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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:55
Décontamination : militaires et civils travaillent ensemble

 

23/04/2014 CNE N. Durand - Armée de Terre

 

Face à une catastrophe majeure, les moyens de secours doivent travailler ensemble pour être plus efficace. Pour s’y exercer, un attentat chimique a été simulé afin d’activer la chaîne de décontamination chimique de l'hôpital d'instruction des armées de Desgenettes à Lyon.

 

Le personnel médical de l'hôpital Edouard Herriot, ainsi que des étudiants en médecine viennent en renfort des militaires : le plan blanc est déclenché.

 

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:50
photo  JF. d'Arcangues - ECPAD

photo JF. d'Arcangues - ECPAD

 

25/04/2014 Opérations

 

Depuis cinq ans, le 4ème Régiment de Chasseurs, le Centre médical des armées (CMA) de Gap et le Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne (PGHM) de Briançon organisent une formation d'adaptation destinée aux auxiliaires-sanitaires et aux personnels médicaux des Troupes de montagne. Pour la deuxième année consécutive, un groupe d'Alpini italiens (l'équivalent de nos chasseurs alpins) se sont joints à l'exercice. Objectif : mieux appréhender les techniques de secours en montagne, applicables aussi bien aux détachements sur le territoire national qu'en opérations extérieures.

 

Diaporama

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:45
photo SGC Kévin Congini - Armée de l'Air

photo SGC Kévin Congini - Armée de l'Air

 

30/04/2014 Sources EMA

 

Le 23 avril 2014, le général de brigade Joël Rode, commandant les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj), a rencontré Madame Ursula von der Leyen, ministre de la Défense en Allemagne.

 

Lors de cette rencontre sous le hangar allemand de la base aérienne des FFDj, le COMFOR, accompagné du commandant de la BA 188, le colonel Sabéné et du chef de l’état-major des FFDj, le colonel Jovanovic, s’est entretenu avec la ministre allemande. Le général lui a rapidement présenté l’organisation et les missions des FFDj, les nombreux domaines de coopération franco-allemande à Djibouti et souligné les possibilités de renforcer encore la relation bilatérale. Le soutien logistique et opérationnel apporté par les FFDj aux moyens allemands engagés dans l’opération Atalante a été largement souligné par Madame von der Leyen.

 

Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français pré positionné permettant de disposer d’un réservoir de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Dans le cadre des accords de partenariat de défense entre la République de Djibouti et la France, les FFDj constituent l’un des cinq pôles de coopération de la France en Afrique. A ce titre, elles assurent des missions de coopération militaire avec les forces armées djiboutiennes, mais aussi avec les instances de la force africaine en attente en Afrique de l’Est. Parmi leurs missions, les FFDj apportent également un soutien logistique et opérationnel aux moyens aériens et navals français et étrangers engagés dans le cadre de la force européenne de lutte contre la piraterie.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:45
Sangaris : escorte d’un convoi de l’OIM

 

28/04/2014 Source EMA

 

Le 21 avril 2014, la force Sangaris a escorté un convoi de l’OIM (organisation internationale pour les migrations) de 90 musulmans, peuls, essentiellement femmes et enfants souhaitant quitter Bangui pour rejoindre Bambari, d’où ils sont originaires.

 

L’appui de la MISCA a facilité la sortie de Bangui et le franchissement de PK 12 qui se sont déroulés sans difficulté. Le travail préparatoire qui avait été réalisé à Bambari par la MISCA, les forces de sécurité centrafricaines, les autorités de la ville et le GTIA SCORPION a permis un très bon accueil de ces peuls par la population.

 

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5600 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris : escorte d’un convoi de l’OIM
Sangaris : escorte d’un convoi de l’OIMSangaris : escorte d’un convoi de l’OIM
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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:45
Mali : Désengagement du radar GIRAFFE

 

 

28/04/2014 Sources : EMA

 

Le 3 avril 2014, le système radar GIRAFFE a été désengagé du Mali après avoir servi pendant huit mois la force Serval.

 

Ce système de détection et de contrôle tactique (SDCT) a assuré la sécurité du volume d’approche et la régulation du trafic aérien de l’aéroport de Gao entre les mois d’août 2013 et de mars 2014, contrôlant près de 4000 mouvements. Il a également permis d’assurer, en toutes circonstances, dans son volume de détection, la sécurité des aéronefs de l’ONU et des organisations humanitaires vis-à-vis du trafic militaire engagé dans les opérations aériennes.

 

Interconnecté par liaisons de données tactiques aux centres de conduites des opérations aériennes métropolitains et de théâtre, ainsi qu’au centre de management de la défense dans la 3edimension (CMD3D) co-localisé, il a également contribué à l’accomplissement d’une centaine de missions aériennes de reconnaissance et d’appui aux opérations terrestres et à la remontée des informations de situation aérienne en temps réel vers les centres de décision.

 

Mali : Désengagement du radar GIRAFFE

Opéré par un personnel aguerri, le radar GIRAFFE a entre autre démontré son aptitude réactive à la projection par aérotransport et sa capacité à mettre à disposition de la conduite des opérations aériennes militaires et de gestion des crises des capacités de détection, de surveillance, de conduite, de coordination et de contrôle tactique remarquables.

 

Environ 1600 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA. Simultanément, la force Serval conduit son allègement, en coordination avec les FAMA et la MINUSMA, et devrait atteindre les 1000 hommes à la fin du printemps 2014.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:45
Sangaris : Focus sur les « maintenanciers » du SGAM

 

30/04/2014 Sources : EMA

 

Le 24 avril 2014, sur le camp M’Poko, une équipe de techniciens de l’aviation légère de l’armée de terre (ALAT) du sous-groupement aéromobile (SGAM) a effectué le contrôle technique d’un hélicoptère Puma.

 

Cette opération de type « 300 heures » (appelée ainsi car elle est réalisée toutes les 300 heures de vol) est conséquente car elle demande l’entretien de toutes les parties tournantes de l’aéronef (rotor, moteurs). Par le contrôle de chaque élément elle garantit la sécurité des vols. « Cette opération de maintenance est la plus lourde qu’on puisse réaliser sur le théâtre, précise le lieutenant Fabien, elle demande environ une semaine d’entretien mécanique. Demain nous procèderons aux vols techniques».

 

En France, ce type d’entretien est plus long. Mais sur un théâtre d’opérations les impératifs opérationnels ne permettent pas de prendre ces délais, c’est pourquoi une équipe se consacre à cette mission à temps complet. Cinq personnes travaillent sur l’aéronef : deux « avio » (avionique, radiocommunication et navigation) et trois « cell-mot » (cellule et moteur). Il faut y associer les techniciens sans qui l’équipe ne pourrait travailler : une équipe d’approvisionneurs, chargée entre autres de fournir les pièces de rechange, un chef d’atelier, un contrôleur, qui s’assure que les opérations de maintenance sont faites dans les règles de l’art, et un documentaliste, qui tient à jour le « carnet d’entretien » de l’aéronef qui le suit tout au long de son emploi dans les forces. Lorsque l’opération de maintenance est terminée, le lieutenant Fabien signe l’approbation pour remise en service. « Ma signature libère la machine et je peux ensuite la rendre au pilote ».

