont essentielles dans le cas de menaces persistantes avancées, les formes les plus pointues des attaques cybernétiques : dans le cas de Stuxnet, il a bien fallu des failles organisationnelles pour qu'un ou plusieurs opérateurs insèrent à leur insu le virus dans les équipements informatiques des cibles, probablement au moyen de clés USB. Le monde numérique, qui donne souvent le sentiment d'être dominé par la technique, est donc avant tout un monde de la formation, de l'assistance et de l'organisation humaine.

 

Enfin, le troisième enjeu de la révolution numérique est de repenser le rôle de l'Etat. Celui-ci est appelé à jouer un rôle fondamental. Dans « The Entreprenarial State », l'économiste Mariana Mazzucato souligne ainsi que les composants essentiels des produits Apple comme l'Iphone ou l'Ipod sont issus de travaux de recherche publique. Le protocole http et la fameuse roue permettant de sélectionner les musiques de l'Ipod ? Des recherches du CERN. Le microprocesseur et le micro disque dur ? Des travaux financés par l'agence de défense DARPA. L'écran tactile ? Des recherches des ministères américains de l'énergie et de la défense. Chacun connait aussi l'origine de l'internet et du GPS. Apple a su avec brio et un réel sens marketing, intégrer différentes briques créées et développées dans des instances publiques. Ceci ne remet pas en cause l'efficacité des industriels ou l'impact de la recherche privée, notamment dans le secteur de la défense, mais permet de rappeler le rôle que peut avoir l'Etat dans la construction de systèmes et de savoir-faire décisifs. Le rôle des agences publiques militaires et les liens qu'elles peuvent tisser avec les industriels sont donc décisifs pour les années à venir. Ces fertilisations croisées entre public et privé doivent, plus que jamais, être encouragées.

 

Le numérique est donc en train de transformer le secteur de la défense. Cette transformation sera réussie, à condition que les organisations s'ouvrent à l'innovation et aux services, mais aussi que les organisations publiques jouent pleinement leur rôle.

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 11:55
Les forces terrestres et le cyberespace comme nouveau champ de bataille

 

06/11/2014 CDEF/DREX/Mme Élodie SIMON

 

Mai 2014 -  La cyberdéfense constituant désormais une dimension importante dans les conflits actuels, il devient nécessaire de s’interroger sur les vulnérabilités propres aux forces terrestres dans le contexte de la montée en puissance de la conduite d’opérations militaires dans le cyberespace.

 

En temps de paix comme en temps de guerre, les attaques cybernétiques sont d’ores et déjà une réalité pour les États, pour leurs structures civiles et militaires. Face aux menaces qui pèsent d’ores et déjà sur les réseaux informatiques, au regard de la numérisation du champ de bataille et de l’évolution des technologies de l’information, le cyberespace constitue désormais une dimension importante dans les conflits actuels. Pour les forces armées, il s’agit dorénavant d’être capable de maîtriser les réseaux, c’est à dire de gérer l’information, de la sécuriser et d’assurer la capacité à opérer.

 

Or, même s’il n’existe pas encore actuellement de consensus sur la définition de la cyberguerre - résumée pour le moment à l’ensemble des actions militaires visant à la maîtrise du cyberespace -, on considère généralement qu’elle englobe la lutte informatique active, la sécurité des systèmes d’information et la guerre électronique tout en comprenant des zones de recouvrement avec le renseignement, les opérations psychologiques, et les opérations d’information.

 

En France plus spécifiquement, le concept regroupe trois piliers : la défense active en profondeur des systèmes d’information, la capacité de gestion de crise cybernétique et enfin la capacité de lutte et de conduite d’opérations dans le cyberespace.

 

Depuis l’adoption d’un schéma directeur, d’un concept interarmées définissant le cadre général de la cyberdéfense et une doctrine interarmées détaillant les fonctions et moyens de la cyberdéfense la France considère la cyberdéfense comme l’une de ses priorités en matière de Défense.  Il est donc nécessaire de questionner la place et les prérogatives des forces terrestres dans ce maillage.

 

Cette étude vise donc à s’interroger sur les vulnérabilités propres aux forces terrestres dans le contexte de la montée en puissance de la conduite d’opérations militaires dans le cyberespace, sur la position des forces armées françaises vis-à-vis des menaces cybernétiques, sur le rôle des apports de la guerre cybernétique à un affrontement conventionnel. En résumé, quel rôle l’armée de Terre peut-elle ou doit-elle jouer dans le cadre la guerre cybernétique ?

 

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:56
1914/2014. Coalitions et innovations, deux impératifs d’une armée moderne

 

04/11/2014  -CDEF/Communication

 

Le 11e colloque de doctrine annuel de l’armée de Terre, organisé par le Centre de doctrine d’emploi des forces, aura lieu le mercredi 3 décembre 2014  à partir de 14h00 à l’Assemblée nationale.

 

Matrice de la guerre moderne, le premier conflit mondial a généré des défis nouveaux liés tant au commandement des opérations terrestres en coalition qu’aux innovations opérationnelles et technologiques décisives. Un siècle plus tard, qu’en est-il ?

 Le Concept d’Emploi des Forces (CEF 2013), référence doctrinale interarmées déclinée du Livre blanc, souligne que les marges de progrès résident notamment dans l’amélioration des synergies interalliées et l’innovation en matière d’emploi des forces.

