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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 13:56
Recherche amont : les quatre orientations majeures du ministère de la Défense

la cybersécurité est l'une des orientations majeures du minsitère de la Défense en matière de recherche amont

 

05/03/2014 Michel Cabirol – laTribune.fr

 

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian va dévoiler jeudi sa politique en matière de recherche et Technologies (R&T) au cours de l'actuelle loi de programmation militaire (2014-2019). La dissuasion, l'aéronautique de combat, les missiles et la cybersécurité sont ses priorités.

 

 

850 millions d'euros. C'est le montant annuel consacré par la France à la Recherche & technologies (R&T) dans le domaine de la défense. Soit un plus que les budgets R&T réunis de l'Allemagne (418 millions d'euros) et de la Grande-Bretagne (400 millions) et dix fois plus que celui de la Pologne (85,4 millions d'euros), selon les chiffres de 2012 de l'Agence européenne de défense (AED). Quant aux Pays-Bas (70,7 millions), l'Espagne (63,4 millions), l'Italie (60 millions) et la Suède 23,4 millions), ils sont très loin derrière l'effort de la France en matière de R&T. Sur ces 850 millions d'euros, 110 millions proviennent du budget de l'Onera et 15 millions de l'Institut franco-allemand Saint-Louis (ISL).

Un effort budgétaire que le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, qui va présenter jeudi à l'occasion des Thales InovvDays sa politique de R&T, a souhaité maintenir dans l'actuelle loi de programmation militaire (LPM). Soit 4,5 milliards d'euros sur la période 2014-2019 pour préparer l'avenir. "Nous avons sanctuarisé le budget annuel de la recherche amont à 750 millions d'euros, avait-il expliqué en novembre dernier à La Tribune. Ce budget ne bougera pas. La cyberdéfense est l'une des inflexions nouvelles que j'ai souhaité privilégier dans le cadre de la loi de programmation militaire. Pas question de laisser sur la route certaines de nos compétences. Aussi, il est important d'en maintenir sur l'ensemble du spectre, que ce soit dans le nucléaire, l'aéronautique, le naval et le spatial".

 

La dissuasion engloutit un quart du budget R&T

C'est clair, net et précis. La France entend poursuivre la préparation du renouvellement des deux composantes de la dissuasion nucléaire française (sous-marine et aéroportée). "L'effort de R&T reste fondamental" dans ce domaine, juge-t-on dans l'entourage de Jean-Yves Le Drian. Pour préparer les nouvelles armes de la dissuasion de demain à l'horizon de 20 ans au minimum, le ministère de la Défense prévoit de consacrer une somme de 1,2 milliard d'euros sur la durée de la LPM. Soit près d'un quart des 4,5 milliards d'euros consacrés à la R&T par le ministère.

Une enveloppe budgétaire qui permet de confier dès à présent aux industriels des programmes de recherche sur les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) de troisième génération et les missiles stratégiques. "Le début des recherches sur ces thèmes, c'est maintenant", précise-t-on au ministère de la Défense. Les industriels concernés profiteront également de 600 millions d'euros annuels que consacre le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) aux applications nucléaires.

 

La France veut rester leader dans l'aviation de combat

Dans l'aéronautique de combat, les jalons ont également déjà été mis en place... dans le cadre d'une coopération franco-britannique réactualisée fin janvier avec les accords de Brize Norton. Paris et Londres se sont engagés à lancer des études sur le futur drone de combat (FCAS), pour lequel les deux pays se sont engagés à co-financer une étude de faisabilité sur deux ans d'un coût total de 120 millions de livres (145 millions d'euros) partagés équitablement entre les deux nations.

Paris souhaite également développer les technologies visant à préparer les évolutions du système d'armes Rafale, notamment en matière de radar, et va poursuivre les travaux sur le démonstrateur Neuron (un programme européen sous maîtrise d'oeuvre Dassault Aviation) en 2014 et 2015. "Le choix est clair et stratégique d'investir dans le domaine technologique dans l'aéronautique militaire", explique-t-on au sein du ministère de la Défense. Pour maintenir les compétences et lancer de nouveaux PEA (programmes d'études amont), le ministère de la Défense consacrera une somme de 875 millions d'euros sur six ans.

 

Les missiles, secteur de souveraineté nationale

Jean-Yves le Drian a également les idées bien arrêtées sur la filière missilière. Pas question d'abandonner les compétences de MBDA dans ce domaine où l'industriel couvre toute la trame missilière. Dans cette optique, le ministère va accompagner l'initiative "One complexe weapon sector", poursuivre la préparation du successeur du missile air-air MICA et la rénovation du missile de croisière Scalp, et, enfin, lancer des projets sur les futurs missiles de longue portée. Le ministère consacrera 333 millions d'euros entre 2014-2019.

Enfin, Jean-Yves Le Drian confortera la montée en puissance de la cyberdéfense en accentuant l'effort de développement des moyens techniques en coordination avec l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI). Le ministère va également faire un effort sur des programmes d'outils de lutte informatique défensive. Une enveloppe de 150 millions d'euros est prévue entre 2014-2019.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 13:50
Thales Watchkeeper photo Richard Seymour

Thales Watchkeeper photo Richard Seymour

 

 

5 mars, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

Enfin! Attendu depuis longtemps, le ministère britannique de la Défense (MoD) et l’Autorité de l’aviation militaire (MAA) du Royaume-Uni viennent finalement d’autoriser la mise en service du Watchkeeper de Thales pour l’armée britannique.

 

« Premier drone à obtenir une autorisation de mise en service, Watchkeeper est également le seul de sa catégorie à avoir la permission de voler dans l’espace aérien britannique. Il remplit les critères de sécurité et de navigabilité très stricts du MoD requis pour l’exploitation du système par l’armée britannique. Il appuiera les opérations militaires du Royaume-Uni à l’étranger, en étant habilité à effectuer des vols d’entraînement dans l’espace aérien britannique, » indique le communiqué de Thales.

Avec une autonomie de 16 heures, multi-capteurs tout-temps mais non-armé, le drone tactique Watchkeeper pourra dorénavant être déployé par l’armée britannique. Le Watchkeeper achève donc sa phase d’essais et d’évaluation menée depuis le centre d’essais de Parc Aberporth, à l’ouest du Pays de Galles. Il va entamer sa phase d’entraînement au vol, destinée cette fois aux opérateurs de l’armée britannique à Boscombe Down (Wiltshire).