 

Affectés au 3e régiment d’hélicoptères de combat à Etain, les vingt-cinq mécanos travaillent chaque jour à la maintenance des six hélicoptères Puma et des deux Gazelle de l’armée de terre qui composent le SGAM de l’opération Sangaris. Ces techniciens sont un rouage essentiel dans le maintien en condition opérationnelle des capacités aéromobiles de la force.

 

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5600 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

Sangaris : Focus sur les « maintenanciers » du SGAMSangaris : Focus sur les « maintenanciers » du SGAM
Sangaris : Focus sur les « maintenanciers » du SGAMSangaris : Focus sur les « maintenanciers » du SGAM
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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:35
L’exercice «Malfrench Daggert» en préparation

 

 

25/04/2014 Armée de l'air

 

Du 7 au 11 avril 2014, l’Initial Planning Conference (IPC - conférence de planification initiale) de l’exercice « Malfrench Daggert 2014 » s’est tenue sur la base aérienne 106, dans les locaux du commando parachutiste de l’air (CPA) n°30.

 

Le chef d’état-major de l’armée de l’air a initié en 2010 une coopération franco-malaisienne dans les domaines GRS (groupe de récupération au sol), JTAC (Joint Tactical Attack Controller - équipes de contrôle et d’appui aérien) et survie au combat dans la jungle.

 

Les fusiliers commandos parachutistes de l’air issus du CPA 30 et les Paskau (fusiliers commandos de l’air malaisiens) ont ainsi construit l’exercice « Malfrench Daggert ». La première édition s’est déroulée dans la jungle malaisienne, du 18 novembre au 1er décembre 2012. Les Malaisiens, très intéressés par cette activité de coopération, ont demandé la participation de leurs troupes à un exercice similaire, cette fois-ci sur le territoire métropolitain.

 

L’édition 2014 de l’exercice aura donc lieu au cours du dernier trimestre de l’année. L’IPC conduite début avril a permis de définir ses principaux objectifs, qui seront validés lors de la prochaine rencontre entre les deux nations, en septembre 2014.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:35
Tadjikistan : dernière campagne de travaux à Douchanbé

 

 

25/04/2014 Sources : EMA

 

Le 20 avril 2014, les militaires du détachement du 25erégiment du génie de l’air (25e RGA) de Douchanbé ont débuté leur dernière campagne de travaux sur l’aéroport international de la capitale tadjik.

 

Entre 2004 et 2013, le régiment a procédé à la réfection de l’intégralité des chaussées aéroportuaires, à l’exception de l’emprise occupée par le détachement air (DETAIR) pendant dix ans.

 

Cette année, sur cette surface de 24 000 m², les sapeurs du 25e RGA ont pour mission de réaliser, selon les normes internationales, quatre plots de stationnement pour avion moyen porteur type B757-200 et Airbus A310. Ils se chargeront aussi de réparer les dégradations du taxiway, d’effectuer l’entretien annuel de la piste, de poser trois pylônes d’éclairage, de réaliser le terrassement des réseaux et le dévoiement d’une ligne haute tension.

 

Pour mener à bien l’ensemble de ces travaux avant la fin du mois d’octobre, une équipe d’une vingtaine de militaires a été déployée au Tadjikistan. Elle est composée d’experts en réalisation de chaussée aéronautique et d’assistanat en maitrise d’œuvre, de spécialistes en laboratoire des sols et topographie, d’un groupe de terrassement et d’une équipe spécialisée dans la pose mécanique du béton. Elle est accompagnée par deux maîtres d’œuvre du service infrastructure de la Défense (SID) et est soutenue par dix-huit personnes.

 

En novembre, une fois la campagne de travaux terminée, le DETAIR débutera alors la phase de désengagement définitive.

Tadjikistan : dernière campagne de travaux à Douchanbé
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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:25
FAG : Un C160 contribue au désenclavement de la commune de Saul

 

25/04/2014 Sources : EMA

 

Le 19 avril 2014, un C160 Transall en provenance de la base aérienne 367 de Matoury, située à proximité de Cayenne, s’est posé sur la piste d’atterrissage de Saul, dans le centre de la Guyane, pour y livrer un véhicule d’incendie.

 

La commune de Saul, difficilement accessible autrement que par voie aérienne, avait besoin d'un véhicule d'incendie depuis plusieurs mois. Le C160 Transall, qui dispose d'une soute adaptée à un colis de ce volume et qui est capable de se poser sur une piste sommaire, a été mis à contribution pour remplir cette tâche.

 

Offrant un volume sensiblement supérieur au besoin de la mission, le cargo du Transall a été rempli avec plusieurs articles supplémentaires, tels qu’un four à pain et du matériel de restauration collective.

 

A 7000km de la métropole, les forces armées en Guyane (FAG) garantissent la protection du territoire national et de ses ressources. Fréquemment engagées en appui de l’action de l’Etat dans des missions au caractère interministériel, les FAG agissent dans un cadre exigeant par son étendue (1100 km de frontières terrestres), son littoral difficile et sa forêt équatoriale.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 11:20
Visite officielle du CEMA aux Etats-Unis : cérémonie au cimetière national d’Arlington

 

29/04/2014 Sources : EMA

 

Le 23 avril 2014, dans l’Etat de Virginie aux Etats-Unis, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), s’est recueilli au cimetière d’Arlington aux côtés de son homologue, le général d’armée américain Martin Dempsey.

 

Situé en face de Washington DC, à côté du Pentagone au sud du fleuve Potomak, le cimetière national d’Arlington (Arlington National Cemetery) est un lieu de recueillement de la nation américaine.

 

Au cours d’une cérémonie hautement symbolique, le général de Villiers et le général Dempsey ont rendu hommage aux soldats américains morts en opérations, alors qu’ils affrontaient les défis auxquels sont confrontées nos démocraties, souvent aux côtés de leurs compagnons d’armes français.

 

Il s’agit d’une étape importante, à laquelle tenait tout particulièrement le général de Villiers à l’occasion du voyage officiel qu’il effectue aux Etats-Unis du 22 au 25 avril 2014

 

Ce voyage constitue le deuxième déplacement du CEMA aux Etats-Unis depuis sa prise de fonction, le 15 février dernier. Centré sur les opérations en cours et les crises auxquelles sont confrontés les deux pays, il lui permet de partager une appréciation de la situation sécuritaire et des planifications en cours avec son homologue, le général Dempsey, mais également avec les principaux responsables du conseil de sécurité nationale (NSC) de la Maison Blanche. Il lui donne enfin l’occasion de rencontrer les principaux commandeurs américains : US Strategic Command(USSTRATCOM) au Nebraska, US Central Command(USCENTCOM) et US Special Operations Command(USSOCOM) à Tampa en Floride.

