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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 12:45
La FREMM Mohammed VI fabriquée par DCNS et livrée par la France en début d'année

La FREMM Mohammed VI fabriquée par DCNS et livrée par la France en début d'année

 

10 septembre 2014, Pierre-Olivier Rouaud - Usinenouvelle.com

 

La France a cumulé 1,8 milliard d'euros de commandes du Maroc sur les cinq dernières années en armes et technologies de défense. Le royaume est le sixième client de la France avec un contrat majeur celui de la frégatte multimission FREMM, mais reste dépassé par les Etats-Unis.

 

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 12:35
Le général Mercier, CEMAA, accueille les autorités singapouriennes

Le général Mercier, CEMAA, accueille les autorités singapouriennes

 

11/09/2014 Armée de l'air

 

Le 3 septembre 2014, le voyage officiel en France du Dr NG Eng Hen, ministre de la Défense singapourien, s'est achevé au sein du détachement permanent de la force aérienne de la République de Singapour (RSAF) de la base aérienne 120 de Cazaux. À l’occasion notamment de l'inauguration du programme de formation avancée chasse sur Alenia-Aermacchi M-346.

 

En présence de Monsieur TAN York Chor, ambassadeur de Singapour en France, du général Denier Mercier, chef d'état-major de l'armée de l'air (CEMAA) et du Major General HOO Cher Mou, chef de la force aérienne de la République de Singapour, le ministre a remercié chaleureusement la France qui accueille le 150 Squadron RSAF et la dernière phase de formation des pilotes de chasse de la cité-état depuis 1998. Il s'est d’ailleurs félicité de l'excellence des relations de défense entre les deux pays.

 

Cette coopération bilatérale s'est sensiblement renforcée en mars dernier avec l'arrivée d'un instructeur-pilote français au sein du détachement singapourien cazalin. Il termine actuellement sa transformation sur M-346.

 

En 2010, afin de remplacer sa flotte de A4 Super Skyhawk, Singapour fut le premier acquéreur de M-346, un avion d'entraînement ultrasophistiqué capable de reproduire de façon réaliste l'environnement des chasseurs de dernière génération. Les douze appareils commandés ont désormais tous été livrés.

 

Renforcement de la coopération franco-singapourienne
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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 12:30
le GAé sur le pont du PA CDG photo Christian Cavallo - Marine Nationale

le GAé sur le pont du PA CDG photo Christian Cavallo - Marine Nationale

 

11/09/2014 par Jean Guisnel - Défense ouverte / Point.fr

 

Les messages diffusés par l'exécutif français depuis plusieurs jours sont explicites : la France s'engagera aux côtés des États-Unis dans les frappes contre les djihadistes de l'État islamique, ce que confirmera le président de la République François Hollande lors de son déploiement en Irak, vendredi. Mercredi, le ministre des Affaires étrangères a implicitement évoqué cette participation française à des frappes en déclarant à l'Assemblée nationale : "La détermination des égorgeurs de Daesh (acronyme de l'État islamique en arabe) est forte, la nôtre doit l'être plus encore."

Son collègue de la Défense Jean-Yves le Drian a également préparé les esprits à cette intervention. Dans son discours de clôture de l'université d'été de la défense, mardi à Bordeaux, il a ainsi dressé un tableau très alarmant de la situation dans cette partie du monde : "En Irak et en Syrie en particulier, l'organisation terroriste Daesh, qui se prétend État islamique, atteint des degrés de maîtrise territoriale transfrontalière, d'organisation, de capacité financière et d'équipement encore jamais vus. Elle a déjà pris le monde à témoin d'actes barbares. Au quotidien, elle terrorise des populations entières. Elle déstabilise une région déjà très fragilisée et ambitionne de constituer un État terroriste dans le voisinage de l'Europe." Paris estime que la légitimité internationale est d'ores et déjà offerte par la résolution 2170 du Conseil de sécurité de l'ONU, en date du 15 août.

 

Le porte-avions Charles de Gaulle en "pré-alerte"

En réalité, la participation de la France aux frappes américaines contre Daesh a été envisagée dès le début des opérations, durant la première quinzaine d'août. Nous pouvons révéler que le porte-avions Charles de Gaulle avait alors été mis en état de "pré-alerte" (un statut sans grande signification réelle puisqu'il s'agit d'un état quasi permanent du navire) et que l'envoi d'un certain nombre de chasseurs-bombardiers de l'armée de l'air avait été envisagé, soit à destination de la Turquie, soit des Émirats arabes unis. Une douzaine d'avions français auraient été dépêchés en urgence si les troupes du djihadiste Abou Bakr al-Baghdadi avaient directement menacé la capitale irakienne Bagdad, ce qui ne s'est finalement pas produit.

Le dispositif dont la France prépare actuellement le déploiement serait du même ordre. Pour autant, tous les cadres militaires consultés ces derniers jours en conviennent : utiles, voire indispensables, pour affaiblir l'organisation terroriste, les opérations aériennes ne seraient pas suffisantes. Ils n'en veulent pour preuve que la situation actuelle en Libye. Sauf que... il est hors de question pour Paris de dépêcher des troupes terrestres en Irak. La principale impossibilité est d'ordre politique. Certes, des forces spéciales s'y trouvent déjà avec du personnel de la DGSE, en nombre très limité, mais ces troupes n'agissent pas en tant que forces combattantes. Elles évaluent les besoins des Kurdes et leur enseignent l'usage des armes qui leur ont déjà été fournies (mitrailleuses de 12,7 mm et canons de 20 mm, missiles antichars Milan, notamment).

 

L'intendance ne suit pas

Mais quand bien même serait-il politiquement opportun de déployer des troupes françaises dans cette partie du monde - comme ce fut le cas en 1991 -, encore faudrait-il que le gouvernement dispose des moyens financiers pour le faire. Tel n'est pas le cas. Une intervention aérienne n'exige pas de moyens considérables. Un corps expéditionnaire, si... Et la réalité budgétaire est cruelle. Quatre cent cinquante millions d'euros ont été affectés aux opérations extérieures (OPEX) dans le budget 2014.