 

Rappelons enfin, que le Watchkeeper intéresse l’armée de terre, qui aurait lié une commande française à un contrat VBCI pour l’armée de terre anglaise.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 13:45
Interview / Bruno Fanucchi (Président de l’Association des Journalistes de Défense) : ‘‘Les journalistes français ne sont pas des espions’’

05.03.2014 par Raymond Dibi, coll A.A - abidjan.net


Bruno Fanucchi est le président de l’Association des Journalistes de Défense (AJD) en France. En prélude au Salon International de la Sécurité qui se tiendra à Abidjan en mai prochain, il est, depuis quelques jours, en Côte d’Ivoire. Bruno Fanucchi parle de l’association qu’il dirige, des difficultés des reporters de guerre et porte son regard sur la presse ivoirienne.

Depuis une semaine, vous êtes en Côte d’Ivoire. Les raisons de votre présence sur les bords de la lagune Ebrié ?

Je suis là pour plusieurs raisons. J’ai voulu venir plus de six mois après le voyage de la délégation de l’Association des Journalistes de Défense (AJD), en juin dernier, remercier toutes les autorités qui nous avaient si bien reçus. Je suis là pour dire merci au Président de l’Assemblée Nationale Guillaume Soro, aux ministres de la Défense Paul Koffi Koffi, de la Communication Affoussiata Bamba-Lamine et au Chef d’Etat-major des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), Soumaïla Bakayoko. Jai déjà rencontré M. Alain-Richard Donwahi, le patron du Conseil National de Sécurité. Je suis venu également pour préparer le deuxième Salon international de la sécurité (Shield Africa) qui se tiendra à Abidjan du 6 au 8 mai prochain, et dont l’AJD devrait être partenaire. Je suis également là pour faire l’état des lieux de la sécurité dans le pays, étant entendu que l’indice de sécurité est essentiel pour les investissements des opérateurs économiques en Côte d’Ivoire.

Qu’est ce qui est prévu, à votre niveau, pour le Salon de la sécurité ?

L’AJD va conclure un partenariat avec les organisateurs de ce Salon qui se tiendra à l’Ecole de police d’Abidjan, sous l’autorité et le patronage du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko. Plusieurs questions seront à l’ordre du jour. Entre autres, la gestion des catastrophes et des risques naturels, le grand problème de la piraterie maritime, qui s'est récemment un peu délocalisée du large de la Somalie pour maintenant être de plus en plus présente dans le Golfe de Guinée, aux portes d’Abidjan.

Voilà environ quatre années que vous dirigez cette association. Quel bilan peut-on faire ?

Nous sommes une association professionnelle de journalistes. Il y a 2 volets dans nos activités. Il y a un volet corporatiste, en quelque sorte de défense de notre profession, des spécialistes des questions de défense et de sécurité, de tous les grands reporters qui sont sur les différents théâtres de guerre en Afrique, comme au Mali ou en Centrafrique, mais aussi en Afghanistan ou au Liban, partout où sont déployées des troupes françaises. Et notre plus grande préoccupation est, bien sûr, l’enlèvement en juin dernier en Syrie de notre confrère Didier François, grand reporter à Europe 1, qui est un des vice-présidents de l'AJD, qui devait venir en Côte d’Ivoire et a obéi au choix de sa rédaction voulant l'envoyer plutôt en Syrie. J’ai appris son enlèvement le 6 juin dernier alors que j’étais précisément à Abidjan et ce jeudi 6 mars, cela fera 9 mois qu’il est otage ! Nous pensons tous les jours à lui et à ses trois compagnons d’infortune : Edouard Elias, Nicolas Hénin et Pierre Torres, quatre confrères français toujours détenus en Syrie. Car neuf mois de détention, c'est extrêmement long.

Votre association paraît surtout centrée sur la France et l’Europe. Quelle est la place des Africains, notamment des Ivoiriens, dans cette organisation ?

Nous avons la chance d’avoir en notre sein plusieurs confrères africains et notamment notre ami Clément Yao, correspondant à Paris de Fraternité Matin. J’ai essayé d’élargir notre association car nous sommes très intéressés par les questions africaines. La France est de plus en plus active, même militairement en Afrique où elle redéploie actuellement tout son dispositif au Sahel pour lutter plus efficacement contre le terrorisme d'Aqmi (Al qaïda au Maghreb islamique) ou d'autres organisations « djihadiste ». Il est donc intéressant de venir régulièrement en Côte d’Ivoire puisque nous sommes ici en première ligne, aux portes du Mali. La situation régionale nous intéresse puisque la France s’intéresse à l’Afrique et que nos reporters sont présents sur ces théâtres d'opération.

Qu’en est-il de vos relations avec le monde de la défense, de la sécurité ?

Nous avons des contacts au plus haut niveau. Nous sommes reçus à déjeuner régulièrement par le ministre de la Défense lui-même, Jean-Yves Le Drian, qui recevait à déjeuner le « bureau élargi » de l'AJD à l'Hôtel de Brienne le 11 janvier 2013, le jour même du lancement de l'opération Serval au Mali.

Vous êtes au cœur du système de la défense. Est-ce que l’on se trompe en vous considérant comme des « agents secrets » ?

(Rires). Je suis journaliste. Je n’ai jamais été que journaliste, grand reporter pendant plus de 20 ans au « Parisien », le premier quotidien en France. Et je continue de n'être que journaliste. Je n’ai rien d’un agent secret. Je ne suis payé ni par la CIA ni par la DGSE, ni par les services du renseignement et du contre-espionnage ivoirien, et du 2e bureau des FRCI (NDLR) en Côte d’Ivoire, la DST. Nous faisons simplement notre métier et nous le faisons le mieux possible. C’est-à-dire en recueillant nos informations aux meilleures sources. Ce n’est pas parce qu’on parle au patron de la DGSE qu’on travaille pour lui. Ce n’est pas parce qu’on parle au patron de la DST qu’on travaille pour lui. Chacun est dans son rôle.

Mais vous avez donc des informations secrètes qui font de vous des pions dans un système de sécurité. Raison pour laquelle vous êtes considérés comme des « espions »…

Que les choses soient bien claires : nous ne sommes pas des espions, même si c'est en Syrie l’accusation première faite, par exemple, à l’encontre de notre ami Didier François. Dans ce genre de pays, vous savez que tous les journalistes étrangers sont considérés comme des « espions ». Et cette accusation infondée est très grave. C’est vrai que nous disposons d’informations parfois sensibles, mais en Syrie comme ici en Afrique, nous ne faisons que notre métier et nous savons faire la part des choses. Tout journaliste qui voyage, ouvre les yeux et va au contact du monde, sait des choses qui font peut-être de lui une cible privilégiée. Mais nous n’avons aucune vocation d’espion ou d'otage.

