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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 16:55
photo Defense Sud-Ouest

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20.10.2014 Défense Sud-Ouest

 

Le mardi 14 octobre, plus de 2500 militaires des régiments du Train se sont entraînés, sur le camp de la Courtine (23), sur le nouveau Porteur Polyvalent LOGistique (PPLOG) de l’armée de Terre. Objectif : apprendre à réagir en convoi à différents incidents auxquels ils peuvent être confrontés en opération.


Grâce à un scénario tactique prévoyant une attaque IED (improvised explosive device – engin explosif improvisé), les capacités du véhicule et du convoi ont été mises à l’épreuve et sollicité une réaction immédiate avec désengagement, dépannage, évacuation d’un blessé…
Le PPLOG, moderne et protégé, peut faire face aux agressions balistiques-mines-IED. Il est doté d’un système de géolocalisation et peut être armé pour assurer sa sûreté rapprochée.
Véritables outils de combat de la logistique, le véhicule a d’ores et déjà fait ses preuves sur les théâtres d’opérations extérieures, notamment dans le cadre de l’opération SERVAL, où il a été projeté pour la première fois en 2013

 

Reportage photos

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 16:30
photo EMA

photo EMA

 

23.10.2014 par Emmanuel Huberdeau

 

[...] Mercredi 22 octobre, pour la première fois durant l'opération Chammal, les Rafale ont fait usage de leur canon de 30 mm. Les appareils français ont tiré contre des fantassins du groupe Daesh en train d'attaquer une position tenue par l'armée irakienne à proximité de Falloujah. En raison de la faible distance séparant les assaillants et les défenseurs, l'usage d'une bombe a été jugé trop risqué. Les Rafale de l'armée de l'Air ont donc effectué des "passes canon" pour mettre fin à l'attaque des islamistes. [...]

 

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 14:51
La Défense au salon Euronaval 2014

 

23 oct. 2014 Ministère de la Défense

 

Euronaval est le rendez-vous incontournable des acteurs de l'industrie navale et maritime. Il ouvre ses portes lundi 27 octobre 2014 pour cinq jours à Paris - Le Bourget. Le ministère de la Défense sera présent lors de ce salon international.

Suivez les actualités du salon sur les réseaux sociaux du ministère de la Défense : - Facebook : Defense.gouv ; - Twitter : @Defense_gouv #Euronaval.

Plus d'informations sur www.euronaval.fr

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 14:45
Barkhane : Point de situation du 23 octobre

 

23/10/2014 Sources : État-major des armées

 

Point de situation sur les opérations de la force Barkhane, engagée dans la bande sahélo-saharienne (BSS), du 16 au 23 octobre 2014

 

La situation sécuritaire est restée globalement calme ces derniers jours dans la zone d’action de la force Barkhane.

 

Du 12 au 19 octobre 2014, la force Barkhane a participé, en appui des forces de défense et de sécurité maliennes (FDSM) et de la MINUSMA, à une opération de contrôle de zone dans les régions du Gourma et d’Ansongo, au Mali. Cette opération, sous commandement malien, avait pour but d’appuyer les FDSM dans leur lutte contre les groupes armés terroristes. Elle a démontré leur capacité à coordonner des actions conjointes sur plusieurs secteurs.

 

Durant la même période, une opération menée le 17 octobre à Kidal a permis la capture de trois individus impliqués dans l’attaque du camp de la MINUSMA du 7 octobre, ayant coûté la vie à un soldat sénégalais. Lors de cette opération, un stock important d’armements et de munitions a été retrouvé au domicile d’un individu impliqué directement dans cette attaque.

 

Sur le plan logistique, deux rotations d’Antonov 124 ont permis cette semaine l’acheminement à Gao du matériel afférent au futur détachement Caïman.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

Barkhane : Point de situation du 23 octobre
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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 14:45
Sangaris : point de situation du 23 octobre

 

23/10/2014 Sources : État-major des armées

 

Point de situation sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République centrafricaine, du 16 au 23 octobre 2014

 

Le 18 octobre 2014, un Antonov 124 a acheminé le nouveau porteur polyvalent terrestre de l’armée de Terre sur l’aéroport international de Bangui. Il est le premier des deux véhicules de ce type qui seront déployés sur le théâtre d’opération centrafricain au sein du dispositif de la force Sangaris.

 

Au 20 octobre, 10 véhicules blindés de combat d’infanterie (VBCI) étaient déployés dans le couloir central, entre Sibut et Dékoa. Les deux derniers véhicules, toujours à Bangui, devraient rejoindre le couloir central d’ici la fin de la semaine. Parallèlement, une compagnie du 1er régiment de tirailleurs (1erRTIR), achève sa bascule dans l’Est du pays.

 

Sur le plan sécuritaire, la situation s’est stabilisée suite au pic de violence survenu la semaine dernière à Bangui. Le groupement tactique interarmes (GTIA) Picardie a poursuivi ses patrouilles dans différents arrondissements de la capitale sans rencontrer de difficulté.

 

Dans l’Est, la situation reste tendue et sous surveillance.

 

A Dekoa, la force Sangaris a procédé le 13 octobre au recensement de 25 miliciens ex-Séléka cantonnés. Une cache d'armes a été découverte à proximité de leur cantonnement, permettant à la force de saisir de l'armement et de nombreuses munitions.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 700 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission onusienne.

Sangaris : point de situation du 23 octobreSangaris : point de situation du 23 octobre
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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 12:55
L'inquiétant cri d'alarme du Chef d'Etat-Major des Armées

 

22-10-2014 Par Vincent Lamigeon – Challenges.fr

 

Invité à l'Assemblée nationale par la commission de la défense, Pierre de Villiers les a avertis qu'il n'y avait "plus de gras" et qu'on s'attaquait maintenant "aux muscles".

