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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 20:55
Hors-série prometteur - La cavalerie au combat : récits et témoignages

13.03.2014 F de St V. - Mars Attaque

 
Les éditions Caraktère sortent d'ici quelques jours un hors-série exceptionnel sur la cavalerie française au combat. En effet, le HS n°24 de Batailles et blindés sera entièrement consacré à l'engagement des différentes unités de l'arme blindé cavalerie (lourde, légère, renseignement, etc.).
 
En plus de la présentation de la cavalerie aujourd'hui (doctrine, organisation, etc.), et avec la qualité que nous connaissons aux publications de cette maison d'édition, ce numéro fera la part belle aux témoignages des acteurs engagés au Mali, en Afghanistan, en Côte-d'Ivoire, au Tchad, etc.
 
 
Plus de 200 illustrations (dont un certain nombre sont inédites) viendront compléter les 150 pages de ce magazine, entièrement rédigé par des cavaliers (officiers, sous-officiers, militaires du rang), avec 15 pages d'infographies présentant les principaux matériels en 3D (Leclerc, VB2L, AMX-10RCR).
 
 
A mettre dans toutes les mains pour découvrir ou mieux comprendre en quoi la cavalerie via toutes ses composantes a été et sera au cœur de la mêlée et du combat interarmes d'hier et de demain.
 
C'est en plus un bel hommage rendu à tous ces cavaliers engagés aujourd'hui quotidiennement en opérations et dans quasiment toutes les dernières opérations menées par les armées françaises.

Très bientôt dans les kiosques.

A NOTER : les bénéfices des ventes de ce numéro seront intégralement reversés à l'association "Terre Fraternité" qui accompagne les blessés de l'armée de Terre, et leurs proches.
 
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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 20:45
EU mission in Central African Republic suffers setback

 

14.03.2014 EurActiv.com (Reuters)

 

A European Union plan to deploy peacekeepers in the Central African Republic is in jeopardy because of the failure of European governments to provide soldiers and equipment, EU sources said on Thursday (13 March).

 

The EU has drawn up plans to send 800 to 1,000 soldiers to the Central African Republic to join 6,000 African and 2,000 French troops, who have struggled to stop the fighting that started when the mostly Muslim Seleka rebels seized power a year ago in the majority Christian state.

Failure to launch the mission would be an embarrassment for the European Union, which has been trying to burnish its credentials as a security organisation, and a setback for France, which has called for more European support for its efforts in Central African Republic.

EU foreign policy chief Catherine Ashton wrote to governments on 11 March, to say the EU had hoped to launch the operation next Monday, but that "the difficulties we are experiencing in generating the necessary capabilities to establish the EU force put these plans at risk."

"We are in particular still missing logistical enablers, staff for headquarters and infantry units ... As of today the operation commander still does not have sufficient troops at his disposal required to conduct the operation," Ashton wrote in the letter, a copy of which was seen by Reuters.

"Logistical enablers" means vehicles and soldiers qualified in logistics, according to an EU diplomatic source.

 

Consequences

The EU held three so-called "force generation" conferences in February and early March, at which EU governments pledged soldiers and equipment.

A fourth meeting was held on Thursday, after Ashton made her appeal, but there was little change in the situation. Key equipment and troops were still lacking, the source said, adding that about 80 percent of the required soldiers had been pledged.

Based on this situation, the force's French commander, Major-General Philippe Ponties, concluded that he could not recommend launching the mission for now, the source said.

In her letter, Ashton spelled out the consequences of a failure to launch the mission, saying that, in the short term, it would make it difficult for the United Nations to deploy a planned peacekeeping force which is expected to be nearly 12,000-strong.

"In the long term, the EU would risk losing its credibility. Indeed, our deployment has been announced to our partners in the Central African Republic and in the region, to the African Union and to the UN," she said.

"The time has come for us to deliver, and we must support the international community in a joint effort to make the Central African Republic a secure place to live in," she said.

Estonia, France, Latvia and Portugal are among EU states that have committed soldiers to the force so far as well as non-EU member Georgia, diplomats say.

 

‘Stabilisation’ measures

Together with other international donors, the EU has pledged €366 million to the CAR in January, looking to balance short-term security and "stabilisation" measures, with humanitarian and development aid programmes. These include short-term relief, as well as the restoration of basic services and cash-for-work programmes.

The European Commission also decided to increase its humanitarian support to €45 million in 2014, based on a study of the needs in the region, including shelter, health, protection from violence, water, sanitation and hygiene. The European Union gave €76 million in 2013, with €39 million coming from the Commission.

 

>> Read: Donors pledge $496 million to Central African Republic

 
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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 19:55
L'exposition « Été 14. Les derniers jours de l’ancien monde »

 

11.03.2014 centenaire.org

 

Pour commémorer la Première Guerre mondiale, le ministère de la Défense et la Bibliothèque nationale de France ont choisi une approche originale en se concentrant sur le déclenchement du conflit. Pourquoi, comment l’Europe s’embrase-t-elle en quelques semaines après l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche ? Se penchant sur l’enchaînement des décisions qui aboutissent à la déclaration de guerre, l’exposition dresse le portrait de l’Europe de 1914 et met en lumière les origines d’un conflit inédit dans l’histoire de l’humanité, tant par le nombre effroyable de victimes que par les bouleversements qu’il a entraînés dans le monde entier.

 

Le parcours de l’exposition s’organise autour de la chronologie resserrée des évènements du 23 juillet au 4 août 1914 et l’enchaînement des décisions diplomatiques, politiques et militaires qui conduisent à la conflagration générale.

 

Sept séquences thématiques approfondissent la chronologie, permettant au public de mieux comprendre le fonctionnement des sociétés et les mentalités des hommes et des femmes à la veille du conflit. L’exposition commence par une vue d’ensemble des états et de leurs principaux dirigeants politiques. L’Europe vient de connaître une longue période de paix, qui a permis un essor économique sans précédent, une première mondialisation. Jeux Olympiques, Prix Nobel et Expositions universelles forment autant de symboles du cosmopolitisme culturel des années 1900. Toutefois, des tensions persistantes aussi bien en Europe (Alsace-Lorraine, Balkans...) que dans les colonies (crises marocaines...) montrent la fragilité de l’équilibre diplomatique. Parmi les intellectuels, les partisans de la paix, socialistes, chrétiens ou juristes, s’opposent aux nationalistes exacerbés, aux partisans de la guerre régénératrice. La question ne se pose pas aussi nettement dans les populations : les militaires sont très présents dans la vie de tous les jours, et la conscription est une obligation. Le soldat est une figure populaire et appréciée. Dans leurs bureaux, les états-majors se préparent, au cas où une guerre se présenterait : il faut être prêt, en termes de stratégie bien sûr, mais aussi d’armement, de logistique et de formation des officiers ! Les mobilisations en août 1914 montrent à quel point cette préparation a été efficace.

 

Une dizaine de figures célèbres, parmi lesquelles Marie Curie, Stefan Zweig ou Albert Einstein, permet d’évoquer les répercussions de la crise dans ses dimensions individuelles : si certains sentent monter les périls, d’autres comme J.R. Tolkien restent très indifférents...

 

La fin de l’exposition traite du choc et de la surprise que constituent, au front comme à l’arrière, les premiers effets concrets de la guerre : l’Europe sombre d’un coup dans un monde d’une violence inouïe, avec dès le mois d’août des milliers de victimes, civiles comme militaires.

 

L’ensemble du parcours s’appuie sur des documents - journaux, lettres, livres, archives photographiques, estampes et objets - issus des départements de la BnF mais aussi des collections du ministère de la Défense, co-producteur de l’exposition, ainsi que du Musée de la Grande Guerre de Meaux, de la Bibliothèque historique de la Ville de Paris et de pièces issues des collections de plus d’une trentaine de prêteurs.

 

Informations pratiques

 

Du 25 mars au 3 août 2014

Grande Galerie

BnF / site François-Mitterrand

Quai François Mauriac

75013 Paris

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 17:55
Un nouvel outil opérationnel pour les géographes du « 28 »

 

14/03/2014 par 28e  groupe géographique

 

Afin de répondre à des sollicitations opérationnelles de plus en plus importantes, le 28e  groupe géographique s’est doté fin 2013 d’une structure permanente de production cartographique : le Centre Cartographique d’Appui aux Opérations (CCAO) .

