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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:55
photo Thierry Mamberti Safran

photo Thierry Mamberti Safran

 

 

04.02.2014 Safran

 

Safran a annoncé au mois de janvier la création d’un centre de Recherche & Technologie sur le plateau de Saclay en région parisienne. Christian Picollet, adjoint au directeur Recherche & Technologie Groupe, revient sur le rôle et les objectifs de ce futur site qui sera opérationnel dès novembre 2014.

 

Quels sont les objectifs de ce nouveau centre ?

 

La stratégie de Safran est fondée sur l’innovation et la différenciation par la technologie. Avec la création de ce centre, Safran se dote d’un dispositif central de recherche, en amont, au service du Groupe et de ses sociétés, dont l’objectif sera de détecter et de faire émerger de nouvelles technologies. Le centre fournira à leurs équipes R&T les résultats de ses travaux menés sur les « grands systèmes Safran ». Cet apport représentera un complément essentiel aux travaux de recherche spécifiques que mènent les sociétés sur leurs technologies, produits et services.

 

Comment le centre sera-t-il structuré ?

 

Le centre sera structuré autour de trois axes principaux : les systèmes avancés aéronautiques (énergétique et propulsion, systèmes électriques et électroniques), le numérique (technologies du signal et de l’information, modélisation et simulation) et les matériaux, procédés et capteurs (laboratoire d’expertise, matériaux et procédés, technologies et applications des capteurs).

 

L’axe « systèmes avancés aéronautiques » a pour objectif de comprendre et d’anticiper les besoins technologiques des équipements que nous développerons pour nos clients.

 

L’axe « numérique » dotera le Groupe d’outils permettant la modélisation, la conception de systèmes globaux et le traitement des informations (big data) de nos produits.

 

L’axe « matériaux, procédés et capteurs » a pour but d’amplifier les travaux de développement des matériaux et procédés destinés aux prochaines générations de nos équipements. En outre, le centre sera doté d’un laboratoire dédié aux nouvelles technologies pour les capteurs, aujourd’hui essentielles au développement de fonctions avancées.

 

Qu’est-ce qui a motivé le choix de sa localisation sur le plateau de Saclay ?

 

Paris-Saclay va devenir un pôle de premier plan mondial en France en termes de recherche et d’enseignement supérieur. En s’y installant, Safran bénéficiera d’une proximité géographique avec de nombreux laboratoires en sciences fondamentales et en sciences de l’ingénierie. Le centre viendra par ailleurs renforcer la présence d’industriels déjà implantés comme EDF, Air Liquide ou Thales...

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:55
La Revue de la Gendarmerie Nationale se dématérialise

06/02/2014 Sirpa gendarmerie

 

À compter du numéro 249 (1er trimestre 2014), la Revue de la gendarmerie nationale ne sera plus publiée en version papier. Elle sera exclusivement téléchargeable.

 

Seul le dernier numéro de l'année consacré à la cybersécurité (support du Fic) fera l'objet d'une publication sur les deux supports, papier et électronique.

 

Petit rappel fort utile : depuis le numéro 241, l'ensemble des revues sont consultables sur le site Internet de la gendarmerie à cette adresse : http://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/fre/Sites/Gendarmerie/Multimedia/Publications/La-revue

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:55
Calid photo DICoD

Calid photo DICoD

 

29/01/2014 par Guerric Poncet Le Web en lignes - Le Point.fr

 

Paris assume enfin ses capacités offensives dans un domaine que l'on n'ose plus appeler virtuel. La cyberguerre est prête, et la France serait "bien placée".

 

Le Forum international de la cybersécurité (FIC) de Lille les 21 et 22 janvier a été l'occasion d'un petit duel entre Manuel Valls et Jean-Yves Le Drian, mais il a surtout illustré la nouvelle posture de la France en matière de cyberguerre. En effet, pour la première fois, les officiers et porte-parole officiels ont ouvertement assumé l'existence d'armes informatiques opérationnelles au sein de l'appareil militaire français. "Nous sommes opérationnels, et nous avons fait de gros progrès", nous confie Guillaume Poupard, ingénieur en chef de l'armement et responsable du pôle sécurité des systèmes d'information à la Direction générale de l'armement (DGA). "Le livre blanc de la Défense de 2008 a posé des bases de travail, vous imaginez bien que les choses ont bougé depuis six ans !" ironise-t-il. Ce document prévoyait en effet le développement de nouvelles capacités cyber.

"L'État assume ce choix", nous confirme le contre-amiral Arnaud Coustillière, officier général responsable de la cyberdéfense au ministère de la Défense. En opération, "si nous pouvons obtenir l'effet souhaité avec une arme informatique, c'est mieux", avance-t-il en évoquant la possibilité de "neutraliser des radars avec l'arme informatique plutôt qu'avec un missile". "Tout cela est parfaitement compatible avec le droit des conflits armés, avec le droit d'intervention humanitaire, et nous avons eu des discussions avec le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) : ils ne sont pas choqués par ces choix", précise le marin.

 

Pour riposter, il faut identifier l'agresseur

Mais tout n'est pas simple dans le domaine cyber, nouveau pour les forces armées autant que pour le reste de l'humanité. "Le plus compliqué dans le cyber, ce n'est pas de faire un exploit technique, c'est de le faire à l'endroit voulu, à l'instant voulu, avec le résultat voulu, et de garantir l'effet au décisionnaire : le politique", explique le contre-amiral Coustillière. Car en cas de cyberguerre, c'est évidemment le politique qui conserve le pouvoir de décision. Mais pour qu'il puisse l'exercer, encore faut-il pouvoir identifier l'agresseur, qui se cache souvent par de multiples pirouettes via des relais informatiques dans le monde entier. "Aujourd'hui, nous pouvons dire au politique qui est à l'origine d'une attaque, mais nous ne pouvons pas le prouver", explique Guillaume Poupard. Une différence très subtile, qui peut poser problème : "Cela suffit pour déclencher une décision politique, mais cela ne suffit pas pour justifier une riposte aux yeux de la communauté internationale", explique-t-il encore.

Les fabricants des armes informatiques françaises sont toutefois très discrets. "Je ne peux pas vous dire où les armements cyber sont développés : nous n'avons aujourd'hui aucun intérêt à le dire", se défend Guillaume Poupard. Et pour avoir une idée du nombre de personnes impliquées dans le secteur, il faudra repasser : "Je peux simplement vous dire que tout dépend du ministère de la Défense dans ce domaine", glisse-t-il. "La France est bien placée dans l'échiquier, elle est dans les cinq ou six meilleurs mondiaux", nous glisse un expert privé. Comprendre : nous sommes juste derrière le trio de tête (États-Unis, Russie et Chine), la Grande-Bretagne et peut-être Israël. Si c'est vrai, nous avons assurément fait de gros progrès.

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6 février 2014 4 06 /02 /février /2014 12:25
Entraînement franco-brésilien au large de Toulon pour la frégate Courbet

 

05/02/2014 Sources : Marine nationale

 

Le Courbet, actuellement en stage de Mise en Condition Opérationnelle, a profité de la présence de la frégate Uniao en Méditerranée pour organiser une journée commune d’entraînement.