 

"Nous payons le prix du sang. Nous attendons une légitime solidarité pour les coûts financiers." C’est un véritable cri d’alarme qu’a adressé le chef d’état-major des armées (CEMA) Pierre de Villiers devant les députés de la commission de la défense de l’Assemblée nationale le 7 octobre, dont le compte-rendu vient seulement d’être publié. Si le budget de 31,4 milliards d’euros en 2015 pour la défense a été confirmé dans le projet de loi de finances 2015, le CEMA affirme craindre "l’infiltration rampante, le grignotage progressif de nos ressources financières". "J’ai besoin des ressources 2015 en temps et en heure, assure Pierre de Villiers. Il n’y a plus de gras dans nos armées, on attaque le muscle. C’est mon devoir de vous le dire."

De la part du chef d’état-major des armées, ce cri du cœur interpelle. Pourquoi cette sortie maintenant? L’armée française, souligne le CEMA, est mise à rude contribution par les engagements en cours: "20.000 militaires déployés hors métropole, dont 8.000 au profit de 27 opérations sur quatre continents, dans les airs et sur tous les océans", résume-t-il. Et les décisions politiques récentes ont encore accru la pression sur les forces: "Mi-septembre, en moins de deux semaines, nous avons ouvert trois nouveaux théâtres de nature bien différents : l’Irak, l’Ukraine avec l’OSCE, Ebola avec notre participation, en cours de définition, à la lutte contre ce fléau déstabilisateur de l’Afrique de l’Ouest", rappelle Pierre de Villiers.

 

Une masse salariale en baisse de 2,1%

L’armée française serait-elle en surchauffe ? S’il assure que le dispositif militaire français reste "considéré par nos alliés" et "craint par nos adversaires", le successeur de l’amiral Edouard Guillaud n’est pas loin de la penser. Il donne ainsi l’exemple d’une chirurgienne de 32 ans qui a participé, en 25 mois, à cinq opérations extérieures de 2 à 3 mois chacune, en plus de son travail en hôpital militaire. L’état des hélicoptères français au Sahel est aussi évoqué, avec un taux de disponibilité de moins de 50%.

 

Le message est clair: l’armée apporte déjà son écot au redressement des finances publiques, elle ne pourra guère faire plus. Les effectifs des forces françaises? Un quart des postes du ministère auront été supprimés de 2009 à 2019. 7.500 postes sont encore détruits en 2015, soit 60% des suppressions d’emplois au sein de l’Etat. Pierre de Villiers souligne aussi l’important effort de "dépyramidage des effectifs", marqué par la suppression de 1.000 postes d’officiers. La masse salariale a baissé de 2,1% en 2014, souligne le CEMA, et les effectifs de l’état-major des armées ont fondu d’un tiers en deux ans, de 900 à 600 personnes.

 

Des ravitailleurs vieux des 50 ans

Les économies de fonctionnement ? Pierre de Villiers n’y croit pas non plus. "Que les choses soient dites, il n’y a plus de gras dans nos armées, si toutefois il y en a eu. J’invite tous ceux qui ne sont pas convaincus à aller voir les conditions de travail et de vie de nos soldats." Le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian avait évoqué le 1er octobre un plan d’urgence lié aux "infrastructures vie" (hébergement et restauration), pour traiter les 700 points noirs identifiés dans les garnisons, nécessitant un investissement de 560 millions d’euros. 310 opérations sont déjà programmées, pour un coût de 67 millions d’euros.

Il n’y pas plus de gras dans les commandes de matériel, assure le CEMA. "Nos ravitailleurs actuels ont plus de 50 ans, souligne le général de Villiers. Ils datent du début des 1960, tout comme les avions Caravelle. Qui accepterait aujourd’hui de voler en Caravelle?" Idem pour les blindés projetés en Centrafrique, qui ont 40 ans, de même que les hélicoptères Puma, à peu près du même âge.

 

La DGA peine à payer ses fournisseurs

Conséquence : le budget de défense devra être respecté à l’euro près, plaide le CEMA. Le surcoût lié aux opérations extérieures doit être pris en charge par la réserve interministérielle de précaution, comme le prévoit l’article 4 de la loi de programmation militaire, assure Pierre de Villiers. Les ressources exceptionnelles (REX), 2,3 milliards d’euros en 2015, doivent être sanctuarisées, et le dégel des crédits doit être décidé dès que possible. De fait, la Direction générale de l’armement peine déjà à payer ses fournisseurs en temps et en heure: le report de charges du ministère (le montant des factures de l’année dont le paiement est repoussé à l’année suivante) atteignait 3,45 milliards d’euros fin 2013. Le spectre de la cessation de paiements de la DGA n’a plus rien d’une vue de l’esprit.

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 11:45
Licorne : dernier transfert d’autorité pour la force Licorne

 

22/10/2014 Sources : État-major des armées

 

Le 20 octobre 2014, le mandat 34 de la force interarmées Licorne, placé sous le commandement du colonel Paul Sanzey, chef de corps du 27e bataillon de chasseurs alpins (27e BCA) d’Annecy, s’est achevé après quatre mois de présence en République de Côte d’Ivoire.

 

Au cours d’une cérémonie sur la place d’armes du camp de Port-Bouët, le COMANFOR Licorne a passé le témoin au colonel Nicolas Chabut, chef de corps du 1errégiment de chasseurs (1er RCH) de Verdun, qui commandera le dernier mandat de la force Licorne. En effet, à compter du 1erjanvier 2015, Licorne laissera la place aux Forces Françaises en Côte d’Ivoire. Celles-ci ont vocation à devenir une base opérationnelle avancée et l’unique point d’appui logistique des forces prépositionnées en Afrique, sur la façade ouest-africaine.

 

En présence des autorités politiques et militaires, le COMANFOR Licorne a effectué une dernière revue des troupes avant de rendre les honneurs aux drapeaux puis de déposer une gerbe au pied du monument aux morts du camp de Port-Bouët.