Visite officielle du CEMA aux Etats-Unis : cérémonie au cimetière national d’ArlingtonVisite officielle du CEMA aux Etats-Unis : cérémonie au cimetière national d’Arlington
Visite officielle du CEMA aux Etats-Unis : cérémonie au cimetière national d’Arlington
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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 10:50
Smart Cam, la caméra intelligente du laboratoire ELSI

 

 

30.04.23014 DGA

 

Une caméra intelligente capable de reconnaître ce qu’elle voit et de réagir en conséquence. C’est la prouesse réalisée par le laboratoire ELSI (European Laboratory for Sensory Intelligence) de l’Institut franco-allemand Saint-Louis (ISL) qui a développé Smart Cam. Dotée de capacités cognitives, c'est-à-dire d’une faculté à apprendre, celle-ci élève les systèmes vidéo à un niveau jamais atteint. Une idée qu’il faudra suivre avant qu’elle ne nous suive.

 

Apprendre, reconnaître, décider, réagir… des tâches habituellement humaines ou, à un moindre degré, animales. Oui mais voilà, l’apparition du concept d’intelligence artificielle a bien pour but de bousculer cet ordre établi. Ainsi, une petite caméra, Smart Cam, est peut-être sur le point de prouver que l’homme n’est pas le seul à pouvoir se doter de capacités cognitives. C'est-à-dire d’acquérir une connaissance et une indépendance relative dans ses choix. Imaginée et réalisée par les équipes de Pierre Raymond, chercheur, ingénieur et responsable du laboratoire ELSI de l’Institut franco-allemand de recherches Saint-Louis (ISL), Smart Cam ouvre la voie à une nouvelle génération de caméras et offre des perspectives duales très prometteuses. Tout cela grâce à son processeur TEAM, Target Evolutive Associative Memory.

 

Capable de réaliser 2 000 tâches simultanées

« Avec son potentiel de 2000 processeurs, Smart Cam se posera à terme en expert de terrain capable de réaliser 2 000 tâches en simultané. Grâce à cela, notre caméra est dotée d’une intelligence artificielle suffisante pour nous permettre d’entraîner le système à reconnaître des situations complexes. Ainsi éduquée, la caméra ne régira qu’aux seules situations pour lesquelles elle aura été spécifiquement entraînée », explique Pierre Raymond. Par exemple, il suffit d’éduquer la caméra à reconnaître des chutes de personnes pour que celle-ci mémorise cette classe d’évènement. Ainsi, si l’appartement d’une personne âgée est équipé avec le système, celui-ci pourra détecter et identifier que la personne est tombée chez elle. Peu importe la physionomie de l’individu ou la topographie des lieux.

C’est bien le mouvement et la nature de son auteur qui sont reconnus. Smart Cam ne confondra jamais l’humain avec le chat qui descend du guéridon du salon ou le vase de la commode qui s’écrase sur le plancher de l’entrée. Dès lors que la caméra aura assisté à l’évènement et saisi le vrai problème, elle pourra immédiatement envoyer un message à un système centralisé pour qu’il puisse intervenir de manière adaptée et rapide si besoin. « Le secret, c’est que l’on ne code pas des équations mathématiques dans notre système mais bien de l’expertise. » Smart Cam n’est pas programmée pour faire, mais réellement pour apprendre à faire. Elle ne se contente pas d’analyser les images qu’elle filme, elle apprend surtout à les sélectionner avant d’enregistrer toute seule, de son propre chef… y compris si cette sélection implique de faire la différence entre deux personnes, deux voitures, deux attitudes, deux couleurs, etc. C’est l’utilisateur qui décide du niveau de précision de la sélection par l’éducation qu’il donne à sa caméra. « Smart Cam peut associer le nom d’une personne avec l’image de son visage, mais également avec celle de sa cravate ou de sa montre. Nous sommes limités uniquement par notre imagination ! Le système interprète la scène, informe et peut être doté d’une capacité de prise de décision automatique », se félicite Pierre Raymond.

 

La réalité dépasse bientôt la fiction

Un appareil qui ouvre la voie à de très nombreuses applications puisque le processus complet d’apprentissage se fait en quelques secondes à peine pour un visage par exemple. Visage que l’on pourra retrouver où qu’il soit, dès lors qu’il rentre dans le champs d’une caméra relié au système TEAM. La réalité dépassera donc bientôt la fiction car le matériel a également la capacité d'apprendre même en phase de reconnaissance. Maintenance industrielle, suivi de production, suivi de paramètres environnementaux comme la sismologie, système fire and forget pour tracking auto adaptatif, surveillance périmétrique…

Smart Cam prend en compte des aspects inédit. Comme contourner tous les problèmes de confidentialité généralement liés à l’envoi d’images en continu. En effet elle analyse localement des images et ne transmet, si nécessaire, qu’un message de quelques octets. Un peu comme un SMS. Nul besoin d’un canal de transmission à haut-débit pour cela ! « Seules les images appropriées peuvent être éventuellement enregistrées localement. Une spécificité qui limite considérablement la taille des fichiers et rend les transmissions difficilement repérables. Enfin, toutes les informations envoyées sont directement codées par notre moteur d’intelligence artificielle. Ce qui les rend ininterprétables sans le dictionnaire approprié » Smart Cam n'enverra jamais un flux vidéo mais uniquement un message électronique n'ayant de sens que pour l'utilisateur. « L’intimité des personnes reste préservée dans le respect total des prescriptions de la CNIL », spécifie Pierre Raymond.

 

Et ça peut aller vite

L’ISL, institut sous tutelle de la DGA et du BAAINbw, a jusqu’ici mené ces recherches en interne. Mais ce petit trésor de technologie pourrait bien à l’avenir être intégré à un programme d’envergure comme un PEA. « Pour l’heure, nous sommes arrivés à un tel niveau de maturation que nous sommes prêts pour démarrer un RAPID. L’intérêt opérationnel est que nous pouvons exposer Smart Cam aux situations les plus dangereuses. In fine elle pourrait jouer un rôle significatif pour la sécurité et l’intégrité des forces». Le laboratoire ELSI de l’ISL a un accord de coopération scientifique et technique avec une TPE bourguignonne, GlobalSensing Technologies devant aboutir rapidement à des transferts technologiques.

 

ELSI, un laboratoire de recherche pour la défense

ELSI est un laboratoire de recherches intégré à l’ISL qui lui même dépend à la fois du Ministère de la Défense français et allemand. ELSI a été crée sous l’impulsion conjointe du Conseil général du Haut-Rhin et de l’ISL le 31 mars 2009. Objectif : évaluer les potentiels des technologies dites « de rupture » dans le domaine de la technologie de l’information et de la communication, comme celle de l’intelligence artificielle.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 10:45
EUFOR RCA : une compagnie du 152e RI arme la force de l’UE

 

30/04/2014 Sources : EMA

 

Le 30 avril, la France a engagé une compagnie de combat d’infanterie au sein de la mission européenne en République centrafricaine (EUFOR RCA). Cette unité provient du GTIA Savoie de la force Sangaris, comme cela avait été initialement planifié.

 

Les effectifs français au sein de EUFOR RCA sont désormais de 160 hommes. A terme, les armées françaises contribueront à cette mission à hauteur de 450 militaires.

 

Parallèlement, le 30 avril, l’Union européenne a déclaré la capacité opérationnelle initiale de l’EUFOR RCA.