 

Cet outil a pour vocation de réaliser des produits cartographiques à toutes les échelles et de toute nature répondant aux besoins exprimés, via le Commandement des Forces Terrestres (CFT), par les différents acteurs de la chaine fonctionnelle qu’ils soient au niveau stratégique (Centre de Planification et de Conduite des opérations, Commandement des Opérations spéciales, Direction du Renseignement Militaire) ou opératif (État-major Inter Armes, Poste de Commandement Inter Armes…).

 

Composée de deux équipes de cartographes  des Batteries géographiques mises en place en auto relève pour une durée de deux mois, cette structure est placée sous les ordres du chef de la Section des Travaux Géographiques appartenant au Bureau Opération Instruction (BOI) du régiment. Le centre se fixe trois objectifs majeurs :

- Développer une structure dédiée aux missions cartographiques en répondant rapidement aux besoins spécifiques des forces engagées en opération ou préparant un déploiement.

- Répondre à l’ensemble du besoin des forces en étant en mesure de réaliser toute production s’inscrivant dans la large gamme de la cartographie militaire. Il s’agira essentiellement de produits venant compléter ou mettre à jour la cartographie existante sur un territoire considéré.

- Valoriser l’expertise cartographique pour les officiers spécialistes de l’analyse terrain qui pourront mettre à contribution cette structure dans le cadre de l’élaboration de leurs études. Mais également pour les modules « Guépard » du régiment en mesure de s’appuyer sur le CCAO pour travailler sur des produits à vocation opérationnelle avant un éventuel engagement.

 

Les principaux produits géographiques qui sortent de la chaine de production du CCAO sont de la nature suivante :

 

- Cartes de haute précision à grandes échelles telles que les plans de ville - photo 28e GG

- Cartes de haute précision à grandes échelles telles que les plans de ville - photo 28e GG

- Représentations 3 D

- Représentations 3 D

- Cartes thématiques

- Cartes thématiques

Un nouvel outil opérationnel pour les géographes du « 28 »

- Cartes normalisées à des échelles intermédiaires (de 25K à 250K) destinées à la manœuvre, permettant une connaissance précise du terrain et du milieu et donnant un appui indispensable à la mobilité terrestre et à la navigation, garantissant une précision de localisation.

 

A ce jour, le CCAO a réalisé de nombreux produits géographiques de fond et continue sa production au profit des forces engagées notamment dans les opérations Serval  et Sanguaris.  Nul doute que les cartographes du « 28 » continueront à apporter leur expertise pour répondre aux mieux aux besoins des troupes françaises déployées sur le terrain. Une fois de plus, ils démontrent que leur sens aigu de « l’appui géographique  » aux forces contribue à la réussite des opérations.

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 13:55
L’exosquelette Hercule au JT de France 2


14/03/2014 DGA

 

L’exosquelette développé par la PME Rb3d et supporté par la DGA était, le 13 mars 2014, l’un des sujets phares du journal télévisé de 20 heures sur France 2.

 

Hercule est un projet d'exosquelette 100% français développé depuis 2009 par la PME Rb3d. La première version de cet exosquelette a été conçue grâce au soutien de la DGA qui continue de soutenir le projet à travers la commande d'un deuxième démonstrateur. En cours de développement, celui-ci est destiné à la protection des démineurs.

La troisième version de Hercule, celle présentée sur le plateau du JT de France 2, est quant à elle destinée à des applications civiles. Il s'agit du premier exosquelette à usage professionnel. L'objectif est de permettre à un opérateur de déplacer des charges lourdes sans risques de lésions musculo-squelettiques.

 

> Voir le sujet de France 2 sur le site de la chaîne

> Voir la page Facebook d'Hercule

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 12:55
Des armes contre la cybercriminalité

 

13/03/2014 Béatrice Colin - 20minutes.fr/toulouse

 

Technologies Un projet de filière cybersécurité autour de l'aérospatiale est en train de voir le jour

 

Il y a vingt-cinq ans, le Web voyait le jour. Aujourd'hui, s'il offre des possibilités à l'infini grâce aux réseaux sociaux, au Cloud et Big Data, il est aussi devenu le terrain de jeu de nouveaux criminels. «Ces hackers ne sont pas des amateurs installés au fond de leur garage ou des voleurs de cartes bancaires. C'est plus structuré. Leur but n'est pas de faire du bruit, mais de s'insérer et de télécharger de la donnée pendant des années. Ces cyberattaques sont orientées vers l'espionnage économique et technologique», explique Fabien Lecoq, le directeur du centre de cyber-sécurité de Steria, à Colomiers.

 

Personne n'est à l'abri

 

Lorsqu'il a ouvert il y a quatre ans pour être près de son client Airbus, le centre comptait 20 salariés. Ils sont 120 aujourd'hui à travailler pour une quarantaine d'entreprises privées et publiques. Ils surveillent 24 h/24 près de 40 000 serveurs et 500 000 utilisateurs. Face aux enjeux économiques, les sociétés prêtent de l'importance à la protection de leurs données et savent que personne n'est à l'abri des cyberattaques. Bercy et la NSA en ont même fait les frais.

 

«Lorsqu'ils sont attaqués, les donneurs d'ordre de l'aéronautique et les gros sous-traitants ont les moyens de se défendre. Ce qui n'est pas toujours le cas des PME et des entreprises de taille intermédiaire, or elles détiennent des informations importantes. En 2012, elles ont enregistré 42 % d'attaques en plus. Nous avons donc lancé l'idée de créer une solution pour elles, avec un modèle abordable», explique Didier Bosque, responsable innovation chez Steria. Leur Box@PME est intégré au programme Albatros, labélisé fin 2013 par le pôle de compétitivité Aerospace Valley, qui veut créer une filière à Toulouse.

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 12:55
Cyberconflictualité et Forces armées

Le général Yves Tristan Boissan, commandant de l’École des transmissions, a insisté sur l'importance des échanges entre les partenaires au sein du monde de la cyberdéfense.

 

14/03/2014 Asp. Camille Martin Economie et technologie

 

Le centre de recherche des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan a organisé le mercredi 12 mars 2014, dans le cadre des travaux de la chaire de cyberdéfense et cybersécurité Saint-Cyr Sogeti Thales, un séminaire interarmées intitulé « Cyberconflictualité et Forces armées ». A cette occasion, figures clefs de la cyberdéfense, chercheurs, spécialistes, civils et militaires étaient réunis au musée des transmissions de Cesson-Sévigné.

 

« Des échanges pour créer de la richesse. » Tel était le mot d’ordre du général Yves Tristan Boissan, commandant de l’École des Transmissions, lors de son introduction au séminaire interarmées « Cyberconflictualité et Forces armées », qui s’est tenu le mercredi 12 mars au musée des transmissions de Cesson-Sévigné. Dans le prolongement du séminaire de février 2013 qui avait traité la cyberconflictualité pour les Forces terrestres, le centre de recherche des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan a réuni spécialistes et chercheurs, civils et militaires.

 

Différents thèmes ont été abordés lors de cette journée riche en analyse :

-    les caractéristiques du cyberespace et les différentes problématiques de la cyberdéfense selon les milieux et selon les armées (armée de Terre, armée de l’Air et Marine nationale) ;

-    les nouvelles perspectives données par le Livre blanc 2013, avec un focus sur les cyberattaques et la question des seuils de déclenchement de la riposte ;

-    les types de menaces sur les Forces en opération, accompagnés d’exemples concrets ;

-    la formation cyber au sein des armées, avec un engagement et un entrainement pour des interventions spécialisées propres à chaque unité.

 

Pour le ministère de la Défense, la cyberdéfense s’inscrit en appui des opérations militaires et permet également d’assurer le bon fonctionnement du ministère face aux menaces issues du cyberespace. Cependant, le cyberespace étant un domaine sans frontière au sens physique du terme, elle ne peut se cantonner au seul domaine de la défense et doit s’appréhender à un niveau interministériel. Forte de ses nombreux travaux et conférences, la chaire de cyberdéfense et de cybersécurité de Saint-Cyr Sogeti Thales vient ainsi apporter un soutien précieux à la réflexion à mener sur la cyberdéfense, dans l’objectif de profiter au ministère de la Défense mais également à l’ensemble de la communauté nationale de cyberdéfense.