 

Depuis le 18 juin 2014, le mandat 34 de la Force Licorne a accordé une place prépondérante à l’accompagnement de l’armée ivoirienne. S’inscrivant dans la continuité des mandats précédents, les militaires français ont conduit 47 détachements d’instruction opérationnelle et technique au profit de près de 900 militaires ivoiriens, ce qui représente plus de 6800 jours d’instruction. Des dizaines d’actions civilo-militaires ont également été conduites au profit de la population, en particulier dans le domaine de l’éducation : rénovation d’écoles, distribution de kits scolaires, etc….

 

Le colonel Nicolas Chabut, prenant le commandement du mandat 35 de la force Licorne est accompagné d'un état-major tactique, d’un escadron blindé et d’une compagnie de commandement et de logistique issus du 1erRCH, d’une compagnie d’infanterie armée par le 35erégiment d’infanterie (35eRI) de Belfort, d’un détachement du génie appartenant au 19eRG de Besançon, ainsi que de militaires issus de différentes entités, principalement dans le domaine du soutien.

 

Forte de ses 450 militaires, la force Licorne accompagne la réforme de l’armée ivoirienne, maintient une présence militaire en Côte d’Ivoire pour assurer la protection des ressortissants français et développe sa capacité de soutien et de renforcement au profit des opérations dans la sous-région.

Licorne : dernier transfert d’autorité pour la force LicorneLicorne : dernier transfert d’autorité pour la force Licorne
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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 11:45
FAZSOI : Exercice multinational Papangue 2014

 

22/10/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 12 au 17 octobre 2014, les forces armées dans la zone Sud de l’océan Indien (FAZSOI) ont, dans le cadre de leur entraînement opérationnel régulier, conduit l’exercice Papangue 2014à La Réunion. L’objectif était d’entraîner les FAZSOI à agir dans une opération interarmées et interalliés d’évacuation de ressortissants, en se déployant simultanément par voie maritime et aérienne.

 

A cette occasion, des éléments des forces malgaches, mauriciennes, seychelloises et comoriennes ont été intégrés au sein des unités des FAZSOI.

 

La Mauritius Police Force et les Coast Guard mauriciens ont notamment déployé un hélicoptère de type Fennec, un avion Dornier et le navire Gardian qui participait aux côtés de l’Albatros, à l’évacuation des ressortissants et à la sécurisation de l’espace maritime. Les moyens aériens français, notamment les C160 Transallet le Panther de la frégate de surveillance Nivôse, ont permis l’infiltration par aérolargage et poser d’assaut, de jour et de nuit, de soldats français et malgaches. Ils ont également été mis à contribution pour l’exercice d’évacuation des ressortissants.

 

L’armée malgache a engagé une centaine de soldats issus du 1er et 2e régiment de force d’intervention (2e RFI), intégrés aux forces du 2e régiment de parachutistes d’infanterie de Marine (2ème RPIMa). Une section mauricienne a quant à elle été insérée au détachement de Légion étrangère de Mayotte (DLEM). Des officiers de liaison comoriens et seychellois avaient été insérés dans l’ensemble des postes de commandement mis en œuvre.

 

Enfin, un centre de regroupement et d’évacuation des ressortissants (CRER) a été mis en place par le DLEM sur le Détachement Air 181. Celui-ci a permis l’accueil de plus de 200 personnes.

 

Au total, ce sont 800 hommes et femmes qui ont été déployés sur une grande partie de l’île de La Réunion.

 

« Cette manœuvre concrétise nos efforts pour préserver la sécurité et faire face aux défis que rencontrent les îles du Sud de l’océan Indien » a noté le général Franck Reignier, commandant supérieur des forces armées dans la zone Sud de l’océan Indien, lors de la cérémonie de clôture qui a rassemblé toutes les parties prenantes, françaises et étrangères, sur la place d’armes du 2eRPIMa à Pierrefonds.

 

Les FAZSOI garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis La Réunion et Mayotte. Elles constituent le point d’appui principal du théâtre « océan Indien » pour lutter contre de nouvelles menaces comme la piraterie ou l’immigration illégale, assurer la surveillance des zones économiques exclusives (ZEE) associées à l’ensemble des îles de la zone de responsabilité et conserver une capacité régionale d’intervention rapide.

FAZSOI : Exercice multinational Papangue 2014FAZSOI : Exercice multinational Papangue 2014
FAZSOI : Exercice multinational Papangue 2014
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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 09:50
Sea King a French Connection

 

22/10/2014 Royal Navy

 

A Sea King Mk4 from 845 Naval Air Squadron of the Commando Helicopter Force seized a rare opportunity to visit and train with the French Naval Ship, FS Dixmude.

This provided an excellent opening to exercise UK/FR interoperability, with both the UK and France having key roles to play in leading and shaping the defence and security of Europe.

Whilst on board, the crew enjoyed warm hospitality from the ship’s company, before conducting integration briefs and Deck Landing Training serials, prior to flying back home to RNAS Yeovilton.

FS Dixmude is an amphibious assault ship, similar in design to HMS Ocean, and she is the third of the Mistral class ships currently in the French Fleet. FS Dixmude recently took part in Operation Serval, ferrying elements of the 92ème Régiment d’Infanterie to Mali.

 

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 07:56
Des étrangers au service de la Liberté dans la Grande Guerre


24-09-2014 Musée de la Légion étrangère (Réf : 106 - 258)

 

Le 26 septembre 2014, au Musée de la Légion étrangère, une nouvelle exposition temporaire a ouvert ses portes sur le thème « Les Engagés volontaires pour la durée de la guerre ».

 

À l'occasion des commémorations du Centenaire de l’entrée dans la Première guerre mondiale, la Légion étrangère rend hommage aux légionnaires de 1914-1918, engagés volontaires pour la durée de la guerre, au cours d’une année baptisée « Des étrangers au service de la Liberté dans la Grande Guerre ». 