 

Le 1er avril, l’Union Européenne a annoncé le lancement de la mission EUFOR RCA, dont la France est nation cadre. Elle est commandée par le général de division Philippe Pontiès.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 10:20
La coopération scientifique US-France sur les hélicoptères à l’honneur

 

30.04.2014 –ONERA ( International)

 

La remise d’un prix prestigieux de l’American Helicopter Society marque la reconnaissance d’une fructueuse coopération entre des équipes de recherche de l’Onera et de leurs partenaires américains en matière de recherche scientifique et technologique des voilures tournantes.

 

La DGA, l’Onera, l’US Army, la NASA et le Georgia Institute of Technology se sont vus décerner le Agusta Westland International Helicopter Fellowship Award par l’American Helicopter Society . La remise aux équipes participantes  se fera à l’occasion de la 70ème conférence internationale de l’AHS –  qui se tiendra  à Montréal du 20 au 22 mai 2014. 

 

Leurs équipes sont en effet engagées dans la plus longue coopération du domaine  entre la France et les USA. Cette coopération a amené la résolution de questions scientifiques complexes ainsi que des avancées importantes sur la connaissance des phénomènes physiques de base. Elle a également permis de réaliser des progrès technologiques dans le domaine pré-compétitif , pour le bénéfice de la recherche dans le domaine de la R&D hélicoptères.

 

Cette coopération internationale découle d’un accord-cadre entre les ministères de la défense américain et français datant de 1971 et renouvelé en septembre 2013.

 

Dans le monde hélicoptères, la conférence internationale de  l’American Helicopter Society est l’évènement le plus  important rassemblant l’ensemble des acteurs de ce domaine.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 07:55
Des opérateurs en poste au JFACC

Des opérateurs en poste au JFACC

 

29/04/2014 Armée de l'air

 

Vendredi 18 avril 2014, le Combined Air Operation Center (centre de coordination des opérations aériennes) déployé sur la base aérienne de N’Djamena au Tchad a été désactivé. La partie conduite des opérations du Joint Force Air Component Command (JFACC - commandement de la composante aérienne de la force interarmées) pour l’Afrique centrale et de l’ouest, implantée sur le territoire tchadien depuis décembre 2012, a désormais rejoint la base aérienne de Lyon Mont-Verdun.

 

Les opérations récentes ou en cours, telles  que Harmattan en Libye ou Serval au Mali, ont démontré la capacité de l’armée de l’air à programmer, planifier et conduire les opérations aériennes depuis une structure fixe. C’est au cœur du Mont Verdun, à une centaine de mètres sous terre, que le centre national des opérations aériennes est devenu JFACC permanent. Ce dernier permet d’optimiser des structures permanentes dédiées à la mission de sûreté aérienne et la conduite des missions interministérielles. Il offre ainsi une meilleure réactivité, une disponibilité immédiate de spécialistes formés et entraînés ainsi qu’une diminution des coûts.

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1 mai 2014 4 01 /05 /mai /2014 07:55
8ème Rencontre Aviation Civile Aviation Militaire (RACAM)

 

by CESA

 

La 8ème Rencontre Aviation Civile Aviation Militaire aura lieu le 4 juin à la Direction générale de l’aviation civile. A cette occasion de nombreux experts civils et militaires interviendront sur le thème « L’Homme et l’aéronautique : regards croisés vers le futur ».

 

Téléchargez ici le programme

 

Pour vous ,inscrire

 

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30 avril 2014 3 30 /04 /avril /2014 20:50
Les commandos s’entraînent au tir

Les commandos s’entraînent au tir

 

30/04/2014 Armée de l'air

 

Du 10 au 18 avril 2014, la base aérienne 126 de Solenzara a accueilli une trentaine de militaires de la Royal Netherlands Air Force dans le cadre d’une préparation avant projection au Mali. Des instructions théoriques, pratiques et des mises en situation ont rythmé cette préparation opérationnelle, organisée et encadrée par des fusiliers commandos de l’escadron de protection 84/301.

 

Outre une présentation d’engins explosifs improvisés effectuée par le groupement d’intervention NEDEX de Salon-de-Provence, les fusiliers commandos néerlandais ont suivi des séances d’instruction spécifiques de tir au combat. Une activité rappel et des sessions d'escalade ont été organisées. Cet exercice s’est poursuivi avec une marche en montagne pour finir par un bivouac. D’autres activités ont été menées sur le champ de tir de Diane ainsi que sur le camp d’entraînement de Frasselli, à proximité de Bonifacio. Pour clôturer la période de manœuvre, les stagiaires ont testé leur aguerrissement sur le parcours commando nautique de la base aérienne 126. Fruit d’une initiative du groupe aérien européen, cet exercice a témoigné du savoir-faire des aviateurs de Solenzara dans l’organisation et le soutien à l’entraînement. Après cette préparation, les militaires néerlandais doivent rejoindre les rangs de la mission européenne EUTM Mali.

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30 avril 2014 3 30 /04 /avril /2014 20:45
Serval : point de situation du mercredi 30 avril

 

 

30/04/2014 Sources : EMA

 

Au cours des six derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec environ 60 sorties, dont une dizaine effectuées par les avions de chasse. 25 sorties ont été dédiées aux missions de transport et une dizaine aux missions de renseignement et de ravitaillement.

 

Au cours de la semaine dernière, les forces françaises ont conduit une opération ayant abouti à la neutralisation d’un groupe armé terroriste. Cette action d’opportunité a été conduite au Nord de Kidal contre un groupe identifié comme hostile. Elle a permis de neutraliser, c’est-à-dire de mettre hors d’état de nuire, les membres de ce groupe, dont un combattant qui a été tué et deux individus, qui ont déposé les armes et ont été remis à l’UNICEF. De façon générale, les opérations conduites par la France au Mali impliquent aussi bien les forces conventionnelles que les forces spéciales, avec une combinaison de moyens terrestres, aéromobiles et aériens. Pour ce qui est de cette action, elle a été conduite majoritairement par des éléments des forces spéciales. L’exploitation de cette action se poursuit actuellement.

 

L’action des détachements de liaison et d’appui opérationnel (DLAO) aux côtés des forces armées maliennes (FAMA) et de la MINUSMA a quant à elle permis de poursuivre l’accompagnement des forces africaines dans leur sécurisation de la zone. Cette semaine, les DLAO ont notamment participé à trois actions bien représentatives de ce qui est fait aujourd’hui au Mali.

 

Le 22 avril, à Tessalit, dans le cadre d’une mission de sécurisation dans la ville de Tessalit, un détachement du GTIA Siguides forces armées maliennes, appuyé par le DLAO1, a mené des patrouilles dans les divers secteurs de la ville afin de sensibiliser les populations sur les dangers des IED et d’affermir la présence des FAMA dans la ville.

 

Le 28 avril 2014, le DLAO1 s’est rendu aux abords de l’Adrar de Tiraouanine afin de détruire des restes de munitions non explosées, qui avaient été découvertes par le GTIA Elou. Les équipes EOD et le DLAO1 se sont rendus sur place pour éliminer les déchets, afin que ces munitions ne représentent plus aucun danger pour la population.