Mais la poursuite imprévue de l'opération Serval, devenue depuis Barkhane dans la BSS (bande sahélo-saharienne), et le lancement en fin d'année dernière de Sangaris en RCA ont fait exploser les compteurs. La défense ne veut pas dire où en est l'état des dépenses, mais la barre du milliard d'euros sera franchie. Qui va payer ? La défense, dit Bercy qui ne lâchera jamais l'affaire. Le Drian estime que ce surcoût doit être pris en charge par le budget de l'État, son ministère y contribuant à hauteur de sa part dans ce dernier, soit 20 %. Tout cela fera l'objet d'une discussion parlementaire chaude, dans les semaines qui viennent.

 

Et la Libye dans tout ça ?

Une chose est sûre : Jean-Yves Le Drian aura du mal à convaincre François Hollande et Manuel Valls de lui accorder des crédits pour les opérations qu'il souhaite voir l'armée française conduire aux parages de la Libye en pleine décomposition. Le sujet est sur la table, et chacun sait qu'une force de stabilisation dans ce pays exigerait des dizaines, voire des centaines, de milliers d'hommes en coûtant une fortune. Évoquant l'ensemble de ces situations inspirant aux militaires français les plus grandes inquiétudes, le ministre de la Défense a expliqué mardi : "Ces crises majeures nous concernent toutes. Ce qui se passe en Ukraine, en Syrie, en Irak, en Libye, au Sahel, au Nigeria, pour s'en tenir à ces fronts, met directement en jeu la sécurité des Français et celle des Européens. En cela, elles sont un test de notre capacité commune à répondre aux menaces qui pèsent sur nous."

Mais cette énumération est aussi un aveu. Déployées et appréciées, efficaces mais sans le sou, les armées françaises sont très proches de la limite de leurs capacités d'intervention. La solution ? Elle est budgétaire. On a compris qu'on atteint les limites de la discussion...

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 11:58
Balard, la Défense ensemble

 

11 sept. 2014 Ministère de la Défense

 

Un film, intitulé "Balard, la Défense ensemble", a été diffusé à l'occasion de la 12e édition de l'Université d'été de la Défense, à Bordeaux le 8 septembre 2014. Il vise à expliquer le regroupement des états-majors et des services centraux de la Défense sur le site de Balard (XVe arr à Paris), en 2015.

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 11:58
Balard, la Défense ensemble

 

11 sept. 2014 Ministère de la Défense

 

Un film, intitulé "Balard, la Défense ensemble", a été diffusé à l'occasion de la 12e édition de l'Université d'été de la Défense, à Bordeaux le 8 septembre 2014. Il vise à expliquer le regroupement des états-majors et des services centraux de la Défense sur le site de Balard (XVe arr à Paris), en 2015.

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 11:50
Présentation du système de défense antiaérien SAMP-T

Présentation du système de défense antiaérien SAMP-T

 

10/09/2014 DGA

 

Les plus grands industriels internationaux de l’armement se sont donnés rendez-vous en Pologne lors de la 22e édition du salon MSPO qui se déroulait à Kielce du 1er au 4 septembre 2014. Un évènement auquel la direction générale de l'armement (DGA) participait sur le stand du ministère de la Défense placé sous la bannière : « partenaires à long terme ».

 

MSPO 2014 enregistre une participation en forte hausse : 54 délégations officielles venues de 38 pays ont visité les 25 000 m2 sur lesquels se sont installés près de 500 exposants issus de 27 pays. Soit une forte hausse, comparé à l’édition 2013. Pour la deuxième fois invitée d’honneur, la France a présenté lors de cette édition de nombreux matériels au sein de son pavillon où 15 PME soutenues par la DGA étaient présentes.

 

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense a visité le salon le 1er septembre. Sur fond de modernisation des forces armées polonaises en cours, la visite du ministre a été l’occasion de promouvoir auprès de son homologue polonais M. Siemoniak les projets soutenus par la France, comme :

- Les hélicoptères multirôles (Caracal) et de combat (Tigre)

- La défense antiaérienne (système SAMP-T)

- Les sous-marins à propulsion classique (Scorpene).

 

En présence des autorités polonaises, M. Le Drian a mis en avant la volonté française de faire de la Pologne un véritable partenaire industriel dans le cadre de la consolidation de la base industrielle et technologique de défense européenne (BITDE).

 

Enfin le salon a été l’occasion pour la DGA d’organiser trois conférences et trois dialogues étatiques sur les sujets capitaux du moment.

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 10:55
Missiles : Berlin bloque un contrat de MBDA dans le Golfe

Le poste de tir du Milan ER, dernière génération du missile terrestre de MBDA, est fabriqué en Allemagne. Berlin peut donc bloquer son exportation. - MBDA

 

10/09 Alain Ruello – LesEchos.fr

 

Berlin, qui a engagé une politique plus restrictive en matière d’exportations d’armements, bloque un contrat de missile Milan de MBDA dans un pays du Golfe.

 

Les prises de position anti-exportations d’armements à Berlin commencent à se faire sentir en France. Ainsi, l’Allemagne bloque-t-elle depuis le début de l’année un contrat de missile de MBDA dans un pays du Golfe. Il s’agirait, selon nos informations, du Milan ER, dernière génération de cet armement terrestre mondialement vendu. Comme son poste de tir est conçu outre Rhin, sa vente nécessite une autorisation du gouvernement allemand, que ce dernier refuse de donner.

 

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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 10:55
Armement : Arabie Saoudite, Singapour et Maroc, meilleurs clients de la France en 2013

Armement - Le Rafale de Dassault Aviation attend son premier contrat à l'export (Crédits : Armée de l'air)

 

10/09/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

Arabie Saoudite, Singapour et Maroc. Les trois premiers clients de l'industrie d'armement française ont représenté en 2013 près de la moitié des exportations d'armements tricolores (3,1 milliards sur 6,87 milliards).

 

Arabie Saoudite (1,92 milliard d'euros), Singapour (651,3 millions) et Maroc (584,9 millions). Voici les trois meilleurs clients des industriels de l'armement français en 2013. L'an dernier, ils ont cumulé à eux trois près de la moitié des exportations d'équipements militaires français (3,15 milliards) sur un total de 6,87 milliards d'euros de prises de commandes, qui ont explosé de 43 % en 2013 (4,8 milliards). Huit contrats d'un montant de plus de 200 millions ont été gagnés en 2013 (contre 3 en 2012). Soit un pactole de 2,82 milliards d'euros. Une performance qui permet à la France de rester au quatrième rang des exportateurs mondiaux d'armements, selon le rapport 2014 au Parlement sur les exportations d'armement de la France.