 

Le bâtiment carioca, en escale à Toulon ces derniers jours, est sur la route du Brésil après une longue mission au large du Liban. Parti en juin 2013 de Rio de Janeiro, il rejoindra son port base en mars prochain.

 

Des marins brésiliens ont pu embarquer sur la frégate française, et des marins français ont embarqué sur la frégate brésilienne, le temps d’une journée, pour une découverte croisée des deux bords.

 

Après un exercice de lutte contre aéronefs, les deux frégates ont procédé à des évolutions tactiques. Les bâtiments se sont quittés en fin d’après-midi, laissant le Courbet poursuivre sa préparation opérationnelle.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 19:20
Le VBCI n'est pas encore britannique...


05.02.2014 par Jean-Dominique Merchet
 

La coopération militaire franco-britannique n'est vraiment plus au beau fixe. Nous annonçions sur ce blog que la British Army allait tester le Véhicule blindé de combat d'infanterie (VBCI) de Nexter et nous le faisions sur la base de déclarations du Premier ministre David Cameron lui-même lors de sa conférence de presse, à l'issue du sommet franco-britannique du 31 janvier. "The UK will also try out the French VBCI tank with a view to possibly purchasing it for the Army", rapportait la presse britannique.

Las ! Cette affaire de VBCI ne figure pas dans la déclaration finale du sommet... du fait du refus du ministère français de la défense. Pas plus d'ailleurs que le drone tactique Watchkeeper. Les deux affaires font l'objet de discussions très serrées et n'ont pas (encore?) abouties.

Des deux côtés de la Manche, les militaires sont pourtant favorables à ce prêt d'une vingtaine de VBCI, mais les politiques l'entendent autrement. 

Rappelons que le VBCI n'a toujours pas trouvé preneur à l'exportation. 

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:55
Exercice jeunes chefs - Djibouti 2014

Djibouti janvier 2014. Aguerrissement pour les lieutenants de la division d'application de l'école d'infanterie. Crédits : BCH MANGIN/CPIT Nîmes

 

05/02/2014 CNE E. ROSSI - Armée de Terre

 

Du lundi 13 au samedi 25 janvier, les lieutenants en division d’application à l’École de l’infanterie de Draguignan ont participé à un module de formation en milieu désertique, à Djibouti.

 

Au cours de ce module, les futurs chefs de section d’infanterie ont suivi une instruction sur le combat en zone montagneuse et désertique (fouille de cache, reconnaissance d’oued, prise de col), face à un ennemi asymétrique. Ils ont également pris part à une manœuvre à tir réel, de niveau sous groupement tactique interarmes (SGTIA). En permanence, les officiers stagiaires ont pu évoluer au sein d’un environnement interarmes (cavalerie, artillerie, génie, ALAT), et ainsi mettre en pratique l’instruction théorique acquise au cours du séjour.

 

Ce stage constitue, pour ces lieutenants, une expérience enrichissante tant au niveau de l’acquisition des connaissances, du développement du sens tactique grâce à un terrain exceptionnel, que de l’expérience dans le combat interarmes en milieu désertique. Il s’inscrit pleinement dans la mission que s’est donnée l’École de l’infanterie : former des chefs aptes d’emblée à partir en opérations, intérieures comme extérieures.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:54
Permanence opérationnelle : clap de fin pour les F1

Retour sur la base de Mont-de-Marsan pour les Mirage F1 de la PO

 

05/02/2014 Adjudant Jean-Laurent Nijean Actus Air

 

Le mardi 4 février, les Mirage 2000-5 de l’escadron de chasse 1/2 « Cigognes » ont relevé les Mirage F1 de l’escadron de reconnaissance 2/33 « Savoie » en mission de police du ciel à Lorient, sur la base aéronavale de Lann Bihoué. Cette relève marque le point final de la participation du Mirage F1 à la permanence opérationnelle (PO).

 

Le capitaine Nicolas Gainand de l’escadron de reconnaissance 2/33 « Savoie », chef du détachement PO, revient sur cette dernière permanence opérationnelle assurée par les Mirage F1 : « Nous avons été émus lors de la réalisation de cette mission opérationnelle qui est en toute probabilité la dernière pour le Mirage F1. En effet, nous n’avons plus d’appareils déployés en opérations extérieures actuellement. »

 

Les pilotes et les mécaniciens du 2/33 « Savoie » se sont successivement relevés sur la base aéronavale depuis le 3 septembre 2013. Des équipes constituées de deux pilotes et de cinq mécaniciens se sont relayées pour cette dernière prise d’alerte de l’escadron.

 

« Nous avons eu la chance d’être bien soutenus et encadrés par le personnel de la base aéronavale », souligne le pilote de Mirage F1. Le pacha de la BAN de Lan Bihoué a tenu à souligner la dernière permanence opérationnelle du Mirage F1 en remettant à l’escadron de reconnaissance un cadre photo.

 

La cérémonie officielle pour le retrait programmé du service du Mirage F1 aura lieu 13 juin 2014 sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Le dernier vol de cet avion mythique aurait lieu lors du 14 Juillet. Après avoir participé au défilé aérien au-dessus de l’avenue des Champs-Élysées, il se poserait sur la base aérienne 279 de Châteaudun pour un repos bien mérité.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:50
L’Europe de la défense, éternelle pomme de la discorde entre la France et le Royaume-Uni

 

31.01.2014 by Hajnalka Vincze

 

Au sommet franco-britannique de vendredi, en plein milieu des annonces concernant la coopération militaire bilatérale, le président Hollande a frôlé le crime de lèse-majesté, en osant prétendre que « Le drone de combat préfigure ce que pourrait être une Europe de la défense ». Pour les Britanniques, coopérer, pourquoi pas, mais n'évoquons surtout pas l'Europe, et en particulier pas en l'associant aux questions de défense.

 

Crédit: UK Ministry of Defence

Ils ne voient que deux usages possibles, de préférence simultanément, à cette prétendue Europe de la défense. D’une part comme agence civilo-humanitaire de l’OTAN. De l’autre, en tant que courroie de transmission des injonctions US en vue d’améliorer les capacités militaires des supplétifs européens de l’Amérique. Le reste sont des chimères dangereuses, à éliminer au plus vite.

 

Afin de bien illustrer l’incompatibilité persistante des deux visions, française et britannique, rappelons juste le compte rendu fait par les deux ministres délégués aux affaires européennes sur le déroulement du sommet « défense » de décembre dernier.

 

Pour le Français Thierry Repentin, « le premier ministre britannique a abordé le sommet en cherchant à introduire différents amendements visant à affirmer une priorité à l’OTAN, à subordonner la politique de défense et de sécurité commune à l’action de celle-ci », mais « nous avons quant à nous refusé le langage inféodant la PSDC à l’OTAN ».  