 

Enfin, le 24 avril, lors d’une opération dans la région de Kidal, le DLAO 2 a découvert une cache d’armes dans le désert. Après reconnaissance de la zone, les recherches ont permis de mettre à jour des munitions prêtes à être utilisées comme engins explosifs improvisés. Il s’agissait de 7 munitions de type obus de 122 mm et d’obus de mortiers de 120 mm. Ces munitions ont été détruites par l’équipe EOD du DLAO 2.

 

La montée en puissance des forces maliennes et de la MINUSMA dans l’appropriation de ces missions illustre le changement de phase de nos opérations dans la région.

 

L’intervention militaire française au Mali a permis de mettre fin à l’organisation industrielle du terrorisme au Mali grâce à une stratégie en trois temps : arrêt(de la descente des terroristes vers la capitale), neutralisation(destruction des sanctuaires terroristes), et transfert(à nos partenaires maliens, aux pays du champ, mais aussi à l’ONU et à l’UE). Aujourd’hui, au Mali, un président puis un parlement ont été élus démocratiquement. Peu à peu, l’État malien se reconstruit. Progressivement, la vie économique reprend son cours.

 

Pour frapper encore plus efficacement la menace, les armées vont progressivement poursuivre la pression au-delà des frontières maliennes sur l’organisation terroriste régionale, en régionalisant les opérations dans la bande sahélo-saharienne, afin de ne laisser ni impunité ni liberté de mouvement à ces groupes qui menacent l’ensemble des pays du Sahel. Il s’agit de la suite logique des opérations conduites au Mali.

 

Ce processus vise à entrer progressivement dans une logique régionale de la conduite des opérations. Ce changement de phase sera marqué par la mise en place du commandement de cette opération à Ndjamena, au Tchad. Cette bascule a déjà été marquée par des étapes intermédiaires.

 

Depuis le 31 mars, les opérations conduites dans la bande sahélo-saharienne sont regroupées sous un commandement unique, celui du général de division Foucault.

 

Le 09 avril 2014, le CEMA s’est rendu à Niamey afin de participer à la réunion du « G5 du Sahel », cadre institutionnel qui regroupe les cinq chefs d’états-majors de la bande sahélo-saharienne (BSS) : ces derniers s’y réunissaient pour la première fois afin de partager leur évaluation de la situation sécuritaire dans la bande sahélo-saharienne.

 

La mise en place de cette régionalisation se poursuit, notamment avec les travaux d’aménagement à N’Djamena qui devront permettre d’accueillir fin mai le poste de commandement unique de ces opérations, qui basculera ainsi du Mali au Tchad.

 

Dimanche 27 avril, le général de brigade Patrick BRETHOUS, chef du centre de planification et de conduite des opérations (CPCO), accompagné d’une délégation, est arrivé au camp Damien Boiteux à Bamako, afin de s’entretenir avec les autorités de la force Serval sur les problématiques liées à la régionalisation des opérations dans la bande sahélo-saharienne.

 

Environ 1600 militaires français sont actuellement présents sur le sol malien et poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

Serval : point de situation du mercredi 30 avril
Serval : point de situation du mercredi 30 avril
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30 avril 2014 3 30 /04 /avril /2014 20:45
Opération Sangaris: point de situation du 30 avril 2014



30/04/2014 Source EMA

 

Point sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République centrafricaine, du 23 au 29 avril 2014.

 

La force Sangaris est déployée en appui de la MISCA sur le territoire centrafricain. Les éléments du dispositif Sangaris sont engagés à l’Ouest du pays, de Beloko à Bangui, avec le GTIA Dragon, à Bangui et Boda avec le GTIA Savoie, et à l’Est du pays de Sibut à Bria avec le GTIA Scorpion.

 

A Bangui

Dans la capitale centrafricaine, la situation reste globalement calme, ce qui se traduit par une reprise des activités économiques. Ainsi cette semaine, 79 établissements scolaires sont ouverts, soit 5 de plus que la semaine précédente. Parallèlement, 33 centres de santé sont aujourd’hui opérationnels, de même que 18 marchés actifs. 80 vols ont été réalisés par des compagnies aériennes au mois d’avril, contre 40 au mois de janvier, la force Sangaris continue d’appuyer la MISCA dans la sécurisation de la ville, et principalement dans les 3ème et 5ème arrondissements, ainsi qu’à la sortie nord de la capitale (quartier PK12).

Ce calme relatif a été altéré, cette semaine, par la résurgence de tensions principalement dans le 3e arrondissement. Dans la nuit du 24 au 25 avril dernier, en particulier, un accrochage a eu lieu dans le 3e arrondissement à proximité du PK5. Des éléments français qui observaient une maison suspecte ont été pris à partie par plusieurs individus armés. Les militaires français ont immédiatement riposté et manœuvré. Avec l’aide de renforts, ils ont pu réduire cette résistance et sécuriser le quartier après plusieurs heures d’accrochage.

Le GTIA Savoie a poursuivi l’application des mesures de confiance dans Bangui. La détermination et l’impartialité affichées ont permis le démontage de check-points illégaux et la saisie d’armements.

Enfin, le 30 avril, un élément du GTIA Savoie a basculé au sein de la force européenne EUFOR RCA, comme cela avait été initialement planifié. Les effectifs français au sein de cette force européenne sont désormais de 160 hommes.

 

Dans l’ouest

La mission principale de la force Sangris dans l’Ouest reste le contrôle de l’axe logistique Béloko-Bangui qui relie le Cameroun à la capitale.

Environ 300 véhicules ont emprunté cette semaine la Main Supply Road (MSR). La moitié de ces camions ont choisi de circuler sans protection, signe de l’amélioration du sentiment de sécurité sur cet axe. La part de la MISCA dans l’escorte des convois est également en augmentation par rapport à la force Sangaris qui n’a escorté que 65 véhicules cette semaine. Le bon acheminement de ces véhicules jusqu’à Bangui est primordial car il permet le ravitaillement de la capitale qui abrite le quart de la population centrafricaine.

La situation est donc stable, même si le GTIA Dragon reste confronté à quelques groupes armés résiduels, notamment dans la région de Beloko.

Ainsi, le 23 avril, la force Sangaris y a sécurisé une distribution alimentaire au profit de la population, menacée par un petit groupe de pilleurs. Le 26 avril, la force Sangaris a dû intervenir contre un groupe d’une vingtaine de coupeurs de route qu’elle a délogés. Depuis, les opérations de contrôle de zone et les opérations héliportées se poursuivent pour maintenir la stabilité de la zone.

Les forces françaises sont encore présentes à Bossangoa mais sont en cours de relève par un contingent camerounais de la MISCA.

 

Dans l’est

Dans l’Est du pays, la force Sangaris a basculé son centre de gravité vers Bambari, afin de prendre en compte les zones de frictions concentrées dans le triangle Sibut / Dekoa / Grimari. Cette bascule a permis le démontage de plusieurs check points illégaux, participant ainsi au rétablissement de la libre circulation dans cette zone. A Grimari, la situation se stabilise, malgré quelques accrochages, le 29 avril, entre groupes armés. Le GTIA s’est interposé afin de ramener le calme dans la ville et apaiser les tensions.