En Côte d’Ivoire, il y a eu des journalistes français qui ont perdu la vie, Jean Hélène, Guy André Kieffer. Un commentaire sur cette situation?

J’ai bien connu Jean Hélène de RFI. Je veux lui rendre hommage, à travers vos colonnes. Je voudrais aussi rendre hommage à Guy André Kieffer qui enquêtait ici à Abidjan et ne faisait que son métier. Je l’avais rencontré plusieurs fois en Afrique, au Congo-Brazzaville, notamment. J’en profite également pour rendre hommage aux confrères Ghislaine Dupont et Claude Verlon, assassinés à Kidal au Mali le 2 novembre dernier. Tout cela nous préoccupe. Malgré ces assassinats et prises d’otages, les journalistes français continueront de faire leur métier dans les zones sensibles où parfois plus personne ne va. C’est notre rôle. Le métier de journaliste a toujours été difficile. Etre reporter de guerre est plus sensible. Il faut évidemment des volontaires. C’est une préoccupation dans les grandes rédactions en France, à l’étranger aussi.

Que répondez-vous à ceux qui pensent que les journalistes font du zèle sur les terrains de guerre ou prennent trop de risque ?

Chez nous, il n’y a pas de « têtes brûlées » même si certains confrères et amis ont été tués en Syrie comme Gilles Jacquier en janvier 2012 à Homs et Yves Debay, à Alep en janvier 2013. Il y a des gens responsables, conscients des dangers. Chaque année, nous initions deux stages au cours desquels, nous formons les jeunes reporters sur les précautions à prendre lors des reportages en zones sensibles.

Votre regard sur la presse ivoirienne ?

C’est une presse qui évolue, elle est diversifiée, intéressante et souvent engagée politiquement. Cette presse peut s’améliorer tous les jours. J’ai été longtemps Grand Reporter au « Parisien » et je sais qu’il faut toujours garder un œil critique sur son journal et son travail. Il est important d’avoir une critique positive dans le traitement de l’information.

Vous qui pratiquez le monde de la défense et de la sécurité, un mot sur la Côte d’Ivoire à ce niveau ?

L’indice de sécurité est un indice important pour la reprise économique. En parcourant Abidjan, on voit qu’il y a beaucoup de chantiers. Les choses bougent et avancent. On constate que les activités ont véritablement repris. C’est un bon signe. Dès son retour au pays dimanche dernier, avec sa « canne émergente », le président Alassane Ouattara a dit qu’il allait accélérer la marche des réformes. Il lui reste environ une année et demie avant d'achever son premier mandat. Il y a encore beaucoup de choses à faire. Je crois que la Côte d’Ivoire est sur la bonne voie. Mais elle a besoin de toutes les énergies.

Pour vous, quelle énergie la presse doit apporter pour la bonne marche de la Côte d’Ivoire ?

C’est un pays qui est en pleine renaissance. La presse a son rôle d’éveil. Éveil des consciences, de la nécessité d’accentuer la lutte contre la corruption afin que les choses soient plus claires. La presse doit aussi donner espoir aux Ivoiriens pour que leur vie quotidienne s’améliore. Le panier de la ménagère est certes encore difficile, la vie est encore chère pour l’Ivoirien moyen. Mais il y a aussi des gens qui gagnent bien leur vie. L’un dans l’autre, je pense que la Côte d’Ivoire est sur la bonne voie.

Bruno Fanucchi a-t-il un message fort à lancer ?

Il faut que la sécurité continue de progresser à Abidjan et à l’intérieur du pays. L’indice de sécurité s’améliore. J’ai parcouru Abidjan, il y a des contrôles, mais ils ne sont pas trop nombreux. On est plus racketté, en traversant les ponts par exemple. Ce sont là des signes positifs qui montrent que le niveau de sécurité s'est amélioré. Et cela est très important. Je reviens sur le Salon international de la Sécurité qui sera – je crois - un grand événement avec une centaine d’exposants et une trentaine de délégations étrangères. Ce qui est très important dans le contexte du terrorisme qui frappe l'Afrique en plein cœur, comme après le Mali, aujourd'hui au Nigeria. Il y a donc nécessité de se rencontrer pour améliorer la sécurité. La France doit être présente dans ces rendez-vous pour améliorer la sécurité dans toute l’Afrique et notamment en Afrique de l’Ouest.
 

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 13:35
Sagem wins order from Nexter Systems to supply 37 SIGMA 30 pointing systems for CAESAR gun export contract

 

Paris, March 05th, 2014 Sagem

 

Sagem (Safran) has won a new order from Nexter Systems to supply 37 SIGMA 30 navigation and pointing systems for CAESAR guns, to be delivered to an Asian customer.

 

Sagem’s SIGMA 30 system gives long-range artillery system immediate, high-precision firing capability, since they do not need GPS.

 

Drawing on Sagem’s proven expertise in navigation systems and inertial sensors, the SIGMA 30 features large digital ring laser gyro technology. Its performance characteristics make it a perfect solution for today’s artillery. Enabling deployment in distributed configurations, the Sigma 30 system enhances the mobility and protection of support forces. It is mounted on the cannon, and offers totally independent operation, protected from enemy countermeasures.

 

 

Sagem wins order from Nexter Systems to supply 37 SIGMA 30 pointing systems for CAESAR gun export contract

The SIGMA 30 system contributes to the excellent operational results of CAESAR guns deployed by the French army in today’s most demanding theaters, including Afghanistan and, most recently, Mali, for Operation Serval.

 

The contract announced today consolidates Sagem’s partnership with Nexter Systems for the CAESAR gun, by bringing the advantages of latest-generation inertial systems to the company’s entire range of combat vehicles, whether in production or under development. All CAESAR artillery systems now in service, more than 250 units, are equipped with the SIGMA 30 navigation and pointing system. They are produced at Sagem’s Montluçon plant.

 

In addition to CAESAR guns, Sagem’s SIGMA 30 system outfits 40 other artillery systems, including: PzH2000 (Krauss Maffei Wegmann), MLRS M270 (Airbus Defense), Nora (SDPR), Archer (BAE), and the 2R2M mobile mortar (Thales).