Par ailleurs, l'an dernier, la France a livré pour 3,8 milliards d'armements, dont 924 millions au Proche et Moyen-Orient. Des livraisons stables sur les cinq dernières années (3,3 milliards en 2012, 3,7 milliards en 2011, 3,7 milliards en 2010, 3,7 milliards en 2009).

 

Quinze pays ont commandé plus de 100 millions à la France

Outre les trois premiers clients de la France en 2013, douze autres pays ont acheté du matériels français pour plus de 100 millions d'euros : Indonésie (480 millions), Brésil (339 millions),  Émirats Arabes Unis (335,2 millions), Ouzbékistan (208 millions), Inde (180 millions), Bolivie (161 millions), Qatar (124,9 millions), États-Unis (125,2 millions), Allemagne (115,3 millions), Malaisie (108,9 millions), Chine (107,8 millions) et Oman (104,1 millions). A noter que les exportations vers la Chine de matériels duals restent stables par rapport aux années précédentes (114, 3 millions en 2012, 93,7 millions en 2011, 109,8 millions en 2010).

Selon une étude d'impact réalisée par le ministère de la Défense, le conseil des industries de défense (Cidef) avec le cabinet McKinsey & Co, environ 40.000 emplois en France sont concernés par les ventes d'armes à l'exportation, auxquels s'ajoutent 10.000 emplois indirects chez les fournisseurs. "Dans une France frappée par le chômage et menacée de désindustrialisation, ces 50.000 emplois sont d'une importance vitale", a souligné mardi le ministre, Jean-Yves Le Drian. Sans les exportations d'armements, "le déficit de la balance commerciale aurait été de 5 à 8 points plus élevé chaque année" sur la période 2008-13, selon cette étude.

Pour Jean-Yves Le Drian, les opérations militaires "nombreuses, difficiles" dans lesquelles la France est engagée, notamment en Afrique, "font pleinement partie de cette dynamique" des exportations, en démontrant "la puissance et la fiabilité" du matériel issu de l'industrie de défense. Il s'est également félicité de l'"état d'esprit d'action en commun" des industriels français, évoquant "l'équipe de France des exportations d'armement".

 

Arabie Saoudite dépasse le milliard de commandes

Pour la première fois depuis 2007 (1,1 milliard), Ryad a commandé à la France pour plus d'un milliard d'euros d'armements. Le contrat qui pèse le plus en Arabie Saoudite et d'une façon générale dans le bilan des commandes françaises, est bien sûr LEX (Life Extension Sawari 1), la modernisation de quatre frégates et de deux pétroliers ravitailleurs de la marine saoudienne d'un montant de 1,1 milliard. A cette commande de DCNS, il faut rajouter un premier contrat engrangé par le groupe naval pour la modernisation de trois frégates Sawari 2 (programme ERA) d'un montant de 150 millions.

Par ailleurs, MBDA a conclu plusieurs contrats avec le royaume. Le missilier européen a vendu des missiles sol-air VL Mica à la Garde nationale, l'armée privée du roi commandée par le prince Mitaeb bin Abdullah (150 millions d'euros) ainsi que des Mistral, un missile surface-air de très courte portée. Surtout, le missilier a vendu un nouveau lot de missiles de croisière Storm Shadow (environ 500 millions), fabriqués en France.

 

Singapour et Maroc sur le podium

Traditionnel client de la France, Singapour se classe au deuxième rang des clients de la France même si l'Ile-Etat a préféré l'année dernière acheter des sous-marins allemands que français. C'est MBDA qui a réalisé la plus grosse commande avec la vente de missiles Aster pour plus de 300 millions d'euros. Un second contrat majeur a été signé avec les Singapouriens, la vente de six avions ravitailleurs MRTT (la part française s'élève à un tiers du contrat sur ce type d'appareils).

Le Maroc est la grosse surprise dans le classement des très bons clients des industriels de l'armement tricolores en 2013. Astrium (devenu Airbus Space Systems) et Thales Alenia Space (TAS), en tant que maître d'œuvre, ont signé l'année dernière un contrat portant sur la vente de deux satellites d'observation de type Pléiades au Maroc en deux phases (1 + 1), dont le montant s'élèverait à un peu plus de 500 millions d'euros, lancement compris. Un contrat tenu confidentiel.

 

Bolivie, Ouzbékistan, des nouveaux pays clients

De nouveaux clients apparaissent dans les clients de la France. Ce sont le cas de la Bolivie qui s'est offert 6 Super Puma AS332 C1e pour plus de 150 millions d'euros et de l'Ouzbékistan qui a acheté 10 Fennec et 6 Cougar. Deux contrats pour Airbus Helicopters, qui perce sur des marchés où la France était inexistante jusqu'ici dans le domaine de l'armement. C'est aussi le cas au Turkménistan mais de façon plus modeste (32,7 millions de commandes en 2013).

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 16:35
Australia may upgrade its naval fleet with Japanese submarines

 

10 September 2014 naval-technology.com

 

The Australian Government is planning to spend nearly A$20bn ($18.7bn) to procure ten Japanese-built Soryu-class submarines, in a bid to upgrade its naval fleet and replace the aging Collins-class vessels from 2030 onwards.

 

Anticipated to be signed by the end of this year, the deal comes amid rising maintenance costs of the Collins-class boats beyond 2026.

 

The move is contrary to the government's promise to support the country's ship builders with the construction of new fleet at home.

 

Australia Prime Minister Tony Abbott was quoted as saying: "The most important thing is to get the best and most capable submarines at a reasonable price to the Australian taxpayer.

"The deal comes amid rising maintenance costs of the Collins-class boats beyond 2026."

 

"We should make decisions based on defence requirements, not on the basis of industry policy."

 

Powered by an air-independent diesel-electric propulsion system, the 4,200t Soryu-class vessels can remain submerged longer than other traditionally powered submarines.