 

Dans le même temps, son homologue britannique rassure les parlementaires de Sa Majesté que, dans les conclusions du sommet, « nous avons un langage qui marque clairement la primauté de l’OTAN dans la défense européenne ». C’est là tout le charme de l’entente cordiale entre les deux rives de La Manche.

 

NB : Les références à l’OTAN sont en effet omniprésentes dans les conclusions du dernier Conseil européen. Si, pour la plupart, elles reprennent les expressions alambiquées qui avaient déjà été employées ici ou là dans les textes officiels depuis un bon moment, il n’en reste pas moins que leur nombre et leur visibilité ont remarquablement augmenté par rapport au projet de texte mis au point trois jours auparavant.

 

Ainsi, dans la version définitive :

« La PSDC continuera à se développer en pleine complémentarité avec l'OTAN dans le cadre agréé du partenariat stratégique entre l'UE et l'OTAN et dans le respect de leur autonomie de décision et de leurs procédures respectives. » (absent du projet de texte)

« Pour que l'UE et ses États membres puissent faire face [aux nouveaux défis en matière de sécurité], en concordance avec les efforts de l'OTAN ». (absent du projet de texte)

« utiliser plus efficacement les ressources disponibles et de garantir l'interopérabilité, y compris avec les principales organisations partenaires telles que l'OTAN ».

« … présenter d'ici la fin de 2014 un cadre d'action approprié, en parfaite cohérence avec les processus de planification existants de l'OTAN » (au sujet de la planification de la défense)

« l'élaboration de normes industrielles dans le domaine de la défense, sans double emploi avec les normes existantes, en particulier les normes de l'OTAN ». (absent du projet de texte…)

 

 

(Une analyse détaillée suivra prochainement, dans un papier sur la PSDC post-sommet “Défense”)

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 18:45
Sangaris : un C130 belge en appui des forces françaises en Centrafrique - video

27 janv. 2014 FORCESFRANCAISES

 

Le 21 janvier 2014, un avion militaire C130 « Hercules » belge a atterri à Bangui, marquant la reprise des missions de soutien logistique effectuées par des pays européens au profit de la force Sangaris. Au cours du mois de décembre 2013, le Royaume-Uni avait déjà envoyé un avion C17 pour réaliser des missions identiques.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 17:55
Cyber défense : Le Ministre Jean Yves le Drian à Cesson vendredi

 

04 février 2014 Ouest-France  

 

Le Ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, sera à Cesson-Sévigné vendredi pour la présentation du Pacte Défense Cyber.

 

Ce pacte traduit en actes les objectifs inscrits dans la loi de programmation militaire 2014-2019. Jean-Yves Le Drian présentera le Pacte à l’occasion d’une visite à l’école des transmissions et du site Orange de Cesson-Sévigné. Il sera accompagné par Stéphane Richard, président-directeur général d’Orange.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 17:45
Pas de participation belge en Centrafrique "sans financement supplémentaire"

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03 février 2014 lalibre.be(Belga)

 

Le ministre de la Défense, Pieter De Crem, a exclu lundi toute participation significative de l'armée belge à l'opération militaire européenne en préparation en Centrafique à moins d'un financement spécifique, soit national, soit européen. "Il est pour nous impossible de participer d'une manière considérable à toute opération (en République centrafricaine) s'il n'y a pas une contre-valeur financière", a-t-il dit devant les chefs de postes diplomatiques et consulaires belges à l'étranger, réunis à Bruxelles pour les "journées de contact diplomatiques" organisées par les Affaires étrangères.

 

"Je pense que l'on devrait avoir quelques garanties sur le financement" pour une participation éventuelle, a ajouté M. De Crem (CD&V).

 

La Défense a fait, comme d'autres départements, l'objet en fin d'année dernière d'une réduction de ses possibilités d'investissements - une centaine de millions d'euros - au nom de la "prudence budgétaire" décidée par le gouvernement.

 

Les membres de l'Union européenne, qui ont décidé le 20 janvier dernier de lancer une opération militaire en République centrafricaine (RCA), doivent prêter main forte aux 4.000 militaires africains de la force de l'Union africaine (Misca, censée passer à 6.000 hommes) et aux 1.600 soldats français de l'opération Sangaris.

 

Cette opération, baptisée Eufor RCA, vise, selon l'UE, à contribuer, pour une période pouvant aller jusqu'à six mois, à fournir un environnement sûr et sécurisé dans la région de Bangui, l'objectif étant de passer à terme le relais à l'Union africaine (UA). Elle a reçu l'aval du Conseil de sécurité de l'ONU et devrait rassembler de 500 à 1.000 hommes, selon de premières estimations.

 

M. De Crem a rappelé lundi que la Belgique avait déjà mis un avion de transport C-130 "Hercules" à la disposition de l'opération française Sangaris en répondant positivement à une demande bilatérale spécifique de Paris datant de décembre dernier. Cet appareil vole depuis le 21 janvier au profit de l'armée française au départ de Libreville, la capitale du Gabon voisin.

 

Cet appareil est mis en œuvre par une équipe de quelque 35 militaires pour assurer des liaisons internes au théâtre d'opération africain, à la fois entre Libreville et Bangui et à l'intérieur de la Centrafrique. Il a pour mission de transporter du matériel français et africain de la mission de l'Union africaine en Centrafrique (Misca) entre les capitales concernées et Bangui.

 

Selon des sources informées, la question d'une participation belge à l'opération Eufor-RCA devrait être évoquée lors de la visite que le roi Philippe et la reine Mathilde effectueront jeudi en France, en compagnie du Premier ministre Elio Di Rupo. Le président français François Hollande devrait en parler avec le chef du gouvernement, a prédit une de ces sources.

 

Au prochain gouvernement de décider du maintien de la présence en Afghanistan

 

La décision de participer à une - toujours éventuelle - mission de formation de l'Otan en Afghanistan à partir de l'an prochain incombera au gouvernement qui sortira des élections générales du 25 mai, a affirmé lundi le ministre de la Défense, Pieter De Crem. "C'est le prochain gouvernement qui décidera sur une participation" belge à cette mission et sur les conditions dans lesquelles" la Belgique participera à cette opération de formation, de conseil et d'aide" aux forces de sécurité nationales afghanes (ANSF) - provisoirement baptisée "Resolute Support" ("Soutien résolu") -, a-t-il dit devant les chefs de postes diplomatiques et consulaires belges à l'étranger, réunis à Bruxelles pour les "journées de contact diplomatiques" organisées par les Affaires étrangères.

 

La Belgique participe depuis plus de dix ans aux opérations militaires en Afghanistan, menées sous l'égide de la force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf, dirigée par l'Otan). Les effectifs engagés n'ont cessé de varier, passant de quelques dizaines d'hommes à plus de 600, à l'instigation de M. De Crem (CD&V), avant de se réduire à quelque 200 personnes actuellement.