A Bambari, la visite du général Soriano, commandant la force Sangaris, a permis de réunir les autorités militaires et les responsables locaux. Toutes les parties présentes ont réaffirmé leur confiance mutuelle et leur détermination à poursuivre l’application des mesures de confiance.

La situation reste calme entre Grimari et Bria.

Opération Sangaris: point de situation du 30 avril 2014
Opération Sangaris: point de situation du 30 avril 2014Opération Sangaris: point de situation du 30 avril 2014
Opération Sangaris: point de situation du 30 avril 2014Opération Sangaris: point de situation du 30 avril 2014
Opération Sangaris: point de situation du 30 avril 2014Opération Sangaris: point de situation du 30 avril 2014
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30 avril 2014 3 30 /04 /avril /2014 20:20
En visite officielle aux Etats-Unis, le CEMA conforte le niveau remarquable de notre relation militaire bilatérale.

 

29/04/2014 Sources : EMA

 

Le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), s’est rendu en visite officielle aux Etats-Unis du 22 au 25 avril. Il s’agit du second déplacement outre-Atlantique du général de Villiers depuis sa prise de fonction le 15 février dernier, ce qui témoigne de l’importance que le CEMA accorde à la qualité de la relation franco-américaine.

 

Cette visite s’est articulée autour d’entretiens qui ont permis au CEMA de prolonger la dynamique de notre coopération militaire bilatérale, tout en développant des relations personnelles avec les responsables américains de la sécurité nationale, ainsi que les grands commandeurs.

 

A la Maison Blanche, le général de Villiers a rencontré M. Tony Blinken, numéro deux du Conseil National de Sécurité (NSC), ainsi que Mme Lisa Monaco, conseillère du président Obama en matière de contreterrorisme. Il s’est également entretenu au Pentagone avec son homologue, le général Martin Dempsey.

 

Cette visite s’est poursuivie par un déplacement au sein des grands commandements américains en lien permanent avec les armées françaises.

 

Le CEMA a tout d’abord rencontré l’amiral Mark Fox, adjoint du Central Command, ainsi que l’amiral William H. McRaven, commandant le Special Operations Command. Ces deux rencontres ont permis de mesurer la densité de notre coopération militaire bilatérale, réalité qui découle de l’intensité et de la qualité de nos engagements opérationnels. En la matière, il est clairement apparu que les armées françaises disposent d’un très fort crédit aux yeux de notre allié américain.

 

Les entretiens ont principalement porté sur la coopération opérationnelle en Afrique, où la France et les Etats-Unis contribuent directement à la lutte contre les groupes armés terroristes qui menacent la sécurité de nos Etats. La  question des soutiens américains et de leurs futurs développements  ont été très directement abordés.

 

L’engagement militaire français dans le contexte de crise ukrainienne a également été salué. Depuis le 1er avril, la France participe en effet à la surveillance aérienne des espaces alliés à l’Est de l’Europe, avec des vols d’avions radar AWACS. De plus, quatre chasseurs Rafale ont été déployés en Pologne le 28 avril, en vue de s’entraîner aux côtés des Polonais à la NATO Air Policing et, sur demande de l’OTAN, de contribuer à la mission de  police du ciel au profit des Pays Baltes.

 

Les échanges sur la Syrie ont enfin confirmé les larges convergences de vue dans les analyses françaises et américaines, notamment sur le déroulement du processus de neutralisation des armes chimiques, ainsi que sur les risques de débordement régional de cette crise. La problématique des flux de combattants étrangers impliqués dans les combats en Syrie a également été évoquée.

 

Au-delà de la coopération opérationnelle, le général de Villiers a rencontré l’amiral Cecil D. Haney, chef du Strategic Command, en charge des dossiers de dissuasion nucléaire, de la cyberdéfense, de la défense anti-missile, de l’espace et du renseignement stratégique. Lors de cet entretien, différents aspects de notre coopération militaire ont été abordés, notamment dans des domaines clés que constituent la cyber-défense, la défense anti-missile balistique ou encore les échanges de données sur la surveillance de l’espace.

 

Dans le sillage de cette visite officielle, le général de Villiers rencontrera à nouveau son homologue américain lors du prochain comité militaire de l’OTAN, le 21 mai 2014 à Bruxelles.

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30 avril 2014 3 30 /04 /avril /2014 19:45
EUFOR RCA en charge de la sécurité à l'aéroport de Bangui

 

Bruxelles, le 30 avril 2014 EEAS ref 140430/02

 

À partir d'aujourd'hui, l’opération EUFOR RCA prend en charge la sécurité et la protection de l’aéroport de Bangui, en relève de la force française Sangaris. Ce transfert d’autorité est intervenu à midi, heure de Bangui, et fait suite à la déclaration par le général Philippe Pontiès, Commandant de l'opération, de la capacité initiale opérationnelle de la force.

 

Ce même jour, les premiers éléments du contingent estonien sont arrivés à Bangui, consolidant ainsi le déploiement européen en République Centrafricaine. La montée en puissance se poursuivra jusqu’au mois de juin pour atteindre la pleine capacité opérationnelle.

 

Lancée par le Conseil de l’Union européenne le 1er avril 2014, cette opération s’inscrit dans le cadre de la résolution 2134 du Conseil de sécurité des Nations Unies et vise, en appui de la force de l’Union Africaine MISCA, à contribuer au rétablissement d’un environnement stable et sécurisé dans la ville de Bangui. Elle permettra par ailleurs aux organisations internationales et non gouvernementales de consolider leur action au profit des populations les plus vulnérables ainsi que la poursuite des projets humanitaires et de développement soutenus par l’Union européenne dans la capitale centrafricaine.

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30 avril 2014 3 30 /04 /avril /2014 16:56
Appel à soumission pour la conférence C&ESAR 2014

 

30/04/2014 DGA

 

La 21édition de la conférence C&ESAR, organisée dans le cadre du « pôle d’excellence cyber » par DGA Maîtrise de l’information en partenariat notamment avec l’ANSSI et la DGSIC, se tiendra à Rennes du 24 au 26 novembre 2014 sur le thème « Détection et réaction face aux attaques : état des lieux, avancées et perspectives ».

 

Cette année, C&ESAR traitera de la lutte contre les cyber-attaques, couvrant deux aspects spécifiques, les problèmes de la détection de ces cyber-attaques d’une part, et de la réaction d’autre part.

La détection, dite historiquement « détection d’intrusions », est un domaine de recherche actif depuis le début des années 1980, et les sondes de détection sont des technologies déployées opérationnellement depuis la fin des années 1990. Ces sondes font aujourd’hui partie de la panoplie des outils des professionnels de la sécurité. Dans la continuité de ces développements, sont apparus au début des années 2000 les plates-formes de gestion de la sécurité, puis les centres opérationnels de sécurité permettant d’externaliser détection et réaction. Depuis le milieu des années 2000, une activité de recherche se développe également autour de l’automatisation des contre-mesures. Cette expérience opérationnelle d’une vingtaine d’années permet de dresser le panorama suivant :

  1. Les sondes permettent de détecter des attaques, mais il peut toujours demeurer une part d’attaques non détectées, qui sont perçues comme les plus dangereuses.
  2. Même lorsqu’elles sont détectées par les sondes, certaines attaques peuvent donner lieu à compromission car les alertes correspondantes ne sont pas ou mal traitées.
  3. Les opérationnels peuvent être réticents par rapport au concept de réaction automatisée, alors qu’ils regrettent le nombre d’alertes à traiter.