 

La présence à ce séminaire des trois principaux acteurs du Pôle d’excellence Bretagne, la Direction générale de l’armement – Maitrise de l’information (DGA-MI), l’école de Saint-Cyr Coëtquidan et l’école des Transmissions, a également donné un nouvel élan à l’axe 4 du pacte Défense Cyber, axe qui s’articule autour de deux composantes indissociables : formation et recherche.

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 12:54
SIGEM 2014 : Leadership et réforme


4/03/2014 Ministère de la Défense

 

A partir du 17 et jusqu’au 21 mars, le séminaire interarmées des grandes écoles militaires accueillera 600 élèves officiers des dix grandes écoles militaires et une vingtaine d’élèves journalistes de l’Institut supérieur de la communication, de la presse et de l’audiovisuel. Ce séminaire a pour objectif de présenter aux élèves les problématiques auxquelles ils seront confrontés dans leur carrière.

 

Du 17 au 21 mars, le séminaire interarmées des grandes écoles militaires (SIGEM) se déroulera à l’École militaire à Paris. Il réunira 600 élèves officiers des dix grandes écoles militaires parmi lesquels une quarantaine d’étrangers de 28 pays différents.

Le SIGEM 2014 aura pour thème principal « Leadership et réforme ». Ce séminaire doit permettre aux élèves officiers de mieux appréhender la complexité et la diversité de leur futur métier consacré à la défense des intérêts de la France, tout en percevant l’importance croissante de l’action interarmées, interministérielle et internationale. Au programme des visites et des conférences animées par des intervenants civils et militaires.

Une vingtaine d’élèves journalistes de l’Institut supérieur de la communication, de la presse et de l’audiovisuel (ISCPA) seront également présents. Ils assureront la couverture médiatique du séminaire et prépareront les jeunes militaires à la relation avec les médias.

 

Durant toute la durée du SIGEM, suivez-nous sur la page Facebook Parlons Defense

SIGEM 2014 : Leadership et réforme
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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 10:55
Première transatlantique pour l’A400M Atlas

 

14/03/2014 Armée de l'air

 

Le 10 mars 2014, un Atlas de la MEST (Multinational Entry into Service Team – équipe multinationale de mise en service) A400M a décollé de la base aérienne 123 d’Orléans pour sa première traversée de l’océan Atlantique.

 

À destination de l’Amérique du Sud et des Antilles, l’avion de transport tactique à allonge stratégique poursuit ainsi ses expérimentations sur des étapes longue durée, après celles menées vers Bamako fin 2013 ou sur le territoire djiboutien mi-février. L’occasion de valider son accessibilité à plusieurs terrains d’aviation. Après six heures de vol, l’A400M a en effet fait escale sur le tarmac de Sal (Cap Vert) avant de rejoindre Cayenne (Guyane) puis Fort-de-France (Martinique).

 

Cette première transatlantique, d’une durée de 5h30, a également bénéficié aux opérations menées en Guyane. L’Atlas a ainsi emporté dans sa soute deux tonnes de fret et un hélicoptère Fennec dont la mission sera de protéger le site de Kourou dans le cadre de la posture permanente de sûreté.

Première transatlantique pour l’A400M Atlas
Première transatlantique pour l’A400M Atlas
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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:55
Cyberguerre : L’INSS, Think-Tank de l’Université de Tel-Aviv, Scrute la France.

 

Mar 11 Isreal Valley (Mitz)

 

L’INSS est un think-tank de l’université de Tel-Aviv, spécialisé sur le terrorisme et la cyberguerre. Ce cercle d’études est dirigé par Amos Yadlin, ancien patron d’Aman, les renseignements militaires israéliens. Le département cyberguerre de l’INSS fonctionne par ailleurs en intégration avec la Blavatnik School of Computer Sciences de l’Université de Tel-Aviv, qui compte une vingtaine de laboratoires de recherche cybernétique, de renommée mondiale.

 

Dans l’un de ses derniers rapports l’INSS passe en revue la situation en matière de cybersécurité en chaque zone du Globe. Et pointe à chaque fois, sans concession, forces, faiblesses, opportunités et menaces. En Israël, aux USA, en Russie, dans les pays Arabes, en Chine, et enfin en Europe avec un zoom particulier sur la France.

 

L’INSS raconte l’inauguration le 20 février dernier du nouveau quartier général de la cyberdéfense française. L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) emploierait aujourd’hui 357 experts. Le Pentagone français aurait traité pour sa part 790 incidents cybernétiques en 2013. 1400 cyberguerriers hexagonaux auraient été recrutés par le ministère qui en souhaiterait 350 de plus d’ici à 2019.

 

L’INSS note également que si le développement de cyber armes françaises est resté fort discret, l’offensive cybernétique serait en fait, bien en place depuis 2008 avec la production de virus destinés aux ennemis de l’Hexagone. Le programme de cyberattaque français aurait donc démarré selon les israéliens deux ans avant Stuxnet (un ver informatique américain, issu du programme d’espionnage US olympic games aussi surnommé “bug”).

 

Selon l’INSS : "en dépit de ces efforts, la France est toujours en retard en termes de cyberdéfense si on la compare à d’autres nations de premier plan comme le Royaume-Uni. En réalité, les ressources humaines de la France, affectées à la lutte contre les cyberattaques, sont faibles comparées à celles d’autres nations.

 

Ce manque de ressources humaines est du à plusieurs facteurs. Tout d’abord, la France manque d’experts en sécurité, et deuxièmement, les français n’ont pas anticipé le problème de la protection contre les cyberattaques, ni la protection de leurs systèmes informatiques".

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:50
Airbus A400M successfully completes first airdrop trials

 

 

Mar 13, 2014 ASDNews Source : Airbus Defence and Space

 

The A400M new generation airlifter has successfully completed one of the most important elements of its continuing military flight-test programme – the first phase of airdrop trials. Flying over the Fonsorbes drop zone near Toulouse, an A400M development aircraft dropped a range of different loads by parachute during 11 flights over a two-week period. In total it dropped 26 platforms and containers weighing from 255kg to 4 tonnes using the ramp aerial-delivery system (RAS-wedge), and 11 bundles weighing from 15kg to 320kg using the paratrooper doors.

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14 mars 2014 5 14 /03 /mars /2014 08:50
Défense : Dassault Aviation appelle à une "Europe de la souveraineté"

 

14.04.2013 journal-aviation.com (Reuters)

 

Le PDG de Dassault Aviation Eric Trappier a incité jeudi les responsables politiques et militaires à créer une "Europe de la souveraineté", afin de parvenir enfin à l'union militaire qui manque au Vieux continent et apparaît plus que jamais indispensable face à une concurrence mondiale accrue.

 

Les ministres de la Défense de l'Union européenne ont chargé en novembre dernier l'Agence européenne de défense (AED) de commencer à étudier le coût d'un drone européen de surveillance, qui pourrait être fabriqué à partir de 2020.

 

"Il y a une Europe de l'euro, mais il n'y a pas encore une Europe de la souveraineté", a estimé Eric Trappier lors de la présentation des résultats annuels de son groupe, invitant les 28 à dépasser leurs réticences naturelles en matière de souveraineté nationale.

 

Le Vieux continent devrait pouvoir définir d'une même voix ses besoins en matière d'avions, de bateaux ou de systèmes de commandement face à des poids lourds mondiaux de plus en plus nombreux, a-t-il ajouté.

 

L'Europe est la seule région du monde où les budgets de défense baissent nettement, face à des Etats-Unis toujours prépondérants et des pays émergents comme la Chine et l'Inde augmentent massivement leurs investissements dans le secteur.

 

Après l'échec du drone Talarion développé sur fonds propres par Airbus Group (ex-EADS) et le rejet d'un projet commun entre Dassault Aviation et BAE Systems, la France a décidé l'an dernier d'acheter 12 Reaper à l'américain General Atomics, imitant ainsi la Grande-Bretagne.

 

Piqués au vif, Dassault Aviation, l'italien Finmeccanica et Airbus Group ont lancé en juin 2013 un appel au lancement d'un programme européen de drone MALE (Moyen altitude longue endurance) et travaillent depuis à présenter un projet technologique commun avec leurs fournisseurs.