 

Sagem has developed proven expertise in all inertial technologies (mechanical, laser, fiber-optic, vibrating), with more than 60 years of experience on both civil and military navigation systems operating in all environments around the world.

 

* * * *

 

Sagem , a high-tech company of Safran, holds world or European leadership positions in optronics, avionics, electronics and safety-critical software for both civil and military markets. Sagem is the No. 1 company in Europe and No. 3 worldwide for inertial navigation systems (INS) used in air, land and naval applications. It is also the world leader in helicopter flight controls and the European leader in optronics and tactical UAV systems. Operating across the globe through the Safran group, Sagem and its subsidiaries employ 7,500 people in Europe, Southeast Asia and North America. Sagem is the commercial name of the company Sagem Défense Sécurité.

For more information: www.sagem.com

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 13:30
photo EMA

photo EMA

 

05/03/2014 Sources : EMA

 

Du 24 au 28 février 2014, à Naqoura, au sud du Litani, la Force Commander Reserve (FCR) a conduit un exercice de tir conjoint avec les Forces armées libanaises (FAL) et les contingents de la Force Intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL).

 

Durant quatre jours, l’exercice Steel Storm a permis de parfaire l’entrainement au tir de l’ensemble des unités opérationnelles de la FCR tout en renforçant la coopération entre la FINUL et les FAL.

 

Les blindés français (VBL, VBCI, VAB) et libanais (M113), équipés de différentes armes de bord (mitrailleuses de calibres 7.62 et 12.7 mm, canons de calibres 20 et 25 mm et fusil PGM), se sont succédés sur le pas de tir situé au sud de Naqoura, face à la mer. Près de 33 000 cartouches, de tous calibres, ont été tirées sur des cibles flottantes disposées entre 400 et 1400 mètres du pas de tir.

 

Cet exercice a également vu la participation aux tirs des contingents espagnols et italiens. La  Maritime Task Force de la FINUL, quant à elle, assurait la sécurité en mer. Une démonstration devant les hautes autorités militaires libanaises du secteur Sud Litani et de la FINUL a clôturé l’entrainement.

 

Dans le cadre de la résolution 1701, la Force Commander Reserve participe à la montée en puissance des Forces armées libanaises, par le biais de patrouilles d’exercices, de formations et d’entraînements conjoint réguliers.

Liban : Exercice Steel Storm
Liban : Exercice Steel StormLiban : Exercice Steel Storm
Liban : Exercice Steel Storm
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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 12:55
Vidéo - Une infirmière dans le ciel de Gao

 

05/03/2014 Communauté Défense

 

Maillon indispensable de la chaine des secours en opération extérieure, le CASA « Nurse » est l’avion utilisé pour le transport des blessés. A son bord, des infirmières convoyeuses font partie de la chaine santé.

 

Portrait de l'adjudant Marion, en poste sur le CASA « Nurse » de Gao au Mali en décembre 2013,  qui  vit son engagement comme une passion.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 12:55
Eurosatory et UAV Show s’associent
Eurosatory et UAV Show s’associent

 

4 mars Aerobuzz.fr

 

En 2014, Eurosatory et UAV Show jouent la complémentarité. Les entreprises de la filière drones vont ainsi avoir la possibilité d’exposer en statique leurs matériels dans le cadre du plus grand salon mondial de l’armement (16-20 juin 2014 à Paris-Villepinte) et de les présenter en vol, quelques semaines plus tard, à l’occasion de la troisième édition du salon des drones (9-11 septembre 2014 à Bordeaux-Aéroparc). C’est évidemment un plus que propose Eurosatory à 1.400 exposants et à ses 53.000 visiteurs. Mais c’est aussi une fabuleuse rampe de lancement pour UAV Show qui, dès sa création, a fait le pari de montrer les drones en vol. En 2012, lors de la précédente édition, une vingtaine de machines avaient été présentées sur la zone aérienne réservée du Camp de Souge. En 2014, les démonstrations dynamiques devraient prendre une autre dimension.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 12:45
L'ONU enverra des casques bleus en RCA

 

3 mars, 2014 – BBC Afrique

 

Le secrétaire général de l’ONU Ban Ban Ki-moon a recommandé ce lundi de déployer en Centrafrique 11.820 Casques bleus. Une opération qui n'aura lieu qu'en septembre.

 

Sur ces 11 820 Casques bleus déployés en plus, 10 000 seraient des soldats et 1 820 des policiers, selon l’Agence France Presse. Ils auront pour mission de rétablir l'ordre et la sécurité, soutenant la force africaine sur place : la Misca.

 

Dans un rapport transmis aux 15 pays membres du Conseil de sécurité, Ban Ki-moon précise que le mandat initial de cette opération de maintien de la paix de l'ONU sera centré sur « la protection des civils ».

 

Cette décision sonne comme un écho à l’appel lancé plus tôt ce lundi à Kinshasa par la Présidente de transition en République centraficaine. Catherine Samba-Panza demandait un « soutien massif » de la communauté internationale.

 

La France, engagée en Centrafrique dans l’opération Sangaris, a manifesté par la voix de son Conseil de sécurité son approbation quant au soutien des forces armées de l’ONU. Le 27 février dernier, 400 militaires étaient arrivés en renfort, portant le total à 2 000 soldats français.

 

700 000 déplacés

 

Cependant, le rapport de Ban Ki-moon indique que « cela prendra environ six mois au Nations Unies de préparer le déploiement de l’opération ».

 

Des milliers de musulmans ont fui vers le Nord-Est du pays et la frontière avec le Tchad, création une division du pays.

 

Depuis décembre, 2 000 personnes ont été tuées en Centrafrique et plus de 700 000 déplacées.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 10:30
corvette Gowind photo DCNS

corvette Gowind photo DCNS

 

05/03/2014 Michel Cabirol – la Tribune.fr

 

Le groupe naval a été choisi par le Caire pour équiper la marine égyptienne de quatre corvettes Gowind armées de missiles VL Mica et Exocet de MBDA. Un contrat estimé à 1 milliard d'euros.

 

 

C'est un très joli coup pour DCNS à l'exportation... à la grande surprise de beaucoup à Paris. Selon des sources concordantes, le groupe naval dispose d'un accord de principe du Caire pour la vente de quatre corvettes Gowind de 2.400 tonnes (+ 2 options en négociation) armées de missiles surface-air VL Mica et mer-mer Exocet. Un contrat évalué à 1 milliard d'euros hors armement. Une compétition remportée face aux chantiers navals allemand ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS), qui proposait des Meko A200, et néerlandais Damen (corvette Sigma). Trois des quatre corvettes Gowind seront fabriquées en Egypte. Pour DCNS, c'est un nouveau succès de la Gowind après celui remporté en Malaisie (6 corvettes).