 

Expected to be based out of Darwin in northern Australia to trim down transit distances to patrol areas, the Soryu submarines can accommodate a crew of 65 and offer a shorter range compared to Collins-class vessels.

 

Japan's Maritime Self-Defense Force has been using the Soryu-class submarine since 2009, which is an advanced version of the Oyashio-class submarine.

 

Meanwhile, Australia is said to still be considering French and German alternatives, reported news.com.au.

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 11:57
Des chiffres très positifs pour notre économie

 

10/09/2014 P. Hessenbruch  - DICOD

 

Le ministre de la Défense a clôturé mardi 9 septembre l’université d’été de la Défense en dévoilant les résultats très positifs des exportations d’armement, mais en soulignant aussi un contexte d’insécurité majeur dans le monde.

 

Lors de la dernière journée de l’université d’été de la Défense, Jean-Yves Le Drian est venu présenter le bilan 2013 des exportations d’armement ainsi qu’une étude inédite évaluant l’impact social, économique et technologique de ces dernières. Le ministre a ainsi insisté sur ce triple bénéfice des exportations françaises d'armement qui ont bondi de 43% en 2013 par rapport à 2012, atteignant le montant  de  6,87 milliards d'euros. Environ 40 000 emplois sont concernés par ces ventes d'armes, auxquels s'ajoutent 10 000 emplois indirects chez les fournisseurs.

« Derrière ces résultats, il y d’abord la qualité de notre base industrielle et technologique de défense, hissée au plus haut niveau de valeur ajoutée pour maintenir sa compétitivité. Je pense à la valeur de nos savoir-faire technologiques, de nos compétences humaines. Je pense aussi à la régularité de l’investissement, qui alimente l’innovation. Tout cela contribue au succès de nos exportations », a souligné le ministre de la Défense.

Enfin, en clôture de cette 12e édition des universités d’été de la Défense, Jean-Yves Le Drian est également revenu sur les récentes crises dans le monde. « La France et l’Europe sont interpellés simultanément sur trois fronts d’insécurité majeurs et inévitables. » Le terrorisme jihadiste, la Lybie et la situation en Ukraine ont fait l’objet d’un point de situation générale du ministre. « L’heure est à la mobilisation et à l’alerte, et l’action à venir doit être collective et concernée », a notamment expliqué le ministre en faisant état de la situation en Lybie.

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 11:55
Coup d’envoi officiel du CESA Drones

Pendant les trois jours du salon UAV Show, le CESA Drones (Camp de Soule) est utilisé pour les démonstrations en vol des drones exposés – photo Gil Roy / Aerobuzz.fr

 

9 septembre Gil Roy / Aerobuzz.fr

 

A l’occasion de l’édition 2014 du salon européen sur les drones UAV Show (9-11 septembre 2014 à Mérignac), le CESA Drones a été officiellement lancé le 9 septembre, en présence d’Alain Vidalies, Secrétaire d’Etat chargé des Transports. Il s’agit du premier centre indépendant d’essais en vol de drones civils, également dédié à la qualification et à la formation de télépilotes. Cette signature est en fait l’occasion de formaliser l’existence du CESA Drones et de dresser un premier bilan après une année de dite « rodage ».

 

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 11:54
Démonstrations et réflexions à l’université d’été


09/09/2014 Ministère de la Défense

 

La première journée de la 12e édition de l'université d'été de la Défense a été bien remplie. Démonstrations dynamiques, rencontres avec les hommes et les femmes des forces armées, et travaux de réflexion.

 

Avec l’ouverture lundi 8 septembre de l’ université d’été de la Défense qui se tient cette année à Bordeaux, la communauté défense a désormais effectué sa rentrée. Depuis 12 ans, ces universités réunissent près de 400 personnes, parlementaires français, militaires des forces armées, industriels et journalistes, afin qu’ils échangent leurs points de vue et leurs réflexions sur les problématiques de défense et de sécurité.  

 

Le général Jean-Jacques Borel, chef d’état-major du commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes, a d’abord montré aux universitaires l’étendue des moyens de réactivité des forces, en particulier grâce aux capacités de commandement et de contrôle. Depuis le hangar de la base de Bordeaux-Mérignac, il s’est entretenu en visioconférence avec une équipe du Centre national des opérations aériennes, basé à Lyon, puis avec le général Lavigne qui dirige l’hôpital militaire de KAIA en Afghanistan. Enfin, c’est en liaison avec le général Palasset, commandant l'opération Barkhane au Sahel qu’il a montré les moyens mis en œuvre par la France pour conduire des opérations en temps réel et à distance, aussi bien sur le territoire national que sur les théâtres d’opérations extérieures. Cette séquence dynamique s’est achevée avec la démonstration des commandos parachutistes (CPA 30) sur le tarmac de la base et la démonstration des capacités du Rafale.

 

L’après-midi, les ateliers et les forums de discussions ont laissé part à la réflexion des universitaires. Au programme notamment, un atelier consacré au maintien en condition opérationnelle (MCO) qui proposait de sortir des schémas anciens.  Dans une autre salle, les universitaires ont pu débattre des perspectives de dix ans d’engagements extérieurs de la France. Cet atelier a notamment permis d’entendre les points de vue de personnalités comme le préfet Alain Zabulon, coordinateur national du renseignement (CNR), le général Christophe Gomart, directeur du renseignement militaire (DRM), ainsi que le président de la Commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées, Jean-Louis Carrère

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 11:45
Cote d’Ivoire : Licorne forme 50 logisticiens ivoiriens aux missions communes de l’Armée de terre

 

09/09/2014 Sources : EMA

 

Du 1er au 5 septembre 2014, le peloton d’éclairage et d’investigation de l’Escadron blindé de la force Licorne a conduit un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) au profit de 50 soldats ivoiriens appartenant au Bataillon de commandement et de soutien (BCS) du camp d’Akwedo, dans le quartier Nord d’Abidjan.

 

Au programme : Entraînement aux techniques de combat de niveau section dans le cadre des missions communes de l’armée de terre (MICAT), secourisme au combat de niveau 1, initiation aux techniques interventions opérationnelles rapprochées (TIOR) et entraînement physique quotidien.