 

La mission de combat de l'Isaf doit prendre fin en décembre prochain. Mais l'Otan prépare une mission de suivi, chargée de "la formation, du conseil et de l'aide" aux forces de sécurité nationales afghanes (ANSF), encore sous-équipées et peu organisées. Pour peu toutefois que les autorités afghanes acceptent de donner à cette présence internationale une base légale en signant le traité bilatéral de sécurité (BSA) conclu entre Kaboul et les Etats-Unis et en approuvant l'accord régissant la présence de troupes étrangères connu sous le nom de Sofa ("Status of Forces Agreement").

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 13:55
photo Nexter Systems

photo Nexter Systems

 

 

04 février 2014 Ouest-France  

 

Cet EBG 'Engin Blindé du Génie) est le dernier d’une série qui a profité d’un programme de valorisation mené par le groupe Nexter.

 

8,29 mètres de long et 3,35 mètres de large. Dans les rues d’Angers, cet EBG (engin blindé du génie) n’est pas passé inaperçu. Convoyé depuis la caserne Berthezène jusqu’à l’Ecole d’application du génie, celui-ci sera officiellement remis à l’armée ce mercredi. Et ce, après être passé entre les mains de l’industriel Nexter qui achève là un programme de valorisation de ce char d’appui au combat.

 

Avec un équipage de deux personnes, l’EBG a pour mission l’ouverture d’itinéraires, le dégagement d’obstacles tels que des barricades ou encore la construction de gués. Ce char est ainsi équipé d’une pelle droite particulièrement robuste pouvant être utilisée pour des travaux de terrassement, d’un treuil hydraulique capable de tirer une masse de 15 à 20 tonnes, d’un lanceur de mines…

 

Équipant le Génie depuis les années 1980, ce char a bénéficié d’un programme de revalorisation. « L’objectif était qu’il réponde à la dureté des engagements actuels », précise le capitaine Sébastien Leduc. La protection directe de l’engin a ainsi été renforcée. Des caméras périmétriques ont été installées pour sécuriser le char, notamment en zone urbaine, et pour permettre des combats de jour comme de nuit.

 

L’exemplaire reçu par l’Ecole d’application du génie est le dernier à être valorisé de la sorte. À l’avenir, ce char est en effet appelé à être remplacé par un tout nouvel équipement.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 12:40
Le commandant de la flotte russe de la Baltique en visite en France

 

MOSCOU, 4 février - RIA Novosti

 

Le vice-amiral Viktor Kravtchouk, commandant de la flotte russe de la Baltique, se trouve à Brest (France) dans le cadre d'une visite de travail, a annoncé le service de presse du ministère russe de la Défense.

 

La délégation russe dirigée par M.Kravtchouk s'est rendue en France à l'invitation du préfet maritime de l'Atlantique, le vice-amiral d'escadre Jean-Pierre Labonne. Les marins russes visiteront la principale base navale française à Brest et se familiariseront avec le travail du Centre opérationnel de la marine française qui gère l'Atlantique.

 

Viktor Kravtchouk se rendra également sur la base navale de Lanvéoc-Poulmic pour prendre connaissance des appareils aériens en service de la marine française, dont des hélicoptères de transport militaire NH-90 et EC-225. La visite de la délégation russe durera jusqu'au 6 février.

 

Depuis 2003, des navires de la flotte de la Baltique ont fait escale à six reprises dans des ports français, tandis que les marins français ont effectué 16 visites dans des bases de la Flotte de la Baltique.

 

En 2014, des navires de la flotte de la Baltique et des forces navales françaises prendront part aux exercices navals internationaux FRUKUS.

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5 février 2014 3 05 /02 /février /2014 08:55
Pic of the day: nEUROn drone in flight

photo by  - source Twitter

 

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 21:55
Légion étrangère, les futurs chefs de corps de l'été 2014

 

30 janvier 2014 par Henri Weill – Ainsi va le monde !

 

Le 1er RE, le 2ème REI, le 2ème REP et le GRLE changeront de patron cette année. A Aubagne, le lieutenant-colonel Rémy Rousseau  (EMA, CPCO) remplacera à la tête du 1er régiment étranger, le lieutenant-colonel Damien de Besombes. A Nîmes, c'est le colonel Valéry Putz, actuellement à la sous-direction Plans de l'EMA, qui succèdera au colonel Eric Ozanne à la tête du 2ème régiment étranger d'infanterie.

 

Quant au REP, il sera dirigé dans quelques mois par un solide connaisseur du régiment, le colonel Jean-Michel Meunier. Aujourd'hui à Paris, à la sous-direction études de la DRHAT, il prendra donc la suite à Calvi du colonel Benoît Desmeulles. Enfin, au Groupement de recrutement de la Légion étrangère (Fort de Nogent) la tradition est respectée. Le lieutenant-colonel Thierry Morvan est remplacé par son numéro deux, le lieutenant-colonel François-Xavier Petiteau. Ces informations qui circulaient depuis quelques jours à l'EMAT sont désormais officielles.

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 19:30
La destruction des armes chimiques en Syrie prend trop de retard, selon Paris

 

 

04 février 2014 Par RFI

 

La France a décidé de hausser le ton dans le dossier des armes chimiques détenues par la Syrie. Dans un entretien accordé ce mardi 4 février aux médias français, Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères a reproché à Damas de « freiner» sur la destruction de ces armes, alors même que le gouvernement syrien doit se conformer à l'accord conclu en septembre dernier. Selon des chiffres révélés par la France et par les Etats-Unis, seuls 5% des armes chimiques syriennes ont quitté le territoire à ce jour.

 

Après Washington, qui était montée au créneau vendredi dernier, c'est Paris qui a décidé de mettre la pression sur le gouvernement syrien. Damas aurait dû aller plus vite pour évacuer les éléments chimiques en sa possession. Laurent Fabius, le chef de la diplomatie française, a réaffirmé sur la radio France Info que le régime syrien doit respecter ses engagements : « Le gouvernement freine sur la destruction des armes chimiques. Dans les notes que j'ai vues hier, c'est seulement 5% des armes chimiques qui sont en train de sortir de Syrie alors qu'au 1er février, on devait être à 100%. Donc il y a nécessité que le gouvernement de Bachar el-Assad respecte les engagements qu'il a pris sur la destruction des armes chimiques ».

 

Des sanctions pour Damas ?

 

Pour l'heure, Washington et Paris refusent de préciser si des sanctions pourraient être prises à l'encontre de Damas. Il faut dire que d'éventuelles sanctions ne pourraient être décidées qu'avec l'aval de la Chine et de la Russie. Or, Moscou n'a cessé ces derniers jours de justifier les retards pris par le régime syrien. Pour la Russie, ces retards sont dus à des problèmes de sécurité et de logistique, et il serait donc inutile, voire contre-productif d'exercer une pression politique à l'égard de la Syrie dans ce dossier.

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 18:55
Les défis de la défense en 2014 (4/5) : un grand chambardement au mauvais moment ?

 

29/01/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La Tribune vous propose une série sur les défis de la défense en 2014 en cinq volets. Quatrième volet, les grands changements des hommes au sein du ministère de la défense et à la tête de l'industrie au moment où tout le secteur pourrait être fragilisé par un contexte budgétaire, opérationnel et industriel très difficile.