 

C'est le ministre de la Défense, le maréchal Abdel Fattah al-Sissi, qui sera candidat à l'élection présidentielle, qui a décidé cette acquisition. C'est aussi un geste fort du Caire vis-à-vis de Paris. L'armée égyptienne avait appelé fin janvier son chef, architecte de la destitution du président islamiste Mohamed Morsi en juillet dernier, à répondre à "l'appel du peuple" en se présentant à l'élection présidentielle. L'homme fort actuel de l'Égypte souhaite avant son départ du ministère boucler un certain nombre de dossiers. C'est d'ailleurs aussi le cas pour l'achat de l'armée égyptienne de neuf avions de transports CASA d'Airbus Group. L'armée de l'air égyptienne (Egypt Air Force) exploite déjà cinq C-295 sur les 12 commandés.

 

Deux nouveaux sous-marins allemands

 

L'Égypte aurait également exercé une option pour l'acquisition de deux sous-marins U-209 supplémentaires fabriqués par le groupe naval allemand TKMS. Il s'agit d'une option sur deux nouveaux bâtiments, qui serait exercé par Le Caire dans le cadre du contrat de gré à gré signé à l'été 2011 pour un montant de 920 millions d'euros. Puis un acompte avait été versé quelques mois plus tard en décembre. Le premier sous-marin armé de missiles mer-mer Harpoon Block II de Boeing, serait livré en 2016.

 

En contrepartie de cette vente au Caire, Berlin a décidé la semaine dernière de lancer la construction du sixième sous-marin Dophin (des U-214 modifiés pour lancer des missiles nucléaires) à Israël. Trois bâtiments ont été déjà livrés tandis que deux autres sont en construction dans le chantier naval allemand de Kiel. Des Dolphin qui confèrent une supériorité opérationnelle et technologique aux Israéliens face aux Égyptiens.

 

Le Caire fait aussi son marché en Russie

 

La Russie et l'Égypte sont proches de conclure des contrats sur l'achat d'armements d'un montant de plus de 3 milliards de dollars (2,18 milliards d'euros), avait annoncé mi-février le quotidien économique russe Vedomosti. Les deux parties ont "paraphé ou signé des contrats pour plus de 3 milliards de dollars" qui portent sur "l'achat d'avions de chasse MiG-29M/M2, de systèmes de défense antiaérienne de différents types, d'hélicoptères Mi-35" et d'autres armements russes, avait précisé le journal, citant des sources au sein de l'industrie de la défense russe. Ces achats doivent être financés par l'Arabie Saoudite et les Emirats arabes unis, selon Vedomosti.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 08:55
Nouvelle-Calédonie: campagne de tir au canon pour les Puma

 

04/03/2014 Armée de l'air

 

Des hélicoptères Puma de l’escadron de transport 52 (ET 52) de Nouvelle-Calédonie ont conduit une campagne de tir au canon de 20mm, du 24 au 26 février 2014.

 

Deux fois par an, les six mécaniciens navigants de l’escadron de transport 52 de la base aérienne 186 participent à une campagne de tir au canon afin de conserver leurs qualifications opérationnelles.

 

Mais l’exercice a également offert une occasion idéale aux pilotes d’hélicoptères de s’entraîner à réaliser des manœuvres aériennes particulières telles que le vol en semi-renversement ou le vol orbital. Il s’agit de techniques de vol qui permettent de prendre en compte la vulnérabilité de l’aéronef lors des phases de tir au canon. L’objectif est de frapper fort, vite, en se dévoilant au dernier moment, tout en conservant un effet de surprise et un maximum de discrétion.

 

Ce type de campagne de tir vise également à conserver une forte symbiose de l’ensemble de l’équipage, une capacité essentielle à bord d’un hélicoptère lors de ce type de phase.

Nouvelle-Calédonie: campagne de tir au canon pour les Puma
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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 08:55
Le porte-hélicoptères "Vladivostok" va commencer ses essais à la mer

 

04/03/2014 Jean Guisnel - Défense ouverte / Le Point.fr

 

Les essais du premier des deux navires commandés par la Russie commencent mercredi sur le chantier STX de Saint-Nazaire, en Loire-Atlantique.

 

Pendant la crise, les affaires continuent... Premier des deux gros navires de guerre achetés en 2011 par la Russie à la France, le porte-hélicoptères Vladivostok est en pleine forme. Si tout se passe comme prévu, une démonstration symbolique mais puissante de la solidarité militaire entre Paris et Moscou sera donnée mercredi 5 mars à 18 h 30, lorsque le porte-hélicoptères flambant neuf quittera la forme Joubert du port de Saint-Nazaire pour filer tout droit vers la pleine mer. Il s'agira de sa sortie inaugurale, du premier essai en vraie grandeur de ce que les marins appellent le "flotteur", c'est-à-dire la coque et son système de propulsion. Au menu de cette sortie - avec retour prévu samedi 8 mars à 7 h 30 -, des petites pointes de vitesse, des "girations" (virages les plus serrés possible), des "crash stops" avec la machine "battant en arrière". La routine en fait, si ce n'est que cette activité technique va revêtir une forte dimension diplomatique alors que la crise autour de la Crimée et de l'Ukraine prend de l'ampleur. Car on n'aurait garde d'oublier que, si le Vladivostok commence ses essais pour une livraison à la marine russe en octobre 2014, un second navire identique est en construction, lui aussi aux chantiers navals STX de Saint-Nazaire. Il est déjà bien avancé, mais sa livraison n'est pas attendue avant octobre 2015. Précisons qu'il a été baptisé Sébastopol par les Russes, du nom de leur immense base navale de Crimée ! Concrètement, la moitié avant du navire est déjà terminée à Saint-Nazaire. La partie arrière fabriquée à Saint-Pétersbourg, selon le même processus que pour le Vladivostok, sera livrée en juin prochain.