 

Selon l’adjudant Stéphane P., chef de peloton au 1er escadron du régiment d’infanterie de chars de marine (RICM) :

 

« Ce stage a été bénéfique pour les forces républicaines de Côte d’Ivoire avec qui nous avons pu travailler les techniques de combat de niveau section, l’installation d’un check point et la réalisation de patrouilles. L’accent a été aussi mis sur la préparation des missions afin d’apprendre aux sections ivoiriennes à anticiper et à s’organiser rapidement.

 

Les jeunes marsouins ont assumé le rôle d’instructeur, ce qui est valorisant et demande une remise en question permanente et le perfectionnement des savoir-faire techniques et tactique liées aux MICAT. Le niveau physique des sections est perfectible mais l’état d’esprit des soldats a été très bon et la cohésion au sein des sections très appréciable »

 

Depuis le début du mandat 34, le 17 juin 2014, la force Licorne a réalisé 30 stages d’instruction opérationnelle et d’instruction technique au profit de plus de 700 stagiaires toutes spécialités confondues : combat à pied, combat lagunaire, sauvetage au combat, tir, techniques de lutte contre l’incendie, techniques sportives, communication, …

 

Cette coopération entre la France et la République de Côte d’Ivoire s’inscrit dans le cadre du nouvel accord de partenariat de défense signé le 26 janvier 2012. Forte de ses 450 militaires, la force Licorne accompagne la réforme de l’armée ivoirienne et maintient une présence militaire en Côte d’Ivoire pour assurer la protection des ressortissants français.

Cote d’Ivoire : Licorne forme 50 logisticiens ivoiriens aux missions communes de l’Armée de terre
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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 11:45
La Force Sangaris appuie la MISCA dans l’ouverture d’une enquête à Boda

 

 

09/09/2014 Sources : EMA

 

Le 2 septembre 2014, un officier de police judiciaire (OPJ) de la MISCA, est venu appuyer la brigade territoriale de gendarmerie de Boda dans le cadre de l’ouverture d’une enquête judiciaire relative aux violences intercommunautaires survenues le 20 août au cours desquelles la MISCA a été prise à partie. Inséré temporairement auprès du détachement de la force Sangaris, l’officier camerounais a supervisé les auditions dans chacune des communautés chrétienne et musulmane.

 

Arrivé de Bangui quelques jours auparavant, l’OPJ de la MISCA a dans un premier temps participé à une opération de sécurisation avec les militaires français.

 

Il est ensuite intervenu en appui des forces de sécurité intérieures (FSI) dans leur enquête sur les événements du 20 août. Il a ainsi supervisé une série d’auditions effectuées par les hommes de la brigade territoriale de Boda. Ce jour là, les familles de victimes et d’autres témoins issus de la communauté chrétienne s’étaient déplacées pour se faire entendre. Trois ateliers d’audition ont donc été mis en place dans la cour de la gendarmerie. Une fois ces plaintes reçues, les gendarmes et l’OPJ se sont rendus dans l’enclave musulmane pour y recevoir d’autres témoignages. C’est en présence du maire de Boda, lui-même entendu peu de temps après les faits, que de nouvelles auditions ont pu avoir lieu.

 

Après les violences intercommunautaires qu’a connues la ville de Boda le 20 août dernier, la force Sangaris a déployé deux sections en renfort pour prévenir tout nouveau débordement. Très vite, le GTIA Magenta a entrepris des rencontres avec les autorités locales afin de permettre le retour au dialogue entre les communautés. La complémentarité des actions de la force internationale permet progressivement à l’Etat centrafricain de restaurer son autorité sur le territoire afin de stabiliser la situation sécuritaire.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à faciliter la mise en place future de la MINUSCA.

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 11:45
Sangaris : le GTIA « Acier » mène une opération de sécurisation à Boda

 

09/09/2014 Sources : EMA

 

Le 1erseptembre 2014, le groupement tactique interarmes (GTIA) Acier a effectué une vaste opération de contrôle de zone dans les quartiers chrétiens et musulmans de Boda, ville où le GTIA Aciera renforcé sa présence après des affrontements entre groupes armés survenus fin août. Deux sections ont ainsi été déployées à Boda le 28 août, depuis Bangui. La présence de Sangaris et ses actions de médiation entre les différentes communautés ont permis le retour au calme. Certaines organisations humanitaires internationales sont ainsi revenues à Boda en fin de semaine dernière.

 

L’opération du 1erseptembre a débuté à 5 heures du matin avec le déploiement d’une compagnie du GTIA dans le quartier chrétien de Boda. Durant trois heures, plusieurs bâtiments et échoppes ont été fouillés avec le concours d’un officier de police judiciaire de la MISCA.

 

Vers 8 heures, la compagnie s’est réarticulée au niveau du quartier musulman. Sur la foi d’observations réalisées les jours précédents faisant état d’activités suspectes, deux maisons ont fait l’objet d’une fouille approfondie en même temps que plusieurs autres bâtiments et échoppes, dans les mêmes conditions que les investigations effectuées dans le quartier chrétien.

 

Au bilan, quelques armes à feu et plus d’une trentaine de machettes ont été saisies lors de cette opération de sécurisation qui s’est achevée par une rencontre avec le maire de Boda et les représentants de la communauté musulmane. Une rencontre avec les représentants chrétiens s’est déroulée le lendemain.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à faciliter la mise en place future de la MINUSCA.

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 11:35
FANC : fin de l’exercice Croix du Sud 2014

 

09/09/2014 Sources : EMA

 

Du 30 août au 5 septembre, après la phase initiale d’intégration de la force (FIT) qui s’est déroulée du 25 au 29 août, les nations participant à l’exercice Croix du Sud 2014, ont joué un « LIVEX », c’est-à-dire un entraînement aussi proche possible de la réalité, en grandeur nature. Il s’agissait ici d’une opération humanitaire et d’évacuation de ressortissants.

 

Dès le 30 août, un élément comprenant deux équipes de reconnaissance de plage (Australie – Nouvelle Zélande) et une équipe du génie (Régiment d’Infanterie de Marine Pacifique – Nouvelle – Calédonie (RIMaP – NC)) a été mis en place sur la plage de Druelu sur l’ile de Lifou. Cet élément qui opérait à partir de la frégate de surveillance (FS) Vendemiaire avait pour mission de préparer la mise à terre de la force embarquée sur le HMNZS Canterbury.