 

En deux ans, la plupart des têtes du secteur de la défense, aussi bien dans l'industrie que chez les opérationnels, ont ou vont changer. Ce qui pourrait poser un problème de continuité au moment où la difficile loi de programmation militaire (LPM) entre en "service opérationnel" en 2014. C'est Jean-Bernard Lévy nommé PDG de Thales qui avait ouvert le bal fin 2012, suivi très vite en janvier 2013 par Eric Trappier, qui a pris la suite de l'indestructible Charles Edelstenne aux commandes de Dassault Aviation. Puis, le 1er avril, Guillaume Faury a pris le manche d'Eurocopter, renommé aujourd'hui Airbus Helicopters.

 

Beaucoup de changements en vue en 2014

L'année 2014 va accélérer le mouvement de changements. C'est d'abord l'amiral Guillaud, atteint par la limite d'âge, qui va céder sa place en février de chef d'état-major des armées (CEMA) au profit du général Pierre de Villiers, un terrien de 57 ans. Quant à l'amiral Guillaud, il est prévu qu'il atterrisse en Arabie Saoudite à la tête d'ODAS, une société controversée ces derniers temps dans les milieux de la défense. Elle fait l'interface entre l'Arabie Saoudite et la France pour la signature de contrats d'Etat à Etat. De même le général Ract-Madoux, lui aussi atteint par la limite d'âge, devrait laisser sa place de chef d'état-major de l'armée de terre (CEMAT) cet été. Enfin, le Délégué général pour l'armement (DGA), Laurent Collet-Billon, devrait également partir cette année ... à moins qu'il ne soit prolongé, comme cela est envisagé mais pas assuré.

Après Thales, Dassault Aviation et Airbus Helicopter, ce sera au tour de DCNS de changer de pacha. Le mandat de Patrick Boissier au conseil d'administration s'achève le 21 décembre 2014. Aussi le groupe naval, qui aborde une année cruciale à l'export, pourrait avoir une deuxième partie d'année complètement parasitée, voire paralysée, par la course à la présidence. Ce sera également le cas mais un peu plus tard pour Safran. En avril 2015, Jean-Paul Herteman achève son mandat à la tête de la success-story de Safran. Enfin, le directeur adjoint du cabinet de Jean-Yves Le Drian, Jean-Michel Palagos, qui a été nommé début décembre à la tête de Défense Conseil International (DCI), a succédé à l'amiral François Dupont, atteint par la limite d'âge statutaire.

 

Des changements nécessaires ?

Dans un contexte très difficile - une LPM compliquée à exécuter, des campagnes exportations cruciales pour les groupes d'armement, des opérations extérieures complexes, une situation financière de la France désastreuse -, ces très nombreux (trop ?) changements ne vont-ils pas paralyser, voire affaiblir, le secteur de la défense dans sa capacité à apporter des réponses rapides dans des situations de crise ou d'extrême urgence. Qui mieux que l'actuel DGA maîtrise le mieux le programme 146 du budget de la défense (Equipements des forces), qui mieux que l'actuel CEMAT comprend le mieux ses hommes sur le terrain  en Centrafrique, au Mali et en Afghanistan.

"Les clients aiment la continuité", rappelle-t-on à La Tribune. C'est certainement le cas chez DCNS, qui est aujourd'hui engagé dans de très nombreuses campagnes commerciales et qui a été l'un des groupes les plus performants à l'exportation (Brésil, Malaisie...) en dépit du dernier échec à Singapour. D'une façon générale, alors que les exportations se sont redressées en 2013 (6,3 milliards d'euros), pourquoi faudrait-il encore tout changer ?

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 18:55
Tirs de roquettes à Gao pendant la visite du chef d'état-major des armées

 

04/02/2014 Par Alain Barluet envoyé spécial à Gao (Mali). – LeFigaro.fr

 

 

La base française de l'opération «Serval» à Gao a été la cible de tirs de roquettes mardi matin un peu après 8 heures alors que le chef d'état-major des armées (Cema), l'amiral Édouard Guillaud, se trouvait sur place. Deux engins, tirés des environs de Batan, à une dizaine de kilomètres au nord de la «base désert» de l'opération «Serval», ont atterri non loin de la piste d'aviation, sans faire de victimes. L'alerte a aussitôt été déclenchée et des véhicules blindés de reconnaissance et des hélicoptères Gazelle envoyés sur la zone supposée des tirs. L'amiral Guillaud, qui quitte ses fonctions le 15 février, est arrivé lundi soir à Gao en provenance de Centrafrique, pour une visite d'adieux aux troupes.

 

La «base désert» de Gao, qui compte 1200 militaires français, est ponctuellement la cible de tirs de roquettes. Les groupes armés terroristes tentent régulièrement de frapper le camp militaire. Le contrôle permanent de la zone a néanmoins permis à plusieurs reprises de neutraliser les sites de lancement avant qu'ils ne soient utilisés. Le 2 février, cinq roquettes ont ainsi été découvertes sur leurs rampes de lancement artisanales. Le dernier tir remontait au 25 décembre. «La menace terroriste a été durablement réduite mais reste présente. Il faut garder la pression», a déclaré l'amiral Guillaud aux militaires de «Serval». Sa visite s'est poursuivie normalement.

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 18:54
Tasex : le 68e RAA teste ses missiles MISTRAL



04/02/2014 ASP. Maude FOUQUET - Armée de Terre

 

Du 20 au 23 janvier 2014, le détachement sol-air du 68e régiment d’artillerie d’Afrique a effectué une campagne de tirs réels de missiles MISTRAL, depuis l’île du Levant, au large des côtes varoises. Cet exercice a marqué la fin de la mise en condition avant projection du module défense sol-air à très courte portée.

 

« Les séquences de tirs étaient très satisfaisantes. 12 tirs ont été effectués avec 100% de réussite »,  a déclaré le directeur de tir du bureau appui feu, lors de l’analyse après action, avant d’ajouter : « de l’opérateur NC 1 chargé de coordonner les feux dans la troisième dimension au chef de pièce, chacun a parfaitement rempli son rôle ». Pendant ces trois jours, 77 militaires étaient répartis en deux sections de 6 pièces MISTRAL. Deux opérateurs NC1 et une section de commandement complétaient le dispositif. Pour chaque missile, la fenêtre de tir était courte - moins de 14 secondes - tandis que les cibles pouvaient s’étendre sur un rayon de 7 kilomètres. 

Cet exercice marque la fin de long mois d’entraînement pour le module DSA, qui a été jugé « apte à la projection » par le centre de contrôle de l’artillerie, et qui partira prochainement à Djibouti.