Il apparait donc nécessaire de faire le point sur les technologies existantes pour détecter et réagir face aux cyber-attaques, et de proposer des usages et de nouveaux développements afin de les améliorer.

À cette fin, des propositions de communication sur ce thème sont attendues dans trois catégories :

  • didactique : états de l’art, bonnes pratiques, architectures types, partage de retours d’expérience, etc.
  • générale : enjeux, évolutions des menaces, normes, cadre réglementaire, juridique ou légal, gouvernance et organisation des centres opérationnels de sécurité, stratégies d’anticipation et de planification, gestion de crise, etc.
  • spécialisée : explication de techniques de détection spécifiques, présentation d’approches ou de solutions comportementales, techniques de corrélation, mise en place de systèmes de contremesures, évaluation du risque présenté par les alertes, évasion de la détection, traitement des faux positifs et faux négatifs, exploitation de données appliquée aux traces, etc.

Modalités de soumission

Le détail de l’appel et les modalités de soumission sont accessibles sur le site, rubrique " appel à com

Dates importantes

• Soumission des propositions de communications (entre 3 et 8 pages) : 16 juin 2014

• Notification aux auteurs : 4 juillet 2014

• Version finale (entre 8 et 16 pages) : 1er octobre 2014

• Conférence : du 24 au 26 novembre 2014

 

Comité d’organisation

Président : Yves CORREC (ARCSI, France)

José ARAUJO (ANSSI, France) Olivier HEEN (Technicolor, France) ; Boris BALACHEFF (HP Labs, France) Ludovic MÉ (Supélec, France) ; Benoit MARTIN (DGA Maîtrise de l’information, ministère de la Défense, France) ; Ludovic PIETRE-CAMBACEDES (EDF, France) ; Florent CHABAUD (DGSIC, ministère de la Défense, France) ;  Éric WIATROWSKI (Orange, France).

Comité de programme

Président : Hervé DEBAR (Télécom-SudParis, France)

Marie-Thérèse ANDRE (ministère de la Défense, France) ; Olivier BETTAN (Thalès, France) ; Guillaume BONFANTE (LORIA, France) ; Pierre CARON (Orange Labs, France) ; Yves CORREC (ARCSI, France) ; Frédéric CUPPENS (Télécom Bretagne, France) ; Marc DACIER (SYMANTEC, France) ; Gérard GAUDIN (Club R2GS, France) ; Christian GUERRINI (SOGETI, France) ; Nicolas GUILLERMIN (ministère de la Défense, France) ; Olivier HEEN (Technicolor, France) ; Sébastien HEON (CASSIDIAN, France) ; Grégoire JACOB (Lastline, USA) ; Frédéric LE BASTARD (La Poste, France) ; Jean LENEUTRE (Telecom ParisTech, France) ; Ludovic MÉ (Supélec, France) ; Benjamin MORIN (ANSSI, France) ; Vincent NICOMETTE (CNRS/LAAS, France) ; Ludovic PIETRE-CAMBACEDES (EDF, France) ; Jouni VIINIKKA (6Cure, France) ; Éric WIATROWSKI (Orange, France).

Cette liste pourrait être étendue prochainement.

À propos de C&ESAR

Le ministère de la Défense organise chaque année depuis 1997 le colloque C&ESAR (Computer & Electronics Security Applications Rendez-vous) dédié à la sécurité informatique, en vue de réunir les acteurs gouvernementaux, industriels et académiques. Cet événement vise un double objectif, scientifique et didactique, en rassemblant durant trois jours experts, chercheurs, praticiens et décideurs, pour un tour d’horizon sur un sujet particulier en sécurité informatique. Le thème choisi est abordé dans une perspective opérationnelle aussi bien que théorique, avec une dimension didactique prononcée pour aider les professionnels de secteurs différents à partager une compréhension commune de problématiques complexes. Cette approche interdisciplinaire de la sécurité informatique permet aux utilisateurs de terrain d’étudier et d’anticiper les avancées théoriques ou techniques, et aux industriels ou aux scientifiques de confronter la recherche et le développement des produits aux réalités opérationnelles.

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30 avril 2014 3 30 /04 /avril /2014 16:55
Missile ASMP-A sous un Rafale B des Forces aériennes stratégiques photo Cosmao

Missile ASMP-A sous un Rafale B des Forces aériennes stratégiques photo Cosmao

 
 

Poursuivant son cycle d'auditions consacrées à la dissuasion nucléaire française, la commission de la défense nationale et des forces armées de l'Assemblée nationale a entendu le 15 avril le général Denis Mercier, chef d'état-major de l'armée de l'Air (CEMAA), ainsi que le général Patrick Charaix, commandant les Forces aériennes stratégiques (FAS). Evoquant la modernisation de la composante aéroportée de la dissuasion, le CEMAA a rappelé que deux projets sont à l'étude pour remplacer l'actuel missile de croisière nucléaire ASMP-A, emporté par les Rafale et les Mirage 2000N : "l'un privilégiant la furtivité du missile, l'autre l'hypervélocité de celui-ci avec des perspectives à Mach 7 ou Mach 8", a-t-il souligné. "C'est cette seconde solution qui a ma faveur", a déclaré l'aviateur.


"La maîtrise de l'hypervélocité apparaît d'ores et déjà comme une donnée centrale", explique le général Mercier aux députés, ajoutant que de nombreux pays comme les Etats-Unis, la Russie, la Chine ou l'Inde conduisent déjà des expérimentations dans ce domaine. "J’imagine avec peine que la France, pays qui jouit d’une avance incontestable en matière de statoréacteur, reste en marge de ces développements", ajoute l'aviateur.

Cette évolution à long terme du missile air-sol français, dont le lancement éventuel pourrait être décidé à l'horizon 2016, nécessitera d'opérer une "rupture capacitaire" et d'engager "un véritable travail, avec le CEA et avec MBDA de recherche technologique, notamment sur la résistance des matériaux et les propulseurs", selon les termes du général Patrick Charaix.

Le CEMAA rapelle par ailleurs que "s’agissant du missile ASMP-A, une opération de traitement d’obsolescences et d’amélioration a minima de certaines performances pour les adapter aux missiles anti-missiles connus sera conduite et devrait durer environ dix ans". Ce chantier de rénovation à mi-vie, qui doit théoriquement être commandé cette année par la Direction générale de l'armement (DGA) au missilier MBDA et au CEA, permettra également "d’améliorer la probabilité de réussite des tirs", d'après le général Mercier.