 

400 marins russes attendus

 

À ce stade, aucun marin russe n'est encore installé à Saint-Nazaire. Les essais de mercredi seront conduits par le chantier STX, toujours propriétaire du navire, sous sa seule autorité. Les chantiers ont recruté un équipage temporaire, composé d'un capitaine au long cours et d'officiers de la marine marchande. Le gouvernement français n'a pour l'instant annoncé aucune décision sur la poursuite de ces essais, qui devraient donc se dérouler comme prévu. Les choses vont cependant s'accélérer dans les jours qui viennent, avec l'arrivée de tout ou partie des futurs équipages des deux navires - 400 hommes au total - qui ne seront pas hébergés dans les hôtels de la région, mais à bord du bâtiment-école Smolny, attendu incessamment à Saint-Nazaire.

 

Après de très longues hésitations, le gouvernement français a accepté de livrer aux Russes Le Mistral équipé de son système de combat Senit 9 (Système d'exploitation navale des informations tactiques), qui fédère toutes les informations numérisées - navigation, transmissions, opérations, veille radar air et surface et situation tactique en temps réel. Moscou avait fait de la livraison de ce système de combat une condition sine qua non de l'achat de ces deux navires, et le gouvernement de François Fillon avait longtemps hésité. Finalement, le Senit 9 qui équivaut à celui qui équipe les navires français du même type (Mistral, Tonnerre, Dixmude) a bien été installé à bord, mais avec une particularité qui en dégrade fortement les performances : il ne permet pas la mise en oeuvre directe des armes depuis le bord et une adaptation devra être faite par les Russes eux-mêmes, notamment pour diriger les canons sextuples de 30 mm AK-630 et les missiles surface-air SA-8. Les aménagements nécessaires devraient être terminés au bout de quelques mois. La construction d'un prolongement du quai de 1,6 km, porté à 2,7 km, devant accueillir les deux navires à Vladivostok a commencé en février dernier.

 

Particularité franco-française

 

Selon l'expert incontournable Bernard Prézelin, auteur de la bible internationale Flottes de combat et connaisseur de tous les navires de guerre au monde, le Vladivostok a été équipé voici deux semaines de la plus avancée des technologies navales françaises de pointe : le radar MRR-3D-NG de Thales. Sa vente avait longtemps été différée, sans que l'on sache à ce stade qui a décidé, de Nicolas Sarkozy ou de François Hollande, de le livrer aux Russes. En revanche, les Français n'ont pas cédé sur le SIC-21 réclamé par la marine russe : ce système numérisé de planification tactique et de renseignement a été jugé non exportable par Paris.

 

Nos requêtes pour connaître la position officielle de Paris sur le dossier de ces deux navires n'ont pas été couronnées de succès. Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a dit, en début de semaine, à propos d'une éventuelle révision de la coopération militaire franco-russe : "Nous n'en sommes pas là." Au ministère de la Défense, on indique que la situation est "à l'étude". Mais Moscou a quelques éléments pour faire réfléchir les Français, notamment la commande éventuelle de deux nouveaux bâtiments du même type. À 600 millions d'euros, le navire, cela fait réfléchir ! Pour l'instant, Paris ne dit rien. Quelle est la formule, déjà ? Ah, oui... Le client est roi.

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 08:35
Visite d’ALPACI au Japon

 

Source armees-polynesie.pf

 

Du 15 au 24 février, le contre-amiral Anne Cullerre, commandant la zone maritime du Pacifique (ALPACI) et commandant supérieur des forces armées en Polynésie française (COMSUP FAPF), s’est rendu au Japon pour y rencontrer les autorités du ministère de la défense, des forces d’autodéfense et du ministère des affaires étrangères.

 

Le COMSUP a donné une conférence sur « la France dans le Pacifique » à la promotion en cours du National institute for defense studies (NIDS), puis elle s’est entretenue avec le chef d’état-major des forces d’auto-défense, le numéro deux des forces maritimes et le commandant en chef de la flotte qui l’a reçue à bord du destroyer Teruzuki.

 

Ces différents entretiens ont permis d’évoquer les opportunités concrètes de coopération opérationnelle, notamment en mer de Chine orientale, où la frégate de surveillance Prairial sera déployée dans quelques semaines.

 

Ce déplacement a aussi été l’occasion pour ALPACI de rencontrer les autorités américaines stationnées au Japon, notamment le RADM Montgomery, commandant la TF70 constituée autour du porte-avions USS Georges Washington.

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 19:55
Toulon : Le Mistral prend le large

 

4 mars 2014. Portail des Sous-Marins

 

Mardi 4 mars 2014, le bâtiment de projection et de commandement Mistral a appareillé. Accompagné de la frégate La Fayette, les deux unités vont mettre le cap sur Brest d’où le départ de leur mission sera donné le 12 mars prochain.

 

La mission « Jeanne d’Arc » associe mission opérationnelle et mission de formation des officiers élèves.

 

Ils regagneront Toulon en juillet prochain au terme de 4 mois de navigation en Atlantique.

 

Source : Marine Nationale

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 14:16
Cérémonie d'hommage au caporal-chef Damien Dolet à Poitiers

 

03/03/2014 Armée de Terre

 

Recueillement et émotions se lisent sur tous les visages de ses frères d’armes, au cours de la cérémonie d’hommage national.

 

Lundi 3 mars 2014, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian a rendu hommage au caporal-chef Damien Dolet « soldat aguerri et déterminé » qui a trouvé la mort le 23 février, en République centrafricaine, au cours d’une mission de reconnaissance.

 

Au nom du président de la République, le caporal-chef a été fait chevalier de l’ordre National du Mérite.

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 13:55
Exercice Davout 2014- Entraînement des hommes, entraînement des structures

 

04/03/2014 ASP Antoine Laroche - Armée de Terre

 

700 soldats de l’armée de Terre ont participé à l’exercice national DAVOUT 2014, qui s’est déroulé dans le camp de Coëtquidan, du 10 au 26 février.

 

Du nom d’un maréchal d’Empire, cet exercice avait pour but de déployer et d’entraîner, en grandeur réelle, les systèmes de commandement du dispositif d’alerte des forces terrestres.

 

« Complet, cohérent, robuste et réactif » : un dispositif à découvrir dans ce reportage

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 12:55
Exposition photographique : les blessés dans l'armée de terre

source GMP

 

Du 28 février au 31 mars 2014 a lieu dans les douves-nord des Invalides (face à la Seine) une exposition exceptionnelle de 22 photographies, visible depuis la voie publique, mettant en lumière la réalité quotidienne des blessés de l’Armée de Terre qui, les années s’accumulant, sont estimés à près de 6000.