 

>> 68e régiment d'artillerie d'Afrique

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 18:50
Blue légionnaire : l’entraînement pluridisciplinaire‏

 

03/02/2014 Armée de Terre

 

Corse. Camp Raffali, Calvi. Course à pied, pompes, parcours d’obstacles, tir, sauts en parachute, combat : un entraînement pluriel, 13 au 25 janvier., pour les soldats français et anglais. Une manière pour la compagnie de paratroopers anglais, ces troupes d’élite, de s’entraîner avec le 2e régiment étranger de parachutistes ( 2e REP).

 

Un échange de savoir-faire et une connaissance mutuelle, en prévision de projections dans un contexte d’interopérabilité. À découvrir dans ce reportage !

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 18:50
Athena-Fidus in the starting blocks

 

Cannes, February 4th, 2014 – Thales

 

The French-Italian dual broadband telecommunications satellite Athena-Fidus, will be launched shortly by Arianespace from the Guiana Space Center, Europe's spaceport in Kourou, French Guiana, using an Ariane 5 launch vehicle. Thales Alenia Space is the program prime contractor on behalf of the French and Italian space agencies, CNES and ASI, and the French and Italian defense ministries (procurement agency DGA for France and Segredifesa for Italy). Thales Alenia Space is in charge of the development, construction, testing and in-orbit delivery of the satellite. Telespazio, a joint venture of Finmeccanica (67%) and Thales (33%), supplies the ground mission system, as well as launch support services. Satellite positioning in orbit will be handled jointly by Telespazio from Fucino and by Thales Alenia Space from Cannes.

The Athena-Fidus program (Access on Theatres for European allied forces Nations-French Italian Dual Use Satellite) includes a geostationary satellite with EHF and Ka-band transponders and the ground control segment, located at a French military base. The satellite deploys the latest civil telecom standards, DVB-RCS and DVB-S2, to ensure optimum transmission capacity and service availability. It will provide data transmission services to the French and Italian defense ministries, as well as to these countries' security organizations (civil security, homeland security, police, firefighters, etc.). Built on a Spacebus 4000 platform, the satellite will weigh over 3,000 kg at launch and offers a design life exceeding 15 years.

"The launch of Athena-Fidus, followed at the end of the year by Sicral 2, is the culmination of the first concrete collaboration in Europe, between Italy and France, for a military and dual space telecom program," said Bertrand Maureau, Vice President for Telecommunications at Thales Alenia Space. "This new and highly innovative satellite will naturally pave the way for government broadband contracts. We hope that Thales Alenia Space will be able to offer its experience and expertise to other government customers, whether for its proven dual technology solutions, or to support the development of new partnerships."

 

About Thales Alenia Space

The European leader in satellite systems and a major player in orbital infrastructures, Thales Alenia Space is a joint venture between Thales (67%) and Finmeccanica (33%). Thales Alenia Space and Telespazio embody the two groups’ “Space Alliance”. Thales Alenia Space sets the global standard in solutions for space telecommunications, radar and optical Earth observation, defense and security, navigation and science. With consolidated revenues of 2.1 billion euros in 2012, Thales Alenia Space has 7,500 employees in France, Italy, Spain, Germany, Belgium and United States. www.thalesaleniaspace.com

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 18:45
Sangaris : opération conjointe de contrôle de zone dans la ville de Sibut

 

 

02/02/2014 Sources : EMA

 

Samedi 1er février et dimanche 2 février 2014, les forces de la MISCA appuyées par une compagnie renforcée de la force Sangaris ont effectué une opération en direction de la ville de Sibut. Cette opération visait à contrôler l’application des mesures de confiance dans cette ville de province.

 

Quittant Bangui le 1er février au matin, les éléments de la MISCA ont mené une reconnaissance en direction de Sibut (environ 150 km au nord-est de Bangui) sur l’axe routier traversant les villes de Bangui et de Damara. Le rôle du détachement Sangaris était de soutenir la MISCA tout au long de cette mission.

 

Aucun incident n’a été constaté au cours de la première phase de l’opération, sur l’axe Bangui – Sibut.

 

Aux approches de Sibut, les forces de la MISCA et de Sangaris ont manœuvré pour pouvoir pénétrer dans la localité en sécurité. Exploitant les renseignements obtenus par les reconnaissances aériennes préalablement réalisées, la MISCA s’est préparée à contrôler la ville depuis le sud tandis que le détachement Sangaris installait les appuis nécessaires, notamment par la mise en batterie de mortiers lourds.

 

Le 2 février au matin, la MISCA est entrée dans la ville de Sibut. Le détachement Sangaris a ensuite poursuivi sa progression pour pouvoir continuer à appuyer la MISCA dans la localité.

 

Dans la ville, les forces sont intervenues pour mettre fin à des pillages qui se développaient. La situation y est redevenue calme en fin de matinée, grâce aux médiations favorisées par les forces de la MISCA. Aucun affrontement n’est intervenu au cours de cette mission et les forces françaises et de l’Union africaine y poursuivent actuellement le contrôle de l’application des mesures de confiance.

Sangaris : opération conjointe de contrôle de zone dans la ville de Sibut
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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 17:55
VBMR + EBRC = EBMR

 

4 février, 2014 Guillaume Belan (FOB)

 

L’équation Scorpion n’est pas simple! Ce n’est pas deux mais un seul appel à candidatures qu’a lancée la DGA le 20 décembre dernier, pour, pourtant, deux véhicules distincts. D’un coté le VBMR (véhicule Blindé Multi-rôles) qui doit remplacer les VAB. De l’autre, l’EBRC (Engin Blindé de Reconnaissance et Combat), remplaçant des AMX10RC et ERC90 Sagaie.

 

Ainsi, cette consultation, qui serait restreinte au seul consortium français constitué de Nexter, Renault Trucks Defense (RTD) et Thales, porte sur une seule base roulante commune, baptisée l’EBMR (Engin Blindé Multi Rôle), qui devra se décliner en deux programmes VBMR et EBRC.

 

Cette base roulante unique sera un 6X6 de la classe des 20 tonnes, avec un blindage de niveau 4 et une vétronique similaire. En bref, le consortium industriel français a donc la tâche de trouver le maximum de communalités entre les deux véhicules, afin de jouer sur l’effet de série et ainsi d’économiser sur le développement, la production mais aussi la maintenance des flottes de blindés Scorpion.

 

Alors que l’EBRC sera un char léger (canon de 40 mm CTA et missile MMP) dédié à la cavalerie, le VBMR sera lui décliné en de multiples versions (mortier embarqué…), dont la plus importante sera celle Infanterie.

 

Donc, bien que d’architectures très différentes (tourelle pour l’EBRC, large volume intérieur pour le VBMR…), les deux blindés auront le maximum de composants en communs. Le défi pour l’équipe industrielle est aussi là.

 

Aller vite

 

Ce programme EBMR sera également un défi dans le temps. L’objectif est d’obtenir une notification pour la fin de l’année pour disposer d’un prototype du VBMR dès 2017 et une livraison pour 2018 (on évoque une soixantaine de véhicules).