 

La Grande-Bretagne et la France, les deux poids lourds européens de la défense, ont signé fin janvier une série d'accords, parmi lesquels des études de faisabilité d'un programme commun pour développer un avion de combat de nouvelle génération pour environ 140 millions d'euros.

 

GUERRES FRATRICIDES

 

Le futur avion de combat européen, décliné en versions avec et sans pilote à bord, devra prendre seul la relève du Rafale de Dassault Aviation, du Gripen du suédois Saab et de l'Eurofighter, produit en coentreprise entre BAE Systems, Finmeccanica et Airbus Group - lui-même actionnaire de Dassault.

 

Ces trois avions se livrent une lutte fratricide dans les appels d'offres internationaux dont le Rafale, jamais exporté à ce jour, a fait souvent les frais.

 

Le démonstrateur de drone de combat Neuron, piloté par Dassault Aviation et la Direction générale de l'armement réunit pas moins de six pays européens au total. Il est destiné à déboucher sur la création des futurs drones de combat communs à la France et la Grande-Bretagne, qui a elle aussi son prototype.

 

"Il faut au moins qu'ils soient les meilleurs face aux Américains, parce qu'après il faudra les exporter et ce n'est pas facile. Nous sommes bien placés pour le savoir", a constaté Eric Trappier.

 

Vantant un partage de travail intelligent sur le Neuron, qui a effectué son premier vol fin 2012, Eric Trappier a estimé que les partenaires du programme avaient su inventer de nouvelles méthodologies permettant à six pays d'être efficaces ensemble.

 

"Il faut maintenant que les militaires et les gouvernements se mettent ensemble et fassent le même travail en Europe", a ajouté Eric Trappier soulignant un "timide" début.

 

"J'ai des convictions européennes, les gens chez Dassault aussi, mais on se doit quand même dans une entreprise d'être pragmatiques : cela va prendre un certain temps", a-t-il dit.

 

Le conseil des ministres franco-allemand de février a placé la défense européenne parmi les trois priorités avec l'énergie et la gestion des frontières, illustrant la volonté du ministre français Jean-Yves Le Drian d'élargir la coopération français au-delà du traditionnel axe franco-britannique. (Edité par Matthieu Protard)

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 20:55
Dassault franchit une étape décisive en Inde

 

13/03/2014 Par Véronique Guillermard – leFigaro.fr

 

L'avionneur français et l'indien HAL ont trouvé un accord sur l'organisation industrielle de l'assemblage du Rafale.

 

À trois semaines du coup d'envoi des élections législatives en Inde (du 7 avril au 12 mai), Dassault Aviation* a franchi une étape décisive dans la perspective de la signature du contrat d'acquisition de 126 Rafale par l'armée de l'air indienne. «Oui, nous avons un accord avec HAL. Oui, nous avons un “work share” (répartition du travail, NDLR) avec la partie indienne», a déclaré Éric Trappier, PDG de l'avionneur, jeudi 13 mars, lors de la présentation des résultats annuels. Il confirme ainsi une information de la chaîne de télévision locale NDTV. «C'est une belle étape de franchie», a-t-il apprécié.

Cet accord est crucial car il est au cœur de la vente du Rafale en Inde. En janvier 2012, New Delhi avait choisi le chasseur français pour moderniser sa flotte d'avions de combat. L'Inde était entrée en négociations exclusives avec Paris afin de transposer en termes contractuels les différents volets de l'offre française. Il est prévu que les 18 premiers Rafale soient fabriqués en France et les 108 suivants assemblés en Inde, dans le cadre d'un transfert de technologie inédit.

 

Partage des responsabilités

Le géant indien de l'aéronautique HAL sera «leader de la fabrication du Rafale en Inde», a rappelé Éric Trappier. «HAL a défini sa supply chain puis les partenaires français et indiens ont trouvé un accord pour travailler ensemble dans le cadre d'une organisation industrielle clairement définie», a-t-il poursuivi. Le partage des responsabilités a également été acté. «Nous avons un partage du travail et un partage des responsabilités. HAL est responsable du travail qu'il fait», souligne le PDG de l'avionneur. Dès lors s'engage la dernière phase des négociations. Éric Trappier espère signer le contrat cette année. Le résultat des élections législatives pourrait-il avoir un impact? «L'Inde a des besoins opérationnels et industriels. Ces besoins restent, quel que soit le résultat des élections», souligne le PDG de Dassault Aviation.

Outre l'Inde, le groupe travaille sur quatre autres marchés où le Rafale a ses chances: le Canada, qui pourrait remettre en cause l'achat de l'avion de combat américain F-35, la Malaisie, le Qatar ainsi que les Émirats arabes unis.

Sur le front de l'aviation d'affaires qui a représenté 69% des ventes consolidées (4,59 milliards d'euros) en 2013, le marché est encore convalescent. Cela, en l'absence d'une reprise franche aux États-Unis, le plus important marché pour l'aviation d'affaires. Le groupe a livré 77 Falcon en 2013 (contre 66 en 2012) et prévoit 70 livraisons cette année. Sur le terrain commercial, l'avionneur a engrangé 64 commandes en 2013 (58 contrats en 2012). Pour cette année, le groupe espère «un “book-to-bill” (ratio entre les prises de commandes et les livraisons, NDLR) supérieur à 1 grâce au Falcon 5X», son nouveau jet présenté cet automne au salon de Las Vegas. «Nous avons pris beaucoup de commandes pour un début de programme. Nous sommes satisfaits de l'accueil réservé au 5X par le marché», a souligné Éric Trappier. L'avionneur qui vient d'enrichir sa gamme, va encore la renforcer en présentant un nouvel appareil - nom de code M1000 - au salon européen de l'aviation d'affaires qui se tient à Genève en mai.

*Le Groupe Dassault est propriétaire du «Figaro»


Les profits partagés entre salariés, actionnaires et investissements

À 334 millions d'euros, le résultat net ajusté (hors Thales) de Dassault Aviation a baissé par rapport aux 366 millions de 2012. Cela tient au recul du résultat opérationnel, qui a été obéré par une augmentation de la R & D autofinancée à 482 millions (387 millions en 2012). Elle est surtout «destinée à financer la montée en puissance du Falcon 5X. Cela continuera dans les deux ans à venir», a précisé Éric Trappier, PDG du groupe. Compte tenu de la nécessité de poursuivre cet effort et des incertitudes du marché, le dividende proposé aux actionnaires au titre de 2013 est de 90 millions d'euros (94 millions en 2012). De leur côté, les 8000 salariés de Dassault Aviation (hors filiales) se partageront 109 millions sous forme d'intéressement et de participation. Le solde sera réinvesti. Le groupe continue à appliquer la règle des «trois tiers» en matière de partage des bénéfices. «Les bénéfices ne reviennent pas de façon massive chez les actionnaires. Serge Dassault et sa famille continuent à soutenir la société et à préparer son avenir», a insisté Éric Trappier.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 17:55
Le CNES en visite au CDAOA

 

13/03/2014 Economie et technologie

 

Jeudi 6 mars, Monsieur Michel Eymard, directeur des lanceurs au centre national d’études spatiales (CNES), s’est rendu au commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA). Dans le cadre des lancements depuis le centre spatial guyanais, mais aussi lors des rentrées atmosphériques à risques (RAR), CDAOA et CNES collaborent étroitement, en liaison avec le commandement interarmées de l’espace (CIE).

 

Cette visite était organisée par M. Emmanuel de Lipkowski, conseiller au CIE et officier de réserve au CDAOA. Le général Caspar-Fille-Lambie, COMDAOA, a présenté les différentes missions du CDAOA à M. Eymard avant d’aborder les sujets majeurs de cette rencontre : la protection du site de Kourou, présentée par la division défense aérienne élargie et coopération (DAE-C), et la gestion des risques spatiaux par la division surveillance de l’espace (DSE).

Lors d’un lancement, la mise en œuvre du dispositif particulier de sûreté aérienne (DPSA), destinée à la protection des installations du site et des vecteurs de lancement (Ariane), est d’une absolue nécessité. Ce dispositif est concomitant du calcul de «fenêtres» de lancement effectué par le CNES, permettant d’éviter toute collision avec certains des objets spatiaux en orbite. Pour cela, le CNES peut s’appuyer sur les données fournies par le système GRAVES.