Revenant sur la complémentarité de la composante aérienne par rapport aux sous-marins nucléaires lanceurs d'engins, le patron des FAS insiste sur la "très grande précision du missile ASMP-A", censée offrir "la possibilité de détruire des objectifs fortement résistants et d’exécuter des frappes aux effets adaptables et strictement conformes à ceux décidés par le président de la République". "Nous amenons la précision, et la composante océanique apporte un effet plus large", résume le général Mercier.

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30 avril 2014 3 30 /04 /avril /2014 16:55
Le bouclier Targalight CX est un bouclier blindé portable

Le bouclier Targalight CX est un bouclier blindé portable

 

30/04/2014 Economie et technologie

 

Un bouclier d’un tout nouveau genre vient de voir le jour. Destiné à protéger l’homme en intervention et baptisé Targalight CX+, il a la particularité d’être portable contrairement à son « ancêtre » à roulettes. A la fois plus léger et plus efficace, ce petit bijou de technologie mis au point par la société TenCate Advanced Armour va révolutionner l’univers pointu de la balistique.

 

La DGA a lancé le défi, Tencate Advanced Armour l’a relevé. Imaginer un bouclier portable à la main et disposant d’un niveau de protection maximal. C'est-à-dire résistant aux armes de guerre du niveau le plus élevé, le niveau 4. «Jusqu’à ce jour de tels boucliers pesaient dans les 25 kilos, explique Cyril Veillat, responsable de la division protection personnelle chez TenCate Advanced Armour. Les unités d intervention les utilisent posés sur des chariots à roulettes pour les déplacer. Ce type de bouclier n’est pas adapté pour les terrains accidentés ou dansles escaliers… Nous avons donc commencé par travailler sur le poids du bouclier en recourant à des matériaux de toute dernière génération. » En intégrant, entre autres, des céramiques très hautes performances Tencate Advanced Armour a fait perdre 8 kilos à son bouclier. « Avec ses 17,2 kg, il peut désormais être transporté à la main partout en opérations. »

 

D’autres innovations technologiques ont également été développées et intégrées. Par exemple, les bords du bouclier sont équipés d’une protection supérieure aux chocs. « Elle permet de préserver la céramique. Nous l’avons testée en faisant tomber le bouclier de 1m de haut. La céramique reste intacte et le soldat est donc toujours en sécurité », précise Cyril Veillat. Il y a eu également l’ajout d’une finition Rosist®. Grâce à elle, le bouclier résiste aux produits chimiques, à l’eau et aux flammessans altération de ses performances. « Nous avons travaillé aussi sur la poignée, que nous avons voulu ambidextre, avec plusieurs prises de positionnement, réglable et ajustable pour une maniabilité optimale. »

 

Unique au monde… et déjà en action !

 

« Si la DGA a initié le projet, elle l’a surtout chapeauté en amont. Notamment en faisant remonter les attentes des différentes unités qui n’interviennent pas forcément sur des théâtres d’opérations identiques. Connaitre les besoins réels des opérationnels tels que le CPA10, le Commando Hubert, le 1er RPIMA, le GIGN, …, nous a permis d’envisager le produit le plus abouti », ajoute Cyril Veillat. TenCate Advanced Armour a ainsi travaillé à partir d’un cahier des charges très précis dès la fin 2011. Par ailleurs, la DGA a eu un rôle de financeur. « Et grâce à cela, nous avons pu utiliser des technologies vraiment très avancées par rapport à ce qui existe actuellement sur le marché. Aujourd’hui, nous sommes les seuls au monde à avoir un produit de cette sorte ! », indique le responsable.

 

Les tests finaux du targalight CX+ se sont déroulés à la DGA en mai et juin 2013. Et les résultats sont plus que satisfaisants. Le bouclier résiste aux tirs de kalachnikov, aux balles perforantes en multi-impact. Depuis, des contrats sont déjà arrivés de plusieurs points du globe, en Asie notamment. « Toutefois, ce n’est pas un marché de masse. Ce type de boucliers est utilisé par les forces spéciales, par exemple, pour des applications extrêmement spécifiques lors de certaines opérations, militaires bien sûr mais aussi civiles ».

 

La prochaine étape ? « Son amélioration! Certes, nous sommes sur un produit premium en termes de qualité et de performance. Mais ce qui nous intéresse maintenant c’est d’avoir le plus de retours terrains possibles sur son utilisation afin d’adapter parfaitement ce bouclier à l’homme », conclut Cyril Veillat.

 

Innovation : le premier bouclier balistique enfin portable

Jusqu'à ce jour, l'équivalent du bouclier de Tencate (en haut) pèse 25 kg et est à roulette

 

La diversité de TenCate

 

TenCate Advanced Armour est la filiale française du groupe néerlandais Royal TenCate, composé de 4 500 salariés avec 1 milliard d’euros de chiffre d’affaires. Pour la petite histoire, cette entreprise qui a plus de 300 ans fabrique des produits aussi divers et variés que des tissus techniques résistants aux flammes pour les pompiers , de l’herbe synthétique pour les stades de football, , des composites pour l’A380 et l’A350 ou encore des produits balistiques comme c’est le cas du bouclier. Basée à Primarette (Isère), TenCate Advanced Armour est spécialisée dans les produits balistiques pour la protection personnelle, véhicule et aéronautique.

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30 avril 2014 3 30 /04 /avril /2014 16:55
Revue de la gendarmerie nationale n°249 en ligne !


30/04/2014 Sirpa gendarmerie

 

« Le progrès, trop robot pour être vrai ! ». La Revue de la gendarmerie nationale dont le dossier central est consacré aux technologies nouvelles, est en ligne. Vous pouvez la consulter dès à présent ou la télécharger sur notre site Internet.

 

Pour ceux qui ne la connaissent pas, la Revue de la gendarmerie nationale est un trimestriel à caractère scientifique, avec des dossiers de fond traitant des thématiques sécuritaires actuelles.

 

Au sommaire de ce numéro, vous pourrez lire des articles comme « L'homme et le robot, des partenaires au cœur du conflit », « Les véhicules de demain » ou encore « Les produits de marquage »mais aussi « L'impression 3D, enjeux et perspective ».

 

Le prochain dossier portera sur les investigations criminelles.

 

Depuis le numéro 241, les revues sont consultables sur le site Internet de la gendarmerie.

 

 

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30 avril 2014 3 30 /04 /avril /2014 11:55
Simulateur de vol de l’hélicoptère NH90  - photo Sogitec Industries

Simulateur de vol de l’hélicoptère NH90 - photo Sogitec Industries

 

 

29 avril Aerobuzz.fr

 

Sogitec Industries a retenu la solution logicielle Genecopter de Genesis pour la restitution de l’environnement sonore des simulateurs NH90 des Forces françaises et finlandaises. Sogitec est maître d’œuvre du programme de développement et de production de 7 simulateurs de vol NH90 pour l’Armée de terre, la Marine nationale et l’Armée de terre finlandaise. Le premier simulateur, de type MRTD (Medium Range Training Device), est opérationnel au Centre de formation interarmées (CFIA) de l’Ecole de l’Aviation légère de l’Armée de Terre (EALAT) au Luc (Var).

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