A ce titre, le musée de la Légion étrangère a conçu un cycle d'expositions temporaires dont le premier volet est présenté au public du 26 septembre 2014 au 5 avril 2015.

Au cours de l’exposition "Des étrangers au service de la Liberté - Les Engagés volontaires pour la durée de la guerre", le musée met en exergue des œuvres d'art, uniformes, armes, emblèmes et décorations, livres et documents tirés de ses collections ainsi que des fonds du centre de documentation de la Légion étrangère, rarement exposés ou spécialement restaurés à cette occasion.  Elle complète l’espace consacré au premier conflit mondial dans le parcours permanent du musée.

Le premier volet de cette exposition aborde essentiellement les évènements des années 1914 et 1915, l’enrôlement des volontaires, la formation des régiments de marche de la Légion étrangère et les premiers combats, en France et sur le front d’Orient.

Cette exposition se veut un hommage à tous les anonymes qui se sont battus pour la France, comme aujourd’hui encore nos légionnaires.

Informations utiles :

Le musée est ouvert du mercredi au dimanche, de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00.
Entrée gratuite et sans réservation.
Tout public.

Accès aux personnes à mobilité réduite.


Coordonnées:


email : musee.legionetrangere [at] gmail.com

n° téléphone : 04 42 18 12 41

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 07:55
L’École de l’air accueille des étudiants en mastère


1/10/2014 Armée de l'Air

 

Du 13 octobre au 14 novembre 2014, l’École de l’air accueille la quatrième promotion du mastère spécialisé « Aerospace Project Management ».

 

Composée de 26 étudiants français et étrangers, ainsi que de deux officiers de l’armée de terre, cette formation est réalisée en partenariat avec l’Institut Supérieur de l’Aéronautique et de l’Espace (ISAE) et l’École Nationale de l’Aviation Civile (ENAC) de Toulouse. Elle combine de façon originale la thématique « Management de projet / programme », avec une spécialisation milieu (aérospatial) et une très forte dualité civilo-militaire. Elle couvre  ainsi tout le spectre en matière de formation aux métiers de la gestion de projet en milieu aérospatial.

Durant leur séjour sur la base aérienne 701 de Salon-de-Provence, les stagiaires assisteront à une partie des cours académiques puis à des conférences. Ils visiteront également des sites industriels institutionnels tels que l’atelier industriel de l’aéronautique à Valence, Gamstat stationné à Cuers, Thales Alenia Space basé sur Cannes et Airbus Helicopter  implanté à Marignane.

Pour en savoir plus sur le mastère spécialisé « Aerospace Project Management », rendez-vous sur le site de l’École de l’air.

Droits : ©

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 07:45
Sangaris : dans la peau d’une pilote chef de détachement FENNEC

 

 

21/10/2014 Sources : État-major des Armées

 

Le commandant Gaëlle, 36 ans, a été déployée en République centrafricaine (RCA) depuis août 2014 pour une durée de 2 mois. Chef de détachement FENNEC sur le camp M'Poko de Bangui, elle a commandé une équipe d’une vingtaine de personnes. Affectée sur la base aérienne (BA) 107 de Vélizy-Villacoublay à l’escadron d’hélicoptères 3.67 PARISIS, elle exerce la fonction de chef d’escadrille depuis 2008.

 

Au camp M’Poko de Bangui, elle est à la tête du détachement FENNEC. « Mes missions sont assez similaires à celles conduites durant l’opération Licorne que j’ai faite deux fois en 2010 et 2011. Les missions que l’on peut être amené à réaliser avec ce type d’appareil sont diverses, cela comprend la collecte de renseignements, le soutien au profit de la force, voire l’évacuation de ressortissants (EVASAN). En RCA, c’est le sous-groupement de renseignement multi-capteurs qui ordonne les missions. En tant que chef de détachement, c’est à moi de m’adapter aux missions en étant force de propositions. »

 

Sur les théâtres d'opération plus qu'ailleurs, c’est l’opérationnel qui commande. La planification à chaud ne laisse que peu de temps pour se préparer, et le planning des vols n’excède généralement pas plus de 48 heures. Certaines semaines où le rythme est soutenu, il lui arrive de passer quatre jours sur le terrain, cumulant plus de 30 heures de vol. D’autres semaines, elle restera à Bangui et ne fera qu’une dizaine d’heures de vol. « Je me souviens d’un retour de mission de nuit très compliqué et éprouvant du fait des conditions météo orageuses, où nous avons été obligés de nous dérouter sur Bambari. Dans ma fonction, il faut savoir temporiser, être réactif et toujours partir avec son sac d’alerte ! »

 

En France, son travail est quelque peu différent. « Je suis chef d’escadrille, en charge de la conduite des opérations au sein d’un escadron d’une trentaine d’officiers pilotes. En RCA, le format est réduit, je suis à la tête du détachement. On organise et coordonne les missions quotidiennes des aviateurs. Je trouve particulièrement valorisant d’appuyer les troupes au sol. J’aime les deux métiers, car ce sont bien deux approches différentes. Maintenant, l’expérience est plus dure à vivre ici qu’en France. Ce n’est pas toujours simple de conjuguer vie personnelle et professionnelle. En outre, ce métier n’est pas sans risques. […] Ma mère aurait préféré que je devienne institutrice ! Nous ne sommes qu’une quinzaine de pilotes d’hélicoptère féminines en France dont trois sur le théâtre. »

 

A la question, si elle est bien acceptée en tant que femme commandant un détachement elle répond : « dans la mesure où je me montre professionnelle, les autres adhèrent. Nous sommes dans une armée de spécialistes, de compétences et de précisions. En OPEX, la mission gomme les différences. Nous sommes tous dans le même bateau. »

 

Quand elle était petite fille, le commandant Gaëlle admirait les avions de chasse passer au-dessus de sa maison et rêvait de devenir pilote. Dans le futur, elle souhaite naturellement devenir chef d’escadron de l’armée de l’Air.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 700 hommes de la MINUSCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à accompagner la montée en puissance progressive de la mission onusienne.