Bien des années plus tard, GRAVES et les radars SATAM apporteront leur contribution lors de la retombée de l’étage du lanceur (fusée), toujours en lien avec le CNES. Pour cette mission, la DSE/CDAOA peut d’ailleurs adresser une demande au Joint space operations center militaire américain. M. Eymard a ainsi porté un très grand intérêt à sa première visite au sein du CDAOA et a salué le niveau d’excellence du personnel des divisions DAE-C et DSE.

La collaboration étroite entre les spécialistes du CNES et du CDAOA fut récemment mise en avant de la plus belle des manières, lors de la manœuvre d’évitement du satellite ELISA E12 ou encore lors de la RAR COSMOS 1220.

Pour plus d'informations, consultez le numéro 668 du mois de février 2014 du magazine Air actualités (page 46).

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 17:55
ELISA à la manœuvre

 

13/03/2014 Armée de l'Air

 

Vendredi 28 février 2014, un satellite d’écoute français de la constellation ELISA1 a manœuvré afin d'éviter un satellite inactif représentant un danger potentiel de collision. En étroite coordination avec le centre national d’études spatiales (CNES), la division surveillance de l’espace (DSE) suit la trajectoire des rentrées à risques (RAR), mais joue également un rôle de premier ordre lorsqu’une collision d’objets spatiaux est annoncée.

 

Une constellation comporte plusieurs satellites. Les quatre satellites de la constellation ELISA sont en orbite depuis décembre 2011 et évoluent autour de notre planète à plus de 600km d’altitude (orbite basse). Ces satellites démonstrateurs pèsent environ 40 kilos et ont pour mission l’écoute des émissions électromagnétiques. Lors de leur rotation orbitale, il arrive parfois qu’ils soient exposés à des risques de collision.

Mardi 25 février, la DSE est alertée par le centre d'orbitographie opérationnelle (COO) du CNES à propos d’une collision possible entre l’un des satellites ELISA, le E12, et un satellite inopérant, donc non-manœuvrable. Les spécialistes de la DSE se alors sont appuyés sur les radars SATAM2  de Sommepy et Solenzara pour fournir au CNES les données du satellite inactif, complémentaires à celles déjà recueillies par le système d’acquisition GRAVES3.

En 24h, une décision est prise par le CNES : faire évoluer l’orbite d’ELISA E12. Jeudi 27 février, après analyse du COO, E12 est manœuvré par l’agence spatiale française et évite ainsi la collision. Le cas d’ELISA aurait pu conduire à la destruction totale du satellite et de ses données. Le processus de traitement mis en place conjointement par l’armée de l’air et le CNES a une fois de plus fait preuve de sa fiabilité.

Près de 60% des objets spatiaux répertoriés sont des débris issus de collisions, dont certaines, très rares, concernent les satellites.

1 ELISA : ELectronic Intelligence by SAtellite.
2 SATAM : Système d’Acquisition et de Trajectographie des Avions et des Munitions.
3 GRAVES : Grand Réseau Adapté à la Veille Spatiale.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 17:55
Réunion des commandeurs sur la transformation des armées, le 10 mars 2014

 

13/03/2014 Sources : EMA

 

Le 10 mars 2014 à l’école militaire, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées (CEMA), a réuni les grands commandeurs (officiers généraux à la tête des organismes et structures interarmées) pour leur présenter ses grandes orientations sur la transformation des armées.

 

Quelques semaines après sa prise de fonction, le CEMA a ainsi souhaité réunir ses grands commandeurs pour une journée d’échange autour du projet « CAP 2020 », projet global de transformation des armées. Il était entouré des chefs d’état-major d’armée et des directeurs de service qui ont présenté leur contribution à l’atteinte des objectifs du projet « CAP 2020 ».

 

A cette occasion, les grands subordonnés du CEMA ont reçu « l’ordre aux armées, directions et service 2014-2016 ». Ce document, signé par le CEMA le 15 février dernier, jour de sa prise de fonction, constitue la feuille de route du projet « CAP 2020 ». Il précise les axes stratégiques de la réforme qui permettront, à l’horizon 2020, de disposer d’un outil militaire complet et cohérent, apte à garantir nos intérêts de défense. Ce document servira de référence à chacun des grands commandeurs pour la mise en œuvre de la transformation dans leur périmètre de responsabilité.

 

Le CEMA a ouvert la journée en précisant les lignes d’opération de son projet ainsi que l’état d’esprit nécessaire à la réussite de la réforme : « ensemble, autrement et au mieux ».

 

S’inscrivant dans cette dynamique, chaque chef d’état-major d’armée et directeur de service, a ensuite exposé son projet, partie intégrante du projet « CAP 2020 ».

 

Le CEMA a conclu la journée en rappelant la confiance qu’il accorde à ses grands commandeurs dans la mise en œuvre de la réforme, estimant que celle-ci doit être portée par tous. Il a insisté sur la nécessaire pédagogie à mener, afin de susciter l’adhésion de tous et de conforter la cohésion. « En opération comme au quotidien, c’est en équipe que nous gagnerons et que nous construirons le succès des armes de la France ».

Réunion des commandeurs sur la transformation des armées, le 10 mars 2014
Réunion des commandeurs sur la transformation des armées, le 10 mars 2014
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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 17:45
With training and partnerships, U.S. military treads lightly in Africa

A Boeing Osprey used by the US Marine Corps

 

13 March 2014 defenceWeb (Reuters)

 

On a dusty training ground in Niger, U.S. Special Forces teach local troops to deal with suspects who resist arrest. "Speed, aggression, surprise!" an instructor barks as two Nigeriens wrestle a U.S. adviser out of a car.

 

The drill in the border town of Diffa is part of Operation Flintlock, a counter-terrorism exercise for nations on the Sahara's southern flanks that the United States organizes each year. Washington's aim is to tackle Islamist militants in the Sahel region while keeping its military presence in Africa light.

 

A growing number of European nations taking part shows their increasing concern about security in West Africa. Central to the international effort is a blossoming relationship between the United States and France, the former colonial power and traditional "policeman" of the turbulent region.

 

When Paris deployed 4,000 troops to fight Islamist militants in neighboring Mali last year, the U.S. military lent a hand by airlifting French soldiers and equipment, providing intelligence and training African forces to join the operation.

 

French troops are stretched by hunting the militants in Mali and tackling religious violence in Central African Republic, so only a handful participated in Flintlock. Nevertheless, they welcomed their new partnership with Washington.

 

"The Americans want to get involved in Africa. That's good for us. We know that with the Americans it will be more efficient," said a French Special Forces officer, who asked not to be named. "We use American logistics - that's what we are missing. On the other hand, we provide the local knowledge."

 

The United States fast-tracked the sale of 12 Reaper drones to France last year, the first two of which started operating in Niger in January alongside U.S. drones already there.

 

In a reminder of the partnership, a drone quietly taxied past troops and dignitaries at Flintlock's closing ceremony in the capital of Niamey before taking off to scour the Sahara.

 

U.S. FACING BUDGET CUTS

 

Military experts say direct U.S. military action in Africa is limited to short raids on "high-value" targets in places such as Somalia and Libya, while French troops take on longer, bigger operations.

 

J. Peter Pham, director of the Africa Center at the U.S.-based Atlantic Council, said this arrangement suited U.S. military planners who face budget cuts and a diminished American appetite for combat after conflicts in Iraq and Afghanistan.

 

However, he warned that the French military was at the limit of its ability to strike militants hard. "If the French are not able to provide that blunt instrument, is the U.S. willing to do so?"

 

Nine years after the Flintlock exercises began, the enemy has evolved from a group of Algerian-dominated fighters focused on northern Mali and now threatens nations across the Sahara and the arid Sahel belt to the south.

 

For most of 2012, militants occupied northern Mali, a desert zone the size of France. Scattered by a French offensive last year, many are believed to be regrouping in southern Libya.

 

Hundreds of people are being killed every month in clashes with Boko Haram militants in northern Nigeria. Many in Niger fear this conflict could spill over the border and the government in Niamey has appealed for more military support.

 

"Instability in neighboring states has given everybody a new incentive," General James Linder, commander of U.S. Special Operations Command Africa, told Reuters while visiting Niger

 

This year's three-week Flintlock exercise - involving over 1,000 troops from 18 nations - was the biggest yet and runs alongside more permanent training by U.S. Special Forces in Niger, Mauritania, Senegal and Chad.