 

Le 31 août, à l’aube, une opération aéroportée sur l’aéroport de Lifou et une opération amphibie sur la plage de Druelu ont permis à la force de prendre pied sur l’ile. Une dizaine de rotations d’avions CASA CN 235 et Hercule C130 a ensuite eu lieu pour assurer la mise en place de la logistique, de l’EVAC INFO et du reste du personnel de la force. Dès midi, la force débutait son déploiement sur Lifou et apportait les premiers soutiens à la population en détresse. Au soir, le module EVAC INFO ainsi que la base logistique avancée étaient opérationnels. Parallèlement, le groupement de soutien (GS) de la base de défense ainsi que la Croix Rouge débutaient la mise en place de la portion centrale du CENTREVAC sur l’aéroport de la Tontouta, à 30 km au Nord de Noumea.

 

Tout était donc en place pour répondre rapidement à un ordre d’évacuation de ressortissants de Lifou et Tiga. Compte tenu de la dégradation de la situation humanitaire et sécuritaire, cet ordre fut donné dès le 1reseptembre midi. Ainsi les 2 et 3 septembre, un peu moins de 250 ressortissants étaient évacués de Lifou vers La Tontouta. Le retrait du dispositif a ensuite pu débuter le 3 septembre dans l’après-midi, une fois l’ensemble des ressortissants évacués, et le 4 septembre au soir, l’ensemble des troupes étaient présentes à Nouméa.

 

Cette année, la chaîne complète d’évacuation humanitaire a été mise en œuvre. Celle-ci a débuté avec la prise en compte initiale des réfugiés, au plus près de la zone dangereuse, avec le module EVAC INFO déployé à Lifou. Après l’évacuation par air en zone amie, les ressortissants ont été admis à la portion centrale du CENTREVAC renforcée par la Croix Rouge.

 

L’édition 2014 de l’exercice Croix du Sud a été un véritable succès, contribuant au renforcement de la position française dans le Pacifique. Illustration de cette réussite, aux côtés des acteurs traditionnels (Australie, Nouvelle-Zélande, Vanuatu, Tonga), des forces américaines d’Hawaï, des militaires britanniques déployés au Brunei, des Canadiens, des Japonais, des Singapouriens mais aussi des observateurs Chiliens et Fidjiens étaient présents. Ainsi, plus de 1 500 personnes ont participé à cet exercice.

 

Croix du Sud est l’exercice de référence régional en termes de projection de force et de conduite simultanée de deux types d’opération, militaire (RESEVAC) et humanitaire avec la mise en œuvre de l’accord FRANZ (accord tripartite conclu en 1992 entre la France, l’Australie et la Nouvelle-Zélande). Au niveau national, cet entraînement a confirmé la cohérence de la réorganisation des forces de souveraineté selon une logique de « théâtre ».

 

Les FANC constituent le point d’appui central du « théâtre Pacifique» avec un dispositif interarmées centré sur un groupement tactique interarmes (GTIA) et les moyens de projection associés. Avec les Forces armées en Polynésie Française (FAPF), dispositif interarmées à dominante maritime, les FANC ont pour principale mission d’assurer la souveraineté de la France dans leur zone de responsabilité, d’animer la coopération régionale et d’entretenir des relations privilégiées avec l’ensemble des pays riverains de la zone pacifique. Enfin, les FANC engagent régulièrement leurs moyens pour des opérations d’aide aux populations, en appui des autres services de l’Etat.

FANC : fin de l’exercice Croix du Sud 2014FANC : fin de l’exercice Croix du Sud 2014
FANC : fin de l’exercice Croix du Sud 2014FANC : fin de l’exercice Croix du Sud 2014FANC : fin de l’exercice Croix du Sud 2014
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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 11:35
Afghanistan : Focus sur les gendarmes français à Kaboul

 

09/09/2014 Sources : EMA

 

Parmi les 250 militaires français présents en Afghanistan et au Tadjikistan, dix-sept gendarmes sont en mission dans deux unités différentes sur la partie militaire de l’aéroport international de Kaboul (KAIA).

 

Quinze gendarmes de l’air et un maitre-chien de l’armée de l’air forment la police militaire internationale (IMP – international military police) de l’aéroport international de Kaboul (KAIA), en coopération avec des militaires jordaniens, macédoniens et américains.

 

Intégrés à la force protection et dirigés par un commandant français de la gendarmerie de l’air, leur mission est de garantir la sécurité des 5 000 personnes présentes dans ce milieu international. Ils peuvent également conduire des investigations de toute nature, ou intervenir et assurer la sécurisation d’événements de grande ampleur comme lors des cérémonies ou de l’accueil d’autorités.

 

Ils se doivent de faire appliquer les différentes réglementations comme celles dédiées au port de l’uniforme, à la détention ou consommation illicite d’alcool (interdit à KAIA), à l’application des règles de sécurité routière, au transport de fret dans les avions militaires,…. En cas de tensions aux portes d’accès à la base, ils interviennent en soutien de l’équipe jordanienne en charge de la protection du site. Ils constituent donc un véritable peloton de surveillance et d’intervention lors d’une attaque de roquette, découverte de véhicules et colis suspects.

 

Deux IMP renforcent l’équipe de protection du commandant de KAIA en qualité de conducteur d’autorité, et deux autres sont présents quotidiennement au terminal militaire pour vérifier les bagages et les militaires projetés par voie aérienne sur différentes destinations dans le pays ou à l’étranger.

 

Ils ont avant tout un rôle de prévention, d’écoute et d’accompagnement afin que chaque nation puisse cohabiter dans les meilleures conditions sur cette emprise restreinte. Pour cela, ils travaillent en étroite collaboration avec les polices militaires des différentes nations se trouvant sur KAIA.

 

Deux autres gendarmes, issus de la gendarmerie départementale, arment le détachement prévôtal d’Afghanistan.