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 07:45
Barkhane : Opération tripartite dans les régions du Gourma et d’Ansongo

 

22/10/2014 Sources : État-major des Armées

 

Du 12 au 19 octobre 2014, la force Barkhane a participé, en appui des forces de défense et de sécurité maliennes (FDSM) et de la MINUSMA, à une opération de contrôle de zone dans les régions du Gourma et d’Ansongo, au Mali.

 

Cette opération avait pour but d’appuyer les FDSM dans leur lutte contre les groupes armés terroristes. Elle démontre leur volonté de maintenir la pression sur ces groupes, ainsi que leur capacité à coordonner leurs actions sur plusieurs secteurs.

 

L’opération s’est déroulée sur deux secteurs. A l’ouest de Gao, principal lieu de stationnement des troupes françaises au Mali, deux pelotons de l’escadron d’aide à l’engagement (EAE), une section d’infanterie, deux groupes génie, un poste de commandement tactique (PCTAC) du fuseau Ouest, soutenus par des éléments logistiques, ont contrôlé la région du Gourma en appui d’une compagnie de la garde nationale malienne de Gossi. Au Sud de Gao, sur l’axe qui mène à la frontière nigérienne, un détachement de liaison et d’appui (DLAO), une compagnie des forces armées maliennes (FAMa) et une section du bataillon nigérien de la MINUSMA étaient déployés dans la région d’Ansongo.

 

Dans chaque secteur, les forces partenaires sont allées contrôler des zones pouvant potentiellement abriter des éléments terroristes, des plots logistiques ou des caches d’armes. L’opération était conduite depuis un PC tripartite, sous commandement malien, installé à la caserne du groupement tactique interarmes 1 (GTIA 1) des FAMa, à Gao. Au sein de ce PC tripartite se trouvait notamment une cellule de coordination aérienne, pour gérer les appuis aériens : Tétrasmaliens, drones et chasseurs français. Au total, cette opération a engagé 200 soldats français de l’opération Barkhane, 200 Maliens et une trentaine de Nigériens.

 

L’opération Barkhane regroupe 3 000 militaires dont la mission, en partenariat avec les pays du G5 Sahel, consiste à lutter contre les groupes armés terroristes dans la bande sahélo-saharienne.

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 07:35
Les Chasseurs Alpins du 13e BCA en exercice au Tadjikistan

 

 

22/10/2014 Victor POULAIN - Armée de Terre

 

L’exercice de montagne VERCORS ROMIT s’est déroulé du 15 septembre au 12 octobre, au Tadjikistan. Un détachement français, principalement composé de chasseurs de la 3e compagnie du 13e bataillon de chasseurs alpins, a participé à cet exercice binational qui se tenait à une quarantaine de kilomètres au nord-est de la capitale Douchanbé.

 

Durant un mois, les soldats de montagne se sont entraînés en autonomie complète dans un environnement naturel hostile et inconnu pour la plupart d’entre eux. Cet exercice annuel permet aux militaires Français et Tadjiks de développer leurs capacités à travailler en coordination avec une unité étrangère non-francophone, dans les domaines du combat en montagne et du combat en localité.

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 06:55
photo 2e REG

photo 2e REG

 

10-10-2014 2e REG - Réf : 560 -625

 

Le général de division Maurin, commandant la Légion étrangère (COMLE), a effectué sa première visite du 2e régiment étranger de génie, le mercredi 8 octobre 2014. Étaient avec lui les présidents des sous-officiers de la Légion étrangère (PSO LE) et des caporaux-chefs de la Légion étrangère (CCH LE).

 

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 06:45
aviso EV Jacoubet - photo Marine Nationale

aviso EV Jacoubet - photo Marine Nationale

 

22/10/2014 Sources : État-major des armées / Marine nationale

 

Du 30 juillet au 19 octobre 2014, la frégate de surveillance Ventôse a été engagée dans le golfe de Guinée dans le cadre de la mission Corymbe. La mission est aujourd’hui assurée par l’aviso Enseigne de Vaisseau Jacoubet.

 

Le mandat Corymbe 126 a été marqué par la participation du bâtiment à l’exercice NEMO 14.4, avec les marines riveraines du Golfe : le Cameroun, le Bénin, le Togo, le Gabon et le Nigeria. Cet exercice a permis d’entraîner le centre interrégional de coordination (CIC) qui a été inauguré le 11 septembre dernier, à Yaoundé, au Cameroun. Ce CIC est un organe politico-stratégique au service des plus hauts responsables de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), de la Communauté économique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) et de la Commission du golfe de Guinée (CGG) dans le domaine de la coopération et de la coordination de la sécurité maritime.

 

En marge de cet exercice, ainsi qu’au cours des différentes escales dans les ports de la zone, les marins du Ventôse ont organisé des détachements d’instruction opérationnelle ou participé à des échanges avec leurs homologues africains : instruction à la navigation, instruction incendie, ou encore appui au maintien en condition opérationnelle des matériels et équipements nautiques. Au large de Port Gentil, l’équipage a réalisé un exercice d’assistance et d’intervention à un navire de commerce français, le 'BOURBON LIBERTY 110', fictivement aux mains de pirates des mers.

 

Le Ventôse fait désormais route vers son port d’attache, à Fort de France aux Antilles. Le « Jacoubet » arme le 127e mandat Corymbe.