 

Training in Diffa, only a few kilometers from where Boko Haram militants are fighting the Nigerian army across the border, ranged from basic patrolling skills and setting up checkpoints to sharing intelligence and providing medical care.

 

In a region where armies often lack basics such as ammunition for target practice and fuel for vehicles, the quality and tempo of the U.S.-sponsored exercise eclipses the training most soldiers in the region receive in a year.

 

Colonel Mounkaila Sofiani, the local Niger commander, said Flintlock and other U.S. initiatives helped his country to tackle threats from the west, north and south better. "Little by little people are being trained," he said. "Once there are enough, they'll form the spine of a reliable force."

 

Training is meant to build up coordination between armies but Sofiani said just finding radio equipment compatible between nations is difficult. In the field, officers exchange mobile phone numbers to bypass blockages in official channels.

 

A lack of trust between governments also hinders responses. At a recent meeting of intelligence chiefs, the Nigerien and Libyan representatives argued over the risk of instability spreading from Libya's lawless south, a diplomat told Reuters.

 

Coups in Mauritania, Niger and Mali since the Flintlock exercises began also halted cooperation until civilian rule was restored. Mali's 2012 coup, led by a captain with U.S. training, opened the door to the Islamist takeover of the north, prompting questions about what the years of exercises had achieved.

 

Pham said better military capabilities had not been matched by improvements in governance, citing a failure by Mali to tackle corruption. Chad's military, however, has won praise for leading the charge alongside French troops in flushing out the militants from Mali's desolate northern mountains.

 

U.S. officials stress the exercise is African-led and are wary about people reading too much into U.S. troops being on the ground near African conflicts. But the show of foreign support is popular in Diffa.

 

"It sends a message to Boko Haram and others," said Inoussa Saouna, the central government's representative in Diffa. "Before Mali, we thought terrorism was a problem for whites but now we've experienced it ourselves."

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 17:45
With training and partnerships, U.S. military treads lightly in Africa

A Boeing Osprey used by the US Marine Corps

 

13 March 2014 defenceWeb (Reuters)

 

On a dusty training ground in Niger, U.S. Special Forces teach local troops to deal with suspects who resist arrest. "Speed, aggression, surprise!" an instructor barks as two Nigeriens wrestle a U.S. adviser out of a car.

 

The drill in the border town of Diffa is part of Operation Flintlock, a counter-terrorism exercise for nations on the Sahara's southern flanks that the United States organizes each year. Washington's aim is to tackle Islamist militants in the Sahel region while keeping its military presence in Africa light.

 

A growing number of European nations taking part shows their increasing concern about security in West Africa. Central to the international effort is a blossoming relationship between the United States and France, the former colonial power and traditional "policeman" of the turbulent region.

 

When Paris deployed 4,000 troops to fight Islamist militants in neighboring Mali last year, the U.S. military lent a hand by airlifting French soldiers and equipment, providing intelligence and training African forces to join the operation.

 

French troops are stretched by hunting the militants in Mali and tackling religious violence in Central African Republic, so only a handful participated in Flintlock. Nevertheless, they welcomed their new partnership with Washington.

 

"The Americans want to get involved in Africa. That's good for us. We know that with the Americans it will be more efficient," said a French Special Forces officer, who asked not to be named. "We use American logistics - that's what we are missing. On the other hand, we provide the local knowledge."

 

The United States fast-tracked the sale of 12 Reaper drones to France last year, the first two of which started operating in Niger in January alongside U.S. drones already there.

 

In a reminder of the partnership, a drone quietly taxied past troops and dignitaries at Flintlock's closing ceremony in the capital of Niamey before taking off to scour the Sahara.

 

U.S. FACING BUDGET CUTS

 

Military experts say direct U.S. military action in Africa is limited to short raids on "high-value" targets in places such as Somalia and Libya, while French troops take on longer, bigger operations.

 

J. Peter Pham, director of the Africa Center at the U.S.-based Atlantic Council, said this arrangement suited U.S. military planners who face budget cuts and a diminished American appetite for combat after conflicts in Iraq and Afghanistan.

 

However, he warned that the French military was at the limit of its ability to strike militants hard. "If the French are not able to provide that blunt instrument, is the U.S. willing to do so?"

 

Nine years after the Flintlock exercises began, the enemy has evolved from a group of Algerian-dominated fighters focused on northern Mali and now threatens nations across the Sahara and the arid Sahel belt to the south.

 

For most of 2012, militants occupied northern Mali, a desert zone the size of France. Scattered by a French offensive last year, many are believed to be regrouping in southern Libya.

 

Hundreds of people are being killed every month in clashes with Boko Haram militants in northern Nigeria. Many in Niger fear this conflict could spill over the border and the government in Niamey has appealed for more military support.

 

"Instability in neighboring states has given everybody a new incentive," General James Linder, commander of U.S. Special Operations Command Africa, told Reuters while visiting Niger

 

This year's three-week Flintlock exercise - involving over 1,000 troops from 18 nations - was the biggest yet and runs alongside more permanent training by U.S. Special Forces in Niger, Mauritania, Senegal and Chad.

 

Training in Diffa, only a few kilometers from where Boko Haram militants are fighting the Nigerian army across the border, ranged from basic patrolling skills and setting up checkpoints to sharing intelligence and providing medical care.

 

In a region where armies often lack basics such as ammunition for target practice and fuel for vehicles, the quality and tempo of the U.S.-sponsored exercise eclipses the training most soldiers in the region receive in a year.

 

Colonel Mounkaila Sofiani, the local Niger commander, said Flintlock and other U.S. initiatives helped his country to tackle threats from the west, north and south better. "Little by little people are being trained," he said. "Once there are enough, they'll form the spine of a reliable force."

 

Training is meant to build up coordination between armies but Sofiani said just finding radio equipment compatible between nations is difficult. In the field, officers exchange mobile phone numbers to bypass blockages in official channels.

 

A lack of trust between governments also hinders responses. At a recent meeting of intelligence chiefs, the Nigerien and Libyan representatives argued over the risk of instability spreading from Libya's lawless south, a diplomat told Reuters.

 

Coups in Mauritania, Niger and Mali since the Flintlock exercises began also halted cooperation until civilian rule was restored. Mali's 2012 coup, led by a captain with U.S. training, opened the door to the Islamist takeover of the north, prompting questions about what the years of exercises had achieved.

 

Pham said better military capabilities had not been matched by improvements in governance, citing a failure by Mali to tackle corruption. Chad's military, however, has won praise for leading the charge alongside French troops in flushing out the militants from Mali's desolate northern mountains.

 

U.S. officials stress the exercise is African-led and are wary about people reading too much into U.S. troops being on the ground near African conflicts. But the show of foreign support is popular in Diffa.

 

"It sends a message to Boko Haram and others," said Inoussa Saouna, the central government's representative in Diffa. "Before Mali, we thought terrorism was a problem for whites but now we've experienced it ourselves."

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 14:55
Dassault et HAL ont arrêté l'organisation industrielle du Rafale en Inde

"Nous avons effectivement un accord avec HAL", le conglomérat public indien, qui doit assurer l'assemblage des appareils qui seront fabriqués en Inde. (DR)

 

13/03/2014 latribune.fr 

 

Dassault Aviation et le groupe aéronautique indien Hindustan Aeronautics (HAL) ont réussi à s'entendre sur l'organisation de la production du Rafale en Inde.


 

A quand un accord définitif avec l'Inde sur l'achat du Rafale de Dassault Aviation ? L'avionneur a confirmé un pas supplémentaire dans cette direction jeudi, en indiquant être parvenu à s'entendre avec les industriels indiens sur l'organisation de la production de l'avion de combat dans ce pays (workshare). Ce qui n'a pas été simple d'autant qu'avec cet accord les deux industriels ont défini les responsabilités de chacun.

"Oui, je confirme que nous avons franchi une étape" dans la finalisation du contrat, a indiqué Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation lors de la présentation des résultats de Dassault Aviation rencontre avec la presse. "Nous avons maintenant un +work share+" (une répartition des tâches) avec la partie indienne". Selon le responsable, "les parties française et indienne se sont entendues pour travailler ensemble selon une organisation clairement définie".