 

« Scorpion est essentiel et majeur pour l’armée de terre » confiait le général Ract Madoux à quelques journalistes le 21 janvier dernier « avoir les VBMR d’ici quatre ans et l’EBRC d’ici 6 ans est un véritable défi ». Les premières livraisons de l’EBRC sont attendues pour 2020.

 

Aller vite, car « Les VAB et AMX10RC sont usés jusqu’au bout » indiquait le chef d’état-major de l’armée de terre.

 

2080 VBMR et 248 EBRC doivent êtres livrés. Soit un marché total de près de 3 milliards d’euros ! L’objectif étant d’atteindre un coût d’acquisition de 1 million d’euros par VBMR et de 3 millions l’unité pour l’EBRC, selon nos sources.

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 17:55
Armement : 2014, l’année du pactole pour la France en matière d’exportations ?

"2014 peut être une année exceptionnelle en matière d'exportations d'armements si un deal Rafale se concrétise", indique le ministère de la Défense.

 

03/02/2014 Michel Cabirol – LaTribune.fr

 

La France attend beaucoup des exportations d’armements en 2014. Le cru pourrait être "exceptionnel" si un contrat Rafale se concrétise.

 

La semaine dernière, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a présenté les chiffres provisoires des prises de commandes des industriels de la défense à l'exportation pour 2013. Soit au moins 6,3 milliards d'euros. 2014 sera-t-elle l'année du pactole pour la France en matière d'exportations ? Les chiffres des exportations des industriels de l'armement tricolore seront au moins aussi bons sinon meilleurs qu'en 2013 en dépit de la concurrence, notamment des Etats-Unis, espère-t-on au ministère de la Défense. Tout dépendra de la capacité des industriels français à concrétiser certains des grands contrats actuellement en cours de négociations avec plusieurs pays clés, dont un contrat Rafale au Qatar. "L'année 2014 peut être une année exceptionnelle si un deal Rafale se concrétise", confirme le ministère de la Défense.

Au-delà de ces grands contrats, Paris devra également verrouiller ce qui fait le socle habituel des exportations d'armements, les contrats de moins de 200 millions d'euros, qui ont été en croissance de 7 % en 2013. "Ces excellents chiffres viennent illustrer les nombreux succès que notre pays rencontre sur les marchés internationaux", a souligné le 30 janvier à Brest le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian lors de la remise de la frégate multimissions Fremm au Maroc.

 

Quelques contrats déjà bouclés

Quelques contrats sont déjà pratiquement dans le carnet de commandes des industriels. C'est le cas des deux satellites espions vendus aux Emirats Arabes Unis (EAU) par Airbus Space Systems et Thales Alenia Space pour un peu plus de 700 millions d'euros mais le contrat n'était pas encore entré en vigueur fin 2013. Contrairement à certaines rumeurs, il n'y a pas de problèmes spécifiques dans les négociations qui se poursuivent entre la France et les Emirats Arabes Unis, explique à La Tribune une source proche du dossier.

Le ministère de la Défense, tout comme MBDA, compte enfin signer en 2014 le contrat SRSAM d'une valeur de 6 milliards de dollars (4,5 milliards d'euros), dont 1,8 milliard d'euros ira au missilier européen. En tant que sous-traitant, Thales gonflera quant à lui son carnet de commandes d'environ 400 millions d'euros. Les négociations sont terminées depuis deux ans, depuis décembre 2011 exactement. Enfin, les groupes français attendent encore la "shopping list" des Libanais (VBCI de Nexter, chars Leclerc d'occasion, hélicoptères Fennec et Cougar d'Airbus Helicopters, corvettes de DCNS…) financée par l'Arabie Saoudite (3 milliards de dollars). Des contrats pourraient être signés dès cette année.

 

Le Qatar, nouvel eldorado ou mirage ?

Quels autres contrats pourraient être signés par les industriels français en 2014 ? Tous les regards se tournent forcement vers le Qatar où plusieurs campagnes sont en cours. D'autant que les groupes tricolores sont plutôt bien placés dans les compétitions. Les industriels français retiennent leur souffle. Ils peuvent. Car sur les 22 milliards d'euros de campagnes commerciales actuellement engagées, certaines sont aujourd'hui mûres, et même en attente de décision. Ce qui pourrait le cas au moment du salon de Doha International Maritime Defence Exhibition (Dimdex), qui se tient du 25 au 27 mars. Sinon, il est également prévu une visite de François Hollande en avril.

Quatre contrats pourraient être officialisées cette année. Des compétitions où concourent le Rafale de Dassault Aviation (36 appareils), le NH90 d'Eurocopter, le système SAMP/T et les missiles Aster 30 proposés par Eurosam, GIE détenu à 66,66 % par MBDA et à 33,33 % par Thales, et, enfin, le Véhicule blindé de combat d'infanterie (VBCI) de Nexter. Soit un total d'environ 14 milliards d'euros. S'agissant des VBCI, qui a également des chances de succès aux Emirats Arabes Unis (700 véhicules), ils pourraient être équipés du futur missile moyenne portée (MMP) grâce à la tourelle de Nexter T40. Doha souhaite acquérir 480 véhicules pour les forces terrestres ainsi que 200 exemplaires pour la garde spéciale de l'émir. Par ailleurs, Airbus Helicopters a bon espoir de vendre le NH90 (12 TTH (version terrestre), 10 NFH (version navale).

 

De bonnes chances en Inde et en Pologne

Si en 2013, le volume de contrats signés en Inde est en "net recul", selon le ministère de la Défense, la tendance est "très positive". En Inde les négociations pour la vente de 126 Rafale se poursuivent. Sans anicroche. Objectif, terminer toutes les négociations entre les industriels français et indiens avant les élections législatives. L'accord intergouvernemental (AIG) est prêt, il attend d'être signé. Il le sera une fois le contrat bouclé entre New Delhi et le GIE Rafale dont la négociation est "quasi-finie", indique-t-on au ministère. Si le ministère compte sur une signature en 2014, des industriels du team Rafale attendent quant à eux une signature et une mise en vigueur du contrat en 2015.

Eurocopter, qui a répondu à un nouvel appel d'offre en 2008, attend quant à lui depuis 2010 l'ouverture des enveloppes commerciales par New Delhi pour savoir s'il est à nouveau sélectionné par l'armée indienne. Elle souhaite renouveler sa flotte d'hélicoptères Cheetah et Chetak dans le cadre du  programme Light Utility Helicopters (LUH). Le contrat, qui porte sur 197 hélicoptères de reconnaissance pour les armées de l'air et de terre destinés notamment aux troupes stationnées en altitude près de la frontière avec la Chine, est estimé à 400 millions d'euros. Il peut s'élever jusqu'à 1,5 milliard d'euros avec l'achat au total de 600 appareils. Eurocopter propose le Fennec (AS350 C3), le seul hélicoptère à s'être posé sur le mont Everest, face au KA-226 du russe Kamov.

En Pologne, les industriels français sont en course dans plusieurs compétitions cruciales : 70 hélicoptères de transport avec l'EC725 pour 3 milliards d'euros (Airbus Helicopters), trois sous-marins pour plus de 1,5 milliard d'euros (DCNS) et un système de missiles de courte et moyenne portée (MBDA, Thales).