 

La blessure du soldat témoigne bien souvent de la dure réalité des combats en opérations. Cette prise de conscience, parfois brutale, laisse place, ici, à l’émotion, la compassion, l’espoir et la joie d’un retour à une vie quotidienne « normale ».

 

Trois moments cruciaux dans le parcours du blessé sont ainsi mis en exergue :

  • la blessure et la prise en charge immédiate du soldat,
  • l’accompagnement par les équipes médicales et organismes de soutien aux blessés et de leur famille
  • la réadaptation pour un retour à la vie quotidienne sociale, sportive et professionnelle.
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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 12:55
Un "Embarquez!" tout en finesse chez Marines éditions

 

02.03.2014 par Philippe Chapleau - lignes de Défense

 

Comment vivait-on dans une frégate au temps de Louis XVI ou à bord d'une canonnière sur le Yang-Tsé en 1905? Comme vit-on dans le ventre d'un destroyer, d'un porte-avions ou d'un sous-marin ? Comment y travaille-t-on ? Le pinceau minutieux d'André Lambert et la plume érudite de Michel Perchoc répondent à ces questions sous la forme d'une invitation : Embarquez !

92 pages, 19 €: ce livre pédagogique et joliment illustré devrait charmer tous ceux qui ont envie de découvrir les marine d'antan et de demain. Chaque planche (trois exemples ci-dessous) sont accompagné de textes; l'ensemble s'inscrit dans une chronologie qui démarre en 1780.

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 12:45
Mali : visite du général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées

 

 

04/03/2014 Sources : EMA

 

Le 27 février 2014, dans le cadre de sa prise de fonction, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, s’est rendu au Mali pour y rencontrer les soldats français déployés en opération.

 

La première étape de cette visite a été consacrée aux instructeurs de la mission européenne de formation de l’armée malienne (EUTM). Sur le camp de Koulikoro, le CEMA a ainsi pu prendre la mesure de la coopération qui s’est développée entre les différentes nationalités représentées au sein de la mission EUTM et les forces armées maliennes, bien décidées à profiter de l’instruction dispensée pour renforcer leur capacité opérationnelle.

 

Plus tard, devant les soldats de la force Serval stationnés sur le camp Boiteux à Bamako, le général d’armée de Villiers a rappelé l’importance des opérations en cours, tout en soulignant la nécessité d’en prolonger les effets en renforçant la sécurité de la bande sahélo-saharienne. Dans son adresse aux troupes, il a par ailleurs tenu a saluer le travail accompli depuis les premiers jours de l’opération: « le combat mené ici au Mali est difficile, mais c’est un combat à la mesure du soldat français : un soldat professionnel, aguerri, qui maîtrise tous les savoir-faire ».Mais au-delà du discours, il a surtout souhaité aller à la rencontre des hommes et des femmes de Serval pour qu’ils lui livrent directement leur appréciation du terrain.

 

Le CEMA a terminé sa visite à Bamako en rencontrant l’ambassadeur de France, les autorités maliennes ainsi que celles de la MINUSMA, avant de rejoindre dans la soirée la force Sangaris déployée en République Centrafricaine.

 

Les militaires français actuellement présents sur le sol malien poursuivent une mission de lutte contre les groupes armés terroristes, tout en appuyant la montée en puissance des forces de la MINUSMA et des FAMA.

Mali : visite du général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées
Mali : visite du général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des arméesMali : visite du général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées
Mali : visite du général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées
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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 12:45
RCA: Première visite du nouveau chef d’état-major des armées.

 

04/03/2014 Sources : EMA

 

Le 28 février 2014, le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des Armées (CEMA), est allé à la rencontre des soldats français déployés en République Centrafricaine (RCA) dans le cadre l’opération Sangaris.

 

Au cours de cette journée, il a tenu à les retrouver sur le terrain, à Bangui comme en province, pour prendre la mesure concrète de la situation.

 

S’adressant aux hommes et aux femmes placés sous le commandement du général Francisco Soriano, commandant de la force Sangaris, le CEMA a insisté sur « le calme et la ténacité » dont ils ont fait preuve depuis le premier jour de l’opération. Il a salué leur engagement qui a permis de « briser la spirale de la violence » dans une mission qu’il a qualifiée de « complexe et de risquée ».

 

Le CEMA a ensuite accueilli M. François Hollande, Président de la République, qui effectuait le même jour sa deuxième visite en RCA. Après avoir accompagné le chef des armées lors de son entretien avec la présidente de transition, madame Catherine Samba Panza, il a participé à une rencontre avec les autorités religieuses centrafricaines, avant de suivre une patrouille conjointe effectuée par Sangaris avec les soldats de la MISCA dans le 3e arrondissement.

 

Après le départ du chef de l’Etat, le CEMA s’est rendu auprès d’un détachement de Sangaris déployé à Boda, une ville située à 150 kms à l’ouest de Bangui. Aux ordres d’un capitaine, la force y maintient un sous-groupement chargé d’assurer la protection d’une importante communauté musulmane. Avant de rejoindre l’aéroport de M’Poko, le CEMA s’est enfin déplacé sur « PK 12 », au nord de Bangui, un des points où les tensions restent les plus vives.

 

Lors de cette première visite en Centrafrique, le CEMA a félicité les soldats français qui réalisent « une mission difficile, mais dont le comportement, la maîtrise de la force et le travail sur le terrain sont exemplaires ».

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 18:55
Exercice « Matin Rouge »

 

03/03/2014 Armée de l'air

 

Du 17 au 28 février 2014, la base aérienne (BA) 105 d’Évreux a vibré au rythme de « Matin Rouge », exercice d’entraînement commun impliquant l’escadron 1/64 « Béarn » d’Évreux, l’escadron d’hélicoptères 1/67  « Pyrénées » de Cazaux et le commando parachutiste de l’air n°20 de Dijon.

 

À cette occasion, un Caracal et un Puma ont été déployés sur la base ébroïcienne. Les trois unités ont participé de concert à plusieurs missions tactiques, comme par exemple l’insertion en milieu hostile par hélicoptère. Dépose en corde lisse, hélitreuillage ou récupération en zone hostile par grappe ; les troupes et les équipages se sont entraînés à diverses techniques d’aérocordage. Tirs techniques et tactiques, largage de petit colis, posés d’assaut et entraînement à l’appui aérien étaient également au programme.