 

Lenteur de la prise de décision

"Nous avons effectivement un accord avec HAL", le conglomérat public indien, qui doit assurer l'assemblage des appareils qui seront fabriqués en Inde, a-t-il encore dit lors de la présentation des résultats annuels de l'entreprise. "C'est une belle étape de franchie", s'est-il félicité.

Les négociations avec l'Inde, souvent critiquée pour sa bureaucratie et sa lenteur de prise de décision, sont complexes. Et elles ne sont pas encore terminées. Il reste le contrat à négocier.

 

Accord à l'horizon 2015

En novembre, La Tribune révélait que les industriels du Team Rafale (Dassault Aviation, Thales et Safran) ne tablaient pas sur la signature d'un contrat pour la fourniture de 126 Rafale à l'armée de l'air indienne avant 2015. "Il reste entre 12 et 18 mois de travail" pour signer un contrat en bonne et due forme, expliquait alors un bon connaisseur du dossier.

>> Lire : Rafale en Inde : les industriels visent un contrat signé... en 2015

HAL (Hindustan Aeronautics Limited) fabrique sous licence des avions d'entraînement britanniques Hawk, des chasseurs-bombardiers russes SU-30, des hélicoptères européens et développe un avion furtif avec la Russie. C'était déjà le partenaire de Dassault Aviation lors de la modernisation des Mirage-2000 de l'armée de l'air indienne.

 

126 avions de combat

L'Inde avait choisi d'entrer en négociations exclusives avec Dassault Aviation en janvier 2012 pour l'achat de 126 avions de combat Rafale, dont 108 à assembler sur place. Le montant du contrat est estimé à environ 12 milliards de dollars.

En février dernier, le ministre de la Défense indien avait indiqué que "les grands contrats d'équipement militaire devront attendre le prochain exercice qui commence en avril". La masse incroyable de détails qui ont été négociés et qui restent encore à négocier, est à l'origine de la difficulté de conclure rapidement un contrat hors norme baptisé "Mother of all deals" (la mère de tous les contrats).

 

>> Lire : Pourquoi l'Inde fait patienter le Rafale sur la piste d'envol

 

Quatre contrats à l'export

Dassault Aviation est en lice pour au moins quatre contrats à l'export pour le Rafale, en plus de celui espéré en Inde. L'avionneur français, qui n'a pas encore exporté le Rafale, compte sur un contrat potentiel d'une soixantaine d'avions au Canada, répond aux demandes d'informations de la Malaisie pour 18 avions et estime avoir ses chances au Qatar sur la base des liens historiques du pays avec la France et Dassault Aviation, a-t-il expliqué à des journalistes.

Eric Trappier a précisé continuer à travailler avec les Emirats arabes unis, avec lesquels les discussions avaient connu un accroc majeur fin 2010, laissant une occasion de revenir dans la course à l'Eurofighter (coentreprise entre BAE Systems , Airbus Group et Finmeccanica ), qui est depuis hors course.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 13:55
Rafale en Inde : un petit pas de plus pour Dassault avec le transfert de technologies



13.04.2013 Par Olivier Berger, grand reporter à La Voix du Nord

Lors de sa conférence sur les résultats annuels, ce jeudi 13 mars, le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier, a indiqué que les négociations pour le transfert de technologies du Rafale était achevées avec l'Inde. Une nouvelle étape importante avant la possible signature du contrat gigantesque de 126 avions de chasse pour 8,6 milliards d'euros. 

Dassault Aviation est probablement passé maître dans l'art de la patience et de la ténacité après les divers échecs à l'exportation du Rafale, dont le dernier au Brésil au profit du Gripen de Saab. En plus du feuilleton indien, il reste en lice au Canada (60 avions), en Malaisie (18), au Qatar mais l'Inde concentre un enjeu formidable.

En attendant, Dassault et l'entreprise publique indienne HAL (Hindustan Aeronautics Limited) ont défini clairement, selon Eric Trappier, le transfert de technologies et le plan de charge industrielle. Concrètement, " le transfert sera progressif. Les dix-huit premiers Rafale seront faits en France puis progressivement en Inde jusqu'au 126e ", décrit le PDG de Dassault Aviation.

Mais une incertitude pèse sur le résultat des élections indiennes en mai et la tendance du futur gouvernement...

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 12:50
Tigre UHT. Photo Bundeswehr

Tigre UHT. Photo Bundeswehr

 

 

March 13, 2014: Strategy Page

 

Two years after the first ones arrived Germany recently received the last batch of four Tiger helicopter gunships modified for service in Afghanistan. These twelve ASGARD (Afghanistan Stabilization German Army Rapid Deployment) models included sand filters, additional defense systems, a mission data recorder, and communications gear able to deal with systems used by allies. Germany has been training Tiger crews intensively for the last few years, getting them ready for service in Afghanistan. The training has been intense as crews returning from Afghanistan warn that you have to be prepared if you are to survive out there.

 

There have also been teething problems with Tiger. For example all Tigers were grounded in March 2013 after one of them crashed and burned during a training accident in Germany. This was the third Tiger to crash so far, although none of the six crewmen involved were killed. Intense training continued despite the accidents. German troops in Afghanistan wanted this aircraft badly but delivery was delayed several times due to various problems. In addition to the ASGARD upgrades, there were problems with the wiring and a number of less serious shortcomings as well. When the first French Tigers arrived in Afghanistan in 2009 there were problems and that led to the German ASGARD program for German Tigers intended for Afghanistan. In 2009 Germany only had ten Tigers and all were being used for training. It took three years to create ASGARD Tigers and get some to Afghanistan.

 

Tiger is made by European firm Eurocopter and has shown up just in time in Afghanistan. Until the arrival of the French and German Tigers, American AH-64s provided gunship support for all foreign troops in Afghanistan. France has used Tigers in Somalia, and Mali, where they have performed well. Tiger has spent over 7,500 flight hours in combat zones so far and a hundred have been delivered. The major users are Germany, France (which has ordered 80), Spain (24), and Australia (22). A total of 206 Tiger helicopters have been ordered. So far Tigers have spent over 50,000 hours in the air, most of it for training.

 

The Tiger costs more (some models go for over $100 million, including R&D costs) than the AH-64, a ten ton gunship that has been in service since the 1980s. Tiger entered service in 2003. The six ton Tiger has a crew of two and a max speed of 280 kilometers an hour. It cruises at 230 kilometers an hour and usually stays in the air about three hours per sortie. It is armed with a 30mm automatic cannon, 70mm rocket pods (19 rockets per pod), and various types of air-to-ground missiles (eight Hellfire types at once). It can also carry four Mistral anti-aircraft missiles.

 

Germany appears to have lost some of its enthusiasm for Tiger and cut its order from 80 to 57. Germany has had a lot of problems with Tiger during the last few years. Besides, Germany has better uses for the money, like bailing out the many European nations having financial problems.

 

Warplanes: Tiger Makes Its Mark In Little Wars

In 2013 France received the first of 40 of the ground support (HAD) version of the Tiger helicopter gunship. In 2008 the German Army received its first Tiger HAD. This version of Tiger first entered service in 2005. The HAD version has 14 percent more engine power and better protection from ground fire than the original model. While earlier versions were mainly for anti-vehicle work, HAD is more like the current U.S. AH-64 Apache and optimized for ground support. Development of Tiger began in 1987, before the Cold War ended. So the anti-tank aspect took a while to disappear and get replaced by a gunship optimized for hunting and killing a large variety of targets.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 12:40
Cosmos 1220 : une rentrée atmosphérique à risque

 

13/03/2014 Adjudant-chef Mireille Léger  - Actus Air

 

Le 16 février à 03h08 du matin, COSMOS 1220, un satellite militaire de reconnaissance navale de quatre tonnes, utilisé par les Soviétiques durant la Guerre froide, est entré dans l’atmosphère. En liaison étroite avec le CNES1 et certains pays alliés dotés de moyens de détection adaptés, la division "surveillance de l’espace" (DSE) du commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA) a suivi la trajectoire de cette rentrée atmosphérique à risques (RAR).