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4 février 2014 2 04 /02 /février /2014 17:55
Défense : la France a exporté pour 6,3 milliards d'euros d'armes en 2013

C'est l'Arabie Saoudite qui a été le meilleur client de la France en 2013 avec 1,8 milliard d'euros de commandes, soit plus du quart du montant des contrats engrangés (6,3 milliards d'euros)

 

29/01/2014 Michel Cabirol - LaTribune.fr

 

Après une année difficile en 2012 en matière d'exportations (4,8 milliards d'euros de commandes), les industriels de la défense tricolores ont réussi à augmenter de 31 % leurs prises de commandes en 2013. Ils ont exporté l'année dernière au moins 6,3 milliards d'euros de ventes de systèmes d'armes.

 

C'est une bonne nouvelle pour les industriels de l'armement tricolores. Après une année difficile en 2012 en matière d'exportations (4,8 milliards d'euros de commandes), ils ont réussi à augmenter de 31 % leurs prises de commandes en 2013 pour atteindre au moins 6,3 milliards d'euros de ventes fermes de systèmes d'armes. Un chiffre qui reste encore à affiner mais il serait fiable à 95 %, assure-t-on au ministère de la Défense. Avec ce chiffre, la France réalise plutôt un bon cru, proche de celui de 2011 (6,5 milliards), et reste encore bien calé à la quatrième place devant Israël, le rival le plus dangereux pour la France... mais derrière les Etats-Unis, la Russie et la Grande-Bretagne. Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, doit annoncer ce chiffre ce jeudi à Brest lors de la cérémonie de la remise de la frégate multimissions (FREMM) Mohammed VI au Maroc.

 

Un niveau d'exportations rassurant, estime le ministère de la Défense, car les industriels ont réussi à signer en 2013 huit contrats supérieurs à 200 millions d'euros (contre trois en 2012). "C'est un retour significatif de grands contrats comme le contrat LEX signé en Arabie Saoudite", explique-t-on à l'Hôtel de Brienne. Mais pas encore de mégacontrat ou de "jumbo deal" signé, qui donnerait une réelle bouffée d'oxygène à l'industrie d'armement tricolore, notamment à la filière aéronautique avec le Rafale. Toutefois, le socle des exportations françaises - les contrats de moins de 200 millions d'euros - est en croissance de 7 %. "Un total significatif", estime le ministère. En tête des industriels tricolores à l'export, MBDA et Thales, qui ont glané respectivement chacun 1,5 milliard de prises de commandes.

 

L'Arabie Saoudite à nouveau bon client de la France

 

Comme au bon vieux temps - mais pas si lointain finalement après la parenthèse du quinquennat Sarkozy -, c'est l'Arabie Saoudite qui a été le meilleur client de la France avec 1,8 milliard d'euros de commandes. Soit plus du quart du montant des contrats engrangés en 2013 (28 %) même si la France pouvait espérer plus avec le programme Mark 3 (4 milliards d'euros pour Thales). C'est évidemment le programme LEX (Life Extension) portant sur la modernisation des frégates saoudiennes Sawari I qui pèse lourd dans la balance (570 millions d'euros de parts françaises pour un contrat évalué à 1,15 milliard).

 

Par ailleurs, les missiliers MBDA, Sagem (groupe Safran) et Thales ont engrangé toute une série de contrats portant sur l'équipement des différentes forces saoudiennes. MBDA fournira à l'armée de l'air saoudienne un lot supplémentaire de missiles de croisière Storm Shadow, dont la fabrication est en partie en France. Il va va équiper de missiles sol-air VL Mica la Garde nationale, l'armée privée du roi commandée par le prince Mitaeb bin Abdullah. Ce contrat, qui s'élève à un peu plus de 150 millions d'euros, va permettre de remplacer le parc de missiles Mistral, dont le fournisseur était déjà MBDA. A terme, le missilier table sur plus de 500 millions d'euros de commandes au total.

 

Le missilier participe aussi au contrat LEX et va équiper les pétroliers de son nouveau système surface-air à très courte portée Simbad-RC (un peu plus de 40 millions d'euros). Par aileurs, Sagem a placé sa bombe AASM sous les Tornado saoudiens et Thales avait signé en début d'année un nouveau contrat de support (OASIS 8) des missiles de défense aérienne Crotale (de l'ordre de 140 millions d'euros).

 

Singapour deuxième client de la France

 

En dépit de l'échec de DCNS à Singapour qui a choisi le rival allemand ThyssenKrupp Marine System pour l'achat de deux deux sous-marins (1,8 milliard d'euros), l'Ile-Etat se classe au deuxième rang des clients des industriels français. Deux contrats ont été signés, l'un portant sur la vente de six avions ravitailleurs MRTT (la part française s'élève à un tiers du contrat sur ce type d'appareils), l'autre sur des missiles Aster 30 (MBDA).

 

Par région, c'est évidemment le Moyen-Orient qui arrive en tête des meilleurs clients de l'industrie française en absorbant 40 % des exportations tricolores. Outre l'Arabie Saoudite, Paris a également fait son retour aux Emirats Arabes Unis (EAU). Thales y a vendu 17 radars Ground Master 200, un radar de défense aérienne base couche, 3D tactique multi-missions à moyenne portée (200 kilomètres), pour un montant estimé à environ 250 millions d'euros (part française : moins de 200 millions d'euros). Il est notamment fabriqué à Limours (Essonne) et à Ymare, près de Rouen (Seine-Maritime). Le contrat de deux satellites espions (Falcon Eye) devrait être mis en vigueur en 2014 (700 millions d'euros).

 

Derrière le Moyen-Orient, viennent l'Asie du Sud-Est (16 %), dont Singapour et la Malaisie, l'Afrique du Nord (11 %), notamment le Maroc, et l'Amérique latine (11 %), dont notamment le Brésil (vente d'un satellite dual de télécoms pour environ 400 millions de dollars lancement compris) et en Bolivie (six hélicoptères SuperPuma pour 150 millions d'euros). En Amérique Latine, Paris reprend pied également au Pérou et Colombie.

 

Les missiles, première filière exportatrice

 

En 2013, les missiles français ont eu beaucoup de succès à l'export. MBDA mais aussi Thales et Safran (bombes AASM) se sont partagés plusieurs commandes, principalement en Arabie Saoudite pour les trois missiliers.

 

Puis viennent les constructeurs de satellites (Airbus Space Systems et Thales Alenia Space) avec la filière de satellites d'observation Helios et Pléiades et de télécoms militaires (Brésil). Soit selon le ministère de la défense un huitième des prises de commandes en 2013 (environ 800 millions d'euros). Soit quatre fois plus qu'en 2012. Les hélicoptères avec Airbus Helicopters ont également été à l'honneur notamment avec des contrats en Bolivie (150 millions) et en Ouzbékistan (10 Fennec et 6 Cougar), selon le ministère.

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