 

Une mission de nuit type Personnal Recovery (récupération de personnel au combat) a été menée dans les environs de la BA105. Plusieurs commandos parachutistes de l’air se sont infiltrés dans une zone à l’aide de deux hélicoptères. Le scénario : déposer les groupes spécialisés du CPA 20 dans une zone hostile pour qu’ils récupèrent l’équipage d’un Transall, crashé quelques heures plutôt dans cette même zone.

 

L’exercice « Matin Rouge » s’est terminé par un tir tactique avec mise en place des commandos par corde lisse et récupération par grappe. Une belle synthèse de cet entraînement commun qui a mutualisé les savoir-faire de ces unités spécialisées de l’armée de l’air.

Exercice « Matin Rouge »
Exercice « Matin Rouge »Exercice « Matin Rouge »
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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 18:55
25 mars : soirée de sensibilisation « sécurité et protection du patrimoine de l'entreprise »

03.03.2014 entreprises partenaires de la Défense


Espionnage industriel, SSI, cybercriminalité, menace contre les installations...

 

L'Association des entreprises partenaires de la Défense organise une soirée de sensibilisation avec les experts de la Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense (DPSD) le mardi 25 mars 2014 de 18h30 à 20h30 à l'Ecole militaire à Paris

 

La DPSD est le service de renseignement dont dispose le ministre de la Défense pour assumer ses responsabilités en matière de sécurité du personnel, des informations, du matériel et des installations sensibles. Dans le domaine de la sécurité économique, la DPSD travaille avec environ 2.000 sociétés liées à la Défense.

 

Cette soirée exceptionnelle de sensibilisation, basée en grande partie sur des cas concrets, est destinée aux dirigeants et collaborateurs d'entreprises liées à la Défense (et non simplement de l'armement) de la TPE au grand groupe international, ainsi qu'aux étudiants dans le domaine « défense & sécurité ».

 

L'inscription est gratuite mais obligatoire avant 20 mars : LIEN

 

Vous recevrez un mail de confirmation.

 

Pour préparer au mieux cette soirée, téléchargez le compte-rendu de l'audition du directeur de la DPSD par la commission de la Défense nationale et des forces armées : LIEN

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 18:45
Des soldats britanniques au Centre d’aguerrissement outre-mer et étranger (CAOME) de Libreville

 

 

27/02/2014 Armée de Terre

 

Le commando 40 des Royal Marines a suivi, en février 2014, un stage d’aguerrissement en milieu équatorial au Gabon. Après 3 semaines d’entraînement, les Britanniques ont pu mettre en pratique leurs acquis lors du raid final

 

Le jour n’est pas encore levé sur le camp des rebelles, dans la forêt d’un pays instable. Celui-ci a fait appel à l’aide internationale pour rétablir la sécurité et l’état de droit. Autour du feu, quelques hommes dorment encore. Un bruit de branche qui craque attire l’attention d’un garde. Les échanges de feux sont immédiats. Encerclés, les quelques personnes qui vivaient là ne font bientôt plus le poids face à leurs adversaires. Le 40e commando vient de s’emparer de la position et de neutraliser l’ennemi. La première phase de la mission est accomplie.

 

Évoluer sans se faire entendre, se repérer, vivre et combattre dans un milieu humide et hostile, élaborer un schéma tactique pour prendre une position : autant de savoir-faire que les soldats anglais ont pu perfectionner à cette occasion.

 

Pour le lieutenant Greenway, chef de section, le stage fut « brilliant *». Ses hommes ne le contredisent pas. Tous ont gardé le sourire aux lèvres durant le raid final.

 

*Génial

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 18:35
La base aérienne de Cayenne, unique en son genre

 

 

03/03/2014 Armée de l'air

 

D’une taille équivalente à celle de l’Autriche, la Guyane est le seul département français en Amérique du sud. Elle accueille l’unique plateforme aéronautique militaire aux normes Otan de la région : la base aérienne 367 « capitaine François Massé », à Cayenne.

 

La base héberge l’état-major des forces armées de Guyane (FAG), placées sous le commandement du général Philippe Adam. Ces dernières ont deux missions principales : le soutien de la mission Harpie (lutte contre l’orpaillage), et la protection terre, air et mer du centre spatial guyanais lors des lancements de fusées.

 

Pour accomplir cette mission, la base dispose d’un centre de contrôle militaire et d’un escadron d’hélicoptères, parfois renforcés par des chasseurs et un avion radar E-3F, afin de mener à bien les mesures actives de sûreté aérienne.

 

Les FAG ont récemment reçu la visite du général Serge Soulet , commandant les forces aériennes et le soutien des forces aériennes, qui s’est vu présenter les missions et l’important soutien nécessaire à leur bon déroulement. Le général a également mis à profit sa visite pour dévoiler des plaques commémoratives à la mémoire de François Coli, Charles Nungesser et Félix Brunet apposées respectivement sur les hangars de l’escadron d’hélicoptères et sur le centre opérations de l’escadron de transport 68 « Guyane ».

La base aérienne de Cayenne, unique en son genreLa base aérienne de Cayenne, unique en son genre
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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 12:35
Nexter, Ashok Leyland offer the Caesar truck artillery at DefExpo

 

February 22, 2014 stratpost.com

 

Check out the Ceasar artillery system mounted on an Ashok Leyland platform as Evelyne Montet shows it off at DefExpo.

 

Produced by Shruti Pushkarna

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 08:50
Premier rendez-vous du Club Défense le 6 mars 2014

 

27/02/14 par Portail de l'IE

 

Le club Défense a le plaisir de vous inviter à son premier rendez-vous évènementiel qui aura lieu le 6 Mars 2014 de 8h30 à 10h30 en salle GALLIENI aux INVALIDES (accès par escalier B, 3° étage).

 

Le général d’armées (2S) Henri BENTEGEAT, ancien chef d’état major des armées et ancien  président du comité des chefs d’état-major de l’Union Européenne a bien voulu répondre à notre invitation pour nous présenter sa vision de la Défense Européenne en ce début du 21ème siècle alors que l’ensemble des états membres de l’UE réduit son effort de défense malgré les menaces aux frontières de l’Europe, qu’elles viennent du sud, de l’est ou même de l’Ouest, s’agissant de la cyberguerre et de la guerre économique.

Nous aurons l’occasion de débattre avec lui des enjeux de la défense européenne. Est-elle nécessaire, souhaitable ou tout simplement possible ? Pourquoi et à quelles conditions ?

 

Le Club Défense vous attend nombreux

Contact mail pour l’inscription : globale-defense@aege.fr (nom et entreprise)

Date limite d’inscription le 4 mars 2014

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