 

En place depuis 1990, la mission Corymbe est un déploiement naval quasi-permanent, en mesure de soutenir les forces armées françaises dans le golfe de Guinée, zone d’intérêt stratégique pour la France. Le dispositif est armé par un bâtiment de la Marine nationale, ponctuellement renforcé par des moyens terrestres et aéromobiles embarqués, et peut soutenir à tout moment tout type d’opérations dans la région. De plus, cette présence quasi-permanente permet de coopérer avec les marines régionales amies, et ainsi de participer à leur montée en puissance et au développement de capacités africaines autonomes.

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 06:30
La FAA Jean Bart rallie l’opération Chammal

 

22/10/2014 Sources : État-major des armées

 

Le 20 octobre, la frégate anti-aérienne (FAA) Jean Bart a passé le détroit d’Ormuz, reliant le golfe d’Oman au golfe Persique. Quatorze jours après son appareillage de Toulon, la frégate a ainsi rallié les forces françaises au Proche et Moyen Orient engagées dans l’opération Chammal.

 

Depuis son entrée en mer Rouge le 12 octobre dernier, le Jean-Bart est placé sous le contrôle opérationnel du contre-amiral Beaussant, amiral commandant la zone océan Indien (ALINDIEN). Dorénavant intégrée à l’opération Chammal, la frégate participera au contrôle aérien de l’ensemble des moyens de la coalition déployés dans la région.

Dans ce cadre, elle rejoindra dans quelques jours la Vème flotte américaine déployée dans le golfe arabo-persique, se plaçant sous le commandement tactique de l’amiral commandant la « task force 50 » du porte-avions USS Carl Vinson. La frégate française y assurera plus précisément les fonctions de :

  • commandant d’une zone de défense aérienne au profit du centre de coordination des opérations aériennes (CAOC) d’Al Udeid, situé au Qatar ;
  • commandant de la défense aérienne du groupe du porte avions américain.

Ce n’est pas la première fois qu’un bâtiment français assure de telles fonctions. En revanche, jamais ces fonctions n’auront été exercées dans un contexte opérationnel de cette envergure. La FAA Jean Bart dispose de systèmes performants lui permettant de tenir un rôle de premier plan au sein d’une coalition internationale. Par ailleurs, pour avoir été intégrée au groupe du porte-avions USS George Bush, au printemps 2014, dans le cadre de l’opération Enduring Freedom (OEF) dans la même zone géographique, la frégate Jean Bartest parfaitement interopérable et rompue aux procédures américaines et alliées.

D’un point de vue technique, une escale à Djibouti a permis d’embarquer des marins américains, chargés d’installer des systèmes de communication qui permettront de dialoguer directement avec les centres de commandement alliés.

 

Carte opération Chammal - 22 oct. 2014 source EMA

Carte opération Chammal - 22 oct. 2014 source EMA

 

La projection de la frégate anti-aérienne Jean Bart s’inscrit dans le cadre du renforcement du dispositif français engagé dans l’opération Chammal décidé par le Président de la République le 1er octobre. Lancée le 19 septembre 2014, l’opération Chammal vise, à la demande du gouvernement irakien et en coordination avec les alliés de la France présents dans la région, à assurer un soutien aérien aux forces armées irakiennes dans leur lutte contre le groupe terroriste autoproclamé Daech

La FAA Jean Bart rallie l’opération Chammal
La FAA Jean Bart rallie l’opération Chammal
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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 06:30
Visite de députés à la 13e DBLE (27 Juin 2014)

 

03-09-2014 13e DBLE - Réf : 471 -606

 

Dans le cadre d'une mission parlementaire sur le dispositif des forces françaises à l’étranger, les députés Yves Fromion et Gwendal Rouillard, accompagnés de l’administrateur Mathieu Gimenes, sont venus visiter la 13 le 27 juin.

 

Au travers de différents ateliers, présentation des équipements, instruction C-IED, instruction à la survie en milieu désertique, entraînement au combat en zone urbaine, les deux parlementaires ont eu un bref aperçu des capacités du régiment tant en matière d’engagement que de préparation opérationnelle.

 

Grâce aux nombreux échanges qu’ils ont eu avec les cadres, les légionnaires et les soldats, ils ont mesuré l’enthousiasme des unités, la qualité du cadre d’entraînement unique qu’offre ce théâtre mais également le caractère atypique du régiment et de son environnement.

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 06:30
DIO pour l'armée jordanienne

 

03-09-2014 13e DBLE - Réf : 470 - 749

 

Du 14 mars au 4 avril, une équipe EOD de la 13e DBLE a formé une dizaine d’hommes appartenant aux forces spéciales jordaniennes. Sous les ordres de l’adjudant Gosniowski, l’équipe a reçu pour mission de dispenser une instruction pour les former dans le domaine de la lutte contre les EEI. D’une durée de trois semaines le programme, technique et tactique, visait à couvrir la menace EEI en zone urbaine, milieu clos et en zone ouverte.

 

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 06:25
Le 96ème anniversaire de la prise de la ligne HINDENBURG

 

04-10-2014 3e REI - Réf : 202 - 560

 

Le 19 septembre 2014, le 3e REI s'est rassemblé autour de son chef, le colonel Alain WALTER, pour commémorer la percée de la ligne HINDENBURG.

 

A la fin de l'été 1918, les allemands se sont repliés au nord de Soissons, sur des positions constamment fortifiées depuis 1917 : la ligne HINDENBURG. Après l'échec des alliés, le Régiment de marche de la Légion étrangère reçoit l'ordre de faire une brèche dans cette dernière grande ligne de défense allemande. Le 14 septembre, avec une fougue héroïque et après 12 jours de lutte très rude et d'efforts constants, le RMLE enlève le plateau de LAFFAUX au prix de 275 tués et 1158 blessés. La Légion avait percé la ligne HINDENBURG.

Comme chaque année depuis la fin de la Grande Guerre, le 3ème Régiment étranger d'infanterie, héritier du Régiment de marche de la Légion étrangère, commémore ce haut fait d'armes à l'occasion de la fête de la Fourragère.