 

En cas de danger spatial inopiné, le CDAOA a pour mission de contribuer à l’alerte de la population. À ce titre, le premier volet de responsabilités concernant les RAR est confié aux spécialistes de Division surveillance de l’espace. Durant les semaines précédant sa rentrée dans notre atmosphère, COSMOS 1220 a donc fait l’objet d’un suivi attentif à l’aide du système GRAVES2 et des radars de trajectographie SATAM3. Ainsi, les données recueillies et analysées par le CNES ont pu être comparées aux calculs de probabilité obtenus par nos voisins allemands et les homologues américains du CNES (JSpOC4). Lorsqu’un satellite de cette taille retombe dans l’atmosphère, il est soumis à de multiples frottements qui provoquent sa destruction. Il est estimé qu’environ 30 % de la masse survit à la traversée de l’atmosphère. D’après les estimations, les restes de COSMOS 1220 se sont dispersés dans l’océan Indien.

 

Cosmos 1220 : une rentrée atmosphérique à risque

En 2013, six RAR plus imposants que COSMOS 1220 ont été suivis par la DSE en coordination avec le CNES. Aucun d’entre eux n’a créé de dommage en retombant sur notre planète.

 

CNES1: Centre national des études spatiales

GRAVES2: Grand réseau adapté à la veille spatiale

SATAM3: Radar de suivi et d’acquisition de trajectoires avion et munitions

JSpOC4: Joint space operations center

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 11:55
Le BPC Mistral et la FLF La Fayette appareillent pour la mission Jeanne d’Arc 2014



13/03/2014 Marine nationale

 

Le 12 mars 2014, à Brest, l’amiral Bernard Rogel, chef d’état-major de la Marine, a présidé la cérémonie de départ de la Mission Jeanne d’Arc 2014.

 

Lors de cette cérémonie, l’amiral Rogel a rappelé aux 154 officiers élèves les enjeux de la mission qui les attend et ceux de leurs futures carrières d’officiers de marine. « Cette mission opérationnelle et, pour vous, officiers-élèves, ce début de carrière, intervient dans un contexte stratégique mondial en pleine évolution »a-t-il déclaré. Il a souligné la chance qu’ils ont d’être «formés à la meilleure école, (…), celle de l’insertion au sein d’un équipage formé et entraîné. »

 

Le BPC Mistral et la FLF La Fayette appareillent pour la mission Jeanne d’Arc 2014

À l’issue de la cérémonie, le groupe amphibie a appareillé pour débuter sa mission. Il sera pré-positionné stratégiquement en océan Atlantique où il conduira des opérations militaires et des actions de coopération bilatérale. A cette occasion, les officiers-élèves de la promotion 2011 de l’Ecole navale et des officiers étrangers effectueront leur premier déploiement opérationnel. Il s’agit pour ces jeunes officiers d’acquérir une stature de chef militaire et de marin, grâce à la pratique in situ du métier et à l’expérience de la prise de responsabilités.

Le groupe amphibie est composé du BPC Mistral et de la FLF La Fayette. A bord du BPC Mistral, un détachement de la flottille amphibie (Engins de débarquement), un détachement de l’escadrille 22S (Hélicoptère Alouette III) ainsi que plus de 200 soldats de l’Armée de Terre constituent la force de réaction embarquée.

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 11:55
Rétrospective 2013 du CDAOA

 

 

13/03/2014 Sources : CDAOA

 

Le commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA) propose un document complet et illustré retraçant les activités majeures de l’année 2013 dans le cadre des opérations extérieures mais aussi des missions interarmées, des exercices, des événements et de la sûreté aérienne.

 

«La parution en 2013 d’un nouveau Livre blanc sur la Défense et la sécurité nationale a conforté le rôle del’armée de l’air au cœur des missions de protection, dedissuasion et d’intervention confiées aux forces armées, déclare le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air.Cette riche rétrospective du commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes permet de mesurer concrètement comment s’est décliné l’année dernière, en métropole ou sur les théâtres d’opérations extérieures, cet engagement de tous les instants de l’armée de l’air qui a su remarquablement montrer sa faculté à agir vite et dans la durée.»

 

Opérations, sûreté aérienne, exercices et événements : pour tout savoir sur les activités de l’armée de l’air l’année dernière, consulter la rétrospective 2013 en PDF !

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13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 11:50
MBDA, un modèle industriel pour l'Europe de la défense ?

 

13 mars 2014 Par Hassan Meddah - Usinenouvelle.com

 

A l'occasion du lancement du programme de missiles anti-navire léger (ANL), MDBA adopte une nouvelle organisation industrielle. Elle assoit une dépendance mutuelle stratégique et industrielle entre la France et le Royaume-Uni.

 

L'Europe de la défense se fera peut-être par l'industrie. En particulier, en s'inspirant du nouveau modèle industriel du fabricant de missiles MBDA, filiale commune à Airbus group, l'italien Finmeccanica, et l'anglais BAE Systems. Ce modèle est basé sur une dépendance mutuelle que sont prêts à organiser entre eux les Etats européens eux-mêmes, en tout cas la France et le Royaume-Uni. A l'occasion du lancement du programme du missile anti-navire léger ANL, les gouvernements français et britanniques ont décidé d'entrer dans une nouvelle logique de partage de souveraineté et de dépendance mutuelle au niveau industriel. 

La raison est simple : aucun des deux pays ne peut plus maintenir sur le long terme l'effort nécessaire pour financer et développer les nouvelles technologies de missiles afin de disposer, chacun de leur côté de la Manche, d'une gamme complète de produits. L'idée est donc de se partager les compétences pour éviter la coûteuse duplication des bureaux d'études et des chaînes industrielles. Pour le programme ANL, l’industriel va s’appuyer sur 12 centres de compétences répartis sur les deux pays. Ainsi les sites français de MBDA ont l'expertise des calculateurs embarqués développée au Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine) et des bancs de tests installées à Bourges (Cher). Les sites anglais maîtrisent les technologies des actuateurs (les parties mobiles des missiles) et des systèmes de liaisons de données. Jusqu’ici, l’industriel prenait soin de dupliquer dans chaque pays l’ensemble des compétences pour assurer à chacun des deux pays de pouvoir assurer la production de missiles sur son territoire.

 

Partage des tâches

Ce partage des tâches s'appliquera non seulement aux programmes en coopération mais également aux programmes nationaux. Ainsi le futur missile moyenne portée (MMP) destiné à l'armée française embarquera des actuateurs anglais, et le programme britannique du Spear Capability s'appuiera sur un calculateur français. Avec cette nouvelle spécialisation industrielle et la mise en place d'une filière missile optimisée, les deux pays visent jusqu'à 30% d'économies sur les livraisons des futurs équipements. Il s'agit de faire face à la concurrence des groupes américains (Raytheon, Lockheed Martin) et israéliens (Rafael Advanced Defense System) mais également des acteurs émergents comme des industriels chinois qui ont récemment remporté l'appel d'offres turc pour un système de défense aérienne de longue portée.

 

Groupe intégré

Le nouveau modèle de spécialisation de MBDA est l'aboutissement d'une longue maturation industrielle, qui devrait avoir des impacts dans les deux pays. Le point de départ remonte au début des années 1990 avec lancement d'un premier programme entre français et britanniques - déjà ! - le Scalp Storm Shadow et la création de MBD (l’ancêtre de MBDA) avec la fusion des activités missilières de Bae Dynamics et de Matra Défense. Il y a encore 20 ans, l'Europe comptait encore six fabricants nationaux capables de concevoir et de produire des missiles et tous concurrents ! Ensuite la consolidation a opéré jusqu'en 2001, avec le rassemblement des activités de missiles des grands acteurs européens (Alenia Marconi Systems, Matra Bae Dynamics, EADS Aerospatiale Missile) créant MBDA. 

 

MBDA, un modèle industriel pour l'Europe de la défense ?

L'entreprise pèse aujourd’hui environ 3 milliards d'euros de chiffres pour un effectif de 10 000 salariés répartis entre l'Allemagne, la France, l'Italie, le Royaume-Uni et les Etats-Unis. Agissant comme un groupe intégré, il a abandonné l'organisation par pays. Ainsi les différents patrons des activités en charge des programmes ou des forces commerciales ont autorité sur l'ensemble des pays.

Mais l'histoire n'est pas finie... Pour amplifier cette organisation, il faudra encore convaincre l'Italie, l'Allemagne et l'Espagne de partager la vision industrielle du couple franco-britannique.

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