 

Habilités en qualité d’officier de police judiciaire des forces armées (OPJFA) par le procureur général de la Cour d’appel de Paris, ils sont détachés pour une période de 4 à 6 mois aux côtés des forces françaises à Kaboul. Leur mission prioritaire consiste à effectuer des enquêtes judiciaires sur tous les crimes, délits et contraventions commis par les membres des forces armées françaises ou à leur encontre. Ils exercent en outre des missions de police générale visant notamment à prévenir les incidents et les troubles à l’ordre public. Ils appuient également la force dans les domaines du contentieux en cas d’accident de la circulation impliquant un militaire français, des opérations d’état-civil ou encore des demandes de vote par procuration. Enfin, ils concourent au recueil du renseignement utile à la protection des militaires français sur le territoire.

 

Avant d’être répressifs, ces gendarmes ont principalement un rôle préventif pour les forces françaises à Kaboul. Ils assument par ailleurs un rôle de conseil auprès du commandement dans les domaines relevant de leur compétence.

 

Professionnels, flexibles et réactifs, qu’ils soient affectés au sein du détachement prévôtal ou de l’international military police, ils travaillent en étroite collaboration avec l’état-major de la force et ont pour rôle de prévenir, écouter et accompagner la population de KAIA chacun à son niveau. Les dix-sept gendarmes français à Kaboul assureront leurs missions jusqu’au départ des forces françaises en fin d’année 2014.

Afghanistan : Focus sur les gendarmes français à KaboulAfghanistan : Focus sur les gendarmes français à Kaboul
Afghanistan : Focus sur les gendarmes français à Kaboul
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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 12:55
Sillinger lance sa gamme d'embarcations Rafale

 

09.09.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

Elle s'appelle Rafale mais n'a rien à voir avec le chasseur de Dassault. Sillinger vient de lancer une nouvelle gamme: la gamme SILLINGER - RAFALE®. Elle comprend 6 modèles à l’heure actuelle qui vont du 9,50m (photo ci-dessus)au 16m.

L'entreprise de Mer (41), filiale du groupe Marck, est un spécialiste des embarcations pneumatiques pliables et semi-rigides à usage militaire et professionnel.

A noter l’option Meta-Ops qui permet une architecture de pont modulable en fonction des besoins : des rails en aluminium disposés sur l’avant, le coffre moteur et l’arrière permettent d’ajouter, fixer et enlever des équipements relatifs aux missions spécifiques.

Le modèle phare de la gamme, le SILLINGER 950 RAFALE® sera exposé lors du salon Euronaval qui aura lieu du 27 au 31 octobre 2014, au Bourget, HALL 2 Stand C4.

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 12:55
L'impact social, économique et technologique des exportations françaises d'armement


09.09.2014 par Philippe Chapleau - Lignes de Défense
 

L'étude d'impact social, économique et technologique réalisée par le ministère de la Défense et le CIDEF avec le support de McKinsey & Co relative aux exportations françaises d'armement, est disponible ici.

Dans le contexte budgétaire plus que contraint et alors que le ministère de la Défense réduit ses commandes, les exportations permettent (ce n'est pas un scoop) un relais de production qui permet d'assurer la continuité de l'activité industrielle.

Selon cette étude présentée ce matin, à Bordeaux, lors des Universités d'été de la Défense, les prises de commande à l'exportation des groupes d'armements français ont progressé de 43% l'an dernier (par rapport à 2012, mais elles sont toujours en baisse par rapport à 2009), pour atteindre 6,87 milliards d'euros, soit 30% de plus que la moyenne 2002-2012.

Elles permettent à la France de se maintenir au quatrième rang mondial des exportateurs d'armes derrière les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la Russie. Le ministère de la Défense espère atteindre l'objectif de 7 milliards d'euros d'exportations en 2014. "Sans les exportations d'armement, le déficit commercial de la France aurait été 5 à 8 points plus élevé chaque année sur la période 2008-2013", peut-on lire dans l'étude commandée par le ministère de la Défense et le Conseil des industries de défense françaises (Cidef).

Sur le plan social, les exportations de défense représentent plus de 40.000 emplois, soit 25% des emplois de la base industrielle et technologique de défense, concentrés autour de sept grands bassins d'activité : Ile-de-France, PACA, Bretagne, Aquitaine, Midi-Pyrénées, Centre et Rhône-Alpes.

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 11:55
photo du 4e A400M - Armée de l'Air

photo du 4e A400M - Armée de l'Air

 

09/09/2014 direction générale de l’armement (DGA)

 

La direction générale de l’armement (DGA) a réceptionné un cinquième exemplaire de l’avion de transport militaire A400M Atlas le 8 septembre 2014. L’appareil, destiné à l’armée de l’air, porte le numéro de série MSN12. Il rejoindra la base aérienne d’Orléans-Bricy.

 

Avion de transport militaire tactique doté d’une allonge stratégique et à la pointe de la technologie, l’A400M, produit par Airbus Defence and Space, est sans équivalent sur le marché mondial. Equipé de quatre turbopropulseurs, il est conçu pour transporter jusqu’à 37 tonnes de matériel et réaliser l’ensemble des missions liées au transport, notamment les liaisons inter et intra-théâtre, les poser d’assaut sur terrains sommaires, l’aérolargage de personnel et de matériel y compris à très grande hauteur, le ravitaillement en vol ou les évacuations sanitaires.

 

Il s’agit du sixième avion de série livré sur les 170 commandés par les sept pays partenaires du programme : l’Allemagne, la Belgique, l’Espagne, la France, le Luxembourg, le Royaume-Uni, et la Turquie. Quatre ont déjà été livrés à la France, ainsi qu’un à la Turquie.

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 11:50
The 9th/12th Royal Lancers revisit First World War battlefields

 

08.09.2014 British Army

 

Stepping back into history the 9th/12th Royal Lancers (Prince of Wales’s) (9th/12th Lancers) who are based in Hohne, Germany have retraced the footsteps of their forebear Regiments on the First World War battlefields.

 

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 11:45
RCA : Accident de la route meurtrier à l’ouest de Bangui, la Force Sangaris au secours des blessés

 

09/09/2014 Sources : EMA

 

Le 3 septembre 2014, en début de soirée, un grave accident de la circulation a eu lieu sur l’axe Boda-Mbaïki situé à l’ouest de Bangui. Au total, 15 personnes y ont perdu la vie. La force Sangarisest intervenue en appui de la MISCA pour porter secours aux 20 blessés recensés dans cet accident.