 

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 06:25
Commémoration de PHU TONG HOA (25 juil.)

 

08-09-2014 3e REi - Réf : 198 -707

 

Le 25 juillet 2014, la 2e compagnie du 3e REI s'est rassemblée autour de son chef, le Capitaine Clément GOUSSEAU, pour commémorer le combat de PHU TONG HOA.

 

Dans la nuit du 25 au 26 juillet 1948, les 103 légionnaires, occupant alors le poste de PHU TONG HOA, ont résisté victorieusement à l'assaut de cinq milles soldats vietminh. A l'issue de la bataille, la compagnie comptait vingt et un tués (dont le capitaine CARDINAL, commandant d'unité), trente-quatre blessés, et quarante-huit hommes valides ; tandis que les pertes ennemies étaient estimées à 500 hommes. Lorsque le régiment réussit à rejoindre le poste avec la colonne de secours, le sous-lieutenant Bévalot, respectueux des traditions, commande le présentez-armes au piquet d'honneur en uniforme de parade, ceinture bleue, épaulettes rouges, pendant que le clairon sonne le "Salut au caïd" réglementaire pour les visites du chef de corps.

Pour ce fait d'armes, la compagnie a été décorée de la Croix de Guerre des Théâtres d’Opérations Extérieures avec palme.

 

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 06:25
A l'assaut du CSG

 

16-09-2014 3e REI - Réf : 200 -900

 

Le 4 septembre 2014, la 3e section de la 2e compagnie du 3e Régiment étranger d'infanterie, a effectué un exercice de poser d’assaut en CASA sur l'aérodrome du Centre Spatiale Guyanais (CSG).

 

Il n'y a rien de pire pour un légionnaire que de rester au quartier à monter le service. Enfin un peu de combat pour nous distraire.

Cinq heure, départ pour l'aéroport de Cayenne. Une fois sur place, il faut s'équiper... et les plus jeunes, qui n'ont jamais vu le gilet pare balle, semblent encore hésitants... Ensuite, il faut driller sur la base aérienne, pour que le poser d'assaut s'exécute correctement. Le chef de section assiste à la Réunion Air Terre (R.A.T.) pour fixer les derniers éléments de détails, puis nous embarquons enfin dans l'avion.

 

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A l'assaut du CSG
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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 06:25
FAG : coopération franco-brésilienne dans le cadre de l’opération Curare Oriental 2014

 

22/10/2014 Sources : État-major des armées

 

Du 17 au 30 septembre 2014, dans le cadre de l’opération Curare Oriental 2014 organisée par le « Comando Militar do Norte » (Commandement Militaire du Nord du Brésil à Belém), les Forces Armées en Guyane (FAG) ont déployé un détachement de liaison (DL) chargé de coordonner les actions militaires sur la frontière entre la Guyane et le Brésil. Le DL était inséré au sein du poste de commandement tactique (PCTAC) placé sous commandement brésilien.

 

Un peu plus de 800 hommes des forces armées et de sécurité brésiliennes, dont le détachement des FAG, ont été déployés sur cette opération dont l’objectif était double : mener une action de contrôle conjointe sur la zone frontalière avec la Guyane et lutter contre l’orpaillage illégal. Elle a également permis aux forces françaises et brésiliennes de faire connaitre leur coopération dans ce domaine avec l’organisation de manœuvres accessibles au grand public, en présence d’autorités militaires locales.

 

Après une mise en place par un Hercule C130 de l’armée de l’Air brésilienne en provenance de Belém, le DL français a notamment participé à une patrouille fluviale entre Clevelandia do Norte, ainsi qu’à un vol de reconnaissance et de renseignement, près d’Ilhla Bela, en hélicoptère Black Hawk.

 

Cette opération conjointe a permis de renforcer la coopération opérationnelle franco-brésilienne dans le domaine plus spécifique de la lutte contre l’orpaillage illégale, en développant l’interopérabilité entre les FAG et l’armée brésilienne.

 

FAG : coopération franco-brésilienne dans le cadre de l’opération Curare Oriental 2014

 

Durant cette opération, le DL français a été parfaitement intégré au PCTAC, jouant un rôle essentiel dans la coordination des actions conjointes.

 

A 7 000 km de la métropole, les forces armées en Guyane (FAG) garantissent la protection du territoire national et de ses ressources. Fréquemment engagées en appui de l’action de l’Etat dans des missions au caractère interministériel, les FAG agissent dans un cadre exigeant par son étendue (1 100 km de frontières terrestres), son littoral difficile et sa forêt équatoriale.

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 06:25
Les FAG ont rendu hommage aux poilus

 

11-09-2014 3e REI - Réf : 199 -653

 

Le 05 septembre 2014, les forces armées en Guyane étaient réunies place du Coq à Cayenne.

 

En ce jour l'armée française a rendu hommage à ceux qui hier sont morts au champ d'honneur pour la France, d'où qu'ils viennent. L'opération 100 villes, 100 héros, 100 drapeaux fut l'occasion pour les FAG d'honorer les soldats de la Grande Guerre.

Le lieutenant Léon BECKER , né à Sinnamary le 5 juillet 1889 et mort le 20 juillet 1918, a été le poilu célébré en souvenirs du sacrifice consenti. Le drapeau du 3ème Régiment Étranger créé en 1915 sous l’appellation de Régiment de Marche de la Légion Étrangère (RMLE), drapeau le plus décoré de la légion a été mis à l'honneur.

 

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22 octobre 2014 3 22 /10 /octobre /2014 17:55
Comment la baisse du budget de la Défense va pénaliser notre économie

 

20/10/2014 Par François Cornut-Gentille*, Jean Launay* - FIGARO Vox Societe

 

FIGAROVOX/TRIBUNE - Alors que la France bombarde en Irak pour la troisième fois, les rapporteurs spéciaux du budget de la défense à la Commission des finances s'inquiètent du manque de moyens dont dispose l'armée.