Intitulé 1914/2014 Coalitions et innovations Deux impératifs d’une armée moderne , ce colloque propose, autour d’intervenants de haut niveau, une réflexion sur l’emploi des forces terrestres à travers l’engagement multinational et l’innovation opérationnelle et technologique.

Si le cadre multilatéral reste généralement celui de l’engagement des forces terrestres françaises, quels défis de commandement et quelles synergies génère-t-il ? Si la grande guerre a été le moteur de l’innovation militaire, quelles en sont aujourd’hui les sources et quelles perspectives offre-t-elle aux forces terrestres ?

1ère table ronde

Défis et synergies de l’engagement multinational

  • Les forces terrestres et l’OTAN : quel bilan ? Quelles perspectives ?
  • Interagir avec les acteurs militaires en Afrique : leçons de l’opération Serval
  • Les approches bilatérales : l’exemple de la composante terrestre du Combined Joint Expeditionary Force (CJEF)

 

2e table ronde

Défis de l’innovation

  • Regard historique : la guerre comme moteur de l’innovation
  • Vision prospective : quelles perspectives innovantes pour le combat terrestre ?
  • Armée de Terre 2020 : le rendez-vous Scorpion
  • Cent ans après les premiers chars, quelles innovations pour les forces terrestres?

 

Voir le programme

programme colloque adt 2014 (format pdf, 2 MB).

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:55
Symposium "entreprises et soutien pétrolier des forces armées"

 

31/10/2014 Service des essences des armées (SEA)

 

Le symposium 2014 du Service des essences des armées (SEA) s’est tenu le 14 octobre dernier sur le site de l’école militaire. Cette manifestation, présidée par le directeur central du SEA, l’ingénieur général Volpi, a rencontré un vif succès et a permis aux quelques 150 participants présents, d’échanger sur les savoir-faire, les besoins et les attentes respectifs du Service et des divers acteurs œuvrant dans la filière pétrolière.

 

Ce symposium, articulée autour de deux tables rondes, s’est révélé instructif et fut l’occasion d’inviter les professionnels à investir le champ du soutien des opérations où, comme l’a justement souligné le général Volpi, de nombreux espaces sont à occuper, et à réfléchir à de nouveaux partenariats sur la base de nos intérêts croisés et de nos compétences partagées. Ont été ainsi évoquées, entre autres, les synergies potentielles à développer en matière d’équipement, de logistique, de formation et de qualification des personnels.                  

 

Concluant cette rencontre, le général de corps d’armée Didier Castres, sous-chef d’état-major opérations de l’état-major des armées, a rappelé le rôle majeur et le caractère indispensable du soutien pétrolier des opérations militaires dont on exige une très haute réactivité et qui, avec d’autres fonctions de soutien, tend à être dimensionnant compte tenu des conditions d’engagement et du contexte budgétaire.

 

Opérateur unique du ministère de la Défense en charge du soutien pétrolier des forces armées, le SEA confère à la France une maîtrise complète et intégrée de l’ensemble des problématiques liées au soutien pétrolier faisant de lui une plateforme naturelle d’échanges entre tous les secteurs d’activité œuvrant directement ou indirectement dans la logistique pétrolière.

 

Aussi, avant d’inviter les participants à poursuivre les échanges autour d’un cocktail, le directeur central a-t-il suggéré de donner à tout cela un peu plus de consistance au travers d’un club SEA – partenaires avec un premier projet de portée internationale à traiter… objet probablement d’une prochaine histoire.

 

Pour continuer les échanges : 
01 55 58 81 84 ou symposium-sea-entreprises@inet.essences.defense.gouv.fr

Symposium "entreprises et soutien pétrolier des forces armées"
Symposium "entreprises et soutien pétrolier des forces armées"
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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:50
Débat IRSEM - EUISS : L’UE à l’épreuve des nouveaux enjeux de sécurité


14/11/2014 IRSEM

 

L’Institut d’Etudes de Sécurité (EUISS) et L’Institut de Recherche Stratégique de l’Ecole militaire (IRSEM) organisent un débat à l’occasion de la parution de la version abrégée en français du Yearbook of European Security 2014 (EUISS) et du Paris paper «Le rôle du militaire dans l’action extérieure de l’UE» (IRSEM).

 

Ce débat intitulé ‘L’Union européenne à l’épreuve des nouveaux enjeux de sécurité’ se tiendra le jeudi 4 décembre 2014 à l’Amphithéâtre Louis de l’École Militaire.

 

Vous pourrez accéder aux détails du programme en cliquant sur le lien ci-joint :
  Programme

 

Merci de bien vouloir vous enregistrer en ligne ci-dessous :

ENREGISTREMENT EN LIGNE

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17 novembre 2014 1 17 /11 /novembre /2014 08:35
La FS Vendémiaire mouille à Da Nang

 

 

16 novembre 2014. Portail des Sous-Marins

 

La frégate de surveillance "Vendémiaire" basée à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) et commandée par le Capitaine de Frégate Hervé Siret et son équipage de 93 personnes, a jeté l’ancre samedi matin dans le port de Tien Sa de la ville de Da Nang pour une visite au Vietnam.

 

Référence : Vietnam +

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