 

Deux hélicoptères Puma avec deux équipes médicales, spécialisés dans l’évacuation de blessés, ont été rapidement engagés sur les lieux de l’accident. A leur arrivée, les médecins et les infirmiers ont pu établir un premier diagnostic. Quatre blessés ont été héliportés en urgence sur le camp de M’Poko, pour être pris en charge par l’antenne chirurgicale de Sangaris. Arrivés sur la base française, deux d’entre eux ont été évacués par véhicule de l’avant blindé (VAB) sanitaire, et escortés par une section d’alerte du groupement tactique interarmes (GTIA) Acier, vers l’hôpital général de médecins sans frontière (MSF) à Bangui afin de bénéficier de soins complémentaires.

 

Dans le même temps, les deux autres victimes ont été rapidement prises en charge par l’équipe médicale militaire. Alors que l’état de santé du premier blessé n’était plus préoccupant, la deuxième victime a dû subir une intervention chirurgicale au bloc opératoire du rôle 2. Achevée à 4 h du matin, l’opération s’est bien déroulée, et l’état du patient a été stabilisé.

 

Le lendemain matin, la force Sangaris a reçu les ministres de la Défense et de la Santé centrafricains, ainsi que l’ambassadeur de France, à l’antenne chirurgicale du camp de M’Poko. Venus apporter leur soutien aux accidentés, les autorités centrafricaines ont également témoigné de leur reconnaissance à la force Sangaris pour son action.

 

Environ 2 000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 6 000 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir un niveau de sécurité minimal en République centrafricaine et à faciliter la mise en place future de la MINUSCA.

RCA : Accident de la route meurtrier à l’ouest de Bangui, la Force Sangaris au secours des blessés
RCA : Accident de la route meurtrier à l’ouest de Bangui, la Force Sangaris au secours des blessés
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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 11:30
photos Marine Nationale

photos Marine Nationale

 

09/09/2014 Sources : EMA

 

Le lundi 1er septembre 2014, la frégate furtive Courbet, actuellement engagée dans l’opération Enduring Freedom (OEF), a participé à un exercice conjoint avec l’US Navy dans le golfe arabo-persique.

 

Pendant cette journée, différents entraînements ont été menés afin de renforcer l’interopérabilité des deux marines. Des opérations d’escorte ainsi que de nombreux tests de réaction contre le harcèlement, voire l’attaque de FPB (Fast Patrol Boat), puis d’aéronefs ont permis à l’équipage de la frégate de maintenir son niveau opérationnel et sa capacité à opérer avec des navires américains.

 

Au cours de la journée, le commandant et une délégation du Courbet ont pu rencontrer les autorités du groupe aéronaval américain Carrier Strike Group 2 (CSG 2) à bord du porte-avions G.H.W. Bush.

 

Outre le porte-avions, quatre autres bâtiments de guerre américains ont participé aux différents entraînements : l’USS Arleigh Burke, l’USS Philippine Sea, l’USS Sirocco et l’USS Chinook.

 

L’action du Courbet s’inscrit dans la continuité de l’intégration de bâtiments français au sein d'un Carrier Strike Group. Elle participe au renforcement de l’interopérabilité entre navires français et américains, souvent engagés dans les mêmes opérations.

 

Ainsi, en avril dernier, la frégate Jean-Bart avait intégré le CSG 2 durant une dizaine de jours pour participer à sa défense anti-aérienne. Peu de temps auparavant, lors de la mission Bois-Belleau, le groupe aéronaval français constitué autour du porte-avions Charles de Gaulle avait effectué des manœuvres conjointes avec le porte-avions américain USS Harry S. Truman et son groupe aéronaval dans le golfe arabo-persique.

 

Depuis le passage du détroit d’Ormuz, le Courbet a intégré la Combined Task Force152. Cette force navale constitue l’un des volets maritimes de l’opération Enduring Freedom (OEF) de lutte contre le terrorisme à laquelle le Courbet participe depuis plus d’un mois.

 

Engagé depuis le 4 août dans l’opération Enduring freedom, le Courbet assure la contribution de la France à la mission de lutte contre les trafics maritimes liés au terrorisme dans la mer Rouge, le golfe d’Aden, la mer d’Arabie, le golfe d’Oman et le golfe Arabo-Persique.

Operation Enduring Freedom : Le Courbet s'entraîne avec le CSG 2 de l'US Navy
Operation Enduring Freedom : Le Courbet s'entraîne avec le CSG 2 de l'US Navy
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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 10:55
Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

Rafale photo S. Fort - Dassault Aviation

 

8 septembre 2014 par Gosia Petaux – Aerobuzz.fr

 

Le 8 septembre 2014, en marge de la douzième Université de la Défense (commissions de la Défense de l’Assemblée nationale et du Sénat), Dassault Aviation, Safran et Thales, ont officialisé la création d’une chaire « Défense et Aérospatial ». Elle est installée à Sciences Po Bordeaux pour une durée initiale de trois années.

 

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9 septembre 2014 2 09 /09 /septembre /2014 10:50
Tigerschießen über Südfrankreich


9 sept. 2014 Quelle: Redaktion der Bundeswehr 09/2014 14E12101

 

Ein Kampfhubschrauber TIGER fliegt über die spärlich bewaldeten Hänge. Plötzlich, links und rechts eines Weges, klappen Ziele auf. Innerhalb von Sekundenbruchteilen reagiert die Besatzung. Der TIGER senkt die Nase und zieht nach unten. Kurze Feuerstöße sind zu hören. Dann über Funk die Meldung: „Treffer! Alle Ziele bekämpft.“
Die Besatzungen, die hier den Kampfeinsatz ihres High-Tech-Hubschraubers üben, sind keine Anfänger. Sie alle haben bereits viel Flug- und auch taktische Erfahrung auf dem Panzerabwehrhubschrauber BO-105, kurz PAH gesammelt. Doch dieses Flugmuster wird durch den Kampfhubschrauber TIGER ersetzt und nun müssen auch die „alten Hasen“ nochmal umschulen. Am Deutsch-Französischen Heeresfliegerausbildungszentrum TIGER in Le Luc wird dafür der Grundstein gelegt.

 

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