 

Moins d'un an après son adoption par le Parlement, nos armées, et à travers nous la représentation nationale, s'inquiètent légitimement des risques pesants sur l'exécution de la loi de programmation militaire (LPM) qui définit les moyens du ministère de la défense sur la période 2014-2019. Certes, le budget de la défense pour 2015 prévoit bien des crédits à hauteur de 31,4 milliards d'euros pour la défense, conformément à la LPM. Seulement, sur ce montant, 2,3 milliards proviennent de ressources dites «exceptionnelles», c'est-à-dire de crédits hors budget dont le caractère «exceptionnel», loin d'être une faveur, constitue aujourd'hui un défi.

 

En l'absence de ressources, et donc de commandes, le risque est non seulement d'affaiblir les capacités opérationnelles de nos troupes, mais aussi les entreprises de défense et les PME qui travaillent avec elles.

 

En effet, ces ressources, encore virtuelles à ce jour, devraient majoritairement provenir de la vente de la bande de fréquences hertziennes comprise entre 694 et 790 Mégahertz, communément appelée «bande des 700 Mhz», dont le ministère de la défense n'a plus l'utilité et qui sera donc attribuée aux opérateurs privés après un processus de mise aux enchères. Toutefois, cette vente dépend de la conclusion de négociations internationales et européennes qui visent à organiser la gestion du spectre hertzien et ces négociations ne seront pas achevées avant la fin de l'année 2015, pour des ventes effectives qui seront effectuées au plus tôt en 2016.

 

Il y a donc un trou de 2,1 milliards d'euros dans la raquette de la mission défense pour 2015. C'est ce décalage qui nous inquiète aujourd'hui. En effet, l'année 2015 doit être une année charnière sur le plan de l'équipement des forces armées. Des matériels indispensables (drones, avions ravitailleurs, système satellitaire de communication, équipements de l'armée de terre, etc…) doivent être commandés l'an prochain conformément à la LPM. Certains équipements et véhicules de transport dépassent aujourd'hui les cinquante années d'existence et ne sont plus sûrs pour nos militaires. Par ailleurs, le report de charges, c'est-à-dire les factures en cours de paiement à ce jour par le ministère de la défense, atteint déjà 3,4 milliards d'euros, un record et un seuil critique.

 

Il n'est donc plus possible de tirer sur la corde. En l'absence de ressources, et donc de commandes, le risque est non seulement d'affaiblir les capacités opérationnelles de nos troupes, au moment où celles-ci sont déployées sur de nombreux fronts (Mali, République centrafricaine, Irak) mais aussi les entreprises de défense et les PME qui travaillent avec elles. Or, les armées ont déjà payé un lourd tribut à la réduction du déficit public: en 2014, 65% des réductions d'effectifs au sein de l'Etat seront portés par le seul ministère de la défense, qui devra supprimer près de 33 600 postes d'ici à 2019.

 

Une solution est proposée par le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian: la création d'une société de projets financée par la vente d'actifs publics au sein d'entreprises de défense et qui fonctionnerait selon un principe inspiré du «leasing» ou du crédit-bail. Concrètement, cette société publique, avec peut-être une composante privée, pourrait acheter, pour le compte de l'Etat, du matériel militaire afin de lui louer contre le paiement d'un loyer. Cela permettrait d'attendre la perception effective des recettes «exceptionnelles» sans retarder l'effort d'équipement des armées. Mais les modalités de constitution, de dotation en capital et de gouvernance de cette société, ainsi que la nécessité de ne pas affaiblir la capacité de l'Etat à influer des décisions industrielles stratégiques, sont autant de difficultés sur lesquelles nous n'avons, à ce jour, aucune visibilité. Or, tout décalage dans la perception de ces recettes risque de compromettre le fragile équilibre dessiné par la LPM. C'est pourquoi l'élaboration d'un calendrier précis des différentes étapes envisagées par le Gouvernement est ainsi fondamentale.

 

 

Parce qu'il est question de préserver notre sécurité et l'intérêt général de la nation, de ne pas ternir la crédibilité de la France et de ses armées au niveau international, nous considérons qu'il est urgent d'apporter des réponses financières concrètes aux armées.

 

Au-delà, nous souhaitons également que l'exceptionnel, en matière de moyens alloués à la défense nationale, ne remplace pas les crédits ordinaires, ainsi que l'a recommandé la Cour des Comptes à maintes reprises. A cet égard, puisque le produit de la vente des fréquences hertziennes sera bien effectif à un moment donné, pourquoi ne pas l'affecter directement au désendettement ou au budget de l'Etat et ouvrir, en attendant cette échéance, les crédits budgétaires correspondant pour le ministère de la Défense? L'article 21 de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF) autorise cette solution si une disposition expresse d'une loi de finances le prévoit. Une telle solution, qui assurerait les armées de percevoir les moyens qui leur ont été promis, aurait un impact neutre à long terme sur le déficit public. Pourquoi avoir également écarté la solution des investissements d'avenir qui auraient pu permettre au ministère de la défense de disposer des crédits nécessaires pour lancer certaines commandes essentielles, notamment dans le domaine du spatial?

 

Parce qu'il est question de préserver notre sécurité et l'intérêt général de la nation, de ne pas ternir la crédibilité de la France et de ses armées au niveau international, nous considérons qu'il est urgent d'apporter des réponses financières concrètes aux armées. L'incertitude crée de l'inquiétude. Or, nos armées ont besoin d'avoir la même confiance dans la loi de programmation militaire que celle que l'exécutif et le peuple leur témoignent, à juste titre, dans la conduite des opérations extérieures.

 

* François Cornut-Gentille et Jean Launay sont les rapporteurs spéciaux du budget de la défense au sein de la Commission des finances de l'Assemblée nationale.

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